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Admin-eleveurcanin

Bref Info le magazine du chien AVRIL 2008

Messages recommandés

Info du 01/04/2008
Etats-Unis - Nicole Richie ne sait pas tenir ses chiens !

Dur dur de se faire respecter par ses animaux de compagnie parfois ! Nicole Richie en a fait l’amère expérience ! En effet, la miss était partie faire la tournée des boutiques accompagnée de ses chiens pour chercher un cadeau d’anniversaire pour son amoureux, Joel Madden des Good Charlotte. Elle s’est arrêtée dans une prestigieuse boutique de West Hollywood et là, ses toutous se sont lâchés !

«Nous laissons Nicole amener ses chiens chez nous car elle est célèbre. Nous pensions qu’elle avait une certaine autorité sur ses animaux, mais en fait, pas du tout ! Ses chiens ont pris nos robes bleues pour des toilettes ! Nous lui avons donné le choix : soit Nicole les achetait, soit elle les emmenait au pressing. Parce que les tenues coûtaient 1 000 dollars chacune ! Elle a préféré la deuxième option. Mais nous ne pourrons plus les vendre maintenant...», a déclaré un membre du personnel.
Source : http://www.aufeminin.com/

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Info du 01/04/2008
Suisse - La SPA veut rouvrir les parcs aux chiens


Genève et région
L'association, ainsi que l'avocat Robert Assaël, recourent au Tribunal fédéral.

Depuis le 20 décembre dernier, 65 parcs sont interdits aux chiens dans 17 communes genevoises. Une décision «qui viole la liberté personnelle, le principe de la proportionnalité et celui de l'interdiction de l'arbitraire», selon la Société genevoise pour la protection des animaux (SPA). Cette association vient ainsi de recourir au Tribunal fédéral (TF) contre l'article 21 al. 1 lettre j du règlement d'application de la loi -genevoise sur les conditions d'élevage, d'éducation et de -détention des chiens, adopté le 17 décembre 2007 par le Conseil d'Etat, ainsi que contre l'arrêté désignant les parcs interdits, adopté le 20 décembre par le Département du territoire.

Avec un allié de poids pour défendre «le meilleur ami de l'homme»! Me Robert Assaël a, en effet, lui aussi, saisi la juridiction suprême pour voler au secours d'une propriétaire de chien de Lancy, commune qui a adopté la méthode dure en fermant la plupart de ses espaces verts aux canidés. Son conseiller administratif François Baertschi l'assume pleinement: «Nous avons pris une décision de principe des plus claires. Pas question qu'il y ait des chiens à proximité de jeux d'enfants! Avec les accidents qui ont eu lieu, on ne peut se permettre aucun laisser-aller!»

Le cas lancéen
Une argumentation qui ne convainc pas Me Frédérique Flournoy, présidente de la SPA, et Me Assaël, unis autour d'un même combat. Tous deux estiment que l'arsenal législatif est bien suffisant. Et que les autorités devraient commencer par faire appliquer les lois existantes avant d'en instaurer de nouvelles «toujours plus intrusives et néfastes pour les animaux et leurs maîtres», commente -Robert Assaël.

Ce d'autant plus que «les canidés ne peuvent de toute façon pas gambader comme ils le souhaitent dans un parc. Interdits de pelouses, d'aires de jeux et de bosquets, ils doivent être tenus en laisse et se promener sur les cheminements. Les molosses doivent, en outre, porter la muselière», ajoute Frédérique Flournoy. Ces mesures sont plus que suffisantes, selon la SPA, pour assurer la sécurité et la tranquillité publiques des usagers des parcs. Sa présidente a l'impression «qu'on a remplacé la muselière pour tous les chiens dans les parcs par l'interdiction des chiens dans les parcs.» Pour rappel: le TF a déjà donné raison à la SPA, par arrêté du 17 avril 2007, suite à son recours contre la muselière pour tous les toutous.

Concernant le cas particulier de Lancy, l'interdiction de la quasi-totalité des parcs publics «viole l'article 10 al. 2 de la loi cantonale, qui prescrit au département de se montrer équitable», argumente Me Assaël. «Le département doit veiller à ce qu'il existe sur le territoire cantonal un nombre suffisant de lieux où les chiens ne sont pas admis, de lieux où l'accès aux chiens est autorisé sous conditions et de lieux où
les chiens peuvent accéder librement.»

Frédérique Flournoy regrette enfin que cette mesure «injuste» frappe surtout les personnes âgées qui viennent faire leur promenade du jour avec leur compagnon dans le parc le plus proche de chez elles.



Source : http://tdg.ch

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Info du 01/04/2008
Algérie - Le sloughi ne court plus les rues à Khenchela

L’élevage du sloughi, ou lévrier d’Afrique du Nord, un chien de chasse et de compagnie renommé pour sa vitesse et sa vivacité, est menacé aujourd’hui de disparition dans les campagnes de Khenchela où il était aussi répandu que l’élevage équin.
Il n’y a pas si longtemps en effet, beaucoup de campagnards khenchelis élevaient, aux côtés de leurs chevaux, cette race canine pour les besoins de la garde ou de la chasse mais aussi pour les exhibitions de fantasia pendant les grandes occasions.
Durant les expéditions, les chasseurs rivalisaient entre eux en faisant valoir les performances de leurs lévriers, lesquels atteignaient plus vite le gibier, mieux ils étaient appréciés. Dans certains jeux, les éleveurs testaient aussi la vitesse de leurs canidés préférés.
Docile et fidèle à ses maîtres, le sloughi est très méfiant à l’égard des personnes qu’il ne reconnaît pas. Ces deux qualités, ajoutées à une certaine «élégance» toute naturelle, lui ont valu chez les Khenchelis une place bien à part dans les familles.
Selon les spécialistes, l’élevage d’un sloughi diffère beaucoup de celui des autres chiens de garde ou de chasse et exige un très haut degré d’hygiène et de soins sanitaires sans compter, bien sûr, une alimentation irréprochable.
Sa nourriture doit être, en effet, très saine et de faible teneur en amidon. Elle est généralement constituée de viandes, de dérivés du lait et de certaines... pâtisseries traditionnelles. Les quantités doivent être régulièrement contrôlées pour lui éviter la prise de poids, avertissent les connaisseurs.
«On ne peut ni vendre ni acheter un sloughi et c’est pourquoi il n’a pas de prix», affirme par ailleurs Amar, ancien éleveur de la région de Meyta, dans la partie saharienne de Khenchela, qui explique que pour acquérir un sloughi, il fallait en faire la demande auprès d’un éleveur et attendre que la femelle mette bas pour avoir le privilège de se faire offrir l’un de ses chiots, et l’offrir à son tour est tout simplement «prohibé».
Comme pour un vieux fusil, une jument de race ou pour tout autre bien précieux de la famille, on ne se défaisait jamais d’un sloughi, qui est ainsi transmis en héritage de père en fils. Comparé aux autres espèces canines, un sloughi de pure race a un «caractère noble et très affirmé», signale Maârouf, un autre éleveur, pour qui cet animal est très sensible et, pour ainsi dire, très raffiné : même affamé, il refuse de dévorer une bête morte ou de s’alimenter à proximité des ordures.
D’une anatomie fine et élancée avec toutefois des muscles secs et robustes, un sloughi se distingue aussi par une témérité telle qu’il ne recule jamais devant des animaux supposés mieux armés que lui comme le sanglier sauvage, le loup ou encore la hyène.
Son odorat, très développé, lui permet de traquer le gibier avec des performances inégalées et dès qu’il attrape un lièvre, une perdrix ou un renard, il ne manque jamais de ramener le butin directement à son maître. Considéré plus comme un «compagnon» que comme un chien de chasse, le sloughi est toujours récompensé et reçoit immanquablement sa part de gibier une fois la chasse terminée.
Confirmation finale du responsable de la chambre locale de l’agriculture: l’élevage du sloughi, comme d’ailleurs l’élevage équin, a pratiquement disparu de campagnes de Khenchela, notamment à cause de la disponibilité de moyens plus modernes de chasse et pour la garde des biens et des personnes.
Mais d’anciens membres de l’association locale d’équitation ne désarment pas et soutiennent qu’avec quelques efforts, il serait possible de réintroduire ces deux activités qui faisaient jusqu’à récemment encore la réputation et la fierté de Khenchela.
Agence


Source : http://www.lanouvellerepubliqu(...)

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Info du 02/04/2008
Algérie - opération d’abattage des chiens errants
Une opération d’abattage des chiens errants débutera ce mois-ci
« Trois grands sites sont concernés par le phénomène de la prolifération des chiens errants, à savoir El Mohgoun, Haï El Guetna et Haï El Akid Othmane, eu égard à l’importance du coût de l’opération qui est de 13 000 DA ».

Près de 70 chiens errants ont été abattus depuis le lancement de la première phase de l’abattage des animaux errants en mars dernier. « Initialement, nous avons visé trois grands sites concernés par le phénomène de la prolifération des chiens errants, à savoir El Mohgoun, Haï El Guetna et Haï El Akid Othmane, eu égard à l’importance du coût de l’opération qui est de 13 000 DA », apprend-on d’une source responsable à la commune. Les autorités locales ont procédé à la relance de cette campagne qui a été à l’arrêt depuis plus de trois années. En effet, la capture des chiens errants ne se faisait plus pour diverses raisons, par exemple, le dosage du produit euthanasique utilisé auparavant pour l’élimination des chiens n’était pas concentré. Aussi, les capteurs des chiens conventionnés avec le BHC (Bureau d’Hygiène communal) ne disposaient pas d’autorisations pour l’utilisation des fusils de chasses qui leur ont été saisis durant la décennie noire pour des mesures sécuritaires.

Procédés inhumains

« Les animaux capturés sont enfouis dans la décharge publique de Haï Gourine. Quant à la méthode qui a été appliquée par le capteur, elle consiste en la préparation de la viande envenimée pour faciliter la mort de l’animal. D’ailleurs, les procédés utilisés auparavant pour l’élimination des chiens errants, jugés ‘’inhumains’’, ont été complètement abandonnés », dira notre source. Par ailleurs, nous apprenons que la deuxième phase de l’abattage des chiens errants débutera durant ce mois d’avril, dans le cadre de la lutte contre le phénomène de la rage à forte recrudescence en période estivale. La plupart des APC sont responsables de la prolifération des chiens errants, à défaut de l’application stricte du code communal, selon les vétérinaires de la DSA. Le bilan établi par l’EPH (Etablissement Publique Hospitalier) d’El Mohgoun au cours de l’année 2007 a démontré que les communes renfermant un nombre important de zones éparses, comme Gdyel, Béthioua, Aïn El Bia et Boufatis, sont les plus touchées par ce phénomène en raison de la prolifération des bergers qui utilisent les chiens pour la surveillance des bêtes. En effet, le SEMP (Service de Médecine Préventive) relevant de l’EPH a enregistré 250 cas de morsure d’animaux au cours de la même période, dont 188 morsures de chiens errants.

B. Linda

Source : El Watan

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Info du 05/04/2008
Canada - Air Canada devra accepter les animaux à bord

Toronto

Le transporteur Air Canada devra de nouveau accepter les animaux domestiques dans la soute à bagages de ses appareils à compter du 5 mai, aussi bien pour ses vols intérieurs qu'internationaux, suite à une décision de l'Office des transports du Canada (OTC).

Un porte-parole de l'agence, Jadrino Huot, a expliqué que les nouvelles politiques d'Air Canada étaient «déraisonnables» et qu'elles imposaient des «inconvénients importants» aux propriétaires d'animaux domestiques.

La décision a été rendue en réponse à une plainte déposée par Peter Griffiths, qui avait dû débourser une somme supplémentaire de 115 $ pour que son chien de six kilos soit expédié du Canada au Mexique à bord d'un aéronef cargo plutôt qu'à bord d'un avion passager. M. Griffiths avait aussi fait valoir qu'il était peu pratique pour lui de devoir déposer et cueillir son chien à une aérogare de fret.

À Toronto, le porte-parole d'Air Canada, Peter Fitzpatrick, a indiqué que le transporteur ne commentera pas le jugement, qu'il est à étudier.

Air Canada a commencé à interdire les animaux domestiques à bord de ses vols intérieurs en juillet dernier, obligeant les voyageurs à placer leur animal à bord d'aéronefs cargo. Son intention d'appliquer la même politique à ses vols internationaux a été bloquée par l'OTC l'été dernier.

Le transporteur avait expliqué avoir apporté ces changements pour pouvoir accommoder plus de bagages, en raison de l'augmentation du nombre de passagers et de la mise en place de nouvelles mesures de sécurité qui limitaient ce que ceux-ci pouvaient amener à bord de la cabine. Cette politique ne s'appliquait toutefois pas aux chiens-guides.

Dans son jugement, l'OTC explique que la décision d'Air Canada de cesser le transport des animaux et de leur cage pesant moins de 70 livres (32 kilos) comme bagages enregistrés était déraisonnable et qu'elle entraînait trop d'inconvénients pour les propriétaires d'animaux domestiques.

L'OTC a souligné que les vols cargo sont moins prioritaires, et que compte tenu de l'incertitude de leurs horaires, le propriétaire d'un animal pourrait ne pas savoir avec précision quand il est attendu à destination.

M. Huot a expliqué qu'Air Canada devra se plier à cette décision, mais qu'il pourra interjeter appel
devant la Cour fédérale.

En septembre 2006, Air Canada a aussi interdit les animaux domestiques à bord de la cabine, mais la décision de l'OTC ne touche pas cette politique.

Photo Patrick Sanfaçon, La Presse


Source : cyberpresse.ca

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Info du 05/04/2008
Djibouti - Campagne d'empoisonnement de chiens
361 carcasses de chiens ont été
incinérées à la décharge publique de Douda.

Ces canidés vagabonds ont été empoisonnés dans le cadre d'une campagne d'empoisonnement entreprise par la préfecture de Djibouti et la direction de l'Elevage. Cette campagne qui a commencé récemment dans la commune Ras Dika va s'élargir vers les autres arrondissements de la capitale. La prolifération de chiens errants constitue une menace permanente pour la population de la capitale et sa périphérie. De nombreuses attaques de bétail par des chiens ont d'ailleurs été signalées à plusieurs reprises du côté de pk12.

Livrés à eux-mêmes, infestés de tiques et agressifs, ces chiens sans maîtres représentent un danger permanent. D'où la décision de les euthanasier. Depuis le début de la campagne d'empoisonnement, le nombre de ces animaux errants a sensiblement diminué.

Les empoisonnements à la strichinine vont se poursuivre car les estimations des services concernés font état de plus de 4000 chiens errants. On est donc encore loin du compte.

OHA



Source : La Nation

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Info du 04/04/2008
Suisse - Valais -Permis canin bientôt obligatoire?


CHARLES MÉROZ
INITIATIVE POPULAIRE
Instaurer un permis pour tout nouveau maître, tel est le but d'une initiative officiellement lancée hier par l'Association valaisanne pour le respect du chien.

Nathalie Frizzi persiste et signe. Nullement découragée par l'échec survenu l'an passé à l'occasion de sa première tentative visant à l'introduction d'un permis pour chiens, la présidente de l'Association valaisanne pour le respect du chien (AVPRC) revient à la charge et annonce le lancement d'une nouvelle initiative populaire intitulée «Pour le respect et la protection du chien. Un permis pour détenir un chien» («Le Nouvelliste» du 29 mars 2008). «Nous voulons aujourd'hui faire prendre conscience à nos hommes politiques qu'un permis pour détenir un chien n'est plus une idée utopique irréalisable et trop chère, mais qu'il s'agit d'une des solutions pour régler le problème des chiens dangereux dans un souci de protection de toute une population. Avec notre initiative, le chien ne sera plus pénalisé pour l'irresponsabilité de son maître», a souligné Nathalie Frizzi hier en conférence de presse. La citoyenne des Agettes et ses collègues du comité d'initiative ont jusqu'au 31 mars 2009 pour recueillir les 5000 signatures requises.

Le texte officiellement présenté hier exige purement et simplement l'abrogation de l'article 24b de la loi d'application de la loi fédérale sur la protection des animaux du 14 novembre 1984, article postulant l'interdiction de douze races de molosses et imposant le port de la muselière. Cette loi, selon Nathalie Frizzi, «punit le chien et ne responsabilise pas le maître». En clair et pour rester simple, les initiantes revendiquent l'établissement d'un permis obligatoire pour toute nouvelle personne désireuse de devenir propriétaire d'un chien. Une exception est toutefois prévue pour les personnes de plus de 63 ans qui souhaitent devenir propriétaires d'un animal de petite taille.

Pourquoi cette limite d'âge fixée à 63 ans? Interrogée hier à ce propos, Nathalie Frizzi a répondu en substance que «63 ans, c'est l'âge moyen de la retraite pour un homme ou une femme. A partir d'un certain moment, on n'a plus forcément la force ou le caractère pour conduire un chien de grande taille». Reste dès lors à définir la notion de chien de grande, de moyenne ou de petite taille. Nathalie Frizzi ne semble pas s'en préoccuper. «Tout est défini dans la loi», s'est-elle empressée de préciser.

Une idée «copiée»


Hier, Nathalie Frizzi a montré les crocs contre la Société cynologique suisse coupable, selon elle, d'avoir «boycotté à l'époque notre première initiative et osé deux ans plus tard copier notre idée de permis pour en faire un brevet pour les propriétaires de chiens». Or, pour la présidente de l'AVRPC, «il est inadmissible de ne pas rendre ce brevet obligatoire». A ses yeux, «il n'y a que les propriétaires de chiens responsables qui le passent. Il faut retirer le brevet au profit de notre permis».

Les initiantes sont persuadées de pouvoir recueillir 5000 signatures dans les délais impartis. Pour ce faire, elles comptent sur les personnes qui se sont déjà manifestées favorablement l'an dernier et projettent plusieurs actions auprès de la population valaisanne.

Source : Edition Le Nouvelliste SA

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Info du 03/04/2008
Japon : Louer un chien pour une heure, un weekend

L'auteur du blog Tokyomango raconte sa découverte à Tokyo d'un magasin nommé "Puppy the World" qui loue des chiens à l'heure. De nombreuses races sont proposées à choix; chiwawas, labradors, papillons, cockers ou caniches et les prix varient entre Sfr 19 et Sfr 100 (pour la nuit).

Un concept similaire existe également aux USA, il s'agit de la chaîne FlexPetz, qui revendique être une option au chenil pour les chiens abandonés. Cet établissement propose la location de chiens à des citadins qui ne peuvent pas s'en occuper à plein temps. Il est possible de louer un chien à deux et se le partager par exemple le weekend, l'un le prenant le samedi, l'autre le dimanche. Ou une famille peut louer un chien pendant quelques semaines pour la période de vacances.

Des filiales de Flext Petz se trouvent à San Diego, Los Angeles et New York et des projets sont en cours pour ouvrir de nouvelles portes à Washington, Boston, Chicago, Tokyo et Londres.

Mais bémol au tableau pour l'ouverture de la filiale à Boston, l'Etat du Massachusetts vient d'introduire un projet de loi qui interdit la location d'animaux, comparant cette prestation à un "service d'escorte sur 4 pattes", "dévaluant les parties impliquées et promouvant le concept du non-engagement".

Source : http://tdg.ch

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Info du 03/04/2008
Canada - Une meilleure protection pour les animaux en Ontario
Le gouvernement McGuinty agit pour améliorer le bien-être des animaux

Des peines d'emprisonnement, des amendes et une interdiction à vie d'être propriétaire d'un animal sont parmi les changements que le gouvernement provincial propose afin de mieux protéger les animaux en Ontario, y compris ceux qui sont dans des zoos.
Le projet de loi qui sera présenté aujourd'hui fera, s'il est adopté, des lois de l'Ontario relatives à la protection des animaux les plus rigoureuses du Canada. Les changements proposés constituent la première révision en profondeur de la Loi sur la Société de protection des animaux de l'Ontario depuis sa présentation, en 1919.

Les principaux changements dans le projet de Loi ontarienne de 2008 sur le bien-être des animaux sont les suivants :

- Protéger les animaux grâce à des peines, dont l'emprisonnement, des amendes et une interdiction à vie d'être propriétaire d'un animal pour ceux et celles qui maltraitent les animaux.
- Exiger des vétérinaires qu'ils signalent tout soupçon de mauvais traitement et de négligence, et les protéger s'ils le font;
- Autoriser la Société de protection des animaux de l'Ontario à inspecter les lieux où les animaux sont gardés pour l'exhibition, le spectacle, l'hébergement, la location ou la vente.

Le projet de loi se fonde sur le travail du député provincial de Willowdale, David Zimmer, en vue de réglementer les zoos itinérants. En 2007,
la Société mondiale pour la protection des animaux a octroyé à M. Zimmer le prix spécial de leadership dans le domaine du bien-être des animaux.

CITATIONS

"Nous ne tolérerons pas la maltraitance des animaux, y compris ceux qui sont dans des zoos itinérants. Si le projet de loi est adopté, il offrira la meilleure protection pour les animaux au Canada", a affirmé le ministre de la Sécurité communautaire et des Services correctionnels, Rick Bartolucci.
"Nous sommes ravis que le gouvernement ait reconnu le besoin de moderniser et de durcir les lois sur le bien-être des animaux et de créer des peines pour les personnes reconnues coupables d'un acte de maltraitance", a précisé la directrice générale de la Société de protection des animaux de
l'Ontario, Kate MacDonald.

FAITS EN BREF
- La Société de protection des animaux de l'Ontario enquête sur environ 15 000 plaintes pour cruauté contre des animaux chaque année.
- On estime que le nombre de zoos en Ontario dépasse les 50, ce qui est plus que toutes les autres provinces prises ensemble.

POUR EN SAVOIR PLUS

Pour en savoir plus sur le bien-être des animaux en Ontario
(http://www.mcscs.jus.gov.on.ca(...)).
Pour en savoir plus sur la SPAO (http://www.ontariospca.ca/).


Source : http://www.newswire.ca

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Info du 08/04/2008
Canada - Chiens contre facteurs

Afin de contrer la hausse des attaques canines contre ses facteurs, Postes Canada se lance à la recherche d'une nouvelle arme pour neutraliser les chiens agressifs.

La société d'État a en effet lancé un appel d'offres le 13 mars pour trouver une solution de rechange à son pulvérisateur de poivre de Cayenne censé garder les chiens à distance.

Quelque 300 incidents liés à des attaques d'animaux - dont plus de la moitié au Québec - sont survenus au pays l'an dernier ( voir tableau).

Et malgré d'incessantes campagnes de sensibilisation auprès de ses clients, Postes Canada note une hausse des cas de morsures de chien depuis quelques années.

«Le pulvérisateur pour chien n'est pas efficace. Puisqu'une morsure en est une de trop, nous recherchons une alternative à ce produit», explique la porte-parole Christiane Ouimet.

Les attaques de chiens étant rapides, les facteurs ne réussissent pas à dégainer leur bombonne assez rapidement, dit-elle.

Le vent joue aussi de mauvais tours aux facteurs. «Le poivre de Cayenne peut rater sa cible ou atteindre le facteur plutôt que le chien», affirme Mme Ouimet.

Il n'y a pas que les chiens qui causent des problèmes. Dans l'ouest du pays, ce sont les ours qui inquiètent les facteurs.

Sifflet

Postes Canada ignore pour l'instant quel autre moyen pourrait être utilisé pour dissuader les chiens de s'attaquer aux facteurs. Un sifflet à ultrasons pourrait cependant faire l'affaire, nous dit-on.

Il va sans dire que le syndicat des employés de Postes Canada voit les choses d'un bon oeil. «Les canettes ne sont pas efficaces. Elles ne sont pas à porter de main et sont difficiles à utiliser rapidement. Le froid et le vent compliquent aussi leur utilisation», dit Louis Langlois, du syndicat des travailleurs des postes.

M. Langlois affirme que ses membres sont par mi les employés les plus accidentés du monde du travail au Canada. «Les attaques et les morsures ne causent pas seulement des blessures physiques, elles causent aussi des blessures psychologiques», rappelle-t-il.

Il y a 15000 employés de Postes Canada au Québec dont 5 464 facteurs (22 514 facteurs au pays).

Postes Canada traite près de 4 000 000 envois par jour. Plus de 11 milliards d'envois ont été traités l'an dernier au pays.

INCIDENTS LIÉS AUX CHIENS AU QUÉBEC

2007 . . . . . . . . . . . . . . . . .67
2006 . . . . . . . . . . . . . . . . .66
2005 . . . . . . . . . . . . . . . . .45

Source : Postes Canada


Photo Le Journal - Martin B.
Source : canoe.ca

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Info du 06/04/2008
Monaco - Exposition canine : les dessous d'un concours de beauté


8 h 30 : « Ha, tu vas être propre...», soupire Virginie, fraîchement arrivée des Arcs avec son break. À ses pieds, Velka, 3 ans, « fait sa belle », il parait. Déjà souvent primés, 34 kilos d'élégance slave, fourrure blanche et miel, sont alanguis sous un chapiteau de Fontvieille à la gloire de la perfection canine. Si si... C'est son sixième lévrier russe Barzoï. « Ce sont des chiens-chats, indépendants comme moi », explique cette Varoise de 38 ans qui tient une pension de chevaux et défile avec ses amis à crocs et poils depuis 20 ans. Une passion dont l'objectif est assumé : « Gagner ! Et promouvoir la race. Les prix font monter la côte des chiots. Il faut compter 1 000 e ». On devine aussi la vertu sociale, « quand on se retrouve entre gens de Barzoï ». Justement, Boris et Taga, rivaux de Velka somnolent à deux pas.

Du gel pour affiner la taille

11 h : Bon, il est temps de se refaire une beauté. Rouge à lèvre pour la maîtresse, bon coup de brosse pour la chienne. Sans oublier l'astuce minceur, un brin de gel pour affiner sa taille. « Présentée enrobée m'a dit le juge au concours de Fréjus il y a quinze jours...», rigole Virginie. Verdict ? 5 kilos en trop ! La miss est aux croquettes light depuis. Dure la vie de mannequin... En douce, vite une lichette d'un fond de café pour stimuler cette « momolle » avant l'entrée en piste. Pas d'ambiguïté pour la jeune femme. « Mes chiens ne sont pas mes enfants ! Ils dorment dehors ». N'empêche, la belle enfile son habit de scène, une chaîne en or, et nous fait ses yeux de biche. « Il faut que le chien joue le jeu. S'il n'a pas envie, il se traînera comme une chaussette. Elle, adore les applaudissements ».

Le stress monte d'un cran

Mais avant la ola, un petit entraînement s'impose. Le tandem pique alors un ou deux sprints à l'extérieur alors que le stress monte d'un cran. Malgré l'enjeu peu olympique. « Il n'y a que trois Barzoï, je préfère quand il y a plus de concurrence ».

12 h 30. Justement, les deux rivaux sortent du ring. Trop maigre, trop frisé, trop vulg... Hop, le brassard 858 pose un petit bisou sur la truffe russe avant d'affronter les projecteurs. La « présentation » d'abord. Appuis fermes, museau hautain, oeil vif. Le juge palpe les épaules, tâte le dos, examine les dents. Le couple s'élance ensuite pour quelques foulées de stars. Cheveux au vent et queue en panache. Les deux complices décrocheront le graal ! Le CACIB, le certificat d'aptitude au championnat international de beauté ! Émotion. Car c'est une première. La gagnante boit un coup dans sa gamelle. Et sa maîtresse fait exploser sa joie. « C'est bien ma fifille !!! ».

Gaëlle A.
Monaco-Matin
Source : http://www.monaco.maprincipaut(...)

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Info du 16/04/2008
30 millions d'Amis : Chine : la Fondation agit de l’intérieur !
Communiqué -

Ours mutilés, chiens et chats tués ou dépecés vivants, zoos insalubres… La Chine reste l’enfer sur terre pour les animaux. Les combats doivent désormais être menés sur le terrain.

Appel au boycott, pétitions… Dans le combat qui s’organise entre l’Occident et l’Empire du Milieu à la veille des Jeux Olympiques qui se tiendront à Pékin en août prochain, chacun fourbit ses armes et arbore sa stratégie.

La Fondation 30 Millions d’Amis a d’ores et déjà – à de très nombreuses reprises – dénoncé tous les actes de cruauté perpétrés dans cette région du monde à l’encontre des populations et des animaux. Et elle continuera de le faire chaque fois que cela sera nécessaire. Pour autant, elle a acquis la conviction que vociférer ou prêcher dans le désert n’amenait aucun résultat tangible, sinon à se donner bonne conscience. Désormais, c’est sur place qu’il faut agir. Concrètement. Efficacement. Pour cela, la Fondation à renforcé ses liens avec la fondation Animal Asia et lui a débloqué un budget exceptionnel de 20 000 euros. Présidée par la courageuse et téméraire Jill Robinson, cette association lutte depuis une dizaine d’années en Chine pour la protection animale (TMA n°250) et gère un refuge de 10 hectares dans la province du Sichuan.


Grâce à ce soutien financier, Jill Robinson va pouvoir poursuivre ses négociations – ô combien difficiles, mais indispensables – avec les autorités chinoises et son long combat pour les animaux. Parce que les actes valent souvent plus qu’un long discours.

Source : Fondation 30 Millions d'Amis

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Un bestiaire de plâtre et de métal entre au musée Éric Biétry-Rivierre

Les meilleures œuvres des artistes animaliers du XIXe et du début du XXe siècles sont à Roubaix.
Le premier chat de La Piscine musée d'art et d'industrie de Roubaix s'appelle Chagall. Il a été adopté lors de la précédente exposition consacrée aux céramiques de l'auteur du plafond de l'Opéra de Paris. Le second ne porte pas encore de nom mais gageons que les habitués du lieu lui en trouveront un rapidement: ils l'adorent au moins autant que la centaine de pièces d'art animalier créées entre 1850 et 1914.

Elles sont rassemblées ici en attendant l'ouverture, à l'automne prochain, au Musée d'Orsay, d'un espace dédié à ce genre qui, s'il ne date pas d'hier, a acquis ses lettres de noblesse à cette époque. Forte des chats romantiques de Baudelaire et des lions cruels de Delacroix, la seconde moitié du XIXe hissera l'animal dans les arts plastiques comme un sujet aussi noble que l'homme.


Une célébration des espèces

Les chevaux étaient déjà indispensables à la grande peinture militaire de Gros ou de David comme aux plus puissantes statues des rois, les chiens couraient déjà en meute dans les scènes de chasse classiques. Quant aux naturalistes qui inventoriaient la faune depuis Buffon, ils inventaient au même moment le zoo moderne.

Contexte propice à une observation et une célébration plus complète des espèces les plus variées. Des girafes que l'on découvre alors (les pattes de ces animaux formées dans un plâtre de Bugatti vers 1907 évoquent le style d'un Giacometti). À l'improbable Marabout tenant un caïman dans ses pattes, bronze de Frémiet (1850) d'une inquiétante étrangeté. En passant bien sûr par les formes épurées, splendides, de Pompon pour l'ours blanc, le coq, la grue cendrée… Animaux aux flancs miroir, devenus objets, presque formes pures et qui, en attendant, saturent les motifs de l'Art nouveau (Tête de faisan de Lalique, assiettes de faïence de Rousseau, subtile inspiration japonisante pour le Coq de Bracquemond, diaphane coupe de corne sculptée en forme de libellule par Hamm).

Auparavant, ils auront été prétexte à de multiples et invraisemblables effrois : qui d'autre à part Barye, avec qui Delacroix disséquait des cadavres de fauves, a vu un Crocodile dévorant une antilope (1845)? Qui d'autre à part Navellier a vu un Éléphant piétinant des pélicans?

Mais à l'usage on comprendra bientôt que tout animal est un être doué de sentiments. Au point que l'homme s'y retrouve. L'étude de Bartholdi pour son Lionde Belfort a la même force que le buste d'Hugo par Rodin. Lors de sa première présentation en 1850, le Chien blessé, bronze de Frémiet, parut être un hommage aux révolutionnaires martyrs de 1848. Quant à Steinlen, sans doute le meilleur admirateur de chats qui soit, ses dessins, huiles, plâtres et bronzes expriment cette distance aristocratique qui nous fascinent depuis les pharaons.
«Le Zoo d'Orsay», jusqu'au 25 mai à La Piscine, 23 ,rue de l'Espérance, 59100 Roubaix. Tél.:0320692360. http://roubaix-lapiscine.com Catalogue Gallimard, 214p., 39€.

Source : LeFigaro.fr

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Ile Maurice - Pour les amis des animaux

Vous adorez les animaux et vous avez toujours eu envie de faire de votre passion un métier à part entière ? L’occasion de vous initier aux rouages du métier de vétérinaire vous est donnée avec l’équipe de Paws. En effet, dans le cadre de la Semaine internationale des animaux (du 19 au 26 avril), Paws désire sensibiliser le public à ce métieret le promouvoir auprès des jeunes. Cette manifestation aura lieu au Caudan Waterfront, le 19 avril de 10 heures à 13 heures. Par ailleurs, si vous avez toujours voulu posséder un animal de compagnie, la possibilité d’adopter des chats ou des chiens sera à votre portée. L’adoption pour un chien (comprenant soins, vaccins, vermifuge, collier et laisse) est de Rs 500, et de Rs 300 pour les chats. Renseignements au 631.23.04 ou au 727.53.65.



Source : lasentinelle.mu

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Info du 17/04/2008
"Germain des loups" nous a quitté
Communqiue de : http://www.loup.org/spip/Germa(...)

C’est avec une grande émotion que nous venons d’apprendre le décès de Germain Fourneron à l’age de 75 ans.

L’aventure de Germain, ancien photographe, et passionné par la faune sauvage, a commencé en 1976, lorsqu’il acquière son premier louveteau. Il récupère ensuite plusieurs loups dans divers parcs et zoo en manque de place (à l’époque le certificat de capacité n’étant pas exigé), jusqu’à en réunir plus de 18 dans un enclos qu’il crée en 1986.

"Je veux réhabiliter leur image aux yeux des hommes, ennemis héréditaires du loup, dont la mémoire garde le souvenir déformé, des récits de terreurs et des légendes passées où le loup représentait le mal" ; disait’il dans des élans de sagesse amérindienne.

Situé près d’Aubusson dans la Creuse, L’enclos des loups de Germain, est un endroit à part, inclassable, hors du temps et des normes, fait de brics et de brocs.

Pendant plus de vingt ans, Germain va vivre là, au milieu de ses loups, de ses chiens et de ses chevaux ; sans eau ni électricité, dans une caravane délabrée puis dans une cabane de bois. Il va tout sacrifier pour sa passion, sa santé se dégrade, sa maigre pension est engloutie, les dettes s’accumulent, l’administration le menace de lui retirer ses loups (la réglementation ayant évoluée)...

Parfois aidé par quelques associations ou bénévoles, pour tenter de mettre l’enclos aux normes, soigner les bêtes, trouver des placements ; jamais il n’acceptera de se séparer des loups, même pour le parc animalier de Chabrière quasiment créé pour les accueillir...

Ceux qui ont rencontré Germain, se souviendront peut être de lui comme d’un ermite marginal et misanthrope, moi je garderais le souvenir d’un vieil homme attachant qui a voulu vivre sa passion, en compagnie de ses loups jusqu’aux derniers instants.

Adieu Tchiye Sunkmanitu
Source : http://www.loup.org

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Info du 17/04/2008
Burkina Faso - mort mystérieuse de 23 boeufs et de chiens

BOBO DIOULASSO (Burkina Faso)
Au total, 23 boeufs d'un même propriétaire sont morts dimanche dernier dans l'ouest du Burkina Faso.

Ces boeufs ont brouté de l'herbe dans un pâturage autour du village de Banankélédaga, situé à 15 km à l'ouest de Bobo- Dioulasso, a-t-on appris mercredi de sources dignes de foi.

Quelques petits ruminants et des chiens ont trépassé ou vomi après avoir consommé le contenu des viscères et de la viande des animaux morts, ont confié des habitants du village de Banankélédougou.

Aux yeux des populations, les animaux auraient consommé un produit chimique très toxique contre les termites dénommé "furadan ", utilisé certainement à côté de l'endroit où les animaux sont allés paître.

Les services de la brigade territoriale de gendarmerie et de la santé animale, qui ont fait les constatations d'usage lundi, ne se sont pas encore prononcés sur les causes du drame.

Déconseillant aux populations la consommation de la viande des animaux morts, les premiers responsables de la commune de Bama, ont ordonné l'incinération des carcasses.

La Brigade territoriale de gendarmerie de Bama, qui a dit détenir un "suspect sérieux" sans plus de commentaire, poursuit l'enquête.

Source : Agence de Presse Xinhua

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