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Cyn111

Que pensez-vous du inbreeding ?

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Le titre dit tout !
J'ai une question pour vous !
Que pensez-vous du fait de croiser les parents avec les enfants, les frères et soeurs pour développer une lignée ?
On en jase et après, je fais une synthèse pour vous !
Si vous avez des articles à apporter pour appuyer vos dires, allez-y !

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Moi c'est surtous des questions qui s'en suits... pour les commentaires c'est juste dégeulasses lol...

Mais pourquoi j'entent (s'en fondement) que pour un chats il n'y a pas de problème ... chez les rats c'est dangereux... chez l'humain ca crée beaucoup de diformations... mais pourquoi chez l'un c'est ok mais chez l'autre non?... A la base la génétique c'est le même principle...non?

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Excuse moi Cloud, mais pour les rongeur, c'est sûr que c'est loin d'être l'idéal et je t'appuie ds ton opinion, Mais les rongeur transgénique de labo vive très bien et tu a le droit è huit génération avant de voir des signe de faiblesse quel conte. Mais quand tu veux faire resortir quelque chose parfois il faut avoir recourt à ce genre de pratique.

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Personellement, je n'y vois aucun inconvénient et je crois que on le voit depuis longtemps... Rares sont les tares génétiques (du moins visibles) chez les bébés produits de inbreeding.

De plus ce n'est pas impossible que dans leur habitat naturel que certains reptiles se reproduisent entre eux... prenez par exemple les espèces insulaires qui sont pratiquement tous reliées de près ou de loin...

Donc chez moi à moins de preuves contraires, NO PROBLEM! Wink

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hey Cyn , j'me suit pas prononcer mais j'attendait en maudit ta synthese sur le inbreeding

ca m'interresse vraiment, peut tu la poster ?

merci Wink

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elchef a écrit:
hey Cyn , j'me suit pas prononcer mais j'attendait en maudit ta synthese sur le inbreeding

ca m'interresse vraiment, peut tu la poster ?

merci Wink


Lol moi aussi je me suis prononcer pour que plusieur personne en parle et qu'on est ca thèse plus rapidement hehehe What a Face

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Ben, y'a personne qui a participé... (Bon, ok Cloud, t'as participé). Pour les autres... Je vois pas pkoi je donnerais tout cru ds le bec là... Vous pensez que ça me prendrait combien d'heures me monter un dossier avec des articles scientifiques pour pas que quelqu'un qui connaît rien à la génétique vienne essayer de planter ce que je vais dire ?
Anyway, j'ai plus aucune obligation envers cette section...
Je vais probablement le faire un de ces quatre, mais pas là, j'ai franchement pas le temps.

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Le principe des maladies génétiques est souvent associée à des gènes recessifs, donc les deux parents doivent être porteur et même après cela, seulement la moitié des jeunes seraient porteur du tare en question. Je n'ai plus ou moins de bonnes ou mauvaises opinions; pour des optiques de couts, de pureté dans une forme x ou couleur; le inbreeding est très efficace bien sur mais selon moi on devrait aller chercher du sang neuf après une couple de génération et à chaque idéalement pour éviter que les problèmes ne surgissent .

Il est très simple de garder par exemple toutes les plus belles femelles d'une portée et d'aller ensuite chercher un beau mâle qui conviendrait bien à ces femelles et le tour est joué.

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gyzmo a écrit:
Le principe des maladies génétiques est souvent associée à des gènes recessifs, donc les deux parents doivent être porteur et même après cela, seulement la moitié des jeunes seraient porteur du tare en question. Je n'ai plus ou moins de bonnes ou mauvaises opinions; pour des optiques de couts, de pureté dans une forme x ou couleur; le inbreeding est très efficace bien sur mais selon moi on devrait aller chercher du sang neuf après une couple de génération et à chaque idéalement pour éviter que les problèmes ne surgissent .

Il est très simple de garder par exemple toutes les plus belles femelles d'une portée et d'aller ensuite chercher un beau mâle qui conviendrait bien à ces femelles et le tour est joué.


Totalement en accord avec ca...le inbreeding est défois nécésaire voir incontournable, mais fait a longue échelle on prend des chances. Mais fait a courte échelle et en introduisant du sang neuf je n'y voie que du bénéfique! Wink

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ca minteresse , jparticiperais bien mais je connais vraiment rien en genetique ...

Cyn a écrit:
... Je vois pas pkoi je donnerais tout cru
ds le bec là... Vous pensez que ça me prendrait combien d'heures me
monter un dossier avec des articles scientifiques pour pas que
quelqu'un qui connaît rien à la génétique vienne essayer de planter ce
que je vais dire ?
Anyway, j'ai plus aucune obligation envers cette section...
Je vais probablement le faire un de ces quatre, mais pas là, j'ai franchement pas le temps.


thumright

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Le ''inbreeding'' est pratiqué depuis longtemps avec les reptiles ... est-ce bon ???

Noter que les individus qui se reproduisent entre eux risque d'engendrer des individus consanguins ou homozygotes. L'espèce aura alors une diversité génétique appauvrit et un potentiel évolutif moins grand (diminué).Aussi, la consanguinité est connue pour provoquer l'apparition de maladies génétiques. Les individus hétérozygotes résistent mieux aux maladies. On voit les effets sur les humains, les chats, les chiens ... pourquoi pas les serpents (dans quelques années) ???

intéressant comme sujet cyn

J'attends ta p'tite synthèse Very Happy

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Calomel a écrit:
Le ''inbreeding'' est pratiqué depuis longtemps avec les reptiles ... est-ce bon ???

Noter que les individus qui se reproduisent entre eux risque d'engendrer des individus consanguins ou homozygotes.


Oui mais ceci sur plusieurs génération..c'est rare qu'il y ai une tare génétique qui surviens a la première ou 2ieme génération.
Donc si du nouveau sang est introduit assez tot dans l'exercice du inbreeding (2-3ieme génération) il risque d'y avoir pas mal moins de trouble génétique et pas mal plus de diversité sanguine non?

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Pour ce qui est du potentiel évolutif moins grand, le concept ne s'applique pas pour la garde en captivité puisque les sujets reproducteurs sont choisis par le breeders pour des raisons d'aspect physique et aucunement du" c'est moi le plus fort...je baise tout ce qui bouge" Pas tout à fait ça mais on se comprend Razz

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Manu a écrit:
Calomel a écrit:
Le ''inbreeding'' est pratiqué depuis longtemps avec les reptiles ... est-ce bon ???

Noter que les individus qui se reproduisent entre eux risque d'engendrer des individus consanguins ou homozygotes.


Oui mais ceci sur plusieurs génération..c'est rare qu'il y ai une tare génétique qui surviens a la première ou 2ieme génération.
Donc si du nouveau sang est introduit assez tot dans l'exercice du inbreeding (2-3ieme génération) il risque d'y avoir pas mal moins de trouble génétique et pas mal plus de diversité sanguine non?


Tout à fait d'accord ... sur 2-3 générations les risques de tares sont très minimes ... juste assez pour avoir de belles phases (Bref, j'imagine que ça doit dépendre de la tare génétique) De plus, les éleveurs (vous) s'échangent entre eux leurs animaux (leur mâle et femelle) alors .....

Mais disons que je reproduis des cornsnakes ... et que je ne dispose que d'un mâle et d'une femelle ... je les accouple ...ensuite, les petits entre les petits et encore avec les parents et encore les petits ... x fois sur +++ générations!!! Les derniers ne feront pas des enfants forts C'est comme l'histoire des rois de France et des saguenayens qui ont pleins de tares génétiques ...

gyzmo a écrit:
Pour ce qui est du potentiel évolutif moins grand, le concept ne s'applique pas pour la garde en captivité puisque les sujets reproducteurs sont choisis par le breeders pour des raisons d'aspect physique et aucunement du" c'est moi le plus fort...je baise tout ce qui bouge" Pas tout à fait ça mais on se comprend


Je ne crois pas au concept ''loi du plus fort'' (th. de Darwin) et en ce qui concerne les animaux en captivités, justement, ils sont (ou peuvent être) soumis à l'absence d'échanges de gènes entre individus et on condamne ainsi le ''mélange'' génétique des populations ... Ce ''mélange'' génétique est un phénomène indispensable à une espèce afin de garder son potentiel évolutif !!! Alors je crois qu'au contraire, que c'est applicable dans ce cas. Mais bon, toute théorie est bonne jusqu'à preuve du contraire ... dans deux ans (ou moins) on va dire le contraire ... lolll Laughing

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Calomel a écrit:

C'est comme l'histoire des rois de France et des saguenayens qui ont pleins de tares génétiques ...


LaughingLaughing J'aimerai bien que quelqu'un me donne un exemple clair, ou une genre d'étude qui montrerai justement quelle genre de tares génétique on peut s'attendre (au saguenay dissons) !!!

Calomel a écrit:

Je ne crois pas au concept ''loi du plus fort'' (th. de Darwin)


Je dois dire que moi non plus, oui en nature on voie souvent l'emphase qu'a la ''loi du plus fort'' (Prédateur VS proie etc...) mais on oublie souvent qu'il y a aussi des espèces qui utilise plus la ruse ou l'acharrnemant et qui selon moi sont souvent ''+ fort'' (Ex: Les fourmis - les tiques (hein Marc?) - les Arachnides - et j'en passe...) que certaine autres espèces..., advenant une catastrophe majeure ceux-ci aurai pas mal plus de chance de survis que les espèces dite ''forte/Dominante'' Wink

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Citation :
J'aimerai bien que quelqu'un me donne un exemple clair, ou une genre d'étude qui montrerai justement quelle genre de tares génétique on peut s'attendre (au saguenay dissons) !!!


Code:
Thomas Hudson, directeur du Centre du génome à l'Université McGill et chercheur de l'Institut de recherche du CUSM.

La région du Saguenay - Lac-Saint-Jean est l'un des endroits les plus magnifiques du Québec. Des paysages d'une beauté à couper le souffle, des escarpements d'où l'on peut voir jouer les bélugas et les baleines, bref une nature magnifique. Pour un grand nombre des habitants toutefois, la vie est moins belle que la nature. Cette population a plus de risque d'être visée par l'un des cinq désordres génétiques qui touchent la région et qui causent une foule de problèmes de santé, notamment le retard mental, la paralysie motrice et même la mort.

Mais les chercheurs médicaux qui étudient ces désordres font des progrès remarquables. Ils ont maintenant identifié les cinq gènes mutants responsables des maladies qui touchent le Saguenay - Lac-Saint-Jean.

LA DERNIÈRE PERCÉE
Annoncée en janvier, la plus récente découverte est le fait d'une équipe internationale de chercheurs, dont certains appartiennent à l'Institut de recherche du Centre universitaire de santé McGill (CUSM). Les chercheurs ont identifié le gène associé à la variante canadienne-française du syndrome de Leigh, connu sous le nom d'acidose lactique. Les résultats ont paru dans la revue Proceedings of the National Academy of Sciences.

Le syndrome de Leigh entraîne un taux de mortalité élevé chez les nourrissons et les enfants de la région du Saguenay - Lac-Saint-Jean. Ces enfants souffrent de retard mental, d'atonie musculaire et d'une accumulation dangereuse d'acide lactique toxique dans le sang, qui mène au coma et à la mort. Le taux des porteurs du gène défectueux dans la région est de 1 cas pour 23 résidants et la maladie frappe 1 nouveau-né sur 2 000 naissances vivantes. Il y a actuellement 10 personnes atteintes du syndrome, dont l'âge varie entre 8 mois et 21 ans. Plusieurs vont mourir avant l'âge de 5 ans.

« Il est encourageant de trouver enfin le gène de cette maladie de l'enfant dévastatrice », mentionne John Rioux, du Center for Genome Research au Whitehead Institute du Massachusetts Institute of Technology, chercheur principal de l'étude.

Cette découverte sera bénéfique de manière immédiate et importante pour les familles du Saguenay - Lac-Saint-Jean. « L'identification du gène permettra aux parents de savoir s'ils risquent de donner naissance à des enfants atteints de cette maladie mortelle », a expliqué Thomas Hudson, directeur du Centre du génome de Montréal à l'Université McGill, chercheur de l'Institut de recherche du CUSM et co-auteur de l'étude. « On prévoit désormais offrir le dépistage génétique de ce désordre pour que les couples puissent prendre une décision éclairée au moment d'avoir des enfants. »

Les habitants de la région du Saguenay - Lac-Saint-Jean sont exposés à cinq maladies génétiques du fait que la plupart descendent d'un petit nombre de familles fondatrices, ce qui signifie un pool génique restreint. Le problème est d'autre part intensifié par l'isolement géographique.

Les scientifiques ont commencé à s'intéresser au syndrome de Leigh au début des années 1990. Ils savaient que ce défaut génétique cause un dysfonctionnement des mitochondries, minuscules usines de production d'énergie dans la cellule. En colligeant et en étudiant des données provenant de trois nouvelles bases de données génomiques (contenant l'information génétique), ils ont identifié un gène potentiellement responsable du dysfonctionnement. Ils ont ensuite comparé les caractéristiques de ce gène chez des patients atteints du syndrome de Leigh et chez des personnes non atteintes. Ils ont découvert que les patients souffrant du syndrome de Leigh portaient une version mutée du gène. Ces conclusions ont fait la preuve que ce gène, nommé le LRPRRC, était responsable de la maladie.

« Les bases de données génomiques changent notre méthode de recherche des causes des maladies », dit Pierre Lepage, coauteur de l'étude, attaché à l'Université McGill et au Centre d'innovation de Génome Québec. « Les scientifiques pourront utiliser ces outils pour accélérer la découverte des gènes pathologiques d'autres maladies, comme le diabète et la maladie cardiaque. »


Ces maladies sont récessive tout comme l'albinisme, les deux parents sont porteurs mais non malades, et il faut que l'enfant soit assez malchanceux pour avoir les deux gènes. 1 chance sur 4 mais la chance que les deux parents soient porteurs doit être d 1sur des milliers.

Citation :
Je dois dire que moi non plus, oui en nature on voie souvent l'emphase qu'a la ''loi du plus fort'' (Prédateur VS proie etc...) mais on oublie souvent qu'il y a aussi des espèces qui utilise plus la ruse ou l'acharrnemant et qui selon moi sont souvent ''+ fort'' (Ex: Les fourmis - les tiques (hein Marc?) - les Arachnides - et j'en passe...) que certaine autres espèces..., advenant une catastrophe majeure ceux-ci aurai pas mal plus de chance de survis que les espèces dite ''forte/Dominante''


Les principes de l'évolution de Darwin sur les espèces et les lois s'y appliquant ne s'appliquent que pour les individus de la même espèce vivant dans le même milieu.

Citation :
Je ne crois pas au concept ''loi du plus fort'' (th. de Darwin) et en ce qui concerne les animaux en captivités, justement, ils sont (ou peuvent être) soumis à l'absence d'échanges de gènes entre individus et on condamne ainsi le ''mélange'' génétique des populations ... Ce ''mélange'' génétique est un phénomène indispensable à une espèce afin de garder son potentiel évolutif !!! Alors je crois qu'au contraire, que c'est applicable dans ce cas. Mais bon, toute théorie est bonne jusqu'à preuve du contraire ... dans deux ans (ou moins) on va dire le contraire ... lolll


Il y a tout de même échange de gène en captivité entres les individus qu'on accouple et tout les frères et soeur n'ont pas le même bagage génétique. Et pourquoi vouloir garder un potentiel évolutif pour les animaux en captivité, la seule évolution qu'ils ont est celle que les reproducteurs veulent bien leur donner. Cela va aller dans le sens des dimensions et des couleurs pour les reptiles en général. imagine de laisser un caniche pas de poil dans le bois...il trouvera pas qu'il a évolué ben ben dans le bon sens en se comparant avec les loups...

J'aimerais Calomel que tu développes un peu sur ta définition d'un potentiel évolutif??? Par simple curiosité, et pourquoi tu sembles y accorder une si grande importance pour les spécimens en captivité. Pour ma part je crois qu'il doit y avoir de la variabilité génétique pour éviter des problèmes sans plus.

Sim

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gyzmo a écrit:

Il y a tout de même échange de gène en captivité entres les individus qu'on accouple et tout les frères et soeur n'ont pas le même bagage génétique.

J'aimerais Calomel que tu développes un peu sur ta définition d'un potentiel évolutif??? Par simple curiosité, et pourquoi tu sembles y accorder une si grande importance pour les spécimens en captivité. Pour ma part je crois qu'il doit y avoir de la variabilité génétique pour éviter des problèmes sans plus.

Sim


Tous à fait Sim, je disais justement, qu'il y avait échange entre ''vous éleveurs'' et que les tares génétiques sont peu probable ...

Il va me faire plaisir de développer ... présentement, il est 6h38 du matin ... je dois quitter et je ne reviens pas avant ce soir, très tard ... Je vais te répondre demain promis Smile

Je tiens à souligner tes derniers mots, qui résume bien ce que je crois et ce que croit la majorité d'entre nous thumright

ciao et bonne journée à tous !!!!

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gyzmo a écrit:

J'aimerais Calomel que tu développes un peu sur ta définition d'un potentiel évolutif??? Par simple curiosité, et pourquoi tu sembles y accorder une si grande importance pour les spécimens en captivité. Pour ma part je crois qu'il doit y avoir de la variabilité génétique pour éviter des problèmes sans plus.
Sim


Oké, oké je l'avoue je suis incapable d'attendre jusqu'à demain ... c'est un sujet qui me passionne et auquel je tiens particulièrement !!!

Premièrement, il faut définir ''qu'est-ce qu'une population ?''

Une population c’est un ensemble d'individus appartenant à la même espèce, susceptibles de se reproduire, occupant une aire géographique commune et jouant un rôle particulier dans un écosystème.



Deux critères sont fondamentaux à cette définition:

1. Critère d'ordre systématique; que je n’élabore pas, car dans l'ensemble, la majorité des animaux sont concernés.

2. Critère d'ordre biologique; qui est la possibilité de s'apparier (de se croiser) et donc d'assurer le ''brassage'' des gènes d'une génération à la suivante, faisant des populations (naturelles) des individus adaptifs et évolutifs. Il faut que je souligne que dans la nature, les espèces sont organisées en plusieurs populations (ex : 75 groupes de 25 cornsnakes)

Les 2 autres critères suivants sont essentiels aux 2 critères précédents:

3. Critère d'ordre écologique (même prédateurs, alimentation, parasites...etc.) = la même fonction dans l'écosystème.

4. Critère d'ordre géographique qui se divise entre deux situations opposées;

A. Les populations fermées, ces populations n'échangent plus les gènes avec les autres populations de la même espèce ... Donc, en étant fermées elles ne participent plus au ‘’POOL’’ de gènes de l’espèce auxquelles elles appartiennent. Donc, les populations sont susceptible d'évoluer indépendamment les unes des autres et avec le temps diverger !!

B. Les populations ouvertes, au contraire, continuent à échanger des gènes entres les populations de la même espèce et constituent une ''communauté'' interconnectées que l'on nomme ''métapopulation'' et c'est ça qui est indispensable au potentiel évolutif !!!!



Le problème avec l’espèce reproduite en captivité c'est la diminution de son potentiel évolutif qui s’explique comme suit. La population fermée peut survivre des millions d'années si tu veux, elle évolue dans le temps, mais les individus qui la composent ne font que se remplacer, sans évoluer et ce au fil des générations successives ... Autrement dit, ce sont toujours les mêmes gènes qui se transmettent, car dans leur généalogie, il y a un ancêtre commun (ou +) qui fait que les individus apparentés détiennent les mêmes allèles (ce n’est pas de la consanguinité direct, mais s’en est) Ce qui le comdamne à moins évoluer.

Exemple concret : Aujourd’hui, qu’elle est le pourcentage de cornsnake pris en nature pour faire de l’élevage ??? Je dirais que ça frôle le 0% et que tous sont nés en captivités... Donc, les mêmes gènes depuis X années = nouvelle population fermée ‘’Z’’ de cornsnake qui n’échange plus de gènes avec les autres groupes de cornsnake de la métapopulation (qui se trouve dans la nature) = diminution de potentiel évolutif



J'AI FINI SIM, mon développement comme promis de mon résumer du début oufffff !!! Ce qu’on peut me faire faire icitte … drunken

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Calomel dit:

Citation :
Le problème avec l’espèce reproduite en captivité c'est la diminution de son potentiel évolutif qui s’explique comme suit. La population fermée peut survivre des millions d'années si tu veux, elle évolue dans le temps, mais les individus qui la composent ne font que se remplacer, sans évoluer et ce au fil des générations successives ... Autrement dit, ce sont toujours les mêmes gènes qui se transmettent, car dans leur généalogie, il y a un ancêtre commun (ou +) qui fait que les individus apparentés détiennent les mêmes allèles (ce n’est pas de la consanguinité direct, mais s’en est) Ce qui le comdamne à moins évoluer.


Je ne suis pas en parfait accord avec toi; je m'explique. Il y a aussi le principe des mutations dans l'évolution. Il y a une plénitude de gènes dormant au sein de populations aussi minime soit-elle; des gènes récessifs qui doivent être combinées pour évolué, oui bien sur plus il y a d'individus plus ces allèles ont de chance de se rencontrer; dans ce sens tu as raison. Mais il y a aussi des mutations qui peuvent parfois savérer bénéfiques et il ne faut pas les oubliées. La théorie même de l'évolution provient de petites populations isolés. Dans les îles Gallapagos où Darwin a eu son idée de génie en comparant les différentes sous-espèces d'oiseaux vivant sur leur île respective avait comme différence seule (pratiquement) la forme de leur bec qui reflétait leur source de nourriture. On ne peut pas nier qu'il y aie eu évolution Mais oui en effet le potentiel évolutif ou adaptatif de l'individu au niveau génétique est moindre. Mais même dans populations plus restreindre, il y a tellement de possibilité au niveau génétique; par exemple, je suis grand mince et a les cheveux bruns, mon frère est moyen, trapu et a les cheveux roux...

Mais je ne comprend toujours pas pourquoi tu tiens tant que ça a avoir un plus grand potentiel évolutif dans les animaux en captivité. Il n'ont plus à évolué, nous choisissons ceux qui passeront leurs gènes aux générations suivantes pour des raison de forme et de motifs et de couleurs et le sang neuf apporter est un ajout qui va dans ce sens. De plus il y les individus normaux qu'on va se servir pour reproduire des animaux possédant des gènes intéressant à caractère dominant.

Va falloir que tu travailles encore Razz

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gyzmo a écrit:

Mais il y a aussi des mutations qui peuvent parfois savérer bénéfiques et il ne faut pas les oubliées.


Tout à fait !!!

gyzmo a écrit:

La théorie même de l'évolution provient de petites populations isolés. Dans les îles Gallapagos où Darwin a eu son idée de génie en comparant les différentes sous-espèces d'oiseaux vivant sur leur île respective avait comme différence seule (pratiquement) la forme de leur bec qui reflétait leur source de nourriture. On ne peut pas nier qu'il y aie eu évolution Mais oui en effet le potentiel évolutif ou adaptatif de l'individu au niveau génétique est moindre. Mais même dans populations plus restreindre, il y a tellement de possibilité au niveau génétique; par exemple, je suis grand mince et a les cheveux bruns, mon frère est moyen, trapu et a les cheveux roux...


Je m'arrêrte sur 2 choses dans ce que tu me dis, l'une, c'est que tu compares (c'est une erreur) population fermée naturelle vs population fermée en captivité ... c'est logique que l'évolution est totalement différente ... La nature force l'animal à de développer, trouver des trucs pour se nourrir etc (comme le bec de ses oiseaux) Mais, en captivité, c'est différent, une chat domestique n'est pas un chat sauvage, ils sont différent en bien des égards (Felis silvestris catus est une sous-espèce crée par l'homme). Et comme tous le savent, les chats domestiques de races ont beaucoup de tares génétiques (plus que les domestiques bâtards) Idem pour les chiens (Canis lupus familiaris, crée aussi par l'homme)

L'autre, c'est que Darwin est mort avant la découverte de l'ADN (début 1928). Il est normal que pour lui les seules différences aient été physiques ...Et il est normal que sa théorie soit dépassée. Mais si Darwin avait fait des prises de sang aux deux sujets d'étude, qu'aurait-il découvert ??? Tu vois, exemple, je viens du Saguenay, je suis blonde, grande et ma soeur et brune foncé et petite et grosse (hahahah, j'vais me faire tuer, car c'est faux!!) Mais toute deux, on a des troubles génétiques, d'hypercholestérolémie familiale, du à la défaillance d'un gène (sur le chromosome 19, sous réserve) ... C'est pas parce que l'être vivant semble physiquement correct que son bagage génétique l'est.


gyzmo a écrit:

Mais je ne comprend toujours pas pourquoi tu tiens tant que ça a avoir un plus grand potentiel évolutif dans les animaux en captivité. Il n'ont plus à évolué, nous choisissons ceux qui passeront leurs gènes aux générations suivantes pour des raison de forme et de motifs et de couleurs et le sang neuf apporter est un ajout qui va dans ce sens. De plus il y les individus normaux qu'on va se servir pour reproduire des animaux possédant des gènes intéressant à caractère dominant.


Je considère que l’humain ne fait pas assez attention à son environnement, sur plusieurs points d'ailleurs, que je ne parlerais pas ici. Mais bref, dans ce cas, on joue avec quelque chose qu’on a de la difficulté à comprendre … que même les généticiens trouvent complexe. On joue avec la vie d’être vivant pour notre plaisir … Je crois que ça mérite de faire attention, il faut s'arrêter, réfléchir, mesurer les conséquences AVANT d'agir ... Pour faire court, c'est mon champ de bataille !!!!!!!


N’importe qui (je ne vise pas les bons éleveurs) peut accoupler des cornsnakes, autres... même qu’aujourd’hui des espèces différentes se font accouplées pale mais ça c'est un autre post.

bahhhh j'ai assez débattu mon point non !!! lollll

Mais voilà, la beauté des choses, c’est que chacun croit en ce qu'il veut bien croire !!!

ciao

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C'est NON

Le inbreeding affaiblit les genes.

Comme ils y a plus de literature produites dans la langue Anglophone, je vous invite a faire une recherche sur Google, et lire les multiples documents scientifiques portant sur le “ inbreeding and genes “.

Je fait, et j'ait fait des pieds et des mains pour monter une collection de Boa non relies de sangs ( Approx. 30 specimens ), j'y suit arriver a 98% et c'est pas si difficile que ca, il me reste un peut de travail a faire.

Meme en achetant d'un meme elleveur ( breeder ) il est possible dans certain cas d'avoir des animaux non reliees de sangs.
Demander aussi qe l'ont vous fornisse la documentation de l'origine des parents ( Sir, Dam ), et faite une recherche sur la lignee.

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Ron Tremper aux states est pas rendu à plus de 30 génération de inbreeding avec une de ces lignés de gecko leopard?

De dire bon, pas bon chez le reptile, il n'y a tout simplement pas assez de recherche et/ou donné encore fait pour prétendre les conséqunces du inbreeding, il ne faut pas comparer avec du mammifère, c'est pas la même game pan toute.

Des populations de reptiles isolés dans de petit micro environnement existe partout sur la planète, des nouvelles espèces de gecko sont découverts à tout les année au Madagascar, les petites iles côtière regorgent d'espèces de serpent isolé de leur confrère sur le main land i.e BCI et Super Dawrf Retic pour n'en nommé que quelques uns, ces petites population survivre avec un baggage génétique très peu diversifié, du inbreeding depuis des millers d'année et ils survivent très bien malgré tout.

C'est sûr qu'en captivité, si l'on peux éviter du inbreeding, ils s'en porteront mieux mais ne vous faites pas d'illusion, personne ici peux confirmer les effets à long terme du inbreeding Very Happy

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En fait , il faut surtout se demander s'il y a beaucoup de maladies graves au niveau des reptiles qui se transmettent de génération en génération (chose que je ne sais pas et peut-être pourrez-vous me répondre là dessus ).

Est-ce aussi moins grave si ces animaux sont gardés captifs? Ont-ils moins de chances d'être exposés à des événements extérieurs (virus ,changements de températures...) que ceux dans un milieu naturel?

Je vous donne un exemple hypothétique : Chez une espèce de Gecko certains individus sont plus susceptibles , à cause d'une déficience de leur système immunitaire, d'être atteint du virus X. Cette déficience du système immunitaire est un caractère génétique récessif. (Appellons ainsi le gène Dominant I et le récessif i pour désigner l'immunité)

Ainsi, si on croise deux individus parents avec aucune déficience immunitaire apparente mais possédant chacun les allèles I i , il y a probabilité que 50% de la prochaine génération soit atteinte d'une déficience immunitaire.

En millieu naturel où le virus peut se propager de façon aléatoire cela pourrait etre un problème puisque une grande partie d'une population peut être atteinte.

Cependant, si ce même virus n'est pas présent ou ne survit pas aux conditions de la zone géographique où l'animal est gardé en captivité cela ne devrait pas être considèré comme un obstacle au inbreeding.


Toutefois, si l'intention première de l'élevage est de repeupler des zones où l'animal vit à l'état sauvage nous avons à prendre de grandes précautions.

Il faut aussi penser aux problèmes plus grave comme les troubles de visions, la santé du système cardiovasculaire(si ces genres de problèmes sont présents chez les reptiles). Il y a une possibilité que certains problèmes comme ceux-ci soient transmis de génération en génération en inbreeding et dans un patron très différent de ce qu'il serait en accoupplement hors-famille.

Bon c'est mon hypothèse personnelle il se peut que vous pouviez me planter sur tout la ligne , gênez-vous pas! Ca n'en sera que plus instructif! Wink

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Psychotic Ragdoll a écrit:
En fait , il faut surtout se demander s'il y a beaucoup de maladies graves au niveau des reptiles qui se transmettent de génération en génération (chose que je ne sais pas et peut-être pourrez-vous me répondre là dessus ).

Est-ce aussi moins grave si ces animaux sont gardés captifs? Ont-ils moins de chances d'être exposés à des événements extérieurs (virus ,changements de températures...) que ceux dans un milieu naturel?

Je vous donne un exemple hypothétique : Chez une espèce de Gecko certains individus sont plus susceptibles , à cause d'une déficience de leur système immunitaire, d'être atteint du virus X. Cette déficience du système immunitaire est un caractère génétique récessif. (Appellons ainsi le gène Dominant I et le récessif i pour désigner l'immunité)

Ainsi, si on croise deux individus parents avec aucune déficience immunitaire apparente mais possédant chacun les allèles I i , il y a probabilité que 50% de la prochaine génération soit atteinte d'une déficience immunitaire.

En millieu naturel où le virus peut se propager de façon aléatoire cela pourrait etre un problème puisque une grande partie d'une population peut être atteinte.

Cependant, si ce même virus n'est pas présent ou ne survit pas aux conditions de la zone géographique où l'animal est gardé en captivité cela ne devrait pas être considèré comme un obstacle au inbreeding.


Toutefois, si l'intention première de l'élevage est de repeupler des zones où l'animal vit à l'état sauvage nous avons à prendre de grandes précautions.

Il faut aussi penser aux problèmes plus grave comme les troubles de visions, la santé du système cardiovasculaire(si ces genres de problèmes sont présents chez les reptiles). Il y a une possibilité que certains problèmes comme ceux-ci soient transmis de génération en génération en inbreeding et dans un patron très différent de ce qu'il serait en accoupplement hors-famille.

Bon c'est mon hypothèse personnelle il se peut que vous pouviez me planter sur tout la ligne , gênez-vous pas! Ca n'en sera que plus instructif! Wink


a date il y en a pas de maladies juste des oui dires et des suppositions par la plupars qui n'ont jamais mis un pied chez un vet ou pathologiste pour voir de quoi leurs animaux meurent .....

Et si il y aurait un gène qui cause des malformations au point de nuire .... simplement ça se vendrait pas personne achètrais ça donc ça meurt à la source.

Et si c'est un gène qui dérange pas bin ça fera comme dans la nature " évolution" ça prolifèrera ....

Citation :
Ainsi, si on croise deux individus parents avec aucune déficience immunitaire apparente mais possédant chacun les allèles I i , il y a probabilité que 50% de la prochaine génération soit atteinte d'une déficience immunitaire.


Petite erreure .... si tu fais ce croisement là Ii ça te donnera pas 50% mais 25%Qui l'ont développé -25%qui l'ont pas-50% qui le porteront

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