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noway01

Pour bien débuter en terrariophilie

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Il est grand temps de mettre les choses au clair en ce qui concerne la terrariophilie.
Bien que la majorité des terrariophiles soient des êtres censés et réfléchis, animés des meilleures intentions envers leurs animaux, il subsiste encore une certaine tranche de terrariophiles inconscient des spécifictés de cette passion mais aussi des personnes critiquant le milieu sans savoir, la plupart du temps, de quoi elles parlent.
L'équipe de NAC ANnonce vous propose de (re)découvrir ensemble les règles de bases concernant la terrariophilie.

A l'heure où l'on parle de plus en plus des Nouveaux Animaux de Compagnie, il est temps de clarifier la place accordée aux reptiles, mygales et autres animaux dont l'imaginaire populaire à, bien longtemps, donné une image effrayante voire maléfique. Tout comme le loup a longuement véhiculés les craintes les plus irraisonnées, le serpent ou la mygale se sont souvent vus décriés au nom de croyances ancestrales et de mythes effrayants.

Pourtant, détenir un serpent, un lézard ou un scorpion est à la portée de tous ou presque. Il s'agit avant tout, tout comme pour acquérir un chien ou un hamster, de se poser les BONNES questions.
Un animal, quelle qu'il soit est tout sauf un jouet. Il recquiert des soins spécifiques et une attention soutenue et quotidienne.

La première chose à avoir clairement à l'esprit est que le reptile est tout sauf un animal de compagnie. Même s'il existe encore des gens pour promener leur pogona en laisse ou leur camélélon sur l'épaule, l'image de la terrariophilie de nos jours tente à se responsabiliser et les passionés mènent une politique claire et rationnelle de la détention de ces espèces.

De manière pragmatique, on peut dire qu'un reptile nécessite moins de soins et d'attention qu'un animal de compagnie "classique" comme un chien ou un chat. Il ne se promène pas en liberté dans la maison et, en ce sens, ne salit ni ne déprecie le mobilier. Il ne crie pas (ou rarement), n'aboie pas, ne fait pas ses griffes,... Toutefois, il convient de garder à l'esprit que, si notre société moderne "maîtrise" ce type d'animaux de compagnie (il convient ici de relativiser auv u des nombreux fait de maltraitance et de négligence qui perdurent toujours), les NAC ne bénéficient pas encore de la même connaissance. Il faut donc être bien certains de pouvoir y accorder un temps conséquent, une attention soutenue et un budget qui n'est pas à négliger. D'où l'importance de se poser les questions que nous allons développer plus loin.

Avant cela, revenons brièvement sur quelques idées recues qui, bien souvent, sont les "fer-de-lance" des détracteurs de la terrariophilie:

- La majeure partie des reptiles sur le circuit de la terrariophilie ne sont pas dangereux pour l'homme. Bien sur, étant avant toute chose des animaux sauvages, ils peuvent adopter des comportements agressifs mais, une politique intelligente comme celle menée par NAC ANnonce, met en garde un acquéreur potentiel sur le comportement de l'animal. De plus, les espèces, réputées dangereuses, sont soumises à un cadre législatif plus strict et ne peuvent, de ce fait (même s'il convient de bien garder à l'esprit qu'il restera toujours des personnes pour se penser au dessus des loins) être détenues par le premier quidam venu.

- Il n'existe, à l'heure actuelle, aucun profil type de terrariophile. Nous ne sommes pas des marginaux ni de doux illuminés pensant que nous pouvons nous substituer à ce que la nature peut offrir aux reptiles. Comme nous le repréciserons plus loin, la grande majorité des reptiles dans le circuit de la terrariophilie sont issus de la reproduction, ils sont donc né en captivité et, même si cela existe encore, les terrariophiles, dans leur grande majorité, luttent contre le prélevement dans la nature.

- La majeure partie (on parle de 99%) des animaux circulant dans le milieu terrariophile sont issus d'élevages, soit européen, soit pratiqués dans leurs payes d'origines (farming).

- Les reptiles ne sont pas et en seront jamais des animaux de compagnie comme les chiens et les chats. Certes, certains (le pogona en est le plus vivant symbole) semblent apprécier ou tout du moins rechercher, le contact humain. Toutefois les connaissances actuelles sont insuffisantes en ce domaine et il demeure préférable d'envisager la relation avec le reptile dans une optique de soins et de bien-être de l'animal plutôt que de rechercher un quelcquonque rapport affectif. Privilégiez donc l'observation à la manipulation intesive.

- Certains reptiles sont menacés d'extinction, il convient de se renseigner correctement avant de les acquérir. Ils sont de ce fait protégés (cela doit impérativement être spécifié par le vendeur).

- Au niveau du maitien proprement dit: un reptile ne sent pas mauvais. Si toutefois cela arrive ce n'est pas l'animal qui est en cause mais ses conditions de détention: litière non renouvellée, bac d'eau stagnate, entretien et nettoyage.

- Il est encore trop courant de voir des gens qui confondent poisson et reptiles. Un aquarium ne peut convenir à un reptile. Les terrariums sont conçus pour la détention de ces espèces et sont équipés d'aérations indispensables à la survie et eu bien-être de vos animaux.

Ceci étant rappelé, nous allons nous intéresser un peu plus aux questions essentielles qu'il convient de se poser avant d'acquérir un reptile. Ces questions, je le rapelle, sont indispensables. Gardez à l'esprit que certains reptiles peuvent vivrent très longtemps.

- Quel animal souhaitez-vous acquérir (serpents, lézards, arachnides,...)? VEst-ce que vous ou votre entourage proche nourrissez une phobie ou une aversion pour tel ou tel espèce (pensez aussi que vous ne vivez pas seul, votre conjoint ou votre conjointe peu mal vivre votre passion. De même des enfants dans la maison doivent impérativement orientés vos choix vers des espèces non dangereuses et réputées non agressives).

- Dans le même ordre d'idée: quelle place pouvez-vous accorder à votre animal? Prenons le cas des iguanes verts. Bien souvent, les animaleries les vendent juvéniles sans systématiquement préciser qu'une fois adulte, ce reptile nécessite un large espace. N'hésitez jamais à poser toutes les questions qui vous viennent à l'esprit: il n'y a pas de questions bêtes.

- Etes vous disposé à accorder à votre reptile le temps et les soins qui lui sont nécessaires? Un entretien qutodient, le nourrissage, la manipulation dans certains cas...Autant de choses qu'il vous faudra reproduire régulièrement et avec une attention soutenue. Pas question de partir en vacances, par exemple, sans se soucier de ces éléments essentiels.

- Pourrez-vous assurer finacièrement le bien-être de votre reptile? Les animaux de ce type ont un coût réel à l'achat mais il nécessite aussi des investissments réguliers par la suite (achat de nourriture, soins vétérinaires, matériel,...)? Beaucoup d'apprenti terriophiles ont rapidement dû abandonné leurs élevages car ils n'avaient pas, dès le départ, pris l'empleur financière de leur activité.

- Pourrez-vous, dans votre région, vous procurer régulièrement et en quantité, la nourriture spécifique à votre reptile (grillons, vers morios, blanchons, teignes, criquets, ... Il s'agit là de nourriture bien spécifiques)?

- Vous sentirez-vous capable de manipuler cette nourriture? D'acceptez que votre serpent dévore une souris ou que votre scinque se repaisse de grillons? C'est, là encore, une question qui n'apparait pas comme essentielle au départ mais peu se révéler lourde de conséquence pour des âmes trop sensibles.

Il existe surement une multitude d'autres questions qu'il convient de se poser, n'hésitez pas à les soumettreà la suite de ce post et j'éditerais celui-ci afin d'offir aux débutant la chance d'envisager leurs futurs élevages avec dsérénité et un maximum de professionnalisme.

Now@y

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