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Martine95630

PRIERE A ST ANTOINE

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Dis-donc Martine Neufcinqsixtroiszéro, tu pourrais pas nous concocter un album photo avec tous les griffus, et pis les légendes qui vont bien :CONTENT:

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Je ne suis pas très photos mais j'en ai des "grand" : le bout de machin cavale trop vite pour que je puisse photographier autre chose qu'un bout de patte, de queue...
Et après, je ne suis pas douée pour insérer.
C'est Annick qui avait mis celles qui sont sur le post.

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Dans la rubrique "animaux, on en rajoute, et hop ", je vais hériter de plusieurs chatons pas plus tard que dimanche car ils sont en très grand danger.
Mais avant ça, j'en ai qui se sont invitées et qui rechignent à partir, les garces : infestation de puces.

J'ai essayé le Front...e, l'Adv.....e, la mixture de Del, ce, sur les chats.
J'ai aspergé les tissus, moquettes, recoins en tous genres du "barrage aux insectes".
Pas mieux.

Mis à part le fumigène façon campagne qui tue tout ce qui remue (mais je ne vois pas comment je peux mettre ça en oeuvre chez moi avec au moins 3 chats par pièce), qui aurait une idée ?

Parce que ces petites bêtes-là, elles me chauffent, je n'ai pas la moindre intention de les adopter !

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Le feuileton continue.
Pourquoi changer une équipe qui gagne ? Surtout si on en rajoute. J'explique :

Le 5 juillet, j'ai récupéré 3 chatons en Normandie, 2 avec encore les yeux bleus et une d'environ 2 mois, tachetée de gris, très causante pendant tout le trajet. Les deux loupiots ont été nommés Emy et Elliott, la "grande" Enora. Elle a été adoptée par une amie d'Isa chez qui, rebaptisée Canelle, elle est bien. Emy et Elliott ont été pris en charge par une autre asso. Il en reste des quantités, bourrés de coryza et autres saletés et la saoûlarde qui les détient ne veut pas les lâcher. Misère animale. Misère humaine. Ceux qu'elle n'a pas voulu nous donner doivent être morts, pauvres amours. Et les mères survivantes en ont fait d'autres. C'est sans fin.

La semaine suivante, m'arrivaient 5 chatons, rescapés d'une fourrière qui euthanasie beaucoup. Enfin, 4 : l'un était mort en venant de l'Oise. Episode très douloureux car une autre est morte dans ma voiture, un petit noir et blanc la nuit suivante. Une petite mère aux grands yeux, toute pouillée, se blotissait contre lui en cherchant à se réchauffer. J'en ai pleuré. Dans la cage d'à côté, une jolie calico bleue semblait ne rien avoir. Je l'ai baptisée Etoile pour lui porter chance. Et Petit Coeur le pauvre petit bout de 640 grammes qui luttait contre l'infection. Je les ai ememnées en Mayenne pendant ma semaine carrelage, le soin de chatons étant trop demander à mon fils qui passait nourrir et changer les litières des 11 restants at home. Commode, dans une voiture chargée à bloc de bricolages et autres déménagements de petites vacances, que de caser une cage de convalo. En effet, le véto avait diagnostiqué le coryza pour les deux et indiqué le même traitement. Mais après 15 jours de lutte, Etoile s'est éteinte. 15 jours, ce n'est rien dans une vie et pourtant, elle me manque à un point que l'on peine à imaginer. Quant à Petit Coeur, un jour batifolant avec ses petites pattes et luttant contre ses séquelles motrices, un jour fiévreuse et l'oeil collé, elle me fait peur et me ravit tous les jours.

Elle me laisse aussi quelques crottes en cours de route, ça et là, quand elle doit être prise de court pour essayer de rejoindre son bac à popo, dans la cage de convalo, en hauteur.
Un autre s'y adonne aussi. J'ai des doutes sur une de mes petites mayennaises car j'ai retrouvé des crottes à peu près du même calibre (et consistance, désolée de donner des détails mais c'est important pour l'investigation) un peu partout au rez-de-chaussée. Et il y a 2 jours, c'était sur mon dessus de lit. Comme j'ouvre le lit en grand pour me lever et que ces temps-ci, je le laisse ouvert toute la journée, je n'avais même pas vu. J'ai découvert le "cadeau" en plein minuit, au moment de me coucher (je laisse mon lit pas refait toute la journée mais je le refais pour me coucher. Ne pas chercher à comprendre). Donc, ça s'est fait la nuit précédente, pendant que je dormais. Charmant.
Sans compter que la crotte de jeune chat, ce n'est pas un parfum d'intérieur qui inspirerait les publicistes... Alors, le lave linge tourne, tourne, tourne encore. Heureusement que ça sèche bien.

Côté rangement, je laisse un peu de côté ces temps-ci, occupée que je suis à changer des caisses à litière pour 12 chats, nettoyer des crottes, soigner l'oeil de l'un, le bobo de l'autre, les courser tous pour les vaporiser à l'anti-puces, vaporiser toute la maison régulièrement, etc... + diverses broutilles comme les papiers, les courses et autres monotonies quotidiennes.
Mais les mouflets ont décidé de m'aider : Ebony fait la bagarre avec mes deux petites mayennaises ou avec Petit Coeur ou les quatre ensemble. Et tout ce qui est sur la table, le coffre, etc... voltige. D'où chute éparpillée de courriers et objets divers. J'ai particulièrement apprécié l'épisode de la gamelle fraîchement remplie de pâtée, atterrie à l'envers sur le carrelage avec tout son contenu et traînée un peu partout pour tenter de récupérer ledit, pendant que je me douchais. Pourquoi se douche-t-on, aussi, dans une telle maison de fous, je me le demande ?
Dernièrement, ils ont trouvé les enveloppe où je stockais les graines récoltées pour la prochaine foire aux plantes, les ont déchirées en les traînant un peu partout dans la pièce et soigneusement dispersé les graines, ce qui confondrait tous les ornithologues, persuadés qu'il n'y a que les oiseaux qui le font. Cette fois-ci, ce ne sera pas de la faute de Del si l'annonce est fantaisiste par rapport au contenu parce que j'ai balayé le tout en groupe et que je ne trierai pas.

J'avais oublié également la propension des jeunes chats à jouer avec les pieds dans les lits, principalement lorsqu'il n'y a qu'un drap sur les pieds et que les griffes arrivent droit dessus. Or, c'est sensible, les pieds. Ma Gaufrette avait attrapé le coryza des petites. Remis mais fragile, elle est donc, tranquille, dans la salle de bains avec Gribouille. Mais j'ai éloigné les deux petites de Mayenne pour éviter la contagion et qu'elles n'épuisent pas les deux mamies. Et j'ai redécouvert avec ravissement (Tunis, le plus jeune avant elles a quand même 7 ans) les joies des jeux, câlins intempestifs et prolongés et attaques de pieds, toute la nuit... C'est mignon, ces petites bêtes ! Heureusement, DeeDee fait seulement câlin et ne semble pas intéressée par le reste. Mais Dana compense pour 2, ça me fait de beaux cernes le matin.

Sans doute parce que ça manquait, on m'appelle de toutes parts pour des sauvetages et des petites femelles à peine pubères mais pleines jusqu'au yeux : le profil du boa qui a mangé une antilope. Certaines sont nourries, d'autres pas trop. J'en ai trappé une cette semaine, l'autre est prévue juste après. Une asso du coin les stérilise et les tatoue. Si elles sont mignonnes, elles pourront sans doute être adoptées. Celle que j'ai emporté hier soir stressait dans la voiture, pauvre bichette. Et ça lui a fait faire un gros pipi et un non moins gros popo bien odorant... Vous souvenez-vous de la chaleur d'hier ? Suffocant. Ca diffuse les odeurs, un vrai plaisir. A la suite, j'allais dîner avec une amie. J'ai laissé la caisse empoisonnée dans le jardin, près du portail, pour ne pas l'oublier. Même à distance, ça nous enfumait. J'ai lâché la salade compo pour aller nettoyer ça : un carnage.

Il y a des bons côtés aussi : mes 4 FA qui m'attendent dans l'escalier, perchés sur le placard à chaussures, juste à bonne hauteur pour frotter leurs 4 museaux contre ma figure quand j'arrive le soir, avec force miou, grou, mrou et autres mots d'amour. S'ensuit une comptétion pour savoir qui sera dans mes bras le premier. Et on ronronne à l'unisson.

Piyou, mon tunisien de 10 ans, le maître des lieux, souffre de tout ce monde, exclusif qu'il est. Du coup, il réclame des câlins à grands miaulements plaintifs et vient, dès que je suis couchée, se coller contre moi (chouette, la bouillotte-chat de 7 kg par la touffeur estivale), me faisant transpirer d'autant. Il pousse sa tête contre moi avec force avant de s'installer. Il est malheureux, ma grande brute. Alors, dégoulinante comme à la sortie de la baignade, je le laisse s'installer et je le câline. Pas moyen de faire autre chose.

Tunis a décidé de se retirer dans ses appartements, soit un panier en osier posé sur le rebord de la fenêtre, contenant des rallonges électriques, divers objets et une assiette qui a survécu à un gymkana félin qui avait atteint la hauteur de poutres : je l'avais retrouvée sur le coffre, crochet X arraché. Elle est restée dans le panier. Tout ça est hautement inconfortable mais, le derrière calé en biais, il affecte là-dedans l'air du sphinx qui louche et qui est au-dessus des vicissitudes d'une vie de chat de protectrice aux pensionnaires bien trop nombreux à son goût. Il fait le bégueule comme ça, mon Tunis, mais c'est un sensible introverti. Je le prends donc d'autorité, le poupoune et lui fais des bisous sur les yeux, ce qui le fait gronder sourdement puis râler de son bruit de gorge qui lui tient lieu de ronronnement. Ce matin, il s'est installé sur le fauteuil. Peut-être a-t-il compris qu'il n'est pas nécessaire qu'il se défigure le popotin dans des paniers encombrés d'objets inconfortables pour que je l'aime.

Gribouille vieillit. Elle a le regard un peu terne que prennent les vieux chats. Je trouve que son poil est moins fourni et que les angles de son visage se voient plus. Elle n'est pas maigre mais à vrai dire, elle a toujours été une petite puce. Je la vois vieillir avec tristesse. Et le temps chaud ne lui vaut rien depuis quelque années. Mais elle mange bien, apprécie la compagnie et les câlins et ne souffre pas. Vieillis, ma belle, mais doucement.

Et Petit Coeur, le plus petit bout du lot mais le plus bougeant, qui m'escalade le dos de ses petites griffes acérées, le derrière suivant comme il peut, pour venir se lover contre mon chignon, ronronner comme un chat de 10 kg, changer de position vingt fois en n'omettant pas de me mettre son troufignon sous le nez au passage, pour trouver la bonne place, chaude, moelleuse, où on peut enfin se faire câliner et s'endormir.

Les chats, ça devrait être remboursé par la sécu.

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:RIRE:
Ah quand le bouquin sur tes mémoires martine ?
pourquoi tu ferais pas un blog ?

(bon sinon pour les graines, on appellera ça ''mélange varié de martine'' rabbit

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Et quand aurais-je le temps de faire un blog, ma chère Del, outre le fait que je sois quasi une quiche en informatique et que je ne sais même pas en quoi ça consiste ?

Mes mémoires seraient à plusieurs tomes si je devais les écrire, même maintenant. Et je serais morte avant d'avoir fini. Ce qui serait rageant, quand même, conviens-en.

Non, j'ai prévu un recueil de nouvelles. J'y travaille mollement, par-ci par-là, au gré de mon inspiration et de mes disponibilités. Ca ne va pas vite. Mais les nouvelles sont courtes par définition, donc, pas de problème d'achèvement. On verra ça en son temps.

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Pour le mélange de fleurs, c'est plutôt l'oeuvre collective des 4 jeunes chats que la mienne. Mais bon, j'accepte la responsabilité de ce que font mes "gosses".
J'imagine la tête des gens parce que les roses trémières et les oeillets d'inde dans la même balconnière, ça va faire une composition assez ébouriffante !

J'ai remmené Petit Coeur chez le véto hier soir (elle me coûte cher au kilo, ma crevette) car je craignais une récidive de coryza. En fait, mademoiselle a des parasites en tous genres. Donc, antiparasitaire général et pommade ophtalmique et ça devrait s'arranger vite. Ouf !

Là, elle vient de sauter sur le dos d'Ebony qui griffait férocement le grattoir, depuis une chaise. Ebony a fui avec l'air effarouché qu'il cultive assidûment. Mais maintenant, c'est un noeud de chatons par terre, du noir, de la couleur, têtes et pattes.
Ebony a une petite déviation de la colonne vertébrale en accent circonflexe (moins prononcé, mais il a le dos ressorti). Comme il est très long, on dirait une petite belette noire. Une hermine inversée dans les couleurs à vrai dire. Pour l'instant, à voir comment il s'en donne, ça ne le gêne pas. Quelqu'un a eu un chat avec de problème ?

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Mademoiselle Petit Coeur me ravit de jour en jour : elle arrive à sauter d'un seul coup sur ma chaise, malgré ses vacillements constants.
et elle a découvert l'ordinateur : des529petites bêt58s si courent sur l'écran (les lettres), du coup, elle saute dessus ou sur le clavier (mes doigts qui bougent et le bruit des touches, ça l'amuse beaucoup). d'où une production épistolaire à 2 mains et 4 patounes qui incluent des chiffres dans mes phrases, effacent certains mots, etc... ça dépend où ses petites pattes incertaines arrivent !

Je suis allée un soir la présenter à quelqu'un qui voulait un chaton "pour sa fille". En fait, c'était "ça" comme une game boy, tout ce que la gamine veut. On peut s'imaginer le sort de la game boy quand elle en est lassée, ma pauvre biquette aurait été mise dehors. En plus, ses séquelles motrices la rendaient a priori "non conforme" : le type ne veut pas de chat malade. Elle ne l'est pas mais l'intention était claire. Poubelle ? Lui, n'était pas intéressé une seconde, son épouse et la mouflette n'étaient pas là car il voulait lui faire une surprise. il paraît qu'il va venir à la SPA. Soignez-le, les filles !
Convainquez-le qu'il faut qu'il en reste aux objets et qu'il fiche la paix aux êtres vivants.

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Dans un premier temps, une modo pourrait-elle modifier ce titre ? Je me suis embrouillée dans la vie des saints et ai confondu Saint Antoine (qui aide à retrouver les objets perdus, le brave homme) avec Saint Christophe (celui qui bosse à plein temps pour que je ne tue ni moi ni autrui en m'endormant en voiture).

A l'égrenée, histoires d'animaux ces derniers jours :
- Mon Filochard, plus de 30 ans, shetland de centre équestre, retraité chez moi en Mayenne depuis plus de deux ans, vient d'être euthanasié. Il se bloquait, n'arrivait plus à se lever. Or, un équidé qui ne se lève plus, c'est la mort au bout. Et moche. Il s'est donc endormi pour toujours dimanche, mon vieux coquin. Sans moi qui n'étais pas là, ce qui me fait chagrin encore plus.
- Calypso, que j'ai emportée chez les pompiers récemment dans le val d'oise, qui a été en fourrière, puis chez les "rustiques", stérilisée la semaine dernière, qui sortait de sa grande crainte petit à petit, a été adoptée hier. Mes voeux de bonheur t'accompagnent, petite si douce et si jolie !
- Hier soir, sur le trajet pour aller nourir des chiens errants avant de rentrer, je cherchais à l'aveuglette un sucre emballé dans l'une des poches de mon sac à main (havresac, devrais-je dire) pour combattre le coup de mou qui montait. Et j'ai ressorti mes doigts pleins de beurre : Dame Lulu, 90 ans au jus, quand je vais la voir à la maison de retraite après mon après-midi chats le samedi, me donne ce qu'elle a réservé avec amour pour moi : des sucres emballés pour mes coups de mou, du beurre emballé pour Ma Gaufrette, ma chatoune de 13 ans, malade, qui aime cette douceur. Ca fait du bien à Dame Lulu de penser ainsi à nous. Donc, je prends ces menus dons avec reconnaissance, en pesant l'amour qu'ils portent. Mais j'ai soin d'enlever le beurre à peine arrivée at home. Là, le cerveau mou et fatiguée depuis un moment, jai oublié. Tant pis. La pâtée des chiens a été préparée avec des doigts sentant le beurre, ça n'a pas dû leur déplaire, à vrai dire. Et mon sac va faire un tour de machine à laver.
- Samedi soir, j'avais prévu de faire choisir à Dame Lulu précisément, les noms des peluches à gagner lors des PO dans les listes établies avec les noms des chats et chiens, bénévoles et agents du refuge. Dame Lulu était trop fatiguée, ne pouvait pas fixer son attention, je n'ai pas insisté. Du coup, j'ai mis ma sainte mère à contribution le dimanche. 85 ans, bretonne, à cheval sur les devoirs, elle a fait ça avec un sérieux de notaire et mis sous enveloppes comme elle aurait scellé un pli concernant la défense nationale, après avoir confondu une fois les chats et les bénévoles toutefois. Ouf !
- Dimanche soir, opération tentative de trappage avec une copine qui venait de Gagny (93 ; ça fait une trotte pour une soirée du dimanche) pour m'aider. Les chiens se sont habitués à la trappe et s'en approchent maintenant sans crainte. Ils étaient presque mûrs pour y entrer, surtout la plus jeune. Tellement à l'aise qu'elle a commencé à jouer avec la ficelle du déclencheur, que je maintenais, embusquée et hors de vue, à une vingtaine de mètres. Et évidemment, la trappe a claqué, les chiens à l'extérieur. En moins d'une seconde, ils ont été hors de vue. Pestouille !
Tranches de vie...

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En tant que créatrice du sujet, tu peux modifier le titre : il suffit sur le 1er message de ton "post" de cliquer sur "editer", de changer ton titre et de faire "envoyer".
Je viens de rendre à St Antoine ce qui lui était dû pour cette fois.
Bises,
Annick

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Merci Annick, pour la manip' et pour le renseignement. Je serai peut-être un peu moins quiche à l'avenir. Au moins sur ce point.

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