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Martine95630

Comment aborder une journée avec coeur ?

Messages recommandés

del a écrit:
Passque j'avais pas mon nappareil photo


C'est pas très bon pour ta réputation ça

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En photos ?
ah mais je suis une burnette totale en photos
ça va que jai un truc ou y a quasi rien à faire
j'adorerais avoir le don du fiston. quelle que soit la photo, il prend tjrs l'angle qu'il faut, la vue qui va rendre super bien. il te photographie une paire de pompes que tu vas limite hurler à l'oeuvre d'art (comme quoi hein, y a qd même des trucs bizarres dans la vie. il tient ça de son père, excellent photographe aussi. et pourtant il ne l'a physiquement quasi jamais cotoyé)

cela dit Martine, pour tout le reste, jveux bien que tu me réputationne (n'y croit pas trop. ne sait même pas si martine saurait réputationner

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ben non, Del, Martine est une quiche pour la réputationation, comme pour d'autres choses touchant aux forums internet. Si tu donnes un cours de rattrapage, je m'inscris.

Mais j'ai quand même un communication à faire : si vous vous levez la tête tournoyante, les oreilles bourdonnantes, le mal de crâne rôdeur, les yeux pas en face des trous, avec la sensation de tenter de vous déplacer sur un voilier par vent de force 5 et que ça ne vous botte pas vraiment de lutter, outre le fait que mam'zelle Pimousse a besoin de pipi-popo-courir-draguer les potes, que les matous "maison" et les FA ont la dent et besion de câlins, il y a les 14 fauves en bas âge à libérer de leur cage-dodo (sinon cavalcades en pagaille par le travers du lit, toute la nuit... c'est mignon ces petites bêtes. Surtout quand c'est plein de vitalité).

Bref, la porte de la double grande cage de transport pour chiens de grande taille qui leur sert de dodo ouverte, on ne sort pas tout de suite se dégourdir les papattes, on ne demande même pas à manger immédiatement. Non : on se presse à 14 par l'ouverture pour me lécher le visage, mettre son petit nez, une patte, me monter sur la tête, etc... Et moi, le visage enfoui dans toutes les couleurs et qualités de poils doudoux, je bisouille de droite à gauche et de gauche à droite, empruntant le mouvement du spectateur de Rolland Garros, là une truffounette, là une patoune, un oeil, un bidou, le tout sur une harmonie de ronrons dans tous les tons.
Pas bath, ça ?
Pas motivant pour se mettre à la verticale et entamer les réjouissances quotidiennes, y compris le nettoyage des caisses wouawoua ? *
SI !
Ca devrait être remboursé par la sécu !

* à ne pas confondre avec la guitare du même nom : on aurait tort et s'exposerait à quelques déconvenues.

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Roh ! Je t'immagine bien le visage enfouis sous la fourrure doudouce mouvante et multicolore I love you
C'est vrai que c'est incroyablemet doux un chaton !

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Photos de la troupe chatonnesque de Martine (pas tous : il manque Fumée, Frutti, Funny-Girl, Fanzy, Fiona, et Frou-Frou.:

Flamme, Félinette, Faribole, Falbala


Fidji


Feu-Follet


Fée-Jolie, Flocon


Fauvinou


Four-Points


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Ouahh la brochette de bibous jolis, et des portraits en prime merci les filles pour ces photos ça fait vraiment plaisir de découvrir ces bouilles

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De belles petites bouilles et de beaux petits coquins, tous. Merci Rainette.

Ce matin, c'est Pimousse qui s'y colle pour occuper le devant de la scène. Je la sors, ça pèle un peu. On entend un bruit de klaxon dans les hauteurs, ça se rapproche, ça se reproduit à intervalles réguliers, nous levons toutes les deux la tête. Et est passée une formation de 5 oies du canada, klaxonnant en vol sans doute parce qu'elles n'ont pas de radio à bord. Pendant qu'on regardait, Pimousse assez sciée je dois dire, l'oie de tête a ralenti et s'est laissée dépasser par la deuxième qui a formé aussitôt la pointe du V, la leader se plaçant en fin de peloton pour souffler, tout ça, dans l'aisance et le mouvement huilé, sans carambolage de magrets et de plumes en vol. Superbe !

Après avoir remis sa langue dans sa bouche, Pimousse a décidé d'aller ratiboiser un bébé coucou qui promenait son gros derrière en sautillant dans le sous-bois, histoire de ne pas rester sur une frustration pour la chasseresse qu'elle est dans la moelle de ses os. J'ai rattrapé la fauvesse de justesse, ficelé tout ça avec la laisse, bien court et fait sshht sshht derrière le coucou qui "houpait du croupion" (patois sarthois, j'ai été élevée par une tante qui maîtrisait) dans le lierre rampant. Je lui ai sauvé la vie, à cette nouille de squatteur parce qu'a priori, c'est plus doué pour bouffer dans la gamelle des autres que pour sauver sa peau.

Frustrée derechef, Pimousse, quand je l'ai lâchée plus loin, avec un vigoureux NON qui a dû réveiller le quartier à premier soupçon de pensée d'intention d'y retourner, s'est mise à chasser la balle de tennis que les grands sportifs, qui font mine de taper dans la balle avec le ahanement en vogue qui fait que le passant se demande si quelqu'un souffre, fait popo, un petit ou abat un arbre à coups de hache, ne font pas le tour pour récupérer même celles qui restent bien en vue, dans l'herbe, à moins de 2 mètres des courts. La porte d'accès est de l'autre côté. Il faudrait marcher 150 mètres. C'est donc ça...
Pimousse donc, a attrapé férocement une balle qu'elle s'est mise à promener en sautillant et batifolant, puis en a trouvé une deuxième. Elle a posé la première pour prendre la deuxième mais a voulu avoir les deux. C'est là qu'il faut se souvenir que les chiens n'ont ni mains ni poches. Et que 2 balles de tennis dans la bouche d'une Pimousse pas bien grosse comme le nom l'indique, c'est coton à loger...
Pendant un bref instant, elle a réussi à coincer les deux balles en serrant les mâchoires à bloc, ce qui la faisait ressembler à un hamster atteint de jaunisse aigûe sur les deux joues. Instant trop bref, pendant lequel elle avait tout de même un air manifestement très ennuyé et qui s'est terminé prestement par l'éjection d'une balle de chaque côté et le désespoir visible de moumousse, laquelle a dû renoncer à l'une des deux balles pour rapporter l'autre, non sans se retourner plusieurs fois.
Si on n'est pas réveillée en partant la promener, en revenant, c'est fait ! Et on commence la journée dans la joie.

Au retour, Petit-Coeur dans ses oeuvres. Depuis qu'il fait chaud, la miss dort dans la pièce du bas. Pas n'importe où : sur le guidon, garni d'une veste d'équitation épaisse, d'une sorte de vélo-rameur qui est censé améliorer la musculature générale et affiner la dame. (je ne veux pas entendre un commentaire...). Pour tout chat qui s'endort, la chose est déjà aléatoire. Rappelons donc ici que Petit-Coeur, vu ses séquelles de coryza, n'a pas d'équilibre et est faible du train arrière. Elle laisse donc pendouiller les pattes avant et arrières, une de chaque côté, le bidou sur l'exacte ligne d'équilibre que constitue le guidon, le menton posé droit devant. Et le plus étonnant est qu'à part quelques moments périlleux où elle dévisse, ça tient ! Cette petite puce est extraordinaire !

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Martine, je sais pô comment t'arrives à quitter la maison pour aller gratter, y'a trop de moments sympas, d'images tendres où drôles...

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tu me fais rire martine, vivement le prochain épisode
sont bien mignons tous ces ptits chatchats

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Je visualise bien la Pimousse dans ses oeuvres Ptite mère. Encore une qui a tiré le jackpot, elle a eu de la chance dans son malheur : elle est "tombée" sur deux anges.

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Oursblanc, à vrai dire, je ne sais pas non plus comment j'arrive à quitter ça pour aller phosphorer sur des montages technico-finanço-juridiques à la mors-moi le pied...
Si : je ne suis pas payée si je n'y vais pas.
Or, ça mange, ça salit de la litière, des médicaments, du détergent, etc... ces petites choses.

Mais ils sont si mignons, tous.
Ce matin, dans la salle de bains, dernier pipi avant de partir, ça n'a pas pu se faire sans Gold, 3 ans, blanc magnifique aux yeux dorés, juché sur le bord du lavabo et me grignotant-léchouillant l'oreille ou la joue (et il attrape la tête, sans les griffes, pour qu'on reste tranquille parce qu'on est quand même plus à l'aise comme ça. Enfin, lui. Parce que moi...) et dans le même temps, je sens un petit bout de poils tous doux m'arriver sur l'épaule, puis dégouliner sur mes genoux pour venir se blottir, ronronner, puis se dresser de tout son long (pas bien long) pour mettre ses deux petites pattes tendues sur mon visage (sans les griffes) et me lécher le menton.
Et j'en ai un à chaque marche d'escalier, devant mes pieds jusqu'au départ dans toutes les pièces, pour un dernier câlin pour la route.
Comme tu dis, difficile de partir...

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Ah oui, je sais pas comment tu fais non plus Martine, ils sont tellement meugnons !!

Je me trompe où Fée-Jolie a les yeux vairons ????

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Bien vu Orianne : Fée-Jolie à l'oeil droit bleu, le gauche vert.
Fidji, c'est le contraire.
Les autres blanches ont les yeux dorés.

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admiration

toute une ribambelle de minouchat et aller bosser

moi j'avoue on n'a que 3 chats et un chien (bon 2 en ce moment) mais c'est un creve coeur tous les matins

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Je sais.
Quoique, ce matin, j'ai failli avoir un bout de chien en moins.
Je sortais de chez moi avec Pimousse quand ma voisine d'en face est sortie avec Vince, beau boxer de 7 ans, mâle, entier. Elle résiste ferme pour ne pas faire le papillon bien qu'il tire sur la laisse pour rejoindre Pimousse : les trottoirs ne sont pas larges, chacune sur le sien jusqu'au parc faute de quoi on y arriverait avec un embrouillamini inextricable de laisses et de chiens ligotés.

Arrivées au parc, on lâche les fauve et ils se mettent à cavaler partout, Vince prenant le temps de pipi-popo, Pimousse oubliant tellement elle est jouasse. Au bout d'un bon moment, chacun rattrape son fauve, ma voisine rentre pour partir au travail, moi, je m'apprête à faire un tour du parc à fond de laisse pour le pipi-popo de la môme et là, déboule un X beauceron, le poil hérissé, qui fait mine de se jeter sur Pimousse. Heureusement, Vince et sa maîtresse étaient déjà loin.
J'ai eu toutes les peines à ramener Pimousse derrière moi alors qu'elle essayait de fuir à toutes pattes en même temps que je m'interposais et que je tentais d'impressionner l'agresseur par des NON STOP à bonne voix.
Le vigile est arrivé, vociférant, se mettant à taper avec un bout de bois style gourdin sur un arbre et hurlant des AUX PIEDS, jusqu'à ce que le chien cesse d'essayer de trouver un angle d'approche et retourne vers lui.
Entre temps, j'avais pris ma Pimousse dans les bras (ce que tout le monde vous dira qu'il ne faut pas faire. Autant dire "laissez bouffer votre chien". Je ne peux pas) et j'essayais d'en imposer au chien.
Voyant le bâton, je suis restée, pour dire au vigile de ne pas le frapper, que ça ne servait à rien.

Il ne l'a pas frappé et je n'ai pas entendu le chien hurler ensuite, quand ils sont repassés dans le chantier voisin.
On a parlé de la diarrhée du chien, qu'il lui donnait du smecta, que le chien lui avait échappé - probablement en entendant Pimuosse et Vince s'en donner à coeur joie, ou en sentant un mâle et une femelle entiers - pendant qu'il le lavait.
A priori, à l'eau froide, l'eau chaude n'étant pas prévue sur les chantiers.
Je lui ai ai sussuré que le lavage à l'eau froide, par un matin pas chaud, quand un chien a déjà la diarrhée, ce n'était pas l'idée du siècle.
Du coup, comme il doit encore garder le chantier un moment, jusqu'à finition, je pense qu'on va se revoir.
Je vais donc tâcher d'évangéliser un vigile pour lui inculquer la nécessité d'un traitement correct de son chien.

Mais sur le coup, l'adrénaline !...
L'essentiel est que j'aie ramené la moumousse à la maison avec tout son compte d'oreilles, de pattes et de croupion.

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Martine tu m'éclates !!
l'évangélisation des vigiles...tu guettes la béatification ma parole! cette méchante engeance est infirme côté coeur mais si tu y arrives quelle merveille

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si ça n'entre pas facilement, je me laisserai peut-être aller à JE VOUS EN FON CE BIEN CA DANS LA TE TE !
Je ne l'ai pas revu pour le moment.

Quant à ma moumousse, elle est sortie en ville samedi soir chez l'adoptante de Coa, une magnifique podenca de l'association Lévriers Libres et s'est très bien comportée au milieu de 4 chiens inconnus. Est arrivé ce qui devait : les deux plus saucisses de la bande, Pimousse et Coa, se sont mises à jouer ensemble, les pattes en l'air, se poursuivant autour de la table. Ca fait plaisir de voir des chiennes qui ont souffert profiter de la vie comme ça et se souvenir qu'elles ont respectivement 2 et 1 an.
Jeudi, je fais stériliser et tatouer la demoiselle, je devrai la faire tenir tranquille, en laisse, pendant un moment et pas de chahut avec les copines tant que ça ne sera pas cicatrisé.

Côté Petit Coeur, elle s'est faufilée dans la masse de chatons que je câline le soir à la porte de leur dodo et est allée se coucher avec eux. La plus petite des blanches aux yeux dorés, Faribole, est immédiatement allée se coucher avec elle et vas-y qu'on se lèche l'une l'autre en ronronnant, Fauvinou est allé faire du pain dans les poils de Petit Coeur et elle, fait la grande soeur au milieu des petits tas de poils.
Tassés à 3 dans un couvercle de boîte à papier à photocopieuse. C'est chou !
Il était temps que j'aie de l'aide avec une baby sitter. Elle est adorable, ma Petit Coeur.

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Côté chatons, j'ai une deuxième nurse : Pimousse.
Je l'ai fait stériliser jeudi dernier, donc, elle a une gaine 18 heures ton sur ton du plus bel effet et je la promène en laisse pour qu'elle n'aille pas se faire du mal en gigotant. Hier après-midi, je l'ai laissée à la maison, because chaleur.
Et comme j'avais lâché les chatons, ça a été la grosse rigolade, les matous sur le dos, elle, leur crougnouchant le bidou, les fauves de défendant des pattes arrières.
Félinette a essayé de l'avoir par surprise pour lui attraper une oreille au vol mais moumousse a fait face, les oreilles dressées. Du coup, Félinette (une des plus petites en taille) s'est immédiatement transformée en dinosaure à crête et queue d'écureuil (specimen très rare, uniquement mériellois) et lui a craché au museau, moustaches hérissées. Ce qui a fait éternuer Pimousse. Fuite éperdue de la dinosaurette sous le fauteuil.
Occupée par l'avant, Pimousse se faisait attaquer la queue par Feu-Follet, pendu après griffes et dents, et promené par conséquent de droite à gauche. Tordant.
Hier soir quand je suis rentrée, absolument tout ce qui pouvait être renversé ou mis par terre l'était mais tout le monde a bien dormi cette nuit. Ah, les gosses... !
Et en tous cas, je peux garantir aux postulants à l'adoption que les matounets n'ont pas peur des chiens.

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Martine, l'espèce "Dinosaure poualu à crête et à queue d'écureuil" a émergé en Seine et Marne aussi affraid et je confirme que ça ne craint pas les chiens Wink

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Par chez nous on a plutot du grognozaure à poils longs quand on met une balle en peluche au milieu des trois mini-pouces.

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Les câlins, c'est mon grand moment de bonheur quand je rentre d'une bonne journée de boulot ces derniers jours : je m'assoie en tailleur par terre devant le kennel, j'avouvre la porte et je câline l'un après l'autre, quand il viennent et jusqu'à ce qu'ils en aient marre et me quittent pour aller jouer.
C'est du pur bonheur et ça donne l'energie pour nettoyer leur petit palace, la litière, et de se relever pour aller sortir les chiens. I love you

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Décidément, Pimousse m'épate : je termine la semaine avec Denise, trouvée lundi midi errante et épuisée dans les zones. Une mamie cane corso. Mamie mais impressionnante quand même. Eh bien, Mousse a fait mine d'avoir peur de l'approcher pour la ballade popo lundi soir mais depuis, je les emmène en laisse ensemble et elle jouent. Il faut voir ça : Pimousse qui fait des tours ventre à terre comme un toton et Denise qui chouine parce qu'elle ne peut pas suivre (vieillesse + arthrose et probablement atteinte aux ligaments croisés patte avant gauche. Je vais pour un check up chez le véto tout à l'heure).
Denise se sent mieux au point d'essayer de trottiner et de pousser jusqu'au fleuve. Après, il faut revenir. On fait des pauses. Pendant lesquelles Pimousse s'use les pattes en cercles autour de nous.
Tout ce monde là s'entend bien.
Hier soir, Denise m'a scotchée : à peine arrivée dans le parc, je lui enlève sa laisse et là, elle fait 4 foulées de vraie course. Bon, une course de Mamie Denise et elle s'est arrêtée là pour trottiner puis marcher mais 4 vraies foulées de course, pattes qui décollent du sol et tout et tout. Je devais avoir la machoîre qui tombait...
Pimousse, du coup, a mis la surmultipliée, dans l'espoir que la masse la suivrait. Vite déçue mais elle ne se démotive pas, tourne comme une fusée et revient vers Denise qui agite la queue avec la vigueur de tout son corps : moralement, elle court aussi.
Il y a aussi le jeu du bâton avec deux règles différentes : Pimousse court comme une dératée avec le bâton dans la gueule, Denise se couche et le broie méthodiquement. Ce que voyant, Pimousse entre dans le jeu et lui fauche les débris à ras des babines pour repartir comme une flèche. Et Denise chouine en remuant la queue. Je me demande si elle prend plus ou moins Pimousse pour sa petite.

Je me marre de voir Laurel et Hardy en laisse devant moi, une petite chougnette blanche et un gros machin bringé foncé presque noire. J'ai quand même failli valser par-dessus Denise qui change de direction sans clignotant et ne bouge pas d'un centimètre quand on se prend les pieds dedans, mais c'est un détail.
Si tout se passe bien, Denise sera belge mardi : une amie me la prend.

Et décidément, je me dis que j'ai trouvé le gros lot avec ma Pimousse. Elle me détruit bien un peu la baraque avec les chatons dans la journée mais avec ce qu'elle a subi avant, je la trouve assez exceptionnelle, quand même !
Ils sont tous exceptionnels et surprenants, mes 4 pattes : mes chats sont allés renifler le nez de Denise. Qui n'a rien dit. Une bonne pâte. Eux aussi. Seul Tunis, prince du désert et croisé chat sauvage de son état, l'a regardée de haut, sans s'approcher. Mais il n'a pas feulé, pas fait les yeux mi-clos de tueur sauvage, ne s'est pas approché à ras du sol dans l'intention évidente de lui sortir les tripes. Pour Tunis, ça équivaut à une empathie certaine. Du coup, je l'ai câliné, ce à quoi il a répondu par son râclement de gorge qu'il faut interpréter comme du contentement, de l'air de dire "je sais".
Je les aimeueueueueueue ! Y compris Denise.

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Une nouvelle arrivante chez toi Martine alors ? Mais pour pas longtemps apparemment ... C'était aujourd'hui le jour J pour la belle ??

Bisous à toute ta tribu !

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Oui, Denise est partie mardi dernier chez mon amie Nadine en Belgique. J'ai une photo mais je suis toujours une quiche, comme chacun sait.
Coup de blues car elle avait pris sa place (euphémisme) et sait se faire aimer, ma douce mamie Denise.
Nadine et sa famille la choyent mais à moi, elle me manque. Et à Pimousse aussi, je pense : elle jouait à faire le toton autour de Denise et là, après avoir flairé deux jours en trottinant, elle se contente de trottiner et de faire ses besoins, sans jouer.
Sans doute pour m'empêcher de marasmer trop longtemps, Nicole, autre amie de la PA, m'a récupéré Frimousse, très joli(e) petit(e) gris(e) et blanc(he) d'environ 3 mois. "né(e) à la Pentecôte" a-t-elle précisé. Le E entre parenthèse car l'animal(e) est un peu farouche et ne se laisse approcher que pour une caresse furtive et filer. Ca va venir.
Frimousse donc, récupéré(e) dans le rue dans les zones, fait cause commune avec mes chatons biberonnés au 1er étage, Friskette, toujours là bien que magnifique tricolore et mes 4 FA. Quand le petit bout a une inquiétude, il fonce vers le plus imposant des 4, Gold, qui le lèche bien partout. Et le petit se blottit.
Il fait concurrence à Extra en genre de nounou, ainsi qu'à Vernon, mon premier chat mâle, qui avait élevé Gribouille, qui vient de décéder en mai à presque 18 ans.
J'ai quelques touches pour des adoptions de mes petits qui ont maintenant 5 mois mais rien qui se concrétise.
Ils sont pourtant très beaux et très câlins, comme toutes les bestioles de la maison.
Wait and see.

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Hier soir, fin de journée agitée pour changer.
J'avais vu une demande de co-voiturage sur rescue : Deuil/Parmain. C'est dans mes cordes, travaillant à Gonesse. On arrange ça, et je charge un petit "teckel" gras comme un loukoum, de la taille d'un adulte, le museau un peu trop rond pour être un honnête teckel et les pattes bien trop énôôôrmes. Pimousse fait la grosse voix pour montrer qui est le patron dans la voiture mais nous roulons tranquillement. Soudain, le jeune homme vomit des glaires comme un brave et m'inonde trois ou quatre fois la banquette arrière, le temps que je trouve de quoi me garer, le nettoyer et éponger le tout.
Moralité : même s'il ne pleut pas et que votre chien ne risque pas de mettre des traces de pattes souillées de boue sur vos banquettes, ayez des serviettes éponges dans la voiture.

Visite chez le médecin ensuite (3/4 h de retard, tarif syndical) et j'emmène le petit bout sur le parking d'un restau rapide nord américain qui n'égorge pas les boeufs qu'ils mettent en haché dans les hamburgers, retrouver la FA qui le prend en charge. Du coup, je m'adonne à la gastronomie nord américaine rapide. Sandwich au thon le midi en promenant Pimousse, best off frites coca zéro le soir, si c'est pas équilibré, je mange mon chapeau, comme dirait une pub.

Retour at home, nourrissage de tout le monde sur le coup de 22H.
Je m'effondre dans le canapé et Petit-Coeur me fait une grosse peur. Elle descend du meuble de cuisine mais se loupe et atterrit la tête la première, en vrac, dans la grande gamelle pour chien de bonne taille remplie d'eau que je laisse en permanence pour ma tribu de chatons (en pension depuis hier soir chez une amie, ça m'a fait une autre soirée rock'n roll et dodo tard).
Le problème est qu'elle a mis quelques instants atrocement longs à se relever. Le temps que je me précipite et elle se redressait, la tête dégoulinante d'eau. Je l'ai prise dans mes bras, l'ai séchée, l'ai câlinée, transie de peur pour elle. Et ma toute petite, malhabile, de se blottir contre moi avec force, comme tout ce qu'elle fait puisqu'elle n'est pas maîtresse de ses mouvements et de son équilibre absent. J'en aurais pleuré. De peur, de soulagement, d'amour. Je l'ai câlinée, elle se nichait en me regardant de ses grands yeux ronds si confiants et en ronronnant tout ce qu'elle pouvait.

Et, le croyez-vous, les 14 petits-qui-deviennent-grands me manquent...

Ce soir, dîner rapide pour confier Pimousse à des amis, à l'autre bout du département, à ras de la Normandie. Retour, dodo.
Demain matin, chargement de la voiture et en route pour l'andalousie, récupérer 7 galgos et podencos arrachés à la mort, en descendant des dons.
Ca va me déchirer le coeur de laisser tous les autres, voués à la mort.
Et les miens vont cruellement me manquer. Mais il faut.

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Martine, bravo pour tout ce que tu fais pour les uns comme pour les autres, vraiment. Ouf pour Petit cœur, plus de peur que de mal finalement.

Bon courage pour ton périple jusqu'en Espagne alors si j'ai bien compris et t'en fais pas tous tes petits protégés sont choyés et t'attendent de pattounes fermes.

Bisous

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Je me demande toujours comment ils font pour nous atteindre au plus tendre de nous mêmes, comment leur souffrance où leur peur peut nous déchirer à ce point, comment lorsque je vois l'un des miens se faire mal, je ressens avec le choc un impact dans tous mes nerfs, une souffrance physique en plus de la détresse morale...On est en lien mais ce n'est pas d'une manière banale, peut-être parcequ'il n'y a de paroles, je ne sais pas...
En tout cas heureusement que Petit coeur n'a rien et moi aussi je te souhaite bon courage pour ta mission. Tes loulous penseront à toi autant que tu pensera à eux je crois Wink

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Merci les filles. Je pars tout à l'heure.
Oursblanc, tu as bien résumé ce que je ressentais.
Et ma moumousse, laissée hier soir en de bonnes mains, me manque et je m'inquiète si elle ne s'ennuie pas, ne me cherche pas, etc... Je vais rouler et papoter avec mon neveu, ça va me distraire l'esprit.
Quant à Petit-Coeur, j'ai enlevé tout ce que je pense encore être dangereux pour elle et je vais la couvrir de bisous avant de partir, ainsi que les autres dont mon fils va s'occuper pendant mon absence.
A samedi !

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le voyage en espagne est déjà loin, a été épuisant mais gratifiant.
J'ai Bulle en famille d'accueil. Podenco mediano, une merveille quand il court. Il apprend très vite mais son nez de chasseur l'incite à tenter des escapades, je dois le surveiller comme le lait sur le feu.

Côté chats, il dort avec 2 des chatons dans son panier. En revanche, dehors, il courserait bien les autres chats, le bougre. Et là, ce ne serait pas pour jouer. Ils ont été tabassés pour tuer et rendre la proie (les lapins) et s'il a été jeté par-dessus le mur de 2 mètres d'un refuge, c'est parce qu'il ne devait pas rendre, affamé comme ils sont tous délibérément ("pour avoir envie de chasser" : ça donne pas envie de tabasser, ça aussi ?).

Pimousse a donc un copain chien qui court aussi vite qu'elle. Ils s'éclatent dans le parc public. Et les chatons font groupe avec eux deux.

Petit-Coeur continue à prendre les "petits" qui sont maintenant aussi grands qu'elle en affection. Ils viennent dormir avec elle par paquets de 2 ou 3, le tout sur ma selle d'amazone garnie de polaires anti-griffes. Elle les lèche en ronronnant et le chaton léché ronronne tout aussi fort, offrant son bidou, tête renversée, pattes tendues de contentement. C'est un amour, mon Petit-Coeur.

Dans la rubrique "je ne fais rien comme tout le monde et je m'en bats l'oeil", FezNoz, magnifique noir très élancé à tête triangulaire, très coquin et câlin, vient me lécher ma compote de rhubarbe sur mes tartines !
Il était sur mes genoux, essayait de monter, j'ai failli lâcher la tartine quand j'ai vu pourquoi il tenait tant à se rapprocher. Et il n'a pas léchouillé un peu, histoire de dire qu'il goûtait ce que je mange, comme ils font parfois, pour laisser tomber tout de suite. Non, il a consciencieusement commencé à nettoyer un coin de ma tartine, avec la boîte à ronrons en fonction. mmmmhhh, c'est bon ! Il sera dit qu'en récupération, FA ou adoption, je n'aurai décidément pas les chats de tout le monde.
Pas sûre que ce soit un critère pour favoriser son adoption, au gars FezNoz !

Côté adoptions, Frutti, très jolie toute petite tigrée gris foncé/gris clair que j'avais récupérée en même temps que FezNoz, et aussi ronde qu'il est long, est adoptée dans le quartier. Fée-Jolie, blanche très douce aux yeux vairons, va être adoptée par des adoptants d'une galga blanche de mon association.

Il m'en reste encore à la pelle et hors de question de les faire adopter "à la loterie", par annonces à la boulangerie. Je commence à m'inquiéter. En attendant mieux, je nourris, soigne, torchonne, caresse. Que faire d'autre ? Quand ils viennent, à la queue leu leu ou en paquets, chercher des câlins, je n'y pense plus.

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Pour quelles raisons les hommes mariés grossissent alors que les hommes célibataires maigrissent...?
En fait c'est très simple :
- Le célibataire va au frigo, n'y trouve rien d'intéressant et retourne au lit.
- - L'homme marié va au lit, n'y trouve rien d'intéressant et retourne au frigo...!. Laughing



Une femme arrive chez son médecin
Elle a des dents cassées, un cocard, le nez en sang, et le visage tuméfié.
- - Qui vous a fait ça...?
- - C'est mon mari...!
- - Hein...? Mais je croyais qu'il était en voyage d'affaires ?
- - Moi aussi...!
LaughingLaughing


Comment se nomme un grand rassemblement d'aveugles..? Un Festival de cannes...! ShockedLaughingShocked



Coup de soleil...!
Un homme s'endort plusieurs heures sur la plage et se réveille avec un terrible coup de soleil sur tout le corps.
Il s'en va immédiatement à l'hôpital et il est promptement admis pour brûlures au second degrés.
Il commence déjà à avoir des cloques sur la peau et il est en quasi agonie.
Le médecin lui prescrit immédiatement un traitement :
- biafine en couche épaisse,
- un puissant sédatif,
- et une pilule de Viagra à prendre toutes les quatre heures.
L'infirmière Sandrine, surprise demande au médecin
Que peut apporter le Viagra dans son cas ?
Le médecin réplique :
- Ca va lui permettre de garder les draps éloignés de ses jambes...!


EmbarassedEmbarassedEmbarassed
C'est quoi la vie ???
Le succès à 2 ans : C'est de ne pas faire dans sa culotte.
> Le succès à 3 ans : C'est d'avoir des dents.
> Le succès à 12 ans : C'est d'avoir des amis.
> Le succès à 18 ans : C'est d'avoir le permis de conduire.
> Le succès à 20 ans : C'est de bien faire l'amour.
> Le succès à 35 ans : C'est d'avoir de l'argent.
>
Et puis ça repart dans l'autre sens !!!

> Le succès à 50 ans : C'est d'avoir encore de l'argent.
> Le succès à 60 ans : C'est de faire encore l'amour.
> Le succès à 70 ans : C'est d'avoir encore le permis de conduire.
> Le succès à 75 ans : C'est d'avoir encore des amis.
> Le succès à 80 ans : C'est d'avoir encore des dents.
> Le succès à 85 ans : C'est de ne pas faire dans sa culotte

Surprised

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Dernier post le 21 octobre.
Et pourtant, il s'en est passé, des choses, at home.
Aucune adoption en plus hélas, j'ai donc tous mes "1 an" (depuis le 15 mars) qui sont toujours là.
Coryza pour les uns, conjonctivite pour les autres, fausse alerte pour Petit-Coeur que j'ai bien cru pleine des oeuvres d'un affreux joli jojo que j'avais nommé Frimousse, à tout hasard, gris et blanc, plutôt rondouillard : je ne voyais pas sous la queue tellement il fuyait vite devant moi comme si la mort elle-même était en approche.
Il a fallu qu'il soit malade du coryza, 2 jours apathique, pour que je puisse l'attraper, lui fourrer des médicaments dans le bec sans qu'il rebiffe, nettoyer les yeux, le nez. Et constater que j'avais au creux de la main une paire de baballes qui ne me laissaient plus aucun doute sur le fait qu'il n'est donc pas une fille.
Il fuit toujours, le lascar mais il se rapproche bien trop des filles.
Or, il m'en reste 4 qui ne sont pas stérilisées.
J'ai déjà mis une trappe. Plusieurs fois. J'ai arrêté avant d'avoir à l'intérieur le soir, miaulant désespérément, la liste complète de tous ceux que ne n'envisage pas de faire castrer au trot parce qu'ils le sont déjà ou que ce sont des femelles...

Bref, la vie de dingue continue.
J'ai calculé mon budget litière, c'est pharaonique.
La bouffe, à l'avenant (ce qu'ils font popo, ils le mangent d'abord ; j'explique).
Les soins... ouh, là, ça pique !

Avec ça, ouvrant les portes, même celle de ma chambre. Ils m'ont extirpé la clé dans la serrure et l'ont perdue, allez savoir où. Je la retrouverai sans doute quand je déménagerai. Un jour. Heureusement, la porte n'était pas verrouillée à ce moment-là parce que sinon, j'aurais eu la bagatelle que représente le déplacement d'un serrurier ou le remplacement d'une porte et du châssis.
C'est mignon, ces petites bêtes...

Pour manger, je négocie, envahie de chats que je suis. Un sur les genoux, deux à proximité de mon assiette, prêts à faucher le contenu (et croyez-moi, ils ont des goûts culinaires considérablement éclectiques), une derrière ma tête, installée sur ma selle d'amazone, à me "peigner" des griffes et des dents. Elle me tient la tête si je gigote de trop. Deux qui se crachent dessus pour la gamelle. Un qui renverse quelque chose (5 litres d'eau par exemple ; avant de partir le matin, c'est idéal).
Le soir, je torchonne les caisses woua woua jusqu'à pas d'heures...

Avec ça, Bulle, le popod du sauvetage de fin septembre, est toujours là. Il s'habitue de mieux en mieux tous les jours. Je ne lui ferai pas la crasse de le laisser dans des mains étrangères, à moins que le postulant adoptant soit fiable à 150 %. Pas gagné.
Vendredi, il boîtait d'un antérieur. Une épine entre le doigt et le coussinnet. J'ai enlevé ça, lui ai massé le dessous de la patte. Il m'a léché la main. J'en aurais presque eu la larme à l'oeil.
A côté de ça, il est capable de se goinfrer de 3 gamelles des chats (c'est bien meilleur que ses croquettes et sa pâtée de chien à lui) dès que j'ai le dos tourné.

J'ai des appels pour des chattes prêtes à mettre bas, des chatons de l'été dernier, des chats entiers mais très gentils fichus dehors par des "maîtres" qui préfèrent mettre 60 euros dans des conneries plutôt que dans la stérilisation du matou.
Je suis à plein.
La SPA, on ne sait pas trop ce qu'il va en advenir même côté chats puisque sans raisons particulières, la serre a été vidée de ses occupants...
Alors, je m'accroche.
Et je caresse tout ce petit monde dès qu'ils ont fini leurs conneries.
Parce que ce n'est pas de leur faute, à eux.

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Toujours la tête sur le guidon Martine, ça fait des rides tous ces soucis, mais des belles, de celles qui disent une vie bien remplie et généreuse I love you

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j'aime te lire martine. ça faisait bien longtemps que tu ne nous avais pas gaté d'un petit récit. tu sais si bien les écrire I love you

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oursblanc a écrit:

Toujours la tête sur le guidon Martine, ça fait des rides tous ces soucis, mais des belles, de celles qui disent une vie bien remplie et généreuse I love you


Je te souhaite beaucoup de courage et espère que des adoptants viendront.

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Oui, toujours contente de lire les nouvelles de tes troupes Martine même si là on sent bien que tu es plus que débordée. Je pense souvent à toi en me demandant comment tu fais avec tout ce petit monde, toute l'énergie que tu dépenses, les sous aussi, bref c'est super courageux de faire tout ça car c'est vrai qu'ils n'ont rien demandé.

Déjà que quand j'avais les petits et maman chat plus notre Mimine, j'enrageais un peu parfois pour les litières de 8 chats alors toi, j'imagine même pas.

Je t'envoie tout plein de bisous et si je peux, j'essaie de voir s'il y a des gens sérieux autour de moi pour un d etes protégés I love you

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