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Valko03

Législation en matière de CDC

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REGISTRE DES ENTREES ET SORTIES N° 12448*01
D'ANIMAUX D'ESPECES NON DOMESTIQUES DANS UN ELEVAGE D'AGREMENT


(Arrêté du 10 août 2004 fixant les règles générales de fonctionnement des installations d’élevage d’agrément d’animaux d’espèces non domestiques)

IDENTIFICATION DE L’ELEVAGE
Nom et prénom de l’éleveur :.............................................................................

Adresse de l’élevage : ...............................................................................
d’animaux d’espèces non domestiques :………………………………………………………………………………………….
Espèces ou groupes d’espèces non domestiques dont
la détention est autorisée (1)
Nombre de specimens autorisés
par espèce ou groupe d’espèces
.........................................................................
.........................................................................
.........................................................................
.........................................................................
.........................................................................
.........................................................................
.........................................................................
.........................................................................
.........................................................................
.........................................................................
.........................................................................
.........................................................................
Ouvert le : ....................................................

Le présent document, contenant....................feuillets, celui-ci compris, a été coté et paraphé par nous

Préfet (*) Commissaire de Police (*) Maire (*)

de ...............................................................................................................................................
A ..............................................................., le............................................................................
Clos le : ........................................................

le Préfet (*) le Commissaire de Police (*) le Maire (*)

* Biffer la mention inutile





Notice explicative du registre des entrées et sorties
d'animaux d'espèces non domestiques
dans un élevage d'agrément


(arrêté du 10 août 2004 fixant les règles générales de fonctionnement des installations d’élevage d’agrément d’animaux d’espèces non domestiques)

Le registre ne doit être rempli que pour les espèces faisant l’objet d’une autorisation de détention.
(1) L’espèce doit être mentionnée par son nom scientifique
(2) A chaque ligne du registre doit correspondre un seul spécimen
(3) Préciser s’il s’agit : d’un don, d’un achat, d’un échange, d’une naissance, etc…
(4) Indiquer la source de l’animal : naissance en captivité, capture dans le milieu naturel, inconnue
(5) Indiquer les références complètes du fournisseur : nom ou raison sociale et adresse complète
(6) Indiquer les références, relatives à l’entrée dans l’élevage, :
- des autorisations administratives, le cas échéant, nécessaires au titre des législations relatives à la protection de la nature (autorisation de transport, permis
CITES d’importation, certificat intracommunautaire) ou à la protection sanitaire (certificat sanitaire) ;
- de tout autre document accompagnant l’entrée de l’animal : facture d’achat, attestation de cession, attestation de don, certificat d’échange,…. ;
- si l’animal est né dans l’élevage, indication du numéro d’identification de la mère et du père lorsque cela est possible au regard de la biologie et de la
zootechnie de l’espèce.
(7) Préciser s’il s’agit : d’une vente, d’un don, d’un décès, etc…
(8.) Indiquer les références complètes du destinataire : nom ou raison sociale et adresse complète
(9) Indiquer les références relatives à la sortie de l’élevage, :
- des autorisations administratives, le cas échéant, nécessaires au titre des législations relatives à la protection de la nature (autorisation de transport, permis
CITES d’exportation, certificat CITES de réexportation, certificat intracommunautaire) ou à la protection sanitaire (certificat sanitaire) ;
- de tout autre document accompagnant la sortie de l’animal : facture de vente, attestation de cession, attestation de don, certificat d’échange,….
(10) A préciser lorsque la mort s’est produite dans l’établissement et correspond à la nature de la sortie.

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MINISTERE DE L’ECOLOGIE ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE
N° 12447*01
DEMANDE D'AUTORISATION DE DETENTION
D'ANIMAUX D'ESPECES NON DOMESTIQUES


(Arrêté du 10 août 2004 fixant les règles générales de fonctionnement des installations d’élevage d’agrément d’animaux d’espèces non domestiques)

IDENTIFICATION DU DEMANDEUR
Nom et Prénom
Date de naissance :
Lieu de naissance
Adresse :
Rue & N°:
Code postal /
Commune :

ACTIVITES PRATIQUEES
Détention simple: oui non *
Utilisation : oui non * ; si oui, préciser la ou lesquelles et dans quelles conditions : ………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
Transport : oui non * ; si oui préciser à quelles fins : …………………………………………………………………..…………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….
* cocher la case correspondant à votre situation

ESPECES ANIMALES POUR LESQUELLES L'AUTORISATION EST DEMANDEE
Nom vernaculaire Nom scientifique Nombre de spécimens
Sexe
mâle femelle indéterminé
.............................................................
.............................................................
.............................................................
.............................................................
.............................................................
....................................................
....................................................
....................................................
....................................................
....................................................
................................
................................
................................
................................
................................
................................
................................

MODALITES D’ACQUISITION DES COMPETENCES
Formation initiale en rapport avec la biologie, l’élevage des animaux (diplômes, niveau d’étude, etc…) :……………………………………….…………..…
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Stages, expériences dans l’élevage des animaux (y compris élevages effectués à titre personnel) (préciser espèces concernées, durée,
lieu) :………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………..
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Participation à des activités associatives ou professionnelles en rapport avec les animaux ou la protection de la nature :…………………………………..…..
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
Bibliographie et autres moyens d’enrichissement des connaissances :………………………………………………………………………………………..…..
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………
……………………………………………………………………………………………………………………………………………………………………….

DESCRIPTION DES INSTALLATIONS ET DES CONDITIONS
DE DETENTION DES ANIMAUX

Adresse du lieu de détention (si elle est différente de celle du demandeur) :
N° 
Rue
Code postal
Commune

Pour chaque espèce ou groupe d'espèces détenues et entretenues dans les mêmes conditions.
Compléter et joindre à la présente demande le formulaire annexé
Le soussigné atteste sur l'honneur l'exactitude des renseignements fournis et s'engage :
- à respecter les conditions d'autorisation prescrite par l'administration en vue de la détention d’animaux d'espèces animales
non domestiques
- à permettre aux agents mentionnés à l’article L. 415-1 du code de l’environnement, de visiter son élevage, ces visites étant
toutefois assorties des conditions suivantes :
* les visites ne peuvent être commencées avant 8 heures ni après 19 heures ; elles ont lieu de jour, en ce qui concerne
les installations extérieures ;
* elles doivent avoir lieu en présence du détenteur de l’autorisation ou de son représentant ;
* elles ne peuvent avoir lieu que dans les lieux où sont hébergés les animaux, dans les annexes de l’élevage
nécessaires à l’entretien des animaux ainsi que dans les véhicules dans lesquels ils sont transportés.

Fait à ..............................................................
le ....................................................................
Signature du demandeur

Pour toute information concernant le renseignement de ce formulaire, contacter la direction départementale des
services vétérinaires de votre département ou, pour l’exercice de la chasse au vol, la direction départementale de
l’agriculture et de la forêt de votre département.
La loi n° 78-17 du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés s'applique aux demandes nominatives portées dans ce formulaire. Elle
garantit un droit d'accès et de rectification pour ces données auprès de la préfecture du département du domicile du demandeur.

DEMANDE D'AUTORISATION DE DETENTION
D'ANIMAUX D'ESPECES NON DOMESTIQUES

ANNEXE

(Remplir une fiche annexe par espèce ou groupe d'espèces qui sont entretenues dans les mêmes conditions)

A - ESPECE OU GROUPE D'ESPECES
Nom(s) scientifique(s) :……………………………………………………………………………………………………………
* Cohabitation de différentes espèces : préciser lesquelles…………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………..
origine géographique de l’espèce ou du groupe d’espèces: …………………………………………………………………..
biotope : ……………………………………………………………………………………………………………………….
mode d'organisation sociale, particularités du comportement : ………………………………..…………………………..…
…………………………………………………………………………………………………………………..…………….
…………………………………………………………………………………………………………………………………

danger éventuel pour l'homme : ………………………………………………………………………………………………
danger éventuel pour la faune locale : ………………………………………………………………………………………..
statut juridique et conséquences pratiques : …………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………………...
* si oui, cocher la case

B - ALIMENTATION
Aliments et boisson
(y compris vitamines, minéraux)
Fréquence et heures de distribution et de remplacement
* autres particularités de l’alimentation et précautions : ……………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………………………...
……………………………………………………………………………………………………………………………………...
*si oui, cochez la case

C - REPRODUCTION
âge de la maturité sexuelle : ………………………… ; saison de reproduction :……………………………………………..
modalités du choix des reproducteurs :…………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………….
modalités de l’entretien des reproducteurs : ………………………………………………………………….………………..
………………………………………………………………………………………………………………………………….
………………………………………………………………………………………………………………………………….
* durée de la gestation : ……………… * incubation (durée) :………………… * incubation naturelle
* incubation artificielle
température : …………… ; hygrométrie :…………… ; retournement des oeufs ……………….…………………..
nombre de jeunes escompté par femelle et par an : ……………………………………………………………………………
modalités de l’entretien des jeunes (jusqu’à la phase adulte) : ………………………………………………………………...
………………………………………………………………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………………………………………..
destination des jeunes :…………………………………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………………
* autres particularités et précautions : ………………………………………………………….…………………………..
……..…………………………………………………………………………………………………………………………..
* cocher la case si votre élevage est concerné par cette rubrique

D - INSTALLATIONS D’HEBERGEMENT DES ANIMAUX
Joindre un plan général des installations, les situant dans leur environnement (par rapport aux tiers et aux autres
activités personnelles)
nature de l'installation fixe** :
* enclos ; * cage ; * volière ; * terrarium ; * bassin ; * autre : ……………………………………
nombre d'animaux dans l'installation décrite ou densité en animaux : …………………………………………...…………:
longueur : …………………………………………………………………………………………………………….....
largeur : ………………………………………………………………………………………………………………....
hauteur : ……………………………………………………………………………………………………………...…
matériaux des parois de l'installation: …………………………………………………………………………………...…..
…………………………………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………………………………..
nature du sol : ……………………………………………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………………………………..
* clôtures** (ou grillage des cages):…………………………………………………………………………………….
nature et matériaux : ……………………………………………………………………………………………………
* écartement des poteaux :…………………………………………………………………………………………
* écartement des barreaux : ………………………………………………………………………………………..
* maille du grillage : ……………………………………………………………………………………………….
hauteur au-dessus du sol : ………………………………………………………………………………………………
profondeur dans le sol : ………………………………………………………………………………………………...
* barrières supplémentaires ou autres moyens prévenant le contact entre les personnes et les animaux :
…………………………………………………………………………………………………………………………..
* abris ou installations intérieures
nature et matériaux : ……………………………………………………………………………………………………
largeur : …………………………………………………………………………………………………………………
longueur : ……………………………………………………………………………………………………………….
hauteur : ………………………………………………………………………………………………………………...
* chauffage (type et températures recherchées): …………………………………………….…………………….
…………………………………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………………………………...
* éclairement artificiel :…………………………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………………………………..
* système de ventilation :…………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………………………………..
* taux d’hygrométrie :………………………………………………………………………………………………
* moyens de fermeture de l’installation: …………………….…………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………………………………
* accessoires ou aménagements particuliers situés dans l'installation :
* bassin : préciser ses dimensions : ………………………………………………………………………………..
modalités de maîtrise de la qualité de l’eau :…………………………………………………………………………...
…………………………………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………………………………..
* plantes, arbres : …………………………………………………………………………………………………..
* litière : …………………………………………………………………..………………………………………..
* autres:……………………………………………………..………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………………………………..
…………………………………………………………………………………………………………………………..

* matériels de capture, de contention ou d'abattage et localisation de ces matériels : …………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………...
…………………………………………………………………………………………………………………………...
* local de quarantaine : préciser ses particularités : …………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………..
INSTALLATIONS D’HEBERGEMENT DES ANIMAUX (SUITE)
* autres particularités de l’installation : ………………………………………………………………………………...
……………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………..
* description des moyens de transport des animaux (type, dimensions, précautions,…) : …………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………..
……………………………………………………………………………………………………………………………..
*cocher la case si votre élevage est concerné par cette rubrique
** joindre un plan ou un schéma
E -MESURES D'HYGIENE
* nettoyage
méthode : ……………………………………………………………………………………………………………………
fréquence : …………………………………………………………………………………………………………………..
produits employés : …………………………………………………………………………………………………………
* désinfection
méthode : ……………………………………………………………………………………………………………………
fréquence : …………………………………………………………………………………………………………………..
produits employés : …………………………………………………………………………………………………………
* évacuation des déchets
méthode : ……………………………………………………………………………………………………………………
fréquence : …………………………………………………………………………………………………………………..
traitement des déchets : ……………………………………………………………………………………………………..
destination des déchets : ……………………………………………………………………………………………………
* autres mesures : …………………………………………………………………………………………………………….
……………………………………………………………………………………………………………………………….
* cocher la case si votre élevage est concerné par cette rubrique

G – PREVENTION DES MALADIES
Principales maladies de l’espèce ou du groupe d’espèces : ………………………………………………………………………..
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
* mesures sanitaires lors de l'introduction d'animaux :……………………………………………….………………………..
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
* mesures sanitaires permanentes :……………………………………………………………………………………………..
………………………………………………………………………………………………………………………………………
………………………………………………………………………………………………………………………………………
* concours d'un vétérinaire (nom, adresse) : …………………………………………………………………………………..
* mesures de prophylaxie médicale :………………………………………………………………………………
…………………………………………………………………………………………………………………………
* autres mesures : ………………………………………………………………………………………………….
…………………………………………………………………………………………………………………………
* cocher la case si votre élevage est concerné par cette rubrique

Vous pouvez joindre au présent formulaire tout document que vous jugez utile pour répondre aux conditions d’attribution de l’autorisation de détention d’animaux d’espèces non domestiques (visées à l’article 5 de l’arrêté du 10 août 2004 fixant les règles générales de fonctionnement des installations d’élevage d’agrément d’animaux d’espèces non
domestiques).
Pour toute information concernant le renseignement de ce formulaire, contacter la direction départementale des services vétérinaires de votre département ou, pour l’exercice de la chasse au vol, la direction départementale de l’agriculture et de la forêt de votre département.

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Autorisation d'ouverture établissement

Direction Départementale des Services Vétérinaires Dossier suivi par : France MOREAU
Tél : 04.95.58.92 51
Fax : 04 95 33 19 86

NOTE D’INFORMATION
Objet : Demande d’autorisation d’ouverture des établissements détenant des animaux d’espèces non domestique, autres que les établissements d’élevage, de vente et de transit des espèces de gibier dont la chasse est autorisée



En application de l’article L.413.3 du livre IV du code de l’environnement, les établissements détenant des animaux d’espèces non domestiques sont soumis à autorisation préfectorale d’ouverture.

I- Demande d’autorisation


La demande d’autorisation doit être adressée au préfet du département dans lequel l’établissement est situé :
Préfecture de la Haute-Corse
Bureau de l’Urbanisme et de l’Environnement
Vallée du Fango
20401 BASTIA Cedex
Tél : 04.95.64.50.46 / Fax : 04.95.34.50.15

Cette demande, remise en 7 exemplaires, mentionne :

--> S’il s’agit d’une personne physique, ses noms, prénoms et domicile ; s’il s’agit d’une personne morale, sa dénomination ou sa raison sociale, sa forme juridique, l’adresse de son siège social ainsi que la qualité du signataire de la demande.

--> La nature des activités que le demandeur se propose d’exercer (vente, élevage, entretien …)

--> La dénomination ou la raison sociale de l’établissement.

Cette lettre de demande datée et signée peut être rédigée de la façon suivante :
« je soussigné (nom, prénom …) présente une demande d’autorisation d’ouverture pour l’établissement (dénomination, adresse, activité …).

Je certifie sur l’honneur l’exactitude des informations que j’apporte dans ce dossier. »


La demande d’autorisation est accompagnée d’un dossier qui comprend :
- Le plan des installations
- La liste et la description des éléments fixes ou mobiles
- La liste des espèces (nom scientifique et nom vernaculaire) et le nombre d’animaux de chaque espèce dont la détention est demandée, ainsi que le plan de leur répartition dans l’établissement
- Une notice indiquant les modalités de fonctionnement prévues (flux d’animaux, alimentation ..)
- Le certificat de capacité du ou des responsables de l’établissement.


II- Instruction des demandes d’autorisation d’ouverture


L’arrêté du 21 novembre 1997 ci-joint classe les établissements détenant des animaux d’espèces non domestiques en deux catégories : les établissements qui présentent des dangers ou inconvénients graves pour les espèces sauvages et les milieux naturels ainsi que pour la sécurité des personnes (établissements de première catégorie) et ceux qui ne présentent pas ces dangers ou inconvénients (établissements de seconde catégorie). Les modalités d’instruction des demandes d’autorisation d’ouverture de ces deux catégories d’établissements diffèrent.

1. Etablissements appartenant à la première catégorie


La recevabilité de la demande est examinée en préfecture. Si le dossier de demande d’ouverture est incomplet, il est notifié au demandeur que sa demande est irrecevable en l’état et qu’il a la possibilité d’apporter un complément à son dossier.
Dès que le dossier est complet, il est ensuite :
- Transmis pour avis au services de l’état compétents et aux collectivités locales concernées.
- Soumis à la commission départementale des sites siégeant en formation de protection de la nature.
En fonction des éléments du dossier et des avis recueillis, et dans le délai de 5 mois suivant la réception du dossier complet, le préfet peut :
- Refuser par arrêté motivé l’autorisation d’ouverture de l’établissement
- Prolonger par arrêté motivé le délai prévu pour statuer
- Autoriser par arrêté l’ouverture de l’établissement

2. Etablissements appartenant à la seconde catégorie

La procédure d’autorisation d’ouverture de ces établissements est allégée. Dans un délai de deux mois suivant la date de réception du dossier de demande d’ouverture, le dossier est examiné.
Trois cas sont envisageables :
- Le dossier de demande d’ouverture est complet : il est notifié au demandeur que sa demande est irrecevable en l’état et qu’il a la possibilité d’apporter un complément à son dossier.
- Le dossier est complet mais les installations et les conditions de fonctionnement décrites ne sont pas acceptables : soit un arrêté de refus d’autorisation d’ouverture sera pris, soit un arrêté d’autorisation fixant des prescriptions particulières sera pris.
- Le dossier est complet et les installations et les conditions de fonctionnement décrites sont correctes : un arrêté d’autorisation d’ouverture sera pris.

Arrêté du 21 novembre 1997
définissant deux catégories d’établissements, autres que les établissements d’élevage, de vente et de transit des espèces de gibier dont la chasse est autorisée, détenant des animaux d’espèces non domestiques
(JORF du 05/02/98)

La ministre de l’aménagement du territoire et de l’environnement,
Vu le règlement du Conseil des Communautés européennes n° 338/97 du 9 décembre 1996 relatif à la protection des espèces de faune et de flore sauvages par le contrôle de leur commerce ;
Vu le livre II (nouveau) du code rural, et notamment ses articles L. 211-1, L. 211-2, L. 213-3 et R. 213-11 ;
Vu l’arrêté du 11 septembre 1992 relatif aux règles générales de fonctionnement et aux caractéristiques des installations des établissements qui pratiquent des soins sur les animaux de la faune sauvage,
Arrête :

Art. 1er. – Appartiennent à la première catégorie prévue à l’article R. 213-11 du code rural regroupant les établissements, autres que les établissements d’élevage, de vente et de transit des espèces de gibier dont la chasse est autorisée, hébergeant des animaux vivants d’espèces non domestiques qui présentent des dangers ou inconvénients graves pour les espèces sauvages, les milieux naturels ainsi que pour la sécurité des personnes :
- les établissements de présentation au public ;
- les établissements d’élevage, de location, de vente ou de transit lorsqu’ils détiennent des animaux dont la capture est interdite en application de l’article L. 211-1 du code rural ou appartenant à des espèces inscrites à l’annexe A du règlement du 9 décembre 1996 susvisé ou lorsqu’ils détiennent des animaux d’espèces dangereuses.
Toutefois un arrêté du ministre chargé de l’environnement peut fixer une liste dérogatoire d’espèces inscrites à l’annexe A auxquelles ne s’appliquent pas les dispositions du présent article.

Art. 2. – Appartiennent à la seconde catégorie prévue à l’article R. 213-11 regroupant les établissements, autres que les établissements d’élevage, de vente et de transit des espèces de gibier dont la chasse est autorisée, hébergeant des animaux vivants d’espèces non domestiques qui, ne présentant pas de dangers ou inconvénients graves pour les espèces sauvages, les milieux naturels ainsi que pour la sécurité des personnes, doivent néanmoins respecter les prescriptions édictées en application de l’article R. 213-6 du code rural :
- les établissements d’élevage, de location, de vente ou de transit lorsqu’ils ne détiennent pas d’animaux dont la capture est interdite en application de l’article L. 211-1 du code rural ou appartenant à des espèces inscrites à l’annexe A du règlement susvisé autres que celles figurant sur la liste dérogataire mentionnée à l’article 1er et lorsqu’ils ne détiennent pas d’animaux d’espèces dangereuses ;
- les établissements habilités à héberger, soigner et entretenir les animaux de la faune sauvage momentanément incapables de pourvoir à leur survie dans le milieu naturel mentionnés à l’article 1er de l’arrêté du 11 septembre 1992 susvisé.

Art. 3. – Sont considérées comme dangereuses les espèces dont la liste est fixée en annexe au présent arrêté.

Art. 4. – Le directeur de la nature et des paysages est chargé de l’exécution du présent arrêté qui sera publié au Journal officiel de la République française.

Fait à Paris, le 21 novembre 1997.
Pour la ministre et par délégation : Par empêchement du directeur de la nature et des paysages : L’ingénieur du génie rural, des eaux et de la forêt, J.-J. LAFITTE


ANNEXE

LISTE DES ESPECES CONSIDEREES COMME DANGEREUSES


Mammifères

Ordre des carnivores : espèces dont le poids adulte est supérieur ou égal à 6 kilogrammes.
Ordre des primates.
Ordre des proboscidiens.
Ordre des périssodactyles :
- famille des rhinocérotidés ;
- famille des tapiridés ;
- famille des équidés.
Ordre des artiodactyles :
- famille des camélidés : Camelus bactrianus ;
- famille des suidés ;
- familles des tayassuidés ;
- famille des hippopotamidés ;
- famille des cervidés, à l’exception des genres Hydropotes, Mazama et pudu ;
- famille des giraffidés ;
- famille des bovidés :
- sous -famille des bovinés à l’exception du genre Tetracerus ;
- sous-famille des bosélaphinés ;
- sous-famille des tragélaphinés ;
- sous-famille des réduncinés ;
- sous-famille des alcélaphinés ;
- sous-famille des aépycérotinés ;
- sous- famille des hippotraginés ;
- sous- famille des caprinés : espèces dont le poids adulte est supérieur ou égal à 50 kilogrammes
- Marsupiaux : espèces dont le poids adulte est supérieur ou égal à 25 kilogrammes.

Oiseaux
Ordre des struthioniformes :
- famille des struthionidés ;
- famille des rhéidés ;
- famille des dromaiidés ;
- famille des casuariidés ;
Reptiles

Ordre des squamates :
Sous-ordre des ophidiens :
- famille des atractaspididés : Atractapis spp ;
- famille des boïdés : espèces dont la taille adulte est supérieure ou égale à 3 mètres ;
- famille des colubridés :
- Boiga spp ;
- Dispholidus typus ;
- Natrix tigrina ;
- Rhabdophis tigrinus ;
- Theltotornis capensis ;
- Thelotornis kirtlandii ;
- famille des élapidés ;
- famille des vipéridés ;
Sous-ordre des sauriens :
- famille des hélodermatidés : Heloderma spp ;
- famille des varanidés : Varanus spp : espèces dont la taille adulte est supérieure ou égale à 3 mètres ;
Ordre des crocodiliens.
Ordre des chéloniens :
espèces dont la largeur de la bouche à l’âge adulte est supérieure ou égale à 4 centimètres, appartenant aux familles suivantes :
- famille des chélydridés : Chelydra spp ; Macrochelys spp ; Macroclemys spp ;
- famille des kinosternidés : Staurotypus spp ;
- famille des pélomédusidés : Pelusios niger ;
- famille des podocnémididés : Erymnochelys spp ; Peltocephalus spp ; Podocnemis spp ;
- famille des trionychidés : Amyda spp ; Apalone spp ; Aspideretes spp ;
Chitra spp ; Pelochelys spp ; Rafetus spp ;
Trionyx spp ;
- famille des chéloniidés : Eretmochelys spp ; Caretta spp ; Lepidochelys spp ;
- famille des dermochélyidés : Dermochelys coriacea.

Amphibiens

Phyllobates spp.

Poissons

Chondrichtyens.
Ostéichtyens :
Classe des actinoptérygiens :
- sous-famille des scorpaénidés ;
- sous-famille des synancéidés ;
- sous-famille des trachinidés.

Scorpions

Arachnides

Ordre des aranéides :
- sous-ordre des mygalomorphes ;
- sous-ordre des aranéomorphes ou labidognathes :
- Latrodectus spp ; Laxosceles spp ; Phoneutria spp .

Mollusques

Gastéropodes :
- famille des conidés.
Céphalopodes :
Ordre des octopodes :
- Hapalochlaena maculosa ;
- Hapalochlaena lunulata.

Myriapodes

Scolopendromorphes.

Observation : sont des espèces considérées comme dangereuses toutes les espèces des taxons des rangs les plus bas figurant dans la liste ci-dessus.

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Services Vétérinaires Biguglia, le 16/01/2007
Dossier suivi par : France MOREAU/Janine SAZERAT
T él : 04.95.58.91.00
Fax : 04 95 33 19 86


Note d’information
Objet : Certificat de capacité destiné à l’exercice des activités liées aux animaux de compagnie d’espèces domestiques (chiens, chats …)


En application de l’article L. 214.6 du code rural, un certain nombre d’activités liées aux animaux de compagnie d’espèces domestiques ne peuvent s’exercer que si au moins une personne, en contact direct avec les animaux, possède un certificat de capacité attestant de ses connaissances relatives aux besoins biologiques, physiologiques, comportementaux et à l’entretien des animaux de compagnie.
Cette exigence de qualification d’une personne au moins au contact des animaux a été introduite par la loi n°99/5 du 6 janvier 1999 relative aux animaux dangereux et errants et à la protection des animaux.
Le certificat est délivré par l’autorité administrative qui statue au vue des connaissances ou de la formation (diplômes ou expérience professionnelle) des postulants.

1) Activités concernées
Pour les chiens et les chats les activités impliquées sont :
- gestion d’une fourrière ou d’un refuge
- élevage (activité consistant à détenir des femelles reproductrices et donnant lieu à la vente d’au moins deux portées d’animaux par an)
- exercice à titre commercial des activités de vente
- transit ou garde
- éducation ou dressage
- présentation au public
Pour les établissements où s’exerce uniquement le toilettage des chiens ou de chats la possession d’un certificat de capacité n’est pas obligatoire.
Pour les autres animaux de compagnie d’espèces domestiques les activités sont :
- présentation au public
- exercice à titre commercial des activités de vente

2) Procédure de demande de certificat de capacité
Le postulant au certificat de capacité doit adresser une lettre de demande accompagnée d’un dossier de demande du certificat de capacité au Directeur Départemental des Services Vétérinaires du département du lieu où il exerce l’activité pour laquelle il demande le certificat de capacité :

Direction Départementale des Services Vétérinaires de Haute-Corse
ZI Purettone
Allée fuchsia
20290 BORGO

La lettre de demande doit permettre d’établir la fonction que le postulant occupe au sein de l’établissement ou de l’élevage et les responsabilités dont il a la charge concernant l’entretien et les soins des animaux.
Le dossier de demande comprend :
- le nom, les prénoms et la date de naissance du postulant ;
- l’adresse complète du domicile du postulant ;
- la dénomination et l’adresse précise de l’établissement ou de l’élevage où le postulant exerce son activité ;
- la copie de la déclaration d’activité de l’établissement ou de l’élevage concerné ;
- la copie de la carte d’identité du demandeur ou de tout autre document reconnu équivalent ;
- un curriculum vitae permettant notamment d’apprécier l’expérience du postulant s’agissant de l’activité pour laquelle il sollicite le certificat de capacité et le cadre dans lequel il a eu l’occasion d’exercer cette activité ; il est accompagné des pièces justifiant les déclarations qui y sont portées ;
- une déclaration sur l’honneur de non-condamnation pour infraction aux dispositions législatives et réglementaires afférentes à la protection et à la santé des animaux.
Le dossier doit aussi comprendre l’un des justificatifs suivants :
- une expérience professionnelle d’une durée minimale de trois années en rapport avec l’activité pour laquelle le demandeur sollicite l’octroi du certificat de capacité.
Cette expérience doit correspondre à une activité principale. Elle peut être continue ou discontinue, en tant que responsable ou employé.
- une expérience professionnelle relative aux soins et à la protection des animaux d’une durée minimale de trois années.
Cette expérience doit comporter une activité représentant au moins un mi-temps au contact direct avec les animaux au sein d’une fondation ou d’une association de protection des animaux, reconnue d’utilité publique ou affiliée à une œuvre reconnue d’utilité publique. Cette expérience peut avoir été acquise dans plusieurs établissements et au cours de plusieurs périodes.
- la possession d’un diplôme titre ou certificat reconnu par le ministre de l’agriculture et de la pèche.
La liste des diplômes, titres ou certificats reconnus se trouve en annexe I (arrêté du 5 août 2005 modifiant l’arrêté du 20 juillet 2001 relatif à la liste des diplômes, titres et certificats requis pour les personnes exerçant des activités liées aux animaux de compagnie d’espèces domestiques).
- une attestation de connaissances et de compétences pour l’exercice d’activités liées aux animaux de compagnie délivrée par le directeur régional de l’agriculture et de la forêt (DRAF) après évaluation du demandeur par un établissement habilité.
Les modalités pratiques de délivrance de l’attestation de connaissances sont décrites en annexe II.

3) Procédure de délivrance du certificat de capacité
A l’issue de l’instruction de la demande du certificat de capacité et après avis du Directeur Départemental des Services Vétérinaires, le préfet peut :
- prononcer un refus
Ce refus doit être motivé et le demandeur en est informé par courrier avec accusé de réception.
- délivrer le certificat de capacité.
Cet acte administratif mentionne les informations suivantes : l’identité du titulaire (nom, prénom, domicile), date de délivrance et un numéro d’enregistrement (les premiers chiffres correspondent au numéro du département et les trois suivants constituent un numéro d’ordre).
Le certificat de capacité ainsi octroyé est valable dans tous les départements français. Cependant, le titulaire du certificat de capacité est tenu d’informer le Directeur Départemental des Services Vétérinaires de tout changement de lieu d’exercice de son activité ou de la cession de son activité. De plus, lorsque le titulaire change de département, il informe également le Directeur Départemental des Services Vétérinaires départementaux du département de destination dans lequel il va exercer son activité.

Annexe I
Liste des diplômes, titres et certificats requis pour les personnes exerçant des activités liées aux animaux de compagnie d'espèces domestiques
Diplômes

Niveau V :

CAPA « élevage canin » ;

BPA « élevage canin » ;

BEPA « élevage canin et félin » ;

BEPA « exploitation », spécialité « élevage canin » ;

BEPA « animalerie », spécialité « laboratoire » ;

BEPA « services », spécialité « vente d’animaux de compagnie, de produits et accessoires d’animalerie » ;

BEPA « productions aquacoles ».

Niveau IV :

BTA « production, conduite de l’élevage canin » ;

BTA « production », qualification « technicien animalier de laboratoire » ;

BTA « communication et services », spécialité « commercialisation », support pédagogique « animalerie » ;

Baccalauréat professionnel « technicien, conseil, vente en animalerie » ;

Baccalauréat professionnel « conduite et gestion de l’élevage canin et félin » ;

Brevet professionnel « éducateur canin » ;

BPAM « brevet professionnel agricole et maritime » ;

BP « productions aquacoles » ;

Baccalauréat professionnel « cultures marines », cosigné avec les ministères de l’éducation nationale et de l’équipement ;

Baccalauréat professionnel « productions aquacoles » ;

Brevet professionnel « responsable d’exploitation aquacole maritime continentale ».

Niveau III :

Brevet de technicien supérieur agricole en productions aquacoles.

Niveau I :

Diplôme d’Etat de docteur vétérinaire.

Certificat de spécialisation

Certificat de spécialisation d’aide-soignant vétérinaire, délivré par les EPLEFPA d’Alençon et d’Evreux.

Titres homologués

Certificat pratique d’agent cynophile de sécurité, délivré par les centres de formation d’apprentis des Combrailles, à Saint-Gervais-d’Auvergne, et du Lot, site de Gramat.

Toiletteur canin, délivré par le centre de formation d’apprentis des Combrailles, à Saint-Gervais-d’Auvergne, le centre de formation d’apprentis de l’artisanat de Mulhouse et la cité de la formation professionnelle de Marmande.

Auxiliaire spécialisé(e) vétérinaire, délivré par le Centre national d’apprentis d’Aix-en-Provence.

Autres titres et certificats

Moniteur en éducation canine de deuxième degré, délivré par la Société centrale canine pour l’amélioration des races de chiens en France (SCC).

Certificat d’aptitude aux fonctions de juge et expert confirmateur, délivré par la Société centrale canine pour l’amélioration des races de chiens en France (SCC).

Certificat de formation à l’élevage canin délivré par la Société centrale canine pour l’amélioration des races de chiens en France (SCC).

Certificat d’études techniques de l’animal de compagnie d’espèce domestique, option « chien », délivré par la Société francophone de cynotechnie (SFC).

Certificat d’études techniques de l’animal de compagnie d’espèce domestique, option « chats et petits mammifères familiers », délivré par la Société francophone de cynotechnie (SFC).

Certificat d’études techniques de l’animal de compagnie, option « chat », délivré par le Livre officiel des origines félines (LOOF).

Educateur de chiens-guides d’aveugles, délivré par la Fédération nationale des éducateurs de chiens d’aveugles.

Annexe II
Modalités pratiques de délivrance de l’attestation de connaissances requise pour l’exercice d’activités liées aux animaux de compagnie d’espèces domestiques
I) Dépôt de la demande
Le demandeur adresse sa demande à la DDSV qui transmettra à l'établissement habilité de la région de son lieu de résidence principale :
EPLEPPA
Lieu-dit Aghja-Rossa
20290 BORGO
En réponse, l'établissement transmet au demandeur un dossier d'inscription précisant les pièces justificatives nécessaires ainsi que les modalités d’évaluation.
Dès réception du dossier de demande d'évaluation, l'établissement habilité s'assure qu'il est bien renseigné et complet et délivre, une fois cette vérification établie, un accusé de réception. L’établissement s’engage à programmer une session d’évaluation dans un délai de 4 mois.
Les frais de l’évaluation sont supportés par le candidat. Ces frais donnent lieu à la perception par l’Etat d’une redevance pour services rendus. Le montant de la redevance s'élève à 61 euros pour un premier passage et à 31 euros pour le ou les suivants en cas d’échec. Le candidat doit envoyer son règlement au trésorier payeur général dès son inscription à l'évaluation sous peine de se voir refuser l’attribution de l’attestation, même en cas de succès à l’évaluation.
II) Conduite de l'évaluation
L’évaluation est conduite par le centre habilité, sous la responsabilité d’une commission d’évaluation désignée par le Directeur Régional de l’Agriculture et de la Forêt.
Cette évaluation est administrée sous forme de questionnaire à choix multiples (QCM). Elle se déroule sur ordinateur et dure une heure. Un ensemble de 30 questions est tiré au sort pour chaque candidat. Pour obtenir l’attestation de qualification, il faut obtenir un minimum de 18 réponses exactes.
Les questions concernent les domaines suivants :
- Domaine logement : mobiliser les connaissances permettant d'assurer aux animaux de compagnie un logement confortable et répondant aux nécessités d'hygiène et de propreté.
- Domaine alimentation : mobiliser les connaissances permettant d'assurer aux animaux de compagnie une alimentation adaptée à leur mode de vie.
- Domaine reproduction : mobiliser les connaissances permettant de respecter la physiologie et la santé des animaux détenus aux différentes phases de la reproduction.
- Domaine soins, hygiène et santé : mobiliser les connaissances permettant d'assurer aux animaux de compagnie des soins appropriés et de les maintenir en bon état sanitaire.
- Domaine comportement : mobiliser les connaissances relatives aux comportements de l'espèce afin d'avoir un animal agréable en société.
- Domaine réglementation : mobiliser les connaissances relatives à la déontologie du détenteur d'un animal de compagnie.
III) Délivrance de l'attestation de connaissances
Les attestations de validation sont délivrées par le Directeur Départemental des Services Vétérinaires

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DOSSIER DE DEMANDE DE CERTIFICAT DE CAPACITE D’ELEVAGE D’AGREMENT ET D’AUTORISATION D’OUVERTURE D’ETABLISSEMENT


Etablissement installé
xxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxx
xxxxxxxxxxxxxx


Un dossier commence par une lettre de demande intégrée ou séparée.


Monsieur,


Je soussigné présente une demande de Certificat de Capacité et de régularisation de mon établissement pour l’élevage d’agrément et la reproduction d’animaux d’espèces non domestiques à l’adresse mentionnée en en-tête.

Aucun des animaux détenus et / ou présentés ne fait partie de la faune Française (arrêté du 24 avril 1979), ni de la faune Guyanaise (arrêté du 15 mai 1986), ni de l’annexe A du règlement européen du 09 décembre 1996, ni de l’annexe I de la convention de Washington du 03 mai 1973, ni des espèces dangereuses référencées dans l’arrêté ministériel du 21 novembre 1997.

De ce fait, aucun des animaux ne fait partie des espèces menacées et / ou dangereuses.

Certains sont répertoriés dans l’annexe B du règlement européen du 09 décembre 1996 ou dans l’annexe II de la convention de Washington du 03 mai 1973. Ces espèces peuvent donc circuler librement en Europe avec une simple attestation d’origine ou facture signée par l’éleveur.
Enfin, tous ces animaux sont nés en captivité.

Je certifie sur l’honneur l’exactitude des informations que j’apporte dans ce dossier.

, le


Une série de documents obligatoires


• Copie Carte d’identité
• Extrait n°3 casier judiciaire
• Curriculum vitæ
• Copie des diplômes
• Certificats d’acquisition des compétences


La présentation du registre de détention type Cerfa.



1- Liste des espèces demandées dans le cadre du certificat de capacité et présentation des individus.

Aucun des animaux détenus et / ou présentés ci-dessous ne fait partie de la faune Française (arrêté du 24 avril 1979), ni de la faune Guyanaise (arrêté du 15 mai 1986), ni de l’annexe A du règlement européen du 09 décembre 1996, ni de l’annexe I de la convention de Washington du 03 mai 1973, ni des espèces dangereuses référencées dans l’arrêté ministériel du 21 novembre 1997.
De ce fait, aucun des animaux ne fait partie des espèces menacées et / ou dangereuses.
Certains sont répertoriés dans l’annexe B du règlement européen du 09 décembre 1996 ou dans l’annexe II de la convention de Washington du 03 mai 1973. Ces espèces peuvent donc circuler librement en Europe avec une simple attestation d’origine ou facture signée par l’éleveur.
Enfin, tous ces animaux sont nés en captivité.

Nom vernaculaire : Serpent corail du Honduras
Famille : Colubridés
Genre : Lampropeltis
Espèces : Triangulum hondurensis

Régime : Rongeurs
Reproduction : Ovipare
T° moyenne : 28°C
Chute nocturne : 5°C
Hygrométrie : 70-80%

Sexe : Mâle
Né en captivité : Oui
Naissance : Juillet 2002
CITES / Facture : Facture
Date d’arrivée : 21/09/02

Description et biologie
Espèce brillamment colorée, rouge où orange vif rehaussé de bandes noires. Passe l’essentiel de son temps dissimulé sous les feuilles

Répartition et biotope
Honduras et Costa Rica, se rencontre dans les forêts humides.

Terrarium et maintenance
Terrarium de 60 x 50 x 45 de type humide avec un récipient suffisamment grand pour que les animaux puissent se baigner lors des mues. Pendant la période de croissance, il faut maintenir les animaux séparément, ceux-ci étant ophiophages.
La maintenance ne pose aucun problème.

Reproduction
Les animaux sont sexuellement matures vers deux ans. Après une période de repos de deux mois à 18-20°C les adultes s’accouplent. Les femelles ont une gestation de deux mois. Elles pondent de 2 à 10 œufs que l’on doit incuber à 28°C et 80% humidité pendant deux mois.
Les jeunes mesurent de 25 à 28 cm, mangent au bout de 3 semaines et doivent être maintenus séparément.

Ces descriptions individu par individu ont été réalisées pour tous les animaux détenus lors de la demande. De plus, une description des espèces que l’on désirait maintenir rapidement était également formalisée.
Enfin une liste exhaustive des animaux demandés dans le cadre du CDC était jointe.
Dans notre cas serpents sauf animaux de l'annexe A, de l'arrêté de 74 (faune Française), de l'arrêté de 86 (faune Guyanaise) et de l'arrêté de 97 (animaux dangereux).

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2- Aménagement de l’élevage.

2.1- Pièce d’élevage.

La pièce d’élevage est séparée de l’habitation principale. En effet, afin d’éviter les zoonoses et les risques d’évasion des animaux, l’ensemble des terrariums est rassemblé dans une seule et unique pièce fermée à clef.
Dans cette pièce spécifique, les ouvertures présentant un risque vis-à-vis d’évasions potentielles ont été occultées. En outre, ce local reste systématiquement fermé afin d’éviter toute intrusion.
Il est interdit de boire, de fumer ou de manger dans cette pièce.
Cette pièce contient non seulement les terrariums mais également l’incubateur et tous les éléments, outils et équipements nécessaires à l’entretien et à la maintenance des animaux.
Elle est chauffée en permanence à une température de 20 – 22°C par l’intermédiaire d’un radiateur à bain d’huile qui permet de conserver une température minimale stable et d’éviter le dessèchement trop important de l’atmosphère que provoquerait un radiateur électrique soufflant.

Plan détaillé de la pièce d’élevage

2.1.1 Terrarium n°8 & 9 :

(Insérer une photo)

Description du terrarium comportant les dimensions internes et externes, les matériaux, le système de fermeture, le type et la dimension des aérations, le mode d’éclairage, le mode de chauffage, le type de régulation.

2.2- Les terrariums.

Les terrariums comportent une double ventilation en partie haute et en partie basse afin d’être correctement ventilés et d’éviter ainsi la stagnation d’air humide et la prolifération potentielle de champignons et de bactéries.
Ils possèdent une ouverture frontale en verre de 4 ou 5 mm plus pratique pour les manipulations et moins stressante pour les animaux.
Ils sont réalisés soit en bois traité à la lasure, soit en verre. Ces deux matériaux permettent un nettoyage facile et l’utilisation de désinfectants puissants.
Chaque terrarium possède une cale de fermeture des vitres coulissantes. Ce système permet deux choses : d’éviter que par un mouvement de frottement les animaux ne fassent coulisser les vitres et de forcer le manipulateur à vérifier la bonne fermeture des terrariums.

2.2.1- Le chauffage.
Le chauffage revêt une importance primordiale, sa finalité est de permettre aux serpents de réguler leur température interne.
Il faut créer dans le terrarium une zone chaude et une zone fraîche pour permettre aux animaux de migrer de l’une à l’autre afin d’élever ou d’abaisser leur température.
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2.2.2- L’éclairage.
L’éclairage permet de reconstituer les cycles naturels en faisant bénéficier les serpents d’une source de lumière recréant le cycle jour / nuit.
La taille et la puissance des tubes sont sélectionnées afin de diffuser une lumière plus ou moins intense en fonction des milieux de vie des animaux.
Ainsi, les espèces désertiques et diurnes préfèrent une lumière vive alors que les espèces discrètes vivant au sol dans des forêts humides préfèrent une lumière plus tamisée.
La durée de l’éclairage est variable en fonction de la période de l’année et reconstitue les variations saisonnières.
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2.2.3- Les caches.
Toutes les espèces de serpents sont timides. Les animaux passent une grande partie de leur existence cachée au regard des prédateurs. Il faut donc leur fournir des abris et refuges dans les terrariums. Ces caches doivent être suffisamment grandes, stables, imputrescibles et faciles à nettoyer. Afin de permettre aux serpents de continuer de réaliser la thermorégulation de leur organisme tout en prenant en compte leur timidité, des caches doivent être disposées en zone fraîche et en zone chaude. Ces caches sont
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2.2.4- Le substrat.
Le substrat est le matériau destiné à garnir le sol des terrariums. Il doit permettre une hygiène parfaite, être facile à changer et sans danger pour les animaux. Plusieurs types de substrats sont utilisés.
Description complète accompagnée de photographies des différents substrats en fonction des types de substrats utilisés en fonction des milieux de vie des animaux.

Description complète accompagnée de photographies des différents substrats en fonction des types de substrats utilisés en fonction des milieux de vie des animaux.

2.2.5- Le décor.
Cet élément n’apporte rien aux serpents et n’a qu’un but décoratif. De ce fait, il est uniquement composé de liège, de pieds de vignes traités, de mousse sèche désinfectée, de plantes et fleurs artificielles afin d’éviter la prolifération de microorganismes ou de parasites (helminthes, acariens).

2.2.6- Les accessoires, thermomètres, hygromètres, fontaines et nébulisateurs.
Toute une série d’éléments divers permettent de maintenir ou de vérifier les conditions ambiantes.
Ainsi, les fontaines et les nébulisateurs ne sont installés que dans les terrariums humides de grande taille. Ils permettent de maintenir le degré d’humidité à un niveau en adéquation avec les besoins des animaux.
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Chaque terrarium est équipé d’un thermo hygromètre fixe qui permet de suivre les variations de ces paramètres. En plus, plusieurs thermo hygromètres portables, pouvant se positionner sur différentes zones (froides, chaudes, dans le haut du terrarium, au ras du sol, …) permettent d’étudier les fluctuations internes dans chaque terrarium à différents moments de la journée ou de l’année.

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2.2.7- L’installation des nouveaux nés.
Les animaux nouveaux nés seront installés dans des boîtes plastiques individuelles comportant un substrat sous forme de papier absorbant, d’une gamelle d’eau et d’une cache.

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2.3- L’entretien et les soins aux animaux.

2.3.1- L’entretien.
La qualité de l’entretien est primordiale car lorsque ce n’est pas le cas, les microorganismes pathogènes peuvent prospérer. Ce développement est d’autant plus important que les conditions de température et d’hygrométrie sont des plus adéquates.

Les terrariums sont vérifiés une fois par jour au minimum et des opérations basiques sont réalisées (cf. tableau ci-dessous).
En fin de semaine un nettoyage complet des installations est réalisé, le nourrissage des animaux effectué et des observations et vérifications de l’état de santé sont enregistrées.
Trimestriellement, une désinfection complète des installations est réalisée.



La désinfection des terrariums est réalisée à l’eau de javel et à l’eau froide en laissant agir 5 minutes puis on procède au rinçage et on sèche l’ensemble.
Pour l’ensemble de ces opérations, afin d’éviter des contaminations croisées et d’éventuelles zoonoses, le nettoyages est effectué avec du matériel dédié à ces opérations, l’intervenant porte des gants latex à usage unique et tous les déchets sont jetés dans une poubelle spécifique. A chaque changement d’animal, les gants sont renouvelés.

Pour éviter tout problème, il est interdit de boire, de fumer ou de manger pendant les opérations de nettoyage. Avant et après ces opérations, il est impératif de se laver les mains avec un savon bactéricide – fongicide.

2.3.2- Les soins.
Tout animal malade supposé comme tel doit être isolé pour éviter une éventuelle contamination croisée et les terrariums soigneusement désinfectés.
De même, les nouveaux arrivés sont mis en quarantaine.
Pour le traitement, les médicaments sont puisés dans la pharmacie humaine ou vétérinaire.
Trois types d’interventions peuvent être envisagés : les liquides ou pommades répandus sur le tégument, l’absorption orale et l’injection sous-cutanée suivant le médicament et l’effet désiré.

Maladies, origines et causes - Acariens
Symptômes - Léthargie, mues de mauvaise qualité, démangeaisons, lésions dermiques, petits grains noirs
Prévention et thérapeutique - Ivermectine (IVOMEC 1% ND) injection intramusculaire.
Friponil (FRONTLINE ND) par contact.

Ce tableau est réalisé à l’aide d’une bibliographie importante ou le livre du Docteur Schillinger tient une place prépondérante.

Cependant, en dehors des problèmes courants, le Docteur Vétérinaire xxxxxxxxxxxxx ou le Docteur xxxxxxxxxxxxxx à xxxxxxxxxxxxxx sont consultés.


2.4- L’alimentation.

2.4.1- L’eau.
Les bassins et abreuvoirs sont remplis avec de l’eau en bouteille du commerce ou avec de l’eau destinée à la consommation humaine préalablement traitée à l’aide de produits d’aquariophilie (Aquasafe de Tetra Aqua ou Stress Coat de chez RENA) qui neutralisent le zinc, le chlore, le plomb et le cuivre.
Cette eau est renouvelée dès qu’elle est souillée et au maximum deux fois par semaine.

2.4.2- L’alimentation.
Les serpents ont des besoins métaboliques faibles, il faut donc faire attention à l’obésité. Par contre, lorsque les conditions adéquates ne sont pas respectées, les problèmes d’anorexie sont très fréquents.
De plus, les nouveaux nés et les juvéniles sont souvent sujets à des refus de nourriture.
La nourriture de base de tous les serpents présentés dans ce dossier est le rongeur. Les serpents sont nourris de souris à tous les stades de son évolution, de rats, de cochons d’inde et de lapins.
Les proies sont distribuées mortes fraîchement tuées ou décongelées pour éviter les morsures des rongeurs pouvant provoquer des lésions particulièrement sévères.

Les serpents sont systématiquement sortis de leurs terrariums et mis en bacs de nourrissage pour les repas. Ce mode de présentation des proies permet d’éviter que les serpents n’associent l’ouverture de leur terrarium avec un repas et donc de prévenir des accidents avec le manipulateur. De plus, lorsque deux animaux cohabitent cela permet d’éviter la compétition et d’adapter la fréquence des repas, le nombre et la taille des proies en fonction de l’individu.
Les rongeurs sont présentés au bout de grandes pinces.

Les rongeurs sont soit issus de notre reproduction personnel, soit de lots achetés congelés dans des animaleries spécialisées. Il s’agit de rats, de lapins, de souris, de gerbilles et de cochons d’inde.

Description complète de notre élevage de rongeurs, du nourrissage, de l’entretien et des techniques d’euthanasie en fonctions des proies et des tailles (photographies des installations, des animaux et des systèmes d’euthanasie).

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Les serpents sont systématiquement sortis de leurs terrariums et mis en bacs de nourrissage pour les repas. Ce mode de présentation des proies permet d’éviter que les serpents n’associent l’ouverture de leur terrarium avec un repas et donc de prévenir des accidents avec le manipulateur. De plus, lorsque deux animaux cohabitent cela permet d’éviter la compétition et d’adapter la fréquence des repas, le nombre et la taille des proies en fonction de l’individu.
Les rongeurs sont présentés au bout de grandes pinces.

Les rongeurs sont soit issus de notre reproduction personnel, soit de lots achetés congelés dans des animaleries spécialisées. Il s’agit de rats, de lapins, de souris, de gerbilles et de cochons d’inde.

Description complète de notre élevage de rongeurs, du nourrissage, de l’entretien et des techniques d’euthanasie en fonctions des proies et des tailles (photographies des installations, des animaux et des systèmes d’euthanasie).


2.5- La reproduction.

Les serpents, comme les autres squamates, sont des animaux à fécondation interne. Elle s’effectue à l’aide d’un organe bifide que l’on appelle les hémipénis.

Indépendant de la fécondation le mode de reproduction peut être de deux types : ovipare ou ovovivipare.

2.5.1- Les serpents ovipares.
Dans ce cas la femelle pond des œufs et le développement embryonnaire se poursuit hors du corps de la mère.
Dans beaucoup de cas, elle dépose ses œufs dans un site adapté et les abandonne. Dans d’autres cas la femelle monte la garde près de sa ponte ou reste lovée autour de ses œufs.
Le moment venu, les serpenteaux incisent la coquille au moyen d’une dent spécifique située au bout du museau et qui va tomber rapidement après la naissance.
Souvent, les petits se contentent de sortir la tête de l’œuf et y demeure pendant parfois plusieurs heures, le temps de résorber leurs réserves vitellines.

2.5.2- Les serpents ovovivipares.
Le développement des embryons de serpents ovovivipares s’opère à l’intérieur du corps de la femelle. Les petits naissent donc complètement formés et enveloppés dans une poche dont ils s’extraient.

2.5.3- Les reproducteurs.
Les reproducteurs doivent avoir atteint leur maturité sexuelle et être en bonne santé. Ils doivent en outre avoir une corpulence suffisante mais sans surcharge pondérale.

Pour sexer les reproducteurs, il est nécessaire de recourir au sondage. Cela consiste à introduire une sonde préalablement lubrifiée dans le cloaque et à la poussée très délicatement vers le bout de la queue jusqu’au moment ou on rencontre une résistance. La longueur de sonde introduite est deux fois plus importante pour les mâles que pour les femelles.

2.5.4- La période de repos.
La dernière condition préalable à la reproduction est celle de la période de repos que connaissent beaucoup d’espèces de serpents.

Cette phase est plus ou moins prononcée selon la provenance des animaux. Certains ophidiens habitant les régions tropicales vont connaître une simple période de baisse d’activité. D’autres habitant des régions plus froides entrent en léthargie pendant des durées plus ou moins longues.
La reconstitution de ces variations même de façon imparfaite est indispensable à l’obtention de reproductions.

Pour reproduire ces périodes, on va jouer sur la variation de l’éclairage et sur la température. Lors de ces périodes, les animaux doivent cesser de se nourrir étant donnée que les températures ne leur permettent plus de digérer leurs proies.

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2.5.5- L’accouplement.
L’accouplement est parfois précédé d’une parade nuptiale ou de combat entre les mâles. Le mâle va venir aligner son corps avec celui de la femelle puis crocheter sa queue et introduire un de ses hémipénis dans son cloaque.

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2.6- Gestation, la ponte et l’incubation.

2.6.1- La gestation.
La gravidité peut engendrer chez certaines femelles une augmentation significative du degré d’agressivité. Une autre tendance des femelles gestantes est de rechercher la chaleur de façon accrue. Lors de cette période, les femelles doivent nourries en quantité mais avec des proies plus petites.
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2.6.2- La ponte.
La ponte est précédée de signes avant-coureurs.
La femelle cesse de s’alimenter, puis une mue survient. Alors que les femelles gestantes sont assez amorphes, elles se réveillent à l’approche de la ponte et se mettent en quête d’un site de ponte adapté.

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Le substrat de la boîte doit permettre de maintenir une humidité suffisante pour éviter la dessiccation des œufs.
Ce substrat est composé de vermiculite (grains de mica expansés) ou de sphaigne.

2.6.3- L’incubation.
Les œufs sont alors transférés dans un incubateur en prenant la précaution de les laisser dans leur position initiale sachant qu’ils ne comportent pas de chalaze et donc on peut par mégarde décrocher le disque embryonnaire et de ce fait tuer l’embryon. Il faut également se garder de les séparer les uns des autres, les coquilles étant souvent soudées les unes aux autres. Si l’on doit toucher les œufs, il faut au préalable se munir de gants latex à usage unique.

L’incubateur est un réfrigérateur transformé qui comporte un câble chauffant relié à un thermostat pour conserver une température dirigée, un ventilateur d’ordinateur 12 volts en fonctionnement continu pour homogénéiser l’ambiance et deux récipients d’eau chauffés permettant de conserver une hygrométrie élevée.

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Il peut arriver en cours d’incubation que certains œufs s’avèrent inféconds. L’œuf prend alors un aspect ratatiné et sa couleur vire au jaunâtre puis au marron. Ces œufs doivent être éliminés pour éviter que des développements bactériens ne contaminent les autres œufs. Dans le cas ou les œufs sont collés les uns aux autres, il faut ponctionner le contenu.

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Incubateur



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2.6- Acquisitions et Quarantaines.

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2.6.2 Mise en quarantaine
Mise en isolement complet, sans aucun contact avec un autre animal dans un milieu « stérile » : terrarium en verre sans décor et abreuvoir en verre transparent ou blanc de façon à voir les développements des germes ou des parasites (tâches, troubles).
Le premier jour permet la réhydratation. L’animal reçoit un bain d’eau tiède afin de permettre l’évacuation des matières fécales.
Pendant la quarantaine, le terrarium est tenu régulièrement propre : les déjections sont enlevées de suite et un nettoyage complet à la Javel est effectué toutes les semaines.
Le reptile sera manipulé avec des gants à usage unique, les crochets de manipulation et les matériels divers seront nettoyés aux produits fongicides et bactéricides.

Nous procédons nous-mêmes et de façon systématique à une étude microscopique des défécations.

Nous procéderons à deux types d’observations :
- Positives : vérification de la peau
- Absence de pustule
- Absence d’ulcère
- Absence d’écaille décollée
- Absence de blessure
- Absence d’ectoparasites (tiques, …) - Faire attention aux écailles ventrales et oculaires
- Comportement normal, pas de « saccade »
- Réaction de vitalité (avance lorsque l’on touche le bout de la queue)
- Réflexe pupillaire correct
- Tire la langue
- Aspect des excréments (compacts, couleur « normale », pas de diarrhée, pas de reste de proie)

- Négatives
- Adynamie
- Contorsion anormale
- Pas de langue sortie
- Amaigrissement
- Salive sur le bord des lèvres
- Refus de nourriture

Si un point négatif est constaté, la quarantaine est repoussée de plusieurs jours.
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A la fin des quarante jours, si des observations négatives sont notées, un vétérinaire sera alors consulté en vue d’examens complémentaires (coproculture, bactériologie, …).

Quarantaine particulière en cas d’introduction d’un individu dans un groupe déjà acclimaté
Nous effectuerons dans ce cas une coproculture systématique (risque de parasites internes).
La durée de la quarantaine est évaluée aussi selon la provenance des individus (naissance en captivité ou prélevé, provenance d’élevages connus et de l’espèce).

3- Dispositions particulières.

3.1- Orientation et but de l’élevage.
Cet élevage est effectué uniquement dans un but d’agrément. La reproduction n’est pas un objectif prioritaire et la quantité d’animaux détenus n’est pas destinée à augmenter de façon significative.

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3.2- Gestion informatisée de l’élevage.

La gestion de chacun des animaux de l’élevage est réalisée à l’aide d’un programme informatique spécifique « TerrarioFiles ».
Ce logiciel présente chaque animal sous la forme d’une fiche à plusieurs onglets et permet de suivre les éléments suivants :

3.2.1- Les informations générales.



3.2.2- Les éléments du quotidien.



3.2.3- Les repas.

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3.2.4- Les mensurations.



Avec la possibilité d’étudier des courbes :







3.3- la maîtrise des naissances.

La maîtrise des naissances n’est pas un problème en soit. Pour la plupart des serpents détenus, trois options de maîtrise sont envisageables.
- Ne pas réaliser de période de repos et de ce fait empêcher les accouplements.
- Séparer simplement les mâles de femelles lors de l’élevage.
- Eliminer une partie des œufs à la ponte.

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3.4- L’estimation des mortalités et mode d’évacuation des cadavres.

La durée de vie des serpents est longue (de 7 à 35 ans)
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Le mode d’évacuation éventuel des cadavres d’animaux serait l’incinération réalisée sous la responsabilité d’un Docteur Vétérinaire.
L’ensemble des données concernant le décès et le mode d’évacuation des cadavres serait répertorié informatiquement.



3.6- La politique de vente de l’établissement.

Lors de la vente éventuelle de reproduction ou d’animaux maintenus, ces ventes ne se feront qu’à des adultes avec un certificat de session dont un double sera conservé dans l’établissement. Aucune vente ni cession n’a été réalisée à ce jour.



3.7- Les suppléances.

Actuellement, deux personnes interviennent sur l’élevage ; Monsieur Marc SAMIRANT et Madame Soazick SAMIRANT.

Il est important de noter que Madame Soazick SAMIRANT est artiste à domicile , elle est donc présente très régulièrement dans l’établissement.

En cas d’absence des deux intervenants habituels et si une intervention doit être réalisée, Monsieur XXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXXX peut intervenir.

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3.8- Les moyens financiers.

3.8.1- Le matériel.



3.8.2- Les consommables.



4- Bibliographie.

La bibliographie doit être la plus exhaustive possible avec une copie des couvertures.

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Réunion ministere











** Merci à Pulchra pour toutes ces informations et documents

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Meme pas le morale de lire tout ton "roman", je le lirais quand j'aurais l'occasion de le passer Very Happy et au fait il faut avoir quelle age pour passer le CDC Rolling EyesSuspect

el Mino king

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