matthieu07 0 Posté(e) le 1 mai 2008 tout est dans le titre......et tout est bon à prendre.... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
ramsès02 0 Posté(e) le 1 mai 2008 et ben dis donc, tu cherches pas la facilité toi. Bon courage car il n'y a pas l'air d'avoir grand chose sur le web. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
matthieu07 0 Posté(e) le 2 mai 2008 effectivement, je lutte...... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
askook 0 Posté(e) le 2 mai 2008 Voici quelques informations. Le genre Ungaliophis, décrit par Müller, 1882 (ou 1880 selon les auteurs) fait parti de la famille des Ungaliophiidae (Wilcox et al., 2002) ou de la famille des Tropidophiidae et de la sous-famille des Ungaliophiinare selon d’autres auteurs. Le genre Ungaliophis comprend deux espèces : Ungaliophis continentalis Müller, 1878 (le premier spécimen a été découvert en 1878 au Guatemala et le compte rendu a été publié en 1882 (ou 1880 selon les auteurs). L’aire géographique de cette espèce est : Mexique (extrême sud), Guatemala, Honduras, Nicaragua et Costa Rica. Ungaliophis panamensiss Schmidt, 1933 possède une aire géographique qui va du Nicaragua, Costa Rica, Panama à la Colombie Ungaliophis continentalis appelé aussi boa des broméliacées, boa nain continental, boa nain d’Amérique Centrale ou boa banana (des spécimens sont parfois accidentellement transportés dans des régimes de bananes). Le biotope d’Ungaliophis continentalis est les forêts tropicales des basses terres et les forêts de pin des hautes terres. Ces boas se rencontrent dans et sous la végétation arborescente, tels que les branches horizontales recouvertes de mousse, les fougères, les orchidées et les bromélias. Il n’est pas rare de trouver des spécimens dans les bananiers. La couleur de base d’Ungaliophis continentalis est gris, bronze ou de différents brun. La face ventrale est mouchetée de noir, de brun, de rose et de blanc. Photos pour illustration. Source: google Les spécimens femelles sont plus grands et plus grosses que les mâles. De 65 à 75 cm pour les femelles et, de 55 à 60 cm pour les mâles. De mœurs arboricole et nocturne, Ungaliophis continentalis est discret, passant la majorité de son temps dans les arbres. Au sol, il s’enfouit dans sous la mousse ou sous des feuilles mortes. Ses habitudes alimentaires, à l’état sauvage, sont encore assez méconnues. Petits rongeurs, lézards, grenouilles feraient partis de la nourriture du boa des broméliacées. Mais aucune étude ne peut confirmer cela. Photo pour illustration. Source: google La reproduction d’Ungaliophis continentalis est de type ovovivipare. Les mâles sont natures sexuellement à l’âge de deux ans, et trois ans pour les femelles. Après cinq ou six de gestation, de deux à dix (en moyenne six) naissent. A la naissance, les jeunes mesurent une quinzaine de centimètre. En captivité, un terrarium de 60 x 50 x 50 cm peut recevoir un couple. Le substrat sera compose d’un couche de tourbe recouverte de sphaigne. Le décor sera composé de branchage disposé horizontalement, et quelques broméliacées ou ficus compléteront ce décor. La petite morphologie d’Ungaliophis continentalis peut se cacher ou se mouvoir dans de vraies plantes sans les écraser Photo pour illustration. Source: google La température sera comprise entre 21 et 27°C en journée, et pourra descendre à 18°C pour la nuit. Le taux d’hygrométrie sera compris entre 65 et 70%. La nourriture sera composée de rongeurs et proposé toutes les deux semaines. En cas de refus, il faudra essayer du lézard ou de la grenouille. Les jeunes spécimens peuvent être démarrés avec des têtards déposés dans le creux des plantes. Références bibliographiques: Burger, R. Michael. 1995. “An Arboreal Burrower: The Dwarf Boa Ungaliophis.” The Vivarium. Vol. 7 No. 2 Burger, R. Michael. 1998. “The Bromeliad Boa.” Reptiles Magazine. Vol. 6 No. 6 Corn, Michael J. 1974. “Report On The First Certain Collection Of Ungaliophis panamensis From Costa Rica.” Caribbean Journal of Science. Vol.14 Nos. 3-4 Mehrtens, John M. 1987. Living Snakes of the World. Sterling Publishing Co., New York. Wilcox, Thomas P.; Zwickl, Derrick J.; Heath, Tracy A.; Hillis, David M. 2002. “Phylogenetic relationships of the dwarf boas and a comparison of Bayesian and bootstrap measures of phylogenetic support.” Mol. Phylogen. & Evol. 25: 361-371 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
matthieu07 0 Posté(e) le 2 mai 2008 je veux bien que tu me donnes ta source Grand Chef........si un jour tu en vois en vente (France ou étranger......) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
askook 0 Posté(e) le 2 mai 2008 Le prix pour un spécimen NC est de 500 à 750 dollars, avec une liste d'attente très longue. Cette liste d'attente est même fermée chez certains éleveurs américains. http://pmherps.com/dwarf.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
matthieu07 0 Posté(e) le 2 mai 2008 askook a écrit:Le prix pour un spécimen NC est de 500 à 750 dollars, avec une liste d'attente très longue. Cette liste d'attente est même fermée chez certains éleveurs américains. http://pmherps.com/dwarf.html je n'avais pas pensé à Paul Mitchell......y'a plus qu'à voir pour du pas NC.... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Marie-Laure1111 0 Posté(e) le 2 mai 2008 Salut, Vraiment très beau. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
jiraya1 0 Posté(e) le 2 mai 2008 Je trouve la tête de ce serpent quand même space!!!! lol (avis personnel!!!) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
El Mino 0 Posté(e) le 2 mai 2008 jiraya a écrit:Je trouve la tête de ce serpent quand même space!!!! lol (avis personnel!!!) C'est que tu n'as pas encore vu le boa mangeur d'escargot de Askook Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites