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Une valeur nutritive insoupçonnée

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La consommation des insectes et particulièrement des criquets et des sauterelles est une coutume très ancienne à travers le monde. Les saintes écritures révèlent d’ailleurs que Moïse se nourrissait de criquets et de sauterelles dans le désert. De nos jours, il est reconnu à ces insectes un apport certain pour l’organisme.

«Sur le plan nutritif, la teneur en protéines (éléments bâtisseurs chez le jeune enfant) varie de 14% à 30%. C’est dire qu’ils contiennent autant de protéines que la viande et le poisson. Séchés, ils ont souvent une teneur en protéines double par rapport à la viande et au poisson frais », affirme Georges Okala, nutritionniste diététicien. Selon ce spécialiste, leur consommation peut contribuer à résoudre le problème de la malnutrition qui touche de nombreux enfants de moins de cinq ans dans nos pays. « Les criquets et sauterelles représentent aussi une bonne source de fer, indispensable à l’organisme.

Ils apportent également du calcium nécessaire à la contraction musculaire, la consolidation des os et la coagulation du sang », ajoute Georges Okala. Outre ces raisons la consommation des criquets et des sauterelles a un impact positif sur l’environnement. En effet, ces insectes se nourrissent essentiellement de feuilles fraîches. Leur chasse évite donc la défoliation des branches et évite ainsi aux arbres de perdre leur vitalité.
Source: http://www.cameroononline.org/2009/11/24/une-valeur-nutritive-insoupconnee/

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Cameroun : le retour des criquets à Yaoundé


Ces insectes verts très visibles dans la ville en ce moment, suscitent la curiosité chez certains citadins et l’engouement chez d’autres.

Depuis quelques jours, les amateurs d’insectes se délectent à Yaoundé. Plus un seul coin de rue n’est épargné par les essaims de criquets. A longueur de journée et de nuit, jeunes et moins jeunes font la chasse. Ils arpentent les rues de quartiers, et même les bureaux, à la recherche des petits volatiles verts. « On veut juste vérifier si quelques criquets ne sont pas entrés ici », lance un jeune garçon, sans même se rendre compte qu’il trouble la concentration des travailleurs. Et dehors, la chasse se fait d’une façon assez insolite.

Pas de gros efforts à fournir. Les proies sont faciles à attraper. Ces insectes volent assez bas et il suffit de les suivre pour les prendre un à un. Au bout d’une heure, on a une quantité suffisante pour un repas. « J’aime manger les criquets avec du bâton de manioc », lance Olga N., enseignante. Et comme elle n’a pas pu en avoir à volonté à son départ du bureau, Olga N. a acheté des insectes chez un autre ramasseur, pour son repas du soir. Et la gibecière, aussi insolite que le gibier. Une bouteille en place, non couverte. « C’est pour que les criquets ne puissent plus s’envoler. De plus, ça facilite leur transport », affirme Jeannot T., ramasseur de criquets.

Et il y a même des stratégies pour en attraper en grande quantité. « Les insectes sont visibles en journée, mais c’est mieux en soirée. Ils sont attirés par la lumière. C’est pourquoi on s’installe la plupart du temps sous des lampadaires », souligne le jeune homme. Ce qui n’est pas sans risque pour les ramasseurs. Aux heures de pointe par exemple, certains manquent de se faire ramasser par des véhicules alors qu’ils tentent de rattraper un insecte, en pleine chaussée. « L’homme doit manger à la sueur de son front », a lancé un ramasseur, tout trempé.

Et à son avis même ceux qui commercialisent ces insectes n’ont pas un autre moyen pour les capturer. C’est ce qui explique son coût élevé sur le marché. En effet, un paquet d’à peine 200 g de criquets séchés coûte en moyenne 500 F. Les insectes frais, vendus dans des bouteilles de 1,5 l reviennent à 1500 F.

Mais en dehors des consommateurs, qui se réjouissent de l’apparition des criquets, les autres s’en inquiètent. Pour eux, c’est un signe de la météo qui ne trompe pas. « Plus il y a de criquets et de sauterelles à l’amorce de la saison sèche, plus elle sera rude », soutient Rigobert Tzopgang, la soixantaine.
Source:http://www.camer.be/index1.php?art=7953

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Des recettes japonaises... à base d'insectes


Tokyo, Japon - Shoichi Uchiyama est un adepte de la cuisine aux insectes. Dans le but de démocratiser cette pratique, il a publié un livre de recettes de cuisine à base d'insectes et de larves.

Même si dans certaines contrées manger des insectes est une chose courante, beaucoup d'entre nous ont une profonde aversion pour cette pratique. Shoichi Uchiyama, amateur de cuisine aux insectes, se fait l'avocat de ces aliments hors du commun.

M. Uchiyama insiste sur les bénéfices que l'ont peut trouver à consommer des insectes. Très riches en protéines, leur élevage est rapide et peu coûteux. Plus de 1400 espèces seraient consommées à travers le monde.

Le livre de cuisine aux insectes de M. Uchiyama donne à ses lecteurs des recettes afin de pouvoir réaliser chez soi sushis aux chenilles, tofu aux mantes religieuses ou soupe aux cigales.
Source:http://www.zigonet.com/cuisine/en-images-des-recettes-japonaises-a-base-d-039-insectes_art8869.html


Nouilles aux insectes


Bouchée de riz surmontée d'un insecte


Sushis aux insectes


Tofu aux mantes religieuses


Maki

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Euuh, oui mais non !!!!!


Je ne doute absolument pas de leurs apports nutritifs, mais là franchement, je ne pourrais pas

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Moi bien grillé peut etre...
Mais surement pas dans une soupe ou sur du riz.

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un bon cricket cuit c'est ni plus ni moins qu'une crevette sa c'est sur mais les blattes dans la soupe je goute pas je m'arrête au cricket.

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