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Chelonia mydas

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Une tortue verte (Chelonia mydas) venue pour pondre a été capturée, pour être mangé, par des pêcheurs à Grand-Popo au Benin.
Fait surprenant, Chelonia mydas n'est pas connue pour nidifier au Benin.











Les écogardes informés ont réussi à la libérer en mer après l'avoir baguée et pris ses mensurations (cette tortue mesure 107 cm).

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Hier après-midi, un vacancier se rend à Kélonia, en compagnie d’un bébé tortue retrouvé sur la plage à proximité du cap La Houssaye. Ni une, ni deux, Stéphane Bourjea, cadre de recherche à l’Ifremer et Stéphane Cicionne, directeur de Kélonia débarquent dans les environs. Un recoin fouillé les intrigue. Avant de se munir d’une barre de der et de sonder le sol. “Si le bâton s’enfonce, c’est que le sable a été remué”, explique ce dernier. Et là jackpot. De multiples petites tortues vertes viennent de naître, entre 120 et 160, à 70 cm de fond. Une ponte qui fait le bonheur des scientifiques. “C’est fabuleux de retomber sur un nid, c’est de la chance”, savoure-t-il. Cette observation est la 14 e du genre depuis 2004. Une fréquence accélérée qui donne du baume au coeur de ces passionnés. “À la fin des années 90, il y avait peu de signalement”. Il faut savoir que les tortues ont longtemps déserté les littoraux, chassés par la surfréquentation et la pollution lumineuse. Une dizaine de ces bestioles vont passer par la case Kélonia, afin d’être étudiées. Inévitable.
Source: http://www.clicanoo.com/index.php?id_article=238157&page=article

Vidéo:
http://videos.tf1.fr/jt-20h/naissances-de-tortues-vertes-sur-l-ile-de-la-reunion-5757066.html

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Une tortue sauvée d’une mort certaine


Le volume de déchets plastique qui sont déversés dans les océans augmente d’année en année avec un impact croissant sur la faune marine. C’est ainsi que ce week-end, une jeune tortue verte Chelonia mydas a été sauvée d’une mort certaine, alors qu’elle dérivait étranglée dans les restes d’un sac de riz en fibre synthètique.

Sans l’intervention du bateau Océana II, le jeune tortue serait morte. C’est lors d’un sortie en mer que Cyril Guèrin repère une épave flottant à 50 kilomètres au large de La Réunion. En s’approchant, il aperçoit une jeune tortue coincée dans un débris de sac et la remonte à bord pour la libérer de ses liens. La tortue est très faible et les liens ont commencé à entailler la base des nageoires. Kélonia est aussitôt prévenu, et il est décidé de ramener la tortue à quai.

Les lésions aux nageoires ne sont pas trop importantes mais les deux nageoires antérieures étaient immobilisées, ce qui ne permettait plus à la tortue de se déplacer. La radio de contrôle montre de nombreux corps étrangers dans l’intestin de la tortue.

La prise de sang réalisée par le vétérinaire de Kélonia montre un taux élevé de globules blancs, signe d’un légère infection. La tortue a donc été mise sous antibiotique. Après 4 jours au centre de soins, la jeune KATTY, ainsi baptisée par l’équipage du bateau, a retrouvé sa mobilité et commence à se nourrir.

Il est donc envisagé de la relâcher dés la fin du traitement antibiotique, à proximité de son lieu de capture. Kelonia pourra l’équiper d’une balise Argos de 32g qui permettra de la suivre pendant 30 jours et ainsi étudier ses déplacements en fonction des courants et des variations de température de surface.

Les jeunes tortues de cette taille (3,1kg et 28cm de longueur de carapace) sont des sujets d’étude intéressants car on connait peu de choses sur leur biologie. On sait seulement qu’elles vivent dispersées en mer, où elles nourrissent en surface, mais dérivent-elles avec les grands courants océaniques ou ont-elles déjà la capacité de nage suffisante pour rejoindre les zones de l’océan les plus favorables à leur survie (température optimale, alimentation abondante,..) ? Katty sauvée de la pollution va aider les chercheurs à faire avancer la connaissance sur ces espèces migratrices protégées.
Source: http://www.clicanoo.re

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Philippines : une ponte record des tortues vertes en 2011


Des estimations établies par Conservation International révèlent un record de ponte des tortues vertes sur l’île Baguan située dans le sud des Philippines.

2011 peut être considérée comme l’année du babyboom des tortues vertes. L’organisation Conservation international a en effet enregistré une proportion record du nombre de nids sur l’île Baguan, au sud des Philippines. Pour les experts, le taux de nidification n’a jamais été aussi élevé depuis la mise en place d’un programme de conservation, spécifique à la zone, en 1984.

Près de 14.220 nids ont été répertoriés totalisant près d’1,44 millions d’œufs. "C’est un nombre impressionnant et il présente un grand espoir pour stimuler la croissance des populations de tortues vertes", indique à LiveScience Romeo Trono, directeur exécutif du département philippin de l’organisation. Avec 90% de succès d'éclosion et un taux de survie égal à 1% jusqu'à la maturité sexuelle, la vaste ponte aboutira finalement à 13.000 individus adultes.

Baguan est l'une des neuf îles constituant l’espace dûment protégé destiné aux efforts de conservation des populations de tortues. Ce patrimoine, géré conjointement par la Malaisie et les Philippines, a connu des hauts et des bas depuis sa mise en place. Les données sur le taux de ponte indiquent un premier sommet en 1995 avec 12.311 nids répertoriés à Baguan, suivi d’une véritable chute jusqu’à 4.000 nids en 2003.

De plus en plus d'efforts de protection

Selon les experts, la faible application de la loi en vigueur aurait laissé les pratiques de braconnage et de pêche illégale décimer les populations protégées. Depuis peu, les efforts de protections se sont multipliés grâce à la mise en place d’équipes professionnelles de surveillances formées par l’organisation.

La conservation des tortues vertes au sein de l’espace protégé intègre une initiative plus vaste concernant la protection du Triangle du corail, une zone de l’océan Pacifique réputée pour sa spectaculaire biodiversité. Mais la disparition des populations de tortues marines pourrait avoir de graves conséquences sur l’ensemble de l’écosystème de la région, d'après les spécialistes.
Source:http://www.maxisciences.com/

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Plus de 70 tortues retrouvées mortes sur les plages


Des dizaines de tortues vertes ont été retrouvées mortes sur les plages du nord-est de l'Australie. Les scientifiques n'ont encore pas identifié la cause du décès de ces animaux marins dont l'espèce est protégée.

Deux tortues vertes supplémentaires se sont échouées sur la plage de Wujunga Beach, à une centaine de kilomètres de la ville de Townsville, dans le Queensland australien. Sur les plages du Queensland, c'est ainsi une véritable hécatombe. La semaine dernière, soixante-deux tortues vertes ont été retrouvées gisant sur le sable, inanimées. Arrivés sur place, les scientifiques sont restés perplexes. La mort de ces pacifiques reptiles est aussi subite que mystérieuse.

En effet, pour l'heure, aucune cause évidente ne laisse penser qu'il pourrait s'agir d'une pollution ou d'une intoxication. Après cette première découverte, les autorités de l'Etat ont décidé de patrouiller au large avec deux de leurs hélicoptères. Ils ont alors repéré une dizaine d'autres tortues, flottant sans vie à la surface de l'Océan. A première vue, les tortues ne souffraient pas de dénutrition. "Elles paraissaient avoir un bon état de santé général", a expliqué à l'AFP Marty McLaughlin, directeur des opérations aux Services des parc et de la vie sauvage du Queensland.

"Il n'y a aucune cause apparente de la mort. Nous avons vérifié plusieurs cause habituelles de décès, comme la malnutrition ou la collision avec un bateau. Ça n'a rien donné", a-t-il confié. "Nos analyses n'ont pas signalé non plus de parasites (nocifs). C'est un mystère total", at-il ajouté. C'est autour d'Upstart Bay, au sud de la ville de Townsville, que l'ensemble des tortues a été retrouvé. Une région proche de la Grande Barrière de corail. Sur les lieux, des crabes et des cochons qui se nourrissaient des cadavres n'ont pas été malades.

Mais Marty McLaughlin a tenu à rester prudent : "nous ne pouvons pas encore écarter l'hypothèse d'un empoisonnement tant que les rapports de toxicologie ne nous sont pas encore parvenus". Selon le Brisbane Times, ces derniers devraient rendre leur verdict dans les deux prochaines semaines.

Un phénomène sérieux pour cette espèce menacée

Cette hécatombe de tortues vertes intervient peu après que l'Unesco a vivement critiqué la gestion australienne de la Grande Barrière de corail, une région capitale pour l'alimentation de ces reptiles. La tortue verte est considérée comme une espèce vulnérable sous la législation nationale de l'Australie. La mort ne serait-ce que d'un seul individu en âge de se reproduire pourrait ainsi avoir un sérieux impact négatif sur l'ensemble de la population des tortues marines.

La plupart des spécimens échoués sont des femelles de taille adulte. A cet âge, les tortues vertes ont une carapace d'environ un mètre de long pour un poids moyen de 130 kilogrammes. Certaines femelles peuvent néanmoins peser jusqu'à 180 kg en période de ponte.
Source: http://www.maxisciences.com

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Aldabra, atoll paradisiaque et laboratoire naturel
Surveillance satellite des tortues


Aldabra est également, entre décembre et mars, un lieu de reproduction et de ponte privilégié, dans l'océan Indien, de la Tortue verte (Chelonia mydas), espèce marine menacée.

«En février, c'est le pic de la saison de reproduction, tous les jours on enregistre de 30 à 40 traces de tortues vertes qui montent pondre leurs oeufs (...) sur l'île de Picard», une des quatre îles de l'atoll, montre Janske Van de Crommercker, coordinatrice scientifique à la SIF.

«La population de tortues de mer est en augmentation, tous les ans on enregistre plus de traces de femelles», notamment grâce à l'arrêt de la pêche du reptile, en vigueur jusque dans les années 1960, explique-t-elle.

Un programme de surveillance satellite en temps réel grâce à un émetteur implanté sur six Tortues vertes a permis de constater qu'après avoir pondu, ces tortues repartaient un peu partout dans l'océan Indien.

Certaines «partent vers le continent africain, au Kenya, une autre est passée aux Comores et se trouve actuellement à Madagascar et une autre se trouve du côté d'Arros», autre île de l'archipel seychellois, poursuit la scientifique.

L'atoll abrite aussi d'importantes colonies d'oiseaux, dont certains viennent s'y reposer au cours de leur migration.

Cet écosystème rare, d'une beauté exceptionnelle, a bien failli disparaître dans les années 1970 pour laisser la place à une base militaire américaine, alors que l'atoll était encore l'un des Territoires britanniques de l'océan Indien. L'idée sera finalement abandonnée face aux protestations des défenseurs de la nature et des scientifiques et la base construite sur l'atoll de Diego-Garcia, sur l'archipel des Chagos, 3 000 km plus à l'est.

Seule une quinzaine de personnes vivent en permanence sur l'atoll: quatre scientifiques, quatre gardes, du personnel administratif, un cuisinier, etc. L'eau de pluie est récupérée et le soleil fournit l'électricité.

L'absence de lignes maritimes ou aériennes limite l'accès des touristes, dont environ un millier se rendent chaque année à Aldabra, dans des conditions très strictes.

Seuls de petits groupes de 30 personnes maximum sont acceptés, encadrés par des gardes sur des itinéraires strictement délimités. Il est interdit d'y passer la nuit. Le droit d'entrée, 100 euros par personne, permet de financer la gestion de l'île, mais depuis des attaques de pirates, les touristes se font plus rares, déplore Maurice Lousteau-Lalanne, président de la SIF.
Source: http://fr.canoe.ca

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