Appel aux témoignages: difficulté et "niveau d'expérience" des espèces

[gaeldr1 0]

Cela est dit et répété sans cesse, il y a des espèces qui conviennent aux débutants et des espèces réservées "aux experts". Pourtant j'ai le sentiment que la notion de difficulté reste floue. Lorsque l'on se renseigne sur les besoins d'une espèce, on retrouve toujours la même chose: température, hygrométrie, mode de vie, nutrition,... Et difficulté. Avec accessoirement certaines indications: "ne se nourrit que de lézards", "très fragile", "poumons fragiles"...

En ne se basant que sur les informations somme toute théoriques que l'on collecte dans la littérature ou sur le net, il est difficile de se faire une idée de la réalité du maintien réussi d'une espèce.
C'est pourquoi je vous demande ici de partager vos expériences avec les espèces réputées plus délicates "que la gutt de base", les difficultés que vous avez rencontrées et les moyens mis en œuvre pour les surmonter, ainsi que les échecs survenus lors de votre parcours et ce qu'il aurait fallu faire pour les éviter. Le but n'est évidemment pas de blâmer les erreurs mais bien de les identifier afin de ne pas les reproduire inutilement.
Bien sûr, ce ne seront que des cas particuliers qui ne seront pas nécessairement pertinents pour tout le monde, mais je pense que ça donnerait tout de même lieu à un échange enrichissant

[tim1111 0]

Hello les amis , ca fait un petit moment que je suis plus venu vous voir

Pour ma part au plus les années passe en therme de maintenance ophidiens , au plus je me dis que n'importe quel especes peu etre maintenue par un debutant si les parametre de base sont respecté .
Je ne parle pas des espece potentiellement dangereuse genre venom ou tres gros serpent qui eux nécessite un minimum d'experience en therme de manipulation principalement .

Une personne novice et motivé pourra tres bien maintenir un morelia viridis par exemple ,
s'il garde bien les regles et principalement celle d'eviter les manipulations inutiles .
Je parle de sujet NC , car les imports etc.. C'est encore different.

[gaeldr1 0]

Justement, je lisais l'autre jour une personne disant avoir acheté un Morelia viridis et qui avait dû l'envoyer chez le véto notamment parce que l'eau utilisée pour les pulvérisations était trop calcaire et qu'un dépôt s'était formé quelque part dans ses voies respiratoires.

Je le répète, ce post n'a pas pour but de tirer des généralités mais bien d'accumuler les petites histoires personnelles

[tim1111 0]

le viridis est souvent soumis au infection respiratoire et ce souvent a cause de trop de pulverisation
Perso je ne pulverise jamais mes viridis a cause de ca, suite justement a un souci de pulverisation , et si je dois le faire par obligation ( mue difficile alors il faut pulverisé le substrat et jamais l'animal , cela fait aussi partie des regles .
L'eau pulverisé est toujours froide , meme si dans le pulverisateur il y a de l'eau chaude , cela provoque un choc thermique , et comme ce sont des serpents " fragiles" le risque de probleme arrive plus rapidement .
En clair , une maintenance dite seches est preferable

Je trouve etrange l'histoire du calcaire par contre

[flaac1 0]

Je dirais aussi que certaines espèces sont plus ou moins compliquées. Pas forcément à cause de réelle difficultés, mais parfois de "petits riens" qui peuvent vite devenir gênants et rendre la maintenance problématique.
D'autant plus que comme ces petits riens semble anodins il ne semble pas forcément utile de les mentionner et qu'il peuvent du coup gêner lorsque l'on débute sur une espèce.

Pour les animaux que j'ai je peut donner les exemples suivants (valables avec mes conditions d'élevage et avec mes spécimens):

Elaphe schrenckii : bon mangeurs, pas agressifs, pas stressées. Mais très curieuses. Nourries à la pince elles préfèrent explorer la pièce et se fichent de la proie, nourries en boites elle ne mangent pas, obligé de les nourrir au posé dans le terrarium.

Zamenis persicus : la mienne ne mange pas en présence d'un observateur ou sortie de son terrarium. Les proies plus épaisses que son corps sont également refusées. Les températures élevés que j'ai eu l'été de ma première années de détention (proche de Montpellier de 26 nuit à 32 dans la pièce) jours ont également bloquées la prise alimentaire.


Pantherophis emoryi : la majorité n'est pas contrariante et tape à la pince. Mais une petite partie ne mange qu'au calme et interdiction d'ouvrir la boite de nourrissage trop tôt, sinon c'est régurgitation.

Lampropeltis (nigritus et triangulum) : ils ont des difficultés à avaler des proies que d'autre serpents de même gabarit mangent sans difficultés. je peut donner à mes Lamprophis (+-1m) des proies aussi larges qu'a mes grands Lamprolpeltis (140/160 cm).

Lamprophis : ils trouveront la sortie à un terrarium pourtant étanche à d'autres espèces de gabarit similaire.

[gaeldr1 0]

Personne d'autre?