pacemaker91 0 Posté(e) le 6 octobre 2007 Le procès de Marc-André Laporte, l'ex-propriétaire de ce que l'on a appelé le «chenil de l'horreur», à Blainville, dans les Laurentides, s'est amorcé jeudi matin au palais de justice de Saint-Jérôme. L'homme fait face à deux chefs d'accusation de cruauté envers les animaux. Le 10 novembre 2005, les policiers avaient fait une perquisition dans la résidence de M. Laporte où étaient entassés une centaine de chiens dans des conditions d'hygiène exécrables. Il y avait une quantité incroyable d'excréments au niveau du sol. Les policiers de Blainville avaient appelé en renfort la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux (SPCA). Inspectrice à la SPCA, Nathalie Bouillé a raconté au tribunal que les chiens étaient cotonnés, et dans des cages sales, ajoutant que l'odeur dans la résidence était insupportable. Depuis ce temps, les lieux ont été détruits. Une vingtaine de chiens ont dû être euthanasiés et une soixantaine ont été adoptés. M. Laporte refuse de se départir d'une vingtaine de chiens qui sont actuellement en «famille d'accueil». Jeudi après-midi, M. Lapointe devait témoigner dans son propre procès. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites