pacemaker91 0 Posté(e) le 29 mai 2008 VaranusUn article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.(Redirigé depuis Varan)Aller à : Navigation, RechercherVaranusVaranus variusClassification classiqueRègne AnimaliaEmbranchement ChordataClasse ReptiliaOrdre SquamataSous-ordre AutarchoglossaFamilleVaranidaeHardwicke & Gray, 1827GenreVaranusMerrem, 1820Taxons de rang inférieurVoir texte Retrouvez ce taxon sur WikispeciesParcourez la biologie sur Wikipédia : Varanus gouldiiVaranus prasinusvaran de KomodoLa famille des Varanidae ne contient qu'un seul genre (famille monotypique), appelé Varanus, ou encore varan.Ce sont des lézards, en général de grande taille. Ils se distinguent des autres lézards par leur long cou, leur crâne triangulaire et leur langue bifide - comme celle d'un serpent. Toutes les espèces de varans sont carnivores (à part une espèce qui se nourrit aussi de fruits). Ils ont des mâchoires puissantes et des membres armés de 5 griffes acérées. Les varans sont ovipares, ils ont des oreilles externes et des paupières. Ils ne peuvent pas "lâcher" leur queue comme certains lézards (Autotomie). Les espèces les plus proches des varans sont les hélodermes et les faux varans (qui n'ont pas d'oreilles externes). Les varans sont trouvés dans les régions tropicales et sous-tropicales de l'Afrique, de l'Asie et de l'Australie (Dans ce dernier cas, ils sont appelé goanna localement). La majorité des espèces viennent d'Océanie, partiellement par manque de compétition mammalienne.La langue bifide d'un varanLes plus connus sont :Varanus komodoensis : le varan de Komodo, l'un des plus grand lézard actuel,Varanus niloticus : le varan du Nil.Il existe une soixantaine d'espèces de Varan, un nombre exact étant difficile à préciser dû au flux de la taxonomie de ce genre. Certaines espèces peuvent être considérées comme sous-espèces et vice-versa. Par exemple, le varan orné (V. ornatus) peut être une sous-espèce du varan du Nil (V. niloticus) ce qui donne Varanus niloticus ornatus. Idem pour V. flavirufus, qui selon certaines sources est V. gouldii flavirufus, ou V. gouldii ; V. gouldii lui-même étant parfois V. panoptes. Des analyses biochimiques sur certains groupes sont donc considérées comme nécessaires pour aider à résoudre ce problème. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites