pacemaker91 0 Posté(e) le 30 octobre 2008 Cinq dans une cosse de pois Il y avait cinq petits pois dans une cosse. Ils étaient verts, la cosse était verte, ils croyaient que le monde entier était vert. Et c'était vrai pour eux ! La cosse poussait, les pois grandissaient. Ils se tenaient bien droits dans le rang. Les semaines passèrent. Les pois jaunirent, les cosses jaunirent. Le monde entier jaunit ! " disaient-ils. Et ça, ils pouvaient le dire. Soudain, il y eut une secousse sur la cosse : quelqu'un l'arrachait. " On va ouvrir bientôt." pensaient-ils, et ils attendaient... Crac ! Voilà la cosse déchirée et tous les cinq roulèrent dehors au gai soleil dans la main d'un petit garçon qui les déclara bons pour sa sarba- cane de sureau. Il en mit un tout de suite dedans et tira. " Je vole ! " dirent les quatre premiers pois. " Arrive que pourra" dit le dernier des pois lorsqu'il fut tiré dans l'espace. Il partit jusqu'à la vieille planche au-dessous de la fenêtre d'une mansarde, juste dans une fente où il y avait de la mousse et de la terre molle. La mousse se referma sur lui et il resta là. Caché. Mais notre Seigneur ne l'oubliait pas. " Arrive que pourra." répétait le petit pois. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 30 octobre 2008 Vous savez qu'en Chine l'empereur est un Chinois et tous ceux qui l'entourent sont Chinois. Il y a de longues années, justement parce qu'il y a longtemps, je veux vous conter cette histoire avant qu'on ne l'oublie. Le palais de l'empereur était le plus beau du monde, entièrement construit en fine porcelaine - il fallait même faire très attention. Dans le jardin poussaient des fleurs merveilleuses, aux plus belles d'entre elles on accrochait une clochette d'argent qui tintait à la moindre brise afin qu'on ne puisse passer devant elles sans les admirer. Oui, le jardin était si vaste que le jardinier lui-même n'en connaissait pas la fin. Si on marchait très, très longtemps on arrivait à une forêt avec des arbres superbes et des lacs profonds. Cette forêt descendait jusqu'à la mer bleue et dans les branches de ses arbres vivait un rossignol dont le chant mer- veilleux charmait jusqu'au plus pauvre des pêcheurs. Quoiqu'ils eussent bien d'autres soucis, ils restaient silencieux à l'écouter et s'écriaient, quand le chant était fini : Dieu que c'est beau ! De tous les pays du monde, les voyageurs venaient admirer la ville de l'empereur, le château, le jardin, mais quand on les menait entendre le rossignol, tous s'écriaient : - " ça, c'est encore ce qu'il y a de mieux ! " Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 30 octobre 2008 Il était une fois une belle Princesse écervelée. Le Roi, son père, dont elle était l'unique enfant, lui donnait tout ce qu'elle pouvait désirer. Son jouet préféré était une balle dorée qu'elle emportait partout, la lançant et la rattrapant sans cesse. Un jour, se promenant au fond du parc du château, elle arriva près d'un vieux puits. Elle s'assit sur la margelle, tout en jouant avec sa balle. Hélas ! La jolie balle dorée lui échappa et tomba tout au fond du puits. La Princesse sanglotait, penchée sur le bord du puits quand une voix froide et mouillée lui dit : - Si je vais chercher ta balle dorée au fond du puits, promets-tu ..de me laisser manger à ta table, de me laisser dormir dans ton lit, ..et voudras-tu m'embrasser si je te le demande ? La Princesse se redressa et regarda autour d'elle. Il n'y avait per- sonne ! Elle entendit de nouveau la voix. Cette fois, elle reconnut qu'elle venait du puits. En regardant mieux, elle vit qu'une grenouille lui tenait ce discours. La Princesse était si troublée qu'elle ne trouva pas étrange qu'une grenouille lui parle. Aussi lui répondit-elle : - Grenouille, je te promets ce que tu veux si tu rapportes ma balle ..dorée. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 30 octobre 2008 Origine : Sénégal Il était une fois… Dans un village appelé Kossoukro, vivaient des diables. Un jour, un homme de voyage découvre le village, s'y installe et demande de l'aide à son arrivée. Les diables l'accueillent. C'est alors qu'il voit un très, très beau masque sacré. L'homme veut ce masque ! Il laisse la nuit tomber puis se met en route vers le masque… Un diable assis sous un gigantesque fromager le regarde venir. Et voilà l'homme en position de prendre le masque. Le diable dit : " Qu'as-tu vu sur le masque ? " Et le cœur de l'homme se met à se battre... " Laisse le masque, ne crains rien, nous ne te ferons rien, pars en paix. Mais sache une chose : voler n'est pas bon… " C'est une histoire inventée. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 30 octobre 2008 La petit poule rousse Il était une fois une petite poule rousse. Elle vivait en compagnie d'un cochon, d'un canard et d'un chat dans une petite maison dont elle faisait toujours soigeusement le ménage. Les autres ne travaillaient jamais. Ils étaient toujours sur le point de faire quelque chose, mais... ils étaient bien trop paresseux ! Le cochon aimait se rouler dans la boue, le canard aimait nager dans la mare et le chat aimait dormir au soleil, en ronronnant. Un jour, la petite poule rousse trouva un grain de blé. - Qui va planter ce grain de blé ? demanda-t-elle. - Pas moi ! grommela le cochon, caqueta le canard, ronronna le chat. Alors la petite poule rousse choisit un joli coin de terre, le gratta avec ses pattes et planta le grain de blé. Pendant l'été, le grain de blé poussa. Ce fut d'abord un grand épi vert, puis il mûrit au soleil et devint d'une belle couleur dorée. - Qui va m'aider à couper le blé ? demanda la petite poule rousse. - Pas moi ! grommela le cochon, caqueta le canard, ronronna le chat. - Très bien, alors je le couperai moi-même ! s'écria la petite poule rousse. Elle coupa délicatement l'épi dont elle retira les grains un à un. - Qui va emmener le blé au moulin pour le faire moudre ? demanda-t-elle. - Pas moi ! grommela le cochon, caqueta le canard, ronronna le chat. Alors la petite poule rousse emporta elle-même le blé au moulin et commanda au meunier de la farine. Le meunier envoya un petit sac de farine dans la maison où la petite poule rousse vivait avec le cochon, le canard et le chat. - Qui va m'aider à faire du pain avec cette farine ? demanda la petite poule. - Pas moi ! grommela le cochon, caqueta le canard, ronronna le chat. - Très bien, concéda la petite poule rousse. Je vais faire le pain moi-même. Elle transforma la farine en pâte. Elle pétrit cette pâte et la mit au four. Une bonne odeur de pain chaud se répandit bientôt dans toute la maison et envahit le jardin. Le cochon quitta sa flaque de boue, le canard sortit de sa mare et le chat abandonna sa place au soleil. Ils vinrent tous dans la cuisine. Quand la petite poule rousse ouvrit le four, la pâte avait gonflé et était devenue une miche de pain appétissante et croustillante. - Qui va manger ce pain ? demanda la petite poule rousse. - Moi ! grommela le cochon. - Moi ! caqueta le canard. - Moi ! ronronna le chat. - Oh, non ! Pas vous ! s'écria la petite poule rousse. J'ai planté le grain, j'ai coupé le blé, je l'ai porté au moulin pour avoir de la farine et j'ai cuit le pain. J'ai tout fait toute seule. Eh bien, maintenant, je vais manger la miche toute seule. Le cochon, le chat et le canard restèrent là à regarder la petite poule rousse qui mangea la miche de pain toute seule. C'était délicieux et elle en profita jusqu'à la dernière miette ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 mars 2009 La chasse aux oeufs L'origine de cette coutume est liée au symbole de l'animal qui est entré dans la tradition d'amener les œufs de Pâques. En France, dans la plupart des régions c'est soit un lapin qui dépose les œufs dans les jardins, soit les cloches des églises. Rappelons que celles-ci, parties le vendredi saint à Rome, muettes et tristes durant les 2 jours où le Christ est mort, reviennent toutes joyeuses le dimanche matin pour annoncer au peuple sa résurrection… Et c'est chargées des œufs à distribuer qu'elles arrivent ! La chasse au trésor peut commencer ! Dans d'autres régions ou d'autres pays, c'est une cigogne, un renard, un coucou, etc… qui sont les transporteurs-distributeurs. Généralement, cette chasse est faite par les enfants, mais certaines communes l'organisent pour leurs adultes. La chasse a lieu alors le week-end de Pâques dans les bois environnants et elle fait l'objet d'un concours où le gagnant est celui qui en aura ramassé le plus, dans un temps limité. Le plus mais aussi les plus beaux. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 mars 2009 Dans nos provinces françaises, en Suisse, en Allemagne, en Angleterre, c'est une ancienne coutume d'échanger, au temps de Pâques, des cadeaux d'oeufs ornés et coloriés. Inventer de nouvelles manières d'embellir les oeufs de Pâques, d'y tracer des dessins, des ornements, de les peindre de mille façons, de les incruster de gravures, de les habiller de bas-reliefs en moelle de sureau, d'y tracer d'ingénieuses devises, c'est ce qui fait l'amusement et presque l'occupation de la plupart des enfants et des jeunes filles longtemps avant le moment fortuné où les présents, soigneusement préparés en grand secret, seront enfin produits au grand jour. Qui de nous, même dans les grandes villes, où peu à peu ces gracieuses coutumes disparaissent, qui ne s'est senti réjoui en promenant ses regards sur ces vastes corbeilles remplies d'oeufs rouges qui brillaient au soleil, et semblaient annoncer le renouvellement de l'année et le réveil d'une nature féconde ? Cet usage des présents d'oeufs de Pâques nous vient probablement de l'Orient, où l'oeuf joue un grand rôle comme symbole du chaos, état primitif du monde, et de la création qui a développé le germe de toutes choses. Voici ce que Chardin raconte de la fête du nouvel an en Perse, où, comme jadis en France, l'année s'ouvre à l'équinoxe de printemps : « La fête du nouvel an, la seule fête civile que les Persans connaissent, est célébrée avec beaucoup de pompe. Le sultan Djeladdin, instituteur d'un calendrier qu'on dit préférable au calendrier grégorien, a fixé la fête du renouvellement de l'année solaire au soir de l'équinoxe du printemps. On annonce la fête au peuple par des décharges d'artillerie et de mousqueterie. Les astrologues, magnifiquement vêtus, se rendent au palais du roi ou chez le gouverneur du lieu une heure ou deux avant l'équinoxe pour en observer le moment (...) A l'instant qu'ils donnent le signal, on fait des décharges, et les instruments de musique, les timbales, les cors et les trompettes, font retentir l'air de leurs sons. Ce ne sont que chants, qu'allégresse, chez tous les grands et riches du royaume. A Isaphan on sonne des instruments, pendant les huit jours que dure la fête, devant la porte du roi, avec des danses, des feux et des comédies comme à une foire ; et chacun passe la huitaine dans une joie qui ne se peut représenter. Les Persans, entre autres noms qu'ils donnent à cette fête, l'appellent la fête des habits neufs, parce qu'il n'y a homme si pauvre et si misérable qui n'en mette un, et ceux qui en ont le moyen en mettent tous les jours de la fête (...) Chacun échange des présents, et dès la veille on s'entr'envoie des oeufs peints et dorés. Il y a de ces oeufs qui coûtent jusqu'à trois cents ducats d'or la pièce. Le roi en donne de cette espèce quelque cinq cents de son sérail, et on les présente dans de riches bassins aux principales dames. L'oeuf est couvert d'or, avec quatre petites figures ou miniatures très finement faites aux côtés. On dit que de tout temps les Persans se sont donné des oeufs comme cela au nouvel an, parce que l'oeuf marque le commencement des choses. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 mars 2009 INGREDIENTS PREPARATIONPour 4 personne(s)40g de miel,240g de créme,1 poignée de cacao,1 poignée de sucre glace,140g de chocolat en copeau,20g de beurre en pommade Mettre la créme dans un poelon avec les 40gr de miel. Porter à ébullition, ajouter les copeaux de chocolat. Mélanger au milieu et ajouter le beurre en pommade puis mélanger dans un plat. Ajouter du papier film au fond du plat, rajouter le mélange est remettre aussi au dessus du mélange du papier film. Laisser reposer le mélange a une tempèrature de 4°C pendant 2h. Ressorter le mélanger et couper le en petits carré (environ 40 carrés). Prendre un peu de cacao sur sa main prendre un carré. Faire des formes d'oeuf et à la fin, ajouter du sucre de glace autoure des oeufsSUGGESTIONS ET CONSEILSManger de prèfèrence dans les 24heures Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 1 avril 2009 Le 1 er avril est le jour des canulars, des farces et des blagues. Mais d'où vient la tradition d'accrocher des poissons dans le dos des gens en criant " Poisson d'avril " ? Comme toujours il n'existe pas une origine, mais plusieurs origines à la fête du poisson d'avril. La fête du premier avril tombe 12 jours après l'équinoxe de printemps. L'origine la plus connue du poisson d'avril :L'origine la plus connue du poisson d'Avril est la décision de Charles IX (roi de France). Avec l' Edit de Roussillon, le 9 août 1564, Charles IX instaure le 1er janvier comme premier jour officiel de l'année. Selon la légende certains ont fait preuve de résistance en offrant des cadeaux et présents de nouvel an le 1 er avril, tandis que d'autres continuaient par habitude à offrir des étrennes jusqu'en avril. Peu à peu ces cadeaux de fausses étrennes se seraient transformés en canulars, en blagues puis en poissons d'avril accroché dans le dos des distraits. Cette origine n'a rien de prouvée d'autant plus que le 1er avril est fêté dans de nombreux autres pays. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 1 avril 2009 Poisson d'avril (suite) Jour saint pour tous les blagueurs, le 1er avril est traditionnellement synonyme de farce. Les professeurs sont souvent les victimes d'élèves ingénieux, les médias diffusent allègrement des canulars et tout le monde y va de son piège. Petit retour sur la plus rigolote des traditions.A l'origine était Charles IXSi l'origine du poisson d'avril est controversée, l'hypothèse la plus courante le fait naître au 16ème siècle. En 1564, le roi Charles IX a décidé que l'année ne commencerait plus le 1er avril mais le 1er janvier. Un changement a également décalé les échanges de cadeaux et d'étrennes qui marquaient le passage à la nouvelle année. Pour semer le doute au sujet de la date réelle du nouvel an, certains ont persisté à offrir des présents en avril. Avec le temps, les petits cadeaux d'avril se sont transformés en cadeaux pour rire, en blagues, puis en stratagèmes pour piéger les autres. Pourquoi le choix du "poisson" Si les farces sont désormais connues sous le nom de "poisson d'avril", cela remonte là encore à ce cher 16ème siècle. Les cadeaux que l'on s'offrait en avril étaient souvent alimentaires. Cette date étant à la fin du carême, période durant laquelle la consommation de viande est interdite chez les chrétiens, le poisson était le présent le plus fréquent. Lorsque les blagues se développèrent, l'un des pièges les plus courants était l'offrande de faux poissons. Et dans les autres pays... La tradition de la blague du 1er avril, au départ occidentale, s'est peu à peu diffusée. Elle s'exprime de différentes manières en fonction des pays. En Angleterre, par exemple, le 1er avril est l' "April's fool day". Les farces ne se font que le matin et si vous êtes piégé, vous êtes "une nouille". En Ecosse, soyez deux fois plus vigilant qu'en France car les farceurs peuvent également sévir le 2 avril. Au Mexique, l'unique tour consiste à subtiliser le bien d'un ami. La victime aura en échange des bonbons et un petit mot lui indiquant qu'il s'est fait avoir. Il existe même une version indienne du poisson d'avril : elle a lieu le 31 mars et se nomme la fête d'"Huli ". Quelques canulars célèbres de ces dernières années 1992 : une radio publique nationale américaine annonce que Richard Nixon est candidat à l'élection présidentielle. Son slogan de campagne : "Je n'ai rien fait de mal, je ne recommencerais pas ". 1999 : la radio BBC 4 affirme à ses auditeurs que l'hymne national anglais "God save the Queen" va être prochainement remplacé par un chant européen en allemand. Des milliers d'auditeurs appellent l'antenne, scandalisés.2000 : le quotidien sportif portugais "A bola" publie un article selon lequel l'UEFA a décidé de retirer l'organisation de l'Euro 2004 à son pays. Un traumatisme pour certains lecteurs… 2002 : le site Internet canadien "Bourque Newswatch" annonce le départ du ministre des Finances, Paul Martin. Repris par le bulletin financier britannique, "The Gartman Letter", la nouvelle aurait fait perdre 32 cents au dollar canadien. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites