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pacemaker91

Pauvres marcarssins

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Le Progrès - Lyon 39 Dole, 14 novembre 2008

Porte du cours Massacre de marcassins
S.D.

Ce qui s'est produit dimanche dernier aux alentours de l'usine Solvay ne risque pas d'améliorer l'image des chasseurs auprès de l'opinion publique. Pour être honnête, disons plutôt « de certains chasseurs », car beaucoup condamnent de tels comportements. Rappelons au passage qu'il ne fait pas bon se balader dans le secteur en période de chasse, d'autant que les différentes sociétés du coin ne s'entendent guère, paraît-il. Il y a quelques années, un chasseur avait été tué accidentellement aux abords de l'usine. Dimanche dernier donc, plusieurs sangliers, poursuivis par des chasseurs, se sont retrouvés piégés dans un bassin de rétention de l'usine destiné à retenir des eaux d'incendie. Les bêtes étaient coincées dans le bassin, glissant sur le manteau en PVC qui les empêchait de se hisser sur la terre ferme. Il ne restait plus qu'à abattre les animaux, dont une femelle et ses nombreux petits. Un joli massacre paraît-il. Qui a ému nombre de salariés de l'usine, qui compte de nombreux chasseurs. Dont certains se sont déclarés «écoeurés».

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Le Progrès - Lyon

39 Dole, 18 novembre 2008

Porte du cours Massacre de marcassins (suite)

Nous relations vendredi cette tuerie de sangliers aux abords de Solvay, le 9 novembre. En fait, nul marcassin parmi eux, mais un mâle d'une cinquantaine de kilos et cinq autres petits sangliers d'environ 25 kg. « Mais ils n'avaient plus leurs rayures » précise Richard Amprino, président de l'AICA Tavaux-Abergement-la-Ronce. Pourchassés par les chiens, les animaux, qui venaient de Damparis se dirigeaient en direction de Saint-Aubin. Le bassin était sans eau, mais le linoléum, glissant, les empêchait de sortir. « Et une dizaine de chiens étaient dedans également, qui risquaient de se faire écharper » explique Antoine Bouchard, président de l'ACCA de Damparis. « Il fallait bien prendre une décision ». Les six sangliers, dont l'un avait été blessé par balle à une patte et qui étaient tous assaillis par les chiens, ont donc été tués à la dague, histoire de ne pas abîmer le revêtement. Jean-Pierre Perdrizet, qui préside l'association de chasse Solvay, dénonce, lui, « une minorité de chasseurs irresponsables ». À suivre ?

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