pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 source : http://www.ecologie.gouv.fr/Je-preserve-l-eau-tout-en-faisant.html Je préserve l’eau tout en faisant des économiesCréé le 1er mars 2007Actualisé le 19 février 2008 Je prends une douche rapide plutôt qu’un bain. Je consomme ainsi entre 25 et 100 litres d’eau au lieu de 250 litres environ, et je participe à la préservation de cette ressource naturelle limitée. En effet, dès 2030, la demande en eau pourrait dépasser l’offre : 50% de la population mondiale serait privée de cette ressource vitale.Je coupe l’eau quand je me brosse les dents, me lave les mains ou me rase. Je réduis ainsi ma consommation d’eau de moitié. L’eau douce ne représente que 2,5 % du stock total d’eau sur la planète (les 97,5 % restant étant salés).[b]Après le brossage, je me rince les dents avec un verre à dent.[/b]Laisser couler l’eau pendant le brossage consomme 12 litres d’eau à la minute.La simple utilisation d’un verre à dent permet d’économiser 10 000 litres d’eau par an et beaucoup d’énergie !En effet, consommer l’eau entraîne aussi une consommation d’énergie : le traitement et la distribution de l’eau nécessitent des installations consommant beaucoup d’énergie.J’installe une chasse d’eau à double commande dans mes toilettes ou je place une bouteille pleine de sable ou une brique dans le réservoir. Je réduis ainsi ma consommation d’eau de 1 à 2 litres à chaque remplissage de la cuvette. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 source : http://www.ecologie.gouv.fr/Dans-mon-jardin-je-preserve-la,7468.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 source : http://www.ecologie.gouv.fr/stop-pub.html Créé le 17 janvier 2006Actualisé le 13 octobre 2008 Réduisons vite nos déchets, ça déborde Chaque citoyen peut, par des actions concrètes et simples, œuvrer au quotidien pour limiter la croissance constante de la quantité de déchets que nous produisons. - Chaque année, un million de tonnes de courriers non adressés Nos boîtes aux lettres se trouvent souvent remplies par des prospectus, des publicités, ou des journaux gratuits. Ces courriers non adressés correspondent en moyenne chaque année à 40 kg par foyer. Les publicités des grandes surfaces représentent 58% de ces quantités, les journaux gratuits d’annonces 18%, le commerce local14%, le reste correspond aux services et aux publications des collectivités locales.- Moins de prospectus dans sa boîte aux lettres, c’est possible Pour ceux qui ne lisent pas les imprimés non adressés, et désirent ne plus les recevoir dans leur boîte, il est possible d’apposer sur sa boîte aux lettres un autocollant ou une étiquette, mentionnant le refus de recevoir ces imprimés. Ces autocollants mentionnent en général le souhait de continuer à recevoir l’information de sa collectivité. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 http://www.ecologie.gouv.fr/Lors-de-mes-deplacements.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 http://www.ecologie.gouv.fr/-Lors-de-mes-courses-.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 source : http://www.notre-planete.info/ecologie/devdurable/eco_dechets.php La durée de vie des déchets Type de déchet Durée de vie mouchoir en papier 3 mois journal 3 à 12 mois allumette 6 mois peau de banane 8 à 10 mois mégots (tabac et papier) 3 ou 4 mois mégots (tabac et papier) avec filtre 1 à 2 ans Chewing-gum 5 ans papier de bonbon 5 ans canette en acier 100 ans briquet en plastique 100 ans canette en aluminium 200 ans sac en plastique 450 ans bouteille en plastique 500 ans polystyrène expansé 1 000 ans carte téléphonique 1 000 ans le verre 5 000 ans Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 http://www.notre-planete.info/ecologie/devdurable/labels_ecologiques.php Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 source : http://www.notre-planete.info/actualites/actu_1906_indicateur_changement_climatique_biodiversite_Europe_oiseaux.php Les changements climatiques ont aujourd’hui un impact visible sur les oiseaux à travers toute l’Europe, selon un groupe de scientifiques qui vient de publier les résultats de ses travaux en créant le premier indicateur d’impacts des changements climatiques sur des êtres vivants à l’échelle d’un continent. Les résultats sont publiés aujourd’hui 4 mars dans la revue PLoS ONE .Pour un grand nombre d’espèces d’oiseaux nicheuses communes en Europe, comme le Chardonneret élégant ou le Pic épeichette, les résultats des scientifiques montrent un lien fort entre les changements observés des effectifs de populations nicheuses et les prédictions de changement d’aire de distribution associées aux changements climatiques. En mettant en commun leurs données, les équipes ont pu développer un indicateur montrant comment les changements climatiques affectent les espèces vivantes à travers l’Europe. L’Union Européenne considère cet indicateur comme une mesure officielle des impacts des changements climatiques sur les êtres vivants du continent, le premier indicateur de ce genre !L’article scientifique et l’indicateur ont été produits par une équipe de chercheurs du Muséum national d’Histoire naturelle, de la Royal Society for the Protection of Birds (RSPB au Royaume-Uni), des Universités de Durham et de Cambridge (Royaume-Uni), de l’association ‘European Bird Census Council’, de la Société Tchèque pour la Protection des Oiseaux et de Statistics Netherlands (Pays-Bas).Frédéric Jiguet, maître de conférences au Muséum, a participé à cette étude. Il commente ces résultats : « Nous entendons beaucoup de choses sur les changements climatiques et leurs impacts potentiels, mais nos travaux montrent que leurs effets se font sentir dès maintenant. Les résultats montrent que le nombre d’espèces qui sont touchées de manière négative est presque trois fois plus grand que le nombre d’espèces qui bénéficient des changements du climat. Bien que les températures aient peu augmenté récemment, il est surprenant de réaliser à quel point l’impact est déjà visible sur les populations nicheuses d’oiseaux, et ce à travers toute l’Europe. »L’indicateur de changement climatique combine deux jeux de données indépendants ; des prédictions de distribution future basée sur des modèles dits d’enveloppe climatique, et des données sur les tendances européennes d’évolution des populations d’oiseaux nicheurs, à l’instar de ce que fait le STOC (Suivi Temporel des Oiseaux Communs) en France.Les recherches montrent que pour un certain nombre d’espèces, les populations européennes devraient augmenter.Parmi les 122 espèces suivies, celles qui devraient le plus augmenter sont : les fauvettes mélanocéphales et passerinettes, le Guêpier d’Europe, le Bruant zizi, la Bouscarle de Cetti, la Huppe fasciée, le Loriot, le Chardonneret, la Rousserolle turdoïde et la Tourterelle turque.Les espèces pour lesquelles les prédictions sont les plus pessimistes sont : la Bécassine des marais, le Pipit farlouse, le Pinson du Nord, la Mésange boréale, le Vanneau huppé, le Rossignol progné, le Pouillot siffleur, le Cassenoix moucheté, le Traquet motteux et le Pic épeichette.Concernant les prédictions sur les aires de distribution pour les 122 espèces étudiées (parmi les 526 qui nichent en Europe), 30 devraient montrer une augmentation, 92 une diminution.Denis Couvet, professeur au Muséum, dont l’équipe a participé au projet, ajoute « Ce nouveau travail met à nouveau en lumière le formidable rôle joué par un très grand nombre de bénévoles qui comptent les oiseaux chaque printemps à travers toute l’Europe, et sans lesquels notre compréhension de l’impact des activités humaines sur la biodiversité ne pourrait être aussi performant ». En savoir plus Référence An Indicator of the Impact of Climatic Change on European Bird Populations. Richard D. Gregory, Stephen G. Willis, Frédéric Jiguet, Petr Vorisek, Alena Klvanova, Arco van Strien, Brian Huntley, Yvonne C. Collingham, Denis Couvet, Rhys E. Green. PLoS One, 4 Mars 2009. Liens Nos photos d'oiseauxEn discuter sur notre forum dédié au changement climatique Actualités connexes 06/11/2008 Atténuer les effets du changement climatique par la gestion durable des forêts12/02/2008 Le changement climatique menace les oiseaux d'Europe13/11/2007 Changement climatique : le point de non-retour approche - L'Europe doit convaincre les Etats-Unis13/03/2007 Les Européens soutiennent l’UE dans le domaine de l’énergie et du changement climatique13/12/2006 Y aura-t-il des hirondelles à Noël ? La migration est bouleversée Auteur Muséum national d’Histoire naturelle, Paris Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 à lire avec peut être un certain intérêt : http://www.guidemaisonecologique.com/ Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 la maison en bois pourquoi ? Lire la suite : http://www.lamaisonecologique.net/presentation.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 Réussir son compost1 2 D’une pierre, deux coups : faire son compost, c’est réduire ses déchets ménagers et fabriquer son engrais. Facile et utile. Composter consiste à réduire les déchets dans les poubelles et à les réutiliser sous la forme la plus pertinente, celle d’amendement pour le sol. La dégradation naturelle des matériaux organiques se fait par des micro-organismes, puis par toute une petite faune, que vous apprendrez à apprécier (vers de terre, cloportes, coléoptères…). Inlassables éboueurs, ils restent inféodés à leur fabuleux restaurant, et disparaissent s’ils n’ont plus à manger. Quel composteur ? Si vous avez de la place, une mise en tas suffit (jusqu’à 1,50 m de hauteur). Empilez les déchets à l’abri du soleil et des pluies. Dans un petit jardin, un composteur peut s’imposer (quelques dizaines d’euros en jardinerie ; préférez ceux qui portent la marque NF Environnement). C’est un simple bac, qu’il est aisé de fabriquer (des sites Internet y aident). Les mairies en fournissent parfois. Le processus y est plus rapide, mais il faudra le surveiller plus étroitement, sans oublier de brasser les matières. Et osez un “lombricomposteur” ! Les fabricants fournissent avec le bac des lombrics, très efficaces pour faire le travail (voir sur Internet). Le compost est “mûr” quand il est noir, granuleux, semblable à de l’humus. On peut le tamiser pour retenir les plus gros éléments, qui retournent dans le tas. Jamais employé pur, le compost s’incorpore à la terre (de 1 à 5 l/m2). Avant maturité, il peut être épandu en paillage. http://lachaineverte.fr.msn.com/eco-conso/article.aspx?cp-documentid=6476679 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 Récupérer l’eau de pluie1 2 3 La majeure partie de l’eau que nous consommons n’est pas destinée à être bue. Pour arroser le jardin, par exemple, pourquoi ne pas utiliser celle qui tombe gratuitement sur le toit de la maison ? Un toit peut collecter en moyenne 700 l de pluie par mètre carré et par an en France, soit 50 m3 pour une maison de 70 m2 au sol… qui filent droit à l’égout. Un gâchis, quand 93 % de la consommation d’eau d’un foyer ne sont pas alimentaires, et qu’un tiers, voire plus, pourrait être couvert par l’eau de pluie. Comment ça marche ? L’eau de pluie, canalisée par les gouttières, traverse un filtre retenant les déchets qui ont franchi un grillage en amont. Attention : ne collectez pas l’eau d’un toit étanchéifié par une toile bitumée, qui relâche des hydrocarbures. Pour des bardeaux de bois neuf, attendre 1 an, pour que le taux de tanins libérés baisse. Une bonne pratique, en général, consiste à dériver les 10 premières minutes de pluie, chargées des impuretés de l’atmosphère et du toit. L’eau est stockée dans une cuve, enterrée à l’extérieur quand sa capacité dépasse 1 000 l. La température reste modérée, l’eau ne risque ni de geler ni de servir de bouillon de culture. Un trop-plein évacue les excès d’eau. Une pompe distribue l’eau dans un circuit distinct de celui de l’alimentation en eau potable, pour l’arrosage du jardin, le remplissage des toilettes, voire l’alimentation du lave-linge, moyennant une pompe adaptée et des filtres retenant les particules de plus de 10 micronshttp://lachaineverte.fr.msn.com/eco-conso/article.aspx?cp-documentid=6476379 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 [b]Oser les toilettes sèches[/b]1 2 3 4 Bien sûr, les “toilettes sèches” ne trouveront pas leur place dans tous les logements. Il faut pourtant mettre fin à certains préjugés : il est possible de se passer de chasse d’eau, tout en respectant l’hygiène. La cuve des toilettes est le deuxième consommateur d’eau de la maison, après les bains et les douches : de 30 à 40 l par jour et par personne d’eau parfaitement potable, dont les paramètres sont les plus contrôlés de l’industrie alimentaire. La chasse d’eau symbolise, mieux que tout autre poste, les imperfections de la gestion de l’eau dans notre société. Les toilettes sèches sont une réponse pour ceux qui pratiquent le compostage (voir fiche 26). Une approche qui demande de repenser notre attitude face aux déchets et de ranger au rayon des souvenirs l’image du cabanon fétide au fond du jardin. http://lachaineverte.fr.msn.com/eco-conso/article.aspx?cp-documentid=6476210 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 Jardiner au naturel1 2 3 Garantis sans engrais ni pesticides chimiques, les fruits et légumes du potager n’ont pas brûlé un seul litre de fioul dans les transports ! Quoi de meilleur qu’une soupe de légumes ou une tomate du jardin ? « Il faut compter 100 m2 par personne pour se nourrir toute l’année. Mais je conseille aux débutants de commencer sur une surface moitié moindre, car c’est beaucoup de travail », expose Serge Cianfarani, président de la Société lyonnaise d’horticulture (SLH). L’emplacement est primordial : un terrain horizontal, dégagé au sud et protégé des vents. La meilleure terre est celle qui contient beaucoup de matières organiques. Elle se reconnaît à sa couleur noire et à sa légèreté, sur 30 cm d’épaisseur. Les quatre saisons du potager Le labour d’automne. Il faut bêcher jusqu’à 30 cm pour ameublir la terre, détruire les herbes indésirables et nourrir le sol (compost, engrais verts, voir fiches 25 et 26).Le choix des semences en hiver. Sélectionnez vos graines sur catalogue. Des producteurs de semences, comme l’association Kokopelli, proposent des variétés anciennes. Étudiez leurs caractéristiques et, pour débuter, préférez des variétés rustiques et résistantes, adaptées, bien sûr, à votre région. Comme la pomme de terre Charlotte, qui ne craint pas le mildiou (maladie due à un parasite qui provoque le flétrissement général du végétal), ou encore les haricots mange-tout nains, qui survivent au froid et ont une production importante.Le travail du printemps. Un labour superficiel permet d’ameublir la terre et d’enfouir le compost ou les engrais verts préalablement fauchés. Puis vient le temps des semis, quand le sol est assez réchauffé. Pour connaître le moment, grattez la terre sur 10 cm de profondeur pour vérifier si les graines des plantes sauvages commencent à germer. Le plus simple est de semer en sillons linéaires. Les graines sont déposées au fond. On referme au râteau.L’entretien d’été. Il faut juste veiller à toujours garder un sol libre d’herbes indésirables, en binant. Et arroser juste ce qu’il faut (voir fiche 27). Pour lutter contre les maladies ou les animaux qui s’attaquent à vos plantations, évitez les pesticides chimiques, qui se retrouveront dans vos aliments. Optez pour des méthodes plus naturelles (voir fiche 28).http://lachaineverte.fr.msn.com/eco-conso/article.aspx?cp-documentid=6493367 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 mars 2009 Peindre sans polluer1 2 3 Non toxiques, les peintures naturelles donnent de très bons résultats. Mieux : elles laissent les murs “respirer” et sont biodégradables. Les peintures, vernis et traitements du bois sont généralement des “bombes” chimiques, néfastes pour l’environnement et pour la santé, même s’ils sont correctement employés. L’enjeu : opter pour les produits naturels, beaucoup plus inoffensifs. Les peintures Les peintures “classiques” sont principalement composées de solvants, de pigments, de liants et de charges.Les solvants dits “organiques”. Ils servent à fluidifier les peintures, ainsi que les vernis. Leurs composés organiques volatils (COV) sont particulièrement nocifs, à l’instar du white-spirit, du trichloréthylène ou de l’acétone, pour les peintures dites “à l’huile”. S’évaporant à l’application, ils diffusent parfois pendant des semaines. Les peintures dites “à l’eau” (solvant principal) masquent bien leurs solvants organiques, des éthers de glycol, par exemple, dont certains peuvent être très nocifs pour la santé et diffuser dans la pièce plusieurs mois durant ! Une directive européenne impose une réduction des COV de 57 % entre 1990 et 2010.Les pigments. Ils donnent la couleur et l’opacité. Les plus dangereux contiennent des métaux lourds (plomb, cadmium, cobalt, chrome), polluants et toxiques même à très faible dose, qui se concentrent dans la chaîne alimentaire une fois dispersés dans l’environnement.Les liants. Ces résines peu dangereuses sont ajoutées pour la texture.Les charges. Ce sont des poudres minérales inoffensives, utilisées pour la compacité.En tout état de cause, si vous employez ces produits, il faut considérer tous les déchets (fonds de pot, chiffons, pinceaux hors d’usage…) comme toxiques et les apporter la déchetterie.Labels et signes de qualité. Les peintures et les vernis ont inauguré la liste des produits éligibles à la marque NF Environnement. Attention : si celle-ci distingue ceux qui présentent un meilleur bilan écologique), elle ne garantit nullement l’absence de solvants organiques, par exemple. Il en va de même pour l’écolabel européen, et pour le label allemand Ange bleu, pourtant réputé exigeant. À l’inverse, les peintures “naturelles”, même sans logo officiel, ont en général l’avantage d’indiquer leur composition exhaustive, ce qui est loin d’être le cas des peintures classiques.http://lachaineverte.fr.msn.com/eco-conso/article.aspx?cp-documentid=6503713 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 10 mars 2009 source : http://www.teteamodeler.com/ecologie/index.asp Écologie, environnement et développement durableL’écologie n’est pas qu’une affaire de mode, l’écologie c'est notre planète et notre survie. La Terre est un système complexe qui n’existe que par son équilibre. Mais l’équilibre de la planète Terre est fragile. À force d’exploiter les ressources de la planète, de créer de la pollution par nos activités et nos modes de vie et d’accélérer la disparition de certaines espèces, nous, les hommes sommes en train de modifier et de menacer l’équilibre fragile de la Terre. Un dossier pour comprendre et expliquer l'écologie, l'environnement et le développement durable aux adultes et aux enfantsPeut-être la Terre trouvera-t-elle un nouvel équilibre, mais peut être risquons-nous de disparaître ou de la rendre invivable. Chaque jour nos comportements, nos modes de consommation, nos achats et notre mode de vie ont une influence sur ce que sera la terre de nos enfants. L'écologie est une nécessité pour laisser un monde vivable à nos enfants ! De nombreux articles viendront enrichir le magazine au fil des mois. Ce dossier sur l'écologie et l'environnementtentera de donner une vision d’ensemble sur un sujet aux multiples composantes et incidences : écologie, biologie, développement durable, petits gestes quotidiens pour l'environnement, l'environnement et les activités et bricolages autour du recyclage ... C'est par la connaissance que nous nous sentirons tous concernés. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 10 mars 2009 source : http://www.teteamodeler.com/ecologie/biologie/vivant/index.asp Écologie : l'étude du vivant, la biologie pour mieux comprendre l'écologieTout le dossier Biologie >>L'écologie est la science qui étudie les êtres vivants dans leur ensemble ainsi que toutes les relations qui peuvent exister entre eux, et entre eux et leur environnement. Ce dossier de Tête à modeler propose des articles simples et illustrés sur l'écologie et en particulier les êtres vivants. Les articles du dossier peuvent servir de base pour expliquer l'écologie aux plus jeunes ou pour rafraîchir ses connaissances en un coup d'oeil. Dans l'avenir, ces articles seront complétés par des activités et des expériences pour mieux comprendre l'écologie. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 10 mars 2009 Que peut on recycler à la maison ? lire l'article ci-joint : http://www.teteamodeler.com/ecologie/activite/recyclage/recup.asp Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 mai 2009 Crèche plus accessible ou école maternelle payante ? La sénateur à l’origine du concept des jardins d’éveil répond aux questions d'Ecotidien sur ce nouveau mode de garde très attendu par les familles, mais un peu moins par les enseignants… Seuls 20% des enfants de 2-3 ans sont scolarisés en TPS, très petites sections d’école maternelle. Pour les familles des 80% d’enfants non scolarisés, le choix d’un mode de garde est un vrai casse-tête, malgré la promesse du gouvernement de mettre en place 200 000 offres de garde d’ici 2012. Pour faire patienter les parents, Nadine Morano, secrétaire d’Etat à la famille, a annoncé le mois dernier la création de 8000 places en jardins d’éveil entre la rentrée prochaine et 2011. Bien évidemment plus chères que l’école maternelle publique gratuite, ces jardins d’éveil payants seraient pourtant plus abordables qu’une nourrice à domicile et plus facilement accessibles que les crèches municipales, où seuls quelques bébés chanceux réussissent à obtenir un berceau. Ils permettraient aussi aux jeunes parents de poursuivre ou de reprendre une activité professionnelle et donc de dynamiser leur pouvoir d’achat… Monique Papon est sénateur UMP de Loire-Atlantique et co-auteur (avec Pierre Martin et Jacques Legendre) d’un rapport sur la scolarisation des jeunes enfants préconisant la mise en place de ces jardins d’éveil. Elle explique à Ecotidien l’impact que ce nouveau mode de garde aura sur le pouvoir d’achat des familles : « Comme pour les crèches, il est prévu que les parents puissent bénéficier des aides de la CAF et des collectivités territoriales, les parents payant en fonction de leurs revenus » Pour un plein temps, selon les villes, le tarif d’une crèche oscille entre 6 et 12% des revenus nets mensuels des parents: Nadine Morano a annoncé que les jardins d’éveil coûteraient 33% de moins aux parents, en moyenne. Afin d’inciter à l’inscription en jardins d’éveil, l’Etat, les collectivités et la CNAF discutent également d’un soutien financier personnalisé. La facture serait déductible des impôts, à même hauteur que les frais de crèche, soit 50% dans la limite de 2300 Euros par an. « Le dispositif des jardins d’éveil, payant, a vocation à demeurer complémentaire et en partenariat constant avec les structures préexistantes d’accueil de la petite enfance » prévient la sénateur en réponse aux détracteurs du jardin d’éveil. Car les syndicats d’enseignants voient dans ce nouveau mode de garde directement inspiré d’autres pays européens une remise en cause de l’école maternelle. Dans son journal interne, le SNUDI-FO dénonce une « privatisation » de l’école et un transfert des compétences nationales vers les collectivités territoriales, en clair, un désengagement de l’Etat. Pourtant, à l’heure actuelle, il semble que ces jardins d’éveil répondent à une demande concrète. Caroline, professeur des écoles, explique : « Pour qu’un enfant entre à l’école maternelle, il doit être propre (ne plus porter de couche) et respecter des règles de vie en collectivité : siestes à des horaires imposées, repas pris sans aide par exemple. Nombre d’enfants entre 2 et 3 ans n’ont pas ces acquis, et ceux qui les ont ne peuvent, faute de place, être acceptés en école maternelle. Dans ce contexte, les jardins d’éveil peuvent être une bonne passerelle entre la maison ou la nourrice et l’école.» Elle précise toutefois que les collectifs d’enseignants et de parents veilleront à ce que le jardin d’éveil reste uniquement dédié aux 2-3 ans et ne s’étendent pas aux plus de 3 ans, afin de ne pas « concurrencer » l’école. Un point de vue partagé par de nombreux experts et spécialistes des jeunes enfants auditionnés pour le rapport du Sénat qu’a conduit Monique Papon « Ils reconnaissent que ce type de transition entre la crèche et l’école maternelle leur paraît nécessaire car les enfants de cet âge (2 à 3 ans) sont un peu grands pour fréquenter la crèche (qui accueille les bébés dès l’âge de 3 mois, ndlr) et encore un peu petits pour l’école » souligne-t-elle. La mise en place de jardins d’éveil permettra aussi aux parents de mieux concilier vie familiale et vie professionnelle, en leur proposant un mode de garde adapté. Un vrai coup de pouce pour leur pouvoir d’achat. En effet, à défaut de crèche et avec le coût élevé d’une assistante maternelle ou d’une nourrice à domicile, « le taux d’activité des femmes a tendance à chuter sous la barre des 60 % en présence de deux enfants dont au moins un de moins de 3 ans et s’effondre même à 37 % en présence de trois enfants ou plus dont au moins un de moins de 3 ans » décrypte pour nous Monique Papon. Sur l’année dernière, d’après la CAF, près de 600 000 parents ont renoncé à leur emploi au profit d’un congé parental rémunéré à environ 580 Euros par mois, dont la moitié l’auraient fait par obligation financière (lire l’enquête d’Ecotidien « Congé parental : travailler moins pour gagner plus ? » à ce sujet). Dans ce contexte précis, les jardins d’éveil apparaissent comme une solution alternative et économique. Quant à savoir quand les parents pourront remplir et envoyer leur dossier d’inscription, rangez vos stylos, ça ne sera pas généralisé tout de suite. Monique Papon nous confirme que la mesure est actuellement de nature expérimentale, laissée à l’appréciation des communes selon les moyens dont elles disposent (locaux disponibles, personnels qualifiés sur place) Par ailleurs, certaines municipalités comme Paris ont déjà annoncé qu’elles n’étaient « pas candidates » à la mise en place de jardins d’éveil, s’opposant à ce qu’elles considèrent comme un « démantèlement de l’école publique », peut-on lire sur le blog d’Anne Hidalgo, première adjointe au Maire de Paris.Le SNUDI-FO, lui, demande directement l’abandon du projet. Le concept des jardins d’éveil est donc encore à l’état de petite graine, et les jeunes familles devront attendre plus de 9 mois pour juger de leur impact concret sur leur porte-monnaie. Marlène Schiappa Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Invité Posté(e) le 5 juin 2009 Merci pour ce topic qui permet de sensibiliser à la cause de notre bonne vieille Terre en danger ! Des gestes élémentaires et évidents mais qu'il est souvent bon de rappeler aux informations qui nous ouvrent les yeux sur ce que nous ne savons pas encore, tout est bon à prendre... N'oubliez pas ce soir sur France 2, le documentaire "Home", suivi d'une émission sur les solutions existantes pour sauver notre planète. Bonne soirée télévisée ! En espérant que certains ne seront pas assez crétins pour préférer à cette émission intelligente le match de foot sur TF1... saleté ce chaîne, décidément... On passe bien les élections sur plusieurs chaînes en même temps, pourquoi pas ce type d'émission qui devrait être OBLIGATOIRE à regarder, histoire de réveiller les consciences ?!!! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 avril 2010 la maison de l'éco citoyenhttp://eco.citoyen.free.fr/house+.htm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 avril 2010 L’«Ecocitoyenneté » est l’assemblage de 2 mots : « éco » qui est l’abréviation d’écologie et « citoyenneté. » L’éco-citoyen a conscience d'appartenir à un territoire (terre, continent, ou pays selon l'échelle) qui garantit son existence, ce qui implique pour lui des droits et des devoirs par rapport à l'environnement.Chaque éco-citoyen a les moyens de garantir un développement durable par ses actions de tout les jours ou d'en défendre l'idée auprès des autorités (vote, pétitions...etc). C’est-à-dire un développement qui répond aux besoins du présent sans compromettre ceux des générations futures, qui préserve la vie humaine et les écosystèmes, car l'un et l'autre sont intimement liés. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites