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pacemaker91

L'actualité du chien Mambo

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/09/14/672336-Roussillon-Mambo-le-chien-brule-sera-adopte.html

VIDÉO. L'état physique du petit chien grand brûlé d'Espira-de-l'Agly s'est considérablement amélioré. Mambo était brûlé sur 80 % de son corps après que deux jeunes eurent aspergé d'essence puis enflammé ce petit chien abandonné qui errait la nuit dans les rues du village.
Aujourd'hui, il se retape dans une clinique vétérinaire après avoir été soigné au dispensaire de la SPA. Et il sera bientôt adopté. « Les tissus se reconstituent. Les pansements quotidiens sont plus faciles à faire notamment sur les pattes de devant. Les progrès sont considérables et la période critique est passée. Mambo nous montrait son envie de vivre, sa combativité. Il n'était jamais agressif, remuait la queue lorsqu'il nous voyait arriver pour les soins » raconte le Dr Florence Collignon, vétérinaire qui soigne Mambo.
Les souffrances de ce chien martyr ont ému des centaines de personnes un peu partout en France. « Encore aujourd'hui nous recevons jusqu'à quarante lettres pour Mambo. Des inconnus ont envoyé des dons, des jouets de l'argent, pour un total de 7 000 €. Je crois que les gens ont été très touchés par son histoire » explique Dany Goizé responsable des enquêtes à la SPA qui avait récupéré le chien au petit matin dans un état pitoyable.
« Il ressemblait à un poulet rôti tellement il était brûlé. C'est un bonheur de le retrouver aujourd'hui. Il a tellement changé. C'est impressionnant les progrès qu' il a fait. Il n'est pas craintif. Il faudra lui prodiguer beaucoup d'amour et de tendresse pour qu'il puisse oublier tout cela » poursuit Dany Goizé qui récupérera Mambo dans quelques semaines dans son restaurant d'Espira de L'Agly.

Vidéo : Mambo chien brûlé


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Tous les amis et défenseurs des animaux n’ont pas oublié ce 10 août 2009.
Ce jour-là, par désœuvrement, deux jeunes s’étaient attaqués à un chien errant à Espira-de-l’Agly, dans les Pyrénées-Orientales.
Un chien abandonné par ses maîtres qui s’était tourné vers ces deux jeunes pour, peut-être, un geste d’affection.
C’est alors que la jeune femme, âgée de 22 ans, avait saisi Mambo, puis son copain, un mineur de 17 ans, l’avait aspergé d’essence avant d’y mettre le feu.
La pauvre bête avait réussi à s’enfuir.
Ce n’est que le lendemain que Mambo avait été retrouvé, brûlé au 2ème et 3ème degré sur 60% du corps, rappelle Midi Libre.
En août dernier, cette sordide affaire avait soulevé un vent de protestation.
Tant au niveau local qu’au niveau national.
Quelques jours après cette agression, à Espira-de-l’Agly, soixante personnes étaient descendues dans la rue pour manifester émotion et colère.
Sur Internet, une pétition en ligne avait été mise en ligne.
« Justice pour Mambo » compte actuellement 11.000 signatures.
Sans oublier que le groupe « Mambo le chien brûlé à Espira-de-l’Agly » accueille près de 10.000 membres sur Facebook.
A l’heure du procès des tortionnaires, Mambo va mieux.
Le chien est toujours soigné en clinique vétérinaire.
Dans quelques semaines, Mambo aura un nouveau foyer.
C’est une bénévole de la SPA qui s’est engagée à l’adopter.
Cette restauratrice du village a confié au quotidien l’Indépendant, que Mambo est toujours couvert de bandages, mais le chien « boit, s’alimente et remue la queue quand on s’approche de lui ».
La jeune femme, soupçonnée d'avoir aidé son copain à mettre le feu à Mambo, comparaît aujourd’hui devant le tribunal correctionnel de Perpignan.
Pour son copain, le procès aura lieu le 17 décembre prochain.
A 14 heures, au moment de l’ouverture du procès, une manifestation des défenseurs des animaux aura lieu devant le palais de justice de Perpignan.

Réagissez à l'info : Mambo chien brûlé: l'heure du jugement

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Sur 30 millions d'amis :

Procès - Justice pour Mambo

La Fondation 30 Millions d'Amis satisfaite à l'issue de la première audience dans le cadre du procès Mambo qui s'est tenue mardi 15 septembre au tribunal correctionnel de Perpignan (66) et au cours de laquelle Aurélie L., 22 ans, a été condamnée pour actes de cruauté envers un animal.

Au cours de l'audience durant laquelle le cas de la jeune fille majeure a été étudié, la Fondation 30 Millions d'Amis - partie civile au procès - a réclamé par la voix de son avocat Me Xavier Bacquet l'application des dispositions de l'article 521-1 du Code pénal qui punit de 2 ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende les actes de cruauté perpétrés à l'encontre d'un animal.

Le tribunal a donné raison aux parties civiles en présence en condamnant Aurélie L., accusée d'avoir aspergé le chien dans l'intention d'y mettre ensuite le feu, à 1 an de prison dont six mois fermes et 800 euros d'amende versés aux associations de défense animale. Pour Me Bacquet, "ce jugement va dans le sens des réquisitions du parquet compte tenu de l'absence de casier judiciaire de l'accusée. On a donc toutes les raisons de s'en satisfaire, d'autant que cette peine est assortie d'une interdiction de détenir des animaux de compagnie pendant 5 ans."

Pour Reha Hutin, "cette condamnation est un soulagement. Cela prouve que dans ce pays, la souffrance infligée gratuitement à un animal ne peut se faire impunément." Pour autant, la Présidente de la Fondation 30 Millions d'Amis souhaite "que la peine de prison ferme puisse être commuée en travaux d'intérêt général au sein d'un organisme de protection animale à hauteur de 240 heures, soit la peine maximale". Cette décision appartient désormais au Juge d'application des peines.

Première à comparaître, Aurélie L. a tenté une défense molle face aux parties civiles. "Je ne savais pas, je ne pensais pas qu'il [son compagnon, mineur de 17 ans qui sera jugé le 17 décembre prochain, NDLR] ferait ça [mettre le feu, NDLR]"... La cour écoute avec attention son témoignage d'Aurélie. Cette petite brune, un peu ronde d'un mètre cinquante confirme sa déposition d'une voix fluette. A 22 ans, Aurélie a plus l'apparence d'une toute jeune fille que celle d'une jeune femme. A la question du juge : "Regrettez-vous vos actes ?" elle garde le silence...

Aurélie L. a dix jours pour interjeter appel. "Mais il ne semble pas qu'elle ait l'intention de le faire", souligne Maître Bacquet avant de conclure concernant Mambo, "Sa présence à l'audience dans l'enceinte même du tribunal a sans doute beaucoup joué... J'étais moi-même stupéfait de remarquer que ce petit chien continue, malgré ce qu'il a enduré, à aller vers l'humain sans le craindre."

Une belle leçon...


Rendez-vous le samedi 3 octobre à 13h50 pour suivre le reportage de l'émission 30 Millions d'Amis consacré à Mambo.
Article publié le : 15-09-09

Mambo, lui aussi, a assisté au procès de l'un de ses tortionnaires.




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Invité
débat ce matin sur rmc info.

sa été une horreur d'entendre certaines personnes

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ACTE DE CRUAUTE sur MAMBO : 6 mois de prison ferme pour la complice !
La SPA relance le débat sur le statut juridique de l’animal.







Le tribunal de Perpignan, vient de condamner cet après-midi, Melle L. âgée de 22 ans, pour complicité d’acte de cruauté à 6 mois de prison ferme et 6 mois avec sursis, avec une mise à l’épreuve de 18 mois, une interdiction de détenir un animal domestique pendant 5 ans ; elle est également condamnée à verser aux associations qui s’étaient constituées partie civile, plus de 6 000 € au titre des dommages et intérêts.



Le 10 août dernier, dans le village d’Espira de l’Agly, elle avait délibérément maintenu un pauvre chien afin que son ami, âgé de 17 ans, qui l’avait préalablement aspergé d’essence, l’enflamme. Ce petit chien qui avait eu le malheur d’aller à la rencontre de ses deux jeunes gens avait pu s’enfuir et sera recueilli par la SPA.



Ce 15 septembre, la SPA, par le biais de son avocat, Maître Eric-Denis Ferré, avait demandé exceptionnellement au président du tribunal que Mambo soit présent dans la salle. Le Parquet a accepté et l’assistance a ainsi découvert Mambo, qui s’est battu pour survivre et qui se rétablit tant bien que mal de brûlures au 3ème degré pour lesquelles il endure encore bien des souffrances.



Lors de l’audience, Virginie Pocq Saint-Jean, Présidente de la SPA, s’est approchée de Melle L. avec Mambo dans ses bras et s’est exprimée sur « l’importance et l’urgence de la révision du statut juridique de l’animal qui, dans le Code civil, est toujours considéré comme un bien meuble ».



A l’énoncé du verdict, la Présidente de la SPA a tenu à souligner : « Mambo, victime de l’abandon, puis victime de la barbarie, a par chance été pris en charge par des membres de la SPA, qui ont tout mis en œuvre pour le sauver ; je souhaite que des actes aussi cruels, ne se reproduisent plus et je tiens à remercier le tribunal pour cette condamnation. »



Le second auteur de cet acte de cruauté, mineur, sera jugé en décembre prochain.



Contact :

Maryline Brisson

Service Communication

Tél. 01 43 80 99 22

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/09/16/674011-Pour-avoir-brule-Mambo-Aurelie-ira-en-prison.html

Dans la salle d'audience du tribunal correctionnel de Perpignan, qui jugeait la complice des tortures infligées par le feu au chien Mambo, la tension était palpable. Plus de deux cents amis des bêtes avaient fait le déplacement pour voir et entendre, Aurélie, 22 ans, physique et mental d'adolescente de 16 ans. En survêtement noir, cette jeune plongeuse en fin de contrat a plaidé son innocence. « Lorsque je suis allée chercher le chien, je ne pensais pas qu'ils allaient le brûler. Au moment où cela s'est produit, je n'étais plus là » explique-t-elle avec maladresse. « Faux » reprend l'avocat général Miquel. « Vous avez menti pendant les premières heures de garde à vue et vous mentez encore aujourd'hui. Vous saviez que Jérémie avait aspergé le chien avec de l'essence. Et vous étiez tout prés de l'action puisque vous êtes capable de la décrire très précisément. Ce que vous avez fait cette nuit-là est barbare et lamentable » assène l'avocat général. Juste avant lui les questions et les lectures des pièces du président Castaing avaient permis de remonter le fil de cette histoire scabreuse. Jérémie asperge le chien d'essence. «Tout le monde s'est mis à rire lorsque le chien a pris feu » raconte Aurélie. Elle aussi a ri. « Pas longtemps » précise-t-elle. Le substitut Miquel a réclamé et obtenu six mois de prison ferme et six mois avec sursis. « Peine exemplaire» a commenté la présidente de la SPA. En attendant l'audience du 17 décembre pour Jérémie le jeune incendiaire mienur mais au casier judiciaire bien fourni. Christian Goutorbe

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http://www.midilibre.com/articles/2009/09/16/A-LA-UNE-Mambo-Pourquoi-une-telle-mobilisation-921727.php5

La mobilisation est impressionnante. « Dantesque », dit Béatrice Copper-Royer, psychologue et cofondatrice d’e-enfance, association nationale dédiée à la protection des enfants.

Une manifestation, une pétition en ligne, un reportage que 30 millions d’Amis diffusera le 3 octobre, sur France 3… Pour soutenir Mambo, immolé par le feu le 10 août, par deux jeunes, un groupe a même été créé sur Facebook avec près de 10 000 membres de 30 pays !

Pourquoi un tel déferlement spontané, une telle cristallisation ? Alors qu’elle n’a pas son pendant pour d’autres maltraitances, y compris humaines… Au lendemain de la condamnation de l’une des tortionnaires présumés, mardi, à Perpignan (P-O), à une peine lourde, un an de prison dont six mois ferme, Béatrice





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Copper-Royer avance : « L’animal véhicule l’innocence absolue. S’en prendre à un animal comme ça, c’est le scandale absolu. »

Car le chien a une place particulière aux côtés des humains, c’est un animal de compagnie, « un animal domestique qui réconforte, décrypte la psychologue. Dans l’imagerie collective, c’est un animal très positif, complètement dépendant, incapable pour certains de se défendre. A la merci des hommes. Et les gens ont réagi à cette violence la plus gratuite qui soit et anonyme. » Elle ajoute : « Faire subir cela à un enfant, c’est pire - si l’on peut dire - mais dans le cas d’un enfant maltraité entre en jeu la barrière de la filiation. Il est identifié… Un animal, ça appartient un peu à tout le monde ; et d’ailleurs l’homme a pour mission de le défendre. »

Dans le cas de Mambo, la psy précise : « Parmi les motifs d’adhésion à la défense de Mambo, il y a une sorte de fascination collective. Et l’idée sous-jacente de se donner bonne conscience. » Elle conclut : « La maltraitance, c’est de la domination pure qui renvoie à l’idée de cruauté. Les pulsions sadiques sont en chacun de nous, bien verrouillées. Et quand elles sont données à voir, on a peur. Et aussi peur de les voir à nouveau s’exprimer. »



Olivier SCHLAMA

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Invité
@Choupi91 a écrit:
c'est à dire ?


certains auditeurs se sont plaint qu'on en faisait trop pour un animal.
Il étaient sidérés et trouvaient scandaleux car d'après eux, pour un homme, les médias n'en auraient pas tant dis

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http://www.lindependant.com/articles/2009-10-05/en-convalescence-mambo-sera-bientot-dans-son-vrai-foyer-54361.php





PERPIGNAN - en convalescence, Mambo sera bientôt dans son vrai foyer



©️ DR
Mambo se remet des brûlures dont il a failli mourir. Il est hospitalisé chez le Dr Vaucouloux et soigné par Florence Collignon, vétérinaire de la SPA. Dans un mois, il rentrera chez lui, chez Dany Goizet.


Ce qui frappe chez Mambo, après le calvaire qu'il a vécu, c'est son inaltérable confiance en l'humain. On l'appelle, il vient en frétillant d'un bout de queue où sur la peau brûlée le poil n'a pas repoussé, il blottit son museau dans les mains amies, il se laisse câliner, il offre sa tête aux caresses et son affection. C'est, d'ailleurs, son caractère affable qui a permis à ses tortionnaires de passer à l'acte, ce qui est encore plus odieux si faire se peut. En effet, abandonné, traînant depuis quelques jours dans les rues d'Espira-de-l'Agly, le joli petit chien
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marron mâtiné de pinscher était en manque d'affection. Il a cru se faire des amis auprès d'une bande de jeunes. C'était compter sans la bêtise et la cruauté à l'état pur. L'un d'eux, mineur d'âge, aidé par sa copine qui vient d'être récemment jugée (et a écopé de 6 mois de prison ferme), arrose par deux fois Mambo d'essence, puis allume son briquet et "le fait cramer". Sans songer un instant à l'insoutenable souffrance de l'animal. Les autres regardent et rient. Cela se passait dans la soirée du dimanche 9 août. Mambo passera la nuit caché, dévoré par la douleur de ses multiples brûlures. Quand, le lendemain, M. Goizet le découvrira et l'amènera au dispensaire du refuge SPA du Polygone, le chien est en état de choc.


Pas d'euthanasie mais...
Il est pris en charge par le vétérinaire présent, anesthésié, ses blessures nettoyées et pansées. Le lendemain, c'est Florence Collignon, également vétérinaire du refuge SPA qui va le soigner, et qui va le mener jusqu'à la guérison dont il n'est plus loin. "Il avait des brûlures sur 30 % du corps, d'abord les cuisses, puis on a vu que la peau du ventre et les oreilles étaient atteintes aussi", se souvient Florence Collignon. "Quand il s'est réveillé, nous l'avons mis sous perfusion avec de l'Acupan, un antidouleur pour les humains. Il a mangé un peu de nourriture spéciale, il avait le regard qui disait qu'il voulait vivre, alors nous ne l'avons pas euthanasié. Une bénévole a passé plusieurs nuits ici avec lui, pour surveiller la perfusion. C'est quelques jours plus tard, quand il hurlait entre chaque piqûre de morphine, quand nous craignions que les reins ne soient atteints, c'est là que nous nous sommes posé la question de l'euthanasie. Nous ne voulions pas qu'il souffre pour rien", poursuit encore la vétérinaire. Mais Mambo, la douleur calmée, reprenait courage et manifestait ce désir de vie qui le caractérise, son besoin d'affection à recevoir et à donner. Petit à petit, il a commencé à aller mieux. Aujourd'hui, il est toujours hospitalisé au cabinet de Dr Vaucouloux où Florence Collignon va le soigner ; mais il ne nécessite plus d'anesthésie avant les soins.

Vers son nouveau foyer
Mambo adore que Florence Collignon ou Sylvie Zaffra, responsable de la SPA, le prennent dans leurs bras mais, de son regard extraordinairement expressif, il jette des oeillades méfiantes vers la table de soins. Dès qu'on le relâche, il court dans son coin, son coussin, sa gamelle. On lui met une collerette car il lèche la peau en train de se reconstituer, et qui le démange ; mais il n'aime pas la collerette, alors il boude. Un peu. Pas longtemps. Il suffit d'une caresse et Mambo se lève, s'approche, lèche la main qui le câline, est prêt à jouer. Mambo est en convalescence ; il y a encore de petites interventions à pratiquer sur une patte, une bride qui s'est formée et l'empêche de bien poser le pied. Mais, dès que ces soins auront été effectués, Mambo rejoindra son vrai foyer. Celui où il est déjà attendu, la maison de Dany Goizet et de son mari qui l'a sauvé. Mambo gardera des fragilités, des cicatrices, des plaques de poils ne repousseront jamais, mais l'affection dont il a été entouré au refuge a entretenu sa joie de vivre et ses maîtres aimants feront de lui un chien heureux. Quelque part, un miraculé. Et un emblème malgré lui : celui de l'intolérable cruauté humaine envers les animaux et de la complicité par indifférence.
Josianne Cabanas

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/14/736712-Perpignan-L-incendiaire-du-chien-Mambo-juge.html

Le jeune homme de 17 ans qui avait incendié Mambo, un petit chien abandonné dans les rues d'Espira de l' Agly (Pyrénées-Orientales) sera jugé aujourd'hui par le tribunal correctionnel de Perpignan (Pyrénées-Orientales). L'acte de barbarie avait eu lieu une nuit du mois d'août. Le jeune garçon avait attrapé ce jeune chien abandonné sur la route des vacances qui recherchait la compagnie des humains dans ce petit village proche de Rivesaltes. Le jeune homme est accusé d'avoir projeté de l'essence sur l'animal puis de l'avoir enflammé devant d'autres jeunes du village. Le chien était parti dans les rues comme une boule de feu. C'est seulement au petit matin que Dany Goizé, bénévole à la SPA avait pu le récupérer prostré près de la mairie. Un formidable mouvement de solidarité et une mobilisation sans précédent avaient permis de sauver ce petit chien brûlé au troisième degré sur près de 70 % de son corps. Aujourd'hui, il a repris une vie presque normale après avoir été adopté par celle qui l'avait sauvé au petit jour de cette nuit de cauchemar. Une forte mobilisation des défenseurs des animaux est attendue pour 14 heures aux marches du palais de justice de Perpignan. Le 15 septembre dernier, la complice du jeuen homme, une jeune fille de 22 ans, avait écopé de six mois de prison ferme pour avoir livré puis maintenu l'animal au moment de son martyr.

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