River1 0 Posté(e) le 29 janvier 2007 Pourriez-vous m'expliquer les différentes méthodes d'éthologie. On parle de la méthode Elisabeth de Corbiny, la méthode de la Cense,... Quelle est la différences entre elles et pourquoi les adeptes d'une telle méthode critiquent-ils les autres méthodes? Merci d'éclairer un peu ma lanterne! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
viva1 0 Posté(e) le 30 janvier 2007 je crois que chacun défend sa chapelle. il y a du on dans toutes les méthodes, certaines étant diamétralement opposées. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Delphine48 0 Posté(e) le 18 février 2007 bah il y en aura toujours pour critiquer, toutes ces méthodes vont dans un même sens, certaines conviendront ou parleront plus à certaines personnes qu'à d'autres. Il y a du bon dans toutes comme des choses qui peuvent laisser perplexe. L'important n'est pas la méthode mais le chemin qu'on accomplit vers une meilleure compréhension de notre partenaire equin et de nous mêmes... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
Thierry-sellerietmn 0 Posté(e) le 18 février 2007 La toute première chose à savoir c'est que il y a la ou les méthodes venant des usa que l'on appel "Méthodes des chuchoteurs" qui se basent sur les peurs des chevaux et l'exploitation de ces peurs pour arriver à communiquer ces méthodes sont relativement récentes ! Puis il y a les méthode plus anciennes qui existe depuis plus longtemps qui consiste a exploiter ce qui rapproche les hommes des chevaux en fait l'inverse de la méthode d'approche des chuchoteur Américain et qui est pratiqué en europe ... Le seul point commun : la vonlonté de communiquer avec les chevaux ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
ptichat 0 Posté(e) le 18 février 2007 La méthode des chuchoteurs est centrée sur le travail : faire du cheval un "outil" fiable pour le travail avec le bétail. La méthode dite douce des chuchoteurs ne l'est pas tant que ça. Elle met tout en oeuvre pour obtenir la soumission du cheval, en jouant sur ses peurs, notamment. Auparavant, la préparation des chevaux au travail était tellement dure que ces chuchoteurs sont passés pour des "super psys". Parelli, La Cense sont issus de cette école, qu'ils ont adaptés à la tradition davantage "sport et loisirs" européenne. On améliore la relation avec le cheval pour obtenir ce qu'on désire de lui. On est encore dans une relation de domination, on n'utilise pas le contact direct mais, comme dans le dressage, on utilise "la carotte et le baton". On est bien là dans une dynamique "utilitaire". Même si ses tenants ont intégré l'optique "animal de loisirs". D'autres, comme Véronique de Saint Vaulry ou Sylvie (celle d'ici) représentent un autre courant qui considère davantage le cheval et le cavalier comme des partenaires et travaillent à améliorer la qualité relationnelle dans le respect de l'animal (et du cavalier), que ce soit dans une optique de résultat sportif ou de partenariat "domestique". Elle privilégient la relation directe et utilisent l'éthologie, la psychologie, les contrats et la communication pour renforcer le lien homme / cheval plutot que pour dominer. Pour elles, la notion de contrat, l'utilisation du renforcement positif et la dimension éthologique donnée à la sanction font toute la différence : chercher ensemble comment on peut avancer. C'est une explication à gros traits, mais il y a de nombreux sites sur ces sujets. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
