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pacemaker91

L'actualité des primates

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Ouganda, Afrique - Avoir un gorille des montagnes comme ami sur Facebook ou Twitter, c'est désormais possible grâce au site Friend a Gorilla.





L'année du gorille en Ouganda a été marquée par le lancement du site "Friend a gorilla" . Grâce a celui-ci, il est désormais possible, via des cameras, de suivre la vie quotidienne d'un gorille des montagnes et de sa famille pour 1$ par an. Friend a gorilla permettra également d'avoir accès à des photos, des vidéos et des blogs, par le biais des réseaux de socialisation tels que Twitter ou Facebook. Le principe de Friend a gorilla est simple : montrer un animal sauvage, en l'occurrence le gorille des montagnes, dans son habitat naturel. "En reversant 1$ à Friend a Gorilla, chacun contribue à la survie de l'espèce" , déclare Moses Mapesa Wafula, directeur exécutif des autorités pour la faune et la flore Oungandaise. Cependant Friend a Gorilla n'a pas uniquement pour but de protéger les gorilles des montagnes mais également de promouvoir le tourisme. En effet sur les 720 gorilles des montagnes encore en vie, 340 se trouvent en Ouganda. En 2008, 600 000 touristes s'étaient ainsi rendus en Ouganda pour apercevoir les gorilles des montagnes.

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Sébastien Folin lance un appel pour sauver deux chimpanzés

Sébastien Folin s'engage dans la protection de l’environnement. En effet, l’animateur, très concerné par le sujet, a souhaité parrainer Emilie et Kouzola, deux chimpanzés sauvés du braconnage par l’association « Help Congo » qui lutte pour la protection des grands singes et contre la déforestation.

Dans une lettre ouverte, l'animateur de France 2 appelle le public à le soutenir en parrainant gratuitement le couple de chimpanzés. Pour cela, rien de plus simple : en se rendant sur le site internet www.actuanimaux.com et en cliquant sur leur deux fiches. Pour chaque visite, des sponsors reversent quelques centimes d’euros pour sauver les deux chimpanzés. Et cela est totalement gratuit pour l’internaute.

« Lorsqu’il m’a été proposé par www.actuanimaux.com de parrainer Emilie et Kouzola, j’ai tout de suite accepté. En effet, si nous ne réagissons pas, d’ici 5 à 15 ans, les chimpanzés ne seront plus qu’un joli souvenir. Notre planète se meurt et il est important de soutenir de telles initiatives et des associations comme HELP CONGO qui, chaque jour, essaient de conserver notre écosystème. Tout naturellement, j’invite le maximum de personnes à cliquer chaque jour sur les fiches d’Emilie et de Kouzola : Un clic peut les sauver ! » déclare Sébastien Folin.

Les internautes peuvent se rendre dès à présent sur le site www.actuanimaux.com pour parrainer gratuitement les deux chimpanzés. Une pétition est également à la disposition du public pour demander aux compagnies aériennes de contrôler systématiquement les touristes en provenance de l’Afrique afin de ne pas laisser entrer illégalement sur le territoire français de la viande de brousse (viande de chimpanzés).

Rappelons que le chimpanzé est une espèce en voie de disparition, dont la population est réduite à quelques dizaines de milliers d’individus.


http://www.jeanmarcmorandini.com/article-31562-sebastien-folin-lance-un-appel-pour-sauver-deux-chimpanzes.html

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http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Lille/actualite/Secteur_Lille/2009/10/14/article_l-epatant-soutie


Il y a environ dix ans, deux gibbons du parc zoologique de Lille étaient enlevés ...

dans des conditions mystérieuses ; sans doute, estimaient alors les services des douanes, par des trafiquants internationaux d'animaux. Aujourd'hui, les gibbons actuels continuent d'être les stars du zoo, pour le bonheur des enfants notamment, qui apprécient leur facétie et leurs cabrioles. Et pourtant. Si on ne fait rien, ces adorables singes risquent, dans quelques années, de disparaître de la surface de la planète.
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Tel était le message délivré dimanche par Aurélien Brûlé, président fondateur de l'association Kalaweit qui oeuvre en Indonésie pour la sauvegarde de l'espèce. Présent au zoo, celui que tout le monde appelle Chanee (gibbon en langue thaï) est venu expliquer les raisons pour lesquelles les gibbons sont gravement en péril. Trafic, braconnage, déforestation et utilisation comme animal domestique (ce qu'il n'est surtout pas) par les populations d'Asie du sud et conduisent l'espèce à sa perte.

Un bébé nommé Kalaweit...


« On peut estimer la population actuelle des gibbons à cent mille individus, note Aurélien Brûlé, qui a fait récemment l'objet d'un excellent reportage diffusé dans l'émission "Envoyé Spécial" sur France 2. Au rythme auquel les animaux disparaissent, il n'y aura plus aucun gibbon dans vingt ans. » Mobilisé pour cette lutte, le parc zoologique lillois soutient activement Kalaweit. Ainsi, en mai, les visiteurs du zoo ont participé par un vote au choix du nom du dernier gibbon à mains blanches né à Lille. Ça ne s'invente pas : ils l'ont appelé Kalaweit. Mais ils n'ont pas fait que ça. Ils ont également été généreux en offrant à l'association ce qui fait le nerf de sa guerre : l'argent. Plus de 2 000 E ont été collectés. La somme a permis de rénover les volières des refuges de Kalaweit, situés sur les îles de Bornéo et de Sumatra. Toute la journée, des animations ont également permis aux visiteurs de partir à la rencontre des gibbons. Un beau dimanche pour une noble cause. •
FK. L.

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Ce n'est pas un ultime remake de La Panète des singes. Tourné dans le zoo d'Edimbourg, Chimpcam est la première oeuvre cinématographique authentiquement réalisée par des chimpanzés. L'expérience, lancée par la primatologue Betsy Herrelko de l'université de Stirling, devrait permettre d'en savoir plus sur la manière dont nos lointains cousins perçoivent le monde.



Le tournage et ses préparatifs ont duré 18 mois. Armés d'une solide caméra anti-chocs, les singes ont pu filmer et visionner les images réalisées en temps réel sur l'écran de l'appareil. A en croire les images qui seront diffusées mercredi 27 janvier par la BBC, ils se sont pris au jeu. Mais rien ne prouve qu'ils aient sciemment réalisé telle ou telle image, ou compris qu'ils enregistraient un film.

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Allemagne - Des scientifiques allemands ont découvert que les chimpanzés étaient capables d'actes altruistes, comme adopter de jeunes orphelins, au même titre que l'Homme.



Une étude a recensé 18 cas d'adoption chez des chimpanzés non liés par le sang, dans leur milieu naturel, en Côte d'Ivoire. Il semblerait donc que cette pratique et, par conséquent, l'altruisme en général, ne soient pas spécifiques à la race humaine.En effet, les chimpanzés adultes donnaient beaucoup de leur énergie, de leur temps et de leur nourriture au jeune chimpanzé qu'ils avaient recueilli suite à la mort de ses parents génétiques. Ils lui offraient protection sans rien attendre en retour. Ce genre de comportement peut être rapporté chez des animaux domestiques comme les chiens et chats mais les chercheurs, après avoir étudié des singes en captivité, pensaient qu'il n'était vraiment répandu que chez l'Homme. L'altruisme ne serait donc pas spécifiquement un comportement humain. Des exemples ont déjà été rapportés chez d'autres espèces comme les chauves-souris vampires : celles-ci régurgitent une partie de leur nourriture (en l'occurrence du sang, d'où leur nom) afin de la partager avec les chauves-souris qui n'auraient pas réussi à se nourrir. De même, les singes verts guettent et donnent l'alarme à leur groupe dans le but de le protéger des prédateurs, quitte à se mettre eux-mêmes en péril.Cependant, certains scientifiques qualifient ces situations de donnant-donnant : l'animal ne partagerait pas sa nourriture par pur altruisme, mais pour que ses congénères se comportent de la même façon lorsque la situation sera inversée, quand lui-même sera dans le besoin.Pourtant, dans le cas de l'adoption, il n'y a aucun rendu possible. Les chimpanzés auraient beaucoup plus de facilité à vivre sans un jeune à nourrir, surveiller et éduquer pendant des années. Les chercheurs ont également remarqué que le nombre d'adoptions pour chaque sexe était quasiment le même, seul un mâle s'est révélé être finalemen... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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Japon - Suite à une étude, des scientifiques auraient prouvé que les singes aimaient regarder la télévision.


Les scientifiques de l'Institut universitaire de recherche sur les primates ont surveillé le cerveau d'un macaque mâle de 3 ans qui regardait la télévision. Le programme passé à ce moment était du cirque acrobatique montrant en représentation des éléphants, girafes et tigres réalisant des tours. A ce moment précis, la zone du lobe frontal du cerveau du primate est devenue très active. Pour les scientifiques, cette réaction est équivalente à celle d'un bébé qui voit sourire sa mère. Les similitudes corporelles et comportementales entre le singe et l'Homme font l'objet de nombreuses recherches scientifiques approfondies. Il a d'ailleurs déjà été prouvé que la façon dont les singes acquièrent et stockent des informations est la même que chez l'Homme. Une autre étude récente a également démontré que la mère singe apprend à son petit à se laver les dents exactement de la même façon que chez l'Homme.

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La guerre est-elle le propre de l'homme ? A ceux qui le pensent, les observations menées par des éthologues américains et publiées mardi 22 juin dans la revue Current Biology prétendent apporter un clair démenti. Même si ces chercheurs préconisent des expressions neutres comme "aggression intergroupe mortelle", ils montrent que les chimpanzés (Pan troglodytes) guerroient eux aussi. Et il ne s'agit pas de combats individuels et sporadiques mais bien d'âpres conflits entre communautés, d'affrontements parfois meurtriers qui s'étalent sur plusieurs années et dont l'une des principales motivations semble être la conquête de nouveaux territoires.

Entre 1999 et 2008, John Mitani (université du Michigan), David Watts (université Yale) et Sylvia Amsler (université de l'Arkansas à Little Rock) ont observé le comportement d'une communauté de 150 chimpanzés environ, au coeur du Kibale National Park, en Ouganda. Régulièrement, plusieurs mâles du groupe partent, en file indienne, vers les marges de leur territoire. Ils progressent en silence et s'aventurent sur le domaine d'une autre communauté. Lorsque des mâles "ennemis" surgissent en nombre, la patrouille s'égaille et se replie en désordre. Mais quand les patrouilleurs rencontrent un mâle isolé, ils le mordent, le battent jusqu'à la mort. Les plus jeunes ne sont pas épargnés.

Pour comprendre la finalité de ces raids, les chercheurs ont cartographié les itinéraires suivis par ces patrouilles. Ils ont déterminé que la zone dans laquelle les excursions mortelles étaient les plus fréquentes avait fini, au fil du temps, par être annexée au territoire du groupe "agresseur". Selon les auteurs, cet expansionnisme est motivé par la conquête de nouvelles ressources alimentaires, ce qui permettrait aux femelles du groupe de procréer plus rapidement. La conquête de nouvelles terres serait aussi, peut-être, un moyen de capter de nouvelles femelles issues de la communauté au territoire amputé.

L'analogie entre ce comportement belliqueux et la guerre pratiquée chez les humains est-elle justifiée ? "Dans les années 1970, (la célèbre primatologue) Jane Goodall avait déjà documenté un affrontement entre deux groupes de chimpanzés issus d'une communauté qui s'était scindée en deux, raconte Kevin Langergraber (Max-Planck Institute for Evolutionary Anthropology). Mais certains avaient objecté que ces singes étaient nourris par les chercheurs, ce qui biaisait leur comportement."

En somme, cette "guerre des singes" pouvait ne pas exister dans la nature. "Mais dans le cas présent, les observations sont faites sur des chimpanzés qui se nourrissent naturellement", ajoute M. Langergraber. L'influence de l'homme est-elle cette fois-ci complètement hors de cause ? "On ne peut pas écarter la possibilité d'une pression anthropique, par exemple une activité de braconnage qui aurait contraint le groupe étudié à se déplacer ou à étendre son territoire", explique Odile Petit, primatologue à l'Institut pluridisciplinaire Hubert-Curien (CNRS-université de Strasbourg).

Comme Homo sapiens, son plus proche cousin Pan troglodytes n'hésite pas à tuer. "Il faut bien voir que c'est un comportement très spécifique que l'homme ne partage, parmi les grands singes, qu'avec le chimpanzé, dit le paléoanthropologue Pascal Picq (Collège de France). En cas d'affrontement, à l'image du chien, les autres grands singes ne tuent pas leur adversaire dès lors que celui-ci a montré des signes de soumission. Chez le gorille, par exemple, qui est très peu territorial, ce genre de conflit n'existe pas."

ANALOGIE AVEC L'HOMME

Cette froide capacité à tuer ses congénères valide-t-elle l'analogie avec la guerre des hommes ? "Il ne faut pas y mettre d'intentionnalité, cela peut être simplement le fruit d'un emballement, d'une émulation liée au nombre", objecte Mme Petit.

Pour M. Picq, au contraire, "le chimpanzé est, comme l'homme, capable d'empathie, ce qui veut dire que lorsqu'il tue ou fait souffrir un congénère, il en a une sorte de conscience". En outre, ajoute le paléoanthropologue, "il peut y avoir un haut niveau de planification dans ces affrontements intergroupe". "Comme par exemple le départ d'une première patrouille, silencieuse, puis plus tard d'une seconde très bruyante, raconte M. Picq. Les ennemis" entendent celle-ci alors qu'elle est encore loin et sont pris par surprise par la première, qu'ils n'ont pas entendue arriver."

Stéphane Foucart
Article paru dans l'édition du 26.06.10
www.lemonde.fr

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Caroline du Sud, États-Unis - Surya, un orang-outan, adore tellement l'eau qu'elle n'hésite pas à plonger dans la piscine en compagnie de son "professeur de natation" Moksha Bybee.

Les primates ne sont pas connus pour aimer particulièrement l'eau et ne savent pas naturellement nager. Toutefois Surya, 7 ans, adore tellement l'eau qu'il est difficile de l'empêcher de prendre un bain dans la piscine lorsque les beaux jours reviennent. Ainsi l'animal plonge régulièrement en compagnie de Moksha Bybee, 30 ans, sa partenaire de natation. Mlle Bybee affirme qu'il ne lui a fallu que 3 semaines pour apprendre à nager à l'orang-outan et que depuis ce dernier n'hésite pas à exploiter ses nouvelles capacités aquatiques. Surya ne fait pas que plonger accrochée au dos de Mlle Bybee. Le primate est capable de nager sur près de six mètres en utilisant un crawl rudimentaire. Les employés du parc dans lequel l'animal réside pensent que Surya est l'un des premiers orang-outan aquatique au monde

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Salzbourg, Autriche - Deux lémuriens, qui s'étaient évadés d'un zoo, ont été retrouvés au bar d'un hôtel, dans une ville proche de Salzbourg.

Deux lémuriens en cavale sont retrouvés au bar d’un hôtel

Les deux lémuriens sont les pensionnaires du zoo de Salzbourg. Dimanche 11 juillet, les deux mâles, qui étaient probablement à la recherche de femelles, explique l'AFP, se sont enfuis du zoo.Durant quatre jours, les animaux ont été en totale liberté jusqu'à ce qu'ils soient retrouvés au bar de l'hôtel Wals, à 25 kilomètres du zoo. Voyant les lémuriens présents, les employés du restaurant sont parvenus à attirer les animaux grâce à des fruits. Du côté du zoo, l'AFP explique qu'il assure avoir toujours su où étaient les animaux grâce des appels de signalement.

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MEXICO, 19 juil 2010 (AFP) - Un Péruvien a été arrêté lundi à son arrivée à l'aéroport de Mexico, en possession de 18 bébés singes d'une espèce protégée, qu'il dissimulait sur lui, a annoncé la police.>
Deux de ces petits primates, originaire d'Amérique centrale et du Sud, étaient déjà morts quand le fraudeur a été interpellé au cours d'un contrôle de routine.

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Sri Lanka - Invisible depuis soixante ans, le loris grêle des plaines d'Horton n'a pas disparu. L'un de ces petits primates nocturnes a en effet été observé dans une forêt du Sri Lanka et photographié par des chercheurs.

Petit mammifère aux grands yeux globuleux rouges surmontant un museau pointu, le loris grêle des plaines d'Horton n'avait pas été repéré depuis 1939, laissant alors penser que l'espèce s'était éteinte.

Mais en 2002, Saman Gamage, qui dirige une équipe de chercheurs de la Société zoologique de Londres (ZSL), de l'université de Colombo et de l'université libre du Sri Lanka, aperçoit les yeux protubérants de l'animal. Les scientifiques ratissent la forêt du centre du Sri Lanka où le loris grêle a été repéré, prêts à perdre espoir alors qu'aucun signalement n'a eu lieu entre 2002 et 2009.

Finalement, les chercheurs ont enfin retrouvé le petit mammifère nocturne, et ont réussi à le prendre en photo. Une première. Le spécimen, un mâle adulte mesurant 20 centimètres, a été brièvement capturé pour prendre ses mesures et prélever des échantillons génétiques. "Les scientifiques ont découvert que les membres antérieurs et postérieurs du loris grêle des plaines d'Horton semblent plus courts et plus robustes que ceux des autres loris observés au Sri Lanka ou dans le sud de l'Inde, démontrant la façon dont le mammifère s'est adapté pour vivre dans la fraîcheur de la forêt montagneuse" a révélé la ZSL.

Comme l'explique Saman Gamage, la population de loris grêles des plaines d'Horton a certainement commencé à décliner en raison de la destruction des forêts montagneuses par les colons britanniques qui, à partir du XIXe siècle, ont déboisé pour installer des plantations de café et de thé.

Selon plusieurs études, il ne resterait aujourd'hui dans le monde qu'une centaine de loris grêles, faisant de cette espèce l'un des primates les plus menacés.

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"Nous sommes émus et très heureux que cet évènement se soit produit chez nous, car la dernière naissance ici d'un orang-outan remonte à dix ans. Et en plus, la maman est Rouhélé", a indiqué à l'AFP Saguit Horowitz, porte-parole du zoo de Ramat Gan.

"Rouhélé", diminutif hébraïque de Rahel, a 41 ans, un âge vénérable pour cet anthropoïde, d'un type originaire de Sumatra, dont il ne subsiste actuellement que 7.500 survivants à travers le monde, selon Mme Horowitz.

Victimes de la déforestation, les grands singes roux de Sumatra et Bornéo (Indonésie) sont menacés d'extinction totale d'ici une à deux décennies, ajoute-t-elle.

"Nous avons déployé des efforts immenses pour qu'ils puissent se reproduire, notamment en introduisant chez nous deux jeunes femelles venues d'Allemagne, mais cela n'a pas marché, et c'est justement Rouhélé qui a réussi à avoir un petit", explique encore la porte-parole.

Avec un peu de chance, le nouveau-né aura peut-être bientôt un lointain cousin en France, où le zoo safari de Ramat Gan a récemment expédié une de ses jeunes primates.

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Les orangs-outangs du zoo de Rhenen, aux Pays-Bas, ont perdu le goût de se balancer dans les arbres. Un ancien champion olympique de gymnastique se fait fort de le leur redonner.

Les responsables de l'Ouwehands Direnpark Rhenen, un parc animalier situé dans le centre des Pays-Bas, ont eu l'idée d'aménager une zone où ces hominoïdes à longs poils et aux membres antérieurs très développés pourraient sauter d'arbre en arbre sous les yeux ébahis du public.

A l'état sauvage, les orangs-outangs touchent rarement le sol. Mais, des cimes, les pensionnaires du zoo de Rhenen aujourd'hui s'en balancent.

Vendredi, Epke Zonderland, septième de l'épreuve de barre fixe aux Jeux de Pékin en 2008, tentera de prouver que si l'homme descend du singe, le singe peut remonter dans l'arbre.

Et il entend payer d'exemple en testant lui-même l'installation.

Zonderland (Sans-Terre en français) pense que les primates ont un peu peur de se hasarder dans leur nouveau terrain de jeu.

"J'espère que vendredi ils seront assez décontractés pour m'imiter. Je n'ai aucune expérience avec les singes mais, si tout va bien, ils commenceront à passer gentiment d'arbre en arbre", a-t-il dit.

Le public pourra en tout cas assister à cette expérience inédite.

Aaron Gray-Block, Pascal Liétout pour le service français

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San Francisco, Etats-Unis - Un gorille a été photographié jouant à la Nintendo DS dans son enclos

Un gorille joue à la Nintendo DS, en images Agrandir la photo Un garçon avait laissé tomber par accident sa Nintendo DS dans l'enclos des gorilles au zoo de San Francisco. Le singe, intrigué par l'objet, l'a rapidement ramassé et a essayé de jouer avec la console. Une photographe est parvenu à prendre le gorille en photo alors que celui-ci semble jouer à la console et des vidéos parues sur le Net révèle l'animal avec la console en main. Sur les images, on peut voir un jeune gorille qui lui aussi semble intéressé par la Nintendo DS. "Il n'a pas fallut longtemps avant que le jeune gorille a voulu voir ce que c'était. Bien sûr, le petit pensait qu'il pouvait faire mieux et comprendre ce que c'était." a raconté la photographe Christina Picuzza à la presse. Finalement, les gardiens sont parvenus à récupérer la console et à la rendre à son propriétaire en état de marche.à voir : Un gorille découvre la Nintendo DS

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Toronto, Canada - Une étude a révélé que les orangs-outans utiliserait le mime pour communiquer.

L'enquête a pris en compte plus de vingt ans de recherches sur les singes à Bornéo. Celle-ci a révélé que les primates seraient capables de mimer pour communiquer entre eux mais également avec les humains. Les chercheurs ont pu observer, par exemple, un des singes mimant la façon dont son partenaire s'était blessé le pied la semaine précédente. Sur les 18 mimes comptés lors des recherches, quatorze visaient un être humain et quatre seulement un de leurs congénères. Selon le docteur Anne Russon, de l'université de Toronto, qui a dirigé l'étude, les orangs-outans dans la nature utiliseraient le geste pour communiquer de façon spontanée, mais assez rarement. Tout comme les chimpanzés, les orangs-outans sont capables d'assimiler le langage des signes humains et de l'utiliser pour communiquer. L'espèce d'orang-outan qui est originaire d'Indonésie est cependant menacée par la destruction de son habitat naturel.

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Devon, Angleterre - les visiteurs d'un zoo ont été étonnés de découvrir un singe cajolant un amphibien comme s'il s'agissait de son petit.

La rencontre a été immortalisée par l'appareil d'un visiteur du zoo qui n'en a pas cru ses yeux. "Le singe essayait de protéger le crapaud des regards. Elle semblait le considérer comme son propre petit et voulait le protéger", raconte la visiteuse, Sheila Hassanein, 64 ans, au Telegraph. Swoozie, un singe des marais femelle de 7 ans, avait retiré le crapaud de la mare dans lequel il se trouvait. Pendant toute une journée, elle a ainsi cajolé l'amphibien, allant même jusqu'à frotter l'animal au sang froid contre son corps, afin de le réchauffer. Finalement le crapaud a réussi à se libérer de l'étreinte de sa "mère adoptive."

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Colombie - Des scientifiques ont identifié une nouvelle espèce de singe dans la forêt amazonienne.

Répondant au nom latin de Callicebus caquetensis, d'après la région du Caquenta où il a été découvert, le petit singe a été observé par les chercheurs de l'université nationale de Colombie.

Communément appelé "titi du Caqueta", le singe a une taille semblable à celle d'un chat et possède une fourrure marron grisâtre, rousse à certains endroits. Ces singes sont monogames et les couples donneraient naissance à un seul petit par année. En même temps que l'annonce de sa découverte, les chercheurs ont déclaré l'espèce menacée d'extinction car moins de 250 individus peupleraient la forêt, graduellement détruite pour faire place aux terres agricoles. La présence de rebelles armés dans la zone géographique où vit l'animal avait empêché les scientifiques de découvrir ce petit animal plus tôt. Juan Mayer, ancien ministre de l'Environnement colombien, a déclaré à la presse que "d'énormes efforts devront être faits pour protéger l'habitat de ces créatures", qui sont menacés par la déforestation.

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TOKYO, 1 sept 2010 (AFP) - Des centaines de Japonais se sont mis en chasse d'un groupe de singes accusés d'avoir légèrement blessé une soixantaine de personnes lors d'attaques répétées dans la région du Mont Fuji, ont annoncé mercredi des responsables locaux.> Au moins 62 personnes ont été superficiellement blessées en dix jours dans ces deux villes de la préfecture de Shizuoka (centre du Japon), à proximité des forêts couvrant les bases du célèbre volcan nippon. Pour piéger les singes, les autorités envisagent d'utiliser des armes équipées de somnifères.

"Nous voulons les capturer... si possible", a expliqué un responsable de Mishima à l'AFP. "Mais nous avons des forêts profondes et des zones montagneuses. Une fois enfuis, ils sont durs à rattraper !"

Des adultes accompagnent désormais les enfants à l'école dans la région pour les protéger des dangereux quadrupèdes, apparemment des macaques.

Les attaques de singes sont assez courantes dans l'archipel, où les paysans se plaignent régulièrement de pillages de leurs vergers et où des touristes sont parfois agressés par ces animaux en quête de nourriture.

Selon les spécialistes consultés par les responsables des deux villes, cette vague d'attaques pourrait toutefois s'expliquer par une simple envie de s'amuser des primates qui cesseront sitôt lassés par leur nouveau jeu.

"Les agressions ont commencé très soudainement", a souligné le responsable de Mishima. "Nous ne savons pas pourquoi, seuls les singes pourraient vous le dire".

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Portsmouth, Grande-Bretagne - selon des scientifiques les gorilles seraient aussi des tricheurs lorsqu'ils jouent à des jeux tels que "chat perché"

Selon les chercheurs de l'université de Portsmouth, les singes seraient de mauvais joueurs. En effet, ces derniers n'hésiteraient pas à frapper leurs camarades de jeu et à prendre la fuite afin de gagner une partie de chat perché. Les scientifiques ont observé la façon dont les animaux répondent à un comportement injuste dans un cadre social naturel. Ainsi ils sont parvenus à la conclusion que les singes étaient capables de différencier une touche d'un coup et que cela provoquerait chez eux des réactions assez intenses. Le Dr Marina Davila Ross, la biologiste qui a dirigé la recherche, a ainsi pu montrer que les gorilles étaient capables de jouer à chat, chassant leurs camarades et une fois touchés capable de devenir les chassés. Cependant, ces derniers comme les humains seraient capables d'être de mauvais joueur et de tricher en frappant injustement leurs partenaires de jeu. Ces jeux permettraient ainsi aux primates de se socialiser parmi leurs pairs et de développer des systèmes de communications plus sophistiqués.
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Texas, State-Unis - Dans la ville de San Antonio, un singe-araignée a été porté disparu. Lors de sa fuite, il aurait poursuivi une femme dans son jardin, l'obligeant à se réfugier dans son garage pendant une heure.

Le singe-araignée en cavale aurait été aperçu sur les collines longeant une route de San Antonio. La réserve "Primarily Primates" a déclaré qu'une récente tempête aurait entrouvert une brèche dans l'enclos des singes-araignées, ce qui aurait permis à l'animal de s'enfuir. Les shérifs adjoints ont rejoint la recherche lorsque l'attaque d'une femme par un singe fut reportée. En effet, le singe échappé aurait semble-t-il poursuivi la femme jusqu'à ce que son chien réussisse à éloigner l'évadé. Grâce au temps gagné, la femme a pu se mettre à l'abri dans son garage. Mais le primate est revenu à la charge, essayant d'ouvrir la porte à de multiples reprises et obligeant la femme à rester enfermée dans le garage durant une heure. Finalement, son neveu qui dormait, alerté par les cris de sa tante, est venu voir ce qu'il se passait. "De la façon dont elle le décrit, le singe avait les mains en l'air, prêt à attaquer", a déclaré Matt Meneses, le neveu de la femme attaquée. Primarily Primates est une réserve pour animaux victimes de trafic ou ayant été utilisés par la recherche biomédicale.

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BERLIN, 21 sept 2010 (AFP) - Des primatologues allemands ont annoncé mardi avoir découvert une nouvelle espèce de gibbons reconnaissables à leur chant et vivant dans les forêts tropicales entre le Vietnam, le Laos et le Cambodge.> "Une analyse de la fréquence et du rythme de leurs cris ainsi qu'une recherche génétique montrent qu'il s'agit bien d'une nouvelle espèce", le gibbon du nord à joues beiges, ou le Nomascus annamensis.

"Cette découverte est une petite sensation", essentielle à la protection de ces animaux, a affirmé Christian Roos, chef de l'équipe de chercheurs.

Ces petits singes monogames à crête font partie des espèces de primates les plus menacées au monde.

La femelle a une robe jaune-orangé tandis que les mâles sont noirs et portent une crête à la façon d'une "coiffure punk" sur la tête, précise le communiqué.

Les scientifiques considèrent que leur chant sert à défendre leur territoire ou "pourrait même être le précurseur de la musique des êtres humains".

Leur découverte porte à sept le nombre des espèces recensées de gibbons à crête. Ces primates vivent dans la canopée au Vietnam, au Laos, au Cambodge et dans le sud de la Chine.

Il existe quatre familles de gibbons, dont les gibbons à crête.


Toutes sont menacées en raison de la chasse illégale, de la déforestation, mais aussi parce que les gibbons sont mangés, détenus comme des animaux domestiques, ou utilisés par la médecine traditionnelle, selon le communiqué.

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Allemagne - Des primatologues allemands ont annoncé avoir découvert une espèce de gibbon à crête vivant dans les forêts tropicales situées entre le Vietnam, le Laos et le Cambodge. Ces primates jamais observés jusqu'alors sont reconnaissables grâce à leur chant particulier.

Ces singes font partie des espèces de primates les plus menacées au monde. Comme le souligne Christian Roos, à la tête de l'équipe de chercheurs du Centre allemand de primatologie de Göttingen, "cette découverte est une petite sensation", de grande importance pour la protection des primates.

Ces gibbons à crête, baptisés Nomascus annamensis, ou gibbons du nord à joues beiges, sont identifiables grâce à leurs vocalises très particulières. "Une analyse de la fréquence et du rythme de leurs cris ainsi qu'une recherche génétique montrent qu'il s'agit bien d'une nouvelle espèce" expliquent les primatologues dans un communiqué. Ils estiment que ce chant permet aux gibbons de défendre leur territoire, mais aussi qu'il "pourrait être le précurseur de la musique des êtres humains".

Ces primates vivent dans la canopée de la forêt tropicale, au Vietnam, au Laos, au Cambodge et dans le sud de la Chine. La femelle est de couleur jaune-orangé tandis que les mâles ont une robe noire et portent sur la tête une crête que les chercheurs comparent à une véritable "coiffure punk". Leur découverte porte à sept le nombre d'espèces de gibbons à crête connues.

Aujourd'hui, quatre familles de gibbons sont recensées. Toutes sont menacées de disparition par la chasse illégale et la déforestation. Ces petits primates sont également mangés, utilisés par la médecine traditionnelle ou capturés pour devenir des animaux domestiques.


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Brésil - Un chimpanzé est devenu une véritable célébrité dans son zoo depuis qu'il s'est mis à la peinture.

Un chimpanzé se met à la peinture

Jimmy, 26 ans, est un chimpanzé retraité d'un cirque. Lorsqu'il est arrivé au zoo de Niteroi, le chimpanzé ne montrait aucun intérêt pour les jouets ou pour tout autre activité que généralement les chimpanzés apprécient là-bas. Son dresseur Roched Seba a alors eu l'idée, il y a environ trois semaines, d'apporter de la peinture et des pinceaux dans son enclos. Au départ le singe était plus réticent à peindre notamment lorsque trop de visiteurs l'entouraient. Mais désormais environ trente minutes par jour Jimmy trempe soigneusement son pinceau dans la peinture et se met à peindre. Une exposition de ses oeuvres serait même en préparation. Jimmy n'est pas le premier peintre du monde animal. Brittany, un éléphant d'Afrique, était également une artiste et les toiles de Congo, un chimpanzé vivant dans les années 50, se sont vendues à plusieurs dizaines de milliers de dollars.

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Londres, Royaume-Uni - Non, aucun animal ne s'est échappé, il s'agit seulement de centaines de personnes déguisées en gorilles qui ont couru en toute liberté dans la capitale. Lire

Des centaines de gorilles en liberté dans les rues de Londres

Les participants prenaient part à la course mise en place par l'Organisation du Grand Gorille, une oeuvre caritative dédiée à la protection du grand singe. L'OGG proposait cet événement afin de collecter des fonds pour sensibiliser au destin du célèbre primate. Près de 700 personnes ont participé à l'événement, rappelant ainsi qu'il reste dans le monde le même nombre de gorilles des montagnes. Le défenseur des animaux et présentateur de l'événement Bill Oddie a tiré le coup d'envoi pour la 7ème réédition de la course du Grand Gorille, qui s'étend sur près de 7 kilomètres. L'organisation a déclaré que la course déguisée a permis de collecter près de 175.000 euros mais les contrats avec les sponsors s'arrêtant seulement en novembre, elle espère atteindre les 275.000 euros.

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Sumatra, Indonésie - Des scientifiques britanniques auraient découvert des preuves de l'existence d'un singe légendaire.

Une équipe de chercheurs britanniques qui enquêtait sur les espèces animales inconnues aurait découvert des preuves de l'existence de l'Orang Pendek, un primate légendaire. En effet, ce singe, dont le nom signifie "petit homme" en indonésien, vivrait à l'abri des regards sur l'île de Sumatra, en Indonésie. Il ferait environ 1m50 et se déplacerait sur ses deux pattes arrières comme le fait l'homme.La créature a été aperçue plusieurs fois depuis la période coloniale, mais aucune preuve n'a réellement été recueillies jusqu'alors. Mais cette fois-ci, les chercheurs affirment avoir découvert les empreintes de l'animal, ainsi que des poils et un morceau mâchouillé de palmier. Ces preuves vont prochainement être étudiées dans un laboratoire afin de recueillir l'ADN de la créature, ce qui permettra, ou non, de prouver son existence.

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JOHANNESBURG, 6 oct 2010 (AFP) - Un chimpanzé, qui s'était rendu célèbre en grillant des cigarettes, a rendu son dernier souffle à l'âge avancé de 52 ans, a déclaré mercredi un responsable du zoo sud-africain où il vivait.> "Charlie le Chimp" avait contracté ses mauvaises habitudes quand des visiteurs du zoo lui avait tendu une cigarette allumée. Imitant les humains, il l'avait immédiatement saisi et glissé entre ses lèvres.

La nouvelle s'était rapidement répandue et les visiteurs avaient encouragé Charlie dans ses penchants en continuant de l'alimenter en cigarettes

Les responsables du zoo étaient finalement intervenus après de nombreux articles de presse et la diffusion sur internet d'une vidéo de leur pensionnaire en train de s'en griller une.

Sa dépendance ne semble pourtant pas avoir affaibli son organisme: Charlie a vécu dix ans de plus que la moyenne de son espèce, selon M. Khedama. Une autopsie sera tout de même pratiquée pour déterminer avec certitude les causes de sa mort.

Le zoo cherche désormais un nouveau compagnon pour sa veuve, Judy. "Mais on se rend compte que ce sera quasiment impossible de remplacer une personnalité comme celle de Charlie", a souligné le porte-parole.

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KUALA LUMPUR, 7 oct 2010 (AFP) - Un nouveau-né a été tué en Malaisie après avoir été enlevé dans sa maison par un singe qui l'a mordu au visage et au cou avant de le laisser tomber du toit, a relaté jeudi la presse.> Après s'être aperçu de la disparition de son enfant, sa mère, V. Revathy, 26 ans, a découvert son corps, portant des traces de morsures, à l'extérieur de la maison.

"Le bébé est mort en tombant sur le sol. Le singe l'a probablement laissé tomber à cause des cris des parents", a indiqué Ishak Muhamad, directeur de la faune sauvage de la région.

Le macaque a été ensuite localisé et tué par balles, selon lui.

"Nous pensons qu'il est entré dans la maison à la recherche de nourriture

Il a emmené le bébé sur le toit en pensant qu'il pouvait le manger", a ajouté M. Ishak au quotidien The Star.

Il est fréquent d'apercevoir des singes en milieu urbain en Malaisie, en particulier des macaques, qui peuvent être agressifs et osent pénétrer dans les habitations

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GAZA (Territoires palestiniens), 16 oct 2010 (AFP) - Un chimpanzé échappé d'un zoo a été retrouvé... sur les bancs de l'université Al Qods de Gaza, par une étudiante tombée nez à nez avec lui samedi en entrant dans une salle de classe, selon un employé de l'université.> Alertés par les cris de la jeune femme, des appariteurs ont appelé à la rescousse des employés du zoo voisin d'où le singe s'était échappé.

Le petit chimpanzé a finalement été repris sain et sauf et reconduit à sa cage.

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Nehime et Rakan deux bébés singes sont devenus récemment chefs de la gare de Hojo-Cho au Japon. Vêtu de vêtements traditionnels, les deux petits animaux ont reçu le titre de résident particulier de la ville, par le maire Chozo Nakagawa. Les singes sont même grimpés sur le premier train biodiesel du Japon, qui commençait à opérer le même jour pour promouvoir l'aspect écologique de la compagnie.Nehime et Rakan appartiennent à un résident local, qui a proposé leur nouvelle fonction dans le but de redonner un peu de popularité au système ferroviaire japonais. Les deux singes officieront ainsi une fois par mois, et espèrent devenir aussi populaire que d'autres animaux "employés" par des gares japonaises. En effet Tama, un chat couleur écailles de tortues, est devenu une véritable célébrité dans le pays en tant que chef de gare dans la station de Kishi.
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RANGOUN, 27 oct 2010 (AFP) - Une nouvelle espèce de singe au nez retroussé qui éternue quand il pleut a été découvert en Birmanie, a indiqué mercredi une organisation spécialisée dans la conservation des ressources naturelles.> Cette nouvelle espèce "présente des caractéristiques différentes de toute autre espèce au nez retroussé déjà décrite", a indiqué l'organisation.

Si cette nouvelle espère était inconnue des scientifiques, elle ne l'était pas de la population locale qui l'appelle "le singe avec la figure à l'envers".

Les jours de pluie, ils s'assoient souvent avec la tête entre les jambes pour éviter que l'eau n'entre dans leur nez. Ils semblent passer l'été à plus haute altitude dans des forêts tempérées mixtes et descendre plus près des villages en hiver lorsque la nourriture se raréfie.

A partir d'entretiens avec des chasseurs locaux, leur population est estimée entre 260 et 330 individus, ce qui en ferait une espèce menacée, a précisé Frank Momberg, responsable d'un programme de FFI pour l'Asie-Pacifique.

Ce singe vit dans une zone de l'Etat de Kachin (nord), géographiquement isolé d'autres espèces par le Mékong et les rivières Salween, ce qui pourrait expliquer sa découverte tardive, selon FFI.


Les autres espèces de singes au nez retroussé, considérées comme espèces menacées, vivent dans certaines parties de Chine et du Vietnam.

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LONDRES, 28 oct 2010 (AFP) - Pour la première fois en 20 ans, un bébé gorille est né au zoo de Londres cette semaine, mais l'animal ne connaîtra jamais son père, qui est décédé en mars, a annoncé le zoo jeudi.> L'accouchement mardi s'est passé sans incident. "Tantes Zaïre et Effie", deux autres femelles gorilles du zoo, "sont restées auprès de Mjukuu pendant l'accouchement et étaient présentes au moment de la naissance", a précisé le zoo.

En revanche, son père, Yeboah, est décédé en mars, cinq mois après son arrivée au zoo.

Les visiteurs devront sûrement patienter avant de voir le bébé, le temps qu'il soit accepté par son beau-père Kesho, le seul mâle survivant.

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Birmanie - Publiée récemment dans l'American Journal of Primatology, la découverte par une équipe internationale de primatologues, d'une "nouvelle" espèce de singe Rhinopithèque dans le nord-est de la Birmanie (espèce au demeurant connue depuis longtemps par les populations locales) relance l'intérêt des scientifiques pour cette famille de primates rares et menacés.


Poil noirâtre, barbe et moustaches blanches, queue une fois et demie longue comme le corps, le nouvel arrivant dans la famille des singes Rhinopithèques possède aussi les narines béantes et retroussées des autres espèces de ce groupe. Si l'on en croit les chasseurs autochtones, par mauvais temps, ce singe resterait prostré, tête baissée, pour éviter que l'eau de pluie ne pénètre ses fosses nasales et ne le fasse éternuer.Baptisé Rhinopithecus strykeri par les primatologues et "singe au visage retourné" par les indigènes, l'animal a été recensé par les biologistes de plusieurs associations locales et internationales lors de recherches de terrain, menées suite à des observations signalées dans l'Himalaya et l'état birman du Kachin. Bien qu'isolée - génétiquement, notamment - sur un territoire cerné par le Mékong et la rivière Salween, la population restreinte de ce nouveau singe (260 à 330 individus) est déjà menacée par une surpression due à la chasse, depuis l'ouverture de routes par des compagnies forestières chinoises.

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Samedi après-midi, un babouin a décidé de squatter sur le toit d'une maison dans un quartier de Montpellier, dans l'Hérault, rapporte Le Midi Libre.

Surexcité, il refusait de quitter les lieux. Il a été fait appel aux sapeurs-pompiers et à un vétérinaire.

C'est une association qui l'a récupéré, le zoo local n'ayant plus de place. Il a été mis en quarantaine.

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Des chercheurs allemands ont mis en ligne hier sur le site Current Biology les conclusions de leur étude éthologique sur un groupe de macaques sauvages en Thaïlande : les liens sociaux entre mâles non apparentés influent sur leur statut social et leur succès reproductif.





"Nous avons montré pour la première fois qu'avoir des amis proches donne aux mâles plus de succès en termes de statut social et de paternité", a remarqué Julia Ostner, de l'Institut Max Planck d'anthropologie évolutive. "Nous avons pu montrer que [pour un individu] les bénéfices issus d'alliances augmentent via la manipulation de ses propres liens sociaux et de ceux des autres, ce qui est une des définitions de la politique", complète Oliver Schülke de l'université Georg August de Göttingen (Allemagne).




Épouillage mutuel, temps passé ensemble... Contrairement aux chimpanzés, qui vivent dans leur groupe natal toute leur existence, les macaques d'Assam mâles ne limitent pas leurs liens sociaux à des parents, mais les étendent aux mâles de leur groupe d'adoption. Ils quittent en effet systématiquement - plus ou moins tôt - leur harde natale pour en rejoindre une autre.
Outre l'aspect affectif, non mesurable, ces amitiés, qui n'apportent pas un gain immédiat (nourriture, par exemple), assoient la position de l'individu dans le groupe : plus de copains, plus de femelles à espérer ! Une quête de liens sociaux qui, sur le plan évolutif, enracine profondément le comportement des humains eux-mêmes, chez qui la solitude est souvent source de problèmes mentaux voire physiques, concluent les chercheurs.

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Une doctorante norvégienne en médecine vétérinaire a présenté le 29 octobre sa thèse, consacrée à la santé d'un groupe de chimpanzés sauvages de Côte d'Ivoire, qu'elle a côtoyés durant un an. Une mine d'informations sur la transmission de virus inter-espèce, mais aussi sur les méthodes de suivi adaptées aux animaux rares.



Contrôler la santé des chimpanzés sauvages de Côte d'Ivoire, et cartographier dans leur habitat les sources de maladies infectieuses, qui sont une des menaces qui pèsent sur ces animaux en danger : voilà à quoi s'est consacrée durant un an Siv Aina Jensen Leendertz.




Elle a établi notamment que le chimpanzé est souvent infecté par le virus SFV à cause de ses habitudes de prédation sur le colobe bai, sa proie favorite, un petit singe de la région, vecteur de cette pathologie. En revanche, le SIV (simian immunodeficiency virus), qui affecte également les colobes, ne touche pas le chimpanzé.
Une résistance qui pose d'intéressantes questions sur les relations hôte-parasite chez ces deux espèces de primates, notamment lorsqu'on sait que ces infections rétrovirales chez les singes sont les précurseurs du VIH humain : des données qui pourraient être utiles dans la recherche sur les infections rétrovirales chez l'homme.
Cette étude, fruit d'une collaboration entre l'École de science vétérinaire norvégienne et des organismes comme l'Institut Max Planck d'Allemagne, a également permis de développer et d'affiner des techniques de suivi à distance, notamment de récolte et d'analyse d'excréments, compatibles avec une surveillance sanitaire d'animaux sauvages comme les grands singes.

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http://www.lexpress.fr/culture/livre/kaluchua_925611.html
Penser dans les années 1950 que les animaux étaient détenteurs d'une culture propre relevait de l'excentricité, depuis c'est devenu du sérieux.



Dans les années 1950, le Japonais Kinji Imanishi s'installe sur l' îlot de Koshima, au sud de l'archipel. Il veut étudier des macaques qui lavent leurs patates douces avant de les manger. Un geste considéré comme anormal pour des singes. Mais, pour Imanishi, esprit original, spécialiste notamment des chevaux sauvages de Mongolie, cette attitude doit cacher des qualités insoupçonnées. Il trouve un autre groupe qui trempe ses patates dans la mer, ajoutant l'assaisonnement à la propreté. Chaque fois, les mères montrent à leurs petits comment procéder. Après des années d'observation, le savant nippon conclut que les sociétés animales peuvent innover, transmettre, élaborer de véritables cultures. Il baptise ce phénomène "kaluchua". Pour lui, le monde sauvage constitue un continent à découvrir. C'est une révolution.
A cette époque les éthologues ne jurent que par l'expérimentation en laboratoire, les biologistes cherchent dans les gènes le pourquoi des comportements. Le terme de "culture animale" les fait bondir. On se moque d'Imanishi, quand on ne le dénigre pas. Il faudra un demi-siècle pour que le "kaluchua" soit accepté, sans qu'on prononce son nom, comme s'il infligeait aux hommes une blessure narcissique. Cinquante ans pour que primatologues, éthologues, zoologues et paléontologues accumulent les preuves de ces traits ignorés. D'abord, trois femmes sans préjugés partent sur le terrain pour analyser les faits et gestes des chimpanzés pour Jane Goodall, des gorilles pour Diane Fossey, des orangs-outans pour Biruté Galdikas. Leurs singes fabriquent des outils, apprennent aux jeunes à les reproduire, participent à la cohésion du groupe, mâles et femelles à leur façon. D'autres s'engouffrent dans la brèche. Tentent de faire parler les singes, de voir s'ils sont capables d'abstraction, de relations conditionnelles, de raisonnements analogiques. Un monde animal fascinant apparaît, des moutons écossais cartographes aux baleines chanteuses.
Les nouveaux experts ne montrent pas seulement les bêtes sous un jour différent. Ils reconstruisent autrement l'évolution humaine. Imanishi, rappelle l'auteur Michel de Pracontal, journaliste scientifique habitué des grandes enquêtes, démontre que chaque individu appartient à un groupe qui s'exprime par des gestes culturels. Le processus de l'évolution, au coeur de violents débats, ne s'applique pas à des individus solitaires. Mais bien à des membres d'une communauté.

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Publiée dans le journal Significance, l'étude d'une statisticienne australienne sur les rapports qu'entretiennent les populations de Sumatra et de Bornéo avec leur environnement, notamment avec les orangs-outans, pourrait aider les associations environnementales à mieux protéger cette espèce menacée.













"À travers le travail du TNC et d'autres, et grâce à l'utilisation d'une modélisation statistique puissante, nous pouvons beaucoup apprendre (...) de ces 'yeux et oreilles' de la forêt" : le Pr Kerrie Mengersen, de l'École de sciences mathématiques de l'université de technologie du Queensland, résume ainsi l'étude qu'elle a menée conjointement avec The Nature Conservancy (TNC), une ONG environnementale. Les "yeux et les oreilles de la forêt", ce sont les populations autochtones de Bornéo et de Sumatra, vivant dans des zones où subsistent des orangs-outans. La statisticienne a imbécileçu et mené l'analyse des résultats d'une enquête, menée auprès de 7.000 de ces villageois. L'étude montre qu'un quart de ces personnes ignorait que la chasse à l'orang-outan était interdite dans leur pays, et que 5 % d'entres elles avaient tué au moins un de ces primates l'an dernier. Ces statistiques éclairent les motifs de cette chasse aux grands singes : environ 50 % de chasse alimentaire, 10 % pour protéger des champs cultivés, le reste se répartissant entre capture des bébés singes pour les vendre comme animaux de compagnie, prélèvements pour la médecine traditionnelle et chasse "sportive"... Identifier les facteurs liés à ces abattages devrait permettre de cibler des régions et des groupes culturels spécifiques dans de futures campagnes d'information et de sensibilisation.

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HELSINKI, 1 déc 2010 (AFP) - Une espèce animale ou végétale sur dix en Finlande est menacée d'extinction en raison du réchauffement climatique, a annoncé mercredi le ministère finlandais de l'Environnement.> Sur les 2.247 espèces menacées en Finlande, seules quelques dizaines le sont au niveau mondial, a précisé l'Institut finlandais de l'Environnement.

"Toutefois, c'est significatif car cela veut dire que la nature en Finlande a beaucoup changé et rapidement (...) à cause du réchauffement climatique", a expliqué à l'AFP un porte-parole de l'Institut, Heikki Toivonen.

Selon lui, l'augmentation du nombre d'espèces d'oiseaux menacées, par exemple, illustre le fait que la migration depuis et vers le sud du Sahara est rendue nettement plus difficile avec le réchauffement et l'assèchement de l'Afrique du nord.

Ainsi, le statut de la tourterelle des bois est passé en Finlande de "vulnérable" à "en danger critique d'extinction", celui du combattant varié et de la fauvette épervière est passé d'un coup à "en danger d'extinction" alors qu'aucune de ces deux espèces n'était menacée en Finlande il y a encore dix ans.

"Le réchauffement et les hivers plus doux ont également provoqué le déclin de certains mammifères adaptés à vie dans des conditions neigeuses et glaciales, comme le lièvre des montagnes, le glouton et le phoque", selon le ministère.

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Mis en ligne mardi 30 novembre sur le site American Naturalist, les résultats de 25 ans d'études de terrain, réalisées par des chercheurs en Amérique du Sud et en Afrique, révèlent que les primates s'adaptent mieux aux fluctuations climatiques et alimentaires saisonnières que les autres animaux : une des clés de leur succès évolutif... et du nôtre.


"D'abord, ils sont sociaux", explique Karen Strier, anthropologiste à l'Université du Wisconsin. Vivant en groupes et partageant l'information, les primates parviennent mieux à trouver eau et nourriture en période de pénurie. Le caractère omnivore et adaptable de leur régime alimentaire est également un avantage. "Les primates peuvent manger des feuilles, de l'herbe, des fruits, des fleurs, de l'écorce, des graines...ce sont des 'généralistes'. Ils semblent bien prémunis contre les fluctuations de la météo et des disponibilités alimentaires, par rapport à bien d'autres animaux", ajoute Susan Alberts, biologiste à la Duke University (Durham, Caroline du Nord).

Une étude de longue haleine, menée par sept équipes de chercheurs qui, durant 25 années, ont surveillé naissances, subsistance et morts parmi des groupes de sept espèces différentes de primates, du gorille au lémurien sifaka en passant par le babouin jaune. Des informations patiemment collectées, puis compilées dans une base de données du National Evolutionary Synthesis Center (NESCent) de Durham, et enfin comparées à celles concernant environ vingt-cinq espèces d'oiseaux, de reptiles et d'autres mammifères.

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KIGALI, 7 déc 2010 (AFP) - La population des gorilles de montagne a enregistré une hausse de 25% en sept ans dans le massif des Virunga, l'une de leurs principales zones d'habitat en Afrique centrale, selon un recensement établi conjointement par les autorités de trois pays de la région.> La population du gorille de montagne (Gorilla beringei beringei), dont les scientifiques craignent l'extinction, est passée de 380 individus en 2003 à 480 en 2011, selon les résultats publiés mardi d'un recensement mené en début d'année et financé par divers organismes nationaux et organisations internationales de protection de la nature.

"L'augmentation du nombre des gorilles de montagne montre que nous sommes en train de récolter les fruits de nos efforts quotidiens de conservation dans le massif des Virunga", a déclaré Rica Rwigamba, de l'Office rwandais pour le développement (RDB), citée dans le communiqué.

La grande majorité du reste de la population se trouve dans le parc national de Bwindi, dans le sud-ouest de l'Ouganda, où l'on compte actuellement 302 individus.

Ajoutés à quatre gorilles orphelins pris en charge dans un sanctuaire en RDC, la population mondiale recensée de l'espèce s'élève à 786 individus.

Les gorilles de montagne constituent la principale attraction touristique du Rwanda et génèrent d'importantes entrées de devises pour l'Ouganda voisin, grâce également au tourisme.

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Des chercheurs japonais ont affirmé hier avoir redonné l'usage de ses membres à un petit singe, grâce à l'injection de cellules souches pluripotentes induites. L'animal était paralysé suite à une lésion.

"C'est la première fois qu'un animal de cette espèce recouvre ses fonctions motrices de cette façon", raconte le professeur Hideyuki Okano, de l'université Keio, à l'AFP. Il a dirigé l'équipe qui a procédé à l'injection de cellules souches pluripotentes induites dans la colonne vertébrale du petit singe, neuf jours après la lésion qui l'a endommagée.

Trois semaines plus tard, l'animal est parvenu à bouger ses membres. Le scientifique a même précisé qu' "au bout de six semaines, [le singe] a retrouvé une faculté de sauter proche de la normale".

Lire la suite : http://fr.news.yahoo.com/68/20101209/tsc-un-petit-singe-paralys-remarche-04aaa9b.html

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Menacée par le braconnage comme par la déforestation, la population des gorilles des montagnes a sensiblement augmenté au cours des sept dernières années. Une encourageante hausse de plus de 25% a en effet été enregistrée.











La grande majorité des gorilles de montagne vit en Afrique Centrale, dans le massif volcanique des Virunga qui abrite les parcs nationaux contigus du Rwanda, de l'Ouganda et de la République démocratique du Congo (RDC). Les autorités de ces trois pays ont réalisé, en collaboration avec des organisations internationales de protection de la nature, un recensement de la population de l'espèce. Elles affirment ainsi que le nombre d'individus est passé de 380 en 2003, à 480 en 2011. Une augmentation sensible qui "montre que nous sommes en train de récolter les fruits de nos efforts quotidiens de conservation dans le massif des Virunga", s'est félicité Rica Rwigamba, de l'Office rwandais pour le développement. Le reste de la population des gorilles des montagnes est abrité par le parc national de Bwindi, au sud-ouest de l'Ouganda. 302 individus y vivent actuellement. Quatre gorilles orphelins ayant été recueillis dans un sanctuaire de RDC, la population mondiale de l'espèce s'élève donc à ce jour à 786 individus. Si ces chiffres sont très encourageants, les menaces qui pèsent sur les gorilles des montagnes n'en sont pas pour autant éradiquées. Le braconnage pratiqué pour la viande des animaux et les vertus prêtées à leurs crânes et leurs mains existent toujours, de même que la déforestation qui réduit dangereusement leur habitat.

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Les babouins indésirables en Afrique du Sud

Le 07/09/2010 à 19h30 -

L’insécurité prend parfois des formes surprenantes...Le maire de la ville du Cap saisit la justice contre les hordes de babouins.

Les babouins Chacma de la péninsule du Cap, d’habitude inoffensifs, posent désormais problème. Ces primates sont mis en cause dans une série d’attaques régulières contre les voitures et les maisons sur les sites touristiques.

Dan Plato, le maire de la métropole sud-africaine, est décidé à financer une véritable politique de gestion de ces groupes de babouins via une procédure en justice.

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"L'objectif est de contribuer à la protection des gorilles des plaines de l'Ouest", a dit à l'AFP la porte-parole du zoo pragois, Jana Ptacinska-Jiratova.

Selon elle, 15.000 exemplaires d'un livre consacré au groupe des gorilles vivant dans le zoo de Prague et 120.000 autres images avec un texte pédagogique, seront envoyés en Afrique dans les premiers jours du mois de janvier.

"Ils seront distribués gratuitement aux écoles situées aux environs de parcs nationaux et de réserves au Cameroun, en République Centrafricaine, au Congo, au Gabon, en Guinée équatoriale et en République démocratique du Congo", a précisé la porte-parole.

Classé dans les espèces en danger de disparition, le gorille des plaines de l'Ouest vit en forêt tropicale humide de montagne et de plaine et en forêt tropicale marécageuse.

La population totale de cette sous-espèce est évaluée à entre 150.000 et 200.000 individus, chiffre en baisse d'environ 60% comparé à il y a un quart de siècle, selon Mme Ptacinska-Jiratova.


Le zoo de Prague a déjà fourni un équipement aux gardiens de la réserve naturelle du Dja au Cameroun, qui abrite de nombreuses espèces animales protégées dont les gorilles. Il gère aussi un site internet présentant des actualités sur les gorilles dans le monde et donne la possibilité d'envoyer des dons par SMS.

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Située dans sud-ouest de la Chine, la province du Guizhou abrite comme le Yunnan voisin, des singes gris au nez retroussé, une espèce en voie de disparition. Protégés, ces animaux ont vu leur population augmenter au cours des dernières décennies, mais leur habitat naturel reste gravement menacé par l'activité humaine.





Comme l'explique Yang Yeqin, chef de la réserve naturelle de Fanjingshan, cité par l'agence Chine Nouvelle, ces singes ont à ce jour presque disparu de la province Guizhou, leur habitat étant désormais limité aux 260 kilomètres carrés qui leur sont consacrés au sein de la réserve. Depuis quelques années, il est devenu extrêmement rare d'observer ces animaux en dehors de cette zone. "Bien que la région montagneuse soit calme, l'activité humaine et sa pollution menacent ces singes (...). Aujourd'hui, de nombreux touristes viennent visiter la réserve naturelle. La pollution environnementale, de l'eau en particulier, représente une menace pour les singes", alerte Yang Yeqin. Pour faire face à cette situation, l'administration de la réserve a détruit un grand hôtel en 2009. Les déchets que produisait l'établissement situé au sommet de la montagne engendraient une grave pollution de l'habitat des singes. Massés dans la zone limitée du parc, les singes sont par ailleurs menacés par les maladies contagieuses qui se propagent plus facilement lorsque la réserve est pleine. "Les singes au nez retroussé vivant en groupe, l'épidémie peut être très rapide et peut même menacer cette espèce", la plus rare des trois espèces de singes dorés vivant également dans les provinces du Sichuan, du Yunnan et du Hubei, explique Yang Yeqin. C'est seulement dans les années 1980 que ces animaux ont été découverts par des chercheurs chinois. La population de singes au nez retroussé était alors estimée à seulement 200 individus. Après plusieurs années d'efforts pour préserver et repeupler l'espèce, le nombre de spécimens est à ce jour passé à 850 environ.

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< PARIS, 26 jan 2011 (AFP) - La diversité génétique des orangs-outans s'avère plus grande qu'escompté, ce qui pourrait augmenter leurs chances de survie, selon des scientifiques qui publient jeudi la première analyse complète du génome de ce grand singe menacé.> Ce qui contraste, avec ses plus proches cousins, l'homme et le chimpanzé, dont le génome a subi des réorganisations à grande échelle "pouvant avoir accéléré leur évolution", relève le Pr Wilson dans un communiqué.

Une équipe internationale de scientifiques appartenant à une trentaine de laboratoires de huit pays différents a participé au séquençage du génome d'une femelle orang-outan, surnommée Susie, dont les résultats paraissent jeudi dans la revue scientifique britannique Nature.

Les chercheurs ont également étudié l'ADN de cinq autres orangs-outans de Sumatra et de cinq orangs-outans vivant sur une autre île indonésienne, Bornéo.

Alors que ces grands singes vivant dans les arbres étaient autrefois disséminés dans toute l'Asie du Sud-Est, ils ne restent maintenant que 40.000 à 50.000 orangs outans à Bornéo et guère plus de 7.000 individus sur l'île de Sumatra, selon l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN).

Ces deux groupes se sont séparés génétiquement voici 400.000 ans, beaucoup plus récemment que ne le laissaient supposer de précédentes études. Ils constituent maintenant des espèces séparées mais étroitement apparentées, Pongo abelii (Sumatra) et Pongo pygmaeus (Borneo), selon les travaux publiés jeudi.

Il y a en moyenne une plus grande diversité génétique chez les orangs-outans que chez l'homme, explique Devin Locke, principal auteur de l'étude

Et, grande surprise, la diversité est plus grande au sein de la petite population d'orangs-outans de Sumatra que parmi leurs proches cousins de Bornéo. Etonnés par cette découverte, les scientifiques estiment que cela pourrait accroître les chances de survie des deux populations.

Leur diversité génétique pourrait leur permettre de rester plus facilement en bonne santé et de s'adapter aux changements de leur environnement.

Mais "si la forêt disparaît, alors peu importe la diversité génétique, l'habitat est absolument essentiel", souligne Jeffrey Rogers (Baylor College of Medicine à Houston, Texas) autre co-auteur de l'étude. "Si les choses continuent sur la même lancée pendant les trente prochaines années, nous n'aurons plus d'orangs outans dans la nature sauvage", prévient-il.

Les orangs-outans qui peuvent vivre 35 à 45 ans en liberté, un dizaine d'années de plus en captivité, sont capables de fabriquer et d'utiliser des outils et d'une forme d'apprentissage culturel, deux caractéristiques longtemps jugées spécifiques à l'homme.


mh-ah/jca/juv tf

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Un gorille provoque le buzz sur Internet depuis qu'il a été filmé en train de marcher sur ses deux jambes, comme un homme.


Dans le zoo de Lymphe Wild Animal Park situé à Kent, en Grande-Bretagne, un gorille du nom d'Ambam est en train de devenir une véritable star. Pesant 220 kilos et mesurant 1m85, il a pour spécificité de marcher et de se déplacer comme un Homme, sur ses deux jambes et sans l'aide de ses bras. Ce n'est pas son mode déplacement permanent, mais il a été filmé en train de le faire la semaine dernière. La vidéo a depuis été visionnée presque 300 000 fois sur YouTube. C'est la zoologue Johanna Watson qui a filmé ces images, à l'occasion d'un projet sur la façon de se mouvoir des grands singes. Phil Ridges, vétérinaire qui s'occupe d'Ambam, reste lui passionné par les capacités de son protégé, comme il l'explique à SkyNews : "Tous les gorilles peuvent marcher dans une certaine mesure, mais nous n'en avons pas d'autres qui savent le faire comme Ambam. Il est devenu une célébrité dans le parc." Il pense toutefois que cette attitude n'est pas simplement fait pour imiter les humains : "Nous pensons qu'il s'en sert pour avoir un avantage de taille et regarder derrière le mur quand on vient le nourrir. D'une manière générale, il peut regarder sur de plus grandes distances et rechercher sa nourriture plus loin."

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Deux espèces différentes d'orangs-outans vivent à Bornéo et à Sumatra. Une analyse génétique qui vient d'être réalisée a permis de comprendre que les deux espèces s'étaient distinguées l'une de l'autre il y a 400.000 ans, bien plus tard que ce qui était admis jusqu'ici.







Le territoire des orangs-outans occupe actuellement les îles de Sumatra et de Bornéo. Chaque île abrite une espèce différente. Pour comprendre à quelle période de leur histoire les deux espèces sont apparues, des chercheurs de l'université de Washington ont étudié le génome de ces primates. La revue Nature publie leurs résultats et révèle que les deux espèces se seraient distinguées il y a 400.000 ans, bien plus récemment que prévu. La chose est surprenante car cela signifie que l'évolution de ces singes a été beaucoup plus lente que chez les autres primates. Les chercheurs auteurs de l'étude ont également révélé que les génomes étudiés présentaient une importante diversité. Ce qui signifie que d'un point de vue strictement génétique, les orangs-outans ont un patrimoine plus varié que les humains. Ce point devrait en principe favoriser la pérennisation de l'espèce mais la déforestation, la chasse et les maladies risquent de prendre le dessus. Sciences et Avenir précise que les scientifiques espèrent que les résultats qui viennent d'être publiés pourront aider à ce que des mesures de préservation efficaces soient mises en oeuvre dans les îles de Sumatra et de Bornéo, les dernières à abriter ces deux espèces.

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