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Les risque encourus . Possession d'oiseaux sauvage en France

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Dans le monde, le trafic d’espèce animal et végétal est la troisième source
de revenu illicite après la drogue et les armes, et la deuxième cause de
disparition de certaines espèces.

Au niveau international, les oiseaux les
plus touchés par ce trafic sont les Psittacidés (Perroquets, Perruches, Loris,
Loriquets et Aras). Un autre trafic existe, moins connu, celui des espèces
qui vivent dans notre environnement immédiat. Les oiseaux qui paient le
plus lourd tribut à ce trafic d’espèces « indigènes » sont, en tête, le
Chardonneret élégant (pour son chant et son plumage coloré), le Verdier
d’Europe, le Tarin des aulnes ou encore la Linotte mélodieuse.


Pourtant toutes ces espèces sont protégées en France par la loi de
protection de la nature du 10 juillet 1976 (art. L411-1 du Code de
l’Environnement) qui notamment interdit : la capture, l’enlèvement, le
transport, la détention, la vente ou l’achat. Tout contrevenant est passible
d’une amende de 9.000 euros et d’un emprisonnement de 6 mois.

La LPO, depuis de nombreuses années, oeuvre pour faire reculer le trafic
d’oiseaux. En Ile-de-France et à Paris, les opérations de contrôle et de
saisies se succèdent sans que ce trafic cesse, car la manne financière est
importante pour les trafiquants, face aux risques encourus. Un couple de
Chardonneret élégant se vend « sous le manteau » près de 120 Euros sur
les marchés, comme celui qui a lieu chaque dimanche matin, à Paris, sur
l’île de la Cité.

Source
http://www.lpo.fr/comm/2004/

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