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pacemaker91

L'actualité des rongeurs

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Dhaka, Bangladesh - Un fermier a été couronné champion pour avoir tué plus de 80 000 rats. Ces rongeurs déciment les récoltes dans un pays qui fait partie des plus pauvres au monde.





Mokhairul Islam, 40 ans, a été récompensé d'une télévision couleur pour avoir tué 83 450 rats dans les neuf derniers mois. "Je suis tellement heureux d'avoir cet honneur" , a t-il déclaré lors de la cérémonie où il s'est vu remettre son prix. Le Bangladesh est l'un des pays les plus pauvres au monde et les experts estiment que les rats consomment 10% des récoltes chaque année. C'est pour lutter contre cela que les autorités ont donc mis en place une campagne visant à réduire le nombre de rats dans le pays. Mokhairul Islam déclare avoir tué les rats principalement à l'aide de poison, et aurait gardé leurs queues comme preuve. Fier de sa récompense et de son statut de champion, il aurait fait voeu de continuer sa chasse aux rats.

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http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Lille/actualite/Secteur_Lille/2009/10/14/article_la-souris-une-indecrottable-petite-lillo.shtml



Quand elle s'est installée dans cet appartement, Raphaëlle voulait le Vieux-Lille et une vue sur Notre-Dame de la Treille. ...

La semaine dernière, la jeune femme a, en plus, eu droit... à la souris dans le tiroir. Un petit cri et puis s'en va. À peine débusqué, le rongeur a pris la poudre d'escampette. « Mais je les entends gratter derrière les cloisons », se lamente désormais la locataire. « Le problème est réel , souligne son logeur. Cette année, on nous rapporte une présence accrue de souris dans différents quartiers. Il y a le Vieux-Lille, mais également le secteur de la gare. » À intervalles réguliers, il arrive que les souris lilloises quittent leurs quartiers plus traditionnels, à savoir les caves ou les égouts, pour se rabattre vers les parties habitées. Cela a notamment été le cas lorsque les sous-sols se sont retrouvés gorgés d'eau, avec des égouts sur le point de déborder. « Cette année, l'explication n'est pas à trouver dans ce phénomène, note Laurent Jaeck, responsable de la société de dératisation LogisSain Services. À la différence de l'automne 2008, nous faisons face à un été indien. Et l'hiver dernier a été très rigoureux, ce qui n'est pas bon du tout pour les souris. »
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Dératisateurs débordés


Quoi qu'il en soit, l'automne 2009 semble être un bon cru pour les souris lilloises. Et peut-être un peu aussi pour les professionnels chargés de les traquer. Difficile d'en harponner un au téléphone, tant ils sont déjà déployés chez les nombreux habitants qui les sollicitent. « Pour ce qui est des secteurs, plusieurs sont concernés, souligne Laurent Jaeck. Le problème se pose notamment dans les quartiers où les restaurants sont nombreux, mais également dans les zones beaucoup plus résidentielles. » Comme d'autres parasites, les souris sont attirées par les reliefs de nourriture. Mais d'autres « ingrédients » sont propices à leur développement. « Lorsque les propriétaires renouvellent des constructions, ils utilisent de plus en plus de plaques de plâtre, reprend Jaeck. Cette matière régale les rongeurs. Les souris s'installent souvent derrière ces parois où elles prolifèrent. Nous, professionnels, intervenons de plus en plus souvent dans les murs. Et ce n'est pas simple... » • L. B.

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/10/14/693649-Bareges-Ce-petit-rat-qui-fait-de-gros-degats.html

La chasse au rat taupier a été bonne ce jeudi, dans les prés de Transarrious, en vallée de Barèges. Audrey Kuzminski achève de relever ses pièges. Plusieurs campagnols terrestres se sont fait pincer par le piège-pince, le plus couramment utilisé. On le place sur le trajet des galeries, en laissant une ouverture à l'arrière. Le campagnol, curieux par nature, est ainsi piégé.
Depuis 10 ans, le rat taupier pullule dans toute la vallée de Barèges, de Tournaboup à Luz, en passant par Viella, Betpouey, et les autres villages du pays Toy. « En pays Toy, les prés de fauche subissent de plein fouet les conséquences de la prolifération du rongeur : destruction du système racinaire des végétaux, présence de nombreuses mottes de terre… Ces impacts visibles entraînent, d'une part, une gêne lors de la fauche et, d'autre part, une réduction quantitative et qualitative du fourrage récolté. Or, les prairies de fauche tiennent un rôle primordial dans les systèmes d'exploitation agricole de la vallée. Par ailleurs, elles constituent un réservoir de biodiversité et participent à la qualité paysagère de notre territoire de montagne », explique Audrey Kuzminski.
Aussi, face aux dégâts colossaux générés par le « quatre dents », un programme de lutte - piloté par la chambre d'agriculture des Hautes-Pyrénées - a été mis en place par le Groupement de défense contre les organismes nuisibles (GDON) de Luz, présidé par Denis Laporte.
Lutte sélective


Une « Saint-Barthélemy sélective » du rat taupier a été décrétée avec l'accord du Parc national des Pyrénées. On n'empoisonne pas, mais on piège cet animal un peu plus gros qu'une taupe. Dans le cadre de son programme d'aide aux prairies de fauche, le PNP finance l'opération. Les éleveurs ont piégé au printemps. D'avril à juin, ils ont éradiqué plus de 1. 000 rats. De juin à fin octobre, les éleveurs ont reçu le renfort d'Audrey Kuzminski, animatrice locale du dispositif de lutte et piégeuse, et de Guillaume Broueil-Nogué, piégeur. « Il s'agit notamment de stopper la progression du rat taupier avant qu'il s'impose sur le secteur de Gavarnie-Gèdre », explique Audrey Kuzminski.
Une femelle peut avoir jusqu'à six portées de 4 à 5 petits par an. Songez qu'en une année, à partir d'un seul couple, on peut avoir 150 spécimens. Le renard, l'hermine, le putois et les rapaces - les principaux prédateurs du rat taupier - ont aussi du pain sur la planche.

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On dit que kiki est tout rikiki… Mais non. C’est un lapin nain ! Il n’est plus très jeune, puisqu’il a 11 ans. Il vit à Nancy et sort peu de sa cage. Seulement quelques escapades sur le carrelage… Ses propriétaires l’emmènent quelquefois chez le vétérinaire et il ne part pas en vacances avec eux… C’est leur fille qui s’en occupe pendant ce temps là ! Lire la suite l'article Photos/Vidéos liées Il sauve son lapin nain avec une paille! On sait qu’il ne boit que de l’eau minérale des Vosges et que de temps en temps le véto lui lime les dents et qu’une manucure s’occupe de ses griffes ! Quoi d’autre ? Il pèse moins d’un kilo et ressemble à une boule noire avec un museau blanc ! Il ne mange pas beaucoup et commence à se faire vieux ! Sa longévité est exceptionnelle puisqu’un lapin nain vit en moyenne cinq ans ! Il a été acheté 80 Francs, dans une animalerie d’Essey… Son maître croit qu’il est heureux et qu’il donne donc du bonheur ! Il est bien soigné et son état de santé est suivi sur un carnet. Mais le 12 octobre 2009, rien ne va plus, son propriétaire l’entend crier… Il se lève et va le voir. Il le trouve allongé dans sa cage et ne bougeant plus ! Son cœur ne bat plus… Alors son maître ne fait ni une ni deux… Il n’a aucune notion de secourisme… et pratique un massage cardiaque sur son lapin ! Il appelle son épouse à l’aide… Il a une idée lumineuse ! Il prend une paille pour apporter un peu d’oxygène à l’animal, en introduisant la paille 2 cm dans sa bouche… Et après cinq minutes, c’est comme un miracle ! Kiki se met à bouger ! On le pose au sol… Il fait le tour de la table et regagne la cage, comme s’il ne s’était rien passé, selon le journal l’Est Républicain. Il semble ne pas souffrir et les propriétaires ne peuvent retenir quelques larmes… Très gâté, kiki a droit de temps en temps à un carré de chocolat au lait… Et, depuis cet épisode, ses propriétaires ont quand même déménagé la cage avec le lapin dans leur chambre

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New York, États-Unis - Un avion sur le point de décoller pour l'Angleterre a dû renoncer à prendre son envol après qu'une souris a été aperçue à l'intérieur de l'appareil.



Ce sont plus de 300 passagers qui se sont vu contraints de quitter l'avion après que le pilote a refusé de décoller car une souris se trouvait à bord. "Nous pensions qu'il s'agissait d'une plaisanterie mais le pilote a demandé à tous de quitter l'appareil" raconte un passager. Le passager clandestin, bien qu'à première vue inoffensif, aurait cependant pu causer d'importants dommages s'il avait rongé certains câbles de l'appareil pendant le vol. Les passagers ont dû attendre 3 heures avant de pouvoir décoller dans un avion de remplacement.



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Aix-la-Chappelle, Allemagne - Avertie par les voisins, la police a évacué un appartement dont le propriétaire avait disparu, laissant 300 cochons d'Inde derrière lui.



La police est intervenue suite à des plaintes émanant des habitants de l'immeuble : une odeur fétide venait d'un appartement. Les officiers y ont ainsi découvert près de 300 cochons d'Inde, enfermés et occupant toutes les pièces. Dans certaines chambres du logement, 10 centimètres d'excréments jonchaient le sol.
Les animaux ont été abandonnés là, tandis que leur propriétaire a disparu. Les 300 rongeurs ont été emmenés dans un refuge pour animaux.

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Hertfordshire, Grande-Bretagne - Ces rares clichés ont été pris par un étudiant, Casey Gutteridge, alors qu'il essayait de prendre des photos d'un léopard pour un cours. On peut y voir un petit rat gris manger la viande destinée à un léopard, à deux pas de celui-ci.



Un rat gris âgé d'environ 3 mois a été aperçu dans l'enclos d'un léopard au Santago Rare Leopard Project. Il s'est dirigé vers la nourriture destinée au félin. Le rat a attrapé un bout de viande crue puis a commencé à le grignoter, sous l'oeil attentif de Sheena, un léopard âgé de 12 ans. Probablement intriguée et amusée, Sheena s'est baissée pour renifler le rongeur qui a interrompu son repas un léger instant, pas plus effrayé que ça. Le léopard a ensuite fait demi-tour, laissant le rat gris continuer à faire bombance. D'après un expert, le rongeur serait jeune et "inexpérimenté" , comme le laissent supposer ses grandes pattes et ses grandes oreilles. Cela pourrait expliquer la témérité du petit animal.Pour voir les images : http://www.zigonet.com/zoo/decouvrez-les-surprenantes-images-d-039-un-leopard-et-d-039-un-rat-gris-qui-partagent-leur-repas_art8695.html

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France - Des chercheurs ont découvert une spécificité bien particulière, chez les femelles d'une espèce de souris naines d'Afrique. Celles-ci possèdent des chromosomes sexuels XY, lesquels correspondent en principe au génome des mâles.


Chez les mammifères, le sexe de l'individu est déterminé par les chromosomes sexuels : XX pour les femelles, XY pour les mâles. Cependant, des individus dérogent parfois à la règle : on parle alors de déterminisme sexuel atypique. Sept types sont connus des scientifiques, principalement chez les rongeurs. Chez les humains, on rencontre le syndrome de Turner, caractérisé par une monogamie des chromosomes sexuels (X0), les "superfemelles" dotées de trois chromosomes X, de même que les "supermâles" avec une trisomie XYY, ou encore le syndrome de Klinefelter (trisomie XXY). Ces différences chromosomiques ont des conséquences plus ou moins graves, notamment la stérilité ou des malformations physiques, qui peuvent toutefois être souvent traitées grâce à des traitements hormonaux.Une équipe française dirigée par Frédéric Veyrunes, chercheur CNRS à l'Institut des sciences de l'évolution de Montpellier, a découvert une nouvelle particularité de la différenciation sexuelle chez les souris naines femelles d'Afrique. Celles-ci possèdent des chromosomes sexuels XY. En principe, c'est le chromosome Y qui détermine le sexe de l'individu grâce au gène SRY, responsable de la différenciation des gonades en testicules par le biais de la protéine TDF. En l'absence de ce gène, les gonades deviennent ovaires. 74 à 100% de ces souris femelles, appartenant à l'espèce Mus minutoides, sont équipées de chromosomes sexuels XY, toutes sont fertiles. Chez ces souris, ce n'est plus le gène SRY qui détermine le sexe, mais "une mutation entraînant une réversion du sexe" sur le chromosome X. Les mécanismes entraînant ce type d'anomalies sont très peu connus, et cette découverte devrait permettre de mieux appréhender les processus du déterminisme sexuel chez les mammi... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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http://www.lematin.ch/actu/monde/cochon-inde-solution-contre-penurie-alimentaire-239485

Nombre d’organisations humanitaires n’ont pas trouvé de solution à des années de crise alimentaire au Congo-Kinshasa, mais un institut colombien a proposé une idée originale, inspirée de traditions alimentaires sud-américaines: manger du cochon d’Inde.


Considéré en Occident comme un animal de compagnie, ce petit rongeur pourrait fournir aux villages déchirés par les conflits une «source de protéines et de micro-nutriments dans un pays qui connaît un des plus forts taux de malnutrition au monde», avance l’institut de recherche agricole colombien, le Centre international pour l’agriculture tropicale (CIAT), qui mène un projet en ce sens sur le terrain.
On ignore quand et comment le cochon d’Inde originaire d’Amérique du Sud est arrivé au Congo-Kinshasa, mais les chercheurs du CIAT ont découvert l’an dernier certains de ces rongeurs, élevés comme «micro-bétail» dans les provinces du Nord-Kivu et Sud-Kivu, frontalières avec l’Ouganda, le Rwanda et le Burundi, dans cet Est congolais en plein chaos depuis le génocide rwandais de 1994.
«Petit, facile à cacher, le cochon d’Inde est adapté aux zones de conflit, où l’extrême pauvreté et l’anarchie entraînent le pillage régulier du bétail», souligne le CIAT.

Le petit animal à fourrure présente d’autres qualités: il peut finir les restes et nécessite un faible investissement par rapport à d’autres types de bétail. Elément encore plus crucial, il se reproduit rapidement, la femelle pouvant donner naissance à des portées multiples, soit un total de 10 à 15 petits chaque année.

«Il a moins de maladies que le porc, le poulet ou le lapin et, en cas d’épidémie, son taux de reproduction élevé signifie que la population se renouvelle vite», selon le CIAT.

Le cochon d’Inde est consommé dans plusieurs pays d’Amérique du Sud, en particulier au Pérou où on l’appelle «cuy». La chair de ce rongeur est comparé à la viande de poulet et au lapin. Par contre, le cochon d’Inde est rare dans les foyers congolais, contrairement au poulet, à la chèvre et aux autres animaux domestiques habituels.

Les chercheurs du CIAT étudient les moyens d’accroître le cheptel de cochons d’Inde à travers un projet financé par le gouvernement allemand, qui concernait en premier lieu le porc et la volaille. Ce projet a été élargi au cochon d’Inde, avec des expériences en cours dans quatre villages du Sud-Kivu, afin de trouver des moyens d’améliorer la quantité et la qualité de la viande.

«Aucun des scientifiques n’avait envisagé le cochon d’Inde comme une solution au (Congo) quand le projet a démarré», a expliqué Michael Peters du CIAT. «Maintenant, il pourrait bien y devenir indispensable».

En cliquant sur le lien, vous aurez les commentaires en bas de la page...

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STRASBOURG, 18 mars 2010 (AFP) - Le maire d'une petite ville du Bas-Rhin a fait part jeudi de sa colère après que les défenseurs du grand hamster d'Alsace eurent déposé un recours contre un projet de zone d'activité dans sa commune, nouvel épisode d'une polémique récurrente autour de cette espèce menacée.

"Je suis très remonté, je le vis très mal", a confié Etienne Wolf, maire (UMP) de Brumath, qui a organisé une conférence de presse pour exprimer son mécontentement. "Alors qu'aujourd'hui tout le monde parle de la crise, que nous avons la possibilité de créer 2.000 à 3.000 emplois, on nous bloque parce que soi-disant les terrains seraient favorables au hamster!"

L'élu, qui est également président de la communauté de communes de Brumath, réagissait à un recours annoncé jeudi par cinq associations écologistes, au nom de la défense du grand hamster, contre un projet de construction d'une zone économique de 120 hectares près de Brumath.

Ce rongeur, qui fait partie des mammifères les plus menacés d'extinction en Europe, vaut à la France d'être poursuivie devant la Cour européenne de justice pour n'avoir pas suffisamment pris de mesure pour protéger son habitat naturel.

L'animal est devenu tellement rare qu'à Brumath ses défenseurs n'ont pas pu attester la présence d'un seul individu sur les 120 ha de terrain agricole concernés appelé à devenir une zone d'activité.

Mais sur cette superficie, "20 hectares sont considérés comme favorables au hamster, et pour enrayer sa disparition, les pouvoirs publics doivent absolument protéger ces terrains", a expliqué à l'AFP Maurice Wintz, le président d'Alsace nature, une des associations ayant déposé le recours au tribunal administratif.

"Nous ne sommes pas contre la zone économique dans son principe, nous n'avons pas déclaré la guerre, nous disons simplement que les pouvoirs publics doivent faire attention à cette question, et éventuellement prévoir des mesures compensatoires pour le hamster", a-t-il ajouté


Face aux passions autour du hamster, la secrétaire d'Etat à l'Environnement Chantal Jouanno avait dû annuler à deux reprises, fin 2009, un déplacement en Alsace, par crainte d'un accueil houleux des agriculteurs qui renâclent face aux mesures favorables au rongeur. Elle les avait reçus plus tard à Paris.

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Les étudiants d'une université du Népal auront à attendre leurs résultats d'examens, et même probablement à les repasser. On leur a expliqué que les rats avaient mangé un certain nombre de leurs copies.

Des centaines de copies d'examen anonymisées de l'Université de Tribhuvan ont été remises en mains propres à la police de Katmandou, afin d'être conservées en sécurité à l'hôtel de police. Malheureusement pour les étudiants, les papiers ont été placés dans une pièce infestée de rats et un certain nombre de copies a été détruite.

"Les examens se sont déroulés il y a deux mois et demi.", explique l'inspecteur de police Ram Prakash Chaudhary, "Nous avons conservé les feuilles dans une chambre sécurisée. Mais il y a quelques jours nous avons découvert que certaines d'entre elles avaient été mangées par des rats".

La police a alors prévenu les représentants de l'université, qui sont venus chercher les copies. Selon le Rising Nepal Newspaper, les copies d'examen auraient été stockées dans un bâtiment comportant des fuites dans certains tuyaux d'arrivée d'eau.

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WASHINGTON, 21 mai 2010 (AFP) - Rat, souris ou campagnol? Le débat faisait rage vendredi à la Maison Blanche sur l'identité du rongeur qui s'est furtivement invité lors d'une allocution du président Barack Obama.> Immortalisée par l'objectif d'un photographe, la scène a fait réagir vendredi matin M. Gibbs, qui l'a relayée sur sa messagerie Twitter, et le sujet est revenu sur la table lors du point de presse quotidien de la Maison Blanche, des journalistes évoquant une souris ou un campagnol.

"D'où je viens, on appelle ça un rat, et il faut le traiter comme tel", a insisté M. Gibbs, en révélant avoir mis M. Obama au courant de la présence de ce rongeur dans la roseraie.

Selon lui, le président n'est pas préoccupé outre mesure par la présence de ce voisin. "C'est plutôt un bon endroit pour s'installer", a dit le porte-parole, à propos de ce jardin mitoyen du Bureau ovale.

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Finlande - Une souris ou plutôt une tête de souris aurait été découverte dans un sac de légumes surgelés en Finlande. Une découverte suffisante pour que le système d'alerte rapide européen pour les denrées alimentaires se saisisse de l'affaire.

Ainsi, l'AFP explique que d'après le RASFF, les légumes avaient été conditionnés en Belgique, avant que la tête de souris ne soit découverte. Cela avait alors déclenché l'alerte suivante : "Souris morte dans des légumes pour wok surgelés en provenance de Belgique". Malheureusement, ce n'était pas la première fois qu'un rongeur était découvert puisque l'Agence France Presse rappelle qu'en 2008, ce sont plusieurs rongeurs qui avaient été découverts à Malte, dans des sacs de légumes également conditionnés en Belgique. Le secrétaire de la Fédération de la transformation belge de fruits et légumes admet sans sourciller qu'en effet, des souris peuvent se retrouver dans des sacs de légumes. Pour autant il explique à l'agence Belga : "Mais tous les pays ne les signalent pas car le risque pour la sécurité alimentaire n'est pas très important". Et d'ajouter qu'il est "impossible techniquement de l'éviter. Et puisque ce morceau [de souris, ndlr] est également surgelé, il ne peut pas pourrir".

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9 semaines de prison pour un hamster au micro-ondes(22/09/2010)


©️ AP
"Je ne voulais pas le tuer. C'était le meilleur hamster que j'ai jamais eu, elle s'appelait Suzie", a-t-il expliqué devant la cour

LONDRES Un Britanique a été condamné mercredi à neuf semaines de prison par un tribunal du nord-est de l'Angleterre pour avoir tué son hamster en le faisant cuire au micro-ondes. Anthony Parker, 29 ans, a reconnu avoir placé l'animal dans le four au cours d'une dispute avec sa fiancée alors qu'il était ivre.
"Je ne voulais pas le tuer. C'était le meilleur hamster que j'ai jamais eu, elle s'appelait Suzie", a-t-il expliqué devant la cour.

Affirmant dans un premier temps ne plus se souvenir des faits, l'ouvrier du bâtiment au chômage de Hartlepool a ensuite plaidé coupable d'avoir causé des souffrances inutiles au hamster en le faisant cuire au micro-ondes, provoquant sa mort.

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http://www.ladepeche.fr/article/2010/09/29/916304-Agen-Un-rat-bloque-l-ascenseur-depuis-une-semaine.html

Agen. Un rat bloque l'ascenseur depuis une semaine

Voilà dix jours que Simone et Louis Sincholle, un couple d'octogénaires, de la cité de La Salève, à Agen, se retrouve coincé dans l'appartement qu'ils occupent au 3e étage de l'immeuble, lui en fauteuil roulant, elle également interdite d'escalier, suite à un gros problème au genou. La raison de cet enfermement forcé est une panne d'ascenseur suffisamment grave pour que les services d'Agen-Habitat, gestionnaire de ces logements, fassent appel à une société de contrôle de sécurité indépendante et repoussent le délai qui avait été initialement annoncé pour sa réparation. C'est un rat, « de la taille d'un chat », happé par la poulie de traction, qui a fait dérailler l'ascenseur. « Le risque était présent d'un grave accident », a expliqué Hervé Bonnet, responsable d'antenne à l'office HLM, qui annonce une remise en marche pour jeudi ou vendredi, « en tout cas avant le week-end ». En attendant, cela fait dix jours que Simone et Louis, comme leurs compagnons d'infortune du bâtiment 207, n'ont toujours pas été « libérés ».

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C'est un rongeur, un cousin des rats, l'un des plus gros d'entre eux. Le Crycétomis Gambianus est un géant qui vit dans les forêts et la savane africaine. J'élève un orphelin depuis deux semaines.

Dites bonjour à Toto, mon rat géant qui aime se faire caresser Agrandir la photo Ce matin-là, un agent des eaux et forêts sonne à ma porte. Il tient à la main un sac blanc en toile légère. Je devine une forme à l'intérieur, un petit animal qui bouge et respire. Quand j'ouvre le sac, je découvre un bébé rat de Gambie.

Cette scène est habituelle à la maison, car l'habitude a été prise de m'apporter tous les animaux orphelins qui sont découverts dans le pays. Il s'agit souvent d'antilopes, d'agoutis, de genettes, de civettes, de mangoustes etc...mais c'est la première fois qu'on m'apporte un rat géant.

Le rat de Gambie, n'est pas un rat à proprement parler malgré son aspect physique, mais il s'agit plutôt d'un gros rongeur, cousin des rats. Le mâle pèse adulte 2kg et la femelle 1,4 kg. Il mesure 45 centimètres et mange des graines et des fruits, même si, opportuniste, il peut devenir omnivore.

L'animal que j'ai recueilli est un jeune mâle d'environ 3 mois. Il est timide et apeuré. Quand j'approche ma main, il se met à claquer fortement des mâchoires et à gonfler ses bajoues. Il tente de m'effrayer.

Comme chaque fois que je reçois un animal, je commence par le nourrir. Souvent ils ont séjourné longtemps dans une cage sans rien avoir à se mettre sous la dent. Je prends délicatement le rat de Gambie dans ma main et... il me mord.

Heureusement, ce jeune animal ne fait que me pincer. Adulte, avec la puissance de sa mâchoire et la longueur de ses dents, il m'aurait transpercé la main. Je lui tends des croquettes pour chat sur lesquelles il se jette, remplissant ses bajoues de façon comique.

Mes enfants craquent immédiatement pour le petit orphelin. Chaque jour, ils le prennent pour le cajoler et jouer avec et l'on prénommé TOTO car au Togo, on appelle cette espèce le Rat Toto ( j'ignore pourquoi ).

Toto est vite devenu familier et ne mord plus personne. ... Lire la suite sur LePost.fr

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Castres. Les rats se baladent dans les escaliers

http://www.ladepeche.fr/article/2010/10/28/937054-Castres-Les-rats-se-baladent-dans-les-escaliers.html


Chaque jour, des mères de familles locataires d'immeubles du Petit-Train croisent des rats dans les cages d'escalier./Photo DDM, S. F. Elles les surprennent grimpant les rampes métalliques des escaliers, se faufilant dans les fissures de certaines cloisons, près des portes donnant accès aux caves… « Les rats sont chez eux ici ! » s'exclame cette jeune maman, locataire de l'immeuble C de l'avenue Albert-1er. Depuis mai et juin, le phénomène s'accentue dans des immeubles C et D de l'Office public de l'habitat, dans ceux situés aussi rue du Petit-Train (n. 14, 16 ou encore 18). « Quand tout est calme, surtout après 22 h 30, ils montent parfois jusqu'au4e étage, témoigne une autre locataire. En sortant ses poubelles, mon voisin a essayé d'en faire fuir un avec un balai, la bête n'avait même pas peur ! Je laisse parfois la poussette de mon enfant sur le palier, le soir, et l'autre matin, quand j'ai ouvert ma porte, un rat était dedans ! Cela n'est plus possible. »

Dératisation insuffisante
La présence des bestioles a été signalée auprès de l'organisme de l'habitat il y a un mois, lequel assurait, selon une maman, qu'une campagne de dératisation avait été menée : « Cela n'est pas suffisant, ajoute cette quadragénaire. Nous sommes plusieurs désormais à interpeller l'office ou sa permanence, mais les rats sont toujours là, ils rongent même nos paillassons. Par principe, par mesure de précaution aussi, nous voudrions être au courant des actions de dératisation car les produits qui sont utilisés peuvent nuire à la santé de nos enfants ou de nos animaux domestiques ! » Lundi après-midi, une dizaine de locataires se sont retrouvées au pied d'un immeuble pour exprimer leur ras-le-bol : « Pendant des années, nous nous sommes battus contre la présence de blattes et nous vivons avec quand même. Aujourd'hui, on se bat contre les rats et on ne veut pas vivre avec ! Ceux qui sont vus dans l'immeuble D, là-bas, sont énormes et n'ont pas peur des hommes. La situation devient urgente. » Selon les services de l'Office public de l'habitat, la dératisation fait l'objet d'un marché auprès d'une entreprise spécialisée, laquelle établit un programme et intervient de façon régulière sur toute la ville : « Le 7 octobre, elle a mené une opération sur l'ensemble de la cité du Petit-Train. Puis nos agents ont fait une visite des sous-sols, où ils ont enlevé quelques rats. Suite aux récentes réclamations que nous venons de recevoir, l'entreprise va être à nouveau contactée, tandis que des traitements extérieurs vont être réalisés par les services municipaux dans quelques jours. »

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Plusieurs scientifiques de l'université d'Harvard sont parvenus à inverser le processus de vieillissement de souris. Il ne s'agit pas d'un ralentissement de la vieillesse, mais bien d'organes âgés qui se sont régénérés.



L'expérience rappelle l'histoire de Benjamin Button, ce héros d'une nouvelle de F. Scott Fitzgerald adaptée au cinéma, qui naît vieillard et passe sa vie à rajeunir. Pour les souris de laboratoire de plusieurs scientifiques d'Harvard, ce processus de vieillissement à l'envers vient de devenir réalité. En modifiant certains de leurs gènes, les organes des souris, âgées, se sont régénérés de manière spectaculaire. Certains neurones se seraient même rétablis. Pour parvenir à ces résultats les chercheurs ont élevé un groupe de souris dépourvues d'une enzyme appelée télomérase, enzyme qui permet de conserver la longueur du chromosome en ajoutant une structure spécifique à chaque extrémité : le télomère. Son amenuisement est lié au processus de vieillissement. Sans cette enzyme, donc, les souris ont vieilli rapidement. Mais lorsqu'elles ont été réactivées sur ces mêmes souris, leurs organes se sont régénérés de façon substantielle. Les scientifiques d'Harvard semblent penser que ces recherches pourront être utiles pour l'avenir de l'homme, mais d'autres chercheurs en sont moins sûrs. L'activation de la télomérase ne peut pas être directement appliquée à l'homme, chez qui cette enzyme disparaît à l'âge adulte, car elle pourrait augmenter les risques de cancers. Cela est dû au fait que l'absence de télomérase aide à contrôler le développement des cellules. Cependant, les auteurs de cette recherche n'ont pour le moment observé aucun cancer chez leurs souris. L'équipe de scientifiques veut maintenant savoir si la durée de vie de ces souris va augmenter ou bien si elles vivront simplement en bien meilleure santé.

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Un couple britannique a réservé une pièce de leur maison à des locataires bien particulier : des rats !







Alors que la plupart des gens font tout pour ne pas avoir de rats chez eux, Kevin et Kate Rattray, deux Britanniques, vivent actuellement avec 28 rongeurs dans leur maison ! "Ce sont des animaux fantastiques", a déclaré Mme Rattray, âgée de 31 ans, qui possède des rats depuis l'université, et qui a souhaité une pièce de sa maison leur soit destinée. Cette dernière explique d'ailleurs à la version britannique de Metro les relations qu'elle et son mari ont avec ces étranges animaux de compagnie : "Ils sont très intelligents et interactifs. Ils viennent nous saluer quand nous partons au travail, nous les laissons sortir pour jouer. Ils ont chacun leur personnalité, et nous prenons du plaisir à passer du temps avec." Pourtant, lorsque les deux amoureux ont emménagé ensemble en 2006, Kevin n'était pas très amateur des rongeurs. Mais il s'est finalement laissé convaincre, et ne peut aujourd'hui plus s'en passer. Même leurs invités sont conquis par cette présence si particulière.

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LUXEMBOURG, 20 jan 2011 (AFP) - La France a manqué à ses obligations pour la protection du Grand Hamster d'Alsace, un rongeur en voie de disparition qui vaut au pays d'être poursuivie devant la Cour de Justice européenne (CEJ), a estimé jeudi l'avocat général de ce tribunal.> L'avis de l'avocat général de la Cour n'est pas contraignant mais, dans 80% des affaires, les juges de Luxembourg vont dans le même sens que lui quand ils rendent leur arrêt. Si le tribunal suit ses recommandations, la France risque d'être condamnée à une lourde amende.

La Commission européenne a saisi la Cour de justice pour manquement à une loi européenne sur la protection des espèces protégées

Selon Bruxelles, la France n'a pas, comme l'exige la loi européenne, pris toutes les mesures nécessaires pour instaurer un système de protection stricte de ce mammifère dans son aire de répartition naturelle qu'est l'Alsace, en interdisant la détérioration ou la destruction des sites de reproduction ou des aires de repos.

La France est accusée d'inertie alors que le Grand Hamster, protégé depuis 1993, fait partie des mammifères les plus menacés d'Europe.

Selon la Commission, le nombre de terriers (chaque terrier correspondant à un animal) de Grands Hamsters recensés est passé de 1.167 en 2001 à un chiffre variant entre 161 et 174 en 2007. Leur seuil de viabilité est fixé à 1.500, affirment des associations de défense des animaux.

La disparition de la luzerne -aliment favori du hamster- au profit du maïs qui recouvre aujourd'hui plus de 80% de la plaine d'Alsace explique, avec l'extension de l'urbanisation et des infrastructures routières, la raréfaction du hamster.

Le Bas-Rhin est le seul département français où le Grand hamster (Cricetus cricetus) est encore présent, notamment autour de Strasbourg

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http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Villeneuve_d_Ascq/actualite/Secteur_Villeneuve_d_Ascq/2011/02/23/article_au-triolo-les-habitants-d-un-immeuble-en.shtml

Le locataire ouvre le local poubelle. Aussitôt on voit le bout d'une longue queue se faufiler sous des panneaux de bois condamnant une porte. ... C'est un rat suivi quelques secondes plus tard par un de ses congénères. Ils sont bien gras, mais pourtant bien véloces. Au sol, un troisième spécimen, mais lui ne fera plus de mal à personne, il est mort. Depuis plusieurs mois, les habitants d'une résidence située allée Taine, dans le quartier du Triolo, subissent cette invasion, mais sans résignation. L'homme d'entretien les connaît bien, lui qui s'est fait mordre deux fois, à la jambe et au bras. « Maintenant, il est obligé de sortir les poubelles avec un balai parce qu'ils sont dans les containers », explique ce locataire. Il faut dire que les sacs poubelles amoncelés dans le local aux côtés des containers n'offrent pas beaucoup de résistance aux dents des rongeurs. Des rongeurs qui prennent leurs aises jusque dans les étages. « Ils sont là depuis un an, ils pullulent, ils grossissent. Ils réussissent à monter dans les cloisons, à l'extérieur, ils rongent le bois , témoigne Fatia qui, à l'appui de ses propos, montre une vidéo filmée à partir de son téléphone portable. Mon appartement est situé au-dessus du local poubelle, je ne peux plus ouvrir mes fenêtres. C'est insensé, il y a des enfants, c'est une question d'hygiène, un office HLM ne peut pas laisser faire ça. « Je suis allée voir récemment le responsable du logement à la mairie, explique Tania, une autre locataire. Il a adressé un mail au bailleur, la SRCJ, en lui précisant de faire le nécessaire pour éviter la prolifération des rats. La représentante du bailleur est passée lundi, et on attend. La mairie m'a dit que si rien n'était fait d'ici la fin de la semaine, il fallait que j'y retourne pour trouver une solution à ce problème. » Les habitants craignent aussi que les trous et les galeries creusées par les rongeurs ne fragilisent l'immeuble. Une habitante avoue que la SRCJ est souvent aux abonnés absents. Nous non plus n'avons pas réussi à joindre, hier, le bailleur social.

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Le pizzaiolo Nikolas Galiatsatos a été arrêté pour avoir déposé des souris dans les restaurants de ses principaux concurrents.


Lundi, un pizzaiolo de Pennsylvanie a été pris la main dans le sac... de souris. Nikolas Galiatsatos, âgé de 47 ans, a en effet été arrêté pour s'être introduit dans les toilettes des restaurants concurrents de son enseigne pour y déposer un sac rempli de rongeurs. L'homme a eu cette idée car sa propre pizzeria connaissait les mêmes problèmes. Le méfait a été repéré au restaurant Verona Pizza, où le propriétaire a remarqué des traces de chaussures sur la lunette des WC et un panneau du plafond déplacé. En regardant de plus près, il y a trouvé un sac. Craignant que le contenu du sac ne lui cause des problème avec la justice, il a donc fait appel à la police pour venir l'examiner... et découvrir trois souris Nikolas Galiatsatos a ensuite été vu près des poubelles d'un autre restaurant. Cette fois-ci, c'est un sac contenant dix souris qui a été retrouvé. Michael Chitwood, le chef de la police locale, a qualifié cet acte de "terrorisme alimentaire à l'aide de souris". Il rappelle que son service n'a "jamais connu de fait pareil, où des souris sont utilisées comme l'instrument du crime".

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< RIO DE JANEIRO, 18 mars 2011 (AFP) - Un nouveau rongeur de 30 cm de long qui vit au sommet des arbres, a été découvert récemment dans la forêt altantique, l'un des écosystèmes les plus dévastés du Brésil, rapporte vendredi le quotidien Folha de Sao Paulo.> "Un mystère évolutif plane sur ce rongeur car l'espèce la plus proche de lui vit dans une vallée aride des Andes péruviennes", a déclaré le chercheur qui a décrit cette nouvelle espèce dans la revue scientifique "Zoological journal of Linnean Society".

"Le fait que les deux espèces appartiennent à des groupes typiques de régions montagneuses explique peut-être leur ressemblance", a précisé le biologiste.

On sait encore peu de choses du nouveau rongeur: la paume des pattes et l'espace entre les doigts par exemple possèdent des "coussinets" qui aident l'animal à manipuler avec plus de sensibilité les branches d'arbre sur lesquelles il se pend.

Il est encore trop tôt pour dire si cette espèce est menacée de disparition, selon le scientifique.

La forêt atlantique, une forêt tropicale humide qui recouvrait 15% de tout le territoire du Brésil à sa découverte en 1500, a déjà disparu à près de 93%.


cdo/ml/juv tf

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Les naturalistes observent actuellement, en Australie, une migration importante et inhabituelle du rat à long poils vers l'intérieur des terres : une conséquence de plusieurs années successives de pluies importantes, selon eux.


Une migration massive de rats est en cours dans les déserts intérieurs de l'Australie, après une série de saisons de fortes précipitations, selon les scientifiques. Le rat à longs poils (Rattus villosissimus), qui vit habituellement dans le Territoire du Nord et dans l'ouest du Queensland, a été repéré pour la première fois en 25 ans à Alice Springs, une région normalement trop aride pour l'espèce. "C'est assez inhabituel dans le monde des rongeurs, mais cette espèce est unique en ce sens et elle est assez célèbre pour ses migrations. La seule extension de territoire similaire chez un rongeur ne se voit probablement que chez les lemmings, dans l'hémisphère nord. Il n'existe rien d'autre, en Australie, qui se répande sur une zone aussi grande", explique Peter McDonald, chercheur et spécialiste de la biodiversité locale, selon qui il s'agit "d'un grand événement", lié à une succession de saisons des pluies très marquées, mais probablement provisoire.

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Les adresses de Monsieur Hamster : Ces jours-ci s’achève le comptage annuel des terriers de grand hamster. En attendant les résultats définitifs de ce drôle de recensement, prévus pour juillet, premier constat : dans ses 25 communes de résidence en Alsace, M. Hamster n’a guère déménagé. En tout cas, pas sans laisser d’adresse.

Publié le 28/04/2011

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