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pacemaker91

L'actualité des équidés

Messages recommandés

Thomas, un étudiant en Histoire, qui habite Puylausic (Gers), a prévu de fêter ses 20 ans à Berlin, le 9 novembre prochain, jour anniversaire de la chute du Mur raconte La Dépêche.



Particularité : il voyage avec son âne Phébus… Au programme, 20 à 30 km par jour en suivant les frontières de l’ancien rideau de fer… C’est une époque qu’il n’a pas connue mais qu’il a étudiée à la fac… C’était même pendant les grèves… En étudiant la question, il a fini par rêver d’aller voir sur place… Il est parti de Trieste, au Nord de l’Italie, où il s’était rendu avec son âne qu’il a transporté dans un van.
Ce qui l’intéresse, c’est surtout les voyages, confie-t-il à La Dépêche, mais il a choisi un mode de locomotion (la marche à pied à côté d’un âne…) qui ne semble plus d’actualité de nos jours! Pourtant, ne croyez pas que ce fut facile… Il a dû apprendre à marcher à côté de son âne Phébus et apprendre à équilibrer sa charge (on n’ose pas imaginer, si l’âne s’arrête et décide de ne plus avancer…) Mais, il s’est déjà entrainé. Une fois, il a longé le Canal du Midi pendant 18 jours… Il a aussi fait le chemin de Saint Jacques de Compostelle, l’année dernière, en faisant un détour par le port de Corogne.
Au cours de son périple, il fait des rencontres et découvre des pays de l’Europe qu’il ne connaissait que dans les livres ! Il a été également surpris par la générosité des gens qui l’accueillaient. Au retour, c’est dans un livre qu’il révèlera ce que fut son voyage…
Mais déjà, il dialogue avec des élèves des écoles du Gers et raconte son aventure sur son blog : ICI

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Prince est un cheval qui s’est complètement embourbé dans un ruisseau, mercredi à Meyrié (isère)!



Vers 18 heures 30, deux jeunes chasseurs le découvrent dans cette situation et donnent aussitôt l’alerte. Il est en danger, sa température est tombée à 34° raconte Le Dauphiné.
Un agriculteur arrive sur les lieux avec son tracteur et demande l’aide des pompiers qui se rendent rapidement sur place… Mais ceux-ci ont vraiment du mal à sortir l’animal du piège. Deux membres de la ferme équestre du Mas viennent alors prêter main forte avec un van… mais impossible de l’y faire monter!
Finalement, soutenu par des sangles et attaché à la fourche du chargeur du tracteur, on parvient à le tirer et à le conduire jusqu’à la ferme… Les pompiers le soutiennent sur les côtés…
Prince était avec d’autres chevaux dans un pré et aurait franchi un ruisseau, en dépit de barbelés… et à cause de la boue, il n’a pas pu aller très loin!
C’est un cheval qui a 17 ans et voué à la réforme par son ancien propriétaire. Mais il va peut-être s’en sortir grâce à Annie qui l’a racheté récemment…
Il semblerait que dans la Ferme du Mas, où il se trouve maintenant, il reprenne des forces!

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Angleterre - La championne d'équitation Gillian Higgins a trouvé un moyen original pour les étudiants vétérinaires d'étudier l'anatomie du cheval : elle peint les os et les muscles de l'espèce sur son propre animal.



Finis les croquis de squelettes ou les diagrammes poussiéreux. Désormais, les futurs vétérinaires pourront assimiler plus facilement les 205 os et 700 muscles du cheval grâce à la méthode de Gillian Higgins. Elle a eu l'idée de peindre sur son cheval l'anatomie de la bête.
La cavalière utilise des peintures hypoallergéniques à base d'eau qui sont faciles à nettoyer. Du squelette jusqu'à la musculature du cheval, 4 heures sont nécessaires pour dessiner son anatomie.
Vétérinaires, entraîneurs de chevaux de course, juges de dressage, membres de clubs hippiques, tous affluent aux conférences de la jeune femme pour voir son cheval en action. "J'essaie de montrer l'anatomie du cheval et comment ses muscles fonctionnent avec une méthode intéressante et facile à comprendre", affirme Gillian Higgins.
Et sa méthode rencontre un gros succès. « J'ai commencé progressivement avec un peu de peinture, mais je suis devenue de plus en plus demandée, explique-t-elle. Maintenant je vais partout, des Cornouailles à Inverness et je m'envole bientôt en Afrique du Sud pour une démonstration ».
Pour le moment, Gillian a deux modèles : Freddie Fox, 12 ans et Henry, 6 ans. « Freddie Fox est le meilleur modèle car il a bon caractère et aime être le centre des attentions lors des démonstrations », confie la cavalière. Découvrez les images : http://www.maxisciences.com/cheval/des-chevaux-peints-transformes-en-modeles-anatomiques-vivants_art4200.html

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/10/29/704191-Saint-Martin-Curton-Chevaux-maltraites-ca-continue.html


Après la mort d'un des chevaux saisis au mois de mars pour maltraitance.


C'est un peu « retour à l'envoyeur » que joue aujourd'hui Aurélien Lafargue, le président du syndicat des éleveurs anglo-arabes et des chevaux de sport de Lot-et-Garonne vis-à-vis de la fondation Brigitte Bardot. Sous l'insistance de cette dernière, relayée par la DDSV (direction départementale des services vétérinaires), 17 chevaux avaient été saisis, par arrêté préfectoral en mars dernier, à un éleveur de Saint-Martin-Curton pour mauvais traitements. Les chevaux avaient été confiés à la fondation et parqués dans un centre en Gironde tenu secret. À cette époque, le président des éleveurs avait proposé une solution pour encadrer l'éleveur de Saint-Martin-Curton en jugeant que ce qui lui était reproché n'était pas justifié.
Une perte inestimable


Dès le mois d'avril suivant, et après avoir découvert le lieu où étaient détenus les chevaux saisis, Aurélien Lafargue donnait l'alerte, suite à un constat d'huissier de justice faisant état des mauvaises conditions de détention et d'hébergement, des mélanges de sexes, des mélanges de générations impliquant des problèmes de nutrition.
Aujourd'hui il écrit au préfet Lionel Beffre et au procureur de la République de Marmande suite à la mort d'Ultra White du Lys, une pouliche qui, après s'être fracturée et luxée l'épaule antérieure droite du fait d'une sous-alimentation évidente, avait dû être euthanasiée. Pour le propriétaire de l'animal, qui a déposé plainte contre X pour maltraitance et mauvais traitements, la perte d'Ultra White du Lys est inestimable sur le plan financier et moral, explique Aurélien Lafargue. La pouliche était la dernière femelle descendante de robe blanche de la souche de Mont Blanc. « Je remets en cause, encore une fois, les compétences de l'organisme auquel ces chevaux ont été confiés autoritairement par les services de l'État à l'encontre des recommandations de la profession », écrit Aurélien Lafargue au préfet et au procureur de la République.Le président des éleveurs demande expressément aux services de l'État qu'« une issue à cette affaire soit trouvée dans les plus brefs délais avant qu'un nouveau drame ne se produise ».
Il conclut : « Par le refus de dévoiler le lieu de détention des équidés et en maintenant ces chevaux stationnés dans ce centre depuis plus de sept mois, l'État se rend ainsi complice de maltraitance à animaux. »

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Je transmets :

Par LN Verdier - Publié dans : Informations générales - Communauté : Défense Des Animaux :

EXTREMADURA .... Ou quand certains maires occultent la maltraitance



Encore et toujours l'Extremadura et cette fois c'est une pauvre ânesse qui en paiera les frais et ce pratiquement au même moment que la grande manifestation qui a réuni quelques 1000 personnes autour de la Vice Présidente de la Junta et ce pour dire BASTA-ASSEZ à la maltraitance animale impunie en Extremadura

Une douzaine, ils seront une douzaine d'adolescents de 17 ans à s'en prendre après cette pauvre anesse lui faisant subir les pires atrocités .... ça c'est passé à Torreorgaz , ça se passe dans toute l'Extremadura
Des jeunes alcoolisés par une nuit de débauche et qui au petit matin laisseront cette pauvre anesse pour morte tuée à coups de poings, de pieds et ampalée avec un morceau de bois jusqu'à lui exploser le ventre.
Une tradition en Espagne où les jeunes ados de 17 ans sortent toutes les nuits de chaque jeudi du mois et ce de octobre à décembre où notamment ils vont "voler" des coqs dans les fermes, les cachant et les cuisinant le jour de Noel durant une fête qui met un terme à cette tradition jusqu'à l'année suivante où elle sera à nouveau perpétrée par les nouveaux "17 ans"

C'est un voisin qui alertera la propriétaire et bien que l'anesse était encore en vie, elle moura dans la demie heure qui suivra. Elle sera transportée juqu'à un local municipal en attendant que le Seprona intervienne pour l'enquête. Dans un premier temps la mairesse reconnaîtra les faits de maltraitance sur un animal au demeurant protégé car en voie d'extinction

Cette anesse était enfermée et les jeunes ont donc forcé le local où elle était pour la mener en un lieu où ils l'attacheront avant de lui faire subir l'horreur
Les propriétaires de l'anesse déposeront une plainte et ce malgré les pressions exercées par les parents des adolescents, des adolescents qui seront interpellés dans leur collège pour venir déposer dans les locaux de la police. Les jeunes nieront, déclareront avoir trouvé l'anesse déjà en piteux état et s'être contentés de l'attacher mais qu'en aucun cas ils ne l'ont maltraitée

Une partie de la population et certaines autorités se diront scandalisées par de tels faits, remettant en question l'utilité de cette tradition qui chaque année cause des problèmes
L'autre partie de la population ira jusqu'à faire pression sur la propriétaire de l'anesse pour que la presse ne fasse pas de photos et une autorité municipale soutenu par la mairesse elle-même se joindra à ce mouvement de désinformation pour ne pas dire pire.

.......

Les dernières informations laissent supposer que non seulement la mairesse de ce village a refusé à la presse de prendre des photos mais que également le cadavre de l'anesse aurait disparu .... brûlé? ... ce qui constituerait en soi une entrave à l'enquête mais il est vrai que nous sommes en Extremadura .... la bien-nommée

Une plainte sera déposée par la FEPAEX

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et voici des échantillons d'atrocités sur les animaux, ça se passe en Espagne mais merci de ne pas faire de commentaires désobligeants, en France aussi nous avons des barbares


En Espagne, il y a annuellement plus de trois mille "fiestas" au cours desquelles les gens se divertissent à torturer et à tuer des animaux. Voici quelques exemples:

Janvier

Manganeses Polverosa (Castille-Léon). Une chèvre vivante est jetée du haut du campanile de l'église,

Février
Villanueva de la Vera (Extrémadure).Un petit âne chevauché par l'homme
le plus gros du village traverse la localité entouré par une foule en
délire qui le frappe sauvagement.

Mars
Salas de los Infantes (Castille-Léon).Des poulets et des dindons sont
tués à coups de bâton par des jeunes gens dont les yeux sont bandés, au
milieu des hurlements de la foule déchaînée.

Avril

Tordesillas (Castille-Léon).Un taureau est poursuivi et massacré à
coups de lance par une centaine de cavaliers.En prime, la "lance d'or"
est attribuée à qui réussit à plaquer l'animal au sol et à lui couper
les testicules alors que le taureau est encore vivant et conscient.

Mai

Benavente (Zamora). Plusieurs taureaux sont étranglés à petit feu au
moyen d'une corde attachée à leur cou et tirée par un groupe de 300
hommes.

Juin
Coria (Caceres). La foule poursuit des taureaux à travers les rues du
village, en leur lançant des fléchettes, tout en visant les yeux.
Lorsque les animaux s'affaissent, ils sont castrés, mutilés et
poignardés à mort.

Juillet

Carpio del Tajo (Castilla de la Mancha). Des cavaliers coupent la tête
à des oies vivantes suspendues à une corde tendue à travers la Place du
Marché.

Août
San Sebastian de los Reyes (Madrid). Des nains torturent et mutilent
durant des heures entières plusieurs veaux et bouvillons. Lorsque
finalement ceux-ci tombent à terre agonisants, les nains dansent sur
leurs corps.

Septembre
Ciruelas Cifuentes (Madrid).De jeunes vaches sont poursuivies et ensuite écrasées par des tracteurs.

Octobre
Fuenlabrade (Madrid). Quatre animaux (taureaux ou vaches) sont frappés,
poignardés, blessés à l'aide de toutes sortes d'instruments par la
foule,et finissent par mourir exsangues.

Novembre
Igea (La Rioja). L'on brise les membres à des veaux qui sont ensuite jetés dans le vide du haut d'une plate-forme.

Décembre
Notilla del Palencar (Cuenca). Au cours d'un spectacle, des poules sont lapidées à mort.

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Cambridgeshire, Angleterre - Immortalisés dans leur milieu naturel par le photographe Geoff Robinson, deux étalons sauvages en pleine démonstration de force ont donné naissance à des clichés surprenants.



Les deux animaux sont des konik, de petits chevaux d'origine polonaise ("kon" signifie d'ailleurs "cheval" en polonais). Réputés pour leur rusticité, leur résistance et le fait qu'ils vivent quasiment comme des animaux sauvages, ils sont de parfaits auxiliaires pour la gestion écologique et participent aujourd'hui à l'entretien de nombreux espaces naturels.Les deux étalons photographiés par Geoff Robinson présentent la robe caractéristique de l'espèce, proche de celle des chevaux préhistoriques dont ils descendent. Ils ont été immortalisés au milieu des marais de Wicken Fen, dans le Cambridgeshire.
"Tous les chevaux se battraient comme ça s'ils le pouvaient, mais les propriétaires d'étalons les gardent séparés. Avec les chevaux domestiques, ce genre de comportement est contrôlé et on ne l'observe que rarement. C'est surprenant de pouvoir observer deux étalons se battre de la sorte en Angleterre !" s'est enthousiasmé Carol Laidlow, responsable des pâturages de la réserve de Wicken Fen. Voir les images : http://www.maxisciences.com/cheval/deux-chevaux-sauvages-photographies-en-plein-combat_art4544.html

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Astaffort, Lot-et-Garonne, il y a cinq pur sang abandonnés… On sait seulement qu’ils appartenaient à un homme des E.A.U. (Emirats Arabes Unis), indique Le Courrier Picard.



Il y a peu de temps, ils étaient encore dans un enclos non entretenu, puis ils ont fini par s’échapper et divaguer près du bourg où ils ont causé des dégâts à des cultures et à des véhicules…
Le propriétaire, un emirati, possédait également un domaine de 25 hectares et un harras et il avait demandé le permis de construire une grande villa de 400 m² (ce qui n’a pas été réalisé)…
Mais le maire explique au Courrier Picard qu’il n’a plus eu de nouvelles de cet homme depuis des mois et que la personne qui devait s’occuper des chevaux les a abandonnés aussi.
En fait les chevaux n’étaient que trois au début, puis de poulains sont nés ensuite et ils sont restés sauvages.
La commune s’est donc vue obligée d’assumer l’entretien des pur sang et leurs problèmes, mais elle souhaite maintenant récupérer les frais qu’elle a engagé. Elle a donc obtenu dans ce but, l’autorisation de la justice de procéder à une vente aux enchères de ces pur-sang arabes et il parait que la mairie a déjà reçu beaucoup d’appels d’acheteurs potentiels.
Selon le Maire ce serait la deuxième fois qu’un ressortissant des Emirats Arabes Unis abandonne son domaine à Astaffort…
(Source le Courrier Picard)

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http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/vivant/20091106.OBS7067/le_genome_du_cheval_decode.html



La jument Twilight. [Image ©️ Science/AAAS]

Une belle jument répondant au joli nom de Twilight a donné son ADN à la science et permis à un consortium international de chercheurs de séquencer le génome du cheval domestique, compagnon de l’espèce humaine depuis plus de 5.000 ans.

Plus petit que celui de l’Homme ou de la vache mais plus grand que celui du chien, le génome d’Equus caballus contient 32 paires de chromosomes. Cet ADN a subi peu de bouleversements, soulignent les chercheurs dans la revue Science publiée aujourd’hui. Pour plus de la moitié de ces chromosomes, les gènes sont disposés dans le même ordre que sur les chromosomes humains. Dans le cas du chien, cet ordre n’était conservé que pour un chromosome sur trois.

Une petite surprise attendait les généticiens sur le chromosome 11 du cheval: un centromère fonctionnel et pourtant immature, comme figé en cours de développement. Cette région centrale qui relie les quatre bras du chromosome (l’intersection du X si on représente ainsi le chromosome) joue un rôle important dans la distribution du matériel génétique aux cellules-filles lors de la division cellulaire. Le centromère contient des séquences répétées d’ADN. Or, sur le chromosome 11 du cheval, le centromère est en dépourvu, suggérant qu’il précède dans le temps les séquences répétées.

D’un point de vue historique, ce séquençage indique que les chevaux ont été domestiqués à partir d’un nombre réduit de mâles mais d’un nombre important de femelles.

Une bonne partie des recherches vont désormais se concentrer sur les maladies génétiques héréditaires qui affectent les chevaux et qui sont, pour plus de 90 d’entre elles, similaires à des maladies humaines.

C.D.
Sciences-et-Avenir.com
06/11/09

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Les ostéopathes équins ont le vent en poupe. Sollicités par les propriétaires de chevaux de course, ils agissent tantôt à titre préventif, tantôt dans un but thérapeutique. Dans l'ensemble, l'ostéopathie animale suscite l'intérêt, mais sa pratique est-elle toujours sérieuse... et efficace ?



Outre la médecine vétérinaire traditionnelle, des disciplines telles que l'homéopathie ou l'acupuncture se développent. Si bien qu'aujourd'hui, près de 200 vétérinaires en France se revendiquent ostéopathes. Dans le même temps, de nombreux ostéopathes qui ne sont pas docteurs en médecine vétérinaire ont acquis pignon sur rue. Ils sont, aux yeux de l'Ordre national des Vétérinaires, « coupables d'exercice illégal de la médecine vétérinaire »
En réalité, il n'existe à ce jour aucun diplôme officiel en la matière. Un vétérinaire peut se déclarer ostéopathe animalier du jour au lendemain, sans formation particulière. Et tout ostéopathe peut s'ouvrir à l'ostéopathie vétérinaire sans formation médicale. Pas très rassurant
Pour aider les maîtres à s'y retrouver, un annuaire des praticiens est accessible en ligne sur Internet. Mais votre vétérinaire naturellement, saura vous orienter.
Des indications nombreuses Comme chez l'homme, les motifs de consultation concernent souvent des troubles musculo-squelettiques : claudication, douleurs lombaires, troubles de la propulsion, problèmes cervicaux et naturellement pour les chevaux de course, le manque de résultats sportifs. L'ostéopathie ne guérit ni les maladies infectieuses, ni les maladies génétiques ou dégénératives.
Tous les vertébrés sont concernés : les mammifères - chevaux, chiens et chats, ruminants - mais également les oiseaux et mêmes les reptiles. Ces derniers, qui répondent souvent mal aux traitements médicamenteux, peuvent tirer de l'ostéopathie un bénéfice particulier. Les tarifs sont libres. Ils varient en fonction du temps passé et de l'animal traité. Comptez au moins 40 euros par séance pour un chien ou un chat, et... Lire la suite sur DestinationSante.com

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/01/727182-Agen-Pas-de-vente-aux-encheres-des-chevaux-avant-debut-2010.html

Depuis 15 jours, et la publication dans ces colonnes de « l'affaire des chevaux de l'émir », c'est la ruée vers Astaffort (lire notre édition du 18 novembre). Le petit village est en effet sous le feu de l'actualité médiatique régionale et nationale depuis que cinq pur-sang anglo-arabes, échappés du haras appartenant à un émir, ont été pris en charge par la municipalité. Les chevaux avaient sauté l'enclos en début d'année, occasionnant des dégâts dans les semis alentours, abîmant la voiture d'un voisin et se montrant dangereux à force de galoper du côté de la route nationale. Aidée par un voisin qui fournit l'électricité nécessaire à la clôture, et par une autre voisine Catherine Ghys, qui prend en charge les bêtes, la mairie d'Astaffort se retrouve au volant d'une cinq chevaux et à la tête d'une facture qui galope. Montant estimé des frais engagés à ce jour : « Entre 10 000 € et 15 000 €».
Dernier épisode en date, le passage du maire André Garros au JT de TF1, dimanche soir, qui méritait bien en effet d'être dans le journal de Claire Chazal, la-la-la-la-la… France Inter, RTL, M6, Le Figaro, la presse spécialisée dans les équidés, les amateurs, professionnels et amoureux du cheval, tous visitent et assaillent de coups de téléphone la mairie d'Astaffort devenue, comme la gare de Perpignan pour Dali, une sorte de centre du monde.
Adieu l'émir…


« Le standard a failli sauter », confiait hier André Garros, qui a plusieurs fers au feu, entre son mandat de maire, l'orge des chevaux et les sollicitations des médias. Cet après-midi, il coiffera sa caquette de guide pour cornaquer une poignée de visiteurs désireux de voir les futurs cracks avant de bourse délier. Car, le but de la mairie, ce n'est certes pas la mort du petit cheval, mais de s'en débarrasser quand même. La justice ayant autorisé le maire à vendre, une vente aux enchères aura lieu. Et même s'il s'agit de chevaux pour l'instant l'histoire ne sent pas l'écurie. À la suite de la parution de l'article dans nos colonnes, l'ambassade des Émirats Arabes Unis avait contacté le maire pour lui demander de surseoir à la vente. C'était lundi dernier. Mardi, les émiratis rappelaient pour préciser que, finalement, l'émir Al Qama n'était « pas le propriétaire des chevaux » et que la vente pouvait avoir lieu. Adieu, l'émir…
Mais la course entamée en début d'année par le maire et son village ressemble de plus en plus à un concours d'obstacles : « On pensait l'organiser à la mi-décembre mais les analyses génétiques confirmant la filiation des pouliches prendrait au moins deux mois », regrettait hier André Garros. Il faut dire que le papa des petits chevaux serait un certain «Dormane», étalon reconnu dans le Landernau équestre et dont la moindre saillie vaut 4 500€. Alors le prix d'un rejeton…

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source : www.lepost.fr



Weedy est un cheval âgé, qui vit à Contes (Alpes-Maritimes). Il a 30 ans et a eu récemment un AVC. Depuis, il est en partie paralysé à l’arrière train…

Vendredi matin, on ne le trouve plus… Les voisins sont partis à sa recherche, indique Nice Matin. Ils le voient au fond d’un vallon empêtré dans des broussailles… Il a dû perdre ses appuis sur un terrain boueux et glisser trente mètres plus bas. Il se retrouve là maintenant piégé… Incapable de s’en sortir…



Les pompiers arrivent… Mais la pente est trop raide pour qu’ils envisagent de lui faire remonter. Donc, ils commencent par lui apporter de la paille et de l’eau, raconte Nice Matin.





Puis le propriétaire pense même un moment faire appel à un hélico privé…

Samedi, d’autres pompiers spécialisés dans les risques et les catastrophes, ainsi qu’un vétérinaire viennent prêter main forte pour essayer de tirer Weedy de là…



A l’aide de tronçonneuses et de débroussailleuses, ils parviennent à dégager un chemin dans les broussailles.

Enfin, à 11 heures, le cheval avance et parvient à rejoindre son enclos en boitant un peu… Il est tiré d’affaire et n’est pas blessé!



Les témoins de la scène s’exclament : « On a sauvé Weedy ! »…

Un appel a tout de même été lancé pour savoir qui accepterait maintenant de prendre en charge ce cheval dans un lieu mieux adapté…

(Source: Nice Matin)

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Colorado, États-Unis - Deux ânes disparaissent d'une crèche vivante la veille de Noël. Un membre de l'équipe du shérif est mobilisé pour les retrouver.



Cette année, comme tous les ans, le pasteur Rob Wilson organise une crèche vivante à l'entrée de son église. En prévision de l'événement, on a placé deux ânes dans un enclos dont ils se sont échappés.C'est un membre de la paroisse qui s'est aperçu de leur absence, mercredi matin. Il a aussitôt averti le shérif. L'homme et l'adjoint du shérif ont suivi les empreintes et ont retrouvé les deux bêtes, à proximité d'une voie ferrée. Elles sont en bonne santé.

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Clacton-on-Sea, Royaume-Uni - Les tours à dos d'âne traditionnels ont été interdits dans une station balnéaire à cause du risque que les animaux blessent les touristes. Jayne Johns a commencé à proposer des tours d'ânes à Clacton-on-Sea l'année dernière, mais a dû renoncer après que la municipalité a fait pression au motif qu'il est trop dangereux de faire marcher les ânes sur une plage animée.

La municipalité a alors proposé à Mme Johns d'utiliser une bande de sable à un kilomètre de la jetée, l'endroit le plus populaire de la ville. Cette dernière a admis sa défaite et a annoncé que ses quatre ânes - Tom, Rupert, Barney et Joseph - ne seraient plus sur la plage de Clacton cet été. Mme Johns dit : "C'est une grande honte mais il semble que nous ayons été battus par des règles de sécurité. Il n'y a aucun moyen pour moi de continuer mon activité sur le site que la municipalité a choisi pour moi. C'est à quinze minutes de la plage principale et personne ne se rend là-bas. C'est si triste pour les jeunes qui viennent à Clacton, ils ont aimé l'expérience et il y avait toujours des sourires sur les visages de leurs parents et grands-parents qui pouvaient se rappeler les tours d'âne". Le porte-parole du Conseil général Tendring Nigel Brown rétorque : "La plage principale a été bondée de monde à beaucoup d'occasions l'été dernier et si on permet aux ânes de faire des tours cette année encore, cela pourrait entraîner des conflits. Nous étions heureux de pouvoir trouver une solution, mais il fallait trouver un endroit approprié".

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Montréjeau. Les chevaux empoisonnés au datura


Katia Gordo est triste, elle a de la peine à raconter son histoire, deux de ses chevaux sont morts suite à l'absorption de datura contenu dans de l'aliment pour les chevaux. Depuis l'âge de 15 ans, elle possède des chevaux. Il y a une dizaine d'années elle a acheté une fermette chemin des Champs à Montréjeau où elle élève ses chevaux. Actuellement elle n'en a plus que quatre.

Depuis début janvier, ce petit élevage amateur a bien des soucis. Le vétérinaire s'est déplacé à plusieurs reprises et a constaté que les animaux avaient des coliques. Sur ses recommandations, Katia a dû conduire deux juments à la clinique pour chevaux de Grenade. Pendant ce temps, une jument restée à la ferme est morte. Le vétérinaire a conclu que ces coliques étaient provoquées par l'alimentation. Aussitôt, Katia a pris contact avec le céréalier qui aurait confirmé que le maïs concassé contenait du datura, mais en faible quantité. Les analyses de l'école vétérinaire de Toulouse confirment la présence de cette plante hautement toxique. L'aliment analysé contient 44,5 gr de datura au kilo, alors que la loi tolère 1 gr au kilo.

« Hier, j'ai dû faire euthanasier l'étalon de mon petit élevage, raconte Katia Gordo. Suite à cet empoisonnement, il a développé la maladie du sabot aux quatre pattes, appelée la fourbure. Depuis un mois et demi, je me battais pour le sauver. Mon avocate m'a dit qu'elle allait déposer plainte auprès du procureur de la République. »

Depuis le 24 janvier qu'elle a été informée que l'aliment était contaminé, elle a arrêté d'en donner à ses animaux. Maintenant que le mal est fait, elle pense à ceux qui l'ont aidé dans cette épreuve comme le professeur de maréchalerie de Gourdan Polignan qui est venu pratiquer les soins. En effet, la fourbure du cheval atteint les sabots, les soins sont pratiqués par le maréchal-ferrant. Une note d'espoir, les juments qui ont été hospitalisées doivent mettre bas prochainement. Les poulains auront-il souffert de l'empoisonnement de leur mère ?

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GAIA révèle l'agonie des chevaux de boucherie sud-américains destinés aux consommateurs belges


Des sociétés de viande chevaline sont responsables de graves négligences et maltraitances de dizaines de milliers de chevaux abattus en Amérique du Sud. Des sociétés belges, propriétaires d'abattoirs de chevaux en Amérique du Sud et qui vendent de la viande chevaline aux supermarchés en Belgique, entretiennent ces pratiques révoltantes.

C'est ce qu'il ressort d'une nouvelle enquête de l'organisation de défense des animaux GAIA. Lors d'une conférence de presse à Bruxelles, GAIA a présenté aujourd'hui un film sur les conditions dans lesquelles les chevaux sont transportés et abattus, tourné par une équipe spéciale à l'automne 2009 au Mexique et au Brésil.

Les images montrent comment chaque année, des milliers de chevaux maigres jusqu'à l'os, extrêmement déshydratés et affamés, entassés pendant des jours dans des camions surchargés, sont transportés sans être nourris ni abreuvés sur des distances de plus de 2500 km vers les abattoirs mexicains et brésiliens. De nombreux animaux sont transportés depuis les Etats-Unis vers le Mexique. On assène à des chevaux décharnés et très affaiblis des chocs électriques pour les obliger à rester debout. Des chevaux gravement blessés et maltraités sont aussi transportés depuis des marchés aux bestiaux vers les abattoirs, dans des bétaillères inadaptées au transport de chevaux.

La législation mexicaine et brésilienne en matière de bien-être animal n'existe que sur le papier et les abattoirs agréés pour l'exportation de viande chevaline vers l'UE bafouent de façon flagrante la loi européenne en matière de protection des animaux destinés à l'abattage. GAIA en appelle aux consommateurs pour qu'ils cessent de consommer de la viande chevaline provenant de chevaux abattus en Amérique du Sud, et demande aux supermarchés belges de renoncer à la vente de viande chevaline sud-américaine.

Le film de GAIA montre comment, dans un abattoir mexicain, on traîne par les pattes un cheval qui ne peut plus se tenir debout. Dans les abattoirs brésiliens les chevaux arrivent décharnés, déshydratés et affamés après un calvaire de plusieurs jours dans des camions bondés. Certains chevaux y périssent avant même d'être abattus. Le porte-parole d'un abattoir de chevaux brésilien qui entretient des relations commerciales avec un importateur belge a confirmé aux enquêteurs de GAIA que de nombreux chevaux arrivent dans un état de déshydratation avancé. Il a avoué qu'en l'espace d'une semaine, 48 chevaux étaient morts dans les enclos. Des animaux grièvement blessés sont aussi abattus, ainsi que des chevaux qui n'ont plus que la peau sur les os, pour en faire de la nourriture pour chiens.

La plupart des chevaux abattus au Mexique proviennent de tous les Etats-Unis et sont transportés depuis le Texas vers les abattoirs mexicains dans des camions à étage. De tels camions sont pourtant interdits au Mexique. Au Texas, chaque année des milliers de chevaux sont rassemblés à un endroit qui est la propriété de BelTex, une filiale de la société de viande chevaline belge Multimeat. De nombreux animaux y périssent, sans aucun abri contre les chaleurs extrêmes et la pluie. Les images de ce lieu de rassemblement montrent des animaux crevés, des cadavres en décomposition, des carcasses et des os de chevaux. Ces images soulèvent de graves questions quant à l'importance qu'accorde Multimeat non seulement au bien-être animal, mais aussi à l'hygiène.

Des sociétés de viande chevaline belges telles Velda, Multimeat, Chevideco et Equinox possèdent des abattoirs de chevaux en Amérique du Sud ou font des affaires avec eux. En 2005, près de 20 000 tonnes de viande chevaline (sud)américaine a été importée en Belgique. Autant d'animaux qui subissent un calvaire insoutenable pour les intérêts commerciaux de ces sociétés. Cette viande est destinée au consommateur belge mais est également réexportée vers d'autres pays de l'UE.

"Ces sociétés belges portent une responsabilité écrasante," selon Michel Vandenbosch. "Elles se prétendent les porte-drapeaux du bien-être animal, et présentent la viande des chevaux sud-américains comme étant de qualité supérieure, et allèguent que les animaux mèneraient une vie de luxe sans souffrance, profiteraient de la liberté dans des prés, recevraient une nourriture abondante et seraient admirablement soignés. Mais la réalité est dramatiquement différente de ces descriptions idylliques. Ces sociétés sont complices des sévices insupportables dont sont l'objet des dizaines de milliers de chevaux sud-américains, car elles entretiennent des pratiques honteuses."

On trouve dans les rayons des supermarchés belges de la viande chevaline d'Amérique du Sud. Aussi longtemps que la viande chevaline d'Amérique du Sud sera achetée et vendue, les pratiques indignes révélées par l'enquête de GAIA plus haut perdureront. C'est pourquoi GAIA demande aux supermarchés de cesser de vendre de la viande chevaline provenant d'Amérique du Sud. GAIA demande une concertation avec les chaînes de supermarché concernées. Elles aussi doivent prendre leurs responsabilités, estime l'organisation de défense des animaux: "Il se peut que les supermarchés vendent la viande chevaline d'Amérique du Sud en toute bonne foi, ignorant la souffrance animale engendrée," explique Michel Vandenbosch. "Il se peut que leurs fournisseurs les trompent à ce sujet - bien qu'on pourrait tout de même attendre d'une chaîne de supermarchés qu'elle exige de solides garanties en matière de bien-être et de santé animale. Mais dès qu'elles apprendront la vérité sur la situation, elles devront en tirer leurs conclusions. Cette sorte de viande peut difficilement être recommandée au consommateur comme une viande de qualité. »

Garantir que les animaux sont bien traités dans des pays comme le Mexique et le Brésil n'est pas possible dans la pratique. Le consommateur n'a pas les moyens de vérifier lui-même les conditions de vie et d'abattage des animaux. Dans ces conditions, GAIA lance un appel au public, afin qu'il renonce à la viande chevaline d'Amérique du Sud.

(Les résultats de cette enquête menée sous couverture ont également été révélées aujourd'hui en France par One Voice et aux Pays-Bas par Wakker Dier. L'enquête inclut des archives tournées en 2007, 2008 et 2009 par Animals Angels et qui témoignent de la récurrence des problèmes)

Source : GAIA

2010-04-13 19:59:00

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Chevaux : voyage au bout de l’enfer au brésil et au mexique


Quelle existence pour les chevaux en fin de vie dans les vastes espaces du Mexique et du Brésil ? La faim, les blessures, la maltraitance et, au bout, la mort indigne. C’est ce que révèle l’enquête réalisée par One Voice, Gaia et Wakker Dier, avec les images rapportées de ces pays, premiers fournisseurs de viande chevaline de l’Europe.

Aujourd’hui encore, le cheval est symbole de liberté. Sa noblesse, son indépendance, son courage sont admirés. De compagnon de l’homme de labeur et de labours, il est devenu au fil du temps un compagnon de vie pour nombre d’humains. Pourtant, en France, on continue à le manger. L’Hexagone est en effet le 2ème importateur de viande de cheval au monde, après la Belgique. Le Brésil et le Mexique étant leurs principaux fournisseurs.

Mais que sait-on du sort de ces animaux qui finissent dans les assiettes des Européens ? Il y a quelques temps, One Voice avait déjà révélé l’enfer des marchés de chevaux en France. Et avec les images des conditions de transport dans les pays de l’Est, nous pensions avoir vu le pire. Mais nos images tournées au Brésil et au Mexique, entre novembre 2009 et janvier 2010, montrent à quel point en matière de brutalité et de cruauté on est bien loin d’avoir tout vu.

Dans ces pays, les chevaux dits « inutiles », blessés ou trop vieux pour servir, sont traités sans le moindre égard, comme une vulgaire masse de viande dénuée de sensibilité et d’intelligence. Au Brésil, dans des enclos au sol de poussière, les chevaux n’ont que quelques touffes d’herbes desséchées à manger. Leur décharnement, les os saillants sous leur robe marquée des stigmates de leurs blessures, anciennes ou plus récentes, traduisent le manque de nourriture et de soins.

Ces animaux destinés à l’abattoir ne connaissent aucun répit dans la souffrance. Lorsque le jour arrive de quitter l’enclos, ils sont entassés à coup d’électrodes dans des camions dépourvus du strict minimum pour assurer un chargement et un transport décents. En surnombre, les chevaux les plus faibles finissent blessés sous les pattes de ceux qui ont encore un peu d’énergie pour rester debout. Au Mexique, antichambre de la tuerie des chevaux américains -l’abattage étant interdit aux Etats-Unis depuis 2007- les animaux, souvent des Mustang, parcourent des kilomètres, pendant des heures, sans eau ni nourriture, dans des camions à double étage. Ce qui est illégal.

Au bout du voyage, la mort sera loin d’être la délivrance que ces animaux seraient en droit d’attendre. Aucune règle n’est respectée pour donner la mort avec un tant soit peu de respect. Les abattoirs sont des lieux rudimentaires où les animaux attendent parfois pendant des heures dans des enclos nus, ouverts aux quatre vents. Au Brésil, le choc électrique entre les deux yeux entraîne rarement la mort. Les animaux agonisent pendant de longs moments avant qu’un boucher ne finisse le travail. Archaïsme aussi au Mexique où le cheval est saigné d’un coup de couteau derrière la tête, dans la colonne vertébrale, pour le paralyser. Il se vide de son sang alors qu’il est encore vivant. Et, toujours en vie, ses pattes sont sciées… Une mort cruelle et indigne.

Avec ces images, parfois révoltantes et toujours intolérables, One Voice entend alerter l’opinion publique sur le sort réservé aux chevaux que beaucoup considèrent aujourd’hui comme des animaux de compagnie. L’association se bat pour que l’hippophagie soit enfin abolie en France. Aussi, elle milite pour que le cheval obtienne le statut « d’animal de compagnie » tout comme le chien ou le chat. Elle invite chacun à soutenir la proposition de loi du député Lionnel Luca, déposée à l’Assemblée nationale le 24 janvier dernier, qui demande le changement de classification des équidés « d’animal de rente » en « animal de vie ».

Source : OneVoice

2010-04-13 19:56:00

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Devon, Royaume-Uni - Une jument brune a donné naissance à un poney avec un pelage à pois noirs sur blanc.

Le petit cheval, né à Wembury Point, non loin de Plymouth, est né il y a une semaine et porte le nom de Spotty ("tacheté").

Spotty est né d'une mère à la robe chocolat et affiche pourtant un poil blanc tacheté de noir tel un Dalmatien. Il s'agit en réalité d'un British Spotted Pony, né d'un père également tacheté. Cette race de cheval, comme l'indique son nom, désigne des animaux portant des taches mais leur pelage se décline en plusieurs couleurs. Ainsi Spotty est un "snowflake", un "flocon de neige".

Dans l'Ancienne Angleterre, ces taches étaient un camouflage pour les poneys qui parcouraient les forêts. On retrouve des illustrations comportant ces animaux sur des peintures datant de l'âge de pierre et sur d'anciens manuscrits.

Environ 170 animaux de cette espèce naissent chaque année au Royaume-Uni.Visionnez les photos de Spotty :
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Einstein, cheval de 35 centimètres de haut, est né il y a tout juste quelques jours aux États-Unis. Sa petite taille en fait actuellement le plus petit cheval du monde.


Einstein est un étalon de 35 centimètres, pesant 2,7 kg, qui fait la fierté de ses propriétaires, Charles Cantrell et Rachel Wagner. Né à Barnstead dans le New Hampshire aux États-Unis, le 22 avril 2010, le cheval serait le plus petit du monde. Après quelques frictions, Einstein est en bonne santé. "De la tête aux pieds - la taille, la largeur, le poids -, tout est juste magnifique chez ce petit cheval", explique Charlie Cantrell.

Rencontrez Einstein à travers cette vidéo :
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Dimanche après-midi, plusieurs témoins ont assisté à une scène particulièrement impressionnante, à Gouaux de Luchon, dans la Haute-Garonne.

Dans La Dépêche, le propriétaire du poulain témoigne :

« J’étais venu voir une jument que je viens d’acheter quand j’ai aperçu les vautours autour du poulain, nè il y a à peine quatre jours. Ils le piquaient par derrière, le pauvre se débattait, c’était insoutenable ».

Patrick, avec des amis s’est approché de l’animal.

Les vautours se sont envolés.

« J’ai voulu relever le poulain, il m’a donné un coup de sabot en se retournant. Il était mourant, ils lui avaient arraché un œil », confie le propriétaire du poulain, encore sous le coup de l’émotion.

Qui ajoute :

« C’est une scène que je ne voudrais plus revoir, c’était horrible ».

Le maire de Gouaux de Luchon, confie que depuis deux ou trois ans, les vautours se sont installés sur les terres de la commune :

« Avant ils partaient, plus maintenant. Ils sont de plus en plus nombreux. C’est la première fois qu’une telle attaque se déroule dans le village » explique Bernard Lacqua.

Et le premier magistrat de se demander :

« Que se passerait-il si nous avions un randonneur blessé dans la montagne ? »

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MARSEILLE, 26 mai 2010 (AFP) - Un habitant de Saint-Rémy-de-Provence (Bouches-du-Rhône) a été condamné mercredi à 5 mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Tarascon pour mauvais traitement au poney dont il était propriétaire, a-t-on appris auprès de la SPA.> "Le tribunal a voulu montrer à l'auteur le caractère inacceptable des faits de maltraitance et de cruauté" auquel il s'est livré, a-t-il poursuivi, précisant que le propriétaire du poney n'avait pas fait appel.

L'été dernier, il avait laissé l'animal attaché à une haie de cyprès sans soins et sans nourriture, pendant plusieurs semaines. A force de gratter la terre à la recherche de pitance, les sabots du poney s'étaient retournés dans ses chairs.

Alertés par des habitants qui avait fini par découvrir la situation de l'animal, les gendarmes l'avaient pris en charge avant de la confier à la Société protectrice des animaux des Baux-de-Provence.

Malgré deux mois de soins dans un centre spécialisé du Vaucluse, Ultima Terra, le cheval était mort.

Outre les cinq mois de prison avec sursis, le tribunal a infligé au propriétaire 600 euros d'amende et 2.500 euros de remboursement de soins vétérinaires. Il devra en outre verser 600 euros à la SPA et la même somme à Ultima Terra.

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Kilomètre 44 de l'autoroute A36 ce mercredi matin, 9 heures "entre Montbéliard et Belfort en direction de Mulhouse". L'Est Républicain annonce que des chevaux galopent par groupes de 5 sur le bitume!

Les animaux se sont échappés d'un centre hippique. Un des chevaux, pris de panique, s'est blessé sur une barrière de sécurité et s'est retrouvé coincé.

Résultat, des bouchons se sont formés, la circulation a été coupée dans les deux sens.

L'histoire s'est bien achevée à 11 heures, les chevaux sont rentrés chez eux après l'intervention des pompiers, des gendarmes, et d'ouvriers de la SNCF travaillant sur la Ligne à Grande Vitesse...

Aucun accident n'a été signalé pour le moment, d'après L'Est Républicain.

Contacté par Le Post, le centre hippique d'où se sont échappés les chevaux précise que les animaux sont "tous vivants".

"On a eu de la chance. Les chevaux blessés ont été recousus, et sont actuellement en observation, pour évaluer leur état de santé. Il y avait 38 chevaux en tout, 15 sont restés dans le pré, 23 ont pris la fuite par un trou dans la barrière. C'est la première fois qu'une fuite de ce genre a lieu. Les chevaux sont actuellement dans leur box, et ne retournent pas dans le pré pour le moment. Une enquête est en cours afin de savoir dans quelles circonstances ce trou a été effectué. Heureusement, aucun blessé chez les humains, aucun carambolage."

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Devon, Grande Bretagne - Une vétérinaire appelée à l'aide afin d'aider une jument coincée dans une clôture, s'est retrouvé prise au piège lorsque l'animal s'est endormi sur elle.

Les pompiers ont été contactés en pleine nuit pour venir au secours d'une vétérinaire coincée sous un cheval. L'animal qui s'était retrouvé pris au piège dans une clôture avait été mis sous sédatif afin d'être examiné par la vétérinaire. Cependant celui-ci s'est endormi sur le médecin qui s'est alors retrouvée coincée sous l'animal. Les pompiers appelés sur les lieux sont parvenus à extraire la vétérinaire de dessous la jument, et à libérer l'animal de la clôture. La vétérinaire n'a heureusement pas été blessée durant cet incident des plus singuliers, et le cheval quant à lui se remet de ses blessures.

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Un cheval meurt de faim, deux autres sauvés de justesse





Un éleveur de bovins a laissé ses chevaux sans nourriture pendant près d’un mois, en plein hiver. La Fondation 30 Millions d’Amis sera partie civile aux côtés du CHEM au procès dont la date n’est pas encore fixée.

Le drame se joue en fin d’année 2009 à Soumans, en Côte d’Or. Trois Selles français en détresse sont signalés par un appel anonyme au CHEM (Centre d'Hébergement pour Equidés Maltraités) qui se rend immédiatement sur place (29/12/09). Le spectacle est affligeant : les équidés, faméliques, sont en danger de mort.

Les enquêteurs tentent tant bien que mal de faire venir un vétérinaire. Etrangement, aucun n’est disponible pour se déplacer. Personne ne semble vouloir causer du tort au propriétaire des chevaux, qui est aussi un éleveur bovin connu dans la région… Il faut attendre le lendemain pour qu’un professionnel accepte enfin de se déplacer.

« Les chevaux étaient privés de nourriture depuis plusieurs semaines, confirme Laetitia Bos, présidente du CHEM. Et comme ils ne disposaient d’aucun abri, le froid exceptionnel du mois de décembre 2009 leur a été fatal. » Mais il est déjà trop tard lorsque un vétérinaire arrive : un cheval, à bout de force, s’écroule. Il ne se relèvera jamais, et doit être euthanasié sur place. « Si nous n’étions pas intervenus, il aurait mis deux jours à agoniser sans que personne ne s’en préoccupe », s’indigne la jeune femme.

Les explications de l’éleveur, dont les bovins semblent, par ailleurs, bien traités, sont courtes : il n’a pas jugé utile de rendre visite à ses équidés – qu’il aurait eu la générosité de sauver de la boucherie (sic). Et pour justifier leur état, il prétexte leur âge avancé.

Pour autant, Laetitia Bos est formelle : « Les certificats rédigés par les vétérinaires et les bilans sanguins confirment que c’est la privation de soins qui est responsable de leur état. Depuis qu’ils ont été pris en charge, ils se portent beaucoup mieux.» Une bonne nouvelle.

Si la date du procès n’a pas encore été déterminée, la Fondation 30 Millions d’Amis, partie civile au procès aux côtés du CHEM, rappelle que les actes de cruauté envers les animaux sont passibles de deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende [article 521-1 du Code pénal, NDLR].

Source : 30 Millions d'amis

2010-06-25 19:24:00

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WASHINGTON, 4 juil 2010 (AFP) - Un défilé pour célébrer l'indépendance des Etats-Unis, le 4 juillet, a été endeuillé dimanche dans l'Iowa (centre) après que deux chevaux tirant des chariots, pris de panique, ont piétiné plusieurs personnes, faisant un mort et 23 blessés dont des enfants, selon les médias.> Quelque 10.000 personnes participaient au défilé, selon la presse locale.

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TOULOUSE, 6 juil 2010 (AFP) - Un petit âne de Somalie, "l'espèce d'équidés la plus menacée au monde", est né le 30 juin dans la Réserve Africaine de Sigean dans l'Aude, a annoncé mardi dans un communiqué le parc zoologique.> En 2009, seules 13 naissances d'ânes de Somalie ont été enregistrées dans les parcs zoologiques du monde entier, souligne la Réserve Africaine. Il ne resterait qu'une centaine d'ânes de Somalie à l'état sauvage.

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Le port de Tulcea s'efface peu à peu à mesure que l'embarcation s'éloigne sur les eaux du Danube. Le voyage dure deux heures avant d'atteindre la petite cité de Sulina, située à l'extrémité méridionale du delta, au bord de la mer Noire. Le voyageur a ici l'impression d'avoir atteint le bout du monde. Il y a 2 000 ans, l'Empire romain y avait fixé sa frontière orientale. Puis au XIXe siècle, Sulina était devenue le siège de la Commission européenne du Danube.

Les chevaux du delta du Danube divisent les Roumains Agrandir la photo Ce faste appartient à un lointain passé. L'avènement du communisme au lendemain de la seconde guerre mondiale a donné un coup d'arrêt au développement. 'On n'a même pas été capables de construire un petit pont pour traverser le fleuve', se plaint Stefan Raileanu, médecin vétérinaire passionné par les chevaux sauvages du delta.

Et ces chevaux sont sur l'autre rive du fleuve, dans la partie sauvage du delta. Ils sont environ 4 000 à vivre en liberté et à avoir pris au fil des années possession de zones naturelles hautement protégées. Depuis 1991, le delta du Danube est classé au Patrimoine mondial de l'Unesco. Avec ses centaines de lacs, des milliers de kilomètres de canaux, de vastes étendues de forêts et d'immenses plaines de joncs, le delta offre un refuge à des milliers d'oiseaux migrateurs et abrite une flore unique à bien des égards.

Mais la présence des équidés est devenue un sujet de discorde. 'Il suffit que ces chevaux s'installent quelque part, et le lendemain, le terrain ressemble à un stade de football après deux matchs de suite sous la pluie, explique Viorel Rosca, le directeur du Parc naturel de Macin. Ils sont impitoyables. Il y a des espèces de fleurs qui disparaissent après avoir mis très longtemps à se développer. Bientôt, ces forêts uniques au monde ne seront plus qu'un souvenir. Il faut absolument qu'ils partent pour protéger le delta.'

L'Institut national du delta du Danube a une autre vision des choses. 'Nous devons trouver une solution pour ne pas briser ce phénomène nouveau dans le delta', affirme son directeur, Romulus Stiuca. Mais, jusqu'à présent, faute de moyens financiers, les autorités locales ne sont pas parvenues à organiser le cantonnement des animaux dans des espaces aménagés.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr

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http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40268&IdCat=

Alertée par les faits d’une sottise humaine incommensurable, la Fondation Brigitte Bardot a immédiatement mené son enquête et écrit au Procureur Général de la Fédération de Russie à Moscou afin qu’un tel acte soit fermement condamné. Dans sa lettre adressée au Président russe Dimitri Medvedev, Brigitte Bardot écrit « cet acte de violence doit devenir un exemple pour qu’une loi véritable de protection animale soit votée sans délai et puisse enfin permettre aux animaux en Russie d’avoir leur bienfaiteur ».

Grâce à l’intervention de la Fondation, l’animal qui s’avère être une femelle de 8 ans, nommée Manya, après avoir été confisquée à son propriétaire, est aujourd’hui entre de bonnes mains, saine et sauve, sous la protection de l’administrateur de la Région et la surveillance de vétérinaires.


Manya aujourd'hui saine et sauve.

En 2009, rappelons que la Russie a interdit la chasse aux phoques âgés de moins d’un an et qu’un mois plus tôt, Vladimir Poutine avait déjà interdit la chasse des bébés phoques âgés de moins d’un mois, la qualifiant de «pratique sanguinaire». La Russie, qui s’est donc montrée sensible au sort des animaux contrairement au Canada, est en mesure d’aller plus loin en tout cas nous l’espérons de tout cœur.



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Bagnères-de-Bigorre. L'âne sauvagement attaqué par un dogue
Vallon de Salut à Bagnères


http://www.ladepeche.fr/article/2010/08/11/886943-Bagneres-de-Bigorre-L-ane-sauvagement-attaque-par-un-dogue.html

« Romé » o a été violemment mordu à l'oreille./Photo DDM, Maxime Cachia. « Roméo » a été victime d'une mésaventure qu'il ne peut pas raconter. Pour la bonne et simple raison que sa mission consiste à promener les enfants sur son dos. Comme tous les ânes de l'association Platanes, qui ont pris leurs quartiers d'été au Vallon de Salut. Assurément, il a eu très chaud aux oreilles quand il a vu, samedi, aux alentours de 18 heures, un dogue argentin débouler, lui courir après, avant de le mordre sauvagement à plusieurs reprises.

Ingrid Guéniffey, l'ancienne présidente de cette association (composée à 100 % de bénévoles), se trouvait sur les lieux au moment des faits. Ils ont semé une énorme panique et occasionné quelques bobos dans ce havre de quiétude aux portes de la ville.

Elle raconte qu'en cette fin de journée, quatre ânes se trouvaient dans l'enclos au moment où un dogue, qui avait cassé sa laisse, a foncé sur les équidés. « Roméo » est parti avec le chien aux trousses en arrachant les fils de clôture. En loupant son virage, il a été déséquilibré. Le molosse en a profité pour le mordre à l'oreille où il est resté accroché, puis à l'encolure et enfin aux pattes. »

Folle course-poursuite
Et d'expliquer qu'à ce moment-là, Betty, une autre bénévole, a donné un coup de pied au chien pour qu'il lâche prise. Ce qui lui vaut une entorse au pied et trois semaines d'immobilisation. En s'y prenant à trois, le chien a été finalement attrapé par le collier et attaché. « J'appelle les gendarmes et je leur dis que j'ai un âne blessé », poursuit la jeune femme, toujours sous le coup de l'émotion trois jours après. Mais au même moment, la propriétaire du dogue argentin décide de… détacher l'animal. « Et le chien repart ! » Cette fois, il s'en prend à « Mister », un autre équidé. Une folle course-poursuite s'ensuivra. « Heureusement qu'il n'y avait pas de poussettes », glisse-t-elle. « Mister » et son poursuivant ont cependant croisé deux autres équidés « qui arrivaient en fin de balade ». La jeune Manon, 7 ans, a eu si peur qu'elle a sauté, se blessant au niveau de l'épaule. De plus, un petit garçon à peu près du même âge « a été très choqué. Il est parti avec les pompiers ». Effrayé, un promeneur aurait sauté dans le ruisseau et fait une crise d'asthme. C'est alors que Betty, sous le coup d'une montée d'adrénaline et malgré sa blessure, assène un coup de bâton sur la tête du molosse. Il paraît qu'une fois de plus, la propriétaire voulait le relâcher. « On l'a mise au sol et un monsieur l'a immobilisée en lui faisant une clé », rapporte Ingrid. Les gendarmes ont constaté qu'il n'y avait pas d'atteinte grave et que les deux parties se sont entendues pour faire marcher leur responsabilité civile. Mais les cris des gamins en pleurs sont dans toutes les têtes.

L'âne « Roméo » a été blessé, samedi, par un dogue argentin qui s'est acharné sur lui au Vallon de Salut, où cette agression a provoqué une grande peur, des bobos et quelques chutes.

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http://www.nicematin.com/article/faits-divers/tombee-dans-le-gouffre-de-la-glaciere-une-jument-est-sauvee

Caille Hier en fin de matinée, sur le parking de la Moulière, Nala, une jument de six ans, est tombée dans le gouffre de la Glacière, profond de plus de vingt mètres et situé juste sous l'aire de stationnement. La jument, dans un instinct de survi, a bondi de roche en roche, comme l'aurait fait une chèvre, avant de se retrouver tout au fond du gouffre. N'étant pas blessée, elle a essayé de remonter, mais c'était mission impossible, les parois étant trop lisses dans le fond. Immédiatement, le chef du centre de secours d'Andon, le lieutenant Misarelli, a alerté les services spécialisés du département.

Tout ce qu'il y a de mieux en matière de sauvetage animalier est arrivé sur les lieux : GRIMP de Nice et Carros, Sauvetage déblaiement 3 de Nice, Groupement Service Animalier et le commandant Véronique Vienet, chef vétérinaire 06. Si la mise en place a pu paraître longue aux nombreux quidams émus par cette mésaventure, elle est indispensable pour la sécurité de tous, celle des sauveteurs, comme celle de l'animal.

On ne remonte pas un cheval de plus de 500 kg en cinq minutes, ce doit être fait méthodiquement.

Une histoire qui finit bien

Il a fallu d'abord faire descendre la vétérinaire près de la jument pour lui administrer par piqûre un tranquillisant, pour la calmer. Dans le même temps, les équipes techniques ont préparé une tyrolienne avec l'aide du camion militaire de collection, mais combien efficace, d'un Caillois. La jument a été restaurée, abreuvée et harnachée pour pouvoir être soulevée. Un bandeau lui a également été posé sur les yeux. Le filin, tiré par le treuil du puissant camion, sous les directives du major J.-Marc Mathé, a commencé à faire remonter l'animal sous le regard d'un public retenant son souffle.

Arrivée à hauteur d'hommes, Nala, sentant le sol sous ses sabots s'est un peu agitée, donnant quelques ruades, plusieurs sapeurs ont dû la maintenir pour qu'elle ne bascule pas dans le vide. Une fois Nala sur ses pattes, la foule s'est mise à applaudir les secours et les féliciter dans un élan spontané. Nala a ensuite été ramenée sur le parking où le capitaine Augier, responsable de l'opération l'a fait marcher pendant quelques minutes, avant qu'elle ne soit examinée et que ses rares égratignures ne soient soignées par Véronique Vienet. Marie, la jeune maîtresse de Nala, jusque-là à l'écart de la manoeuvre pour cause de trop grande émotion, a éclaté en sanglots en retrouvant sa jument. Une histoire qui finit bien pour tout le monde.

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Serres-sur-Arget. Johanna sauve les chevaux maltraités
société

http://www.ladepeche.fr/article/2010/09/17/908528-Serres-sur-Arget-Johanna-sauve-les-chevaux-maltraites.html

Johana Randawel et ses protégés. Photo DDM./ Elle a fondé une association, « Libre en Barguillière », qui récupère les chevaux maltraités ou promis à l'abattoir et les remet « sur pattes ». Avant de les revendre quand ils sont à nouveau en forme, car les soins coûtent cher.

Johana Randavel aurait pu se contenter comme d'autres fanas d'équitation de pratiquer son sport en toute quiétude. Mais son amour des chevaux l'a poussé plus loin. Avec des amis elle a décidé de sauver des chevaux blessés ou maltraités qui partaient en direction de l'abattoir. Elle est présidente de l'association « Libre en Barguillère », fondée cette année au mois de juillet, qui compte une dizaine d'adhérents mais aussi reçoit l'aide d'autres associations grâce à Internet (forum de l'association : libreenbarguillere.forumsactifs.com). « Nous fonctionnons grâce aux dons et aux adhésions, explique-t-elle, mais aussi nous revendons les animaux qui sont revenus à une bonne santé physiologique et psychologique, car les soins coûtent cher. Cela peut prendre un an pour requinquer un cheval. » Sur un terrain proche de Serres-sur Arget, aimablement prêtés par un propriétaire vivent quatre de ses protégés actuels. Quatre juments qui ont connu bien des malheurs. Pampa d'abord, une jument espagnole, récupérée in extremis à la frontière, dans un état de délabrement physique important. Elle a reçu des coups et n'accepte pas les caresses. Mébelle devait partir à l'abattoir ; son propriétaire, un maquignon ne voulait pas engager de frais de vétérinaire. Aujourd'hui elle est maman d'Alinka, une petite jument et ça va plutôt bien. Il y a aussi Calista, une jument qui a été maltraitée : elle a reçu un coup de fourche qui lui a fait perdre son œil droit. Trois autres chevaux sont sur un terrain près de Saint-Pierre-de-Rivière. C'est une difficulté majeure que de trouver des prés pour les animaux. » « Sans location, sans bail on reste dans le précaire. » Peu de gens font des cadeaux, quand ils ne profitent pas des efforts des bénévoles pour tirer les marrons du feu. « Même des animaux dans un état lamentable ne sont pas donnés par leurs propriétaires, ils sont vendus au prix de la viande. On les retrouve dans des saucissons, les ânes aussi ou les mules ». En fait il n'y a pas de pitié. Néanmoins une vingtaine de chevaux ont pu être sauvés, depuis quatre ans, avant la fondation de l'association. « Quand on nous signale des chevaux maltraités on va sur le terrain pour constater, et on essaye de s'entendre avec les propriétaires. Sinon on fait intervenir les services vétérinaires (DDSV). Quand on n'a pas de budget pour racheter un cheval, on fait appel aux dons ou on trouve quelqu'un pour le racheter et le sauver. » Voilà ce que fait « Libre en Barguillère ». Si vous voulez donner un coup de pouce, l'adhésion annuelle est de 30€.

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http://www.ledauphine.com/savoie/2010/10/10/deux-chevaux-tues-dans-une-collision

Deux chevaux tués dans une collision
Deux chevaux qui divaguaient sur la route après s’être échappés, sur les Hauts de Glaisins (RD19), dans la commune des Marches, ont été percutés par deux voitures, une Citröen C4 et une Citroën C3.
Deux chevaux qui divaguaient sur la route après s’être échappés, sur les Hauts de Glaisins (RD19), dans la commune des Marches, ont été percutés par deux voitures, une Citröen C4 et une Citroën C3. L’accident a eu lieu à 1 heure dans la nuit de samedi à dimanche.
Les deux véhicules ont été endommagés, mais les conducteurs n’ont pas été blessés. Les chevaux, en revanche, n’ont pas survécu à la collision.

le 11/10/2010 à 05:35

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LILLE, 27 oct 2010 (AFP) - Un ressortissant belge de 71 ans est mort mercredi après-midi lors d'un accident d'attelage hippique à Hervelinghen (Pas-de-Calais) et un autre de 60 ans a été blessé, a-t-on appris auprès de la gendarmerie et des pompiers.> Cinq autres ressortissants belges sur deux autres attelages leur appartenant les accompagnaient.

Un cheval blessé a dû être euthanasié par un vétérinaire des sapeurs-pompiers

Le sexagénaire qui a été blessé souffre de fractures et a été hospitalisé.


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http://www.nicematin.com/article/cannes/des-anes-et-des-ados-debroussaillent-gour-de-coule

Des ânes et des ados débroussaillent Gour-de-CoulePublié le lundi 01 novembre 2010 à 07H12 - 1
Assez dociles, les ânes se sont laissés approcher facilement par les adolescents, leurs collègues de travail !

Durant ces vacances de la Toussaint, douze adolescents de 12 à 16 ans ont participé à un chantier bien singulier... Ils ont contribué à une opération de débroussaillement qui a mobilisé l'aide de trois ânes !

Toute la semaine dernière à Gour-de-Coule, les jeunes ont travaillé de concert avec les bêtes. Lesquels sont restées très concentrés sur leur travail... gourmand !

« Les mauvaises herbes les ânes adorent ! »

Ce débroussaillement à l'aide d'ânes présente « plusieurs avantages, d'après le responsable des espaces verts de la ville du Cannet, Patrice Miran. Tout d'abord, il est économique, car il revient à 16 centimes le mètre carré (contre 54 centimes pour une entreprise spécialisée). Il est sélectif, vu que les ânes mangent en priorité les végétaux les plus combustibles. Les mauvaises herbes, ils adorent ! Enfin, il est astucieux, étant donné que les bêtes ouvrent des éclaircies coupe-feu en piétinant sur l'herbe. » Le seul inconvénient, c'est l'obligation de « poser une clôture électrique mobile dans la zone de travail. » Histoire de couper l'herbe sous les pieds à toutes tentatives de fugues des animaux ! Une fois la parcelle débroussaillée, cette clôture est démontée et remontée sur une nouvelle zone de travail.

« Je ne veux pas être un âne »

Les ânes ingurgitent en moyenne 12 kg de végétaux par jour. En attendant qu'ils soient repus, les enfants ont, eux aussi, contribué au débroussaillement. Le regard et les gestes de l'homme, essentiels, parachèvent donc l'opération.

Leur cohabitation avec les ânes a été « une expérience très intéressante !, lance l'un d'entre eux. On a fait le ménage ensemble ! Plus tard, j'aimerais bien être payé juste pour manger ! Mais je ne veux pas être un âne, au sens propre comme au figuré ! » En contrepartie de leur travail, les ados ont profité d'activités gratuites. En plus d'avoir eu le plaisir de passer du temps avec d'adorables grosses peluches...

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"’L'Etat met en place une aide financière à l’adaptation de l’engraissement d’animaux dans la filière équine.

L’objectif est de renforcer l’organisation de la filière de production de viande de cheval et l’adapter pour produire une viande de qualité et assurer des approvisionnements réguliers...

Le préfet de Tarn-et-Garonne communique: SOUTIEN A L'AGRICULTURE - VERSEMENT D'UNE AIDE A L'ADAPTATION DE L'ENGRAISSEMENT D'ANIMAUX DANS LA FILIERE EQUINE

Objectif : Renforcer l'organisation de la filière de production de viande de cheval et l'adapter pour produire une viande de
qualité visant à satisfaire les attentes des marchés français et italien et à assurer des approvisionnements réguliers
entre Février et Septembre. "

source = http://www.evana.org/index.php?id=61046

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Dimanche, il était 6 heures du matin, quand les habitants de Menthonnex-en-Bornes, un village de Haute-Savoie, ont été réveillés par des coups de feu.





Des coups de feu suivis du râle violent d'un animal, précise Le Dauphiné Libéré.
Des habitants qui découvrent alors qu'un chasseur vient d'abattre une jument poulinière.
Une jument à l'abri dans son enclos, à moins de 150 mètres des habitations.
Le chasseur affirme dans un premier temps avoir confondu la jument avec un sanglier.
Puis parle d'une balle perdue...
Le vétérinaire qui a été appelé sur place pour euthanasier l'animal constate qu'il a été touché de deux balles.
Le chasseur a proposé d'indemniser le propriétaire de la jument.
Un propriétaire qui n'aurait pas souhaité déposer plainte.
Dans Le Dauphiné Libéré, un porte-parole de la fédération de chasse a indiqué que c'était « un accident inadmissible, contraire aux règles élémentaires de sécurité dans l'organisation et la réalisation d'une action de chasse ».
Un acte « contraire à notre éthique » a-til ajouté.

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Une étudiante américaine aveugle a choisi pour guide un poney. L'animal la suit partout, jusque dans les salles de cours.



Depuis quelques mois,Mona Ramouni, une étudiante américaine, se rend à l'Université de Michigan accompagnée de son poney ! Non-voyante, elle a fait le choix d'acquérir cet animal pour l'aider dans sa vie de tous les jours. Si une telle décision peut paraître surprenante, aux États-Unis, le poney est régulièrement utilisé pour accompagner les personnes atteintes de cécité.
Issue d'une famille musulmane, ses parents n'ont jamais consenti à lui donner un chien d'aveugle. En effet, dans les pratiques religieuses, cet animal est considéré comme impur. Alors, dès qu'elle en a eu l'opportunité, Mona Ramouni s'est offerte un poney. Après sept mois d'entraînement, Cali a pu commencé à suivre sa maîtresse partout, même dans les salles de cours.
De la taille d'un gros chien, il pèse environ 45 kg. En plus de guider la jeune femme, il l'aide aussi dans ses déplacements. A noter que l'espérance de vie de l'animal est beaucoup plus longue que celle d'un chien, une trentaine d'années pour un poney contre six à huit ans pour un chien. "Ma vie est tellement différente", explique t-elle dans la presse locale. Grâce à lui, Mona Ramouni a en effet pu devenir totalement autonome.

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http://www.ledauphine.com/ardeche/2010/11/15/le-cheval-meurt-sur-la-nationale-86-apres-avoir-percute-une-voiture



La Twingo a percuté de plein fouet le cheval qui traversait la route.






Il aura payé au prix fort son goût pour la liberté. Hier soir, peu avant 18 heures, un cheval de 23 ans, après s’être échappé de son enclos à quelques encablures de la Nationale 86 entre Andance et Sarras, a été stoppé net par une voiture.
Le pare-brise brisé sous l’impact


L’animal n’a pas survécu au violent choc avec le véhicule, une Twingo bleue. La petite berline en garde d’ailleurs quelques traces ; le pare-brise a été brisé par endroits tandis que l’avant-gauche de la voiture a été enfoncé sous l’impact.
Si le cheval n’a pu se relever après cette insolite collision, le conducteur de la voiture est indemne. Le trentenaire, originaire de Sarras, s’en sort tout de même avec une belle frayeur devant l’incongruité d’un tel accident.
La carcasse du cheval a dû être évacuée dans une bétaillère, tandis que les gendarmes d’Annonay, après les premières constatations, ont mis en place une circulation alternée.
À 19 heures, le trafic sur la route avait repris son cours habituel. Avec des chevaux mais seulement sous les moteurs.


par Etienne GENTIL et Serge GACHE le 16/11/2010 à 05:00

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BERLIN, 17 nov 2010 (AFP) - Un tribunal allemand a interdit mercredi au propriétaire d'un poney de lui tatouer sur le côté droit de la croupe le logo des Rolling Stones - une bouche qui tire la langue.> Aux autorités municipales qui invoquaient la protection des animaux contre les mauvais traitements, le propriétaire du poney opposait son droit de vouloir "embellir et individualiser" son animal.

La loi sur la protection des animaux "interdit d'infliger des souffrances à un animal sans raison valable", a tranché le tribunal administratif.

"Même si les tatouages sont effectués en général sans anesthésie sur les êtres humains, cela ne justifie pas que l'on autorise ce type d'intervention cutanée sur les animaux", a-t-il ajouté.

Le tribunal précise que, pour prendre sa décision, il a pris en compte "aussi bien les caractéristiques de l'animal que sa peur et son incapacité à comprendre la douleur ou à évaluer sa durée".

En outre, la volonté d'"embellir et individualiser" son poney, affichée par le propriétaire, ne masquerait qu'"un intérêt individuel et financier du demandeur" qui voulait en réalité gagner de l'argent en lançant un service de tatouage pour animaux, selon le tribunal.

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Larra. Le pur-sang arabe sème la zizanie



A cause du pur-sang, Kristine a dû cesser son activité./Photo DDM,J.-P. R.


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D'un sabot nerveux, le pur-sang arabe frappe le sol boueux. Kristine Pô, patronne du centre équestre « Pôné A Larra » s'approche avec méfiance. L'arrivée impromptue de ce cheval inconnu lui gâche la vie. Et désormais, elle craint le pire. « Il est arrivé mercredi. Il a commencé par fracasser les clôtures et par s'en prendre aux poneys. Il était comme un lion en liberté. Comme le hongre tentait de protéger les juments, il l'a assommé à coups de pieds. Depuis, celui-ci reste prostré. Et le pur-sang, qui est entier, saute sur tout ce qui bouge ». Devant un tel danger, Kristine a dû annuler les cours d'équitation. Hier matin, seule Juliette est venue. Mais elle est restée prudemment dans la maison, à faire de la théorie et à apprendre ce qu'est un étrier ou une sangle.
Mais à qui appartient ce cheval impétueux ? Kristine a son idée : « Probablement à un propriétaire qui a voulu se faire plaisir en l'achetant et qui n'est pas capable de le gérer. S'il s'est enfui jusqu'ici, c'est qu'il ne vient pas de très loin. Malheureusement, nous n'avons aucun indice pour identifier cet alezan. Moi, mes poneys sont tous dotés d'une puce qui permet de retrouver le propriétaire en quelques minutes. Et comme personne ne s'est manifesté, j'ai dû alerter la mairie. En attendant, même si je n'ai pas à la faire, j'essaye de le maintenir dans l'enceinte du centre équestre.»
Dehors, il pourrait renverser quelqu'un. Et une telle collision serait mortelle pour la personne qu'il attaquerait. Dans l'enclos, les chiens, eux aussi, deviennent nerveux. L'intrus va et vient.
Poneys traumatisés


L e maire André Saint-Paul, précise d'abord qu'il s'agit d'un différend entre particuliers et que la mairie n'a pas à s'en occuper. « Mais nous avons un contrat avec une société pour ce qui concerne les animaux errants », ajoute-t-il. Cependant, l'adjoint à la sécurité, Éric Donnot s'est rendu sur place. Il était prévu de faire appel à un maquignon, Philippe Lagrange, pour venir le chercher à la nuit tombée. Finalement, hier en fin d'après-midi, le propriétaire a été retrouvé grâce à l'intervention de la mairie. « Un voisin », comme le supposait Kristine. Accompagné des gendarmes de Grenade, il est venu récupérer son cheval. Il est reparti chez lui, à pied, à 5 km, en tenant son cheval par le licol. « Les gens sont vraiment inconscients », conclut Kristine».

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Fons. Attaquée par des chiens de chasse, la jument tombe dans la piscine


Fons



Au cours de cette nuit, les voisins de Laurent Martin sont venus porter secours./Photo L.M.


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Trois chiens de chasse s'en sont pris à des chevaux au pré, dans la nuit de mardi à mercredi, à Fons. Une des juments a chuté dans la piscine de son propriétaire. Sortie par les pompiers 5 heures plus tard, elle devrait survivre. Laurent Martin a porté plainte.
Vision d'horreur, mardi soir, vers 23 heures, pour ce propriétaire de Fons. De retour d'un déplacement professionnel, il découvre sa jument affolée dans la piscine, trois chiens de chasse tournant autour.
« J'ai tenté de la sortir en lui passant un licol, en vain. Avec l'humidité et la jument agitée, je suis moi aussi tombé dans l'eau. Dans la panique générale, elle m'a heurté et cassé une côte », raconte Laurent Martin. Appelant ses voisins au secours vers minuit, ils décident de contacter les pompiers. « Lorsqu'ils sont arrivés, dit-il, la bâche d'hivernage était arrachée, son support, au fond de l'eau. Le liner était éventré de toute part et l'animal terrorisé tentait de s'extraire du bassin en heurtant les margelles ».
De colère, Laurent Martin attrape un des chiens présents pour l'enfermer. « Je veux retrouver son propriétaire pour que les dommages soient réparés et pour éviter que ce genre d'accident ne se reproduise. Je n'ose pas imaginer si après avoir cassé la clôture de son pré, c'était vers la route que Vanille s'était dirigée et si elle avait provoqué un accident », commente ce professeur de Droit en faculté. Sept pompiers, ceux de Figeac appuyés par leurs collègues de Lacapelle-Marival, ont commencé à vider la piscine et à fabriquer une rampe en bois afin de sortir l'animal. Blessée au poitrail et sonnée, cette jument Trait Comtois ne présente aucune fracture. Les services vétérinaires arrivés sur les lieux ont craint que l'épuisement et le traumatisme de cette nuit ne soient fatals à l'animal. Elle aura passé 5 heures dans l'eau, au cours d'une nuit où la température était de 0 degré. « Ce n'est pas la première fois que je suis embêté par des chiens de chasse divaguant sur ma propriété. J'ai signifié à la société de chasse de Fons que je n'autorisais pas la chasse sur mes 10 ha. Non que je sois contre mais justement à cause de mes chevaux », rapporte Laurent Martin. Suite à des incidents avec des chiens courant après ses chevaux, il avait alerté les gendarmes et rencontré le président de la société de chasse, en septembre. « Un homme très cordial, dit-il, qui a parfaitement compris mes inquiétudes et qui s'était engagé à veiller à ce que cela ne se reproduise plus. Ce sont des gens honnêtes qui ont la volonté de bien faire, mais cette situation n'est plus possible. Il faut que nous arrivions tous à vivre en bonne entente à la campagne, sans se nuire les uns les autres. Je ne me satisferai pas de l'explication donnée : nos chiens chassent que voulez-vous ».


A qui est ce chien ? Qui est responsable ?


L'un des coupables : un teckel noir, collier de chasse vert fluo au coup, semblait bien inoffensif, hier après-midi. Cet animal est pucé, ce qui a permis à Laurent Martin de contacter les propriétaires. « Cette bête a été vendue 4 fois en 6 mois, j'ai eu les différents propriétaires au téléphone de la Vienne, du Maine-et-Loire, de Lacapelle. Le dernier en date me dit qu'il l'a vendue en liquide mais refuse de me donner le nom. J'ai porté plainte et cette histoire risque fort de se retourner contre lui ». Alain Mage, président de la société de chasse de Fons explique : « Lorsque les chiens chassent en meute, c'est difficile de les arrêter. Depuis 15 jours, nous n'avons pas chassé le sanglier à Fons. De plus, nous essayons d'éviter le secteur de sa propriété. Ce chien peut venir de n'importe quelle société de chasse alentours ».

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Drôle de procès vendredi au tribunal de Dieppe (Seine-Maritime) où deux mois de prison avec sursis et une obligation de soins psychologiques ont été requis contre un retraité de 69 ans, accusé de sévices sexuels sur une ponette, rapporte ce lundi Le Courrier Picard.



Les faits ont été découverts lorsque le propriétaire du ranch de l'animal a décidé de placer des caméras de vidéosurveillance dans ses enclos, après diverses dégradations. Sur les images, le retraité est apparu à de multiples reprises, cet été, franchissant les clôtures pour s'enfermer avec la ponette pendant une dizaine de minutes dans un box, avant de filer. «Je n'ai pas de problème sexuel» Le propriétaire a donc installé une caméra dans ledit box, et c'est ainsi que la scène a pu être racontée devant le tribunal. L'homme montrait son sexe à la ponette, puis la contournait. Ensuite, il «se lavait à l'abreuvoir et s'en allait», rapporte le quotidien local, sans plus de détails.


«Je ne comprends pas ce qui m'a pris, je n'ai pas de problème sexuel», s'est défendu l'homme de 69 ans. Le procureur a estimé que «pour en être réduit à cet acte, il faut souffrir d'une grande solitude et être en manque de liens affectifs». Pour autant, l'avocat du retraité a plaidé la relaxe. «Je plaide la relaxe car le délit de sévices sexuels nécessite qu'il y ait une atteinte à l'intégrité physique ou à la vie. Cet homme est honteux et toute sa famille souffre de la situation, ne l'accablez pas davantage», a-t-il insisté. Le jugement sera rendu le 7 décembre.

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PARIS, 26 jan 2011 (AFP) - Une trentaine d'équidés - chevaux, ânes et poneys - ont été saisis sur décision judiciaire mercredi chez un particulier à Machemont (Oise), près de Compiègne, qui les détenait "dans des conditions déplorables", a indiqué la Fondation 30 millions d'amis.> L'opération s'est déroulée chez "une dame qui dirigeait un véritable élevage clandestin sans les autorisations ni les installations adéquates", a-t-il précisé.

L'alerte a été donnée par les gendarmes de Compiègne qui, lors d'une visite de contrôle inopinée, mi-janvier, avaient découvert le cadavre d'un cheval.

La saisie des animaux, à titre conservatoire, s'est déroulée en présence de la brigade équestre de la gendarmerie de Compiègne et de la Direction départementale de la protection des populations de l'Oise, sur décision du procureur de Compiègne.

Les équidés ont été confiés provisoirement au Centre d'hébergement et de protection des équidés maltraités (CHEM).

En raison des diverses infractions constatées, une plainte pour abandon et travail illicite a été déposée par la Fondation 30 Millions d'Amis et le Chem auprès du tribunal de grande instance de Compiègne, qui devra statuer sur une éventuelle confiscation définitive.

Le cas échéant, les animaux seront proposés à l'adoption ou pris en charge par des familles d'accueil qui n'auront pas le droit de les faire travailler, ni de les monter.

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PERIGUEUX, 27 jan 2011 (AFP) - Les services vétérinaires de Dordogne et le centre d'hébergement des équidés maltraités (CHEM) ont saisi 27 chevaux jeudi à Carsac-de-Gurson (Dordogne), a-t-on appris de sources concordantes.> La plupart des bêtes de ce ranch qui organisait des promenades autour du lac de Gurson ont été envoyées dans un centre équestre de Dordogne qui va s'en occuper en attendant de leur trouver des familles d'accueil.

Le procureur de la République de Bergerac, qui a qualifié la situation de "cas d'urgence", devrait ouvrir des poursuites pour mauvais traitements sur animaux à l'encontre des propriétaires.

Mercredi, une trentaine d'équidés avaient déjà été saisis chez un particulier à Machemont (Oise), près de Compiègne, alors qu'il les détenait "dans des conditions déplorables", selon la Fondation 30 millions d'amis qui avait supervisé cette saisie et confié les rescapés au CHEM

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Henniez (VD): des chevaux auraient péri dans un incendie



http://www.lematin.ch/actu/suisse/henniez-vd-chevaux-peri-incendie-385504



Un incendie s'est déclaré dans la nuit de mercredi à jeudi dans une maison de trois appartements d'Henniez (VD). Les habitants ont été évacués. Des chevaux auraient péri dans le feu, a indiqué la police vaudoise alors que l'intervention des pompiers se poursuivait.

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< MOSCOU, 26 fév 2011 (AFP) - Des chevaux ont été brûlés vifs dans la région russe de Nijni-Novgorod (Volga) dans le cadre de la lutte contre la peste porcine, selon un reportage de la télévision NTV diffusé samedi> Les vétérinaires ont injecté aux chevaux une dose insuffisante de somnifère mortel et les animaux se cabraient dans les flammes, a raconté une habitante

"Les vétérinaires m'ont dit qu'ils devaient tuer mes chevaux (..) On m'a dit: on va les tuer et les brûler", témoigne pour sa part Alexandre Ivanov, propriétaire de la ferme, qui a porté plainte.

Les vétérinaires ont agi en conformité avec un décret du gouverneur de la région Valéri Chantsev qui a ordonné de tuer les animaux dans les exploitations agricoles touchées par la peste porcine et de les brûler sur place

Evguéni Kolobov, président du comité de surveillance vétérinaire régional s'est justifié devant la caméra en estimant qu'il n'y avait pas d'autres solutions.

"Nous n'avons pas eu d'autre solution que de liquider les chevaux. Nous n'avons pas trouvé le moyen de faire autrement", a-t-il déclaré


neo/dro

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9 chevaux mis à l’abri, 8 autres dans un état critique






Après la mort de plusieurs équidés dans les Deux-Sèvres, 9 poneys et pur-sang en souffrance ont été abandonnés volontairement au profit de la Fondation 30 Millions d’Amis et du Chem*. Les propriétaires n’ont cependant pas accepté de céder 8 autres équidés.

9 équidés victimes de mauvais traitements à Azay-sur-Thouet dans les Deux-Sèvres, ont été recueillis suite à une déclaration d’abandon volontaire de leurs propriétaires. L’opération, qui a duré plusieurs heures, s’est déroulée en présence de la DDPP (Direction départementale de la protection des populations) du département. La Fondation 30 Millions d'Amis et le Chem ont déposé devant le tribunal de grande instance de Niort (79) une plainte contre X, car il est malheureusement encore difficile, pour l’heure, de déterminer avec précision sur qui porte la responsabilité des mauvaises conditions de vie des animaux.


En décembre 2010, la Fondation 30 Millions d’Amis est alertée par les gérants d’une pension équine : des propriétaires de chevaux leur auraient confié la garde de leur animal sans régler les frais de pension. Sans argent, les « gardiens » des animaux ne pourraient plus subvenir à leurs besoins. Les services vétérinaires sont alors sollicités pour intervenir rapidement avec le soutien logistique de la Fondation 30 Millions d’Amis et du Chem. Lorsque l’enquête officielle débute, cinq chevaux sont déjà morts, auxquels viendra s’ajouter un poney. Un recensement réalisé par la DDPP fait état, lui, de 13 montures mortes durant l’année 2010. Des investigations encore en cours devraient permettre de déterminer la cause exacte de cette véritable hécatombe.

Les gérants de la pension et les propriétaires des chevaux renonceront conjointement à la propriété de cinq poneys, deux juments et deux chevaux, qui seront confiés à différentes familles d’accueil. En revanche, elles refuseront de confier aux associations de protection animale 8 pur-sang dont elles se disputent la propriété dans le cadre d’une procédure judiciaire en cours. En l’absence d’une décision contraignante du parquet de Niort, ces équidés ne pourront être saisis par les défenseurs des animaux lors de l’intervention (7/2/11). Ils demeureront dans cette pension malgré leur état famélique.

La Fondation 30 Millions d’Amis et le Chem dénoncent cette situation qui met le bien-être - et même la survie - des équidés au second plan. Elle attend des autorités compétentes qu’elles trouvent une solution très rapidement afin d’éviter la découverte de nouveaux cadavres. La Fondation espère que l’enquête déclenchée par le dépôt de sa plainte, permettra de faire toute la lumière sur cette affaire et de mettre très rapidement l’ensemble des animaux hors de danger.

Source : Fondation 30 millions d'amis
20/03/2011

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PARIS, 1 avr 2011 (AFP) - Le cheval miniature américain, qu'il ne faut surtout pas confondre avec un poney, est désormais reconnu en France grâce à la signature d'une convention race étrangère, ont indiqué vendredi les Haras nationaux.> Comme pour toutes les races étrangères, ce cheval miniature est inscrit à la naissance dans son stud-book (livre généalogique), berceau de la race, soit aux Etats-Unis, indique Sylvie Rizo des Haras nationaux.

Selon elle, 540 chevaux miniatures américains sont aujourd'hui répertoriés sur le territoire Français.

"Il ne doit pas mesurer plus de 89 cm au garrot, ressembler le plus possible à un cheval de sang et être très raffiné", explique Agnès Moitry ancienne cavalière de dressage.

"C'est un excellent cheval de dressage pour le travail aux longues rênes et l'attelage car c'est une véritable petite bombe", poursuit l'éleveuse à la tête d'un cheptel d'un vingtaine de spécimens dans le Vaucluse.

"Bai, brun, café au lait : on peut trouver la couleur que l'on veut car il se décline dans toutes les robes".

Il faut toutefois compter en moyenne 3.000 euros, voire beaucoup plus pour l'achat de ce cheval doté d'un fort caractère et réputé peu fragile.

Le Stud-book du cheval miniature américain a été mis en place aux Etats-Unis il y a 35 ans. Aujourd'hui, ils sont plus de 200.000 dans une quarantaine de pays.

En France, seulement sept ou huit professionnels élèvent ce mini équidé mais aussi des particuliers, propriétaires d'une ou deux poulinières.

En France parmi les chevaux miniatures, le falabella est le plus connu

D'origine argentine est issu de croisements entre poneys Shetlands et pur-sang anglais. Il toise 76 cm maximum au garrot.

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http://www.lepost.fr/article/2010/09/15/2222216_le-fabuleux-destin-de-padishah-pur-sang-arabe-promis-a-la-boucherie.html

Le haras de Marmande (Lot-et-Garonne) devait se débarrasser de lui. Padishah, pur-sang arabe de quatre ans, a finalement été sauvé par Stéphanie Laques, cavalière émérite de Pujols, petit village des environs.
Passionnée par l'endurance, une pratique méconnue, et étonnée par le potentiel physique hors du commun de Padishah, elle le monte sur des épreuves de 20, 30, 60, et 90 kilomètres à vitesse libre.
Durant les trois dernières années, les résultats sont au rendez-vous. Après une participation au championnat de France, Padishah se qualifie pour les championnats du monde qui ont lieu fin août à Compiègne (Oise). Après une course éclatante, Padishah laisse ses derniers adversaires sur place et décroche le titre de champion du monde d'endurance dans la catégorie des 7 ans.
Un coup de coeur transformé en une aventure de rêve pour Stéphanie et son cheval.




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source : télé animaux

PARIS, 8 déc 2010 (AFP) - Avec son "Manuel d'équitation western", la Québécoise Lyne Laforme livre aux amoureux de chevaux et de l'Ouest américain, une méthode simple, claire et illustrée, pour monter comme les cow-boy.> "Etablir une relation +cavalier-cheval+ de confiance de qualité est l'élément clé de mon approche", écrit Lyne Laforme, instructeur niveau III de Canada Hippique et de la Fédération équestre du Québec, soit le plus haut niveau d'enseignement au Canada.

"Tous ceux qui ont à s'occuper d'un cheval devraient être en mesure de le faire marcher, trotter, arrêter, reculer et pivoter, en contrôlant parfaitement ses mouvements", estime Mme Laforme qui a formé de nombreux instructeurs western français.

Après avoir indiqué les règles de base pour manipuler un équidé en toute sécurité, elle aborde le travail au sol qui permet de prendre position face aux différentes comportements du cheval jusqu'à l'exécution précise de parcours de dressage, en passant par les exercices d'assouplissements du cheval et du cavalier.

Son livre qui se veut un ouvrage de référence pour tous les cavaliers western et un outil précieux pour ceux qui enseignent s'adresse aussi aux cavaliers issus de l'équitation classique et de la randonnée.

"L'équitation western permet de concilier l'envie de progresser techniquement, tout en privilégiant la relation avec le cheval par la compréhension de son fonctionnement physique et mental", pense-t-elle.

("Manuel d'Equitation Western", Lyne Laforme - Acte Sud 173 pages 32 euros)

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