pacemaker91 0 Posté(e) le 12 avril 2011 Tribunal d'instance d'Orléans : Seuls deux vigiles ont reconnu leur responsabilité dans les sévices infligés aux félins du supermarché Auchan à Olivet (45), en mars 2008. La Fondation 30 Millions d'Amis s'était constituée partie civile mais le jugement a été mis en délibéré au 18 novembre 2009. Mercredi 14 octobre 2009, le tribunal correctionnel d'Orléans jugeait le cas de sept vigiles accusés d'avoir tué, dans des conditions particulièrement cruelles, des chats errants dans les réserves du magasin Auchan d'Olivet. Cinq étaient présents à la barre, les deux derniers, absents étaient représentés par leur avocat. Ils sont pourtant les seuls à reconnaître les faits qu'on leur impute. Tous occupaient, entre août 2007 et mars 2008, un emploi d'agent de sécurité au sein de l'hypermarché. En qualité de coordonnateur d'équipe, Richard, 40 ans, s'est vu confier par la direction du magasin la mission de "faire quelque chose pour les chats" qui proliféraient, urinaient sur les textiles et éventraient les sacs de croquettes. le verdict en appel est demain a 14h l' idée est de ce rendre devant avec des affiches afin de faire voir notre opposition a de tel actes même si ce n' est que symbolique manifestation bien sur pacifique Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 12 avril 2011 http://www.lepost.fr/article/2010/08/24/2193748_a-la-romieu-dans-le-gers-on-prefere-les-chats-de-la-legende-a-ceux-du-village.htmlÀ La Romieu dans le Gers, la légende raconte qu'au Moyen-Âge, le village a été sauvé par les chats : en débarrassant les greniers des rats qui dévoraient les récoltes, ils auraient empêché la famine.En 2010 cependant, ils n'ont plus vraiment le droit de cité. C'est une véritable guerre qui a lieu entre une amie des bêtes, qui nourrit et soigne les félins et de nombreux habitants du village qui n'en peuvent plus des petites frappes aux griffes affûtées.Car les minous de bonne compagnie hésitent désormais à mettre le museau dehors. Le chat du maire lui-même fait grève. "Depuis qu'il s'est pris une branlée, il ne veut plus sortir de la maison", explique l'édile. // Sources : Sud Ouest // Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 avril 2011 Chatipi : un guide pour rencontrer le peuple chathttp://www.one-voice.fr/fr/article/chatipi-un-guide-pour-rencontrer-le-peuple-chatAvec Chatipi, One Voice entend réhabiliter le chat dans nos sociétés. Coup d’envoi de la campagne d’éducation et d’information avec la publication du guide « Rencontre avec le peuple chat ». Pour la grande majorité des humains, le chat domestique délaissé « redevient sauvage », « se débrouille de tout », « ne s’attache pas à son propriétaire », n’a « besoin de personne », etc. Pour faire tomber ces idées reçues sur le petit félin et nombre des préjugés responsables chaque année de centaines de milliers d’abandons, A LA RENCONTRE DU PEUPLE CHAT s’attache à rétablir la vérité sur ce compagnon de vie depuis plus de 4 000 ans.Le chat domestique n’est plus un chat sauvageDe son lointain passé de « chat sauvage », notre chat, compagnon de l’humain, a certes conservé le goût de la liberté et de la solitude, ainsi que ses instincts de prédateur. Mais génétiquement, il est différent de ce cousin qui aujourd’hui encore peuple certaines régions d’Europe, d’Asie ou d’Amérique. Au contact des humains, le chat a profondément évolué. Son comportement et sa manière d’appréhender le monde n’ont plus rien à voir avec celle du « chat sauvage ».Évolution au contact des hommesLe chat domestique est, par exemple, devenu un communiquant. Il a développé un vaste vocabulaire de miaulements pour mieux se faire comprendre des humains. Il a gagné le goût des autres, chats, chiens, autres animaux familiers et bien sûr humains dont il recherche la compagnie. La disparition d’un de ses compagnons est d’ailleurs vécue cruellement par les chat qui développe dépression, pathologies, et parfois se laisse mourir. S’il tient toujours autant à son indépendance, ses moments de liberté dans la campagne où il peut chasser, observer, grimper, s’élancer, bondir… sa nature le fait tout autant apprécier la chaleur d’un foyer.Une certaine « chagesse »Le chat domestique est en effet un hédoniste de la vie. Le plaisir est un moteur important. Le jeu occupe une place de choix dans son existence. Mais le jeu du pouvoir n’a aucun sens pour lui. Il ne comprend pas les actes de domination qu’il prend pour de l’agression. Il est autonome et n’attend rien des autres. Il est curieux de tout et de tous...Une place dans la sociétéEn une vingtaine de pages, A LA RENCONTRE DU PEUPLE CHAT dresse le portrait d’un animal bien loin de l’être fourbe, sournois, infidèle, insensible, paresseux que nombre de nos semblables se plaisent à fustiger pour justifier leur maltraitance. Avec ce guide en forme de passeport d’entrée au monde des petits félins, One Voice entend réhabiliter le chat dans notre société qui compte plusieurs millions de chats abandonnés en raison de la méconnaissance des humains. Le chat a pourtant beaucoup à nous apprendre.Télécharger ou commander le guide. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 avril 2011 Vols de chats : la colère d’une association contre les autoritésDéplorant le manque d’implication des autorités face au nombre croissant de vols d’animaux de compagnie, une association écrit une lettre ouverte au président Sarkozy.Quand elle veut se faire entendre, Brigitte Déal, à la tête de l’association Victimes de Vols d’Animaux de Compagnie (VVAC), ne fait pas les choses à moitié.Cette Toulousaine a rédigé une lettre ouverte au président Sarkozy en prenant soin de la faire parvenir aussi au ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, au ministre de le Justice, Michel Mercier, et au préfet de la Haute-Garonne.Des plaintes négligéesBrigitte Déal demande à ces 4 personnalités politiques de « veiller à la stricte application des textes relatifs à la protection animale ».En effet, alors que les disparitions suspectes et les vols de chats croissent dans la région toulousaine, les propriétaires font parfois face à un mur lorsqu’il s’agit de demander de l’aide aux autorités.Une jeune femme, dont le chat a subitement disparu de son jardin, a eu toutes les peines du monde à déposer plainte au commissariat. « Les gendarmes n'ont pas voulu prendre ma déposition, il a fallu que je fasse un scandale au commissariat de Colomiers pour qu'on m'écoute enfin » raconte-t-elle.Un manque d’efficacité sur le terrainBrigitte Déal déplore également que des efforts en faveur de la protection animale ne soient pas relayés sur le terrain.Pour elle, les actes de mauvais traitement, de cruauté, d’élevage clandestin, de vol, de trafic ou encore d’extorsion de fonds ne sont pas pris au sérieux.Des phénomènes comme le kidnapping de chiens ou de chats avec demande de rançon à la clé ou comme l’enlèvement massif d’animaux de compagnie deviennent courant.Des indices, mais pas de pistePar-ci et par-là des témoins ont vu une fourgonnette, une plaque d’immatriculation, ont eu vent d’une adresse… Mais rien n’a vraiment bougé comme le souligne la présidente de l’association VVAC.Sans l’aide des autorités, les victimes de vols d’animaux de compagnie ne pourront pas faire entendre leur voix.Espérons que la classe politique prendra ce signal d’alarme au sérieux ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 avril 2011 L’incroyable histoire de Max, le chat miraculéVoilà un chat qui revient de loin !Si on a coutume de dire que les chats ont 9 vies, Max vient probablement d’en utiliser une pour survivre à une telle blessure.Cela nous rappelle encore une fois la formidable capacité de survie de nos animaux domestiques.En effet, ce n’est pas la première fois qu’un chat ou un chien survit à des accidents surprenants, voire à des actes de cruauté envers eux.Rappelez-vous des histoires récentes de ce chien resté 40 jours au fond d’un puit ou encore de Patrick, le chien torturé et retrouvé vivant par miracle.Une blessure impressionnanteOn souhaite tous à Max un prompt rétablissementBrad et sa femme Nancy ne se sont pas inquiétés quand ils n’ont pas vu leur chat rentrer à la maison début avril. L’animal à l’habitude de faire sa vie et de courir les toits du quartier de Santa Cruz, une ville de la côte californienne.Mais lorsque Max se décide à rentrer, c’est la panique qui s’empare d’eux. Le chat n’a pas ramené une petite proie comme il en a l’habitude mais revient avec une flèche plantée dans la tête !Brad déclare même :« C’est un chat très robuste. Quand je l’ai aperçu, il ressemblait à un costume d’Halloween. »Ils l’emmènent alors sans tarder chez le vétérinaire. Ce dernier va leur apprendre qu’aussi étonnant que cela paraisse, la flèche n’a pas percé le crâne de leur chat ni causé de dommages permanents.Max aurait gardé cet encombrant corps étranger pendant 24 heures avant de revenir chez lui. Il a certainement été désorienté à cause de sa blessure ce qui explique le temps qu’il a mis pour son retour.Qui est le coupable ?Si la piste de l’accident est envisageable, elle est toutefois peu probable.Mr Paquin pense plutôt qu’il s’agit d’un enfant du quartier qui a voulu s’amuser à tirer sur son petit chat de trois ans. La flèche est courte et provient certainement d’une arbalète.« S’il y a un problème avec un enfant qui ne réalise pas les conséquences de ses actes, ou qui a besoin d’aide et qui tire sur les animaux des voisins, cela doit être abordé», ajoute Brad.Pour le moment, aucun suspect n’a été arrêté mais les agents de contrôle des animaux interrogent le voisinage pour retrouver le coupable.En attendant, le couple à décidé de garder Max à la maison, le temps qu’il se remette et qu’un coupable soit arrêté. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 mai 2011 source : yahoo actualité À Chypre, le Monastère Sacré de St Nicolas est un véritable refuge pour des dizaines de chats, ce qui lui a valu son appellation originale il y a près de 2000 ans. En effet, cette invasion de félins n'est pas le fruit du hasard et possède une histoire qui n'est ni récente ni banale, rapporte le site OddityCentral. Supposément construit en l'an 327 par Kalokairos, le premier gouverneur byzantin de Chypre, le Monastère de St Nicolas était fréquenté par Sainte Hélène, la mère du grand Constantin. À cette époque, un terrible fléau affectait l'île de Chypre, qui se trouvait envahie par d'innombrables serpents venimeux qui compromettaient la construction du monastère. Une solution venue d'Égypte La légende raconte que Sainte Hélène, voyant les habitants fuir l'île peu à peu à cause des reptiles, eut l'idée d'importer 1000 chats depuis l'Égypte pour qu'ils combattent et éradiquent les serpents. C'est ce qui fut fait, et les chats ont accompli leur tâche pendant les années qui ont suivi : ils ont éliminé la plupart des serpents sur la péninsule d'Akrotiri, bientôt surnommée la "péninsule des chats". Des pèlerins du monde entier se sont depuis rendus sur l'île pour voir les gardiens du Monastère. Un document de la main d'un moine vénitien décrit les chats comme couverts de cicatrices, parfois mutilés ou aveugles du fait de leur combat incessant contre les reptiles. Selon les écrits du Père Stephen de Lusignan en 1580, les moines byzantins du Monastère de St Nicolas se sont vu attribuer les terres environnantes à une condition : qu'ils s'occupent de 100 chats au minimum, et qu'ils les nourrissent deux fois par jour. L'histoire raconte que les chats étaient si bien éduqués qu'ils comprenaient parfaitement les signaux sonores donnés par les moines. Ceux-ci utilisaient une ... lire la suite de l'article sur Zigonet Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites