L'actualité de la faune sauvage

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Non-lieu pour le chasseur qui a tué l'ourse Cannelle

PAU, 19 jan 2007 (AFP) - Une ordonnance de non-lieu a été rendue à Pau dans l'instruction sur la mort de l'ourse Cannelle, tuée par un chasseur en Vallée d'Aspe (Pyrénées-Atlantiques) en novembre 2004, a indiqué vendredi à l'AFP le procureur de la République Erick Maurel.

Le chasseur, René Marqueze, 64 ans, avait été mis en examen le 7 décembre 2004 pour "destruction d'espèce protégée". Il a toujours affirmé n'avoir tiré qu'en dernier recours, après avoir cherché à éviter l'animal à plusieurs reprises, lors d'une partie de chasse en montagne.

L'Etat ainsi que 19 associations environnementales s'étaient portées parties civiles dans le
dossier. Cannelle, dernière ourse de souche purement pyrénéenne, avait été abattue le 1er novembre 2004 sur la commune d'Urdos (Pyrénées-Atlantiques), provoquant une vague de protestation en France.

Le juge d'instruction de Pau, Jean-Luc Puyo, "a notifié sa décision aux parties", a précisé à l'AFP Erick Maurel, confirmant une information révélée par La République des Pyrénées dans son édition de vendredi. La décision "correspond aux réquisitions du procureur de la République", a-t-il ajouté.

La clôture de l'instruction avait été notifiée le 24 octobre dernier. Me Jean-François Blanco,
défenseur de deux associations environnementales engagées dans ce dossier, soutenait notamment que les chasseurs qui ont organisé la partie de chasse au cours de laquelle Cannelle a été tuée étaient parfaitement informés de la présence de l'ourse dans ce secteur. Le défenseur du chasseur inculpé, Me Thierry Sagardoytho, soutenait pour sa part que son client avait agi en état de légitime défense, l'ourse Cannelle, qui se trouvait alors avec son ourson, ayant chargé à plusieurs reprises le chasseur. Cette mort avait provoqué des réactions indignées en France, et le gouvernement avait peu après mis en place son plan de "renforcement de la population d'ours bruns dans les Pyrénées". On estimait
alors à moins de vingt le nombre d'ours dans le massif.

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Merci pour avoir passer cette information. Cordialement

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Lundi, deux panthères se sont échappées du zoo, en pleine journée. Elles ont dû être abattues. Mercredi, ce sont deux lynxs qui se promenaient en pleine journée.





Sur Le Post, le directeur adjoint du zoo en dit un peu plus sur ce qui aurait pu se passer.
Dans quelles circonstances les animaux se sont-ils enfuis?
"Les cages ont visiblement été ouvertes dans la journée, des visiteurs ont aperçu les deux félins. Le plus vieux, pas très effrayé, faisait les cent pas devant sa cage, montrant ainsi qu'il souhaitait y rentrer immédiatement. Il est né en captivité et n'a connu que cet environnement. Quant à l'autre, plus jeune et intrépide, il était plus perturbé, et est alors allé s'aventurer dans un bois au centre du zoo. Il a parcouru une centaine de mètres avant qu'on l'intercepte. Nous les avons tout de suite localisés puis anesthésiés."
Comment avez-vous réagi après ces fuites?
"On a renforcé la sécurité, nous avons changé les cadenas des enclos les plus dangereux. Nous avons également mis en place d'autres mesures que nous ne pouvons évidemment révéler. Avec 17 espèces de félins, des lions, des jaguars, des guépards, mais aussi des éléphants, et des girafes, on ne peut prendre aucun risque. Une girafe dans la nature pourrait provoquer de nombreux dégâts. Installer une vidéosurveillance nécessiterait de gros moyens à mettre en place vu que l'on a 120 espèces."
Quel est le profil de la personne qui aurait pu faire cela?
"A 99,9%, on s'oriente vers des actes de malveillance volontaire. Je ne vois pas comment une erreur humaine pourrait provoquer cela par deux fois en si peu de temps. Par exemple, pour les panthères, il faut savoir qu'un tel animal attaque l'homme à la jugulaire et vous tue en un rien de temps. La personne qui a fait cela ne doit pas posséder toutes ses capacités mentales, cela relève de la folie. Soit elle sait ce qu'elle fait et elle est folle, soit elle ne le sait pas et c'est de l'inconscience pure. Sans oublier que celui qui fait cela se met en danger en premier, allez ouvrir un enclos de panthères! C'est en outre une première depuis l'ouverture du parc il y a 36 ans..."
Que pensez-vous d'un tel acte s'il est avéré? Inconscience, vengeance ou volonté de libérer des animaux?

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Lundi, deux panthères noires se sont échappées du zoo de Pont-Scorff (Morbihan), contraignant son directeur à donner l’ordre de les abattre.



Bis repetita mercredi matin, selon Ouest-france.fr : ce sont cette fois deux lynx qui ont quitté leur enclos. Même si ces deux félins ne présentent pas les mêmes dangers pour la population que les panthères, une procédure similaire a aussitôt été mise en œuvre.
Rapidement, un premier lynx a regagné sa cage de lui-même, le second ayant été préalablement anesthésié au moyen d’un fusil hypodermique.
Pour autant, le rapprochement de ces faits s’avère très troublant, au point que le directeur Alain Le Héritte a décidé de porter plainte contre X en gendarmerie de Pont-Scorff.

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Dimanche matin, les élus de Saint-Victor-la-Coste, dans le Gard, ont découvert, dans les rues du village, le cadavre d’un sanglier, selon MidiLibre.
Avant de mourir, le sanglier avait été torturé.
Annick Hansen, l’adjointe au maire, a indiqué au Midi Libre que l’animal avait été «matraqué, saigné, lacéré, éventré, brûlé et laissé en place sur le parvis».
Le maire de la commune Robert Pizard-Deschamps a déposé une plainte contre X à la gendarmerie de Laudun-l’Ardoise.
Selon les élus, depuis le printemps, des actes d’incivilités se multiplient sur la commune.
Des actes d’incivilités qui ont atteint leur paroxysme avec la torture de cette bête sauvage, le week-end dernier.
Dans la région, tout le monde garde en mémoire l’histoire du petit chien Mambo torturé par deux jeunes, près de Perpignan.
«C’est l’escalade qui est inquiétante. Après un sanglier, ce sera quoi ? Un chien ? Puis un enfant ?» se demande la mairie, toujours au MidiLibre.

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[b]Un sanglier torturé à mort[/b]





GardCorps torturé d'un sanglier découvert à Saint-Victor-la-Coste : le maire porte plainte contre X


[i]J'espère que Léa n'a pas subi le même sort! Pauvre sanglier [/i]

Publié à 16 h 30 - C'est avec stupeur que les habitants de Saint-Victor-la-Coste ont retrouvé, ce week-end, le corps torturé d'un sanglier. Un acte de barbarie qui a poussé le maire de la commune, Robert Pizard-Deschamps, a porté plainte contre X auprès de la gendarmerie de Laudun l'Ardoise.

[b]L'animal avait été « matraqué, saigné, lacéré, éventré et brulé ». [/b]Pour le maire, cette découverte de torture est la goutte d'eau qui fait déborder le vase. En effet, plusieurs actes d'incivilités ont également été enregistrés sur la commune depuis le printemps.

Ce week-end, d'ailleurs, outre le sanglier torturé, des feux ont été allumés sur le parvis de la salle polyvalente de Saint-Victor-la-Coste, et un conteneur à ordures a été incendié.

Plus d'informations demain dans votre édition locale de Midi Libre

[b]VOS RÉACTIONS[/b]
http://www.midilibre.com/articles/2009/ ... 49153.php5

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Suffolk, Grande-Bretagne - Un hérisson dont la tête était coincée dans le trou pratiqué dans un mur a pu être secouru.



L'inspecteur Jason Finch a passé plus d'une heure à déloger le petit animal d'un trou où la partie avant de son corps était coincée. Avec l'aide d'un marteau et d'un burin l'animal a pu être extrait de la cavité dans laquelle il s'était engagé, et cela sans la moindre écorchure. Monsieur Finch a déclaré que l'animal devait être là depuis la nuit précédente, et que les secours étaient probablement arrivés à temps.

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/10/15/694626-Et-soudain-c-est-le-brame.html

Il est là… Tout près. Peut-être à une trentaine de mètres en surplomb de la route montant vers Thèbe. Olivier Merma l'a deviné, approchant les biches et maintenant on l'entend. Qui avance dans le bosquet. Trois souffles rauques. Une pause. Et le brame, profond, cri immémorial qui jaillit avant qu'il n'apparaisse l'espace d'un instant dans une trouée. Cerf magnifique, puissant, peut-être un dix cors, croit-on deviner de sa large ramure entre les branches.
Soir de semaine en Barousse… Ultime raie de lumière sur les crêtes des sommets dessinant un liseré blanc avant le noir de la forêt, derniers bruits de sonnailles, ponctués de bêlements, de meuglements… Mais surtout un concert qui désormais domine progressivement l'harmonie du soir, dans la lumière déclinante : celui des cerfs et de leur « chant amoureux » avant le rut. Brame toujours impressionnant entre échos, répétitions et résonances, dans cette vallée où se rencontre la plus forte densité de cervidés en milieu montagnard, en Europe.
Combat dans le village


Car, arrivé à Thèbe, il suffit de se garer et de suivre Olivier Merma entre chien et loup sur les sentiers pour se rendre compte que notre premier cerf observé, quand bien même il portait beau… était loin d'être singulier, très loin d'être le seul à se laisser approcher dans le secteur. « Tout à l'heure, il était là derrière dans le pré et il devait y avoir quatre ou cinq biches aussi » indique cette dame, à l'entrée du village. Petit chemin partant derrière chez elle… Olivier Merma s'engage. Accompagnateur en montagne et passionné, il connaît alors d'autant mieux son affaire qu'il a habité ici suffisamment longtemps pour savoir « que les cerfs descendent si près du village qu'un jour, on en a vu deux se battre dans une rue, au centre ».
Cent mètres, deux cents mètres, trois cents entre prés et taillis… Et soudain, l'oreille ne sait plus où donner. Un à gauche, un au dessus, non… deux à gauche, un au-dessus, un à droite, plus haut et un là, devant, à l'orée. Ils sont au moins quatre voire cinq, dans le périmètre, sur le versant est de Thèbe. Qu'on a sentis avant même de voir deux biches s'enfuir.
Forte odeur d'urine, fauve… « Le brame, c'est aussi une question de territoire, de marquage, de combat frontal, violent parfois, mais où la mort n'arrive que très rarement, par épuisement : lorsque deux cerfs se prennent les bois et n'arrivent pas à se dégager l'un de l'autre » rappelle alors Olivier comme disparaissent les détails du bois de chênes, que monte l'ombre. Et que la nuit convoque maintenant l'imaginaire, aux échos des appels, de plus en plus forts, de plus en plus proches.
Car tandis que « gueulent » ces messieurs, ou plutôt qu'ils raient ou réent, du verbe raire ou réer… tandis, donc, qu'ils « peuvent bramer des jours pour trente secondes de coït à l'arrivée » résume Olivier, c'est aussi autre chose qui parle à la mémoire. Tous les symboles que l'homme a attachés au cerf, puissance mystérieuse, éternelle force de vie et de renaissance.
Fertilité




Image préhistorique aux parois des grottes, silhouette de chaman dansant sous une peau de cerf, coiffé de leurs bois pour invoquer la fertilité des troupeaux dont dépendait la survie des peuples chasseurs ou rois de France l'ajoutant blanc et ailé à leurs armes comme symbole christique… l'image du cerf, célébrée par le seigneur en général et par Fébus en particulier comme le « gibier le plus noble » dépasse alors le cadre même de la chasse, pour toucher au mystère de l'éternel renaissance. « Tous les ans, vers février-mars, il perd ses bois, ce qui caractérise sa virilité même, disparaît dans la forêt, sans qu'on sache où il est, et tous les ans, quelle que soit leur importance, ses bois repoussent entièrement, ils sont totalement reconstitués vers le mois d'août, avant le brame, puis le rut » explique Olivier. Et c'est ainsi que se confondent en lui, dans les croyances, « la profusion de la sève et de la semence » et tous les principes « de la vigueur féconde » lit-on chez un spécialiste.
Vigueur impérieuse qui lui fait alors tout oublier de son environnement, au brame. Comme cet autre, appelé par Olivier, imitant son cri les deux poings devant la bouche, se dévoile à présent impavide, à une quarantaine de mètres. Rencontre rare, à tenter, jusqu'à la fin du mois, en Barousse…

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Essonne, France - Deux lionnes appartenant à un cirque sont sorties de leur cage mardi matin. Après une brève escapade qui n'a causé aucun dommage, elles ont été à nouveau enfermées.



Le cirque, installé entre Fleury-Mérogis et Sainte-Geneviève-des-Bois possède trois lionnes qui partagent la même cage. C'est aux alentours de 03h30 mardi matin que les employés du cirque ont été avertis d'un incident en entendant leurs chiens aboyer au dehors. Là, ils ont pu voir deux lionnes se promener à une trentaine de mètres, leur troisième comparse ayant préféré rester à l'intérieur. Agés de 6 ans et pesant 130 kilos, les deux félins ont été endormis par le groupe animalier des pompiers, qui les a ensuite ramenés dans leur cage. On ne sait toujours pas comment il a été possible pour les animaux de quitter leur abri.

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Gand, Belgique - Un cerf a été vu à plusieurs reprises dans les rues de la ville de Gand dans la nuit de mercredi à jeudi. La police, a tenté de l'attraper sans succès.



Le cerf est apparu pour la première fois aux alentours du parc de la Citadelle dans la nuit de mercredi à jeudi. La police avait réussi à encercler l'animal mais celui-ci s'est enfui pour ensuite réapparaître dans la Voskenslaan, au sud-ouest du parc. Là encore, il leur a échappé pour ensuite disparaître tout à fait. Les policiers n'ont toujours pas retrouvé sa trace.

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Luxembourg - Une panthère noire qui se promène en liberté dans le nord-est de la France depuis quelques mois a cette fois-ci été aperçue au Luxembourg. Lire la suite l'article

La panthère avait été vue pour la première fois en Meurthe-et-Moselle fin août. Elle a ensuite été identifiée par plusieurs personnes dans la région transfrontalière franco-belge. Vendredi dernier, l'animal était à Bouillon en Belgique et dimanche 25 octobre elle a été identifiée à Niederkerschen au Luxembourg.Très mobile, la panthère est activement recherchée par la police luxembourgeoise, qui a déployé de grands moyens pour la retrouver : hélicoptères et équipes cynophiles. Elle n'a toutefois pas encore été retrouvée. Selon la police française, la panthère noire se serait échappée de chez un particulier et ne représenterait pas un danger pour l'homme

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S'il vous plaît, aidez-nous à déplacer les éléphants maltraités vers la liberté

Dumasini, le jeune mâle, est mort de mauvais traitements et de négligence. S'il vous plaît, aidez-nous à déplacer les neuf éléphants qui restent.

Cher(e) france,

Je viens juste de promettre 17 000 euros pour déplacer neuf éléphants qui avaient été sérieusement maltraités par une société organisatrice de safaris.

Les pachydermes ont été arrachés à leurs familles afin d'être dressés pour permettre à de riches touristes d'expérimenter les safaris à dos d'. Emprisonnés pendant six mois pour être soi-disant dressés, les éléphants étaient maltraités physiquement dans le but de les soumettre totalement ... Maintenus sans eau et sans possibilités de s'abriter des rayons ardents du soleil africain, ces derniers ont été découverts affamés et souffrant de plaies profondes et douloureuses.

Les éléphanteaux étaient séparés de leurs mères et n'avaient pas droit au lait nourrissant dont ils ont besoin pour grandir en pleine santé. Malheureusement, je viens d'apprendre que l'un de ces éléphanteaux, un jeune mâle dénommé Dumasani, vient de mourir de ces mauvais traitements.

Je fais appel à vous pour nous aider à collecter les 17 000 € dont nous avons besoin pour couvrir les frais de translocation de ces éléphants.

S'il vous plaît, aidez-nous au plus vite. Nous espérons déplacer les éléphants le 27 octobre ; il reste donc moins d'une semaine.

Chers amis, lorsque 83 éléphants étaient menacés d'exécution au Malawi en juillet dernier, les donateurs d'IFAW leur sont venus en aide et ont permis de déplacer ces éléphants et les mettre en lieu sûr.

Aujourd'hui j'ai besoin de vous. Les éléphants ont besoin de vous. Une fois de plus.

Nous avons besoin en urgence de collecter les fonds nécessaires pour transporter ces éléphants jusqu'à un lieu sûr. Votre don aidera à :

• fournir les traitements vétérinaires et les médicaments nécessaires pour anesthésier et déplacer les éléphants
  
• obtenir les camions spécialement équipés et les véhicules d'assistance essentiels
  
• nourrir et hydrater les éléphants pendant les 4000 km du voyage vers leur nouvel habitat
  

Vous pouvez nous aider à arrêter leur souffrance. Merci de votre soutien.

Les éléphants seront déplacés jusqu'au parc national Hwange, la plus grande réserve protégée du Zimbabwe. Une fois là-bas, ils pourront vivre en toute sécurité, libres et loin des chaînes de la captivité et des coups de leurs anciens ravisseurs.

Les éléphants sont des êtres sociaux et émotifs, avec un sens aigu de la famille. Ils éprouvent de la peine, pleurent, jouent, et semblent même ressentir la joie. Aucun animal ne devrait jamais souffrir ainsi, et je suis persuadé que vous êtes aussi scandalisés que je le suis face à la douleur que ces pachydermes ont dû endurer.

Pouvez-vous imaginer le sentiment de soulagement et de joie qu'ils ressentiront lorsqu'ils poseront pour la première fois le pied dans ce nouvel habitat spacieux et protégé ?

Cela peut arriver grâce à VOUS.

La première fois où j'ai entendu parler des mauvais traitements et des négligences qu'ils avaient subis, particulièrement les plus jeunes, j'ai ressenti l'obligation d'engager les 17 000 € nécessaires pour les déplacer, même si cela impliquait de prélever des fonds sur d'autres campagnes afin de subvenir à cette urgence. Aujourd'hui, j'ai besoin de vos dons, non seulement pour permettre la translocation de ces éléphants, mais aussi pour nous aider à continuer de protéger les phoques, les baleines et les tigres, tout comme nos compagnons à quatre pattes et tant d'autres qui ont besoin de notre assistance. Vos dons nous permettront de réaliser notre mission essentielle qui est d'aider les animaux, et ils seront utilisés immédiatement, là où ils sont le plus utiles.

Ces éléphants comptent sur vous. Merci de les aider aujourd'hui.

Merci,


Fred O'Regan
Directeur Général d'IFAW

P.S. Comme vous le savez, IFAW a déjà réussi plusieurs opérations de déplacement d'éléphants... depuis le repeuplement du Parc national Meru, au Kenya, par 66 éléphants... jusqu'à la translocation de 83 éléphants qui ont évité l'abattage au Malawi en juin dernier. Nous avons le savoir-faire et l'équipement. Maintenant nous avons simplement besoin de vous. Merci de votre soutien. La moindre somme peut réellement faire la différence.

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/10/29/704144-Ils-ont-eu-la-peau-de-l-anti-ours.html


PNP. La présidente de l'ASPP 65 radiée du conseil d'administration du Parc national des Pyrénées.



Les défenseurs de l'ours ont eu la peau de Marie-Lise Broueilh. Voilà ce que pense la présidente de l'Association pour la sauvegarde du patrimoine pyrénéen (ASPP 65), évincée du conseil d'administration du Parc national des Pyrénées (PNP). Retour sur un imbroglio politico-environnemental.
En préambule, il convient de rappeler que Marie-Lise Broueilh siégeait dans le précédent conseil d'administration du PNP en qualité de personne qualifiée, compétente en matière d'agriculture. Un membre de France Nature-Environnement (FNE) y siégeait en qualité de personne qualifiée, représentant d'associations de protection de l'environnement.
S'agissant du nouveau conseil d'administration, un arrêté du 15 juillet 2009 nomme Marie-Lise Broueilh au CA du PNP au titre de représentante des associations de défense de l'environnement. Exit le représentant de France Nature-Environnement.
Une anti-ours à abattre


Les associations de défense de l'environnement vivent cette nomination comme une provocation. « Comment, une anti-ours va siéger à notre place ! ». Ils jugent cela inadmissible et font un recours gracieux auprès du ministère de l'écologie. Lequel rend un arbitrage en faveur de France Nature-Environnement.
Dans un arrêté modificatif du 17 septembre, le ministère de l'écologie se livre à une opération de chaises musicales. France Nature-Environnement retrouve son siège au titre de l'environnement. Marie-Louise Broueilh est « versée » à celui de l'agriculture. Bernard Souberbielle, qui occupait ce fauteuil de l'agriculture, se voit doté d'un siège attribué jusque-là à un fonctionnaire du ministère de l'Agriculture.
On pense avoir trouvé un compromis. Le conseil d'administration se réunit d'ailleurs le 9 octobre et se choisit un président en la personne d'André Berdou, conseiller général de Laruns. Marie-Lise Broueilh et Bernard Souberbielle participent au vote. Mais ils ne goûtent guère leurs nouvelles attributions. Ils souhaitent que l'on revienne au premier arrêté. Et ils s'en ouvrent à Jean-Louis Cazaubon, président de la chambre d'agriculture. Dans un courrier adressé à la préfète des Hautes-Pyrénées, Jean-Louis Cazaubon demande à ce que Marie-Lise Broueilh siège au PNP au titre de l'environnement et que Bernard Souberbielle y soit au titre de l'agriculture.
Mais le ministère a déjà arbitré une première fois sur le poste de l'environnement et il ne revient pas dessus. Dès lors, un 3e arrêté, datant du 16 octobre, replace Bernard Souberbielle à l'agriculture et signifie sa radiation du conseil d'administration du PNP à Marie-Lise Broueilh. Laquelle attaque ce troisième arrêté. La juridiction administrative tranchera.
Réactions. Marie-Lise Broueilh commente son éviction.


L'indésirable est à l'affût


« Je suis quelqu'un d'indésirable car je représente une autre force de proposition de développement durable. » Marie-Lise Broueilh se dit victime d'une chasse à l'homme de la part des associations écologistes. « C'est facile pour eux d'arriver à leurs fins. Il y a de nombreux fonctionnaires du ministère de l'écologie issus de ces associations. Cela dépasse l'entendement que le ministère de l'écologie se mette à plat devant l'écologie sectaire. »
Aucun coup fourré


Marie-Lise Broueilh estime que ces associations de défense de l'environnement n'ont pas « pris la mesure de ce qu'était le développement durable : l'environnement, l'économie, le social et le culturel. Ils ne voient l'écologie que par le prisme de l'ours, de l'ensauvagement des territoires ».
Interrogée sur le courrier de Jean-Louis Cazaubon, président de la chambre d'agriculture, elle déclare : « Il n'y a aucun coup fourré de la part du président de la chambre d'agriculture. Il n'a pas réclamé ma tête ».
Ce que confirme Jean-Louis Cazaubon : « Il n'y a aucun problème avec Marie-Lise Broueilh. Bernard Souberbielle et Marie-Lise Broueilh m'ont fait part de leur souhait de revenir à la composition de départ. Marie-Lise Broueilh à l'environnement et Bernard Souberbielle à l'agriculture. Voilà ce que j'ai demandé avec leur accord ». Et d'ajouter : « L'ASPP 65 a une vision du développement durable qui est dans l'esprit du Grenelle de l'environnement. Le Parc a besoin de l'agriculture pour l'entretien des espaces. Sinon, on va au-devant de catastrophes écologiques ».
Gilles Perron, directeur du PNP, indique pour sa part qu'il « n'y a pas une volonté de l'état de sortir Mme Broueilh du CA ».
André Berdou, président du PNP, confie : « Je ne peux que regretter cette situation. Le CA et moi-même n'y sommes pour rien. Chacun est resté libre de ses désignations. C'est dommage de se priver de représentants comme Mme Broueilh ». Et d'indiquer qu'elle pourra probablement intégrer le futur conseil économique et social qui sera mis en place dans le cadre de l'élaboration de la charte du PNP.
Marie-Lise Broueilh, elle, qualifie sa mise à l'écart « d'erreur stratégique » sur le mode, il vaut mieux avoir le loup dans la bergerie qu'à l'extérieur. « Dehors, on ne va rien laisser passer. Ils vont nous avoir en face. » Qu'on se le dise, Marie-Lise Broueilh est à l'affût.

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Etats-Unis - Un coyote percuté par un automobiliste a survécu coincé pendant huit heures dans le moteur du véhicule. Il a ainsi voyagé plus de 1.000 kilomètres. Par chance, l'animal n'avait que quelques égratignures.



L'animal a été heurté par une voiture alors qu'il traversait la route. Les deux passagers pensant que la collision avait été fatale pour celui-ci ont donc continué leur route. C'est en arrivant dans le Nevada, après avoir voyagé plus de huit heures, que le conducteur s'est décidé à inspecter les dégâts causés par l'accident. "Tout de suite j'ai remarqué la fourrure et j'ai dit à ma soeur 'Ne regarde pas ce n'est pas joli'." raconte Daniel East, l'automobiliste. C'est alors qu'il a découvert le coyote encore vivant coincé entre le pare-choc et le radiateur de la Honda. L'animal a, non sans mal, été extirpé de l'avant du véhicule. Le coyote, baptisé "Tricky" par Daniel et sa soeur, a été conduit dans un centre de soins. Il porte d'ailleurs bien son nom (Tricky signifie "difficile" mais aussi "malin"), car il s'est échappé du centre trois jours après l'accident. Voir les images du sauvetage : http://www.zigonet.com/coyote/etats-unis-un-coyote-coince-dans-le-pare-chocs-d-039-une-voiture_art8560.html

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Zimbabwe - Le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) organise le sauvetage de neuf éléphants victimes d'actes de cruauté dans une société de dressage organisatrice de safaris.



Les éléphants ont été saisis en avril 2009 à l'issue d'une inspection de la ZNSPCA (Société nationale de prévention de la cruauté envers les animaux du Zimbabwe) qui a découvert les méthodes cruelles et les tortures infligées aux pachydermes afin de les "apprivoiser et dresser" pour l'industrie du safari à dos d'éléphant, une activité touristique populaire au Zimbabwe et partout ailleurs en Afrique australe.
La ZNSPCA a sollicité l'aide de l'IFAW pour assurer le déplacement de ces éléphants vers une zone sûre dans le but de les réhabiliter et de les relâcher dans la nature. "Ces éléphants ont été victimes des pires cruautés pour alimenter une industrie du safari qui est indéfendable" déclare Neil Greenwood, porte-parole d'IFAW Afrique australe. Il ajoute : "En fait, ce sont 10 éléphants qui ont été capturés. Malheureusement, l'un d'entre eux est mort de malnutrition et des sévices dont il a été victime. Cette situation a conduit l'IFAW à constituer une équipe d'experts pour transférer les neuf éléphants restants en sécurité'.

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Midlands, Angleterre - Il y a 12 semaines, une lionne blanche du Safari Park de Midlands, dans le Worcestershire, a donné naissance à trois petites femelles. Des naissances rares et attendues, en raison de la rareté des ces animaux sur la planète.



Portia, Phoebe et Pandora pesaient environ 15 kilos chacune à leur naissance au Safari Park. Le trio à fourrure blanche fait désormais la fierté de la réserve. « Les lionceaux commencent à avoir du caractère, sont très enjoués et se mélangent un peu aux autres » a annoncé Angela Potter, la directrice du zoo.
Les trois petites femelles sont en bonne santé, tout comme leur mère. Elles ont fait leurs premiers pas dans la réserve principale du zoo sous le regard des visiteurs. Elles contribuent aujourd'hui au succès du Safari Park, dont elles sont devenues l'attraction majeure.
Les quelques rares lions blancs vivant dans le milieu naturel se trouvent principalement dans différentes réserves d'Afrique du Sud.Découvrez les images : http://www.maxisciences.com/lion-blanc/naissance-de-trois-lions-blancs-en-angleterre_art4211.html

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Minnesota, États-Unis - Le biologiste Lynn Rogers a suivi une famille d'ours noirs dans son milieu naturel durant une année complète.



C'est dans la forêt des North Woods, dans le Minnesota, que le biologiste Lynn Rogers a suivi une ourse et ses trois petits dans leur environnement naturel, une année durant. L'homme a utilisé la technique controversée du nourrissage pour nouer un lien de confiance avec ces animaux sauvages, vedettes du documentaire "Bearwalker of the Northwoods" diffusé sur BBC Two. On y découvre les ours noirs (Ursus americanus) sous un autre jour, le Dr Rogers les présentant comme des animaux plus nerveux qu'agressifs, chiffres à l'appui. Selon lui, seul un ours sur un million est responsable d'une mort humaine, contre un homme pour 18.000.Découvrez les images : http://www.maxisciences.com/ours-noir/une-famille-d-039-ours-noirs-suivie-dans-son-environnement-pendant-1-an_art4280.html

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Devon, Grande-Bretagne - Un hérisson a été retrouvé vacillant après avoir consommé des pommes fermentées. L'animal a été conduit dans la ferme de Prickly Ball, qui fait office d'hôpital pour hérissons.



Le hérisson, surnommé Tipsy, a été retrouvé dans un verger alors qu'il couinait fort. Amenée à l'hôpital des hérissons situé dans une ferme non loin de là, la bête s'est réveillée le lendemain matin dans un état second, malgré les antibiotiques qui lui ont été administrés. Ann McCormack, la femme qui a secouru l'animal, a déclaré que c'était bien la première fois qu'elle voyait un hérisson ivre.

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http://fr.news.yahoo.com/51/20091103/tod-dcouvrez-en-images-le-premier-ours-s-5c84a02.html



Elle n'a pas l'air triste, elle est tout simplement imberbe ! Dolores est une ourse qui était tout à fait normale jusqu'à ce qu'un virus la touche ainsi que ses semblables de ce zoo de Leipzig, en Allemagne, et que leurs fourrures tombent peu à peu.



Dolores est la plus marquée de toutes, mais il se peut que ce virus fasse le tour de l'Europe... Du reste, en attendant que les humains trouvent un vaccin, Dolores exhibe son non-pelage à la vue des badauds venus se divertir...
Le monde continue de tourner, les ours perdent leurs poils...
Ou bien, hypothèse, ces ours ont succombé aux bienfaits du courant metrosexuel que nombre de précieux affectionnent particulièrement, en mettant un point d'honneur à enlever tout poil de leur corps ?

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Temuka, Nouvelle Zélande - En se promenant sur une plage, une Néo-Zélandaise a découvert un amas de matière qui lui a semblé étrange. Croyant avoir affaire aux reste d'une créature extraterrestre, elle a prévenu la presse. Il s'est finalement avéré que la "créature" était en fait les restes d'un cachalot macrocéphale.



Rose Fraser marchait le long de la plage lorsqu'elle a aperçu un étrange amas sur le sable. Elle a tout d'abord pensé à un énorme morceau de bois, mais elle a changé d'avis en s'approchant de plus près. "Je dois admettre avoir pensé qu'il s'agissait peut-être d'un extraterrestre. Ça avait des sortes d'énormes os, comme des côtes, mais cela pouvait aussi bien être des tentacules" explique-t-elle. Après avoir pris soin de vérifier à l'aide d'un bâton que la chose n'était pas vivante, Rose Fraser a prévenu la presse. Une photographie a été prise et envoyée à des experts de l'université d'Otago. Après de nombreuses interrogations, un consensus a été établi : il s'agirait en fait d'un morceau de la tête d'un cachalot macrocéphale qui se serait échoué sur la plage.

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/11/05/708130-Sentein-L-ours-depece-une-brebis-dans-le-Couserans.html

Consternation chez Michel Estrémé, qui élève un troupeau de quelque 180 bêtes du côté de Seintein, en Couserans, et plus précisément à Laspé, un petit hameau de deux maisons perché à 1100 mètres d'altitude. Lundi soir, prévenu par le groupe de suivi de l'ours de la présence Hvala dans le secteur, il décide de faire rentrer son troupeau, pour le mettre à l'abri (lire ci-contre). Mais, au matin, mardi, c'est la pénible surprise : « Une de mes brebis a été attaquée, sans doute par Hvala, à quelques mètres de la maison où demeure mes parents, au pied de la bergerie », relate l'éleveur, dépité. Les restes de l'animal sont disséminés dans le pré. Les traces relevées dans la terre meuble témoignent visiblement du passage de l'ours. Cependant, pour en avoir la certitude, un technicien, comme c'est habituel, devra procéder à des analyses d'excréments retrouvés sur place.
Sans attendre ces résultats qui, pour lui, ne font aucun doute, Michel Estrémé, leader du pastoralisme en Couserans (1) ne cache pas sa colère : « Là, on est vraiment comme dans une guerre. Nous sommes attaqués en permanence. Je suis très inquiet pour la prochaine transhumance. D'autant qu'on n'avait jamais vu d'attaques aussi bas. Il faut trouver une solution pour que ça s'arrête, sinon, c'est la fin du pastoralisme. Les protections qui sont mises en place ne suffisent pas. Et les éleveurs vont se dégoûter ». Dans le secteur, la dernière attaque remonte au début du mois d'octobre, toujours du côté de Sentein, à 500 mètres du hameau de Fréchendech. Une attaque que certains, déjà, avaient mis sur le compte de l'ours Hvala.
(1) Il est président de Transhumance en Biros.
« Le reste du troupeau miraculé »


« J'ai eu une chance qui tient du miracle, explique Michel Estrémé. Comme je savais que l'ours Hvala se trouvait dans le secteur, j'ai décidé, lundi soir, d'enfermer mon troupeau dans la bergerie, même si, habituellement, elle ne descend pas aussi bas. Et surtout, elle ne franchit jamais la départementale. Du coup, seule une brebis, qui s'était égarée, avec deux agneaux a passé la nuit dehors. Les deux petits ont eu de la chance et se sont échappés. Par contre, l'ours n'a pas épargné la brebis ». Mais le résultat aurait pu être bien pire, selon l'éleveur, si tout le troupeau s'était trouvé dehors, sur son passage .

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Leipzig, Allemagne - Les ours à lunettes femelles du zoo de Leipzig perdent mystérieusement leurs poils. L'équipe soignante ne peut expliquer ce phénomène.



Les vétérinaires du zoo de Leipzig ne comprennent pas ce qui affecte ces ourses. En effet, elles perdent totalement leur fourrure, apparaissant nues, à l'exception de quelques touffes de poils autour de la tête. Certains experts pensent que l'origine de cette soudaine alopécie pourrait être un problème génétique, mais ne trouvent cependant aucune solution à la condition physique des ourses. Ces dernières, originaires d'Amérique du Sud, sont en général couvertes d'une abondante fourrure brune qui s'épaissit au moment de l'hiver. Les vétérinaires tentent de résoudre ce problème et ont pour l'instant décidé d'augmenter la température de l'enclos afin que les ourses ne souffrent pas trop durant l'hiver. En attendant, les visiteurs curieux s'empressent d'aller découvrir ces animaux peu communs.Pour voir les images : http://www.zigonet.com/maladie/allemagne-les-ours-d-039-un-zoo-perdent-mysterieusement-leurs-poils_art8717.html

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/11/09/710826-Portet-d-Aspet-Marie-Francoise-et-Rene-ont-croise-l-ours.html

« Ce jour-là j’ai vraiment eu très très peur ». Marie-Francoise, 57 ans,n’en revient toujours pas. Le 14 octobre sur les coups de 15h30,elle a rencontré, avec son mari René, 72 ans,le plus célèbres des habitants des Pyrénées. « Nous étions à 20/25 mètres et j’ai d’abord cru voir un arbre alors que ma femme était vraiment paniquée » explique René, randonneur d’expérience et adepte des ballades sur l’ensemble de la chaîne depuis son plus jeune âge.
« Je voulais vite remonter mais mon mari ne me croyait pas. Jusqu’à ce qu’il se rende compte qu’en fait l’arbre bougeait» en rigole-t-elle aujourd’hui. «Il mangeait des branches et ne s’est pas réellement occupé de nous. Nous nous sommes éloignés tandis qu’il continuait ses activités ».
Le couple n’a pas couru ou fuit l’animal, réaction à ne surtout pas avoir devant lui.
L’ANIMAL AURAIT FAIT PAS MAL DE DÉGÂTS


«De toute façon, ça grimpait vraiment trop dur dans le coin ». L’endroit exact de la rencontre, la cabane Pellepoutch, ou autrement nommée cabane Bayet. Le tout au-dessus du col du Portet
d’Aspet, à quelques kilomètres de la résidence des deux randonneurs. C’était bien entendu la première fois en plusieurs décennies de ballades qu’ils croisaient l’ours.
Dont l’identité est difficile à connaître aujourd’hui. Il aurait effectué pas mal de dégâts dans les coins dans les jours qui ont suivi. Une douzaine de carcasses de brebis ont en effet été retrouvées pour au total, une vingtaine de bêtes tuées.

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Citation:

Le Conseil fédéral Suisse veut réduire le niveau de protection du loup et donner davantage de compétences aux cantons pour la régulation des espèces protégées. Le WWF Suisse « demande au Conseil fédéral d’être plus courageux. » Pour le WWF Suisse, « le Conseil fédéral n’a résolu aucun problème avec sa décision à propos du loup, mais il a cédé à la pression des éleveurs », affirme Kurt Eichenberger du WWF Suisse. L’organisation environnementale critique la décision fédérale de rétrograder le statut de loup d’espèce «de faune strictement protégée» à «espèce de faune protégée ». Le WWF Suisse critique aussi la volonté de donner davantage de compétences aux cantons pour qu’ils puissent abattre des loups. « Actuellement, la Suisse est le pays d’Europe à abattre le plus grand nombre de loups, en proportion à leur population. Ce serait le devoir des autorités de s’occuper enfin de mesures de protection des troupeaux », déplore Kurt Eichenberger. Un point positif à relever toutefois, selon le WWF Suisse, c’est que la Confédération ne veut pas dénoncer la Convention de Berne. Il s’agit de l’accord signé par 46 Etats et l’Union européenne et qui place le loup et d’autres animaux sauvages sous protection. La Suisse a déjà essayé par deux fois de déclasser le statut du loup. Elle a adressé une telle demande aux Etats-membres de la Convention, sans succès. Le loup abattu le 20 août dernier dans le val d’Illiez.

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Citation:

Invitée surprise d'un match de la NBA (San Antonio-Sacramento), le championnat professionnel nord-américain de basket-ball, une chauve-souris s'offre quelques tours endiablés. Une ronde suffisante pour distraire les spectateurs, interrompre la partie, disputée le 31 octobre, jour de Halloween. Une valse fatale foudroyée par une gifle de l'Argentin Manu Ginobili. Applaudissements nourris des supporteurs. Gros succès sur Internet. Avant la foudre déclenchée par l'association Peta, société protectrice des animaux outre-Atlantique qui, outrée, livre : «Pour frapper un animal de 110 grammes jusqu'à la mort, il faut être soit un petit homme, soit un homme qui ne réfléchit pas du tout, avec aucun respect ou aucune considération pour les autres vies que la sienne. Les athlètes doivent se comporter au mieux avec tous les animaux et montrer qu'ils ont un cerveau et un cœur, pas juste des muscles et des réflexes. (…) Nous espérons que la prochaine fois, Manu Ginobili prendra quelques secondes pour réfléchir avant d'agir.» Un cri amplifié par l'écho d'une vague de signatures sur le site de l'association.

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Thargomindah, Australie - La petite ville de Thargomindah, située dans l'outback, est complètement envahie par des kangourous.





Thargomindah est une petite ville du Queensland qui compte habituellement environ 200 habitants. Mais des centaines de kangourous y ont désormais élu domicile, divaguant dans les rues ou les jardins. Les raisons de cette invasion ne sont pas claires.Selon certains, les marsupiaux se seraient rapprochés de la ville, poussés par la sécheresse qui sévit dans l'arrière-pays : leur quête de nourriture et d'eau les mènerait vers les villes. Pour d'autres, le nombre de kangourous aurait augmenté en raison de la baisse de la demande de viande de kangourou provenant de Russie. Plus nombreux, ils n'auraient pas assez de nourriture dans l'outback

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/11/12/713491-Ours-disparus-l-omerta-des-montagnes.html

Producteur et éleveur aux Cabannes, en Haute-Ariège, Philippe Lacube, par ailleurs membre fondateur de l'ASPAP (Association pour la défense du patrimoine d'Ariège-Pyrénées), est convoqué aujourd'hui, à 9 heures, chez les gendarmes de Foix. Objet de cette convocation ? C'est lui qui a déclaré en septembre à « La Dépêche du Midi » qu'au printemps dernier deux ours ont été abattus en Haute-Ariège. Une déclaration retentissante qui a généré une enquête d'abord administrative puis juridique demandée par la secrétaire d'État à l'Ecologie, Chantal Jouanno. C'est dans le cadre de cette enquête que Philippe Lacube sera entendu, après des dizaines d'éleveurs ariégeois passés dans le bureau des gendarmes.
Hier, Philippe Lacube était en vacances au Maroc où nous avons pu le joindre. Il s'apprêtait à prendre l'avion pour « revenir au pays ». Il raconte : « J'ai été appelé sur mon portable pour venir à la gendarmerie de Foix. J'y serai. Mais je continue à assumer ce que j'ai dit et je ne lâcherai rien par rapport au fait qu'un ou deux ours aient été tués. C'est l'omerta des montagnes qui prévaut en la matière. En revanche, je considère la disproportion des moyens déplacés face à l'événement comme énorme. Pendant plus d'un mois, les gendarmes ont entendu les éleveurs ariégeois qui sont tous restés sous la loi du motus et bouche cousue. J'espère qu'ils ont compris qu'il ne fallait pas s'attendre à quoi que ce soit de notre part. Aujourd'hui, ce qui est important, en Ariège, ce n'est pas ma convocation, mais les obsèques de Jean-Pierre Laguerre, éleveur à Saint-Pierre-de-Rivière, auxquelles je me rendrai. Car lui aussi symbolisait cette résistance rurale à laquelle nous tenons tant. »
Hier, un comité de soutien à Philippe Lacube s'est constitué immédiatement. Il viendra manifester ce matin devant la gendarmerie de Foix pour soutenir le producteur. Une nouvelle priorité après la manifestation monstre des chasseurs ariégeois sur les allées de Villote ? Certainement. Car tous les agriculteurs du département ont décidé de soutenir leur chef de file. Nous ne saurons toujours pas ce soir qii quelqu'un a tué « Boutxy » et un autre ours.

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La glace d'un lac du nord de la Suède a cédé cette semaine sous le poids d'un troupeau de rennes et des centaines d'animaux se sont noyés.





Le troupeau d'environ 3.000 têtes était guidé par des bergers Sami de la rive occidentale à la rive orientale du lac Kutjaure lorsque, pour une raison inconnue, des rennes qui se trouvaient en tête ont brusquement fait demi tour, ce qui a fait céder la glace, entraînant dans l'eau des centaines de bêtes.
"Dans l'agitation qui a suivi, l'ensemble du troupeau s'est mis à tourner en rond, ce qui a encore accru la pression sur la glace", a expliqué Erik Gustavsson, un responsable régional.
Le lac Kutjaure, situé au-delà du cercle Arctique, est utilisé depuis des décennies pour la migration des rennes de leurs pâturages d'été à la région où ils passent l'hiver.
Bertil Kielatis, chef du village Sami de Sirges, auquel appartient le troupeau, a déclaré que la perte pourrait se chiffrer à des centaines de milliers de dollars.
Deux hélicoptères ont aidé vendredi les bergers à retirer les carcasses du lac. Comme il reviendrait trop cher de les enterrer, elles seront probablement disséminées dans la nature.
Jens Hansergard, version française Nicole Dupont

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Johannesbourg, Afrique du Sud - Au Safari Land Park il est possible de traverser l'ensemble du parc à bord de son véhicule. C'est ainsi que des personnes se sont retrouvées nez-à-nez avec un lion qui est parvenu à ouvrir la portière de leur voiture.



Les visiteurs du parc sont pourtant avertis à l'entrée de bien fermer les fenêtres et de verrouiller les portes de leur véhicule. Pourtant ceux-ci n'en ont pas tenu compte et ont eu une mauvaise surprise... Un jeune lion s'est approché de la voiture à l'arrêt et est parvenu à ouvrir la portière arrière à l'aide de ses dents. C'est une famille de touristes britanniques qui se trouvait derrière le véhicule en question qui a pu prendre ces images. D'après elle, la Toyota blanche est restée immobile un certain temps, puis la portière a été refermée par l'un des occupants. Le conducteur s'est ensuite dirigé vers la sortie de l'enclos, avec le lion à ses trousses. Un gardien du parc a donc jeté une pierre dans la direction du fauve afin de le faire rester à l'intérieur de l'enceinte. Au final, plus de peur que de mal pour ces touristes qui se souviendront probablement longtemps de cette visite au Safari Park. Pour voir les images : http://www.zigonet.com/lion/un-lion-ouvre-la-portiere-d-039-une-voiture_art8954.html

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Suite au signalement le 18 novembre de 2 jeunes lynx en difficulté aux portes de Pontarlier, nous avons passé une journée et une nuit sur le terrain capture-fario-4-copieavec l’ONCFS (SD25) pour tenter sans succès de les recontacter et de les capturer. La mère de ces jeunes est vraisemblablement morte (pas d’appel nocturne, jeunes désorientés), et en l’absence de collision routière immanquablement signalée en milieu aussi urbanisé, chacun pourra tirer les conclusions qui s’imposent, en ces périodes de battues au grand gibier… Le SD25 et nous avons placé 2 cages piège pour tenter de reprendre ces 2 jeunes. Le réseau naturaliste local est alerté, et toute info récente (postérieure au 19 novembre 13h) sur un contact visuel est bonne à prendre.
Bien sûr, en cas d’observation, nous déconseillons toute tentative d’approche, de nourrissage et toute publicité pour conserver les chances de capture intactes. En effet, ces jeunes sont condamnés à brève échéance s’ils ne sont pas capturés rapidement. Ils ne représentent bien entendu aucun danger pour la population, pour autant qu’on ne cherche pas à les approcher ou les manipuler. Toute personne les apercevant est invitée à nous contacter d’urgence au 03 84 24 66 05 ou au 06 76 78 05 83

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http://lci.tf1.fr/insolite/2009-11/le-kangourou-veut-noyer-le-chien-il-attaque-son-maitre-5554365.html

Il ne fait pas bon au pays de Skippy, de contrarier un kangourou. Un homme a été grièvement blessé par un kangourou, alors qu'il tentait de sauver son chien que l'animal tentait de noyer.

L'incident s'est produit sur un plan d'eau proche de Melbourne, dans le sud-est de l'Australie. Un homme s'est jeté à l'eau pour sauver son chien qu'un kangourou avait attrapé et maintenait sous l'eau.

L'animal s'en est alors pris au propriétaire, âgé de 49 ans. Il l'a profondément entaillé à l'abdomen, sur la figure et l'œil. L'homme a aussi été griffé sur le torse, les bras et la figure selon les secouristes.

Près de 4 millions de kangourous sauvages sont tués chaque année en Australie pour empêcher une reproduction excessive. Au total près de 50 millions de kangourous vivent en Australie.

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Citation:

La police a été informée vers 16.15 heures qu'un homme était tombé dans le parc en aval du Nydeggbrücke. L'ours «Finn» a attaqué l'intrus et un policier a tiré sur l'animal. Blessé, ce dernier est rentré dans son refuge. Les secours et les pompiers ont alors pu venir en aide au jeune homme. Il souffre de blessures à la tête et aux jambes. Des témoins affirment qu'il a passé par-dessus les enceintes du parc. «Alors qu'il était dans la fosse, les badauds ont tenté de distraire l'ours», rapporte un lecteur-reporter. Les tentatives ont été infructueuses. La victime a également essayé de se défendre elle-même et ainsi, a probablement excité l'attention de l'animal. L'homme a ensuite été attaqué par l'ours et mis à terre. On ne sait pas pour le moment dans quelle mesure l'ours a été blessé. Il a été confié à un vétérinaire. Citation: L'ours Finn n'est pas encore tiré d'affaire. "Finn va un peu mieux", a expliqué deux jours après cet incident le directeur du nouveau parc aux ours, Bernd Schildger. Mais il faudra attendre mardi pour savoir si le plantigrade va survivre. Blessé à la poitrine, il reste allongé et gémit quand il tente de bouger, a précisé M. Schildger. L'animal, qui a été placé sous surveillance durant toute la nuit, a commencé à s'alimenter. Soigné dans le parc aux ours, Finn est sous antibiotiques pour éviter une infection. Le vétérinaire lui administre également de puissants anti-douleurs. Finn n'a pas subi d'opération chirurgicale. Le projectile employé par la police cantonale bernoise s'est en effet disséminé dans le corps de l'animal. Les vétérinaires estiment donc qu'il n'est pas raisonnable de l'opérer car il s'avère très difficile d'extraire ces éclats.

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Tigre de sibérie dans la neige. SIEVLOV/NEWMAN MARK/SIPA

http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/nature/20091125.OBS8807/declin_des_tigres_de_siberie.html

Le rapport a été publié par le Programme de surveillance Tigre de Sibérie, qui est coordonné par WCS en association avec des organisations gouvernementales et non-gouvernementales russes. Il révèle que sur un panel de zones de surveillance, la population de tigres a diminué de 40% sur une moyenne de douze ans.

Un chiffre basé sur des enquêtes annuelles menées sur 16 sites dispersés sur le territoire russes qui couvrent une surface de 23 000 Km² et représentent environ 15 à 18% de l’habitat du tigre de Sibérie. Seulement 56 tigres ont été aperçus cette année et le rapport note que c’est la quatrième année consécutive où le nombre de félins observés est en baisse. Le nombre total des tigres de Sibérie dans toute l'aire a été estimé à environ 500 individus en 2005, après être tombé à moins de 30 animaux dans les années 1940.

« Ces résultats montrent que les efforts de conservation actuels ne vont pas assez loin pour protéger les tigres de Sibérie, » a déclaré le Dr Dale Miquelle, responsable de la zone à la WCS. « Les bonnes nouvelles sont que nous croyons que cette tendance peut être inversée si des mesures immédiates sont prises. »

Les auteurs du rapport affirment le déclin est principalement attribuable à une augmentation du braconnage à la fois des tigres mais aussi de leurs proies. A cela s’ajoute des restrictions d’effectifs dans les personnels en charge de la protection de l’environnement en Russie. Les scientifiques russes et des organisations non gouvernementales recommandent un renforcement du réseau de zones protégées pour inverser la tendance à la baisse.

Mais WCS reste globalement optimiste concernant l’avenir des tigres de Sibérie même s’ils traversent une mauvaise passe en ce moment. « Il y a énormément de bonne volonté pour sauver les tigres, nous avons juste besoin de la traduire en action, » a déclaré Colin Poole, directeur de la zone Asie à la WCS.

J.I.
Sciences-et-Avenir.com
25/11/2009

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Un écureuil parvient à sauver son petit des griffes d'un chien qui allait en faire son quatre heures. Zigonet vous propose de découvrir les images du sauvetage du petit, qui s'en est sorti visiblement sain et sauf.



Le chien qui avait repéré le petit écureuil tombé sur le sol s'apprêtait sans doute à le tuer. C'était sans compter sur l'instinct de conservation de l'écureuil adulte. Ce dernier, probablement la mère du petit, a bondi d'un arbre pour s'agripper à la tête du chien et le mordre afin de l'empêcher de dévorer son petit. Après avoir libéré le bébé, l'écureuil s'est empressé de le mettre à l'abri en haut d'un arbre, laissant le chien déconcerté.Pour voir les images : http://www.zigonet.com/sauvetage/un-ecureuil-attaque-un-chien-pour-sauver-son-petit_art9063.html

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Selzach, Suisse - Une chauve-souris a été découverte lors du démontage d'une horloge solaire en Suisse. Grâce à la bague que l'animal portait, il a pu être identifié et aurait ainsi parcouru 1360 kilomètres en seulement 28 jours.



La chauve-souris fait partie de l'espèce des pipistrelles de Nathusius et avait été repérée fin octobre par la Fondation pour la protection des chauves-souris. Après étude de l'animal, ce dernier portait une bague venant de Pape, ville de Lettonie. Les experts ont alors étudié le voyage de l'animal et ont conclu qu'il avait parcouru le chemin de Lettonie à la Suisse, soit 1360 kilomètres, en 28 jours de vol. Ainsi, la pipistrelle de Nathusius aurait parcouru en moyenne 50 kilomètres par nuit, un record.L'animal de 8 grammes a été relâché après avoir été nourri durant quelques jours.

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/03/728519-Les-chasseurs-de-grand-gibier-s-organisent.html

Longtemps précurseur, le département de l'Aude était resté en marge. La création de l'association nationale des chasseurs de grand gibier (ANCGG) remonte à 1950. Ce n'est qu'à la fin de la semaine dernière que ce département a rejoint officiellement un mouvement associatif fort d'un peu plus de 8 000 membres sur le sol français.
Professeur de sciences et de physique, Jérôme Rigaud, demeurant à Villeneuve-Minervois, est le premier président de cette représentation audoise. Il sera secondé par Jacques Cornu, domicilié à Lacombe dans le Haut-Cabardès.
L'industriel François Sommer, qui a donné son nom aux produits de literies bien connus, l'ancien ordonnance du Générale de Gaulle, le sénateur Verdeille ou encore le conte Offenbach sont à l'origine de l'ANCGG. Des années durant cette association a eu un rayonnement limité au nord de la France. Cela n'a pas empêché les personnalités à sa tête d'avoir une grande influence dans les ministères et à la Présidence de la République. L'ANCGG a inspiré le plan national de chasse, la loi sur les ACCA, et le texte législatif voté en 1958 pour la protection de l'ours. Durant toutes ces années l'Aude a suivi de près et parfois inspiré les réflexions sur la chasse au grand gibier. Au début des années 1980 les assises nationales de cette association ont eu lieu dans ce département. Les Audois ont également participé aux travaux de l'INRA et de l'Institut de recherches sur les grands mammifères (IRGM). Sur le terrain de chasse de prédilection du sanglier, de l'isard, du mouflon, ou encore du chamois, le ralliement des Audois à l'ANCGG s'inscrit dans une logique qui n'est pas à démontrer au gré d'une quinzaine d'adhérents pour commencer.

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France - Alors que la Russie a pour habitude lors de la période hivernale de chasser l'ours brun, un ourson a été retrouvé orphelin dans une forêt. Mis en cage durant des semaines par les forces de l'ordre, l'animal a aujourd'hui rejoint le centre de réhabilitation pour oursons orphelins d'IFAW (Fonds international pour la protection des animaux). La chanteuse Patricia Kaas a accepté de parrainer l'ourson.



Il semblerait que Gena soit l'une des victimes de la chasse aux ours bruns. Recueilli dans un centre, le jeune animal est aujourd'hui pris en charge par l'IFAW, une organisation favorisant la réhabilitation des ours bruns. Si la chanteuse Patricia Kaas a décidé de parrainer l'animal, elle lance aujourd'hui, en collaboration avec le site actuanimaux.com, un appel au parrainage. Elle explique sur le site vouloir "l'aider à recouvrer sa liberté volée" et explique : "Je vous invite à parrainer vous aussi Gena en vous rendant sur le site www.actuanimaux.com [...] Cliquez sur la fiche intitulée Gena, l'ourson rescapé, et ainsi vous accompagnerez chaque jour un peu plus mon protégé vers la liberté".Et l'AFP d'expliquer l'accord passé entre les annonceurs et le site internet, les publicités rapportant quelques centimes d'euros à l'organisme à chaque clic sur le site.

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«Je suis repérable de loin avec mon ciré de couleur et mon chien. Je suppose que cela a dû les faire fuir.» Philippe Rouchon est le gardien du parc animalier de Gradignan et c'est en prenant son travail peu avant huit heures, lundi de la semaine dernière, qu'il allair faire la macabre découverte.

L'un des trois wallabys du parc égorgé dans le pré.
C'est Pascal Peyranne, employé municipal en charge de l'entretien du parc et des soins aux animaux qui a le premier pénétré dans l'enclos des wallabys. «Il y avait du sang partout dans le box et j'ai retrouvé son cadavre dehors dans les herbes. Les deux autres étaient au fond de l'enclos totalement apeurés.»

Appelé aussitôt, le vétérinaire a levé les doutes; ce n'est pas un autre animal et surtout pas un chien qui a fait cela . Le wallaby a été égorgé avec une lame. «Ils ont certaienemnt dû s'y mettre à plusieurs, ajoutent les gardiens. Car si contrairement au kangourou, beaucoup plus grand et bagarreur, le wallaby n'est absolument pas agressif, avec son mètre de hauteur et ses 30 à 40 kg.

Mais il a gardé son instinct sauvage et ne se laisse pas approcher facilement, même par nous qui le nourrissons. Lorsqu'on veut en capturer un, il faut une épuisette dans le meilleur des cas ou un fusil hypaodermique pour l'endormir. C'est sûr, il a dû sauter dans tous les sens; il est très dificile a attraper!»

L'animal ayant été tué peu avant l'arrivée des employés du parc, ceux-ci estiment que les auteurs avaient probablement projeté d'emporter le cadavre de l'animal lorsqu'ils ont été dérangés. Certes, on mange maintenant du kangourou d'élevage dans certains restaurants de l'Hexagone. De là à dire que cela a donné l'idée certains..!

Parce que dans le cas contraire, c'est une impression de dégoût qui prédomine. «Il faut quand même être sadique, estime M. Rouchon. «Nous n'avons jamais eu de problèmes de ce genre, précise quant lui M. Peyrann. On nous a certes volé quelques poules, mais là quand même...»

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Un dresseur de tigres a été grièvement blessé par trois de ses animaux qui se sont jetés sur lui alors qu'il avait trébuché, mardi soir, dans un zoo près de Hambourg (nord de l'Allemagne).

En début de soirée, alors que les convives d'un dîner-spectacle arrivaient autour de la cage où le dompteur, Christian Walliser, 28 ans, devait faire son numéro, trois de ses cinq jeunes tigres se sont rués "par jeu" sur lui, a expliqué dans un communiqué Stefan Pagels, directeur du cirque Dinner-Zirkus, organisateur du spectacle. Les assistants et la direction du cirque se sont alors précipités pour venir à son secours. Ils ont éloigné les tigres avec des extincteurs et des lances à eau et leur ont fait regagner leur cage, alors que les 170 spectateurs étaient évacués, ont indiqué les pompiers de Hambourg à l'AFP. Une femme médecin qui se trouvait dans le public a prodigué les premiers soins avant l'arrivée des secours qui ont transporté le dompteur à l'hôpital. Contactée par l'AFP, la clinique universitaire de Hambourg-Eppstein, où il est soigné, n'a pas souhaité faire de commentaires sur l'état de santé du dompteur. Mais les pompiers ont précisé qu'il avait perdu la main gauche, qu'il souffrait de graves blessure à la tête et sur le haut du corps, et que sa vie était en danger.

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Colchester, Grande-Bretagne - Le zoo de Colchester célèbre la naissance en captivité d'un bébé hippopotame nain. Né le 27 novembre, il est en bonne santé.



C'est une petite femelle qui a vu le jour au zoo de Colchester il y a maintenant près de trois semaines. C'est le premier hippopotame nain à y naître. En captivité, cette espèce se reproduit très bien mais en liberté, elle reste menacée par la disparition de son habitat.

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Frank a du mal à loger les quelques animaux qu’il possède. Il avait le projet de faire une ferme pédagogique et avait acquis pour cela un terrain de 12 hectares à Gaillac dans le Tarn, mais le propriétaire serait slon La Dépêche, revenu sur sa promesse au moment de la vente… Depuis, Frank recherche un terrain de 5 à 15 hectares dans la région toulousaine…
Comme il devenait urgent de loger ses animaux (lamas, alpagas, zébus, moutons, ânes, cochons nains et six wallabys), il a loué une ferme à Ambax (Haute-Garonne), près de l’Isles-en-Dodon.
Et c’est au moment du déménagement, en septembre dernier, que le wallaby Eola, a réussi à se trouver un trou dans la clôture et à s’échapper… Frank a donc lancé des recherches et prévenu gendarmes, vétérinaires et service des eaux et forêts du coin…
Mais on n’a pas pu remettre la main dessus… Quelques apparitions tout de même… Deux dames retraitées, en promenade à Espaon, l’auraient aperçu dans un champ, mais elles n’ont pas osé en parler immédiatement de peur de ne pas être prises au sérieux!
Mercredi, c’est un autre promeneur qui l’a vu et a essayé de s’en approcher… Bien qu’il ne soit pas agressif, il est craintif et peut faire des bonds de 6 mètres. Il court aussi à une vitesse de 40 km/heure. Cela va être difficile de l’attraper!
Frank a acheté un fusil hypodermique et attend maintenant qu’on l’appelle si on voit son wallaby…
Aux dernières nouvelles, le maire de Rieumes a été informé qu’il se trouverait à la lisière de son bois… Mais impossible d’organiser une battue car on ne parviendrait pas à le coincer !

Note de la rédaction du Post:
Contacté, le propriétaire du wallaby précise avoir reçu un coup de fil ce samedi matin: un homme a vu l'animal à une dizaine de kilomètres de Rieumes. Il doit se rendre sur place avec le fusil hypodermique.

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Un cinquième des espèces animales et végétales sont menacées de disparition si des mesures ne sont pas prises pour maintenir le réchauffement climatique à un niveau supportable, estime le président de la Convention sur la diversité biologique.



Ahmed Djoghlaf a expliqué à Reuters, en marge du sommet de Copenhague, que les pays du monde réunis dans la capitale danoise risquaient de manquer une importante occasion de réduire le nombre d'espèces menacées d'extinction.
Les Etats représentés à Copenhague travaillent à trouver un accord qui limiterait à deux degrés Celsius la hausse de la température moyenne de la planète par rapport au niveau de l'ère pré-industrielle.
"Pour chaque degré centigrade de réchauffement, on peut estimer que 10% de toutes les espèces connues disparaîtront", a déclaré Djoghlaf.
"De fait, l'idée de stabiliser la température à un niveau qui ne soit pas supérieur à deux degrés Celsius conduira à la disparition de 20% des espèces connues", a-t-il dit. "Le changement climatique participe à la réduction de la biodiversité".
Les scientifiques ont recensé un peu plus de deux millions d'espèces, mais leur nombre pourrait être de 15 ou 30 millions. La température moyenne du globe s'est élevée de 0,7 Celsius depuis le début de la révolution industrielle.
"Nous continuons à perdre de la biodiversité à un rythme sans précédent et cela est largement lié aux changements climatiques mais également à l'exploitation des sols et à l'urbanisation", a-t-il expliqué.
Les ours polaires ne sont pas les seuls animaux dont l'habitat est particulièrement affecté par ce réchauffement, indique un rapport publié cette semaine.
Ces transformations touchent également les baleines, les poissons-clowns, les tortues, les pingouins, les phoques, les saumons, le corail, les renards des neiges et les koalas.
Djoghlaf précise que plus de 100 Etats participants au sommet n'ont pas réussi à prendre des mesures efficaces pour atteindre en 2010 les objectifs fixés en 2002 dans la lutte contre la réduction de la biodiversité.
"Sur les 100 pays mentionnés dans le rapport, pas un seul n'a affirmé y être parvenu", a-t-il conclu.
Version française Pierre Sérisier

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A Odessa, en Ukraine, Ludmilla Popova est gardienne de zoo. Alors qu'un éléphanteau est rejeté par sa mère, elle décide de le recueillir chez elle. L'animal s'est très bien acclimaté, jusqu'à avoir déjà quelques habitudes, comme un fauteuil préféré sur lequel se poser.



Fantic l'éléphant, ne semble pas perturbé de cet environnement pourtant peu approprié. Il évolue sans aucun problème dans la maison de Ludmilla Popova qu'il gratifie régulièrement de marques d'affections. Son pêché mignon ? Chercher des friandises sous le sapin de Noël. La gardienne de zoo le nourrit à l'aide d'un biberon de quelque 2 litres de lait par jour

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Hartland, Grande-Bretagne - Une petite renarde de 18 mois apprend le langage des signes avec sa maîtresse. C'est âgée de six mois qu'elle a été récupérée par Mme Tyler-King.



C'est une famille qui a sauvé la petite renarde, alors que celle-ci avait été prise en chasse par trois voyous sur un chemin de campagne dans le Devonshire. Elle a recueilli l'animal, traumatisé et couvert de coupures. Après l'avoir nourrie et soignée pendant quelques jours, ils ont réalisé que la petite rescapée était sourde et l'ont finalement confiée à Beth Tyler-King. Cette dernière, elle-même profondément sourde, a pris la petite renarde sous son aile et l'a prénommée Milly. Âgée de 43 ans, cette amoureuse de la nature s'occupe des bêtes sauvages depuis bientôt 23 ans. Elle raconte : "J'avais 20 ans quand on m'a confié mon premier hérisson". Aujourd'hui, Madame Tyler-King s'occupe de Milly a qui elle a commencé à apprendre le langage des signes. "Quand je souhaite qu'elle s'assoie, par exemple, je le lui fais comprendre avec un geste de la main", explique-t-elle. Milly est une élève docile qui semble apprécier la vie qu'elle mène au bungalow de Beth. Elle passe le plus clair de son temps en compagnie de Harley et Angel, les chats de la maison, avec lesquels elle s'entend à merveille. Elle observe un régime princier composé de poussins, de tripes, de poulet, de biscuits pour chats, mais aussi de gâteaux, de fromage râpé et de cacao. Elle possède en outre son propre panier, ainsi qu'une grande quantité de jouets. Pour voir les images : http://www.zigonet.com/renard/decouvrez-milly-la-petite-renarde-sourde-qui-apprend-le-langage-des-signes_art9451.html

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Un villageois chinois a été condamné à douze ans de prison pour avoir tué et mangé ce qui pourrait être le dernier tigre d'Indochine en liberté en Chine.



Kang Wannian, du village de Mengla dans la province de Yunnan, affirme s'est retrouvé face à face avec le fauve alors qu'il pêchait des moules d'eau douce dans un parc naturel, et l'avoir tué pour se défendre, rapporte la presse mardi.
Le problème est qu'il pourrait s'agir du dernier tigre d'Indochine en liberté présent sur le territoire chinois. Le spécimen, photographié il y a deux ans dans la même réserve, n'a plus été vu depuis le festin de Kang.
Un tribunal a condamné le tueur de tigre à dix ans de prison pour avoir tué un animal protégé et à deux ans pour possession d'arme illégale. L'accusation a souligné qu'il n'avait pas besoin d'une arme à feu pour pêcher des moules.
Quatre villageois qui avaient aidé Kang à dépecer le tigre et à manger la viande ont été condamnés à trois ou quatre années de prison.
Le tigre d'Indochine, une espèce en voie d'extinction, compte moins de 1.000 individus dans les forêts du Laos, du Viêtnam, du Cambodge, de Thaïlande et de Birmanie.
Yu Le, Lucy Hornby, version française Jean-Stéphane Brosse

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AFP

Une soigneuse animalière a été attaquée et grièvement blessée par un tigre blanc dans un zoo de l'est de l'Allemagne samedi alors qu'elle nettoyait sa cage, a indiqué la police.
L'accident est survenu au parc animalier d'Arschersleben, en Saxe-Anhalt (est), a indiqué la police de Bernburg.

Le tigre "Karim" a attaqué par derrière la soigneuse, âgée de 30 ans, en empruntant un accès qui n'était pas dûment verrouillé. Le vice-directeur du zoo a réussi à détourner l'attention du félin jusqu'à ce qu'il lâche prise, puis l'a fait rentrer dans sa cage.
La jeune femme souffre de blessures graves, notamment à un bras, mais ses jours ne sont pas en danger, selon la police. Elle a été transportée par hélicoptère vers un hôpital de Magdebourg (est).

L'accident semble lié à une erreur humaine, la soigneuse ayant visiblement omis de verrouiller soigneusement la grille, selon le zoo et la police. Le parc animalier d'Aschersleben héberge un couple de tigres blancs du Bengale, Karim et Kiara, des félins blancs rayés aux yeux bleus. La mère a donné naissance à plusieurs tigreaux cette année. L'an dernier, Karim avait attaqué et tué un tigre sibérien entré par erreur dans son domaine, après qu'un soigneur eut ouvert par mégarde la mauvaise grille d'accès.

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Chine - Il y a quelques mois, un espoir naissait pour les pandas et de nombreuses autres espèces menacées de disparition, après la naissance des deux premiers pandas issus d'une fécondation in vitro.








C'est au centre de recherche sur le panda géant de la réserve naturelle de Wolong que les scientifiques ont réussi cette première plus qu'encourageante. You You, l'une des femelles du centre, a été fécondée avec succès grâce au sperme congelé de Lu Lu, un mâle dont la semence était conservée depuis plusieurs années déjà. Après une fécondation in vitro (Fiv) réalisée en mars, la grossesse de You You a été confirmée en juin par une échographie. Fin juillet, deux jeunes pandas naissaient. Les chercheurs espèrent maintenant collecter le sperme du plus grand nombre de pandas possible, et réaliser de nouvelles Fiv afin d'augmenter leur population, tout en maintenant la diversité génétique au sein de cette dernière. Découvrir les images : http://www.maxisciences.com/panda-g%e9ant/les-premiers-pandas-concus-par-fecondation-in-vitro_art5016.html

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La police néerlandaise a abattu quatre rennes qui s'étaient échappés d'un traîneau de Noël de crainte qu'ils ne provoquent des accidents de la circulation. Dirk Neef, porte-parole de la police de la province de Drenthe dans le nord des Pays-Bas, a précisé que des experts avaient tenté de capturer le quatrième renne mardi en l'endormant avec des cartouches de somnifère mais que cela s'était révélé impossible. Trois des animaux avaient été tués par balles dans les heures suivant leur fuite samedi. Le propriétaire Willem Poelman a dit avoir acquis les rennes pour un spectacle dans sa petite exploitation, "le parc aux ânes Poelman" à Marum, à 130km au nord d'Amsterdam. Mais les animaux se sont échappés dans les minutes qui ont suivi leur livraison par un fournisseur letton.

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A la fin d'un long voyage de 20 heures à travers la Sibérie enfermés dans un camions, 8 tigres et une lionne appartenant à un zoo russe ont été retrouvés mort. La police russe tente de savoir si ils ont pu être étouffés par les gaz d'échappement ou victimes d'une intoxication alimentaire. L'administrateur du cirque évoque une possible surchauffe dans le camion. Un autre employé du cirque affirme que le camion aurait dû être ouvert toutes les deux heures pour la ventilation, mais ne l'a pas été. Agrandir cette imageRéduire cette image