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Isasza

L'actualité de la faune sauvage

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Pyrénées. Le plan de réintroduction s'achève au 31 décembre. Les associations estiment que le contrat n'est pas rempli.

Un enterrement de première classe pour le plantigrade ? C'est ce que craignent les associations écologistes, ne voyant toujours rien sortir du fameux groupe Ours, qui a remis son rapport à la ministre au début du mois de septembre. « Or, avertit Alain Reynes, de Pays de l'Ours-Adet, au 1er janvier 2010, la France n'aura plus de plan de conservation de l'ours brun. Et ce serait tout de même un drôle de paradoxe dans la mesure où 2 010 a été déclarée par l'ONU, année internationale de la biodiversité ! »

En France, deux espèces de mammifères sont classées comme en voie d'extinction. Une chauve-souris et… l'ours brun. Les associations se mobilisent. Pas seulement l'Adet, mais aussi le WWF ou Ferus. Elles se sont rendues le 17 novembre dernier à Bruxelles. Le but de la manœuvre était de sensibiliser les responsables européens sur le sort de leur bête fétiche.

Mais elles sont allées plus loin. Les associations ont déposé plainte contre la France, qui a signé toutes sortes de conventions et d'accords internationaux, qui la mettent dans l'obligation de protéger l'animal et surtout d'éviter son extinction. Or, selon les défenseurs de l'ours, celui-ci est condamné s'il ne reçoit pas à brève échéance, un apport de sang neuf. Ils plaident donc pour un nouveau programme de réintroduction.

Mais dans le même temps, les opposants à l'ours sont sur le pied de guerre. Ils ont été très mobilisés l'an passé, et même si en 2009, l'ours a été particulièrement raisonnable en croquant trois fois moins de brebis, ils continuent de marquer leur opposition, en boudant ostensiblement le groupe ours. A la rentrée, on a même entendu parler de chasseurs qui auraient abattu deux spécimens. Et le fait est que l'on est sans nouvelle de Boutxy depuis plusieurs mois, ce qui semble correspondre aux confidences des chasseurs. Quant à l'enquête, elle s'est enlisée dans les profondeurs des forêts ariégeoises. Dans ce contexte très tendu, Chantal Jouanno, la secrétaire d'État à l'Écologie, s'empresse de ne surtout rien dire, et surtout rien faire. Ce qui agace les écologistes, qui trouvent le plan beaucoup trop plan-plan. Ils viennent d'envoyer un courrier pour rappeler à la ministre ses obligations : la France doit maintenir sa population d'ours, faute de quoi, elle se mettrait en faute vis-à-vis des accords internationaux qu'elle a signés.

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Somerset, Grande-Bretagne - Une mouffette obèse est soumise à un régime draconien et perd deux kilos.



Mr Bumble, une mouffette âgée de 2 ans, a été mis au régime après avoir intégré le zoo de Tropiquaria en septembre dernier. En effet, l'animal avait un peu abusé des sandwichs au bacon dont le nourrissaient ses anciens propriétaires, et pesait près de 7 kilos à son arrivée. Il a dû suivre un régime strict composé de fruits et de légumes et devait s'acquitter d'une heure de balade quotidienne. L'animal a depuis perdu plus de deux kilos, dort beaucoup moins, et semble beaucoup plus attentif à ce qui se passe autour de lui. Monsieur Moiser, le directeur du zoo, a déclaré que si Mr Bumble doit encore perdre deux kilos, il sera cette fois autorisé à ingérer davantage de protéines animales. "Mais, je suis sûr que les sandwichs au bacon lui manquent", a-t-il ajouté

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/30/746144-La-Croix-de-Fer-Une-biche-reste-coincee-dans-un-jardin.html

À l'heure où certains dégustaient la « bûche de Noël », le petit Léo 7 ans, et ses parents Émilie et Fred, habitants du lotissement Laënec à la Croix de Fer, ont eu la surprise de découvrir une jolie « biche de Noël » dans leur jardin.
Affolée elle ne pouvait pas ressortir, même avec le portail ouvert, et elle faisait des allers-retours le long du grillage.
La fédération des chasseurs n'ayant pu se déplacer c'est un voisin qui s'est alors approché de l'animal, et lui a caressé la tête. Voyant qu'on ne lui voulait aucun mal, l'animal s'est calmé, puis il l'a pris ensuite dans ses bras et la fait repasser par-dessus la clôture, la biche a pu galoper de nouveau vers la liberté et la colline proche. Le petit Léo a été enchanté de cette belle histoire de Noël qui se termine très bien.

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Canis lupus signatus, nom savant du loup ibérique, est plus trapu que la plupart de ses cousins européens. Il ne dépasse pas les 70 centimètres de hauteur, et pèse rarement plus de 40 kilos. Son pelage est marron, tirant sur le jaune au niveau du ventre, et le cinquième doigt de sa patte ne touche pas le sol. Depuis des siècles, il inspire une sainte frousse aux habitants de Sanabria, une région boisée de la province de Zamora, à un jet de pierre du Portugal. Il n'y qu'à se promener de par les flancs de la Sierra de la Culebra. Dans chaque village, les anciens racontent avoir vu des dizaines de moutons égorgés par «l'unique bête qui tue, non pour manger, mais par pur plaisir». A Manzanal, certains évoquent même l'histoire d'une vieille femme éventrée par l'animal honni.



L'ironie de l'histoire, c'est qu'aujourd'hui le loup ibérique est désormais perçu comme un atout local. L'espérance que, grâce à lui, cette région sinistrée et paupérisée par l'exode de ses forces vives attire des visiteurs toute l'année. Un centre d'observation du loup, auquel le maire, José Fernández Blanco, et le président de la région Castille-Leon ont donné mi-décembre l'imprimatur officiel, ouvrira ses portes l'an prochain, à Puebla de Sanabria. 3,5 millions d'euros ont déjà été récoltés. L'idée est venue de l'édile du village : «L'agriculture est en berne, l'élevage agonise. Notre richesse, c'est le loup. Si on attire suffisamment de visiteurs, cela relancera l'économie locale, notre vallée pourra survivre. Mais attention, ce sera tout sauf un zoo. On ne pourra voir l'animal que de loin à la lunette, si on s'arme de patience et si le loup le veut bien.»
«Trophées». Les amoureux du loup savent déjà parfaitement situer sur une carte la Sierra de la Culebra, voisine de Puebla, bourgade de pierre aux allures médiévales. D'Allemagne, de France, voire de plus loin, des curieux... lire la suite de l'article sur Libération.fr

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http://www.liberation.fr/terre/0101611796-reperes

100 000. [b]C’est, en km2, l’étendue du territoire naturel du loup ibérique. Il touche les Asturies, la Rioja et le Pays basque, mais l’essentiel correspond à la Castille-Leon (dont la province de Zamora).[/b]
350. [b]C’est le nombre de meutes estimé en Espagne. Soit environ 2 000 à 3 000 spécimens, dont l’immense majorité en Castille-Leon.[/b]
«Les loups ne sont pas aussi féroces qu’on le dit. IIs peuvent même devenir des amis de l’homme. N’oublions pas que les chiens que nous avons dans nos maisons ne sont autres que les descendants de ces loups domestiqués par nos ancêtres il y a des milliers d’années.»
Carlos Sanz biologiste, spécialiste et éleveur de loups, près de Madrid

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http://www.liberation.fr/terre/0101611761-reperes

«Les loups ne sont pas aussi féroces qu’on le dit. IIs peuvent même devenir des amis de l’homme. N’oublions pas que les chiens que nous avons dans nos maisons ne sont autres que les descendants de ces loups domestiqués par nos ancêtres il y a des milliers d’années.»
Carlos Sanz biologiste, spécialiste et éleveur de loups, près de Madrid

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Iowa, États-Unis - Une femme s'est défendue contre un cerf qui avait fait irruption dans sa maison. Coincée dans sa cuisine avec l'animal effrayé, elle s'est protégée avec une poubelle et un aspirateur.



Effrayé par le bruit des voitures circulant dans la ville de Des Moines, dans l'Etat d'Iowa, un cerf est entré dans un appartement en passant par une fenêtre qui était ouverte. L'animal, pris de panique, a commencé à dévaster l'appartement afin de trouver une issue. En allant vers la cuisine, il s'est retrouvé face à face avec la propriétaire. Désemparée face à cet animal en furie, la femme s'est défendue avec ce qu'elle pouvait : elle a ainsi repoussé le cerf à l'aide d'un aspirateur et d'une poubelle.Finalement, l'animal a réussi à sortir par une porte, et a pu s'enfuir sans blessures. La femme, quant à elle, s'en tire avec quelques égratignures.

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Indonésie - Une caméra placée dans la forêt amazonienne a capturé, pour la première fois, les images d'une tigresse de Sumatra accompagnée de ses jeunes.





Voilà maintenant 5 ans que l'équipe de la WWF Indonésie étudie les tigres de Sumatra grâce à des caméras disposées dans la jungle. Ils ont certes déjà obtenu des images de ces félins et même de tapirs, de porcs-épics, de macaques... mais jamais de jeunes tigres comme ceux que l'on voit dans la vidéo.Il reste actuellement moins de 500 tigres de Sumatra à l'état sauvage : ils sont en grave danger d'extinction à cause de la chasse et de la destruction de leur espace naturel. De petite taille par rapport aux autres espèces de tigres, ils vivent uniquement sur l'île de Sumatra située dans l'ouest de l'Indonésie. Ces tigres sont victimes de graves problèmes relatifs à leur habitat naturel, qui diminue à vue d'oeil. Tous les jours, de nouveaux arbres sont coupés par les entreprises de production de papier ou par l'industrie de l'huile de palme.La WWF va lancer, lors de la Saint-Valentin, une campagne pour la protection de ces superbes félins alors que l'année du Tigre débutera en Chine. L'association espère obtenir des mesures lors du Heads of State Tiger Summit qui aura lieu fin 2010 en Russie. Le but ne serait pas seulement de protéger les tigres de Sumatra mais de doubler leur effectif.Voir la vidéo : http://www.maxisciences.com/tigre-de-sumatra/premiere-une-famille-de-tigres-de-sumatra-filmee-dans-le-milieu-naturel_art5230.html

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Binh Duong, Vietnam - Lundi 18 janvier, une organisation de défense des animaux a déclaré avoir libéré dix-neuf ours destinés au trafic de bile, qui étaient enfermés dans des containers de douze mètres de long. Lire la suite l'article


Animals Asia Foundation a déclaré avoir découvert les dix-neuf animaux dans des containers de 12 mètres de long, chacun étant divisés en 7 parties et chaque espace contenant un ours. L'organisation a ainsi déclare : "C'est la première fois que nous voyons des ours détenus dans de telles conditions". D'après l'AFP, les animaux étaient la propriété d'un homme d'affaires qui aurait maintenu les ours en captivité dans de minuscules enclos de béton durant des années avant de les placer en container.Ainsi, l'organisation de défense des animaux aurait été appelée à l'aide par les départements de la protection de la forêt pour faire cesser le trafic mis en place avec ces ours dont la bile est prélevée à l'aide d'aiguilles, dans des conditions pouvant mettre en danger la vie des mammifères. A noter que la bile des ours est extrêmement demandée, notamment pour ses vertus anti-inflammatoires et aphrodisiaques.
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Bangkok, Thaïlande - Afin de venir en aide à la population d'Haïti, durement touchée par le séisme du 12 janvier dernier, la Croix Rouge thaïlandaise a été à l'origine d'une initiative des plus originales pour lever des dons.






Ce sont en effet des éléphants qui ont appelé à la générosité des badauds de Bangkok. Arpentant le quartier de Khaosan, très touristique, les pachydermes aux couleurs de la Croix Rouge arborant l'inscription "Thai elephants help Haïti" étaient munis de paniers afin de récolter des dons. Un franc succès auprès des touristes, mais aussi de la population locale, qui n'oublie pas que la Thaïlande a été sévèrement affectée par le tsunami en 2004. Découvrir les images : http://www.zigonet.com/ha%efti/les-elephants-thailandais-levent-des-fonds-pour-haiti_art10024.html

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PARIS, 24 jan 2010 (AFP) - La plus ancienne des chauve-souris connues avait la faculté d'émettre des sons pour se déplacer en fonction de l'écho que ceux-ci renvoyaient, selon une étude parue dimanche dans Nature qui rouvre le débat sur l'antériorité de l'écholocation par rapport à la faculté de voler.

L'écholocation permet aux animaux de se mouvoir dans l'obscurité partielle ou totale en reconstituant dans leur cerveau une image de leur environnement à partir de la réflexion des sons qu'ils émettent vers les objets se trouvant dans leur champ auditif.

La technique est utilisée par au moins quatre types de mammifères, les chauve-souris, les baleines, les musaraignes et le tenrec, un petit insectivore de Madagascar, ainsi que par au moins deux oiseaux, le Guacharo des cavernes en Amérique du Sud et centrale, et la Salangane linchi, présente en Malaisie et en Indonésie.

En utilisant des systèmes de tomographie pour réaliser des images en 3D de 26 espèces de chauve-souris issues de 11 lignées différentes du point de vue de l'évolution, les chercheurs ont pu reconstituer avec une grande précision, et sans avoir besoin de les disséquer, la morphologie de ces petits mammifères.

L'équipe de scientifiques comprenant des biologistes, des spécialistes des neurosciences et de l'imagerie en trois dimensions, a mis en évidence l'importance pour l'écholocation d'un petit os situé entre l'oreille et le larynx chez les chauve-souris utilisant cet organe pour émettre des sons.

D'autres chauve-souris émettent des sons en produisant des clics avec leur langue. Dans les deux cas, les sons émis sont plus de 100 fois plus forts que les échos reçus.

Alors que certaines espèces de chauve-souris attendent de recevoir l'écho et se taisent avant d'émettre un nouveau son, chez d'autres, l'émission et la réception sont concomitantes mais sur des fréquences différentes (effet Doppler).

"Les fossiles montrent que ces différents comportements associés à l'écholocation utilisant le larynx existaient dès l'Eocène moyen" (41 à 37 millions d'années), selon l'étude.

Ces résultats ne permettent pas dès à présent de dire si la faculté de voler a précédé pour les chauve-souris celle de se diriger par écholocation, mais permettent de rouvrir le débat sur de nouvelles bases, soulignent les chercheurs.

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JOHANNESBURG, 22 jan 2010 (AFP) - Quatorze rhinocéros ont été tués depuis le début de l'année en Afrique du Sud par des contrebandiers, a annoncé vendredi l'institution gérant les parcs nationaux.

Dans les deux premières semaines de janvier, sept rhinocéros ont été tués dans le parc Kruger, au nord de Johannesburg, et sept autres dans la province du nord-ouest, a précisé l'autorité des parcs nationaux sud-africains (SANParks). En 2008, 122 rhinocéros avaient été tués à travers le pays.

"Ces contrebandiers sont membres d'organisations puissantes et sont aussi impliqués dans le trafic d'êtres humains, la contrebande d'armes, la prostitution et le trafic de drogue", a déclaré dans un communiqué le chef de SANParks, David Mabunda.

Des patrouilles militaires pour contrôler les frontières internationales du Kruger devraient être organisées prochainement, a-t-il ajouté.

Le parc Kruger a une frontière de 450 km avec le Zimbabwe au nord et avec le Mozambique à l'est.

Les rhinocéros sont très recherchés pour leur corne, vendue à des fins médicinales ou ornementales.

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Quatre rarissimes rhinocéros blancs du Nord, transférés le mois dernier au Kenya depuis un zoo tchèque, ont été décornés et équipés de radio-transmetteurs pour dissuader notamment toute tentative de braconnage à leur encontre.



'Avec la recrudescence du braconnage au Kenya, nous ne voulons pas courir le moindre risque. Privés de leur cornes, ces rhinocéros perdent toute leur valeur pour les braconniers', explique, mardi 26 janvier, Elodie Sampéré, l'une des responsables du projet de réacclimatation de ces rhinocéros à la vie sauvage africaine.
Les quatre rhinocéros sur huit seulement encore en vie dans le monde sont arrivés le mois dernier dans la réserve kényane d'Ol Pejeta. L'opération a pour objectif de faciliter leur reproduction afin de sauver leur espèce, ce qui n'est guère possible au sein d'un zoo.
La corne du rhinocéros est très recherchée sur le marché noir en raison des vertus notamment aphrodisiaques que lui attribue la pharmacopée asiatique, même si cette corne est faite pour l'essentiel de kératine, une substance assez banale contenue dans les ongles, les cheveux et les sabots.
Privés de leur corne depuis le 31 décembre, les rhinocéros blancs risquent également moins de se blesser lorsqu'ils partageront un même enclos, l'étape suivante de leur acclimatation progressive à la liberté, ajoute Mme Sampéré. Les cornes devraient repousser en quatre ou cinq ans.
Les quatre rhinocéros, deux mâles et deux femelles, apprécient apparemment leurs nouvelles conditions de vie au Kenya. 'Ils semblent beaucoup plus vifs et conscients de leur environnement', et 'l'état de leur épiderme s'est énormément amélioré', selon la lettre hebdomadaire de l'opération, baptisée Dernière chance de survie

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Un répit pour les lapins

Créé le 11.01.10 à 06h20


http://www.20minutes.fr/article/375270/Lyon-Un-repit-pour-les-lapins.php





Les lapins pourront gambader un peu plus longtemps au parc de la Feyssine. En raison de l'important enneigement, la mairie de Villeurbanne a dû reporter ce week-end la grande partie de chasse prévue ce matin dans le parc. Le service des espaces verts, accompagné de sociétés de chasse de l'agglomération, devait capturer une centaine de lapins de garenne afin de limiter leur prolifération dans ce parc urbain. Considérés comme étant « nuisibles à la biodiversité végétale », ils seront traqués dans quelques semaines. Une fois capturés et vaccinés, ces lapins devraient être relâchés à la campagne. W
F. C.

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Afrique - Lundi, les représentants de 17 pays d'Afrique ont appelé l'Union européenne à s'opposer à de nouvelles ventes d'ivoire afin de sauver les populations d'éléphants menacées par le braconnage.



En 2007, un moratoire de neuf ans sur le commerce de l'ivoire a été décrété au sein de la Convention sur les espèces menacées d'extinction (Cites). Aujourd'hui, alors que la Tanzanie et la Zambie souhaitent être autorisées à vendre respectivement près de 90 et 22 tonnes d'ivoire, 17 pays d'Afrique demandent à l'Union européenne de s'opposer au projet, pour protéger les populations d'éléphants décimées par le braconnage.
"De nombreux États membres de l'Union européenne sont de notre côté mais ils sont silencieux. Nous voulons qu'ils se prononcent très clairement et qu'ils disent qu'il y a beaucoup de braconnage en Afrique, que le changement climatique a de nombreux impacts négatifs qui déciment les éléphants et d'autres animaux sauvages, et qu'il faut préserver les éléphants pour les générations futures" a déclaré le ministre kenyan de la forêt et de la faune, Noah Wekesa. Avec le Mali, le Kenya copréside la Coalition pour l'Éléphant d'Afrique.
Alors que "les derniers éléphants de Sierra Leone viennent d'être abattus par des braconniers le mois dernier", un vote concernant la demande de la Tanzanie et la Zambie doit avoir lieu lors de la prochaine conférence de la Cites qui se tiendra à Doha, au Qatar, du 13 au 25 mars. Rappelant l'importance de l'Union européenne au sein de cette convention, Noah Wekesa l'avertit que "si elle s'abstient lors de ce vote, elle va contribuer à accentuer une situation déjà critique".
D'après l'eurodéputé néerlandais Gerben-Jan Gerbrandy, certains pays tels que le Royaume-Uni, la France, l'Espagne et les Pays-Bas sont encore incertains quant à la position qu'ils adopteront et "seraient enclins à soutenir la demande de la Tanzanie". Il précise toutefois que la Commission environnement se prononcera cette semaine en faveur du respect du mo... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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Australie - Les chercheurs de l'université nationale d'Australie ont découvert pourquoi certains oiseaux sont incapables de voler : selon eux, les ancêtres de l'autruche ou de l'émeu seraient devenus trop gros et trop paresseux pour continuer à voler après la mort des dinosaures.



Plusieurs espèces d'oiseaux ne savent pas voler, comme l'émeu, l'autruche, le manchot... Jusqu'à aujourd'hui, les scientifiques pensaient que cette particularité était génétique, issue de leurs ancêtres qui ne savaient pas voler non plus. Or, d'après les études menées par des chercheurs australiens sur le génome des moas, oiseaux coureurs disparus depuis le XVIe siècle, les ancêtres de ces animaux auraient été tout à fait capables de se déplacer dans les airs.Ce n'est que lors de la disparition des dinosaures que cette faculté aurait disparu. En effet, la nourriture étant devenue bien plus abondante, les oiseaux se seraient nourris de façon bien moins légère. De plus, avec la disparition de leurs prédateurs, les oiseaux étaient moins incités à voler. La prise de poids ainsi que l'inertie soudaine ont très certainement conduit ces animaux à perdre leur capacité à voler.D'après la même étude, les ancêtres de plusieurs espèces d'oiseaux coureurs, notamment l'Autruche en Afrique, l'émeu en Australie et le Nandou en Amérique auraient commencé à abandonner le vol il y a 65 millions d'années, c'est-à-dire en même temps que les dinosaures s'éteignaient.C'est un phénomène courant chez les oiseaux que de grossir lorsque la nourriture est trop abondante et que les prédateurs sont rares.

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http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/02/767451-La-guerre-de-l-ours-est-elle-relancee.html

Chantal Jouanno, secrétaire d'État à l'Écologie, vient d'annoncer qu'il y aura des lâchers d'ours. Il n'en fallait pas plus pour déchaîner les passions. Il suffit de se remémorer la fronde des éleveurs soulevée par l'arrivée de Franska, en avril 2006, au-dessus du Chiroulet, et le climat d'hostilité et de violence qui s'était installé.
« Il y aura des réintroductions. Parce que, de toute façon, la population n'est pas viable. Je ne serai pas la ministre qui renoncera aux engagements internationaux de la France », a-t-elle déclaré sur le plateau de France 3, en précisant que les décisions seront annoncées « une fois que l'on aura vu tout le monde ». Et après les élections.
Après cette déclaration, les défenseurs de l'ours ne sont pas totalement satisfaits. « On réagit positivement, déclare Alain Reynes, du Pays de l'ours Adet. Mais on reste en attente d'information. Ce nouveau plan est-il de nature à participer à la réintroduction de l'ours ? », interroge-t-il. Il préconise de sortir d'une logique de coût : « 3 ours en 1996-1997, puis on attend dix ans pour en lâcher 5 en 2006. Nous demandons un plan inscrit dans la durée qui propose des lâchers d'ours en petite quantité mais réguliers… ». Ce défenseur du plantigrade considère, en effet, que la population, constituée d'une vingtaine d'ours, dont la plupart fréquente le versant français, n'est pas viable.
« La résistance pyrénéenne »


En revanche, après cette annonce, l'ADDIP (Association pour le développement durable de l'identité des Pyrénées) sort les griffes : « Par calcul électoraliste ou méconnaissance du dossier, Chantal Jouanno vient de relancer la guerre de l'ours, un véritable boomerang qui pourrait lui revenir à la figure », déclare-t-elle dans un communiqué intitulé « L'an vert des régionales : comment Chantal Jouanno joue l'appeau de l'ours ». Précisons que l'ASPP (Association pour la sauvegarde du patrimoine pyrénéen) fait partie de cette structure qui regroupe, des Hautes-Pyrénées à l'Ariège, associations et collectivités opposées au plan de réintroduction d'ours slovènes.
« Écolo ne veut pas dire gogo, estiment ces anti-ours. Ceux qui ont une vraie conscience écologique sont plus préoccupés de la pollution, du réchauffement climatique[…] que de ces ours délocalisés, superéquipés et surmédiatisés. » Et d'évoquer « la résistance pyrénéenne » qui avait fédéré conseils généraux, chambres d'agriculture, professionnels du tourisme, mairies et associations. Cette perspective est loin de réjouir les éleveurs qui voient d'un très mauvais œil l'arrivée de nouveaux plantigrades (ci-dessous). La déclaration de la secrétaire d'État, après quelques mois de trêve, fait sortir la polémique de sa tanière.


« La lubie de quelques écolos »


Francis Caussieu, maire de Gèdre et président des maires du pays Toy, déclare : « C'est vraiment de la foutaise. On n'a pas besoin des Pyrénées pour réintroduire et protéger l'ours. Surtout que c'est à un coût astronomique. Ne pas oublier que ce sont des fauves ».
Il refuse « de revenir cent ans en arrière » où les bergers étaient obligés de surveiller en permanence les troupeaux.
Et l'élu de poursuivre : « La réintroduction s'est tellement mal passée que le mal est fait. On n'a plus confiance en l'état, ils ont tout fait sans rien nous dire ». Il se souvient que l'ours est passé dans sa commune en plein hiver. « C'est pas rigolo… ». Il en profite pour dénoncer « la lubie de quelques écolos qui voudraient que les Pyrénées redeviennent ultra-sauvages ».

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Le tribunal de grande instance de Valence a récemment ordonné la saisie de deux éléphants et un jaguar,"mascottes" depuis des années du cirque Pinder Jean Richard, bien connu à Lyon: ces animaux sont jugés en situation irrégulière. Cette saisie a été ordonnée vendredi dernier au motif d'"emploi irrégulier dans un établissement d'animaux non-domestiques", "utilisation irrégulière d'animaux non-domestiques" et "défaut de certificats de capacité" d'accueil des dits animaux.

Pinder a été condamné à 6.000 euros d'amende. Gilbert Edlestein, propriétaire-gérant du cirque, a contesté les raisons de cette saisie et fait appel de la décision, et notamment du "défaut de certificats". De source judiciaire, on indique que les animaux sont, en fait, toujours au cirque.

Gilbert Edlestein, par ailleurs président du syndicat national du cirque, s'est déclaré déterminé à s'opposer à la saisie de ses animaux "connus par la France entière". "Les deux éléphants du cirque Pinder sont les mascottes du cirque depuis 25 ans", a-t-il expliqué, avant de mettre en cause les associations qui se sont portées parties civiles dans cette affaire, Assistance aux animaux et 30 millions d'amis.

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Le 21 décembre 2009, une femelle rhinocéros a mis bas après seize mois de gestation. Son petit est une femelle. Alors que le travail avait commencé en milieu de journée, aucun soigneur n'était près de l'animal au moment de la perte des eaux. C'est une internaute chypriote qui a alerté le parc animalier alors qu'elle observait l'animal d'une webcam installée dans l'enclos. Lire la suite l'article

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Mei Lan est une femelle panda qui a vécu au zoo d'Atlanta depuis sa naissance, en 2006. Aujourd'hui, elle sera transférée au zoo du Sichuan, en Chine.Ayant vécu dans un zoo américain, la jeune panda est habituée à entendre des instructions simples en anglais, comme lorsqu'il s'agit de rentrer dans sa cage. Pour des raisons pratiques, elle va devoir apprendre quelques mots de chinois. Un "professeur" sera donc chargé de lui apprendre le mandarin, et plus précisément une variante : le dialecte du Sichuan.En plus de cet apprentissage linguistique, la jeune Mei Lan va devoir changer de régime. Ses biscuits préférés seront progressivement remplacés par des pousses de bambou et des wotous (pain à la vapeur).
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Jakarta, Indonésie - Les autorités du pays ont découvert dans le jardin d'un homme deux tigres adultes et trois petits. Il semblerait que le particulier chez qui ont été retrouvés les félins élevait ces animaux depuis près de 25 ans.

Le porte-parole du ministère de la Forêt a ainsi indiqué à l'AFP : "Informés par des voisins, nous avons découvert jeudi un couple de tigres adultes et trois jeunes tigres". Il semblerait que l'homme auquel appartiennent les animaux, les possède depuis 1985. Amoureux de ces bêtes, il avait fait construire une cage de 49 m² dans son jardin afin que les tigres ne s'enfuient pas.Et le porte-parole de préciser que posséder une espèce menacée chez soi sans autorisation est illégal. L'homme n'a pourtant pas été arrêté. Et l'AFP de préciser que les tigres de Sumatra à l'état sauvage ne sont plus que 400 à Sumatra, du fait notamment de la déforestation et des nouvelles plantations.




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New York, États-Unis - Depuis cette semaine, la police de la ville a repéré plusieurs coyotes, notamment dans les parcs de la ville et au coeur de Manhattan. Cette présence inhabituelle suscite beaucoup de questions et d'inquiétudes.



Veillant sur la sécurité de ses étudiants, l'Université de Columbia aurait prévenu par courrier les personnes habitant sur le campus de la présence remarquée de trois coyotes, explique le New York Times. Mais ces trois coyotes ne sont pas les premiers à être repérés puisqu'un animal de la même espèce aurait été aperçu en janvier à Harlem, ou encore à Central Park d'après l'AFP.Pour les experts, la présence inhabituelle des coyotes en ville peut s'expliquer par le fait qu'en période de reproduction, ces animaux sont parfois poussés à se rendre en dehors de leur habitat naturel.

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Caroline du sud, États-Unis - Hercule est un ligre, c'est à dire le fruit d'un croisement entre une tigresse et un lion. Il est devenu le félin le plus grand du monde.



Hercule, 8 ans, possède une carrure beaucoup imposante que celle d'un lion normal, et il aime nager, ce qui est une caractéristique typique des tigres. On pense qu'Hercule est en quelque sorte un "accident". En effet, ses parents vivaient proches l'un de l'autre à l'Institute of Greatly Endangered and Rare Species de Miami.Il vient d'entrer dans le livre Guinness des records en tant que plus gros félin du monde. Il pèse 410 kilos pour 3,6 mètres de long et consomme un peu plus de 11 kilos de viande par jour.

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http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/16/778028-Cierp-Gaud-Un-ours-a-t-il-traverse-le-village.html

Dans le village de Cierp-Gaud, voilà qu'on reparle de l'ours. En ce lundi matin, une question est sur toutes les lèvres depuis que des empreintes ressemblant à celle d'un ursidé ont été vues au bout du chemin du Clos. Un ours aurait-il traversé ce paisible coin du village situé si près des résidences ?
C'est ce que tout le monde se demande. Sur le chemin, à quelques pas d'une maison, plusieurs traces se dessinent dans la neige, bien visibles.
Depuis, chacun y va de son idée. Christophe Guiard et Jean-Paul Barrau, deux artisans qui travaillaient à proximité, prévenus par un riverain, sont là, eux aussi, le regard interrogatif devant ces traces particulières. Certains s'inquiètent, mais essayent de se rassurer en se disant que l'hiver est plutôt la saison propice à l'hibernation de l'animal emblématique et que la balade cierpoise de l'ours est bien improbable. Pour les autres, ces traces sont le fruit d'un plaisantin qui s'est amusé à imiter la patte pour semer le doute dans les esprits. C'est le cas des chasseurs, venus se rendre compte par eux-mêmes. Pour eux, pas question de croire un seul instant à ces sornettes :
« Ces traces ont été faites par un humain, ce ne serait pas la première fois que ça arrive ! ».
Quoi qu'il en soit, ours ou artiste animalier, les traces sont bel et bien là, très ressemblantes. Seule, l'équipe du suivi de l'ours, informée dès lundi matin, saura trancher les incertitudes et dire ce qu'il en est vraiment.

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Texas, États-Unis - Mélanie Typaldos est tombée amoureuse des capybaras lors d'un voyage au Vénézuela. Ces rongeurs sont les plus grands du monde : ils peuvent atteindre une longueur de 130 centimètres pour un poids de 65 kilos. La famille Tybaldos en a adopté un : Caplin Rous est devenu un véritable animal de compagnie.




Les capybaras sont des rongeurs originaires d'Amérique latine. Ces mammifères sont herbivores, aiment nager et peuvent vivre une douzaine d'années. Caplin Rous le capybara a été adopté dans une ferme d'animaux exotiques par Mélanie Typaldos alors qu'il n'avait que quelques jours. Il semble s'être très bien adapté à la vie parmi les humains, et il est devenu un véritable animal de compagnie pour la famille.Mme Typaldos explique que Caplin Rous la réveille tous les matins, grimpant sur son lit et se glissant sous les draps. Il prend ensuite un bain et passe un long moment dans l'eau. "Quand il fait chaud, il peut passer plus d'une heure à nager dans la piscine et il aime que je reste à côté. En été, je vais dans la piscine avec lui" explique sa maîtresse. Le reste de la journée, il la passe dans le jardin avec la tortue de la famille, et souvent, la famille l'emmène avec elle dans ses déplacements.Et comme Caplin Rous n'est pas un animal de de compagnie comme les autres, il a même un profil Facebook, un Myspace et une page Twitter.Pour découvrir les images : http://www.zigonet.com/capybara/decouvrez-le-capybara-le-plus-gros-rongeur-du-monde_art10490.html

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Atlanta, États-Unis - Le 18 février dernier, un zèbre s'est échappé d'un cirque. Il est parti galoper sur l'autoroute, où la police est parvenue à le stopper au bout de 40 minutes de course-poursuite.






Lima, le zèbre âgé de 12 ans, répétait un numéro lorsqu'il s'est soudainement échappé du cirque, situé en banlieue d'Atlanta. L'animal s'est alors lancé dans une course sur l'autoroute, ralentissant la circulation, en pleine heure de pointe. Poursuivi par la police, l'animal n'a été capturé qu'après 40 minutes d'escapade, et il a été ramené à son propriétaire. La fuite a été filmée et la vidéo montre le sauvetage du zèbre par les forces de l'ordre. L'animal aurait pu se faire heurter par un véhicule.Il n'a heureusement provoqué aucun accident et ne souffre que de légères blessures aux sabots, du fait d'avoir couru si longtemps sur le bitume. Voir la vidéo du zèbre : http://www.zigonet.com/z%e8bre/un-zebre-secouru-sur-l-039-autoroute_art10582.html

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Alors qu'il s'entraînait pour une représentation, un zèbre appartenant à un cirque a été effrayé par quelque chose. Il s'est alors échappé, se mêlant à la circulation sur l'autoroute, à l'heure de pointe.





Ce n'est qu'au bout de 40 minutes que les policiers ont pu immobiliser et calmer l'animal, qui courait sur l'autoroute. Sous bonne escorte, il a été ramené au cirque.

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Pau, France - En novembre 2004, un chasseur abattait Cannelle, la dernière ourse de souche pyrénéenne. Près de 6 ans plus tard, la Cour de cassation l'a définitivement condamné à verser des dommages et intérêts à plusieurs associations de protection de la nature.



C'est à hauteur de 10.000 euros que René Marquèze, âgé de 61 ans au moment des faits, devra indemniser les six associations qui se sont portées partie civile lors du procès.

En avril 2008, le chasseur avait été relaxé par le tribunal correctionnel de Pau qui avait retenu l'état de légitime défense. Et si le parquet n'a pas fait appel de cette décision, les associations de protection de la nature l'ont fait, et ont réclamé des dommages et intérêts.

Le 10 septembre 2009, la cour d'appel de Pau avait cette fois reconnu la responsabilité de René Marquèze dans la mort de la dernière ourse de souche pyrénéenne. Condamné à verser 11.000 euros de dommages et intérêts à sept organisations de protection de l'environnement, le chasseur s'est pourvu en cassation. Mais dans un arrêt rendu en début de semaine, la chambre criminelle de la Cour de cassation a confirmé la condamnation, privant seulement l'association One Voice des 1.000 euros qui lui avaient été alloués par la cour d'appel.

La justice a rejeté la légitime défense plaidée par René Marquèze, rappelant que le chasseur avait été averti de la présence de l'ourse. Le 1er novembre 2004, la mort de Cannelle, abattue d'un coup de fusil, avait suscité une telle indignation que le gouvernement avait décidé de mettre en place un plan de renforcement de la population d'ours bruns dans les Pyrénées

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Un renard a attaqué deux bébés endormis dans une maison de l'est de Londres, un événement jugé étrange et très rare par un expert. Lire la suite l'article
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Les deux victimes de cette attaque survenue samedi soir, des jumelles âgées de neuf mois, étaient hospitalisées dans un état grave mais stable lundi, selon la police.

Les deux nourrissons souffrent de plaies aux bras et l'une d'entre elles est blessée au visage.

Il semble que le renard ait pénétré dans la maison, dont les portes étaient restées ouvertes à cause de la chaleur, alors que les parents regardaient la télévision, rapporte la presse britannique.

Ils ont chassé l'animal et appelé les services d'urgences, et un renard a été attrapé ultérieurement grâce à un piège installé dans le jardin par les services chargés de la lutte contre les animaux nuisibles.

Les renards sont de plus en plus nombreux dans les zones urbaines en Grande-Bretagne mais ils s'en prennent très rarement aux hommes.

"Les renards sont des animaux craintifs et il semble que ce type d'événement soit extrêmement rare", a indiqué le groupe de protection des animaux RSCPA.

Tim Castle, Myriam Rivet pour le service français

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Agée de 26 ans, Sabu est l'un des quatre éléphants du cirque Knie. Dimanche soir, au moment de quitter Zurich, la dame rechigna à monter dans le camion qui la transporte de ville en ville.

Elle se précipita dans le lac proche pour s'y baigner. A la surprise de son maître, elle prit la poudre d'escampette au sortir de la baignade.

Après une heure de pérégrination dans un centre-ville fermé à la circulation par la police, épuisée, elle se laissa capturer.

La promenade urbaine du pachyderme n'a causé ni blessé, ni dégât.

C'est la première fois qu'une telle mésaventure arrive au cirque Knie. Une première qui lui vaudra peut-être une plainte en justice, mais aussi certainement un bon coup de pub.

(Source : Youtube)

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Australie - Une étude menée par des scientifiques de l'université de Melbourne semble prouver que les orangs-outans, loin d'être perturbés par les visiteurs qui les observent dans les parcs zoologiques, prennent autant de plaisir à les regarder que les humains venus les admirer.

Cette étude montre que l'observation des gens qui les entourent est un passe-temps pour ces grands singes, tout comme il peut en être un pour bon nombre d'humains.

L'expérience, menée avec cinq orangs-outans du zoo de Melbourne, a consisté à opacifier la moitié de la vitre permettant d'observer les animaux dans leur enclos, laquelle permet également aux animaux d'observer leurs visiteurs. Cette installation laissait le choix aux singes de se dissimuler ou de s'offrir aux regards. Peu désireux de préserver leur intimité, les singes ont montré qu'ils préféraient presque toujours siéger face au public, devant la vitre leur permettant de voir et d'être vus.

Les données compilées par les scientifiques de l'université de Mebourne montrent que les grands singes passent ainsi quatre fois plus de temps à observer les gens qu'à réaliser d'autres activités dans la partie aveugle de leur enclos. Paul Hemsworth, un spécialiste du bien-être animal ayant participé à l'étude, commente ces résultats : "Si les orangs-outans trouvaient la présence des visiteurs stressante, on pourrait s'attendre à ce qu'ils passent plus de temps dans la partie de leur enclos abritée des regards. Or, nous avons observé le contraire : ils sont attirés par la partie ouverte et y passent le plus clair de leur temps. Cela suggère que les humains sont pour eux une distraction". Le scientifique précise cependant que ces résultats pourraient être différent chez d'autres espèces animales, et que des recherches complémentaires doivent être effectuées avant de tirer des conclusions générales sur le stress imposé par la présence de l'homme aux animaux en captivité.

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Anvers, Belgique - Le plus jeune hippopotame du zoo d'Anvers a donné naissance à un petit mâle qui vole la vedette aux autres animaux du parc.

Imani, 3 ans, a donné naissance la semaine passée un petit mâle au le zoo d'Anvers. Ce dernier devient ainsi le 165ème hippopotame à naître en captivité en Europe. La mère a créé la surprise en tombant enceinte à seulement deux ans et quatre mois, alors qu'habituellement, les hippopotames en captivité ne donnent naissance à leur premier petit que vers six ou sept ans. La mère et son petit, qui attend de recevoir un nom par les gardiens du zoo, se portent bien et ont été temporairement mis à l'écart des autres hippopotames, Hein et Hermien. "Les hippopotames sont d'imposants animaux, et le petit pourrait courir certains risques. Mais Imani est très protectrice avec son fils. Elle nous montre qui est le chef et on ne peut discuter avec un hippopotame de plus d'une tonne en colère", explique Xavier Beghin du zoo d'Anvers

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BAMAKO, 15 juin 2010 (AFP) - Au moins 21 éléphants sont morts depuis le 25 mai "à cause des effets de la sécheresse" dans la réserve du Gourma, une région qui s'étend notamment du nord du Mali au Burkina Faso, a-t-on appris mardi de source proche du ministère malien de l'Environnement.>"Une partie des éléphants sont morts de soif et de fatigue, d'autres sont morts pour avoir bu trop d'eau après en avoir cruellement manqué", a-t-il expliqué.

Entrant dans les détails, M. Sissoko a relaté que les éléphants allaient s'abreuver dans une mare du Gourma, côté Mali. Mais ces pachydermes ont constaté qu'il y avait une "pression des animaux sur une mare d'eau, alors ils ont dû parcourir une longue distance pour pouvoir étancher leur soif"

"Entretemps, des éléphants sont morts. D'autres sont décédés, plus tard, tout juste après avoir bu trop d'eau. Lorsque les cellules sont vidées d'eau, il ne faut boire, au début, qu'une petite quantité d'eau... Mais ces pachydermes étaient assoiffés et ont trop bu", a-t-il expliqué.

Le ministre malien de l'Environnement s'était rendu sur place.

Selon les services du ministère malien de l'Environnement, la réserve d'éléphants du Gourma est l'une des rares au monde où le braconnage des pachydermes n'existe pas, à cause de l'implication des populations locales dans la lutte.


"Les populations sont constituées en +brigades de vigilance+, et nous finançons localement les micro-projets, pour aider les populations", a relevé M. Sissoko. sd/lbx/plh

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Quand ils ne trônent pas sur leur pays, les Princes William et Harry se consacrent à leurs carrières dans l'armée , passent du temps avec leurs fiancées et vadrouillent à travers le monde afin de découvrir de nouvelles choses.

Les princes Harry et William font des rencontres... sauvages pour leur première mission ensemble !
Le prince William et la reine Elizabeth II : Chevaleresques pour une vieille histoire de... jarretière !
La reine Elizabeth II, et ses enfants et petits-enfants, ont fait un véritable festival de couleurs !
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Toujours prêts à s'engager en faveur d'associations , tout comme le faisait leur mère Lady Di, les Princes de Galles se sont rendus en Afrique du sud, où ils ont eu l'occasion de visiter une réserve animalière.

Ainsi, William et Harry ont eu leurs doses de sensations fortes, puisqu'ils ont caressé un guépard et fait la connaissance d'un imposant python !

De quoi impressionner les pourtant si courageux héritiers du trône d'Angleterre, qui représentent deux bons partis pour la nouvelle génération !

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LE CAIRE, 16 juin 2010 (AFP) - La sécurité de l'aéroport du Caire a interpellé un homme qui cherchait à partir pour la Thaïlande avec cinquante caméléons et huit renards dans ses bagages, a-t-on appris mercredi.> Le passager avait attiré l'attention des agents de sécurité par sa nervosité.

Les animaux ont été confisqués mais l'homme remis en liberté, selon les services aéroportuaires qui n'ont pas donné de précisions sur des poursuites éventuelles.

Fin mai, un Egyptien qui tentait de faire partir pour l'Allemagne par colis aérien 75 scorpions vivants et venimeux, avait été arrêté sur la zone de frêt de l'aéroport du Caire.

L'homme avait assuré que les insectes, cachés dans un petit coussin, étaient destinés à un centre de recherche médicale.

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Cornouailles, Grande Bretagne - Des wallabies auraient été capables de résister au climat britannique et seraient même parvenus à fonder une petite famille, formant ainsi une colonie.

C'est une automobiliste qui est parvenue à prendre en photo un des individus de la colonie. Ce dernier serait un mâle qui se serait échappé d'une ferme il y a trois ans et qui n'avait pas été retrouvé. Cependant le fugitif serait parvenu à se trouver une compagne et à fonder une famille, puisqu'un wallaby portant son bébé dans la poche a également été aperçu sur les lieux. Beaucoup craignaient cependant que les animaux, originaires d'Australie, ne survivent au climat britannique. "Les wallabies sont plutôt robustes alors ils survivent assez bien. Ils se reproduisent également ce qui montre qu'ils vont bien. Ils sont restés ainsi plusieurs années et ont survécu à des hivers parfois rudes",

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Allemagne - Devenu une célébrité au zoo de Berlin, et dans le monde des parcs animaliers, Knut faisait parler de lui dernièrement pour son comportement joyeux avec sa compagne. Aujourd'hui, il semblerait atteint de troubles du comportement.

C'est l'association PETA qui dénonce les troubles du comportement graves dont souffrirait Knut, l'ours polaire. Ainsi, l'expert en ours polaires de l'association explique : "Lui et sa compagne Gianna souffrent définitivement de troubles du comportement", qui se caractériseraient par des attaques de panique, et un comportement d'errance. Une nouvelle qui entre en totale contradiction avec les informations que l'on pouvait avoir il y a encore quelques mois (voir article : L'ours polaire Knut et sa compagne jouent à cache-cache).Lors de sa naissance en décembre 2006, Knut avait ému le monde entier. Après avoir été rejeté par sa mère, les soigneurs le nourrissaient au biberon, explique l'AFP. Les médias n'ont eu de cesse de montrer les images des premières sorties de l'ourson, à tel point que certains hommes ont alors tout tenté pour rencontrer l'animal (voir article : Un homme saute dans l'enclos d'un ours pour devenir son ami). Dernièrement, les associations de défense des animaux demandaient la castration de l'animal (voir article : Knut l'ours polaire devrait être castré, selon des défenseurs des animaux) et l'Agence France Presse de rappeler que Knut avait même reçu le privilège d'apparaître en couverture du magazine Vanity Fair. Aujourd'hui, les experts de PETA tirent la sonnette d'alarme, arguant que si l'ensemble des ours polaires vivant en captivité dans des zoos allemands souffriraient de troubles comportementaux, l'ours Knut serait plus atteint encore.

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PARIS, 21 juin 2010 (AFP) - Une panthère des neiges, espèce de félins gravement menacée à l'état sauvage, est née récemment en captivité au parc des félins à Nesles (Seine-et-Marne), a annoncé lundi l'établissement qui a pour vocation la préservation des espèces de félins en voie de disparition.> "Le bébé panthère, âgée aujourd'hui d'un mois et de quelques jours, est fille unique", a-t-il poursuivi précisant que les panthères des neiges peuvent avoir un à trois petits, voire quatre, par portée.

Les parents de Daïna sont nés en Irlande et en Angleterre et ont été transférés au parc dans le cadre d'un programme d'élevage.

"Ils ont été présentés l'un a l'autre, il y a trois ans et n'ont été matures sexuellement que cette année", a dit M. Breton. "Cette femelle va être élevée par sa mère et sera visible dans l'enclos visiteur d'ici deux à trois semaines".

Le parc zoologique qui est implanté dans un grand domaine forestier compte 140 félins et 50 lémuriens. Cet établissement spécialisé depuis 1998 dans l'élevage de ces animaux, a par ailleurs vu naître au printemps trois panthères de l'Amour, un des félins les plus menacés à l'état sauvage, quatre tigres de Sibérie qui sont aussi très menacés.

Selon le biologiste, il ne reste que 30 panthères de l'Amour, 450 tigres de Sibérie et 4.000 à 6.000 panthères des neiges en liberté dans la nature.

Les spécialistes s'accordent à dire que ces animaux figureront parmi les premières espèces de mammifères à disparaître dans les 30 années à venir si rien n'est fait.

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RANGOUN, 29 juin 2010 (AFP) - Un éléphant blanc, espèce très rare augurant de changements politiques selon des superstitions birmanes, a été capturé dans le nord-ouest du pays, a indiqué mardi la presse officielle alors que la junte militaire prépare les premières élections législatives depuis 20 ans.> La Birmanie, à majorité bouddhiste, a toujours chéri les éléphants blancs dont les rares apparitions sont considérées comme étant le signe de changements politiques importants.

Le pays est dirigé par des militaires depuis 1962. La junte a promis avant la fin de l'année des élections législatives, les premières depuis celles remportées haut la main en 1990 par la Ligue nationale pour la démocratie (LND) de l'opposante Aung San Suu Kyi, toujours assignée à résidence.

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TOULOUSE, 1 juil 2010 (AFP) - Deux jeunes oursons nés pendant l'hiver ont été repérés dans les Pyrénées, en Ariège, a annoncé jeudi l'Association pour le développement durable des Pyrénées, organisme qui défend la présence des ours, une vingtaine, dans le massif.>
Il y aurait 20 à 22 ours dans les Pyrénées, dont au moins 16 confirmés, selon l'administration régionale de l'environnement et de l'aménagement.

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France - Deux oursons jusqu'alors non répertoriés ont été repérés dans les Pyrénées françaises.

Pour l'instant de sexe non identifié, les deux jeunes ours seraient nés l'hiver dernier. Aperçus le 20 juin dernier, leur présence n'a été validée que neuf jours plus tard, une fois leurs traces relevées.

L'association ayant fait la découverte est l'Adet (Association pour le développement durable des Pyrénées). Elle a expliqué dans un communiqué que la nouvelle "n'a pu être validée que le 29 [juin], quand des traces d'adulte accompagnées de traces d'oursons ont été relevées sur la commune de Couflens, en Ariège".

Selon l'association, seule une vingtaine d'ours sont encore présents dans les Pyrénées.

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@Choupi91 a écrit:
France - Deux oursons jusqu'alors non répertoriés ont été repérés dans les Pyrénées françaises.

Pour l'instant de sexe non identifié, les deux jeunes ours seraient nés l'hiver dernier. Aperçus le 20 juin dernier, leur présence n'a été validée que neuf jours plus tard, une fois leurs traces relevées.

L'association ayant fait la découverte est l'Adet (Association pour le développement durable des Pyrénées). Elle a expliqué dans un communiqué que la nouvelle "n'a pu être validée que le 29 [juin], quand des traces d'adulte accompagnées de traces d'oursons ont été relevées sur la commune de Couflens, en Ariège".

Selon l'association, seule une vingtaine d'ours sont encore présents dans les Pyrénées.



TOULOUSE, 1 juil 2010 (AFP) - Deux jeunes oursons nés pendant l'hiver ont été repérés dans les Pyrénées, en Ariège, a annoncé jeudi l'Association pour le développement durable des Pyrénées, organisme qui défend la présence des ours, une vingtaine, dans le massif.> Il y aurait 20 à 22 ours dans les Pyrénées, dont au moins 16 confirmés, selon l'administration régionale de l'environnement et de l'aménagement.

Selon l'association, leur père est probablement Pyros, géniteur de tous les oursons nés depuis 1997 dans les Pyrénées, sauf un. Caramelles ou sa fille, aperçues dans cette zone, auraient pu les mettre au monde.

En 2009, deux naissances ont été recensées dans le Val d'Aran (Pyrénées espagnoles). Les oursons ont été baptisés Noisette et Nheu (neige en dialecte aranais).

L'Association pour le développement durable des Pyrénées se réjouit de ces naissances mais juge "indispensable de renforcer cette population très rapidement", notamment dans la partie occidentale du massif pyrénéen "où la situation est critique, avec seulement 3 mâles, mais aussi dans les Pyrénées centrales où la population est encore loin d'être viable".

Pour assurer la viabilité de l'espèce, il faudrait atteindre une population d'une cinquantaine d'ours, selon les experts.

Il y a un mois, les traces d'un ours, probablement celles de Balou, ours slovène lâché dans les Pyrénées en 2006, ont été relevées dans les Corbières, à une trentaine de kilomètres du littoral méditerranéen. C'était la première fois qu'un ours était repéré aussi loin de son habitat naturel.

Le programme gouvernemental de réintroduction de l'ours dans les Pyrénées déchaîne les passions, notamment dans l'Ariège, où environ 200 éleveurs ont manifesté jeudi pour dénoncer "des prédations catastrophiques", récemment.

Pour Gérard Dubuc, de l'Association pour la protection du patrimoine Ariège-Pyrénées (ASPAP), "plus de 100 bêtes ont été tuées ou ont disparu dans des chutes mortelles (effrayées par l'ours, ndlr) dont une trentaine au moins ont été expertisées comme des victimes de l'ours sans sans le moindre doute".

Les manifestants ont lancé un appel au président de la République pour qu'il mette un terme au programme de réintroduction des ours.


Les partisans de l'ours attendent avec impatience l'annonce d'un nouveau Plan Ours par le ministère de l'Environnement.

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LONDRES, 1 juil 2010 (AFP) - Les parents des jumelles de neuf mois grièvement blessées début juin par un renard qui les avait attaquées pendant leur sommeil dans une maison de Londres, ont raconté jeudi leur horreur en découvrant le drame.> Le renard serait entré par une porte du rez-de-chaussée de la maison familiale à Stoke Newington, dans le nord-est de Londres, laissée ouverte à cause de la chaleur qui régnait alors sur la région. Tandis que les parents regardaient la télévision, l'animal a gravi l'escalier menant à la chambre des bébés.

Leurs parents, Nick et Pauline, ont raconté dans leur premier entretien à la télévision programmé jeudi soir sur la BBC comment ils s'étaient précipités dans la chambre en entendant les cris des bébés.

"Je me suis penché vers lui (le renard, ndlr) et il n'a même pas bougé. Et je criais et les filles criaient et Nick a bondi en avant à plusieurs reprises, et le renard ne bougeait que d'une trentaine de centimètres à la fois", a raconté Pauline Koupparis.

"J'ai pris Lola, et Nick a pris Isabella. Son bras était ouvert et des morceaux de chair tombaient littéralement sur sa jambe. On aurait dit qu'elle était passée dans une râpe à fromage", a-t-elle poursuivi.

De son côté, Nick Koupparis a expliqué être "sorti sur le palier. J'avais Isabella dans les bras et le renard était assis en haut des escaliers comme si c'était un animal domestique ou que rien ne s'était passé".

"Je savais alors qu'Isabella saignait beaucoup. Je pouvais sentir le sang filtrer à travers son babygro et j'ai jeté tout ce qui me tombait sous la main vers le renard", a-t-il poursuivi.

Les parents ont ensuite contacté les services de secours et les jumelles ont été transportées à l'hôpital.

Des images des bébés, rendues publiques à l'occasion de l'entretien, montrent qu'elles portent encore les marques de leur agression, en particulier Isabella.

"Lorsque les filles sont là, je n'ouvre pas les portes et c'est un peu une angoisse la nuit", a confié la mère des jumelles. "J'ai un peu peur de laisser la porte ouverte maintenant".


L'incident a provoqué une vive polémique entre partisans et adversaires de mesures de régulation des renards qui pullulent à Londres.

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Canada - Un zoo a récupéré plusieurs de ses animaux qui avaient été portés comme manquants quelques jours auparavant. Parmi les animaux retrouvés, un tigre et deux chameaux.

Le tigre du Bengale et les deux chameaux étaient à bord d'un véhicule, en route vers un autre zoo où ils étaient prêtés. Mais lors du trajet et alors que le chauffeur du véhicule s'était arrêté pour se reposer, les animaux avaient disparu. Peu de temps après que les animaux ont disparu, ils ont été retrouvés même si les responsables du zoo ont refusé de dire comment. Quoi qu'il en soit, un des responsables a expliqué les animaux semblaient ravis de retrouver leur espace dans le parc.

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Mali - Alors que le nombre d'éléphants ne cesse de décroître au Mali, des habitants du nord du pays ont mis en place des "brigades de vigilance" pour lutter contre le braconnage et protéger les derniers pachydermes.


Dans le Gourma malien, qui comprend les régions de Mopti, Tombouctou et Gao, les éléphants se font de plus en plus rares. Menacés par la sécheresse et le braconnage, ils étaient 550 dans les années 1970, et ne sont aujourd'hui plus que 354.

S'ils ne peuvent pas lutter contre la sécheresse qui a tué en juin vingt-et-un éléphants, des habitants du nord du Mali ont décidé de s'organiser en brigades de vigilance pour protéger leurs derniers pachydermes des braconniers qui convoitent l'ivoire de leurs défenses, mais aussi leur viande. Réputés pour être les plus gros d'Afrique et les seuls éléphants nomades au monde, certains se sont vu équiper d'un GPS. "Pour les protéger des braconniers et les suivre, nous avons pu mettre au cou de certains éléphants un modem GPS. Donc, de manière permanente, nous connaissons leur position" explique Biramou Sissoko, colonel des Eaux et forêts, et coordinateur national du projet de conservation et de valorisation de la biodiversité du Gourma et des éléphants.

"Nous prenons nos mesures de précautions. Dans cette réserve, les éléphants ne sont plus victimes de braconnage depuis que nous sommes organisés en brigades de vigilance. Mais on n'est jamais assez prudent", souligne l'adjudant-chef des Eaux et forêts Bakary Kamé.

Alors que le Mali est en train de durcir sa loi anti-braconnage, les autorités assurent une formation aux habitants et une fonction "d'animateur de biodiversité" a été créée. "Notre rôle est d'éduquer, de sensibiliser les populations sur les méfaits du braconnage et de la déstructuration de l'environnement", explique l'un de ces animateurs, Amadou Boré. Un projet de conservation de la biodiversité dans le Gourma a par ailleurs été mis en oeuvre pour protéger le cadre de vie des animaux.

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LE CAP, 6 juil 2010 (AFP) - Un hippopotame baptisé Zorro a été capturé par les autorités sud-africaines après s'être échappé d'une station d'épuration du Cap (sud-ouest) où il vivait depuis plus d'un an, ont annoncé mardi les services de protection des animaux.> Récemment, des voleurs ont dérobé une partie du grillage électrique entourant le site, et Zorro, désormais âgé de quatre ans, en a profité pour s'échapper, a expliqué à l'AFP Dalton Gibbs, des services locaux de protection des animaux.

Pour le capturer, ses services ont construit un enclos large où l'animal a été piégé lundi matin. "On a alors fait venir une grue sur le site pour l'embarquer et il est arrivé dans son nouveau domicile dans l'après-midi", a précisé M. Gibbs.

Très agressifs et puissants, les hippopotames peuvent courir plus vite qu'un être humain et sont responsables de nombreux accidents mortels en Afrique australe.

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Afrique-du-Sud - Cela faisait un an que l'animal s'était fait chasser d'une réserve. Aujourd'hui, après douze mois d'errance, il a été arrêté par les autorités sud-africaines.

Zorro, c'est le nom de cet hippopotame, s'était fait chasser de la réserve de Rondevlei. Après une période d'errance, explique l'AFP, l'animal avait élu domicile dans une station d'épuration du Cap. Mais si le lieu était à l'origine fermé, des voleurs se sont emparés du grillage, permettant alors à Zorro de s'enfuir, expliquent les services locaux de protection des animaux à l'Agence France Presse.Mais les autorités sont parvenues à capturer l'animal après avoir construit un large enclos fermé. Un membre des services locaux a expliqué : "On a alors fait venir une grue sur le site pour l'embarquer et il est arrivé dans son nouveau domicile dans l'après-midi."

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LA HAVANE, 8 juil 2010 (AFP) - Une autruche est morte de faim et de manque de sommeil dans un zoo cubain, victime de l'appétit sexuel débridé de son partenaire, qui cherchait à s'accoupler avec elle jusqu'à sept fois par jour.> Pour protéger la femelle, le personnel du zoo a bien "tenté de l'isoler", mais le mâle en proie au satyriasis, qui avait besoin de "deux ou trois partenaires pour assouvir ses instincts", a commencé à "stresser énormément", a indiqué la directrice du zoo Nancy Paz.

L'animal est tellement irascible que seule Magali Valdivia ose entrer dans sa cage pour le nettoyer. Une fois, il a même fallu "trois hommes pour maîtriser l'oiseau qui attaquait l'un des employés", a-t-elle ajouté.

L'équipe du zoo est déjà en train de lui chercher de nouvelles compagnes

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Un nouvel espace pour les lions sauvés du cirque





Grâce aux équipements financés pour partie par la Fondation 30 Millions d’Amis, le confort de Simba, Mulan et Princesse s’améliore à Tonga Terre d’Accueil (42).

L’association Tonga Terre d'Accueil vient de réussir son pari : améliorer les conditions de vie des félins extirpés des griffes d’un cirque itinérant qui les détenait il y a peu et dont le sort avait particulièrement ému bon nombre d’internautes et de téléspectateurs de l’émission 30 Millions d’Amis.

De nouveaux bâtiments ont été réalisés grâce à la participation financière de nombreuses associations de protection animale, dont la Fondation 30 Millions d’Amis : « Nous disposions du savoir-faire grâce au personnel du parc, mais il nous manquait les financements, explique Pierre Thivillon, fondateur de l'Espace Zoologique de Saint-Martin-La-Plaine et président de Tonga Terre d’Accueil. Sans aides extérieures cela n’aurait pas été possible. »

Six « volières » [notre photo] permettent désormais à Ben Hur, Tigrou, Simba et leurs congénères de s’ébattre à l’extérieur, alors que d’autres bâtiments sont en cours de réalisation : « Nous sommes très sollicités pour accueillir de nouveaux animaux, confie Pierre Thivillon. Si nous les refusons, ils risquent l’euthanasie. Nous ne pouvons nous y résoudre. » Un nouveau parc devrait ouvrir au mois de février 2011, près de Montpellier (34), dédié cette fois aux singes magots.

Une bonne nouvelle qui ne vient pas seule : Ena, petite lionne âgée de six mois et benjamine du groupe, vient de s’envoler vers un sanctuaire sud-africain. Saisie lors d’un contrôle dans un cirque de la Drôme, elle vivait dans une cage minuscule à l’intérieur d’un camion transportant du matériel. « C’est une magnifique victoire, même si son départ a été un vrai déchirement, avoue Pierre Thivillon. Ena commence une nouvelle vie, dans l’environnement qui aurait dû être le sien depuis le départ. »

La Fondation 30 Millions d’Amis a participé à hauteur de 100 000 euros à ces nouveaux enclos. En février 2010, elle avait procédé à la saisie de trois lions détenus illégalement par le cirque Lamberty. Les fauves coulent à présent des jours heureux à Saint-Martin-la-Plaine (42), avant leur prochaine réintroduction en milieu naturel.

Source : Fondation 30 Millions d'amis

2010-07-05 19:14:00

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