pacemaker91 0 Posté(e) le 8 juillet 2010 Le blaireau décrété indésirable : tollé des associationsLe Préfet de la Côte d’Or incite dans deux arrêtés les chasseurs à exterminer tous les blaireaux, porteurs supposés de la tuberculose bovine. Une mesure qui soulève l’indignation de la Fondation 30 Millions d’Amis, cosignataire d’une lettre adressée au représentant de l’Etat (24/06/10).Les associations de protection animale sont consternées. Deux dispositions préfectorales (04/03/10) ordonnent en effet la capture et la destruction des blaireaux, susceptibles de porter et transmettre la tuberculose bovine. En Côte d’Or, les chasseurs sont donc autorisés à détruire les populations de ce mustélidé pourtant nécessaire à l’équilibre de l’écosystème. Une directive que ces derniers ont visiblement prise très à cœur puisque plus de 2 000 animaux auraient déjà péri depuis le mois de mars. Les autorités ont pris cette mesure afin de lutter contre la propagation de la tuberculose bovine, une maladie bactérienne dangereuse pour le bétail. Dans une lettre commune adressée au Préfet (24/06/10), les associations de protection animale rappellent cependant que de récentes études scientifiques ont pointé l’inefficacité d’une telle destruction. Pour Pierre Athanaze, Président de l’ASPAS (Association pour la Protection des Animaux Sauvages), la décision préfectorale est donc étonnante à plus d’un titre : « C’est une véritable éradication, s’insurge-t-il. Et les mesures habituellement conseillées pour combattre efficacement cette maladie n’ont pas été prises. C’est absolument incohérent. » Dans des conditions dites « normales », les populations de blaireaux augmentent seulement de 10 % en 10 ans. Un renouvellement des générations difficile, que la mortalité causée par la chasse, la circulation routière et la destruction de l’habitat n’aide guère. « Le problème, poursuit Pierre Athanaze, c’est que nous ne disposons d’aucune donnée précise sur le nombre de blaireaux dans cette région. On ne peut donc pas chiffrer précisément les conséquences de cette décision, qui seront sans doute dévastatrices. » Le blaireau est pourtant protégé dans la plupart des pays européens. En France, il n’est plus considéré comme un nuisible depuis 1988, mais il continue d’être chassé. Les femelles gestantes ne sont d’ailleurs pas épargnées, et la date de l’arrêté pris en mars dernier correspond étrangement à la période de reproduction. Les bébés livrés à eux-mêmes vont mourir de faim. Pourquoi un tel acharnement ? « C’est un nouveau cadeau offert aux chasseurs, s’indigne Pierre Athanaze. Le déterrage est une pratique à la mode, et la période de chasse du blaireau est plus longue que pour les autres gibiers. On assiste à un clientélisme à outrance. » La Fondation 30 Millions d’Amis, l’ASPAS ainsi que des dizaines d’associations appellent à cesser immédiatement cette véritable tuerie organisée, alors que 2010 a été décrétée « Année Internationale de la Biodiversité » par les Nations Unies. Source : Fondation 30 Millions d'amis2010-07-05 19:16:00 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 12 juillet 2010 Pékin, Chine - Tandis que la température peut atteindre les 40°C en Chine, le zoo de Pékin lutte contre la chaleur et garde au frais ses résidents. La canicule s'installe un peu partout dans le monde et l'hémisphère Sud affiche aussi des pics de chaleur. Par exemple, en Chine, le thermomètre frôle les 40°C et à Pékin, le zoo traverse l'un de ses étés les plus chauds.Les pandas sont gardés au frais grâce à l'air conditionné de leur pavillon, rafraîchis par des blocs de glace. Certains vont aussi patauger dans le plan d'eau extérieur. Le zoo s'est en effet préparé à cette vague de chaleur depuis plus de six mois en installant des conditionneurs d'air pour les spécimens les plus rares et crée de l'ombre dans les différents emplacements des animaux. Il livre aussi quotidiennement des blocs de glaces à ses pensionnaires.Zhang Yizhuo, le responsable du zoo, a déclaré au journaliste de la chaîne d'information New Tang Dynasty Television que les blocs de glace "sont spécialement faits par le zoo. Vu les températures actuelles, nous donnons jusqu'à dix blocs de glace par jour aux animaux qui ne peuvent pas vraiment supporter les fortes chaleurs comme les pandas, les ours et les gibbons."Beaucoup de visiteurs sont déçus de leur visite car de nombreux animaux préfèrent rester loin du soleil et font le choix de rester à l'intérieur. La Chine traverse une vague de chaleur sans précédent. Plus de 14 régions et grandes villes présentent une température qui dépasse les 35°C. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 15 juillet 2010 GRENOBLE, 13 juil 2010 (AFP) - Le préfet des Hautes-Alpes a autorisé l'abattage d'un loup à la suite d'"attaques répétées" mortelles d'ovins par un canidé, a annoncé la préfecture mardi dans un communiqué.> Depuis 2009, une dizaine d'attaques de loup ont causé la mort d'une trentaine d'ovins dans la commune et ses environs, au sud du département, précise la préfecture.Dans le cadre d'un protocole technique national d'intervention sur le loup, l'Etat autorise l'abattage de six loups pour la période 2010/211 sur une population de plus de 200 canidés.En 2009, 992 attaques de loups ont causé la mort de 3.161 animaux, selon un bilan cité par la députée UMP des Hautes-Alpes Henriette Martinez. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 15 juillet 2010 BERLIN, 14 juil 2010 (AFP) - Une femelle lama a pris la fuite sur une route nationale proche de son enclos pour échapper aux avances pressantes d'un congénère, a-t-indiqué la police de Basse-Saxe (nord de l'Allemagne) mercredi.> Aidées par le propriétaire, qui avait entendu parler à la radio de l'incident, les forces de l'ordre ont capturé au lasso l'animal et l'ont ramenée à son point de départ."Elle n'était pas du tout agressive, juste timide et effarouchée", a précisé M. Reuter.A son retour, Luisa a "reçu un accueil joyeux de cinq de ses congénères et de plusieurs ânes", écrit la police dans son communiqué. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 15 juillet 2010 BANDA ACEH (Indonésie), 15 juil 2010 (AFP) - Un paysan indonésien a été sauvagement tué par un tigre de l'espèce de Sumatra, en danger d'extinction, alors qu'il travaillait dans sa plantation de cacaotiers, a annoncé jeudi un responsable local.> "Le tigre a brisé son cou et sa colonne vertébrale. Son abdomen a été éventré et son corps portait la trace de morsures", a-t-il témoigné.De telles attaques restent rares mais leur nombre a augmenté ces dernières années dans plusieurs régions d'Indonésie, un archipel riche d'immenses forêts tropicales.La principale raison de ces conflits hommes-animaux, qui font une trentaine de morts d'hommes par an, est la perte d'habitat pour les tigres et les éléphants surtout, chassés par le déboisement et le développement des plantations, notamment de palmiers à huile.Il reste moins de 400 tigres de Sumatra à l'état sauvage, selon le WWF. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 16 juillet 2010 Jeudi soir, plusieurs appels de riverains ont signalé la présence d’un félin dans les quartiers sud de Macon, en Saône-et-Loire. Des appels téléphoniques passés au commissariat de police de Macon, à la gendarmerie ainsi que chez les sapeurs-pompiers de Saône-et-Loire.Les indications des témoins données par téléphone laissaient penser qu’il s’agissait d’une panthère.Les sapeurs-pompiers de Saône-et-Loire, ont effectué des recherches, qui ont été abandonnées vers minuit.L’animal n’a pas été retrouvé. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 16 juillet 2010 FREETOWN, 15 juil 2010 (AFP) - Quelque 300 personnes ont dû fuir leur village dans le nord de la Sierra Leone après avoir été envahis par un troupeau d'une cinquantaine de buffles, a rapporté jeudi une radio locale.> L'incident s'est produit mardi à Baindu, dans le nord de la Sierra Leone, à la frontière avec le Liberia."Heureusement, personne n'a été tué, et nous avons envoyé des renforts armés depuis Kenema pour chasser les animaux. Mais en raison de la distance (200 km) et du mauvais état des routes, l'intervention ne pourra commencer que ce soir à la tombée de la nuit", a-t-il ajouté.Les buffles "ont chassé les habitants qui se sont réfugiés dans la jungle", a rapporté un journaliste local à l'AFP.Les animaux "donnaient des coups de cornes dans les portes, retournaient tous les pots et ustensiles, et se sont emparés du village", a-t-il raconté.Le village est le grenier de la région, produisant cacao, café, gingembre, et nombre de légumes.Les attaques de buffle sont monnaie courante dans la région. En 2008, six fermiers ont été tués après avoir été chargés par ces animaux. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 20 juillet 2010 Les agriculteurs dont les récoltes sont saccagées par des animaux sauvages, comme les éléphants, devraient se servir de spray au piment pour les disperser, recommandent les Nations unies. L'Organisation des Nations unies pour l'alimentation et l'agriculture (FAO) a dévoilé dans un communiqué diffusé lundi sur son site internet un "kit d'outils" destiné aux agriculteurs pour les dissuader de tuer la faune.La compétition entre les animaux sauvages et l'homme est une source de conflit, surtout en Afrique où l'homme demande de plus en plus de terres pour ses récoltes et son bétail."Avec une population mondiale qui augmente de 75 millions par an, les hommes et la vie sauvage sont de plus en plus en contact, augmentant le risque de conflits", note la FAO.L'organisme propose une alternative aux agriculteurs, qui, furieux de voir leur récolte saccagée, tuent les éléphants: le piment chilien. La solution consiste en un pistolet en plastique qui tire des balles de ping-pong remplies de piment, lesquelles explosent au contact de la peau de l'éléphant.Au Kenya, les agriculteurs peuvent, suggère l'Onu, avoir recours à des ânes réputés pour défendre avec acharnement les terres agricoles, même face à des animaux plus gros qu'eux.Pour éloigner des babouins qui volent de la nourriture dans les maisons, on peut placer des serpents, de préférence vivants, au milieu d'une miche de pain, poursuit le communiqué."Quelles que soit les mesures prises, il est important qu'elles soient introduites rapidement", note Rene Czudek, responsable des forêts et de la faune sauvage de la FAO. "Dans le cas contraire, on risque de voir disparaître progressivement la faune sauvage dans une grande partie de l'Afrique."Tim Cocks, Marine Pennetier pour le service français, édité par Gilles Trequesser Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 juillet 2010 MOSCOU, 20 juil 2010 (AFP) - Deux ours bruns aperçus en pleine journée aux abords d'un village dans la péninsule du Kamtchatka, en Extrême-Orient russe, ont été abattus par des chasseurs en raison de la menace qu'ils représentaient pour la population, ont indiqué mardi les autorités locales.> "Pour prévenir toute menace pour la population, les ours ont été repoussés par des coups de feu tirés par des membres de la brigade de chasse créée à cet effet", a ajouté ce représentant, soulignant qu'ils avaient été abattus dans la semaine du 10 au 17 juillet.L'ours brun du Kamtchatka est l'un des plus grands du monde. Le mâle adulte peut atteindre 700 kilogrammes et trois mètres debout. Plus de 18.000 mammifères vivent actuellement sur la presqu'île du Kamtchatka, selon le dernier recensement.D'après des experts, ces ours sont particulièrement menaçants au début de l'été lorsqu'ils sont à la recherche de nourriture, la végétation étant insuffisante à cette période de l'année.Des habitants du Kamtchatka sont attaqués chaque année par des ours. Une personne y a été tuée l'an passé, et trois habitants ont péri en 2008. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 juillet 2010 C'est la deuxième fois qu'une naissance de panthères longibandes a lieu en France. C'est un évènement extrêmement rare: deux petites panthères longibandes sont nées à la Ménagerie du Jardin des Plantes. Une naissance tenue secrète depuis le 14 mai, le zoo voulant s'assurer de la santé des petits et de leur mère.Pati et Jaya ont un peu plus de deux mois à présent, et sont en excellente santé. Le moment idéal pour venir les observer? En fin d'après-midi, lorsqu'elles sont les plus actives.C'est la deuxième fois qu'une naissance de panthères longibandes a lieu en France. Samar et Luang, les parents de ces deux petites boules de poils, avaient déjà donné le jour à un mâle et une femelle en 2009 vers la même période.Les panthères nébuleuses, surnommées ainsi du fait de leur caractère "ombrageux", sont très difficiles à élever en captivité. C'est une espèce menacée, qui ne compte que 10 000 individus à l'état sauvage et 40 spécimens dans les zoos d'Europe. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 juillet 2010 Champa est libre !L’éléphante Champa a enfin été confiée à One Voice et à WSOS. Après des années de souffrance et de travail forcé, elle va pouvoir se reposer... Nous vous présentions il y a quelques semaines l’histoire bouleversante de Champa, éléphante esclave en Inde, obligée de travailler malgré ses blessures. Grâce à un immense élan de générosité, les fonds suffisants ont été rapidement collectés pour pouvoir procéder à sa libération. Après un long travail de paperasserie administrative et de demande d’autorisations auprès des autorités de la faune sauvage, la garde de Champa a été officiellement confiée à One Voice et à WSOS ! En attendant que le sanctuaire qui devra l’accueillir soit finalisé, Champa a été mise à l’abri, loin de l’agitation des routes et des enfants turbulents. Elle réside pour l’instant sur un grand terrain arboré, loué à cet effet. Pour y parvenir, il lui a fallu marcher durant 5 nuits pour éviter autant que possible la chaleur, mais aussi la pollution, le bruit et la poussière générés par le trafic important sur les routes indiennes. Champa n’est jamais montée dans un camion, ils la terrorisent ! L’y contraindre aurait donc constitué un stress trop grand pour elle, compte tenu de son âge. Elle était accompagnée d’un vétérinaire, de son assistant et de 2 mahouts (ou cornacs). Le premier, Munna a été engagé pour le projet. Il est sensible à la cause des éléphants et n’utilise pas d’ankus. Le second est celui qui s’occupait d’elle auparavant, qu’elle connait et apprécie, et à qui cette reconversion a été offerte. Comme pour les kalandars, elle seule garantit qu’il ne reprendra pas un nouvel éléphant. Il était plus que temps de sauver Champa. Examinées par 3 vétérinaires, ses pattes étaient si usées par la marche forcée en pleine journée sur le bitume brûlant qu’elles saignaient continuellement ! Une analyse de sang a montré un système immunitaire affaibli, une anémie et une déficience en calcium. Un test pour la tuberculose a été réalisé qui s’est heureusement révélé négatif. Elle souffre en revanche de sénilité précoce, conséquence directe d’avoir été constamment obligée de travailler, et d’avoir travaillé trop dur… L’examen vétérinaire a également révélé de nombreux problèmes de peau. Heureusement, Champa est extrêmement patiente et accepte les soins sans problèmes, avec – presque – soulagement. Ses pieds sont lavés deux fois par jour. Elle a aussi droit à un bain de pieds médicamenteux quotidien qui dure 30 minutes et qu’elle apprécie particulièrement… Le vétérinaire l’a beaucoup soulagée en lui coupant et en lui limant les ongles. Mais les soins des pieds restent pour l‘instant difficile car le sol est boueux. Heureusement, une étable est en cours de construction. Elle aura un sol en pierre naturelle qui permettra le drainage de l’eau et donc maintiendra ses pieds au propre et au sec… Champa peut maintenant manger à sa faim, plusieurs dizaines de kilogrammes de nourriture chaque jour dont une grande quantité de fruits frais qu’elle apprécie. Elle se repose autant qu’elle veut, fait de longues promenades à travers champs et prend de nombreux bains de boue. Elle a vite montré qu’elle était heureuse sur son nouveau domaine. Elle est calme et adore parler, souffler et émettre toutes sortes de sons. Elle couine et proteste lorsqu’elle veut que son mahout la caresse mais qu’il est occupé ! Sa relation avec lui est privilégiée. Elle ne montrera autant d’amour à personne d’autre… Bien-sûr, cela suscite quelques jalousies de la voir toujours l’enlacer tendrement de sa trompe, mais quel bonheur de la voir comblée ! Champa peut enfin apprécier la douceur de vivre. Sa qualité de vie est sans comparaison avec ce qu’elle était avant. Ses blessures sont soignées et elle peut manger à sa faim… Désormais, elle va vivre en paix, sans plus jamais connaître la souffrance. Source : Onevoice2010-07-21 21:50:00 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 juillet 2010 Vendredi dernier, excédé par un klaxon activé sans discontinuité en pleine nuit, un habitant de Larkspur au Colorado appela la police.Quelle ne fut pas la surprise du sheriff du comté de Douglas lorsqu'une fois sur place, il découvrit un ours en travers des sièges avant d'un véhicule stationné au milieu de buissons.(Source : Famille Story)Après une rapide enquête, le policier retrouva le propriétaire de l'automobile, Ben Story, un garçon de 17 ans.La veille, Ben avait omis de fermer à clef son véhicule garé dans la cour de la propriété familiale. Alléché par un sandwich oublié dans la berline, l'ours ouvrit alors facilement ce garde-manger providentiel. Mais pas de chance, une fois à l'intérieur, la portière se ferma derrière lui. Pris dans ce piège exigu, d'un geste pataud, il mit le levier de vitesse au point mort précipitant ainsi la voiture dans des fourrés quarante mètres en contrebas.Le plantigrade regagna la nature après que la portière fût ouverte à distance à l'aide d'une longue corde.Le problème est que pendant les deux heures durant lesquelles il resta coincé dans l'automobile, l'ours eut le temps de laisser une «petite» commission sur le siège conducteur et surtout libre cours à son imagination en matière de design intérieur :(Source : b21story sur YouTube) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 juillet 2010 Inde - Un éléphant a surpris les experts du monde animal en portant un lézard pendant plusieurs jours comme s'il s'agissait d'un jouet.C'est le photographe Jagdeep Rajput qui a remarqué l'étrange comportement du pachyderme et l'a capturé avec son appareil. Ce dernier affirme qu'en 20 ans de photographie c'est le spectacle le plus étonnant qui lui ait été donné de voir. Il explique qu'il avait entendu parler de Madhuri, un éléphant d'Inde femelle de la réserve, qui avait la réputation d'être assez agressif mais également d'être un expert dans la capture des lézards, et s'était ainsi mis à sa recherche. C'est alors qu'il a pu assister a un spectacle pour le moins étonnant puisque l'éléphant s'amusait avec un lézard comme s'il s'agissait d'une simple poupée. "Elle a capturé le lézard vivant et l'a porté pendant plusieurs jours le lançant en l'air et le laissant même parfois tomber", a-t-il expliqué au Telegraph. L'étrange comportement de l'éléphant d'Asie aurait étonné bon nombre d'experts du monde animal Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 juillet 2010 Chantal Jouanno annonce l'arrêt de l'introduction de l'ours des Pyrénées. Pour François Arcangeli, président de l'association Pays de l'Ours-ADET et maire d'Arbas, c'est une mauvaise idée. Chantal Jouanno annonce qu'aucun nouveau spécimen d'ours ne sera introduit dans les Pyrénées. Les conditions sont-elles réunies pour une conservation de l'espèce?Assurément, non. D'après les experts, il faudrait une population d'au minimum 50 ours pour que l'espèce ne risque plus l'extinction. Aujourd'hui, on estime à 19 le nombre d'ours dans le massif pyrénéen. Il y en a peut-être un peu plus, mais certainement pas assez pour une préservation de l'espèce. La secrétaire d'Etat considère que le nombre d'ours va augmenter naturellement pour atteindre ces objectifs. Mais d'ici quelques années, on va réaliser que c'est impossible.Quant au remplacement de tout ours tué par accident, c'est la moindre des choses, mais c'est insuffisant dès lors que l'on envisage une augmentation de la population.Qu'en est-il de l'équilibre entre mâles et femelles?Il paraît évident qu'il n'y a pas assez de femelles. En Béarn par exemple, où il n'y a que trois mâles, comment la population pourrait-elle augmenter? Il faut lâcher des ourses femelles dans cette région ainsi que dans les Pyrénées centrales si on veut sauver l'espèce. L'état actuel de la population pose également un problème de consanguinité.Quelle stratégie préconisez-vous pour sauver l'ours des Pyrénées?Dans l'idéal, il faudrait lâcher entre 10 et 15 ours dans le massif pour voir une restauration de la population. Les associations ne préconisent pas de réaliser ces lâchers d'un seul coup. Il faudrait en lâcher un ou deux par an et s'inscrire dans la durée, tout en gardant un oeil vigilant sur le nombre de naissances. La stratégie de la secrétaire d'Etat est moins ambitieuse: elle semble partager cette idée d'un retour à une population viable, mais choisit un chemin plus l... Lire la suite sur LEXPRESS.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 juillet 2010 Paris, France - Deux bébés panthères ont été montrés au public pour la première fois depuis leur naissance en mai dernier. Les deux panthères nébuleuses sont des femelles nommées Pati et Jaya. Elles ont été révélées au grand public pour la première fois au zoo du Jardin des Plantes de Paris, où elles sont nées le 14 mai 2010. Selon la tradition, le zoo n'a pas voulu exposer les petits tant que les jeunes et leur mère n'étaient pas en parfaite santé. Les deux jeunes animaux sont des spécimens rares de panthères nébuleuses. Celles-ci sont chassées en Asie du Sud et en Chine pour leur fourrure aux motifs très particuliers et constituent une espèce menacée et très rare. Il est d'ailleurs difficile d'estimer le nombre exact d'individus vivants dans leur habitat naturel car c'est une espèce discrète et solitaire. Ils seraient estimés à 10.000 dans le monde entier Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 juillet 2010 Mis à part Franska qui sera « remplacée » en 2011, il n'y aura pas de réintroduction d'ours dans les Pyrénées, la croissance naturelle des plantigrades étant « satisfaisante ». Dixit Chantal Jouanno, secrétaire d'État à l'écologie, en visite hier à Toulouse.Il ne s'agit ni de « recul, ni d'échec » résumait, hier matin, Chantal Jouanno. Pourtant, pendant qu'elle détaillait son plan pour la sauvegarde de la biodiversité pyrénéenne, les pétarades extérieures à la préfecture célébraient la victoire des anti-ours.« Mis à part le remplacement de Franska tuée par un automobiliste en 2007, il n'y aura pas d'autre introduction d'ours brun dans les Pyrénées », a affirmé la secrétaire d'État à l'écologie. « Leur accroissement naturel et leur acceptation par les acteurs locaux » sont « satisfaisantes ».Dans le Béarn en 2011« Des remplacements seront effectués si nécessaire, notamment dans le cas de mort accidentelle », a affirmé la secrétaire d'État. Mais elle n'a pas dit si l'ourse Palouma qui a déroché en 2006 faisait partie du décompte. Elle ne veut s'attacher qu'aux pas de la remplaçante de Franska, une ourse qui sera lâchée au printemps 2011 en Béarn, zone blanche en matière de reproduction. « Je ne veux pas savoir où et quand, a répété à plusieurs reprises la ministre. C'est l'affaire des spécialistes. » À ces mêmes spécialistes, elle a d'ailleurs demandé de mieux définir la notion « d'ours à problème » qui avait caractérisé le plantigrade Franska. Depuis sa disparition une diminution de 50 % des prédations a été observée.Mais la bataille des Pyrénées dépasse ce cadre. « Je veux travailler sur toutes les espèces et les espaces, sur toute la biodiversité qu'elle soit exceptionnelle ou ordinaire », a déclaré Chantal Jouanno. Et d'appeler les Pyrénéens à se mobiliser pour ne pas rater le coche de l'Europe qui, en 2013, tiendra le plus gros des cordons de la bourse. Plusieurs millions d'euros sont en jeu. Pour le pastoralisme, l'agriculture, la gestion des populations de vautours fauve et de loups, la sauvegarde du grand tétras, le bouquetin, le desman… Aussi la ministre a-t-elle mis les cartes entre les mains du comité de massif. À lui désormais « d'élaborer et de livrer une feuille de route partagée ».Le projet fait l'unanimité. Seule la question de l'ours divise encore. Pour Jean-Louis Chauzy, président du conseil économique et social régional, « c'est le service minimum ». Le CPNT (Mouvement de la ruralité) y voit « un grand pas vers le bon sens » de même que l'UMP Parti radical dans le Comminges qui trouve que « la méthode Jouanno est la bonne ». Seul le Ferus, association de protection et de conservation, se désole que l'État lâche l'ours « en pleine année internationale de la biodiversité ».L'affaire est loin d'être close.--------------------------------------------------------------------------------Les éleveurs en colère en délégation« Un ours en liberté = des vies en danger. » Tee-shirts et bérets siglés, autocollants apposés un peu partout, les membres de l'Association pour la sauvegarde du patrimoine d'Ariège Pyrénées (ASPAP) embarquent, dans le bus affrété pour l'occasion, parés pour faire entendre leurs voix. Mais surtout pour écouter la ministre.« Si on en croit le communiqué AFP tombé dans la nuit, elle n'introduira pas d'autres ours, mais remplacerait seulement ceux tués. Mais tout reste à vérifier… », énonce Philippe Lacube, président de l'ASPAP, à ses troupes. Malgré l'heure matinale, on débat, on échange, on projette, on parle chiffres et statistiques. Ici, chacun a une bonne raison d'être présent. Beaucoup d'éleveurs, plusieurs élus, mais également des sympathisants désireux d'apporter leur pièce à l'édifice anti-ours. D'ailleurs, la plupart participent de façon régulière aux mobilisations de l'ASPAP. « Et petit à petit, elles semblent porter leurs fruits… », constate cet éleveur. Optimistes, ils espèrent pouvoir le rester après l'annonce de la ministre.Au bout d'une heure de route, Philippe Lacube motive les troupes : « Il va falloir s'organiser, certains vont porter les bancs, d'autres les banderoles. Il faut aussi penser à la sono ! » Et toute la troupe de s'activer, porte-voix et banderoles sous le bras, en direction de la préfecture.Arrivés place Saint-Étienne, personne ne chôme : le point presse se dresse en deux temps trois mouvements, les pancartes à l'effigie du bétail massacré poussent petit à petit un peu partout, les mascottes se dressent. Malgré l'ambiance plutôt détendue et les plaisanteries qui fusent, personne ne quitte vraiment des yeux les portes de la préfecture. Que va-t-elle annoncer ? Qu'en est-il de l'avenir de nos montagnes ?Entre deux pétards lancés, les militants ariégeois, rejoints par leurs homologues des départements limitrophes, ont pris le parti de partager fromages, terrines et vin rouge. En attendant que tombe le verdict.--------------------------------------------------------------------------------Une stratégie pyrénéenne pour valoriser la biodiversité« De tous les massifs français, seul celui des Pyrénées s'impose comme une entité. C'est un peuple de peuples. » Charles Pujos est commissaire au Comité de massif des Pyrénées. Au cœur de la structure transversale et même « transfrontalière », des représentants du Languedoc-Roussillon, de Midi-Pyrénées et d'Aquitaine. C'est elle qui devra s'attaquer à l'élaboration de la stratégie pyrénéenne de valorisation de la biodiversité demandée par Chantal Jouanno.Pas « de calendrier à marche forcée » mais un développement qui se fondera plus que jamais sur l'idée d'une « marque pyrénéenne ». Cette stratégie d'ensemble passera par le soutien des activités agricoles , la protection et la reconstitution d'espèces disparues comme le bouquetin ou la gelinotte. Est également concernée la diversité floristique remarquable qu'hébergent les Pyrénées. Chantal Jouanno parlait notamment hier de l'aster des Pyrénées mais on peut aussi citer la pensée de Lapeyrouse, l'Androsace cylindrique, etc. Enfin le Comité de massif devra tenir compte des espèces « invasives », les loups notamment « discrets » mais à surveiller et surtout le vautour fauve abondant du côté espagnol et invasif lui aussi « du fait de plans de vol très étendus ».--------------------------------------------------------------------------------Le chiffre : 22Ours > Population. En 1995, il ne restait plus que 5 ours dans les Pyrénées. La réintroduction a permis de faire remonter la population à une vingtaine d'individus en 2006. Leur nombre est aujourd'hui estimé entre 19 et 22 .« Les ours tués remplacés ? C'est la moindre des choses. Ça aurait dû être fait depuis longtemps. Pourtant, aucun ours n'a jamais été remplacé… »Association Ferus Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 juillet 2010 suite de l'affaire de la réintroduction des ours :Changement de cap dans la politique de protection de l'ours des Pyrénées. Au lieu de procéder à la réintroduction simultanée de plusieurs animaux, comme en 2006, et de se heurter à l'hostilité des anti-ours, l'Etat compte désormais sur l'accroissement naturel pour atteindre une population viable dans le massif, soit une cinquantaine d'animaux, contre une vingtaine aujourd'hui. Le plan de réintroduction des ours dans les Pyrénées est mis en veilleuse Agrandir la photo 'Seuls les ours tués ou morts accidentellement seront remplacés', a annoncé la secrétaire d'Etat à l'écologie, Chantal Jouanno, lundi 26 juillet, lors d'un déplacement à Toulouse, devant le comité de massif des Pyrénées, qui rassemble élus, socioprofessionnels, et associations. Dans l'immédiat, seule une femelle, Franska, tuée par un automobiliste en 2007, sera remplacée. Le lâcher devrait avoir lieu en 2011, dans le Béarn, où seuls cinq mâles subsistent. 'Nous ne voulions pas faire un coup médiatique en annonçant des réintroductions qui se font contre les acteurs locaux, explique Mme Jouanno. La croissance naturelle prendra plus de temps, mais on peut espérer qu'elle passera mieux, en banalisant la présence de l'animal.'La population croît aujourd'hui au rythme d'un animal par an environ. Des animaux pourront être réintroduits si elle stagne ou baisse. Le gouvernement mise sur le remplacement de tout animal tué pour décourager le braconnage.'L'Etat ne peut pas prendre la responsabilité de l'extinction de l'ours des Pyrénées, nous avons des obligations vis-à-vis de Bruxelles, en vertu de la directive habitats (de 1992)', a rappelé Mme Jouanno. Il faudra sans doute trente ou quarante ans pour retrouver une population viable avec cette méthode.Ce rythme conviendra-t-il à la commission européenne ? 'Oui, si la dynamique de la population est positive, répond-on dans l'entourage de Chantal Jouanno. C'est ce critère qui est évalué par Bruxelles.'L'annonce a rassuré les anti-ours dont deux cents représentants s'étaient rassemblés non loin de la préfecture où se tenait la réunion. 'Nous avons été partiellement entendus, affirme Bernard Moules, président de la Fédération régionale des syndicats d'exploitants agricoles. Mais nous restons hostiles aux introductions.' Pour les éleveurs, la cohabitation avec l'ours est 'impossible', dit-il.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 28 juillet 2010 JOHANNESBURG, 27 juil 2010 (AFP) - Une traque de grande ampleur a été lancée mardi matin dans l'est de l'Afrique du Sud après la fugue d'un tigre domestique, qui a profité d'un déplacement en voiture pour se faire la malle, selon une responsable chargée des recherches.> "Nous recommandons à la population de rester à l'écart de l'animal", a-t-elle ajouté en soulignant sa dangerosité. "Ce n'est pas correct de garder des tigres comme animaux domestiques. Ils doivent vivre dans la jungle. Ils restent dangereux", a-t-elle dit.Plus de 10.000 fermiers des alentours, assisté d'un hélicoptère, participaient avec la SPCA aux recherches, selon la radio privée 702Les tigres ne sont pas une espèce endémique sur le continent noir, mais l'Afrique du Sud abrite des centres de protection et de reproduction des grands félins.Malgré les mises en garde de la SPCA, la propriétaire de l'animal en goguette, surnommé Panjo et âgé de 17 mois, a conseillé sur la radio à quiconque croiserait le félin de lui parler "comme à un chien", en dressant un bâton et en lui lançant un "+non+ sévère". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 29 juillet 2010 ATTENTION - Revoici bonne dépêche ///> Panjo, un tigre du Bengale âgé de 17 mois pesant environ 140 kilos, a été caputuré près de la ville de Bronkhorstspruit, à une cinquantaine de kilomètres à l'est de Pretoria.Des milliers de personnes étaient à sa recherche depuis sa fugue, lundi soir, à l'occasion d'un déplacement chez le vétérinaire.Mercredi un pisteur a repéré ses empreintes et des chiens renifleurs ont été mis sur sa piste. Ils sont remontés jusqu'à lui et le félin a finalement été attiré par un morceau de viande et la voix de son maître, précise 702.Il n'est pas blessé et devrait rentrer chez ses propriétaires, qui l'avaient acheté à l'âge de trois mois dans une réserve privée.Depuis mardi, le couple répétait dans tous les médias que leur animal était inoffensif et devait être traité "comme un chien". Mais de nombreux experts avaient souligné sa dangerosité et appelé la population à ne pas s'en approcher.Les tigres ne sont pas une espèce endémique sur le continent noir, mais l'Afrique du Sud abrite des centres de protection et de reproduction des grands félins. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 30 juillet 2010 NAIROBI, 29 juil 2010 (AFP) - Les responsables kenyans de la faune ont mis en garde jeudi contre la disparition d'une espèce rare d'antilope, le bongo des montagnes, dont il ne reste plus dans leur pays que 103 représentants, les derniers au monde en liberté.> "Le bongo des montagnes est aujourd'hui l'antilope la plus menacée du Kenya et peut-être le grand mamifère terrestre le plus menacé au sud du Sahara", selon le communiqué.Le bongo des montagnes est la plus grosse antilope du monde avec un poids pouvant atteindre 300 kg. Il se présente avec une robe noisette rayée de blanc et la femelle est dotée de cornes.On le trouve dans la nature au Kenya, essentiellement dans quatre régions forestières du centre.Il en existe plus de 500 dans des zoos dans le monde. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 août 2010 OSLO, 29 juil 2010 (AFP) - Deux touristes norvégiens ont été attaqués par un ours polaire jeudi matin dans l'archipel norvégien du Svalbard dans l'océan Arctique, avant que l'un d'eux ne parvienne à tuer la bête avec son fusil, a-t-on appris auprès des autorités locales.> La victime a été légèrement blessée et a été héliportée par une équipe de secours vers la principale ville de l'archipel, Longyearbyen.Les jeunes Norvégiens, tous deux âgés d'une vingtaine d'années, effectuaient une randonnée en canoë-kayak dans le nord de l'archipel, selon un communiqué du gouverneur.Perdu à des centaines de kilomètres au large du Cap Nord, l'archipel du Svalbard est une des régions habitées les plus au nord de la planète, peuplée principalement par des mineurs et des scientifiquesEn dépit de sa latitude extrême, il jouit d'un climat relativement clément en raison du Gulf Stream, ce qui lui vaut d'être visité par quelques touristes en mal d'aventure. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 août 2010 NAIROBI, 29 juil 2010 (AFP) - Les responsables kenyans de la faune ont mis en garde jeudi contre la disparition d'une espèce rare d'antilope, le bongo des montagnes, dont il ne reste plus dans leur pays que 103 représentants, les derniers au monde en liberté.> "Le bongo des montagnes est aujourd'hui l'antilope la plus menacée du Kenya et peut-être le grand mamifère terrestre le plus menacé au sud du Sahara", selon le communiqué.Le bongo des montagnes est la plus grosse antilope du monde avec un poids pouvant atteindre 300 kg. Il se présente avec une robe noisette rayée de blanc et la femelle est dotée de cornes.On le trouve dans la nature au Kenya, essentiellement dans quatre régions forestières du centre.Il en existe plus de 500 dans des zoos dans le monde. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 août 2010 BANDA ACEH (Indonésie), 30 juil 2010 (AFP) - Un paysan indonésien a été piétiné à mort vendredi par des éléphants sauvages ayant envahi sa plantation sur l'île de Sumatra, où les conflits entre animaux et humains sont de plus en plus meurtriers, a indiqué un responsable local.> "Le troupeau de huit éléphants est sorti de nulle part. Salehuddin a paniqué et a tenté de fuir, mais il est tombé et l'un des éléphants l'a piétiné", a-t-il raconté.Chaque année, plusieurs personnes sont tuées sur Sumatra par des éléphants ou des tigres sauvages qui souffrent de la réduction importante de leur zone d'habitat, rongée par l'abattage illégal et les plantations de palmiers à huile ou d'acacias. Ils sont de ce fait de plus en plus en contact avec les humains, excédés de voir leurs cultures ou leurs habitations détruites par les animaux.Le nombre d'éléphants de Sumatra ne cesse de baisser et ne dépasse par 3.350, selon le Fonds mondial pour la Nature (WWF). Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 août 2010 BRASILIA, 31 juil 2010 (AFP) - Une région montagneuse de forêts du Sri Lanka et un archipel isolé des îles Hawaï ont été ajoutés à la liste du Patrimoine mondial de l'humanité établie par l'Unesco, ont annoncé samedi des responsables de l'Organisation mondiale des Nations unies pour l'éducation, la science et la culture.> Les deux sites ajoutés portent à 892 le nombre de sites classés que ce soit pour des raisons environnementales ou culturelles. Ces sites sont considérés comme uniques et ayant un intérêt majeur pour la planète et la civilisation humaine.La région montagneuse du Sri Lanka, située dans le centre sud de l'île, a été classée "en raison de la variété extraordinaire de sa faune et de sa flore" qui inclut des espèces menacées dont des primates, tel le langur ou le loris, ou encore le léopard du Sri Lanka, précise le communiqué de l'Unesco.L'archipel américain des Papahanaumokuakea, situé à 250 km au nord-ouest de l'archipel principal d'Hawaï, a été classé "pour sa profonde signification cosmologique et traditionnelle dans la culture hawaïenne autochtone qui y situe l'origine de la vie ainsi que le lieu de retour des âmes après la mort".Au cours de la conférence de Brasilia, qui clôturera ses travaux mardi, le Comité examine également la liste du Patrimoine mondial en péril.Vendredi, le parc national américain des Everglades, en Floride, et la forêt tropicale d'Atsinanana, à Madagascar, ont été ajoutés à la liste du Patrimoine mondial en péril. Une décision qui tire la sonnette d'alarme en même temps qu'elle encourage l'adoption de mesures de protection.Au début de la conférence, l'archipel des Galapagos avait été enlevé de la liste du Patrimoine mondial en péril malgré les protestations de l'Union internationale pour la conservation de la nature qui estimait qu'il était prématuré de considérer que l'archipel était hors de danger. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 août 2010 TOULOUSE, 31 juil 2010 (AFP) - Deux oursons nés cet hiver ont été aperçus dans le Val d'Aran, dans les Pyrénées espagnoles, portant à quatre le nombre de naissances recensées en 2010 dans le massif, a-t-on appris samedi auprès de la direction régionale de l'environnement.> Une autre portée de deux oursons nés pendant l'hibernation avait été repérée en juin sur la commune de Couflens (Ariège) par la structure française d'observation des ours bruns des Pyrénées.Le 26 juin, la secrétaire d'Etat à l'Ecologie Chantal Jouanno avait estimé la population entre 19 et 22 ours dans le massif pyrénéen.Face aux protestations d'éleveurs et montagnards opposés au programme de réintroduction d'ours, Chantal Jouanno a annoncé en début de semaine que la politique de lâchers allait être réduite à sa plus simple expression. Outre un lâcher en 2011 dans le Béarn, seuls les ours morts seront remplacés."Cela fait des années que nous n'avions pas deux femelles avec deux oursons chacune, c'est une très bonne nouvelle", a salué Sandrine Andrieux, de l'association pro-ours Ferus.La mortalité des oursons durant la première année étant de 50%, elle souligne que les naissances ne suffiront pas à assurer la viabilité de la population d'ours et que de nouveaux lâchers sont indispensables.Dans les prochaines semaines, l'analyse de poils ou d'excréments devraient permettre de déterminer le sexe des oursons et l'identité de leur mère. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 août 2010 La scène se déroule en Alaska. Alors que son petit est emmêlé dans des filets, une maman ourse n'hésite pas à s'approcher de l'homme pour sauver l'ourson. Le véhicule que l'on peut apercevoir sur la vidéo a attaché un filet à l'avant et, lors d'une marche arrière, entraîne avec lui un ourson. Celui-ci est complètement emmêlé dans les mailles et ne parvient pas à se sortir de cette situation.N'écoutant que son instinct, sa mère se précipite alors et tente par tous les moyens de sauver son petit de là. Malgré quelques frayeurs lors de différentes manoeuvres du véhicule, elle n'abandonne pas son petit Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 août 2010 Une paire de jumeaux est née dimanche 1er juillet dans un centre de reproduction spécialisé dans le sud-ouest de la Chine. Lire la suite l'articlePhotos/Vidéos liées Naissance de bébés pandas jumeaux en Chine, en images Agrandir la photo Plus de photos Insolite La jeune femelle panda Shuixiu a donné pour la première fois naissance à des jumeaux à 1H40 du matin dans le Centre de Conservation et de Recherche pour le Grand Panda de Chine à Wolong.La femelle a pris grand soin de son premier-né, ce qui a empêché le personnel du centre d'examiner le jeune panda. Ils se sont donc immédiatement occupés du second-né qui a été abandonné par sa mère. Il est en effet commun parmi les femelles pandas donnant naissance à des jumeaux d'abandonner le second-né d'une portée. Ce jeune panda est une femelle pesant 55,3 grammes et a été déclaré en bonne santé.Avec cette naissance, le centre a déclaré avoir expérimenté un nombre de naissance important en juillet 2010 puisque 7 jeunes pandas sont nés, ce qui a été qualifié de "panda boom" par les scientifiques. Les pandas sont parmi les animaux les plus menacés du monde et les statistiques établis par l'administration chinoise dénombrent seulement 1.590 pandas vivant toujours à l'état sauvage. Ils sont pour la plupart tous localisés dans les montagnes du Sechouan et 210 spécimens vivraient en captivité.Regardez les pandas en vidéo : http://www.zigonet.com/panda/chine-des-bebes-pandas-jumeaux-sont-nes_art14246.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 août 2010 Afrique du Sud - Une génération de braconniers des temps modernes, armés d'hélicoptères et de gilets pare-balles, menacent plus que ne l'ont jamais été les rhinocéros dont toutes les espèces sont menacées de disparition. En six mois, ils auraient ainsi tué plus de 120 pachydermes. Il y a quelques jours, un gang de braconniers a sévi dans la réserve privée de Krugersdorp, près de Johannesburg. Un rhinocéros a alors été tué, les braconniers ayant arraché sa corne avant de le laisser mourir dans une mare de sang. Son petit âgé de neuf mois, le dernier rhinocéros du parc, a été transféré dans une autre réserve, pour lui éviter une solitude qui aurait pu lui être fatale. "Le braconnage des rhinos est un traumatisme dans nos vies", déplore Ed Hern, qui a recueilli le petit après avoir perdu deux de ses mammifères il y a deux mois.Les cornes de rhinocéros sont très prisées en Asie, pour leurs supposées vertus aphrodisiaques, ou pour servir tout simplement d'ornement. Depuis 2006, l'Afrique du Sud et le Zimbabwe enregistrent une recrudescence du braconnage des rhinos noirs et blancs. Alors qu'une corne pèse entre huit et onze kilos, un seul kilo peut être vendu sur le marché asiatique entre 1.800 et 2.500 dollars.Avec le développement de gangs professionnels, le nombre de rhinocéros, dont toutes les espèces sont en danger d'extinction, ne cesse de décroître. "L'Afrique du Sud est le dernier bastion du continent à abriter une population viable de rhinocéros, mais les braconniers n'arrêteront pas avant de les avoir tous tués", alerte Pelham Jones, président de l'Association des propriétaires privés de rhinocéros. "Ce qui est inquiétant, ce sont les moyens sophistiqués déployés pour ces attaques et leur brutalité", souligne-t-il.Plus que l'unité de combat contre le braconnage des rhinocéros qui a dû être mise en place pour faire face à cette menace, M. Jones estime que la meilleure arme contre le braconnage consisterait en une vaste campagne de sensibilisation déployée en Asie Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 août 2010 Australie - Le zoo de Taronga à Sydney offre désormais la possibilité à ses visiteurs de voir le nouvel habitant du zoo : Zambiri, un jeune hippopotame nain né au début de l'été 2010.Un bébé hippopotame nain révélé au public à Sydney, en images Agrandir la photo Plus de photos Insolite L'arrivée de Zambiri est la première naissance d'hippopotame nain depuis plus de 20 ans dans le zoo. L'animal, plus robuste à présent, explore son territoire et les visiteurs peuvent maintenant l'entrevoir auprès de sa mère.La naissance est célébrée dans le milieu des spécialistes car il ne resterait que 3.000 spécimens d'hippopotames nains, aussi appelé hippopotames pygmées à l'état sauvage. Comme son cousin l'hippopotame commun, l'animal se déplace aussi bien en milieu aquatique que sur terre, même s'il reste plus à l'aise que l'hippopotame commun sur la terre ferme.Les soigneurs du zoo espèrent pouvoir faire profiter le public au maximum de Zambiri mais le jeune hippopotame, comme beaucoup de jeunes animaux, se fatigue facilement. Son adaptation au monde extérieur se fera progressivement dans les semaines qui suivent Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 août 2010 États-Unis - Si le changement climatique menace de nombreuses espèces végétales et animales, les marmottes à ventre jaune semblent faire partie des rares animaux à tirer parti du réchauffement de la planète. Tels sont les résultats d'une étude menée au cours des trois dernières décennies. Des marmottes à ventre jaune (Marmota flaviventris) vivant dans les Rocheuses du Colorado ont été suivies pendant plus de trente ans par une équipe de chercheurs de l'université du Kansas. Les conclusions de leur étude viennent d'être publiées dans la revue Nature. Chaque été, les chercheurs ont capturé certaines marmottes, afin de suivre notamment l'évolution de leur poids. Et d'après eux, il ne fait aucun doute que les gros rongeurs ont tendance à prendre de l'embonpoint sous l'effet des variations de température. La masse moyenne d'une marmotte adulte est en effet passée de 3,094 kg durant la première année de l'étude à 3,433 kg à la fin de la période d'observation.Les marmottes à ventre jaune ne sont pas seulement plus grosses, elles sont aussi beaucoup plus fertiles. Leur taux de reproduction est ainsi passé de 0,56 naissance par an entre 1976 et 2001, à pas moins de 14,2 entre 2001 et 2008.Si ces phénomènes ne sont pas encore bien expliqués, l'élévation des températures est sans aucun doute bénéfique aux marmottes. Ces animaux hibernent tout l'hiver, et sous l'effet du changement climatique, l'été dure plus longtemps. Elles ont donc plus de temps pour manger et se reproduire. La période d'hibernation étant plus courte, les rongeurs perdent moins de poids.Cette augmentation du poids des marmottes a une influence directe sur leur fertilité. Comme l'expliquent les chercheurs de l'université du Kansas, les chances de survie des animaux âgés pendant l'hiver augmentent de pair avec leur masse corporelle.Des marmottes plus lourdes survivent et se reproduisent maintenant mieux qu'auparavant, ce qui a conduit à une croissance rapide, soulignent les chercheurs avant de rappeler qu'une ... lire la suite de l'article sur Maxisciences Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 août 2010 Royaume-Uni - Les résultats d'une étude sur la stratégie respiratoire de la taupe sous terre ont été publiés fin juillet. Ils révèlent l'arme secrète de cette ennemie des jardiniers : l'hémoglobine. C'est sur le site BMC Evolutionary Biology qu'a été relayée la découverte de deux chercheurs, le Dr Kevin Campbell de l'université du Manitoba (Canada) et le Dr Roy Weber de l'université d'Aarhus (Danemark). La taupe à queue glabre (Scalopus aquaticus) possède dans ses globules rouges un type particulier d'hémoglobine, capable de transporter des quantités de dioxyde de carbone (CO2) bien plus importantes que chez la plupart des animaux. Cette particularité permet non seulement à l'animal de supporter un milieu confiné pauvre en oxygène et riche en CO2, mais également de respirer à nouveau l'air qu'il a lui-même expiré, lui conférant une certaine autonomie respiratoire lors de ses séjours souterrains.Les auteurs estiment qu'il serait intéressant de savoir si d'autres espèces fouisseuses possèdent ce type d'adaptation au niveau de l'hémoglobine, et évoquent même de futures possibilités de fabriquer un sang humain artificiel ayant des propriétés analogues. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 11 août 2010 JAKARTA, 10 août 2010 (AFP) - Un adolescent indonésien a été sauvagement tué par un tigre de l'espèce de Sumatra, en danger d'extinction, alors qu'il travaillait dans une plantation de caoutchouc, a annoncé mardi un responsable local.> "Avant d'être transformée en plantation, cette zone servait d'habitat aux tigres", a expliqué Danis Woro, chef de l'agence de conservation de Riau.De telles attaques restent rares mais leur nombre a augmenté ces dernières années dans plusieurs régions d'Indonésie, un archipel riche d'immenses forêts tropicales.La principale raison de ces conflits hommes-animaux, qui font une trentaine de morts d'hommes par an, est la perte d'habitat pour les tigres et les éléphants surtout, chassés par le déboisement et le développement des plantations, notamment de palmiers à huile.Il reste moins de 400 tigres de Sumatra à l'état sauvage, selon le WWF. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 12 août 2010 Kangourou, photo d'illustration. Vers 23h 30 un automobiliste a alerté les gendarmes, lundi, après avoir croisé, dans le centre de Fruges, dans le Pas-de-Calais, un kangourou.Une fois arrivés sur place, les militaires ont pu constater effectivement la présence de l’animal. Un kangourou qui n’a pas attendu que les gendarmes l’attrapent pour prendre la fuite.Les militaires ont enquêté auprès des zoos et des cirques de la région pour savoir si un kangourou ne s’était pas échappé.Aucun kangourou ne semble manquer à l’appel, précise La Voix du Nord. Mais alors d'où vient ce kangourou? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 12 août 2010 Le nombre d'animaux contaminés au césium depuis Tchernobyl est en augmentation en Bavière.Ça n'est pas un gag - près de 25 ans après la catastrophe nucléaire de Tchernobyl, les sangliers allemands demeurent fortement contaminés par les retombées radioactives de la centrale ukrainienne. Et les compensations payées par le gouvernement aux chasseurs sont en augmentation.424 650 euros. D'après le ministère de l'Environnement, c'est la somme que Berlin a payé l'an dernier aux chasseurs et associations de chasse pour éviter que de la viande de sanglier fortement contaminée soit vendue sur les marchés. En 2006, ces compensations ne représentaient que 240 000 euros.Une radioactivité dix fois supérieure aux normesA l'origine de cette augmentation: la forte multiplication du nombre de sangliers dans le pays, et le fait que leur nourriture, notamment les champignons, demeure fortement contaminée au césium. Ces particules radioactives se sont répandues sur une grande partie de l'Europe de l'ouest après l'accident de la centrale nucléaire de Tchernobyl en 1986, rapporte l'Agence fédérale allemande pour la protection contre la radioactivité."Dans certaines régions, notamment dans le sud du pays, la radioactivité des sangliers est de dix fois supérieure aux normes", raconte Florian Emrich, porte-parole de l'Agence.Jusqu'à 1300 becquerels par kilo"Personne n'est rendue gravement malade par la consommation de viande de sanglier", indique encore Florian Emrich. Mais dans les régions à risque, les chasseurs sont tenus de faire analyser les sangliers abattus pour que leur viande puisse éventuellement être retirée de la circulation, par mesure de précaution.D'après l'Office pour la santé et la sécurité alimentaire de Bavière, 9 des 56 sangliers analysés l'an dernier avaient ainsi un taux de césium bien supérieur aux 600 becquerels par kilo de viande autorisé pour la consommation. Atteignant jusqu'à... 1300 becquerels par kilo... Lire la suite sur LEXPRESS.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 12 août 2010 MOSCOU, 11 août 2010 (AFP) - Un homme de 60 ans a été dévoré mercredi par un ours sur l'île de Sakhaline, en Extrême-Orient russe, ont indiqué les gardes forestiers cités par les agences russes> Ils ont informé les forces de l'ordre qui se sont rendues sur place"Lors de l'inspection de la zone, les policiers ont entendu le rugissement du carnassier, mais ne l'ont pas repéré", a indiqué un garde forestier cité par Interfax, assurant que l'ours serait retrouvé et tué.Entre deux et trois attaques d'ours sont enregistrées à Sakhaline tous les ans. En 2008, 42 ours menaçant la population ont été tués, et 12 en 2009Entre 3.500 et 4.000 ours vivent dans la région de Sakhaline Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 12 août 2010 Publié le 12/08/2010 07:55 | LaDepeche.fr La faune sauvage, bête noire de la routehttp://www.ladepeche.fr/article/2010/08/12/887586-La-faune-sauvage-bete-noire-de-la-route.htmlLes panneaux incitent à la prudence en lisière des bois sur tout le réseau routier./ Photo DDM, archives La faune sauvage prolifère jusqu'aux portes de Toulouse, et les collisions avec un sanglier ou un chevreuil ont augmenté de 48 % en un an dans le département.On l'appelle la bête noire et l'animal porte bien son nom pour les assureurs. En tout cas, le Fonds de garantie de l'automobile (FGA) constate que le sanglier est à l'origine de 40 % des collisions avec des animaux sauvages. Cet organisme indemnise les victimes des accidents de la route impliquant les espèces sauvages et il attribue aussi 36 % des cas au chevreuil, et 8 % au cerf, blaireau et renard. En Haute-Garonne, le nombre d'accidents de cette nature a fait un bond impressionnant entre 2008 et 2009. Ainsi, on est passé de 611 collisions avec des animaux en 2008, à 902 sinistres en 2009, soit plus 48 % d'augmentation, selon le dernier rapport du FGA. En Midi-Pyrénées, le Gers détient le record régional avec 1 037 collisions. L'enquête recense également 425 collisions dans le Tarn, 300 dans l'Ariège, 558 dans le Tarn-et-Garonne, et 436 dans les Hautes-Pyrénées pour les départements limitrophes. Enfin, dans le Sud-Ouest, la Gironde arrive en tête du classement avec 2 159 collisions d'origine animale.Aux portes de toulouseà Portet-sur-Garonne, la multiplication des accidents n'étonne qu'à moitié l'Office nationale de la chasse et de la faune sauvage (Oncfs). « Les accidents augmentent car les espèces prolifèrent sur tout le territoire. Il y a vingt ans de ça, on croisait surtout des sangliers dans le Comminges et dans le Luchonnais », explique Michel Jarrige. « Aujourd'hui, les sangliers occupent les friches industrielles aux portes de Toulouse. Récemment, on a dû organiser une battue près de Labège ». Quant aux chevreuils, ils mobilisent parfois chasseurs, pompiers et gendarmes lorsqu'ils s'égarent en ville et qu'ils se réfugient dans les jardins. « C'est arrivé trois fois la semaine dernière à Toulouse », précise le fonctionnaire de l'Oncfs. En Haute-Garonne, on a semble-t-il anticipé le plan national de maîtrise du sanglier lancé en 2009 par le ministère de l'Écologie. « Nous incitons les chasseurs à pratiquer la chasse individuelle depuis 2008, en complément des battues et on peut désormais chasser trois fois par mois dans les réserves », indique l'office en rappelant le tableau de chasse réglementaire autorisé dans le département. Tous les ans, 3 000 à 3 500 sangliers au moins doivent être abattus. Andrée Brassens--------------------------------------------------------------------------------Des sangliers sur les voies rapidesEn toutes saisons, des animaux en vadrouille - sangliers, chèvres, chiens ou chevreuils - emprutent l'autoroute. « Tout le réseau est équipé de clôtures. Mais en dépit du dispositif et des contrôles réguliers, des animaux continuent de s'égarer sur les voies. Ils passent le plus souvent au niveau des péages ou bien ils s'introduisent par les bretelles d'accès », précise ASF en concluant : « Les collisions avec les animaux restent infimes. Elles représentent à peine 2 % des accidents. » En Haute-Garonne, ces accidents surviennent plus particulièrement dans les régions giboyeuses du Saint- Gaudinois ou du Lauragais où les sangliers font des dégâts dans les champs de maïs, en particulier lorsqu'ils sont à maturité au mois d'août. L'axe Toulouse-Montauban au niveau de la forêt de Montech est également le théâtre de collisions régulières avec la faune sauvage. Le centre opérationnel de la gendarmerie recense à peine 70 à 80 appels par an à la suite d'une collision avec un sanglier, un chevreuil ou une biche, souvent au petit matin. Le Fonds de garantie automobile (FGA) observe quant à lui que 98,5 % des collisions avec des animaux ne se soldent que par des dégâts matériels ».Mais il arrive parfois que le choc provoque un drame et endeuille une famille. Il y a quelques mois à Boulogne-sur-Gesse, un homme de 42 ans a été tué sur le coup sur la D632, après une collision avec un sanglier. A.B--------------------------------------------------------------------------------Le retour de la franchiseDepuis le 7 août, une franchise vient d'être rétablie dans le règlement des collisions avec les espèces sauvages et elle a été fixée à 500 € alors que par le passé, elle représentait 300€. Supprimée durant un temps, la revoilà d'actualité et c'est la conséquence directe du nombre croissant d'accidents impliquant sangliers, chevreuils, biches ou renards. Car le Fonds de garantie de l'automobile (FGA) qui indemnise les victimes ne cesse de voir ses dépenses exploser.En 2009, 65 468 accidents liés à la prolifération des animaux sauvages ont été recensés en France et en 2009, le FGA a dépensé exactement 31 millions d'euros. Aucun département n'est épargné.--------------------------------------------------------------------------------Le chiffre : 902collisions > Avec des animaux. C'est le bilan des accidents impliquant sangliers, chevreuils, biches, cerfs, blaireaux, renards ou chiens errants dans le département l'année dernière. En moins d'un an, le taux de collision a progressé de 48 %. Le Fonds de garantie de l'automobile en recensait 611 en 2008. En Haute-Garonne, ce type de collisions se produit dans tous les secteurs géographiques et même dans les zones urbaines. Voies rapides ou routes départementales n'échappent pas au phénomène. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 12 août 2010 Publié le 12/08/2010 11:10 | M.T.S.Taix. Chevreuil égaré...http://www.ladepeche.fr/article/2010/08/12/887620-Taix-Chevreuil-egare.htmlLe jeune chevreuil voulait copiner avec les chiens... Plus tout à fait un jeune faon,pas encore un grand chevreuil,celui-ci a jeté son dévolu chez Patrick Sarret et sa famille au lieu-dit Carrefoul à Taïx . Pas du tout effarouché par les chiens dans leur box, notre petit chevreuil semble au contraire,prêt à copiner avec eux quoique ces derniers pas vraiment décidés à faire copain copain avec leur nouveau compagnon.Patrick Sarret explique, «il a tourné dans le secteur depuis la veille, c'est sûr, il s'est perdu,il a passé la nuit dans les lavandes,on ne comprenait pas pourquoi les chiens aboyaient,je suis passée à côté du chevreuil sans le voir, ajoute l'épouse de Patrick Sarret. »C'est au matin, que la famille a découvert le chevreuil dans le jardin, « il est rentré seul dans le box,pour aller vers les chiens. »Mercredi 11 août les gardes chasses fédéraux ont récupéré le chevreuil pour lui rendre sa liberté en le relâchant dans un site éloigné de l'habitation de Patrick Sarret où l'animal semblait vouloir rester à demeure.Une belle aventure pour le jeune chevreuil qui a fait l'actualité du moment au Carrefoul, « mon souhait,déclare Patrick Sarret,bien que je sois chasseur, c'est que ce jeune chevreuil soit sauvé, il n'est pas farouche, il va vers les chiens, il recherche de la compagnie, j'espère qu'il s'en sortira, c'est mon vœu le plus cher. » Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 13 août 2010 Norvège - Sur l'archipel de Svalbard dans l'océan Arctique, un explorateur norvégien a été attaqué par un ours polaire alors qu'il dormait dans sa tente.D'après les autorités locales, l'ours blanc était entré dans la tente et avait saisi l'un des deux hommes à la tête avant de le traîner sur 40 mètres. L'ours avait alors tenté d'assommer sa proie en le frappant sur le sol à plusieurs reprises, comme il le fait normalement avec les phoques. Ne pouvant utiliser le fusil que l'animal avait brisé en deux, le jeune d'une vingtaine d'années, Sebastian Plur Nilssen, a été sauvé par son ami qui a abattu l'ours de plusieurs coups de fusil.La victime a été légèrement blessée et a été héliportée par une équipe de secours vers la principale ville de l'archipel, Longyearbyen. Les jeunes Norvégiens effectuaient une randonnée en canoë-kayak dans le nord de l'archipel, souvent visité par des touristes en mal d'aventures."Je dois être la seule personne au monde qui puisse dire aux personnes m'interrogeant à propos de mes cicatrices, "Je les ai eu en me battant avec un ours polaire " ", a plaisanté le jeune homme avec Sky News. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 16 août 2010 Enfin libre. Un ourson noir de six mois a passé au moins dix jours la tête coincée dans un bocal en plastique, avant de finir par recouvrer la liberté samedi en Floride. Affectueusement surnommé "Jarhead" ("tête de bocal", mais aussi le surnom des Marines, en argot militaire américain), le petit plantigrade s'était retrouvé pris au piège alors qu'il fouillait les poubelles d'un quartier d'Ocala (centre de la Floride).Selon les biologistes, l'ourson, incapable de boire et de manger, n'avait plus que quelques jours à vivre.Pour le secourir, une équipe de spécialistes a dû anesthésier la mère avant de pouvoir attraper son petit et le libérer de son encombrant bocal. La mère a ensuite été installée dans un piège, et tous ses oursons l'y ont rejointe. Toute la famille saine et sauve a ensuite été évacuée vers un secteur moins peuplé. AP Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 16 août 2010 Lundi, vers 23h 30, un automobiliste avait aperçu, un kangourou, dans le centre de Fruges, dans le Pas-de-Calais.Il avait réussi à le bloquer avec sa voiture dans une rue, avant d’alerter les gendarmes, rappelle Le Parisien.Quand les militaires sont arrivés dans le village, le kangourou a réussi à s’enfuir, dans les champs de blé.Un wallaby de 6 mois, surnommé Bébert, que son propriétaire a réussi à récupérer après l’avoir endormi avec une seringue hypodermique.Après sa fuite, Bébert était venu rejoindre dans son enclos, sa compagne Pepette.Le propriétaire s’est présenté de lui-même à la gendarmerie.Un propriétaire qui a expliqué avoir effectué les démarches administratives obligatoires pour déclarer ses deux kangourous Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 16 août 2010 Royaume-Uni - La semaine du 2 août 2010, les trois jeunes léopards des neiges, nés quelques semaines auparavant, ont été révélés au public du zoo de Banham. Des jeunes panthères des neiges montrées au public, en images Agrandir la photo Plus de photos Insolite Jusque là, même le personnel du zoo avait eu des difficultés à observer les jeunes léopards : les soigneurs avaient juste eu l'occasion d'entrevoir les bébés par le biais d'une caméra placée dans la tanière des animaux. Les jeunes semblent en bonne santé et ont toujours la possibilité de rejoindre leur tanière pour fuir la lumière parfois trop forte pour leur yeux.Le zoo de Banham fait partie du programme européen de reproduction de cette espèce menacée depuis 25 ans. Aussi appelés onces, ces félins sont excessivement rares et difficiles à observer dans la nature en raison de l'inaccessibilité de leur habitat. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 16 août 2010 KATMANDOU, 13 août 2010 (AFP) - Le seul parc zoologique du Népal a décidé d'encourager la reproduction d'un couple de rhinocéros à une corne, une espèce en danger dont il ne resterait que 435 spécimens dans le pays contre des milliers auparavant, en améliorant ses conditions de vie dans un nouvel enclos.> Des milliers de rhinos unicornes peuplaient autrefois les plaines du Népal et de l'Inde mais leur nombre a considérablement été réduit au cours des dernières décennies, en raison du braconnage et de la réduction de leur territoire occupé progressivement par l'homme.Durant les dix années de la rébellion maoïste au Népal qui s'est achevée en 2006, la population de rhinocéros à une corne a encore diminué dramatiquement, les gardes armés des réserves naturelles étant détournés de leur mission de lutte contre le braconnage pour combattre les rebelles.Selon Mme Jnawali, il n'en reste que 435 spécimens environ au Népal.Une banque locale qui a comme logo le rhino à une corne, a financé la nouvelle "suite nuptiale" de Kancha et Kanchi. "Auparavant, nous n'avions pas de bonnes conditions pour les encourager à s'accoupler et nous espérons que le nouvel enclos va aider à la reproduction. Pour autant que nous sachions, Kancha et Kanchi ne se sont jamais accouplés", a déclaré Mme Jnawali vendredi à l'AFP. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 16 août 2010 LIMA, 13 août 2010 (AFP) - Quatre enfants au moins sont morts de la rage au cours des deux derniers mois au Pérou, victimes de morsures de chauve-souris dans des communautés indiennes d'Amazonie, où plus de 500 personnes ont par ailleurs été traitées, a indiqué vendredi le ministère de la Santé.> A la fin juillet, plus de 500 personnes étaient en traitement pour des morsures de chauve-souris dans ce secteur, a indiqué José Bustamante, directeur de Stratégie sanitaire du ministère de la Santé pour les zoonoses, maladies infectieuses transmises par les animaux.Les autorités sont "en alerte épidémiologique" dans la zone, où des équipes itinérantes de vaccination ont été déployées. Mais le foyer de rage est "sous contrôle", a assuré le Dr Bustamante. Plus de 8.000 doses ont été envoyées sur place, largement de quoi couvrir les besoins locaux.Les accès de rage, une maladie transmise par les chauve-souris hématophages, ou vampires, est un problème récurrent des régions amazoniennes, et dans certaines zones andines du Pérou.Ces mammifères volants se nourrissent d'insectes mais surtout de sang, qu'elles sucent sur les animaux, notamment le bétail, et à défaut sur les humains vivant dans leur environnement.Un précédent accès de rage, dans la même province de l'Amazonie, avait fait sept morts, des enfants également, entre fin 2009 et début 2O10. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 août 2010 Leicestershire, Grande-Bretagne - Les employés d'un zoo sont parvenus à trouver un compagnon à un suricate femelle grâce à un site internet. Lorsque Lilly la suricate est arrivée au zoo, les employés pensaient n'avoir aucun mal à lui trouver un compagnon. Cependant les suricates étant devenus populaires outre manche grâce à une publicité pour une compagnie d'assurance en ligne, il fut difficile de trouver un zoo qui accepte de laisser partir un de ses animaux. Il a donc été décidé de créer un site afin de trouver un compagnon correct pour la suricate âgée de 3 ans. Sur le site, le profil de Lilly indiquait "une jeune femme libre, éveillée, aux yeux sombres qui possède un bon sens de l'humour et qui adore les diners, creuser la terre, et les soirées chaleureuses à la maison ." Le site a reçu plus de 70 000 visites et un éleveur a accepté de vendre au zoo un jeune suricate de 2 ans, nommé Mr Darcy. Depuis, les deux animaux filent le parfait amour, et dernièrement le zoo a annoncé que Lilly et Mr Darcy étaient devenus les parents de quatre petits suricates : Eeny, Meeny, Miney et Stumpy-Mo.A voir : Une femelle a trouvé un compagnon sur le Net Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 août 2010 KAMPALA, 16 août 2010 (AFP) - Au moins 83 hippopotames sont morts depuis juin, victimes de l'anthrax, la maladie du charbon, dans un parc national ougandais, a indiqué lundi à l'AFP un responsable de ce parc.> L'épidémie avait débuté en juin dernier, et avait été signalée après la découverte en une seule demi-journée d'une dizaine d'hippopotames morts.En 2004, une épidémie d'anthrax avait tué 300 hippopotames vivant sur les rives du lac George, à l'intérieur du parc Queen Elizabeth.La maladie du charbon est une maladie infectieuse causée par une bactérie appelée Bacillus anthracis et affecte différents tissus, notamment la peau, les intestins, les méninges. Chez les animaux, la maladie entraîne généralement une mort subite.Après l'épidémie de 2004, "nous nous sommes améliorés dans la gestion de la maladie (...), la situation est sous contrôle", a assuré M. Okello, précisant que le foyer infectieux était resté cantonné à une zone non fréquentée par les touristes. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 août 2010 TAIPEI, 16 août 2010 (AFP) - Les autorités de Taïwan ont saisi dans un zoo privé deux bébés ligres, félins hybrides issus du croisement d'un lion et d'une tigresse, les premiers de ce genre nés sur l'île, et annoncé lundi que leur propriétaire risquait une amende. Trois bébés ligres sont nés dimanche, mais un d'entre eux est mort immédiatement, a raconté à l'AFP Huang Kuo-nan, propriétaire de la World Snake King Education Farm, un zoo privé situé dans le sud du pays.> Plus tard dans la journée, les autorités locales du comté de Tainan ont saisis les deux bébés félins pour les placer dans un lieu accueillant des animaux sauvages, dans un autre comté du sud du pays"Que puis-je faire? Je respecte la décision, mais j'espère que l'on prendra bien soin des deux bébés", a ajouté M. Huang.Selon le Conseil de l'agriculture, le propriétaire risque une amende de 50.000 dollars taïwanais (1.600 dollars) pour avoir fait naître ces animaux sauvages sans autorisation préalableSelon le quotidien Apple, installé à Taipei, à peine une dizaine de ligres sont recensés dans le monde. Ces ligres sont en moyenne plus grands que les lions. cty/ph/bsk/jb/jh Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 août 2010 Béatrice croyait bien faire en recueillant un bébé marcassin, trouvé entre la vie et la mort dans une forêt de Serrière-en-Chautagne en Savoie. Sur Le Post, elle raconte comment elle s'est occupée de cet animal et pourquoi on veut lui enlever.Durant près de 6 mois, la jeune femme s'est occupée de ce jeune marcassin au point d'en faire un animal domestique. Au point surtout de s'attacher à ce bébé sanglier autant qu'à ses autres animaux de compagnies...Mais début août, Béatrice reçoit la visite de l'Organisation national de la chasse (ONC) qui lui annonce que son animal va être euthanasié. "L'ONC nous a rendu visite suite à une dénonciation anomyne", nous déclare la femme.La raison de l'euthanasie? "Le marcassin est un animal sauvage et il est classé parmis les animaux nuisibles", nous affirme l'ONC.La mise à mort de l'animal est prévue pour le 20 août. Mais Béatrice est motivée pour empêcher cette mise à mort."Je refuse l'euthanasie. Je l'ai sauvé une fois de la mort, ce n'est pas pour qu'on l'a tue", déclare Béatrice.Selon les dires de la femme, l'animal serait totalement domestiqué. "Si on le voit, c'est vraiment un petit chien. Les gens n'en reviennent pas de la docilité de Pincette (nom du marcassin, ndlr)".Et pour cause, Béatrice a recueilli le marcassin dès la naissance. "Je lui ai donné le biberon toutes les trois heures et je me suis occupée d'elle comme d'un bébé. Mais je ne pensais pouvoir la sauver et finalement elle a survécu.", nous raconte-t-elle.Mais l'ONC n'a que faire des arguments de la jeune femme. "Dans tous les cas, elle est en infraction car elle a recueilli un animal sauvage. C'est une infraction de cinquième catégorie. Au pire, elle aurait pu contacter un service de soins adaptés mais en aucun cas l'amener chez elle", nous explique la délégation département de l'ONC en Savoie.Béatrice est d'autant plus désolée que ce n'est pas elle qui risque de payer l'amende mais son compagnon qui travaille à l'Organisation Nationale des ... Lire la suite sur LePost.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 19 août 2010 Chine - Un appel à candidatures a été lancé dans le monde entier par le centre chinois de protection de pandas et cela afin de recruter six gardiens de pandas. La durée du contrat est de six mois. L'appel à candidatures a été lancé conjointement par le Centre des pandas de Chenglu et le Fonds mondial pour la nature (WWF). Six candidats devraient être recrutés et auront la chance d'observer l'animal protégé durant un mois et même d'intervenir auprès de lui si nécessaire. L'AFP a précisé qu'une naissance est également prévue au programme des futurs gardiens. Pour le directeur du Centre, Zhang Zhihe, le "Projet Panda" est important. Il a expliqué à l'Agence France Presse : "Nous espérons que grâce à ce projet de plus en plus de gens se joindront à notre mission de protection des pandas et comprendront l'importance de la préservation de l'habitat sauvage"Au programme des six candidats retenus, trekking, étude, et observations à retranscrire sur un blog. Les personnes intéressées doivent poster leur candidature sur le site pandhome.com tandis que douze finalistes seront retenus. Aujourd'hui, il ne resterait plus que 1.600 pandas en liberté dans le monde. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 19 août 2010 Les propriétaires de plants clandestins de marijuana au Canada avaient cru bien faire en "engageant" des ours pour garder leur précieux bien.Mais ces derniers, abondamment nourris de viande pour chien, n'ont pas bougé lorsque les policiers sont arrivés pour démanteler ces plants, situés près du lac Christiana, en Colombie britannique.Les policiers ont été surpris de l'identité des gardiens, mais vite rassurés. La dizaine d'ours présents ont été très dociles et se sont contentés d'observer, assis, l'arrachage des plants par la police.Les animaux devront peut-être être abattus si les spécialistes considèrent qu'ils sont désormais trop habitués à la vie domestique.Allan Dowd, Pascal Liétout pour le service français Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 30 août 2010 Il a évité un voyage vraiment désagréable. Un bébé tigre âgé de deux mois a été découvert à Bangkok dans les bagages d'une Thaïlandaise qui s'apprêtait à embarquer pour l'Iran, ont indiqué vendredi des responsables de la protection des espèces menacées. Un bébé tigre vivant saisi dans une valise à l'aéroport de Bangkok Agrandir la photo La femme, âgée de 31 ans, a été arrêtée dimanche dernier à l'aéroport international Suvarnabhumi de la capitale lorsque l'animal, maintenu sommairement avec l'élastique intérieur de la valise à côté d'un tigre en peluche, a été détecté aux rayons-x.Complètement groggyUn responsable de la Division de protection de la flore et de la faune sauvages a expliqué que le jeune félin avait été drogué. «Il était très calme, à demi endormi lorsque nous l'avons recueilli», a-t-il expliqué, en précisant qu'il avait été ensuite transféré dans un centre spécialisé. Il n'a pu préciser s'il s'agissait d'un tigre sauvage ou né en captivité.La jeune femme, qui a avoué être propriétaire du tigre selon la même source, est passible de quatre ans de prison et 1.280 dollars d'amende.«Cette découverte est un bel exemple de l'efficacité de la formation en terme de détection des espèces animales», s'est réjouit Manop Lauprasert, du Réseau intergouvernemental de lutte contre le trafic des espèces en Asie du sud-est. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites