L'actualité de la faune sauvage

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Portland, Australie - Un koala qui s'était fait heurter par une voiture s'est retrouvé encastré dans le pare-choc.


L'automobiliste roulait à plus de 80 km/heure lorsqu'il a accidentellement heurté le petit animal qui se trouvait sur la route. Pensant le koala mort, l'homme a été surpris lorsqu'il a découvert que le marsupial était encore en vie et encastré dans sa voiture. En effet, le koala s'était en partie retrouvé bloqué en-dessous de la plaque d'immatriculation dans le pare-choc. L'automobiliste a alors appelé les urgences vétérinaires et s'est rendu en ville, le koala toujours coincé. L'animal a finalement été extrait du véhicule par le vétérinaire qui a été étonné de constater que le marsupial ne souffrait d'aucune blessure et n'avait même pas une égratignure. Le docteur espère que cet incident montrera aux automobilistes l'importance d'examiner un animal qu'ils pensent être mort et d'appeler les urgences vétérinaires.

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La monarchie peut avoir du bon. Sans Victor-Emmanuel II de Savoie, premier roi d'Italie, le bouquetin aurait probablement disparu des Alpes, exterminé par les chasseurs dès le XIXe siècle. Mais le souverain, lui-même grand chasseur, s'émut de ce massacre, à temps pour faire du massif du Grand Paradis, dernier refuge de l'espèce, dans les Alpes italiennes, une réserve royale.

Chassé puis réintroduit par l'homme, le bouquetin recolonise les Alpes Agrandir la photo C'est de ce sanctuaire que sont originaires la quasi totalité des bouquetins qui repeuplent aujourd'hui les massifs alpins. Car après le temps de la quasi disparition vint celui de la réintroduction. Suisses, Autrichiens et Yougoslaves allèrent puiser dans la réserve du Gran Paradiso. En France, la première opération de réintroduction eut lieu en 1959, sur le versant haut-alpin du massif des Cerces. Les animaux provenaient de la réserve fédérale du Mont-Pleureur, en Suisse, qui a fourni près de la moitié des 414 bouquetins relâchés dans les Alpes françaises entre 1959 et 2005.

Au dernier recensement, qui date justement de 2005, la population française de bouquetins atteignait 8 700 individus, contre 3 770 en 1994. 'Si l'on compare à la situation à la fin des années 1950, où il ne restait sans doute en France qu'une population résiduelle de quelques dizaines d'individus en Haute-Tarentaise et en Haute-Maurienne, on peut considérer que c'est un succès qui a permis d'éviter à l'espèce de disparaître, affirme Robert Corti, de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS), coordonnateur de l'Inventaire des populations françaises d'ongulés de montagne. Cependant, l'espèce est loin d'occuper l'aire qui était la sienne il y a deux siècles. Il reste du travail à faire.'

La Savoie et la Haute-Savoie accueillent les populations les plus importantes de bouquetins des Alpes, mais c'est en Isère que l'on trouve un des exemples les plus réussis de réintroduction : la réserve de Belledonne-Sept Laux abrite une colonie d'un millier de bouquetins, qui descendent des vingt individus introduits en 1983. Un résultat exceptionnel pour une espèce au pouvoir colonisateur traditionnellement faible.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr

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États-Unis - Deux petits tenrecs (Echinops telfairi), animaux méconnus ressemblant à des hérissons, sont nés au Bronx Zoo de New York.

Les deux jeunes animaux sont nés à la fin du mois de juin, mais leur naissance n'a été annoncée par le Bronx Zoo que la semaine dernière. Le petit tenrec, aussi appelé tenrec-hérisson ou tambotrika, est un animal nocturne originaire de Madagascar, comme les autres membres de la famille des Tenrecidae. Comme son nom l'indique, il ressemble au hérisson de nos contrées, et se nourrit comme lui d'insectes, plus rarement de racines et de fruits. Il peut vivre jusqu'à 13 ans. Pour découvrir ces deux nouveau-nés en images :
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Chine - Les six postes de gardiens de pandas ont fait l'objet de 17.000 candidatures d'individus venant du monde entier, alors que la compétition pour cet emploi doit débuter d'ici deux semaines.

17.000 candidatures déposées pour les six postes de gardien de pandas Agrandir la photo Plus de photos Insolite

Zigonet vous en faisait part il y a quelques semaines, la ville de Chengdu et le Fonds mondial pour la nature (WWF) ont lancé un appel à candidatures afin de trouver des gardiens de pandas, la mission devant durer un mois. Ainsi, les candidats retenus pourront alors assister à la naissance de bébés pandas, ainsi que les observer à l'état naturel, explique l'AFP.La date limite d'inscription a été fixée au lundi 6 septembre et les organisateurs de l'opération ont d'ores et déjà reçu 17.122 candidatures, alors que seulement douze finalistes seront retenus, pour six postes seulement.

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Ceci n'est pas une girafe, c'est une espèce menacée qui vient d'être inscrite sur la liste rouge des espèces en danger publiée par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Cette girafe de Rothschild, du nom du banquier et zoologue Walter Rothschild qui a été le premier à décrire l'espèce - que l'on rencontre encore dans le sud du Sahara -, devient l'un des innombrables symboles d'une faune africaine fragile et d'une biodiversité en déclin. Lire la suite l'article
Photos/Vidéos liées Le déclin de la girafe Agrandir la photo Rentrée ou pas, nous sommes toujours dans l'année internationale de la biodiversité, et cet automne va abriter la 10e réunion de la Conférence des parties de la Convention sur la diversité biologique (COP10) à Nagoya, au Japon. Nagoya, c'est un peu le Copenhague de la biodiversité. A partir du 18 octobre, les 193 pays signataires de cette convention doivent plancher sur des politiques efficaces pour lutter contre l'érosion de la biodiversité.
http://fr.news.yahoo.com/76/20100831/tsc-le-dclin-de-la-girafe-5a9d534.html

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http://www.buvettedesalpages.be/2008/10/protection-loup.html#tp

Un juge américain réinstaure la protection des loups dans les Rocheuses
Un juge américain a réinstauré mardi la protection des loups du nord des montagnes Rocheuses, accordant une victoire à 12 groupes écologistes qui avaient déposé un recours contre une décision gouvernementale, selon des documents judiciaires.

"Le loup gris du nord des montagnes Rocheuses réintègre la liste des espèces en danger et protégées", a décidé le magistrat fédéral Donald Molloy, siégeant à Missoula (Montana, nord-ouest) dans une ordonnance écrite.

Douze groupes de défense de l'environnement avaient porté plainte en avril pour obtenir l'annulation du retrait des loups de la liste des espèces menacées dans trois Etats du nord et de l'ouest (Idaho, Montana, Wyoming), décidée par les autorités fédérales qui jugeaient que la réintroduction de cette espèce avait été couronnée de succès.

Avec le retrait de la protection fédérale, les Etats se retrouvaient libres de gérer les populations de loups. Les 12 groupes craignaient une "gestion inadéquate et biaisée" et l'un d'entre eux, "Defenders of wildlife" (Défenseurs de la faune sauvage) avait affirmé que les autorités locales avaient donné carte blanche à leurs habitants pour tuer des loups de façon indiscriminée.

En 1974, les loups avaient quasiment disparu des 48 Etats américains continentaux, sauf quelques hardes dans le Minnesota et le Michigan (nord). En 1995, 66 individus avaient été lâchés par le gouvernement dans l'Idaho et près du Parc national du Yellowstone voisin, dans l'espoir de les voir croître et se multiplier.

Cela a été le cas. Aujourd'hui, quelque 1.200 loups déambulent en Idaho, dans le Montana et au Wyoming. Mais les agriculteurs, très influents dans la région, restent opposés à leur présence et mettent en avant les pertes que des attaques de loups occasionnent au bétail.

Source : Le Monde

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http://www.sudouest.fr/2010/07/22/quatre-loups-blancs-sous-protection-144517-736.php

juillet 2010 06h00 | Par LAURIE BOSDECHER 1 commentaire(s)

Quatre loups blancs sous protection


L'après-midi, quand le soleil tape, autant être patient pour les voir. Dans leur immense enclos, les loups blancs de l'Arctique pioncent, à l'ombre. « Ils ont un peu chaud », reconnaît Fanny Lebrun. Étudiante en éthologie (étude du comportement des animaux), elle accueille jusqu'à fin août les visiteurs à côté de l'enclos des carnivores au zoo de Pessac.

Le matin et le soir, en revanche, les loups mangent, gambadent et parfois hurlent. Pas forcément de la même façon selon le message qu'ils se passent entre eux. Mais leurs voisins dans les 4,5 hectares du parc sont habitués.

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Berlin, Allemagne - Deux bébés panthères noires viennent d'être révélées aux visiteurs du zoo de Berlin.

Baturgai et Ormilia sont deux petites panthères noires nées en juillet au zoo de Berlin. Elles viennent seulement d'être dévoilées aux visiteurs du zoo qui s'émerveillent de leurs grands yeux bleus. Les visiteurs ne sont pas les seuls à adorer les deux jumelles. En effet leur père Bromo, né en 2005, et leur mère, née en 1998, semblent plus qu'heureux de s'occuper de leurs progénitures. Ainsi alors que dans la nature la mère est la seule à s'occuper des petits, Bromo est généralement celui laissé avec les deux petites. "Avoir les deux parents être heureux de s'occuper de leurs jeunes et quelque chose d'inhabituel qui n'existe absolument pas dans la nature", explique un porte-parole du zoo de Berlin. Les panthères noires sont une espèce commune de léopard. Elles sont originaires d'Afrique ou d'Asie.

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http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/le-prefet-autorise-labattage-dun-loup

Le préfet autorise l'abattage d'un loup
Publié le jeudi 02 septembre 2010 à 07H39


Pour la deuxième fois de l'été, le préfet des Hautes-Alpes a autorisé l'abattage d'un loup. Cette décision a été prise le 31 août, après que de nouvelles attaques sur des ovins ont été recensées dans le département dans le massif du Dévoluy. Des "tirs de défense assurés par les éleveurs et par les lieutenants de louveterie à proximité des troupeaux" n'avaient auparavant pas dissuadé les loups, souligne la préfecture.

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Scerdlovsk, Russie - Des cuisiniers ont surpris un ourson en train de manger dans la cantine d'une usine. L'animal semblait affamé.


Tiraillé par la faim, l'animal semble n'avoir eu d'autre choix que d'entrer dans la cuisine d'une usine afin de trouver de la nourriture. Devant l'ourson semble-t-il affamé, les cuisiniers lui ont d'abord donné pain et pâtisseries afin de prévenir les forces de l'ordre, explique SudPresse.Et alors que des gardes-chasse avaient été appelés pour capturer l'animal, celui-ci est parvenu à s'enfuir en sautant dans un arbre avant de rejoindre la forêt. Ce ne serait pas le premier cas d'ours affamé dans le pays.
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Floride, États-Unis - Un parc animalier rouvre ses portes seulement un jour après que deux animaux se soient échappés.

Les employés du parc ont alors poursuivi le primate avant que celui-ci ne se jette dans l'enclos des tigres. C'est alors que Mahesh, un tigre du Bengale de 3 ans, s'est mis à poursuivre le singe en dehors de son enclos. Les employés ont alors placé les visiteurs à l'abri et les tenaient régulièrement au courant de la situation. Pendant ce temps, les pompiers et la police se sont joints aux employés afin de retrouver le tigre. Il aura fallu une heure pour qu'ils parviennent à capturer Mahesh. Le lendemain, le parc a ouvert ses portes comme à son habitude . "C'était calme. Un jour normal. Rien d'extraordinaire", a déclaré un visiteur à la presse. Seul l'enclos des tigres a été fermé au public et ce jusqu'à ce que l'enclos soit relevé. En effet même si les murs sont au delà de la norme exigée, les autorités ont demandé à ce qu'ils soient relevés pour éviter tout autre incident.
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Wroclaw, Pologne - Un bébé hippopotame pygmée vient d'être présenté pour la première fois aux visiteurs d'un zoo.

Le petit hippopotame mâle, qui n'a pas encore de nom, fait la fierté de ses parents Elpunia et Carlos et ravit les employés du zoo. Né il y a seulement deux semaines, le bébé hippopotame pèse seulement 5 kilos mais pourrait atteindre jusqu'à 375 kg à l'âge adulte. Cette année seulement 4 petits hippopotames pygmées ont vu le jour en Europe et tous étant de sexe féminin, cette naissance est un véritable évènement. Un porte-parole du zoo a annoncé à la presse qu'une fois adulte, le petit voyagera en Europe afin d'aider "à la continuité de son espèce." Une compétition sera également mise en place afin de lui trouver un nom.Découvrez le bébé hippopotame pygmée en vidéo :
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Le tigre de Sibérie va se voir offrir une zone transfrontalière de protection mise en place par la Chine et la Russie. Menacée de disparition, cette espèce ne compte aujourd'hui plus que 500 individus vivant à l'état sauvage.

Les provinces russe et chinoise de Primorsky et Jilin viennent de signer un accord visant à créer la première aire protégée transfrontalière pour le tigre de Sibérie, également baptisé tigre de l'Amour. Cette zone dans laquelle les autorités de chaque pays lanceront des opérations anti-braconnage, "offrira un habitat plus sûr non seulement aux tigres de l'Amour, mais aussi à d'autres espèces menacées comme le cerf porte-musc et le goral," souligne Yu Changchun, directeur de la conservation du département forestier de Jilin.En plus d'harmoniser leurs systèmes de surveillance des tigres et de leurs proies, la Chine et la Russie mèneront ensemble des études écologiques et amélioreront le partage d'informations. Ces deux pays "ont un rôle capital à jouer dans la protection globale du tigre. La création d'un réseau transfrontalier est un énorme progrès dans nos efforts de conservation", estime le Dr Sergey Aramiley, coordinateur de la biodiversité pour la section Amour du WWF-Russie. Si la Chine interdit depuis 1993 le commerce de produits provenant de tigres, le braconnage et la contrebande persistent. Les félins sont également menacés par la déforestation, la destruction et la fragmentation de leur habitat, mais aussi par le manque de proies à chasser. Aujourd'hui, ils ne seraient plus que 500 à vivre encore dans la nature, pour la grande majorité dans l'est de la Russie. Les autres félins vivent dans le nord-est de la Chine.
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Bangkok, Thaïlande - un bébé tigre a été découvert dissimulé dans une valise à côté d'un tigre en peluche à l'aéroport de Bangkok.

Le bébé tigre, âgé de trois mois, se trouvait ainsi dans les bagages d'une femme qui devait se rendre en Iran. Cependant, en passant la valise aux rayons X, les autorités se sont aperçu qu'un animal vivant se trouvait à l'intérieur. Le bébé tigre se trouvait alors dans un état alarmant : drogué, il semblait déshydraté et ne pouvait plus marcher. Envoyé dans un centre de conservation de la vie sauvage, les soigneurs ont alors dû placer l'animal sous assistance. La propriétaire des bagages a été arrêtée et risque jusqu'à 4 ans de prison si elle est déclarée coupable. Celle-ci a affirmé toutefois qu'il ne s'agissait pas de sa valise mais qu'un autre passager lui avait demandé de la porter. Les autorités pensent que le tigre devait être vendu en Iran ou les animaux exotiques se vendent à des prix très élevés sur le marché noir. Regardez la vidéo :
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ATHENES, 6 sept 2010 (AFP) - Quatre organisations écologistes grecques ont protesté lundi, au nom du respect de la biodiversité, contre une action de libération de milliers de visons menée récemment par des militants opposés au commerce de la fourrure.> "A l'heure où la biodiversité est menacée (...) les actions inopportunes de protestation susceptibles d'aggraver le problème sont condamnables", ajoute le texte, signé notamment des très respectées Société de protection des ours Aktouros et Société ornithologique grecque.

L'attaque libératrice contre deux élevages de visons dans une région productrice de fourrures du nord-ouest de la Grèce, a été revendiquée au nom du Front de libération animale, une organisation internationale, selon un texte publié par le site alternatif d'information Indymédia.

"Nous avons voulu frapper l'industrie de la fourrure et les répugnantes villes" qui en sont le centre, Kastoria et Siatista, mentionne cette revendication

Plusieurs opérations de ce type, non-revendiquées, ont été menées ces dernières années dans la même zone de Grèce.

En août 2009, les visons libérés avaient provoqué une hécatombe parmi les poulets et lapins des fermes environnantes, et beaucoup d'entre eux avaient trouvé la mort sur la chaussée de l'autoroute traversant la région, selon les autorités locales

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Californie, États-Unis - Un couple a recueilli des loups, qui vivent sous le même toit qu'eux quotidiennement.

http://www.zigonet.com/loup/un-couple-partage-sa-maison-avec-10-loups_art15441.html

Paul Pondella et sa compagne Colette Duvall vivent avec 10 loups qui sont libres d'aller et venir dans leur maison. L'histoire a commencé avec Shadow, une louve croisée avec un chien husky que Paul Pondella a recueilli et élevé. La louve a été la première à rejoindre la famille et est devenue le chef de la horde à venir. Le couple est tombé amoureux de ces loups hybrides et a décidé de vivre entouré de ceux-ci. Ils ont alors accueilli Allie et Takoda et leur portée de 7 louveteaux.

Malgré l'apparente douceur de ses animaux, Paul Pondella rappelle qu'ils n'en restent pas moins des animaux sauvages et craintifs et qu'il lui a fallu des milliers d'heures pour apprivoiser leur nature. "C'est un fait que les animaux sauvages deviennent habitués aux hommes, ils peuvent ne plus avoir peur de celui-ci, surtout s'ils sont nourris par eux ou qu'ils associent les humains au fait de recevoir de la nourriture, mais comme tout grand prédateur, les loups sont capables de tuer des hommes", a-t-il expliqué à la presse.

La maison dans laquelle vit cette famille d'hommes et de loups est devenue trop étroite et Paul et Colette pensent à trouver un ranch. Le couple s'est donné la mission d'éduquer les plus jeunes et de sensibiliser au mode de vie de ces prédateurs à la mauvaise réputation.

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Las Vegas, États-Unis - Un couple célébrant sa lune de miel dans un hôtel de Las Vegas a assisté à l'attaque d'un lion envers son dresseur.

Les nouveaux mariés ne s’attendaient sûrement pas à un tel spectacle lorsqu’ils se sont avancés pour jeter un œil à l’enclos des lions dans l’hôtel MGM de Las Vegas. Titus et Drew Ellis, un couple venant du Montana, étaient en train de filmer les félins plutôt paisibles quand le lion s’est soudain agité avant de bondir sur l’un des dresseurs présents dans l’enclos. S’en est suivie une lutte où le dresseur attaqué a tenté de se libérer de la prise du grand fauve, bientôt rejoint par la lionne. Quelques instants plus tard, le dresseur réussissait à s’enlever à la prise du prédateur et à fuir l’enclos, avec l’aide de son collègue. Après l’attaque, le lion est resté extrêmement agité et a attisé la curiosité des personnes présentes derrière les vitres insonorisées. La vidéo fait actuellement le buzz dans le monde entier après avoir été diffusée mercredi 8 septembre dans l’émission Good Morning America. Malgré la violence de l’attaque, il n’y a aucune trace de sang et le dresseur attaqué a expliqué que l’attaque était plutôt légère. Il a également suggéré qu’il était chanceux que ce soit le mâle qui se soit énervé et non pas les lionnes, qui sont beaucoup plus dangereuses que leurs congénères masculins.

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Les éléphants n'auraient pas peur des souris, comme le veut la croyance populaire, mais au contraire d'un animal encore plus petit : la fourmi.

En effet, selon des recherches récentes, les pachydermes auraient peur des insectes qui pourraient s'introduire dans leur trompe. Les chercheurs ont ainsi découvert que les fourmis servaient de "gardes du corps" à certaines plantes et arbres afin d'éviter que ces derniers ne soient dévorés par les éléphants. "Une trompe d'éléphant est un organe remarquable mais lorsqu'ils ont affaire à une colonie de fourmis en colère cela devient leur talon d'Achille", explique le Dr Palmer, de l'équipe de recherche. De ce fait les fourmis servent également à la protection et au maintien de l'écosystème, évitant que certaines plantes ne disparaissent, mangées par les éléphants. Les scientifiques espèrent qu'en "employant" les fourmis pour protéger certaines plantes ils pourront éviter que les cultures ne soient ravagées par les pachydermes. En Afrique, de nombreux éléphants sont en effet chassés par peur qu'ils ne détruisent les cultures des fermiers.

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Un écureuil apprend à ronronner, en images
Info rédaction, publiée le 13 septembre 2010Partager
http://www.zigonet.com Un écureil apprend à ronronnerMississippi, États-Unis – Une famille américaine a adopté un écureuil orphelin. Elevé par leur chatte, il se prend pour un chaton.

La chatte répond au nom d’Emmy et a adopté un bébé écureuil, l’élevant et l’allaitant comme le reste de sa portée de chatons. Jim Watkins lors d’une interview a d'ailleurs déclaré : " Elle est très protective. S’il commence à bouger qu’elle n’aime pas où il va, elle ira le récupérer puis le léchera, prenant soin de lui comme elle le ferait avec un de ses chatons."


Jim Watkins et Karen de Carthage, son épouse, ont aidé à l’organisation du Central Mississippi T.A.I.L.S, un organisme chargé de placer des animaux abandonnés dans de nouvelles familles. C’est ainsi qu’ils avaient récupéré Emmy la chatte et ses petits. L’écureuil a été récupéré à la suite de sa chute hors du nid qu’il occupait. La femme qui l’a trouvé n’ayant pas pu le remettre dans ce nid a contacté le couple Watkins et c’est ainsi que l’écureuil s’est retrouvé chez le couple. Les Watkins ont alors tenté de placer le jeune écureuil dans la boîte où se trouvaient les chatons et Emmy a aussitôt adopté l’animal. Le petit est donc élevé au sein d’une portée de chatons sans problèmes, montrant de grandes capacités d’adaptation.


Rocky, comme il a été ainsi surnommé, a développé une nouvelle capacité en étant élevé auprès de chats : il peut aussi ronronner. Jim Watkins a d’ailleurs affirmé : " vous pouvez le prendre et le caresser et il commencera à ronronner comme un chaton ". M. Watkins a aussi précisé que l’écureuil pourrait grandir en étant persuadé d’être un chat et qu’il ne pourrait pas forcément être capable de survivre par lui-même.

Découvrez l'écureuil qui ronronne en vidéo : http://www.zigonet.com/%e9cureuil/un-ecureuil-se-prend-pour-un-chat_art15538.html

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Hodenhagen, Allemagne - Un zoo allemand célèbre la naissance d'une panthère de Chine noire. Cette espèce est la plus menacée d'extinction parmi toutes les espèces de panthères.


Au mois de juin, la naissance de plusieurs panthères de Chine dans des zoos allemands a fait la joue des spécialistes. En effet, la panthère de Chine est une espèce en voie de disparition puisqu'on ne dénombrerait plus qu'une centaine de spécimens dans le monde, à l'état sauvage comme en captivité. Une trentaine seulement subsisterait dans la nature. Parmi ces naissances, l'une d'elle a remis en question certaines théories scientifiques sur le pelage des panthères car une petite panthère noire a vu le jour. Paulchen Panther est né le 13 juin et fait la fierté du parc animalier de Serengeti. Le petit est en effet né, à la différence de sa soeur jumelle avec - fait rare pour une panthère de Chine - un pelage noir. Paulchen Panther a dû cependant être pris en charge par les soigneurs du zoo puisque sa famille l'a rejeté, certainement en raison de son pelage, et n'a été que plus tard présenté au public. Les panthères de Chine ont pratiquement été poussées à l'extinction suite à la déforestation et la perte de 90% de leur habitat naturel.

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Le chat, star incontestée et incontestable du Web, aurait-il du souci à se faire ?

Etonnant: un ours qui fait du yoga! Agrandir la photo Ce jeudi, ce qui fait frémir les internautes, ce n'est pas un minou. Non, c'est un... nounours ! Mais pas n'importe lequel. Celui-là fait du yoga.

Santra, c'est le nom de l'ours, aurait fait ces petits exercices pendant 15 minutes, raconte The Guardian, dont la série de photos se refile à tout bout de champ sous le nom "yoga bear". Les médias britanniques en sont particulièrement friands puisqu'on retrouve ces mêmes phtos sur The Sun ou encore le Daily Mail...

Sur Twitter, notamment, chacun y va de son petit commentaire, entre ceux qui trouvent l'ours "troooop miiiignon" ou "trop bien".

Surtout, l'ours brun fait la fierté de Finlandais - la scène se déroulant dans leur pays. "En terme de fierté nationale, on n'a pas grand chose, mais au moins on a l'ours yoga !", lance une internaute sur Twitter.

En fouinant sur YouTube, j'ai trouvé une vidéo d'un "Yoga Bear". Selon The Sun, il s'agirait d'ours du même zoo finlandais. L'occasion de se rendre compte que ces exercices de "yoga" s'apparenteraient surtout à un cirque pour mendier faire craquer les touristes...

Pour retrouver toutes les photos du nounours, rendez-vous sur The Guardian.

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Cerfs, chevreuils, lièvres, faisans : petit ou grand, le gibier ne manquera pas pour la saison de chasse 2010-2011, qui a ouvert dimanche 12 septembre dans une quarantaine de départements au sud de la Loire. Mais aucune espèce, cette année encore, n'égalera le sanglier par son abondance. En dépit du Plan national de maîtrise du sanglier, lancé en 2009 par le ministre de l'écologie Jean-Louis Borloo, malgré une mortalité due à la chasse, multipliée par dix en trente ans (plus de 560 000 animaux abattus en 2009), la bête noire poursuit inexorablement son expansion démographique.

En Europe, la prolifération du sanglier devient incontrôlable Agrandir la photo Et pas qu'en France ! En Allemagne, en Italie, dans presque toute l'Europe en fait, ses effectifs ont connu ces dernières décennies une croissance spectaculaire. Au point de poser quantité de problèmes : dégâts causés aux cultures, qui exacerbent les tensions entre agriculteurs et fédérations de chasseurs ; accidents de la route (20 879 collisions avec un véhicule enregistrées en France en 2009) ; risques paranucléaires - près de vingt-cinq ans après la catastrophe de Tchernobyl, les sangliers allemands continuent de se nourrir de champignons, de truffes et de baies sauvages contaminés par du césium -, et plus encore sanitaires, l'espèce constituant un réservoir pour plusieurs maladies infectieuses ou parasitaires...

D'où la nécessité, soulignée par un nombre croissant d'experts, d'améliorer la gestion des populations de cet ongulé, devenues incontrôlables dans plusieurs régions. Comment ? En prenant mieux en compte les raisons de ce succès démographique. Omnivore, opportuniste et très mobile (il parcourt de 2 à 15 km par jour), le sanglier est doté d'une prolificité exceptionnelle, qui brouille les stratégies de régulation cynégétique adoptées pour le cerf, le chevreuil ou le chamois.

'Dans des conditions environnementales favorables, les laies peuvent mettre bas dès l'âge de 1 an, alors que ce n'est jamais avant 2 ans chez les autres ongulés. Et elles ont tous les ans des portées de cinq marcassins en moyenne, quand les autres espèces produisent majoritairement un seul jeune', précise Eric Baubet, chef de projet pour les études sur le sanglier à l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS).... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr

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La population asiatique de tigres est sans doute proche de l'extinction, puisqu'il reste moins de 3 500 animaux à l'état sauvage, pour la plupart regroupés dans des biotopes fragmentés représentant moins de 7 % de leur ancienne aire de répartition en Asie. Préserver les tigres des braconniers et des bûcherons illégaux dans 42 territoires disséminés à travers l'Asie est crucial pour sauver cette espèce d'une extinction à l'état sauvage, conclut une étude, publiée par la revue en ligne PLoS Biology.

Déclin quasi irrémédiable de la population des tigres d'Asie Agrandir la photo Le principal auteur de l'étude, Joe Walston, membre de la Wildlife Conservation Society, et ses collègues ont identifié 42 territoires, appelés 'sites sources', à partir desquels les tigres peuvent se reproduire et être sauvés de la disparition. Dix-huit de ces territoires se trouvent en Inde, huit sur l'île indonésienne de Sumatra, six en Extrême-Orient russe et les autres se répartissent entre la Malaisie, la Thaïlande, le Laos et le Bangladesh. 'D'après les données disponibles, aucun 'site source' n'a été identifié au Cambodge, en Chine, en Corée du Nord pas plus qu'au Vietnam', lit-on dans l'étude, selon laquelle le déclin de la population des tigres est due avant tout à la demande en os de ce félin, utilisés par la médecine traditionnelle.

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Kenya - Les naturalistes de la société zoologique de Londres ont obtenu, grâce à des pièges photographiques disposés dans une forêt reculée du Kenya, des images de ce qui pourrait être un nouveau-venu dans la famille méconnue des rats à trompe.

C'est après avoir repéré ce qui lui a semblé être un rat à trompe inconnu que Grace Wambui a décidé de "piéger" le mystérieux animal grâce à des appareils photo à déclenchement automatique. Pari gagné pour cette naturaliste, membre d'une équipe de la société zoologique de Londres (ZSL) qui explore la biodiversité de la forêt de Boni-Dodori, dans le nord-est kenyan.D'après les biologistes de la ZSL, le petit mammifère au long museau flexible en forme de trompe pourrait bien être une nouvelle espèce de Macroscelidea, ou rat à trompe. Ce groupe zoologique compte à ce jour dix-sept espèces qui, malgré leur nom, ne sont pas des rongeurs.Enthousiasmés par cette découverte, les biologistes de l'équipe devront cependant poursuivre leurs études pour déterminer s'il s'agit bien d'une nouvelle espèce. Voilà qui, en tout cas, les conforte dans leur conviction que ces forêts, mal connues à cause de leur accès difficile et de l'insécurité qui règne dans la région, sont dotées d'une riche biodiversité. Selon Sam Andanje, du département de la vie sauvage du Kenya, des mesures de préservation s'imposent pour cette zone côtière, menacée par un développement rapide.

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PEKIN, 17 sept 2010 (AFP) - Un panda géant femelle qualifié de "mère héroïque" a donné le jour vendredi à son huitième petit dans une réserve naturelle chinoise, une performance vu la fécondité notoirement faible de l'espèce menacée, a rapporté la presse officielle.> La mère et le petit se portent bien, après la naissance qui s'est déroulée dans la réserve naturelle de Wolong, un important sanctuaire pour les pandas géants situé dans la province du Sichuan (sud-ouest), a-t-on indiqué de même source.

Hua Mei, dont le nom en chinois signifie "Chine-USA", avait gagné sa réputation de "mère héroïque" la septième fois qu'elle avait mis bas, l'importance de sa progéniture étant alors déjà considérée comme exceptionnelle.

Les pandas géants ont une fécondité naturellement faible et éprouvent beaucoup de difficultés à se reproduire en captivité

Il ne reste plus que 1.600 pandas en liberté dans le monde et quelque 300 en captivité, essentiellement en Chine.

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HANOI, 17 sept 2010 (AFP) - L'un des animaux les plus rares de la planète, le mystérieux saola, un bovidé, a été vu au Laos pour la première fois depuis une décennie, ont annoncé vendredi des conservateurs> Le saola, avec ses deux cornes, a pu toutefois être photographié avant sa mort, premier cliché d'un individu de cette espèce depuis qu'une caméra automatique en avait identifié un en 1999, déjà au Laos

Aucun biologiste n'a jamais observé de saola dans la nature et l'espèce est considérée comme étant en grand danger, avec sans doute à peine quelques centaines d'individus au total.

L'animal capturé en août est mort peu après l'arrivée sur place d'experts de l'IUCN. "C'est malheureux, mais au moins, cela identifie une zone où il en apparaît", précise l'organisation

La dépouille a été emportée pour subir un examen approfondi car il s'agit du premier spécimen de saola "complètement préservé". Le premier n'avait été découvert qu'en 1992, au Vietnam


Les raisons de sa capture par les villageois n'ont pas été précisées.

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C'est un agriculteur amateur qui a trouvé les gardes parfaits pour ses plantations. Un des gardiens du zoo de Hellbrun, dans l'ouest de l'Autriche, a choisi l'enclos des rhinocéros pour y faire pousser du cannabis. Une trentaine de plants au total, selon le directeur du zoo.

L'employé était le seul à avoir accès à l'enclos, et personne n'osait s'y aventurer. Mais un client du gardien a informé la brigade des stupéfiants de l'endroit où poussait l'herbe. La totalité des pieds a été arrachée, et l'employé de longue date, âgé de 59 ans, a été licencié.

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Kenya, Afrique - Plus gros que les autres espèces connues de rats à trompe flexibles, le spécimen photographié dans la jungle du Kenya pourrait bien être une nouvelle espèce, ont annoncé les scientifiques.

L'étrange animal, qui possède un long nez flexible comme la trompe d'un pachiderme, a été découvert dans la forêt de Boni-Dodori dans le Nord-Est du Kenya. Des caméras ont été placées dans cette forêt retirée après qu'une femme travaillant pour le programme Edge of Existence de la Société Zoologique de Londres a aperçu un mystérieux spécimen de sengis qu'elle n'a pas réussi à identifier. Sont connues jusqu'à ce jour 17 espèces de sengis, autrement appelé rat à trompe flexible, qui sont réparties sur le continent africain. Cet animal au nom évocateur serait en effet plus proche de pachiderme que de la musaraigne si l'on en croit les dernières recherches génétiques, qui ont démontré que l'espèce faisait partie de la famille des afrothériens qui est relative à d'autres mammifères africains. L'équipe de biologistes s'est dite fière d'avoir photographié le petit mammifère et a déclaré continuer les recherches afin de déterminer si c'est une nouvelle espèce de sengis. "Les résultats de notre étude mettent en lumière l'importance de la protection de ces uniques forêts côtières", a expliqué à la presse le docteur en biologie Rajan Amin. Par le passé, les forêts de Boni-Dodori n'étaient pas accessibles aux biologistes en raison de problèmes d'infrastructures et de sécurité. L'animal en images :
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Grande-Bretagne - Considéré comme une espèce en danger, le blaireau est protégé dans de nombreux pays tels que l'Espagne, le Luxembourg, l'Italie ou la Grande-Bretagne. Mais le gouvernement britannique s'interroge aujourd'hui sur la possibilité de sacrifier les mammifères, au profit de la santé des bovins.

Le blaireau est en effet soupçonné de transmettre la tuberculose aux bovins de Grande-Bretagne, entraînant de lourdes pertes pour les éleveurs. "Quelque 25.0000 bovins ont été abattus l'an dernier, et le coût pour le contribuable s'est élevé à 63 millions de livres en Angleterre seule", a souligné mercredi le secrétaire d'État à l'Agriculture, Jim Paice.

Les autorités se posent alors la question de savoir s'il faut ou non continuer à protéger une espèce qui en menace d'autres. Une consultation publique a ainsi été lancée. Il est envisagé d'autoriser les fermiers à éliminer les blaireaux sur un territoire délimité. Une zone qui devrait être étendue à 150 km² pour que la mesure soit efficace, estime le département de l'environnement.Des mesures d'élimination discutables La tuberculose bovine peut toucher d'autres animaux domestiques et sauvages, notamment les rats, les ragondins ou les sangliers. L'homme peut lui aussi être contaminé. Au Royaume-Uni et en République d'Irlande, le blaireau a été identifié comme un "réservoir" de la maladie.

Mais les défenseurs de l'animal, réunis au sein du Badger Trust, assurent qu'aucune preuve scientifique ne permet de justifier un sacrifice des blaireaux. Une vaste étude menée sur la question avait montré un recul de la tuberculose chez les bovins dans la zone d'élimination du blaireau. Mais en dehors de la zone, c'est une hausse de la maladie qui a été constatée, le blaireau ayant quitté son territoire pour contaminer d'autres vaches.

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Ils ne sont plus que treize. Treize pays du continent asiatique, désormais les seuls au monde à héberger encore quelques populations de tigres. Selon une étude publiée, le 14 septembre, par la revue en ligne PLoS Biology, il reste moins de 3 500 animaux à l'état sauvage, pour la plupart regroupés dans des biotopes fragmentés représentant moins de 7 % de leur ancienne aire de répartition. En pleine année du Tigre, le plus grand félin du monde est en train de disparaître de la planète.
Principal auteur de ces travaux à la Wildlife Conservation Society de New York, Joe Walston et ses collègues ont identifié 42 'sites-ressources' dans lesquels les tigres peuvent encore continuer de se reproduire. Dix-huit de ces sites se trouvent en Inde, huit sur l'île indonésienne de Sumatra, six en Extrême-Orient russe, les autres se répartissant entre la Malaisie, la Thaïlande, le Laos et le Bangladesh.

OS ET MOUSTACHES TRÈS PRISÉS

'D'après les données disponibles, aucun site-ressource n'a été identifié au Cambodge, en Chine, en Corée du Nord ou au Vietnam', précisent les chercheurs. Dans ces pays, les populations de tigres sont déjà si faibles que leur perpétuation en milieu naturel n'est plus envisageable.

Dans les autres, il faut de toute urgence préserver leur habitat des braconniers, du trafic du bois et du commerce illégal. Le tigre étant inscrit à l'annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites), ses produits dérivés ne peuvent être utilisés à des fins commerciales. Mais ses os et ses moustaches restent très prisés de la médecine traditionnelle asiatique, et les autorités ferment souvent les yeux sur sa chasse.

'Ces chiffres confirment ce que nous avons nous-mêmes constaté', commente Edina Ifticene, chargée du programme Mékong au Fonds mondial pour la nature (WWF-France), qui estime à 3 200 individus les effectifs actuels du grand prédateur. 'Il y a douze ans, ils étaient environ 6 000', précise-t-elle.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr

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ROME, 19 sept 2010 (AFP) - Une pétition contre la chasse qui débute dimanche en Italie a recueilli plus de 100.000 signatures à l'initiative notamment de la ministre du Tourisme, Michela Brambilla, connue pour son amour des animaux, rapportent dimanche les médias italiens.> Dans une interview dimanche au Corriere della Sera, Mme Brambilla annonce une réforme de la législation sur la chasse (datant de 1992) qui "autorise à tirer jusqu'à seulement 100 mètres de distance des habitations, usines ou immeubles de bureaux". "C'est incroyable que les chasseurs puissent pénétrer sur ta propriété pour donner libre cours à leur divertissement", ajoute-t-elle.

"Regardez les lettres que m'envoient les citoyens: ils parlent de leur chat mitraillé dans leur jardin, du cauchemar de tirs retentissant à quelques mètres de leur maisonnette ou d'une petite fille qui ne peut plus jouer sur sa terrasse car il y pleut des balles", raconte encore Mme Brambilla au Corriere.

Samedi à Venise, un millier de défenseurs des animaux, selon les organisateurs, 500 selon la police, ont manifesté pour réclamer l'abolition de la chasse, affirmant avoir le soutien de "80% des Italiens".

Ils ont également souligné les problèmes de sécurité posés par cette pratique en rappelant que pendant la dernière saison - du 2 septembre 2009 au 31 janvier 2010 - 23 chasseurs ont été tués et 53 ont été blessées dans des accidents qui ont fait aussi 1 mort et 18 blessés parmi des non chasseurs.

Selon le Corriere, 700.000 adhérents d'associations d'amateurs de la chasse et 200.000 particuliers vont reprendre ce dimanche leurs carabines pour la saison 2010/2011 qui, grâce à l'application à partir de cette année d'une directive communautaire, pourra être rallongée par les régions jusqu'aux premiers jours de février.

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http://www.ladepeche.fr/article/2010/09/21/910912-Cauterets-Nouvelles-attaques-de-l-ours.html

Cauterets. Nouvelles attaques de l'ours
cauterets, secteur du lisey



Une première brebis appartenant à Jean-Bernard Capou a été égorgée dimanche. Hier une autre faisant partie de son cheptel semble avoir été, elle aussi, victime de l'ours./Photo DDM. Une brebis a déjà été tuée par l'ours dimanche. Mais hier matin, après en avoir trouvé une autre égorgée, un éleveur de Cauterets a réagi, faisant savoir qu'il voulait alerter les professionnels et le Parc national.

« Une brebis a été attaquée par un ours sur le secteur du Lisey, près du massif de l'Ardiden », confirmait, hier, Jean-Paul Crampe, chef de secteur du Parc national de Cauterets. Complètement dépecé, l'animal a été retrouvé, dimanche aux alentours de 11 heures, par un garde qui a procédé aux recherches d'indices permettant de conclure que cette attaque était imputable au plantigrade. Selon ce spécialiste, qui est revenu sur le site avec le propriétaire de la brebis, les prédations ne seraient cependant pas nombreuses. « La dernière attaque remonte au 16 août dernier, près du Pont-d'Espagne », tient-il à préciser, en indiquant que le dossier sera transmis au Parc national pour indemnisation.

Une deuxième brebis trouvée égorgée hier
Il n'en est pas moins vrai que la nouvelle s'est répandue comme une traînée de poudre dans la vallée de Cauterets, zone que fréquente régulièrement le plantigrade. D'autant qu'hier matin, Jean-Bernard Capou, l'éleveur concerné par cette attaque, apprenait qu'une autre brebis de son cheptel avait été égorgée. Exprimant colère et inquiétude, il nous a fait savoir : « Je veux alerter les éleveurs et le directeur du Parc national à qui j'adresse une lettre ». Et d'expliquer que le garde aurait retrouvé à nouveau des empreintes de l'ours sur un endroit marécageux. « Il va les mesurer. »

À l'heure des comptes, il affirme avoir perdu 8 bêtes depuis le 28 juin : « 5 dont on a retrouvé carcasses ou médailles, 3 qu'on n'a pas retrouvées et 2 d'indemnisées s'ils me payent celle d'aujourd'hui

[hier, NDLR] ». Quant à son frère, Pierre Capou, il en aurait perdu 3. « Aucune n'a été reconnue imputable à l'ours », déplore-t-il. En revanche, un autre éleveur du secteur, à qui l'ours a prélevé 2 bêtes, a été indemnisé et ne trouve par conséquent aucune raison de se plaindre. Rappelons qu'en général, s'il y a un doute, il profite à l'éleveur. Directeur de la commission syndicale de Saint-Savin, Bruno Abadie recommande, pour sa part, d'être très prudent. « Il y a 15 jours, on a eu des soucis avec 3 chiens qui ont endommagé des brebis. » En attendant que la commission des dégâts d'ours se réunisse pour statuer de l'indemnisation des bêtes, Jean-Bernard Capou, toujours sous le coup de l'émotion, a décidé de rapatrier son troupeau. « Depuis le début de l'été, c'est pourtant ma 42e sortie, dit-il. Elles auraient pu rester 8 ou 10 jours de plus. ça nous fait suer… ». Hier, craignant de nouvelles attaques de l'ours, il a regagné Cauterets avec tout son cheptel.

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États-Unis - Les quatre lionceaux du zoo de Washington, âgés d'à peine trois semaines, vont pour le moment très bien. Les vétérinaires sont confiants et attendent encore quelques semaines avant de se prononcer sur le sexe de ces petits.


Le zoo national de la capitale américaine a enregistré quatre heureux événements à la toute fin du mois d'août. En effet, la lionne Shera a donné naissance à quatre lionceaux qui se portent à merveille, selon les vétérinaires du Smithsonian National Zoo de Washington.

Le sexe des petits n'est pas encore défini car les lionceaux sont encore trop jeunes pour que l'équipe médicale puisse se positionner avec certitude. Ce qui est sûr, c'est que les jeunes animaux se portent très bien, comme le confirme le Dr. Katharine Hope au site Zooborns: "Ils sont de parfaits nouveaux patients et semblent en parfaite santé pour le moment. Leurs réflexes oculaires sont bons, leur coeur et leurs poumons sont nickels. Ils sont tous forts et en bonne condition physique. Leurs dents du bas vont même bientôt apparaître".

Le conservateur du zoo, Craif Saffoe, estime que la bonne forme des lionceaux tient également du comportement exemplaire de leur mère : "Shera s'est très bien occupée de ses petits depuis la naissance. De notre côté, nous avons fait le maximum pour garantir la bonne santé de la maman et des petits".

Il faut savoir que l'expérience de vie des très jeunes lions n'est pas des plus rassurantes. En effet, sur l'année 2009, 30% des lionceaux en captivité n'avaient pas survécu au-delà de la première année. Le chiffre monte même à 67% pour les lionceaux sauvages. Pour le moment, l'équipe médical du zoo est confiante. Le prochain examen est prévu dans un mois, on saura alors si ce sont des mâles ou des femelles.

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Faune sauvage: deux visions divergentes

http://www.ladepeche.fr/article/2010/09/22/912005-Faune-sauvage-deux-visions-divergentes.html

Les vautours se sont multipliés suite à des nourrissages imprudents . / Photo DDM J. Navarro Depuis des décennies, la gestion de la faune sauvage interpelle l'ensemble des citoyens et fait l'objet de débats passionnés. Ceci étant, tous ne disposent pas toujours d'éléments permettant de se forger sereinement une opinion.

Sur le sujet de la faune sauvage, le grand public souvent intéressé et demandeur d'informations , se trouve confronté aux affirmations, plus ou moins objectives des uns et des autres, certaines parfois diffusées et relayées sans vérification, de manière outrancière. D'un côté une vision dogmatique, voire idéologique, avec une nature qui se suffirait à elle-même, d'où l'homme, ses interventions et ses activités devraient être exclus.

Cette stratégie portée par quelques uns est présentée comme un modèle de gestion de la faune et trouve quelques échos auprès de décideurs trompés ou partisans.

Le résultat est affligeant, jugez-en plutôt au travers de ces quelques exemples.

D'un autre côté, il existe une gestion pragmatique menée par des hommes de terrain qui, en Ariège, permet le maintien d'un maximum d'espèces (biodiversité) dans des proportions satisfaisantes, en harmonie avec les activités humaines économiques, sociales, culturelles, parmi lesquelles les piliers de l'aménagement du territoire que sont l'agriculture, l'élevage, la sylviculture et bien sûr la chasse.


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Cormoran
Une protection injustifiée a conduit à une explosion des effectifs de cet oiseau marin, à l'origine. Ce pilleur des étangs et rivières de plaine et de montagne réduit à néant les efforts des pêcheurs qui tentent de maintenir les espèces piscicoles ou de réinstaller à grands frais le saumon atlantique.

Cervidés >Dans le canton de Genève.Autre exemple de cette conception désastreuse de la gestion de la faune sauvage : l'interdiction pure et simple de la chasse. Elle est bien sûr génératrice de problèmes économiques, culturels, d'accidents sur les voies de communication, de dégâts.


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Goéland argenté
Tant que les effectifs de vautour fauve étaient en cohérence avec la ressource alimentaire naturellement disponible, aucun problème ne se posait. Suite au nourrissage imprudent et excessif et en l'absence de prédateurs les effectifs de cet oiseau nécrophage et craintif se sont développés. Il est devenu aujourd'hui un tueur exubérant. Il multiplie ses attaques sur les troupeaux domestiques : agneaux dans l'Aveyron, brebis et porcs noirs dans les Hautes Pyrénées…


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Vautour fauve
Cette espèce protégée, sans raison, depuis des décennies, prolifère aujourd'hui. Il suffit aujourd'hui de visiter une décharge publique (photo DDM prise à Manses) pour s'en persuader. Initialement oiseau marin, il est désormais présent sur tout le territoire. Il est devenu superprédateur de toute la petite faune.

Pour preuve la mise à mort quasi-systématique de toutes les nichées qu'il croise.

Nous vous encourageons à venir en faire le constat au printemps, sur le plan d'eau de Labarre.


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Bernache
Plusieurs dizaines de milliers d'oiseaux se concentrent autour du bassin d'Arcachon et sur la façade atlantique où ils causent de nombreux dégâts aux cultures. Malgré le souhait des chasseurs de voir cette espèce devenir gibier, pour en limiter le nombre et éviter des concentrations préjudiciables, une fin de non recevoir est opposé. Sans doute en arriver aux coupables solutions que cautionne et finance l'Europe, comme aux Pays-Bas où l'oie cendrée est, par centaines de milliers, détruite et gazée au frais du contribuable européen.


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Bouquetin
Plusieurs milliers de bouquetins peuplent aujourd'hui les Alpes françaises. Cette prolifération met en péril l'espèce elle-même. Après avoir vécu des heures difficiles lorsque les habitants des montagnes allaient chercher toutes les protéines disponibles, cette espèce a été justement protégée. Aujourd'hui, plus rien ne vient étayer cette protection absolue. Pourtant les demandes de voir appliquer un plan de chasse sont restées vaines. Certains préfèrent voir les animaux mourir en masse, victimes de leur âge et de diverses épizooties.

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"Sept hommes et deux femmes, dont deux vétérinaires et le propriétaire d'une réserve privée, ont été arrêtés lundi", a déclaré à l'AFP un porte-parole de la police nationale, Vishnu Naidoo.

Leur réseau est impliqué dans "des centaines d'incidents de braconnage de rhinocéros", a-t-il ajouté, en précisant que l'enquête devrait déboucher sur de nouvelles arrestations.

Les suspects comparaîtront en justice mercredi pour être inculpés, selon le porte-parole.

La police, après une longue enquête impliquant plusieurs unités, a mené lundi trois raids dans la province du Limpopo (nord), où vivent de nombreux animaux sauvages.

La province abrite notamment le fameux Parc Kruger, où 72 rhinocéros ont été tués par des braconniers depuis le début de l'année.

L'Afrique du Sud et le Zimbabwe voisin enregistrent depuis 2006 une recrudescence du braconnage des rhinocéros noirs et blancs, dont les cornes sont très recherchées en Asie pour leurs vertus aphrodisiaques supposées ou pour servir d'ornement.

Le rythme s'est encore accéléré depuis janvier: 210 rhinocéros ont déjà été tués cette année en Afrique du Sud contre 122 en 2009, selon le Fonds pour les espèces menacées.

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Pour une fois, voilà une vidéo d'animaux où il n'y a ni chat ni panda, ni même aucun animal mignon. Incroyable. Lire la suite l'article
La séquence du jour est plutôt à classer dans la catégorie "étonnant" puisqu'elle montre des hippopotames faire des mamours à des crocodiles. Oui, vous avez bien lu. Et vous allez voir :

"Sans qu'on sache pourquoi, l'hippopotame se met à lécher le corps du crocodile", dit le commentaire de ce document signé National Geographic. "Les scientifiques ne peuvent pas encore l'expliquer mais les hippopotames semblent apprécier traîner avec ces tueurs..."

Mais pourquoi les crocodiles ne réagissent pas ? "D'abord, les hippopotames ne sont pas considérés comme une menace, ils sont végétariens. Ensuite, les hippopotames sont plus puissants que les crocodiles..."

La vidéo fait parler d'elle pourtant elle ne date pas d'hier. National Geographic l'avait mise en ligne une première fois en janvier 2008 et déjà, le succès était au rendez-vous avec plus de 550.000 vues. Le magazine l'a remise au goût du jour en la publiant de nouveau début septembre. Repérée par le Huffington Post et relayée par des blogueurs, elle fait de nouveau son petit bonhomme de chemin avec près de 180.000 vues. L'art du recyclage.

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@Choupi91 a écrit:

Pour une fois, voilà une vidéo d'animaux où il n'y a ni chat ni panda, ni même aucun animal mignon. Incroyable. Lire la suite l'article
La séquence du jour est plutôt à classer dans la catégorie "étonnant" puisqu'elle montre des hippopotames faire des mamours à des crocodiles. Oui, vous avez bien lu. Et vous allez voir :

"Sans qu'on sache pourquoi, l'hippopotame se met à lécher le corps du crocodile", dit le commentaire de ce document signé National Geographic. "Les scientifiques ne peuvent pas encore l'expliquer mais les hippopotames semblent apprécier traîner avec ces tueurs..."

Mais pourquoi les crocodiles ne réagissent pas ? "D'abord, les hippopotames ne sont pas considérés comme une menace, ils sont végétariens. Ensuite, les hippopotames sont plus puissants que les crocodiles..."

La vidéo fait parler d'elle pourtant elle ne date pas d'hier. National Geographic l'avait mise en ligne une première fois en janvier 2008 et déjà, le succès était au rendez-vous avec plus de 550.000 vues. Le magazine l'a remise au goût du jour en la publiant de nouveau début septembre. Repérée par le Huffington Post et relayée par des blogueurs, elle fait de nouveau son petit bonhomme de chemin avec près de 180.000 vues. L'art du recyclage.

http://www.lepost.fr/article/2010/09/22/2231271_video-quand-des-hippos-font-des-calins-a-des-crocodiles.html#xtor=AL-235

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KUALA LUMPUR, 23 sept 2010 (AFP) - Des scientifiques malaisiens vont tenter d'inséminer une femelle rhinocéros très âgée afin de sauvegarder son espèce, actuellement extrêmement menacée sur l'île de Bornéo, ont-ils annoncé jeudi.> "Comme Gelegub est trop âgée pour s'accoupler naturellement, c'est la meilleure façon de la mettre enceinte et de donner naissance à un rhinocéros en captivité", a expliqué Sed Nathan, du Borneo Rhino Sanctuary, basé dans le nord de l'île de Bornéo.

Jusqu'à présent, seul le zoo de Cincinnati, aux Etats-Unis, a réussi à faire naître des rhinocéros de Sumatra en captivité, avec trois naissances en une décennie.

"Notre priorité est bien sûr de privilégier les naissances naturelles mais nous n'avons actuellement qu'un mâle et Gelegub est la seule femelle en bonne santé", a justifié M. Nathan. "Il est essentiel que nous essayions de faire se reproduire cette espèce car elle risque autrement de disparaître".

Il ne resterait qu'entre 30 à 50 de rhinocéros de Bornéo, une sous-espèce de l'espèce de Sumatra, vivant à l'état sauvage dans les forêts de Bornéo, une île partagée entre la Malaisie, l'Indonésie et Brunei. Petits et poilus, ces animaux sont extrêmement sauvages et les chercheurs réussissent très rarement à les apercevoir.

Les mammifères sont victimes de la déforestation à grande échelle de Bornéo mais aussi des braconniers, qui les chassent notamment pour leurs cornes et leurs os.

Quelques dizaines d'individus vivraient également à l'état sauvage sur l'île indonésienne de Sumatra, où des scientifiques tentent, jusqu'à présent sans succès, de les faire se reproduire en captivité

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Le juge interdit de tuer les loups

Le tribunal administratif de Marseille a fait droit aujourd'hui à la demande d'une association de protection des animaux sauvages qui avait attaqué deux arrêtés des préfets des Alpes-de-Haute-Provence et des Hautes-Alpes autorisant un tir de prélèvement de loup dans chaque département. Le juge a estimé qu'existait un doute sérieux lié à la légalité des arrêtés.

http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/le-juge-interdit-de-tuer-les-loups

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http://www.laprovence.com/actu/region-en-direct/une-louve-retrouvee-morte

Une louve retrouvée morte

Une louve de la meute de Haute-Tinée (Alpes-Maritimes), capturée dans le Parc du Mercantour en mars dans le cadre d'un programme scientifique et équipée d'un collier GPS, a été retrouvée morte, hier.

Le collier permettait aux chercheurs de localiser l'ensemble des prédations occasionnées par la meute pour en mesurer l'impact sur les espèces sauvages. Depuis le 15 septembre, le collier n'émettait plus. Une recherche de terrain a permis de localiser l'animal mort. Une autopsie sera pratiquée par un laboratoire vétérinaire.


La Provence

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Salvador - L'ensemble de la population pleure Manyula, le seul éléphant du pays qui est mort à l'âge de 60 ans.

Au Salvador, un seul éléphant résidait dans le pays et était fortement apprécié de la population. La femelle Manyula souffrait d'insuffisance rénale explique l'AFP, et est finalement décédée d'un arrêt cardiaque, ce qui a fortement ému la population.Des centaines d'individus se sont même rendues au zoo où résidait l'animal et certains fans de l'animal portait même des signes de deuil. Pour autant, le zoo en question a choisi de fermer ses portes afin qu'aucun rassemblement non-controlable n'ait lieu.

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PEKIN, 24 sept 2010 (AFP) - Les 12 finalistes, parmi quelque 60.000 candidats dans le monde, d'un concours pour être gardien de pandas en Chine pendant un mois ont entamé leur formation, ont annoncé vendredi les organisateurs.> Six candidats, dont les noms seront annoncés le 29 septembre, seront finalement choisis en fonction de leur aptitude à s'occuper des pandas, communiquer avec eux et comprendre la préservation de l'espèce menacée.

Les gardiens pourront assister à la naissance de petits pandas et parcourir les montagnes autour de Chengdu pour étudier les animaux à l'état sauvage. Ils expliqueront leur expérience dans des blogs (www.pandahome.com).

Cette initiative s'inscrit dans le "Project Panda," lancé par le Centre des pandas de Chengdu et le Fonds mondial pour la nature (WWF).

Il ne reste plus qu'environ 1.600 pandas en liberté et environ 300 autres en captivité à travers le monde, dont la grande majorité en Chine.

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Bhoutan, Himalaya - Quelques secondes de film montrant un tigre sur L'Himalaya redonnent de l'espoir au monde scientifique.

Pendant six semaines une équipe de la BBC a placé des caméras cachées dans des arbres ou des buissons afin de pouvoir capturer ces quelques secondes de film. La vidéo est la seule preuve que les tigres peuvent s'adapter et se reproduire à plus de 4000m au dessus du niveau de la mer. Le caméraman Gordon Buchanan, spécialisé dans la vie sauvage, a déclaré s'être mis à pleurer lorsqu'il a visionné les quelques secondes où le tigre apparaît. "Nous sommes restés six semaines. Pour moi le principal but de l'expédition était d'apporter la preuve qu'il existe des tigres au Bhoutan. Alors en quelques secondes de film tous nos efforts avaient porté leur fruit", a-t-il déclaré à la presse britannique. Ces quelques secondes apportent ainsi une preuve que les tigres peuvent s'adapter et se reproduire sur l'Himalaya mais font également partie d'un plan d'action qui pourrait permettre à l'espèce de survivre. En effet le Bhoutan étant un pays bouddhiste la faune n'est pas en danger et les animaux ne sont pas chassés par les habitants. Le pays serait ainsi la solution à la sauvegarde des tigres qui pourraient vivre librement dans le pays. Le film fait parti d'un documentaire de la BBC intitulé "Lost land of the Tiger", diffusé au Royaume-Uni cette semaine.

http://www.zigonet.com/tigre/des-tigres-survivraient-dans-la-region-de-l-039-himalaya_art16012.html

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Espagne - Le Journal "Quaternary Science Reviews" vient de publier une étude de chercheurs espagnols, selon laquelle la hyène tachetée, répandue en Europe il y a 10.000 ans, aurait disparu de notre continent à cause des effets combinés du climat, des modifications de la faune d'herbivores et de l'expansion humaine. L

Hyènes en Europe : pourquoi ont-elles disparu il y a 10.000 ans ? Agrandir la photo Plus de photos Sciences

Le refroidissement du climat survenu à la fin du Pléistocène (dernière période glaciaire, il y a 10.000 ans) ne peut à lui seul expliquer la disparition d'Europe de la hyène tachetée (Crocuta crocuta), qui y était répandue jusqu'alors. Une première simulation informatique des scénarios possibles lors de cet épisode froid a montré aux scientifiques les zones du vieux continent où l'animal aurait pu se maintenir. Une deuxième modélisation leur a prouvé qu'à ces endroits, les conditions de température auraient été supportables pour les hyènes. Alors, que leur est-il arrivé ?Pour Sara Varela, du muséum national des sciences naturelles espagnol, ce changement climatique a entraîné de profondes modifications parmi les populations d'herbivores, proies habituelles des hyènes. D'autre part, l'époque coïncide aussi avec une expansion toujours croissante d'Homo sapiens sur le Vieux Continent. Maximum glaciaire, modification drastique de la faune locale et développement de l'homme : trois facteurs qui, agissant en synergie, auraient contraint la hyène tachetée à modifier la gamme de ses aires de distribution. On ne la trouve plus aujourd'hui qu'en Afrique.

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SAINT-PETERSBOURG, 24 sept 2010 (AFP) - Un jeune homme a été mordu vendredi par un ours brun affamé qui l'a attaqué en plein centre de Syktyvkar, ville du nord-ouest de la Russie, a-t-on appris auprès de la police locale.> Légèrement blessé, l'hommé a été soigné par une équipe de secours arrivée sur le lieu de l'attaque et il a ensuite pu regagner son domicile.

Les services du ministère des Situations d'urgence de Syktyvkar, capitale de la république des Komis, ont entamé des recherches pour retrouver le mammifère qui s'est enfui.

D'après des experts, les ours sont particulièrement menaçants lorsqu'ils sont à la recherche de nourriture.

"Peu de baies et noisettes ont poussé cette année à cause de la canicule" qui a frappé la Russie l'été dernier, a ajouté la porte-parole de la police.

Selon des zoologistes, un ours a besoin d'absorber au moins 50 kilos d'aliments par jour en automne pour se constituer une réserve de graisses avant l'hiver.

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BANGKOK (Birmanie), 25 sept 2010 (AFP) - Le régime militaire birman a salué samedi via le journal d'Etat la capture d'un animal très rare qui nourrit de nombreuses superstitions, y voyant, à moins de deux mois d'élections controversées, le signe d'une "transition démocratique" réussie.> L'animal, qui est en réalité rose-marron, a toujours été chéri en Birmanie, à majorité bouddhiste. Ses rares apparitions sont considérées comme le signe, notamment, de changements politiques importants.

"Les gens discutent avec enthousiasme de ce bon augure qui coïncide avec la transition démocratique de la nation", écrit le journal qui parle aussi d'un "bon signe pour le succès des élections".

Il y voit également le signe que les gens "jouiront de la paix et la stabilité sous le nouveau gouvernement, comme ils en jouissent sous le gouvernement actuel".

Le généralissime Than Shwe, chef de la junte, est régulièrement décrit par ses détracteurs et certains analystes comme étant sous forte influence de l'astrologie.

La junte, au pouvoir depuis 1962, a fixé au 7 novembre des élections législatives, les premières depuis celles remportées haut la main en 1990 par la Ligue nationale pour la démocratie (LND) de l'opposante Aung San Suu Kyi, toujours assignée à résidence.

Ces élections ont été critiquées pour leur déficit démocratique, le parti du prix Nobel de la paix ayant notamment été dissous avant le scrutin.

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DAR ES-SALAAM (Tanzanie), 25 sept 2010 (AFP) - Le président tanzanien Jakaya Kikwete a réaffirmé son intention d'autoriser un projet de construction d'une route à travers le parc national du Serengeti (nord de la Tanzanie), l'un des derniers sanctuaires de la vie sauvage sur la planète, affirmant que cette route ne perturberait pas l'éco-système.> Le chef de l'Etat, candidat à sa propre succession pour la présidentielle d'octobre prochain, répondait ainsi à des activistes locaux et internationaux opposés au projet.

"Ce que je peux assurer à ces activistes, c'est que le Serengeti ne mourra pas, et que la route proposée offre de nombreux avantages sociaux et économiques aux populations" de la région, a-t-il affirmé.

Jeudi, le gouvernement tanzanien avait annoncé la création d'une "task force" pour étudier le projet, rappelant qu'il "n'avait pas à ce jour changé de position".

Selon une tribune publiée mi-septembre dans la revue scientifique Nature, et signée par 27 experts en biodiversité, la "route provoquera un désastre environnemental".

Ils ont pressé le gouvernement tanzanien d'étudier un projet alternatif qui ferait passer cette route au sud du site inscrit par l'Unesco depuis 1981 au patrimoine mondial de l'humanité.

Le projet prévoit de faire passer un axe à deux voies au milieu de la route de migration empruntée chaque année par 1,3 million de gnous.

Les gnous jouent un rôle vital dans un écosystème fragile, en maintenant la vitalité des prairies du Serengeti et en assurant la survie de prédateurs menacés tels les lions, les guépards et les lycaons.

Le projet de relier la côte tanzanienne du lac Victoria à l'Ouganda, au Rwanda, au Burundi et à la République démocratique du Congo est évoquée depuis une vingtaine d'années.

Ce projet de route détruirait une large bande de 50 km de long à travers la partie nord du Parc national du Serengeti, près de la frontière avec le Kenya

Le projet alternatif évoqué par les scientifiques passerait 250 km plus au sud, sous la zone de conservation du Ngorongoro.

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KINSHASA (RDCongo), 27 sept 2010 (AFP) - Un lion sauvage sème la panique depuis une semaine dans la province du Bandundu, dans l'ouest de la République démocratique du Congo (RDC), après avoir tué un garçon de 15 ans et des animaux d'élevage, a-t-on appris lundi de sources concordantes.> Le mammifère carnivore, caché dans la forêt, a aussi "tué beaucoup de chèvres, de moutons et de vaches. Les gens ne peuvent plus se rendre dans la forêt ni à la source pour puiser de l'eau", a ajouté l'abbé Jean-Marie Ntesa, coordonnateur de l'ONG Caritas à Inongo, chef-lieu du district de Mai-Ndombe.

"On avait déployé des militaires dans la forêt pour le capturer mais on n'a pas pu le voir", a regretté l'autorité locale, assurant que tout était fait pour neutraliser l'animal.

Selon un responsable de l'Institut congolais pour la conservation de la nature (ICCN), Cosma Wilungula, il s'agit d'un phénomène "récurrent".

"Chaque deux ou trois ans, des lions surgissent et sont attirés par des vaches se trouvant dans cette zone", a-t-il expliqué à l'AFP, précisant que des équipes de l'Institut étaient régulièrement dépêchés sur les lieux pour refouler le félin hors de zones habitées.

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Mardi 28 septembre 2010 2 28 /09 /2010 12:29
De la présence du Loup dans les Pyrénées
Venus d'Italie, trois loups ont été observés dans la partie orientale de la chaîne.

En onze ans de présence sur la partie orientale de la chaîne, seuls trois loups ont été formellement répertoriés. Les traces génétiques qu'ils ont laissées derrière eux ne laissent pas l'ombre d'un doute : deux mâles et une femelle, tous de lignée italienne.

« Ce sont des canis lupus [italicus], des jeunes adultes qui ont migré de l'arc alpin après avoir quitté leur meute respective, explique Alain Bataille, correspondant du réseau loup pyrénéen pour l'Aude et l'Ariège à l'ONCFS (Office national de la chasse et de la faune sauvage). Ils peuvent se déplacer dans un rayon maximum de 800 kilomètres, à l'aurore ou au crépuscule, et surtout la nuit. Traverser un pont, un fleuve ou une autoroute ne leur pose aucun problème. »

Le premier loup est arrivé en 1999, les deux autres entre 2003 et 2004. Les trois animaux fréquentent avec plus ou moins de régularité les pics du Madrès (Aude, Ariège, Pyrénées-Orientales), du Carlit (Ariège, Pyrénées-Orientales) et du Canigou (Pyrénées-Orientales).

Pas de meute en vue
Depuis leur implantation, les services de l'Etat sont aux aguets. Un réseau d'observateurs (67 en 2006, 120 aujourd'hui) a été mis en place sur toute la partie orientale de la chaîne. Et la coopération avec l'Espagne bat son plein, surtout depuis que d'autres canis lupus ont été répertoriés en Catalogne. N'empêche que pour le moment, leur nombre stagne. Et toujours pas de meute en vue. « Même si une rencontre entre individus mâle et femelle reste possible, nous n'avons aucun indice de reproduction. Ce front de colonisation reste donc très fragile », note Alain Bataille.

Pour Philippe Lacube, représentant emblématique des éleveurs ariégeois, "il ne faut pas les sous-estimer car s'ils venaient à coloniser le massif, ce serait extrêmement grave". Le loup fait donc toujours peur aux ignorants.

Même si trois zones de présence permanente attestent que le loup a passé les deux derniers hivers dans le massif du Carlit (côté français), au pic du Canigou (versant espagnol) et en Catalogne sud, il n'en demeure pas moins que notre animal a la bougeotte. En janvier 2008, plusieurs témoignages ont fait état de la présence d'un loup en Haute-Ariège. Et le 26 mars 2008, un autre, peut-être le même, a croisé la route d'un randonneur lors d'une balade dans la vallée de l'Ariège.


Source : 20minutes

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Winnipeg, Canada - Un jeune ours noir s'est retrouvé à des kilomètres de son territoire après s'être retrouvée coincée dans un train en direction de Winnipeg.

L'ourson, dont la tête est restée coincée un petit trou au bout du train, a été transporté pendant 12 heures avant d'être repéré par l'équipe technique qui effectuait une opération de maintenance. Le trou dans lequel se trouvait l'ours était seulement large de 12 cm et situé près du système de freins. Selon un officier du Manitoba Conversation Natural Resource, l'ourson n'a pas été blessé car il était soutenu par le cadre des freins et les câbles. Il aurait juste été incapable de se libérer du trou. Les techniciens pensent que l'animal est devenu un passager accidentel à Foxwaren, une ville de Manitoba. Des soigneurs sont intervenus sur place et ont immobilisé l'ourson à l'aide de tranquillisants. Après l'avoir gardé en observation pendant 24 heures, il a été relâché sur son territoire.