Aller au contenu
Rechercher dans
  • Plus d’options…
Rechercher les résultats qui contiennent…
Rechercher les résultats dans…
pacemaker91

L'actualité des inclassables

Messages recommandés

ATTENTION - revoici avec bonne date ///> Mme Jouanno a annoncé vendredi qu'elle se rendrait lundi à Toulouse "à la rencontre des membres du Comité de massif des Pyrénées afin de proposer l'élaboration d'une stratégie pyrénéenne de valorisation de la biodiversité"

La ministre a ajouté dans un communiqué que ce déplacement serait notamment l'occasion de "revenir sur la situation particulière" des ours.

Chantal Jouanno avait déclenché en janvier la colère des anti-ours -- principalement des éleveurs qui dénoncent les attaques de troupeaux --, en annonçant qu'il y aurait de nouvelles "réintroductions" de plantigrades.

L'Association pour le développement durable de l'identité des Pyrénées (Addip) a appelé vendredi à un rassemblement anti-ours lors de la visite de Mme Jouanno estimant dans un communiqué qu'il "ne fait aucun doute que la secrétaire d'Etat vient vanter (...) les bienfaits des lâchers d'ours".

Les pro-ours, parmi lesquels France Nature Environnement et Pays de l'Ours-ADET, s'alarment de leur côté que le sujet n'ait pas été tranché depuis six mois, compte tenu du "temps nécessaire pour préparer des lâchers d'ours".

"Nous vous demandons une nouvelle fois solennellement d'annoncer lundi (...) non seulement le principe, mais aussi la mise en oeuvre concrète du plan de restauration de la population d'ours dans les Pyrénées, incluant des lâchers dès le printemps 2011", déclarent-il à la ministre.

La dernière réintroduction, cinq ours en provenance de Slovénie, date de 2006. Deux de ces bêtes sont mortes depuis et quelques naissances ont été enregistrées, dont deux ce printemps dans les Pyrénées centrales.

Suivant les évaluations, la population d'ours serait actuellement de 17 à 22 unités, ce qui n'est pas viable selon les pro-ours. Ceux-ci ont récemment insisté sur la nécessité d'introduire deux femelles "dans le noyau occidental du Béarn", qui ne compte que trois mâles.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Alsace, France - Il existe à Bernwiller dans le Haut-Rhin un endroit très particulier pour les animaux, servant de club de vacances pour nos amis les chiens et les chats. Au programme, sieste, jeux et musique.

Le club de vacances pour chiens et chats de Bernwiller se situe dans un village qui ne compte pas plus de 600 habitants. Il a pour intention première d'offrir un endroit reposant et accueillant pour les animaux. Ainsi, Charly Castellani le propriétaire explique à l'AFP : "L'objectif, c'est d'offrir quelque chose de chouette pour que les animaux se sentent comme à la maison."Ainsi, les animaux pourront loger dans des box peints avec des couleurs vives, et une comportementaliste s'occupe des petits. Un salon de toilettage est également présent à l'intérieur du club, où les animaux sont lavés et bichonnés en musique. Les chats sont logés à l'intérieur d'une imitation de château. Cette formule coûte 17 euros par jour pour un chien et 11 euros pour un chat et les clients semblent ravis.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Australie - Un requin griset se repaissant d'un appât disposé à 1.400 mètres de profondeur. Telle est l'une des surprenantes images capturée par les scientifiques du Queensland brain institute, parmi d'autres clichés de poissons-lanternes, de méduses ou de crustacés des grands fonds aux allures extraterrestres.

Long de près de 4 mètres, ce requin griset (Hexanchus griseus) figure parmi de nombreuses autres espèces jamais filmées à de telles profondeurs, selon le Queensland brain institute, qui a révélé les premières images obtenues par ses nouvelles caméras télécommandées la semaine dernière.

"Cette technologie facilitera la découverte de créatures marines vivant à grande profondeur, et la compréhension des évolutions développées pour survivre à une telle distance de la surface, dans des eaux froides et sombres", explique dans un communiqué Kylie Greig, responsable du projet. "Ces animaux doivent trouver de la nourriture et se reproduire dans le noir, tout en évitant d'être eux-mêmes mangés. Nous sommes très intéressés par les systèmes sensoriels impliqués par un tel mode de vie."

Nautiles, méduses, crustacés étranges ou poissons-lanternes font également partie des créatures immortalisées à l'occasion de cette plongée en eaux profondes.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
http://www.ladepeche.fr/article/2010/07/27/879630-Peu-d-adoptions-beaucoup-d-abandons.html

Plus encore en été, les associations de protection animale éprouvent des difficultés à faire adopter leurs pensionnaires. Et comme les abandons se multiplient…

L'info n'est pas renversante de nouveauté, mais elle dérange toujours autant. Avec la belle saison et le temps des vacances, nos amies les bêtes le sont un peu moins que d'ordinaire. Un petit tour d'horizon dans les principales structures associatives de protection animale du département le démontre, chiffres à l'appui : en juillet (c'est déjà sûr) et en août (ça risque fort d'en être de même), les adoptions de chiens et chats dans les refuges sont à leur niveau d'étiage. Et pour appuyer encore sur ce balancier de mauvais augure, les abandons se multiplient plus encore qu'en d'autres saisons. Résultat : les refuges sont pleins et les bénévoles sur les sites se démultiplient.

« Ce mois-ci, nous sommes quasiment au maximum, confirme Claudine Gadiffert, la présidente de la SPA du 47. C'est-à-dire que nous avons régulièrement entre 110 et 120 chiens. Nous récupérons les bêtes abandonnées en provenance de la fourrière voisine. Et comme la courbe des adoptions est plate… ».

Même constat à la SPA de Brax, où la présidente Christine Salane dénombrait hier « 86 chiens, alors que le seuil maximal qui nous est autorisé par l'autorité de tutelle est de 90 ». De plus, le refuge abrite un nombre de chatons « jamais atteint », car non adoptés, des chatons parfois abandonnés dans des cartons. « Je suis en colère devant cette prolifération irresponsable », lâche la responsable de la structure braxoise.

Serait-ce alors les coûts qui freineraient les éventuels candidats à l'adoption, quand on sait qu'il faut compter 195 € à Brax, et 155 € (plus les 20 € d'adhésion) à Caubeyres, pour avoir un chien mâle et 250 € à Brax et entre 190 et 210 € à Caubeyres pour une femelle ? À distance, les deux présidentes rétorquent d'une même voix que leurs animaux sont stérilisés, vaccinés et tatoués, ce qui n'est pas forcément le cas ailleurs. « Et si on passe par un site internet, c'est pire ! », lance Christine Salane.

Dans ces refuges, on insiste aussi pour rappeler que les chiens (et chats) proposés à l'adoption, ne sont pas, « contrairement à des idées reçues », de vieux bâtards aux attitudes agressives. « Au contraire, ils ne sont ni âgés, ni malades et n'ont pas de problèmes de comportement »… Encore faut-il aller les visiter.

pour contacter les associations

La SPA du 47, que préside Claudine Gadiffert, a son siège au refuge de Caubeyres (tél. 05 53 88 05 71) et un bureau à Agen, au 29 rue Baudin (tél. 05 53 47 32 62).

Le refuge de la SPA de Brax, pour sa part, est basé chemin Franchinet (avant le bourg, en arrivant d'Agen). La présidente de la structure est Christine Salane (tél. 05 53 96 77 97).

Quant à l'ARPA (Association pour le respect et la protection des animaux), elle située à Boé, au lieu-dit « Riols » (tél. 05 53 47 15 44).


Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
La Commission européenne réexamine l'interdiction des farines animales décidée lors de la crise de la vache folle.


Elles n'étaient plus qu'un lointain souvenir, mais les farines animales refont surface. Depuis le 22 juillet, la Commission européenne assure que l'Europe en a fini avec la vache folle. En 2009, seuls 67 cas ont ainsi été décelés dans l'Union européenne contre 37 320 au plus fort de l'épizootie en 1992. Forte de ce constat, la Commission pourrait en venir à assouplir les règles, au point d'envisager de réintroduire les farines animales dans l'alimentation du bétail, pointe le Parisien ce mardi 27 juillet.

Pas question toutefois de nourrir à nouveau des vaches avec des protéines animales. Ni de nourrir d'autres animaux avec des protéines issues de leur propre espèce, assure Bruxelles. Interdites depuis 2000 à tous les animaux d'élevage, les farines animales avaient été identifiées comme vecteur de la vache folle, qui a fait plus de 200 morts en Europe.

L'idée avancée par la Commission serait plutôt de lever l'interdiction du recours à certaines farines animales pour nourrir les porcs, les volailles et les poissons. Une mesure réclamée depuis cinq ans par les éleveurs, qui se plaignent notamment d'avoir dû rendre les porcs "végétariens" depuis la crise de la vache folle.

Cannibalisme animal

Dans un avis rendu en 2009, l'Agence française de sécurité des aliments (Afssa) avance qu'il n'y a pas de risque de transmission de l'ESB aux porcs et aux volailles". Mais l'agence émet des réserves quant au retour des farines animales, invoquant un risque de "contamination croisée dans les élevages mixte".

Pour écarter une contamination par le prion, le "cannibalisme" animal -le fait nourrir des porcs avec de la farine de porc, par exemple- doit en effet être absolument évité, expliquent les experts. Difficile dans les conditions actuelles, soulève l'Afssa. Les filières de production n'étant pas totalement hermétiques, les fari... Lire la suite sur LEXPRESS.fr

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Quelques conseils pour ne pas laisser la mer se transformer en dépotoir.

http://www.lexpress.fr/actualite/environnement/cinq-gestes-ecolos-a-adopter-a-la-plage_909361.html#xtor=AL-447

En prenant quelques bonnes résolutions, vous pouvez participer à préserver les ressources naturelles du littoral.

Halte au plastique

Sacs en plastique qui s'envolent, bouchons de bouteilles oubliés... Sur la plage, si on ne prend pas garde, les emballages plastiques finissent vite dans l'océan. Et ils y restent pour toujours: aucun micro-organisme n'est capable de dégrader complétement le plastique. De véritables "continents" de fragments de plastique ont même été repérés dans le Pacifique et l'Atlantique. Les mammifères et les oiseaux peuvent ingérer ces débris qui obstruent littéralement leur système digestif. Sans compter les tortues qui confondent les sacs plastiques avec des méduses et meurent étouffées.

Alors sur la plage, on évite au maximum les matières plastiques. On privilégie les alternatives biodégradables (sacs en tissu, carton pour emballer les aliments, bouteilles en verre...), on ramasse ses déchets après le pique-nique. Et lorsqu'on aperçoit un sac plastique qui flotte dans l'eau, on le ramasse.

On choisit bien sa crème solaire

Déjà fragilisé par la pollution et le réchauffement climatique, le corail est mis en péril par les crèmes solaires. Les produits anti-UV que contiennent ces produits sont ainsi responsables d'une partie du blanchiment des coraux, observable lorsque le récif meurt. Inquiétant lorsque l'on sait que 4000 à 6000 tonnes d'écran total sont libérées chaque année dans les zones de récifs coralliens.

Aussi on opte au maximum pour les crèmes solaires bio, à base de filtres minéraux qui réfléchissent la lumière. Ces crèmes sont de plus en plus fluides et faciles à étaler. On préfére aussi les laits solaires aux huiles, qui se répandent à la surface de l'eau et filtrent les UV nécessaires à la survie du plancton. Autre solutions: mettre un T-Shirt avant d'aller faire du palme-masque-tuba, c'est tout aussi protecteur.

La plage n'est pas un cendrier géant

Rien de moins agréable que de poser sa serviette sur une plage envahie par les mégots. Alors on pense à amener un paquet de cigarettes ou d'allumettes vide pour récupérer les bouts de cigarettes, ou même un megopack, un cendrier de poche réutilisable, imbécileçu à l'aide de matériaux recyclables.

Laissez la faune en paix

En plongée, on ne touche pas aux coraux, on ne marche pas non plus sur les récifs: la moindre pression peut les "asphyxier" et les tuer. Gare aussi aux coups de palmes destructeurs. Ne remontez rien à la surface et ne nourrissez pas les poissons, au risque de perturber l'écosystème.

Plus particulièrement, pas touche aux oursins: la pêche est fermée de mars à octobre. Durant la saison, le nombre de prises est limité, et vous devez respecter une norme de taille minimum. Avant de vous lancer, renseignez-vous auprès de la Direction des affaires maritimes.

Evitez le hors-piste

Tenté par une petite balade dans les dunes? Comme au ski, mieux vaut éviter le hors-piste. Les dunes sont de véritables réservoirs de biodiversité et protégent la plage de l'érosion. En sortant des sentiers balisés, vous risquez d'abîmer ces édifices naturels. Qui plus est, en quittant les chemins aménagés, vous risquez de piétiner sans le savoir des espèces protégées ou des zones de nidification.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
http://www.ladepeche.fr/article/2010/07/29/880718-Plaisance-du-Touch-Des-naissances-en-cascade-au-parc-zoologique.html

Depuis l'arrivée du printemps, la famille du zoo de Plaisance ne cesse de s'agrandir. Après un tapir, deux émeus (sorte d'autruches australiennes), quatre wallabies, ou encore un oryx dammah, ce sont quatre lionceaux, un mâle et quatre femelles, qui ont vu le jour au début du mois de juillet. Au total, vingt-six animaux sont nés depuis le début du printemps. Et une douzaine d'autres sont attendus avant la fin de l'été. Pour le docteur Sylvie Clavel, la vétérinaire du zoo, cette avalanche de naissance est une réussite et témoigne de l'efficacité du plan d'élevage européen (EEP), auquel l'établissement appartient. « Le but de ce plan d'élevage est d'organiser la reproduction des espèces au niveau européen, explique-t-elle. C'est une sorte de gestion du patrimoine génétique. »

Sauvegarder des espèces
Les espèces dont la population a besoin d'être augmentée sont répertoriées et les animaux sont dispatchés dans les zoos en fonction des besoins. Ainsi, un dromadaire mâle d'un zoo français peut être envoyé dans un parc en Allemagne, où se trouvent des femelles. « L'objectif est d'éviter la consanguinité et donc de rendre les espèces plus résistantes », précise la jeune femme. Des études ont en outre permis de comprendre les difficultés de certains animaux, comme les rhinocéros ou les éléphants, à se reproduire en captivité. « Nous nous sommes rendus compte que notre femelle éléphant n'arrivait pas à tomber enceinte, tout simplement à cause de son âge », raconte la vétérinaire.

Et si pour cette amoureuse des animaux, les naissances en captivité restent moins magiques que celles qui ont lieu en liberté, elles sont tout de même essentielles. « Les parcs zoologiques ont un rôle important de conservation, argumente-t-elle. L'oryx algazelle, par exemple, s'est éteint dans son milieu d'origine. Grâce au plan d'élevage européen, l'espèce a survécu et peut aujourd'hui être réimplantée au Maroc, en Tunisie ou encore au Sénégal. » Mais aujourd'hui encore, il est difficile pour Sylvie Clavel de prévoir le nombre exact de naissances.

Malgré ses observations et ses examens, elle a parfois des surprises. Certaines femelles, comme les cobes, sont particulièrement discrètes sur leurs grossesses et peuvent cacher le petit plusieurs semaines après la naissance.

Les quatre petits lionceaux étaient, eux, très attendus par l'équipe du zoo. Pour le moment, leur mère refuse de les laisser sortir de la cage. Mais patience ! Ils ne devraient pas tarder à montrer le bout de leurs moustaches.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Interdiction du commerce de la fourrure : Israël sur le point de voter une loi exemplaire


Alors qu’Israël s’apprête à voter une loi visant à interdire sur son territoire le commerce de la fourrure, le lobby pro-fourrure contre attaque. En tant que représentante française de la Fur Free Alliance, One Voice appelle chacun à se mobiliser pour que cette loi exemplaire voit le jour.


Israël est sur le point de rejoindre le petit cercle des pays exemplaires en matière de législation contre la fourrure. Le 2 septembre prochain, le parlement israélien doit examiner un projet de loi visant à interdire le commerce de la fourrure sur son territoire. Si la loi est votée, Israël serait, avec l’Angleterre et l’Autriche, parmi les trois pays les plus avant-gardistes en matière de législation pour la protection et le respect des animaux.


Les lobbies pro-fourrure en action
Toutefois, il semblerait que les lobbies pro-fourrure mènent actuellement campagne contre cette loi, aidés notamment par un membre de la Knesset lié à l’ambassadeur du Danemark par son mariage. En tant que plus grand producteur de fourrure au monde, le Danemark a tout intérêt à ce qu’une telle loi ne voit pas le jour. Ce nouvel exemple pourrait conduire d’autres pays à adopter des textes de loi prohibant ce que beaucoup considère comme « une offense à la morale publique ». Et remettrait en cause non seulement l’attitude danoise en matière des droits des animaux mais aussi ses intérêts économiques au détriment de la vie animale.


Un commerce cruel et meurtrier
Pour rappel, près de 70 millions d'animaux sont tués chaque année pour leur fourrure, soit plus d'un animal exécuté chaque seconde, jour et nuit, durant pendant 365 jours… Ces animaux sont capturés dans la nature ou élevés dans des conditions dramatiques : cages exiguës ne disposant d’aucun des éléments nécessaires au développement normal des animaux, ce qui entraine de nombreux comportements stéréotypés et anormaux, tel le cannibalisme et l’automutilation.


Agir vite
One Voice vous demande d’apporter votre soutien à cette loi en écrivant massivement au Ministre de l’Industrie, du Commerce et de l’Emploi israélien. Grâce à ce courrier, Israël saura que le monde entier approuve ce texte qui marque un pas supplémentaire dans la construction d’un monde où les animaux, en tant qu’êtres vivants, sont respectés et vivent en paix. Le temps presse, il ne reste plus qu’une poignée de jours avant le vote de la loi. Mobilisons-nous et écrivons !

Exemple de courrier à adresser à :

Binyamin Ben-Eliezer
Minister of industry, trade and employment
5 Bank Israël street
Jérusalem - Israël

Binyaminb@Knesset.gov.il
Lishka.sar@moital.gov.il

Monsieur le Ministre,

J’apporte mon soutien le plus total à l’interdiction du commerce de la fourrure en Israël. Le commerce de la fourrure est cruel et inutile. Il est responsable de la souffrance et de la mort de plus de 70 millions d’animaux chaque année.

Si la loi interdisant le commerce de la fourrure passe, Israël sera l’exemple à suivre par toutes les autres nations. Vous serez vu par le monde entier comme le pays de la compassion et de la bonté.

Je suis certain(e) que les lobbies pro-fourrure internationaux travaillent d’arrache-pied pour protéger leur commerce. Mais il s’agit là d’intérêts de groupes privés peu scrupuleux qui ont eu maintes fois l’occasion d’être mis face à leurs responsabilités en matière de cruauté.

Le fait est que la cruauté est inhérente à la production de fourrure et seule son interdiction peut mettre fin à cette inutile souffrance.

Au nom de tous ceux qui défendent le droit des animaux dans mon pays, je vous demande d’agir dans le bon sens et d’apporter votre soutien à l’interdiction du commerce de la fourrure et de faire en sorte que cette loi soit mise en application le plus rapidement possible de façon à ce que beaucoup d’autres pays suivent votre exemple.

Avec tous mes remerciements, veuillez recevoir, Monsieur le Ministre, l’expression de ma haute considération.


Source : One Voice

2010-07-31 19:23:00

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

http://news.fr.msn.com/m6-actualite/france/article.aspx?cp-documentid=154294399

AFP, Mise a jour : mardi 3 août 2010 19:06
Les grandes vacances, sale temps pour les bêtes
Les associations de défense des animaux s'alarment une fois de plus des abandons massifs de chiens et de chats à la faveur des vacances d'été, parfois simplement jetés par-dessus les grilles des refuges.

Société Protectrice des Animaux

AFP/Archives
"Nos refuges sont saturés, victimes de surpopulation depuis le 1er juillet" a indiqué mardi à l'AFP Stéphane Lamart, qui préside depuis dix ans en région parisienne une association éponyme pour la promotion des droits des animaux.

"C'est catastrophique cette année", a confirmé Martine Alessandri, responsable d'un refuge de la Fondation Assistance aux animaux à Villevaudé en région parisienne.

"Pas plus tard qu'hier, un griffon a été balancé par-dessus le portail du refuge qui fait pourtant près de 2 mètres de hauteur", a-t-elle rapporté. Les maîtres les "jettent comme si c'était des sacs poubelles. Ou alors ils les attachent aux grilles du refuge".

Son centre d'accueil a largement dépassé depuis début juillet sa capacité d'accueil, avec 120 chiens (contre 90 autorisés) et près de 200 chats, le double du nombre autorisé.

"Et c'est pareil pour toutes les associations que nous contactons: tout le monde est surchargé", affirme-t-elle.

"Et encore, ce griffon a été jeté dans un refuge et pas abandonné attaché à un arbre en pleine forêt", relève Valérie Fernandez, responsable de la communication de la SPA.

La Société de protection des animaux qui gère 55 refuges au total en France, dont six en région parisienne, est également débordée: "L'afflux massif a commencé début juin", selon Mme Fernandez, qui souligne que le nombre d'adoptions surtout est en baisse par rapport aux années précédentes.

"D'habitude, on assiste en été à une augmentation des abandons et en même à celle des adoptions. On arrive comme ça à un roulement et à gérer les entrées et les sorties. Il semble que cette année, les adoptions soient en baisse", explique-t-elle, sans avoir encore effectuer de décompte précis.

En 2009, la SPA avait décerné la "Palme de l'abandon" à la France qui, avec 80.000 à 100.000 abandons d'animaux domestiques par an, selon les recoupages des associations, détiendrait un triste record européen.

Avec toujours deux principales vagues de reniement des compagnons à poils: l'été et les vacances de Noël.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
PARIS, 4 août 2010 (AFP) - Le petit parti Alliance écologiste indépendante (AEI) a réclamé mercredi l'inscription rapide d'un projet de loi anti-corrida en France à l'ordre du jour de l'Assemblée nationale.> "Nous saluons et soutiendrons activement le projet de loi contre les corridas et les combats de coqs déposés par les députées Geneviève Gaillard (PS) et Muriel Marland-Militello (UMP)", ajoute-t-il.

Mmes Marland-Militello et Gaillard ont déposé cette proposition de loi (PPL), dont l'inscription à l'ordre du jour de l'Assemblée n'est pas automatique, et qui veut modifier l'article 521-1 du Code pénal. Celui-ci interdit "des sévices graves, ou de nature sexuelle" ou les "actes de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité".

Mais cette interdiction ne s'applique pas "aux courses de taureaux lorsqu'une tradition locale ininterrompue peut être invoquée. Elles ne sont pas non plus applicables aux combats de coqs dans les localités où une tradition ininterrompue peut être établie".

La PPL veut donc supprimer cette restriction pour une interdiction totale.

Le parlement régional de Catalogne a décidé le 28 juillet d'interdire les combats de taureaux dans cette région d'Espagne, approuvant une "initiative législative populaire" rassemblant 180.000 signatures. Selon l'AEI, "le message envoyé par les parlementaires catalans doit être entendu en France".

L'AEI rassemble le Mouvement écologiste indépendant (MEI) d'Antoine Waechter, Génération Ecologie, et France en action de M. Governatori.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
PARIS, 6 août 2010 (AFP) - Une franchise de 500 euros a été rétablie pour le règlement des sinistres d'accidents de la circulation provoqués par les animaux sauvages, selon un décret du ministère de l'Economie publié vendredi au Journal officiel.> Interrogé par l'AFP, François Werner, directeur général du Fonds de Garantie, a expliqué que le rétablissement de cette franchise avait été décidé en raison du coût croissant de l'indemnisation de ce type d'accidents.

En 2008, quelque 42.000 accidents, impliquant la faune sauvage, ont coûté 21 millions d'euros d'indemnisations pour le seul Fonds de Garantie. Ce chiffre ne prend pas en compte les indemnisations prises en charge par les assureurs. En 2009, ce sont près de 65.000 dossiers qui ont été réglés. La tendance pour 2010 est de 80.000 dossiers, a ajouté M. Werner.

Le directeur général de cet organisme financé par les assureurs et les assurés a par ailleurs justifié cette mesure par le fait qu'il "n'y avait pas de raison particulière pour que ce type de sinistre soit exempté de toute franchise contrairement à l'ensemble des sinistres".

Cette mesure, précise le décret, s'appliquera aux accidents qui surviendront à partir de samedi. Avant cette date, les automobilistes auront six mois pour adresser leurs dossiers au Fonds de Garantie, a souligné M

Werner.

Le FGA indemnise, au titre de la solidarité nationale, les victimes d'accidents de la circulation provoqués par des personnes non assurées ou non identifiées et depuis 2003, par les animaux sauvages.

Quatre départements de l'Est (Moselle, Bas-Rhin, Haut-Rhin, Meurthe-et-Moselle) figurent parmi les onze départements les plus touchés par ce type d'accidents.

Le nombre élevé de ces collisions avec les animaux sauvages s'explique, selon les spécialistes de la faune sauvage, par le quintuplement du nombre des cervidés et des sangliers en 20 ans, un phénomène dû notamment aux conditions climatiques plus douces, au formidable taux de reproduction des sangliers et à la diminution du nombre des chasseurs.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
MONTREAL, 9 août 2010 (AFP) - Les Inuits canadiens ont obtenu une décision de justice pour bloquer une expérience scientifique germano-canadienne dans l'Arctique, susceptible, selon eux, de mettre en danger des mammifères marins, a-t-on appris lundi de source gouvernementale.> La juge Susan Cooper a accepté l'argumentation d'organisations inuites qui affirmaient craindre que le recours aux canons à son n'ait un impact néfaste sur les baleines, les phoques et les morses

Dans le passé, les scientifiques avaient utilisé des explosifs pour faire des relevés sismiques et quelques baleines avaient été tuées, tandis que beaucoup d'autres avaient déserté la région.

Les canons à son ne risquent pas de tuer les animaux marins, mais ces derniers pourraient devenir sourds et en tout cas, effrayés, quitter la zone pour longtemps, a expliqué à l'AFP l'avocat des Inuits, Me David Crocker.

Les Inuits "pouvaient perdre leurs moyens d'existence, leur source de nourriture, leur mode de vie", a-t-il dit.

Le gouvernement canadien n'a pas immédiatement indiqué s'il comptait faire appel.

Le ministère des Ressources naturelles a affirmé dans un bref communiqué être "toujours déterminé à atteindre l'objectif de son programme de géocartographie qui est d'accroître sa connaissance de la géologie du Nord".

Selon Me Crocker, même si le gouvernement fait appel et obtient gain de cause, ce qui n'est pas acquis, la procédure sera trop longue pour que l'expérience puisse se dérouler cette année.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Axelle Lesebos était une bonne élève et avait tout pour réussir. C’était sans compter les dissections inscrites au programme de la filière qu’elle avait choisie, un DUT génie de l’environnement, et les problèmes qu’elle devait rencontrer lorsqu’elle exprima son refus de les pratiquer.
Bac S, licence en géologie puis DUT spécialisé dans le domaine de l’environnement, Axelle Lesebos était connue pour son assiduité et la qualité de son travail. Trois TP de quatre heures chacun, prévus dans le cursus qu’elle devait achever cette année, ont cependant eu raison de ses efforts. Il était en effet prévu que les élèves dissèquent durant ces cours une série d’animaux, chose qu’Axelle a refusé de faire pour des raisons « éthiques et morales », comme l’indique La Nouvelle République qui relaie cette histoire incroyable.
Sitôt informée du programme de ces cours, Axelle prend les choses en main et informe le chef du département où elle étudie que si elle ne souhaite pas pratiquer les dissections, elle est tout à fait disposer à étudier l’anatomie des animaux par d’autres moyens. Son professeur de biologie et la directrice de l’IUT ne l’entendent cependant pas de cette oreille et refusent de valider l’année de l’étudiante malgré des notes tout à fait correctes et un certificat du médecin affirmant qu’elle ne pouvait pas pratiquer de telles expériences sous peine de souffrir d’une crise d’angoisse.
Axelle et sa mère, révoltées par cette situation, on saisi la justice sans succès et demandent aujourd’hui au Conseil d’Etat de permettre à l’étudiante de reprendre ses études. La Fondation Brigitte Bardot a apporté son soutient à la victime et indique avoir écrit à Valérie Pécresse, Ministre de l’enseignement supérieur et de la recherche, pour l’informer des faits.

source : http://www.vegmag.fr/actus/recalee-par-l-iut-pour-avoir.html

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
BEZIERS, 14 août 2010 (AFP) - Une soixantaine de personnes se sont rassemblées samedi matin devant les arènes de Béziers, où se déroule la traditionnelle feria, pour exprimer leur opposition aux corridas, a constaté un journaliste de l'AFP.> Les protestataires ont sifflé les toreros qui arrivaient, en voiture, aux arènes, avant de se disperser sans incident.


Une manifestation nationale anti-corrida devrait être organisée en septembre à Nîmes, à l'occasion de la Feria des Vendanges, ont indiqué les organisateurs du rassemblement

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
SURABAYA (Indonésie), 16 août 2010 (AFP) - Des négligences et des querelles à la direction du plus grand zoo d'Indonésie ont provoqué la mort de centaines d'animaux depuis deux ans, et notamment ce week-end d'un tigre rare de Sumatra, a annoncé lundi un responsable local.> Un tigre de Sumatra, âgé de 20 ans - une espèce en voie de disparition -, est mort samedi. Une lionne est morte mercredi dernier et un kangourou femelle deux jours plus tôt.

De juin à août, 20 animaux sont morts de maladie et en raison de mauvaises conditions de vie, comme des cages surpeuplées, a-t-il dit.

"En janvier, 13 bébés dragons de Komodo sont morts en raison de la surpopulation dans les cages et du manque de lumière", selon lui.

M. Sumampau a fait état de 362 morts d'animaux en 2008 et de 327 l'an dernier, la majorité des décès étant dus à des maladies curables comme la pneumonie, la diarrhée ainsi qu'à la malnutrition.

Des milliers d'animaux se trouvent actuellement dans des cages trop petites et sales, a-t-il ajouté.

En raison de conflits internes à la direction, le zoo n'a pas rénové ses cages depuis près de 20 ans alors que le gouvernement avait accordé des crédits chaque année pour ce faire.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
NICE, 16 août 2010 (AFP) - Le drapeau rouge a été levé et la baignade interdite lundi sur la plage de Cagnes-sur-mer, sur la Côte d'Azur, où les pompiers ont aperçu un requin, a indiqué la municipalité.> Par mesure de précaution, la baignade a été interdite jusqu'à mardi matin.

Au micro de France-Bleu Azur, Richard Schemla, président du centre de découverte du monde marin à Nice, a indiqué qu'il pouvait s'agir "d'un requin pèlerin ou d'une raie manta". "Ca peut être un jeune requin qui s'est approché de nos côtes", a-t-il précisé.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Agen. Les abandons d'animaux en forte hausse à la SPA
société

http://www.ladepeche.fr/article/2010/08/19/890750-Agen-Les-abandons-d-animaux-en-forte-hausse-a-la-SPA.html

Tous les ans, la fourrière récupère 800 à 900 chiens./Photo archives DDM Les abandons d'animaux sont en forte augmentation depuis le début de l'année et les adoptions sont en baisse. Nouveauté, les abandons s'étalent tout au long de l'année et plus forcément en été.

C'est une nouveauté et pas forcément une bonne nouvelle. La saison estivale n'est plus forcément une période où les abandons grimpent en flèche. Les cas recensés s'étalent tout au long de l'année. Et pour 2010, on assiste à une nette augmentation des abandons. « Nous avons dû récupérer 595 chiens errants au 16 août, explique Armelle Aebischer, directrice de la fourrière de Lot-et-Garonne, soit cinquante de plus que l'année dernière à la même date ». Tous les ans, la fourrière récupère 850 à 900 chiens. Un chiffre total qui risque d'augmenter d'ici au mois de décembre. Les animaux ramassés ne sont pas tous identifiables et ne peuvent donc pas être rendus à leur foyer. En cause, les maîtres indélicats qui n'effectuent pas les démarches nécessaires. « On arrive à retrouver les propriétaires dans environ 30 % des cas, précise Armelle Aebischer. On regarde en premier lieu le tatouage ou la puce électronique mais il y en a beaucoup qu'on ne peut pas identifier ».

Une fois rentré à la fourrière, l'animal est vacciné et son signalement est diffusé sur le site Internet de la fourrière ou dans les journaux gratuits.

Qu'est-ce qui explique cette hausse des abandons ? Armelle Aebischer évoque quelques pistes. « Est-ce que la crise a joué un rôle ? La législation de contrôle est aussi plus contraignante. Il faut une évaluation comportementale pour les chiens dangereux et les animaux mordeurs ».

Euthanasie ou transfert
Mais passé le délai légal de quatre jours pour les animaux non identifiés et de huit jours pour les animaux identifiés, la fourrière en « dispose » selon la formule consacrée.

« Soit on pratique une euthanasie dans 16 % des cas, soit on transfère à la SPA, explique Armelle Aebischer. Il est quand même très facile de retrouver son animal en Lot-et-Garonne. On est la seule fourrière de France qui regroupe toutes les communes du département ».

Du côté de la Société protectrice des animaux, on ne peut que constater cette flambée des abandons mais les responsables pointent un autre phénomène. La forte baisse des adoptions : seulement neuf en juillet 2010 contre vingt-quatre pour le même mois l'année dernière.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Jardin aux papillons : les ados ont aménagé le cocon !Publié le mercredi 18 août 2010 à 00H00 - 1
Les treize adolescents étaient fiers de procéder à la présentation des travaux effectués, quinze jours durant, à Roquevignon.

TARA DREYFOUS
Sur le plateau de Roquevignon, 13 jeunes volontaires ont travaillé d'arrache-pied sur le sentier destiné à attirer les papillons dans un an.Ils viennent de Grenoble, de Chambéry, d'Ile-de-France, de Franche-Comté, de Provence-Alpes-Côté d'Azur... Et pendant quinze jours, ils ont travaillé sur le chantier du Jardin aux papillons, à Roquevignon. Le projet, cher au coeur de Planète sciences Méditerranée, prend forme, peu à peu, sur le plateau grassois. L'été prochain, il devrait accueillir une multitude d'espèces de lépidoptères dans un cadre spécifiquement adapté. Inauguration en fanfare, par les jeunes, d'un sentier déjà bien avancé...

«Qui donne le détail de ce que l'on a fabriqué ici ? » interroge Johanna, en stage de direction du chantier de jeunes. Juliette est volontaire. Elle présente une structure en bois aménagée de manière à récupérer les eaux de pluie et à stocker le compost issu des nouvelles toilettes sèches de l'Espace jardiné. Lucas, adulte référent technique, complète l'exposé.

L'eau permettra d'arroser les plantations du jardin à papillons. Le compost en nourrira la terre.

De la conception à la réalisation

Ils ont tout imaginé ! Les treize adolescents, de 14 à 17 ans ont analysé le projet, dessiné des plans, débattu de différentes solutions... Et en deux semaines de temps, la petite cabane a pris forme. « Comme tous les travaux... ça prend du retard. Alors, à la rentrée, nous nous remettrons au travail...» rassure Solange, responsable des séjours et des chantiers pour Planète science Méditerranée.

« Allez Jean ! Donne les explications ! T'as super bien bossé ! Vas-y ! » Le jeune homme rougit. Pas évident de faire l'exposé des actions menées sur le plateau devant tout le monde. C'est donc Alexandre qui se charge de présenter le futur sentier aux papillons. « Tout a été débroussaillé, des bancs en bois et en pierre ont été construits et on a quelques emplacements pour les espèces végétales indispensables à la venue des papillons. »

Une ambiance... bucolique

Rome ne s'est pas faite en un jour. Là encore, il faudra oeuvrer. Mais le travail abattu par les ados est impressionnant. « C'est trop beau ! C'est trop chouette ! Non, vraiment, ils ont bien géré ! » glisse un des animateurs à sa collègue pendant que le petit groupe chemine sur le sentier.

Ils ont « géré », certes, se sont dépensés et, surtout, ils ont énormément appris. Ils se sont engagés concrètement dans une action environnementale, ont été sensibilisés à la faune et à la flore et ont occupé leurs vacances utilement. Dans quelques mois, les amateurs pourront profiter de cet espace bucolique... Patience.

gbelda@nicematin.fr

Savoir +

Espace Jardiné. Sur le plateau de Roquevignon, à Grasse.

Tél. 04.92.60.78.78.
http://www.nicematin.com/article/grasse/jardin-aux-papillons-les-ados-ont-amenage-le-cocon

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Au milieu des poissons de la réserve du LarvottoPublié le lundi 30 août 2010 à 00H00 - 2
Pas farouches, les poissons vous mangent dans la main et vous accompagnent le temps de la baignade

ERIC DULIERE
LOISIRS : Cette zone protégée regorge d'espèces méditerranéennes à découvrir avec masques et tubas

L'été offre encore de belles journées et pour les nageurs, de belles aventures sous-marines. Sur la plage du Larvotto, à quelques mètres seulement du bord de mer, il suffit d'un masque et d'un tuba pour voir défiler de nombreuses espèces méditerrannéennes.

Les habitués de la plage ne boudent pas leur plaisir de se retouver au milieu des bancs de poissons. Sars, daurades, castagnoles, mulets, oblades, barracudas de toutes tailles, frôlant souvent le kilo. Des poissons bien dans leur milieu qui, loin d'être farouches tournoient autour de leurs visiteurs à la recherche de quelques miettes de pain.

Depuis la digue, Danielle gâte ses petits protégés en lançant des croûtons. Avec un sourire, elle observe toutes les espèces se masser pour le repas. « Je nage sans aucun problème au milieu des poissons... Parfois je vais même leur donner à manger dans l'eau », confie-t-elle.

Au regard des nageurs masqués et des amateurs arpentant la digue, le spectacle des poissons connaît un réel succès estival.
http://www.nicematin.com/article/monaco/au-milieu-des-poissons-de-la-reserve-du-larvotto

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
MARSEILLE, 3 sept 2010 (AFP) - La préfecture des Alpes-de-Haute-Provence a autorisé vendredi un tir de prélèvement d'un loup dans le massif du Parpaillon/Ubaye, où les troupeaux ont "connu cette année une augmentation exceptionnelle des dommages", a-t-elle annoncé dans un communiqué.> La cohabitation entre loups et bergers est houleuse depuis le retour en France en 1992 du "canis lupus", qui avait été éradiqué dans les années 1930.

Depuis le début de l'année, 362 brebis ont été tuées dans les Alpes-de-Haute-Provence au cours de 108 attaques, contre 253 bêtes tuées et 51 agressions à la même date l'an passé, selon la direction des Territoires.

L'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) recense 220 loups sur l'ensemble du territoire, essentiellement sur l'arc alpin, mais aussi dans le Massif central et les Pyrénées. Cette espèce protégée progresse de 15 à 20% par an et étend sa zone de présence vers la moyenne montagne, selon l'ONCFS.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
KIEV, 6 sept 2010 (AFP) - Trois manchots et un chimpanzé sont morts dans le zoo de Kiev ces derniers jours, a indiqué cet établissement, après une série de décès suspects de mammifères> Le chimpanzé Jonny, offert par un zoo européen il y a peu de temps, est décédé le 1er septembre "à la suite d'une insuffisance rénale chronique" accompagnée d'une "dystrophie congénitale du coeur, du foie et des reins", a indiqué le zoo de Kiev dans un communiqué

Depuis fin avril, plusieurs mammifères dont l'unique éléphant, une chamelle blanche et une femelle de bison sont morts dans le zoo de la capitale ukrainienne

L'administration de l'établissement avait alors évoqué un possible empoisonnement mettant en cause d'anciens collaborateurs. Des critiques ont pour leur part accusé la direction du zoo de mauvais traitement des animaux

Le parquet de Kiev a déclaré début septembre, à l'issue d'une enquête menée dans le zoo, qu'il n'y trouvait rien de suspect, sans cependant expliquer les raisons des décès, a indiqué la télévision ukrainienne 1+1 sur son site.


Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Sylvie et Dominique sont deux militants de l'association "Pour une éthique dans le traitement des animaux" (Peta).


La scène se passe dans une rue piétonne et devant le magasin Alby foie gras. La femme est enfermée dans une sorte de cage grillagée. L’homme verse une bouteille en plastique remplie de maïs dans un entonnoir dont le bout est dans la bouche de la dame, rapporte La Dépêche.

Mais pourquoi font ils ça ? C’est pour dénoncer le gavage des animaux et les cages étroites dans lesquelles ils ne peuvent pas bouger, précise ce journal.

La responsable de Peta ne nie pas que le foie gras "soit un mets délicieux", mais elle veut faire remarquer les souffrances qu’on inflige aux canards et aux oies pour sa production. Pour elle, le gavage, c’est comme si on faisait avaler 15 kg de spaghettis à un homme !

La gérante de la boutique qui appartient à une société qui transforme près de 3000 canards par semaine, ne voit là "qu’une mise en scène burlesque et ridicule menée par des idéalistes manipulés par les Anglo-saxons qui ne veulent pas de nos produits".

Elle trouve aussi "que c’est désolant".

Sûr que les Français (qui en ont les moyens) ne semblent pas prêts à renoncer au foie gras !

Et, vous, mangez vous du foie gras ? Etes-vous contre ?

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
BUDAPEST, 10 sept 2010 (AFP) - Un tribunal hongrois a condamné vendredi à dix ans de prison le meurtrier de l'ancien mannequin britannique Eva Rhodes, disparue en septembre 2008 et dont le corps avait été retrouvé en avril 2009.> Ensuite, il s'était emparé de quelques milliers de forints (quelques dizaines d'euros), de l'ordinateur portable de la victime et, pour tenter de faire disparaître les traces du crime, avait brûlé le corps de l'ancien mannequin.

Le procureur, jugeant trop clément le verdict prononcé par le tribunal de Györ-Moson Sopron, a fait appel.

Eva Rhodes, 65 ans, avait quitté la Hongrie au moment de la répression par les troupes soviétiques de l'insurrection de 1956 et émigré en Grande-Bretagne. Elle y avait obtenu la nationalité britannique et travaillé comme mannequin et actrice, jouant notamment dans le film "Viol" de John Lennon avec son épouse Yoko Ono.

Elle était retournée en Hongrie à la fin des années 1990 et y avait créé son refuge pour animaux.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Devon, Angleterre - La BBC a décerné son prix de l'amateur-scientifique de l'année à une grand-père ayant effectué d'importantes recherches concernant le système de navigation des escargots.

A 69 ans, Ruth Brooks est passionnée par les escargots et a constitué ce que l'AFP appelle un véritable campus universitaire destiné aux gastéropodes, et cela dans son jardin. Elle a ainsi étudié précisément le système de navigation des escargots, s'étonnant que peu de recherches ont été faites sur le sujet auparavant. Pour son travail, Mme Brooks a reçu le prix d'amateur scientifique de l'année par la BBC et a mis en évidence qu'après 30 mètres de parcours, les escargots qu'elle étudiait semblaient "perdus".
Donnez votre avis, découvrez les photos et toute l'actualité insolite sur Zigonet

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Texas, États-Unis - Un retraité est toujours hospitalisé deux semaines après s'être fait attaqué par un essaim d'abeilles.

Lamar Lacaze, 65 ans, a été hospitalisé après s'être fait piquer par 1200 abeilles. Le retraité aurait dérangé un essaim alors qu'il conduisait son tracteur. Les abeilles africaines s'en sont alors pris à l'homme qui a réussi à appeler son fils à l'aide. " Je devais les recracher toutes parce que je n'arrivais pas à respirer, elles entraient dans mon nez et dans mes oreilles", a raconté l'homme à l'Associated Press après avoir été conduit à l'hôpital. Les médecins ont alors dû retirer 12000 dards d'abeilles afin de sauver la vie du retraité. Bien que l'attaque ait eu lieu le 31 août, M. Lacaze est toujours hospitalisé mais ses jours ne sont plus en danger. Les abeilles attaquent généralement à la tête car elles sont attirées par la respiration animale. D'autres choses comme les cheveux, les couleurs sombres, l'herbe fraichement tondue ou le parfum peuvent également les attirer. L'événement en vidéo :
Donnez votre avis, découvrez les photos et toute l'actualité insolite sur Zigonet

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
BREST, 24 sept 2010 (AFP) - Les organisateurs de tournois de lutte bretonne (gouren) vont pouvoir continuer de récompenser les vainqueurs avec un bélier vivant (maout) depuis que l'amendement "gouren" à la loi de modernisation de l'agriculture (LMA) les y autorise.> Il précise que désormais, la remise de l'animal se fera avec l'autorisation préalable du préfet

Mais cette pratique, ininterrompue depuis le 18e selon la Fédération de gouren, a bien failli disparaître.

La tradition du maout avait été contestée devant le juge de proximité de Brest en février par l'association parisienne de défense des animaux Stéphane Lamart.

Celle-ci demandait l'application de l'ordonnance 2000 L 214-4 du Code rural qui interdit l'attribution en lot ou en prime de tout animal vivant en dehors des animaux d'élevage lors des fêtes, foires et concours

Elle avait été déboutée quelques semaines plus tard pour un problème de procédure. Mais la relaxe de la Fédération de Gouren n'avait pas écarté la menace d'une nouvelle action de l'association de défense des animaux pour obtenir gain de cause.

Pour éviter cela, deux députés UMP du Finistère Christian Ménard et des Côtes-d'Armor Marc Le Fur ont fait voter en juillet un amendement "gouren" au code rural, élargissant aux "manifestations sportives, folkloriques et locales traditionnelles" l'autorisation de remettre un animal vivant.

A l'issue des joutes, le vainqueur du tournoi reçoit en récompense un maout, symbole de force, qu'il porte sur les épaules en faisant le tour de la lice

Le gouren, importé de Grande Bretagne au 4e siècle, compte aujourd'hui quelque 1.400 licenciés. Sa fédération est affiliée à la Fédération Française de Lutte, agréée Jeunesse et Sport, et une option gouren au Bac existe depuis 1998.


Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
JERUSALEM, 27 sept 2010 (AFP) - Des soldats israéliens ont trouvé un moyen imparable de prévenir les fausses alertes dans leurs positions à la frontière nord d'Israël: répandre des crottes de lion pour éloigner les animaux qui s'approchent de la clôture électronique, rapporte lundi le Yediot Aharonot.> Les militaires se sont rendus au zoo de Tel-Aviv et en sont revenus avec des sacs remplis d'excréments de lion.

"On ne pouvait plus supporter ces animaux, surtout les sangliers qui déclenchaient le branle-bas de combat nuit et jour", a confié au quotidien un des militaires réservistes.

"Ces animaux nous rendent fous, surtout la nuit", s'est-il plaint.

La méthode pour dissuader le gibier intrus, déjà utilisée par les agriculteurs en Israël, est apparemment efficace, bien que les lions aient disparu depuis belle lurette dans la région.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
http://www.midilibre.com/articles/2010/09/20/NIMES-Jets-d-39-oeufs-sur-les-anti-corrida-1390743.php5

Édition du lundi 20 septembre 2010


Nimes. Jets d'oeufs sur les anti-corrida


Les membres de l'Alliance anti-corrida, qui tenaient un stand depuis samedi sur la place de l'Horloge, ont été hier la cible de jets d'oeufs et de farine lancés par des aficionados pas très malins. « On a été attaqué par derrière par plusieurs invididus. On a reçu des oeufs et de la farine. Auparavant, des personnes avaient fait mine de vouloir signer notre pétition pour interdire la corrida avant de mettre des rayures sur notre feuille et de nous dire qu'ils étaient pour la corrida », déploraient les partisans de l'Alliance anti-corrida. « On dérange en ce moment » notaient-ils en faisant référence à la manifestation des anti de samedi dernier à Nîmes.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
PARIS, 30 sept 2010 (AFP) - Le réseau "Osez le féminisme !" s'est insurgé jeudi contre une campagne de la Fondation Brigitte Bardot assimilant, selon lui, avortement et massacre des dauphins.> L'image, montrant une femme enceinte en gros plan avec la photo d'un dauphin éventré imprimée sur son tee-shirt, a été publiée dans Le Monde daté du 30 septembre.

"Osez le féminisme ! dénonce l'association de toutes ces images (foetus mort, femme enceinte, mot +massacre+), qui fait dangereusement écho aux campagnes qui prolifèrent sur internet dénonçant l'avortement comme une +tuerie+ ou un +génocide+", poursuit-il.

Jugeant cette image "inadmissible, particulièrement dans un contexte de remise en cause du droit à l'avortement par les fermetures nombreuses de centres IVG", "Osez le féminisme!" a écrit aux dirigeants du Monde "pour demander une mise au point de sa part dans leur prochaine édition".

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
PARIS, 1 oct 2010 (AFP) - La Fondation Brigitte Bardot s'est défendue vendredi d'avoir voulu assimiler massacre de dauphins et avortement dans sa dernière campagne, comme l'en a accusé le réseau "Osez le féminisme !".> "Osez le féminisme !" s'est insurgé jeudi contre "l'association de toutes ces images (foetus mort, femme enceinte, mot +massacre+), qui fait dangereusement écho aux campagnes qui prolifèrent sur internet dénonçant l'avortement comme une +tuerie+ ou un +génocide+".

"Le réseau +Osez le féminisme!+ se ridiculise en amalgamant les massacres de dauphins perpétrés aux îles Féroé, que nous dénonçons, avec les attaques de groupuscules anti IVG", a réagi vendredi la Fondation Brigitte Bardot dans un communiqué.

"Brigitte Bardot, sans être une féministe, a toujours défendu le droit des femmes à disposer de leur corps", ajoute la Fondation.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un prêtre bénit une foule d'animaux dans une église à NicePublié le lundi 04 octobre 2010 à 09H04
Autour du père Florini, Stella et ses trois yorks, ainsi que le cheval Sultan venu de Levins avec Didier et le poney Apache.

http://www.nicematin.com/article/societe/un-pretre-benit-une-foule-danimaux-dans-une-eglise-a-nice

Dans un concert d’aboiements – les chats se sont faits tout petits, le père Florini a béni une foule d’animaux, ce dimanche à l’église Saint-Pierre d’Arène
Une église bondée. Remplie d’animaux, des gros et des petits. On y a vu des petits matous, des gros toutous mais également deux rats, un furet, un perroquet et même un cheval et un poney ! C’était hier après-midi, rue de France où maîtres et maîtresses avaient rendez-vous pour faire bénir leurs protégés.

Dans un concert d’aboiements les plus variés, l’homélie du père Gil Florini n’a pas manqué de mordant. Impossible de ronronner devant pareille assemblée, a estimé le curé en souhaitant la bienvenue à « tous ces amis à deux pattes et à quatre pattes. » Avant d’ajouter, observateur : « J’en ai même vu, dans une cage, qui n’avait pas de pattes du tout ! »
*
Dans la nef, Stella et ses trois yorkshires Wendy, Eron et Bonito. Irène et sa petite Perla, mélange de spitz et de chihuahua. Camélia et Yamong, son perroquet du Gabon. Ou encore Jeanne Augier, propriétaire du Negresco, accompagnée de ses pensionnaires Lily et Lilou, une york et un sharpei.

« Les difficultés arrivent mais nous sommes encore des nantis. Sachons partager avec nos frères humains et animaux », a suggéré le prêtre en conclusion. Au fait, pourquoi cette tradition ? « Parce que l’Eglise l’a toujours fait. Et parce que c’est important pour une très grande partie de nos fidèles. Quand la vie vous laisse seul(e), un petit animal vient souvent prendre une place. Qu’il soit, ici aussi, chez lui. »

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Adorables et originaux, ces petits bonnets en crochet pour chat et chien vont pouvoir tenir chaud aux oreilles de votre animal tout l'hiver.

C'est une bonne idée à piquer ou à offrir à nos amis à quatre pattes. Pour affronter l'hiver, des bonnets en crochet plutôt insolites ont été dessinés et confectionnés. En effet, ces derniers représentent pèle-mêle une grenouille, des cornes de diablotin, un monstre ou encore un chapeau d'anniversaire.Quelle que soit l'envie, il y en a pour tous les goûts et toutes les occasions, le tout étant de savoir si votre animal acceptera ce drôle de cadeau. En effet, votre animal de compagnie, qu'il soit chien ou chat, n'acceptera pas toujours d'être à la pointe de la mode animale. Si toutefois ces bonnets lui plaisent, ils sont disponibles sur le site Etsy.com, qui permet la vente de produits faits-main

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
PARIS, 4 oct 2010 (AFP) - "Les nouveaux animaux de compagnie" de Karim Daoues et Diane Semaska livre une intéressante galerie de portraits de reptiles et de nombreux conseils à tous ceux que les mygales, crapauds, lézards ou serpents fascinent et qui veulent les adopter comme compagnons.> A 19 ans, ce passionné de Nac (nouveaux animaux de compagnie) a créé en 1992 le premier magasin en France spécialisé dans la vente de reptiles. Il a voyagé à travers le monde afin de conseiller les éleveurs et les exportateurs locaux.

Dans un style léger et pédagogique, ce livre de 192 pages de textes et de photographies de Michel Gunther, ornithologue et naturaliste, révèle les particularités écologiques de chaque animal dans son milieu naturel et en captivité.

Les auteurs, qui s'interrogent sur la fascination pour les animaux sauvages portant des écailles ou une carapace, donnent aussi de nombreuses recommandations sur certaines de ces petites bêtes qui ne sont pas sans danger pour l'homme.

Les lecteurs apprendront notamment que l'iguane vert "qui paraît sympathique et inoffensif, peut atteindre jusqu'à deux mètres et s'avère difficilement maîtrisable en cas d'attaque".

Parmi les grenouilles, les "Lepidobatrachus laevis", bien que mordeuses, sont faciles à élever en terrarium tandis que les "Phyllobates terribilis", d'un bronze doré vif, produisent un venin si toxique qu'elles ne possèdent aucun prédateur et ne craignent pas l'homme.

Le boa constrictor est souvent agressif quand il est arraché à son milieu naturel et plutôt calme lorsqu'il est né en captivité.

Quant à la salamandre tigrée, originaire du sud des Etats-Unis, à la morphologie boudinée et pataude, elle est très appréciée des terrariophiles tout comme la tortue émyde chinoise à cou rouge qui se reproduit bien en terrarium.

("Les nouveaux animaux de compagnie - Diana Semaska et karim Daoues - éditions Hugo et Cie - 192 p. - 24,95 euros - en librairie le 7 octobre)

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Ouverture de la chasse : la Fondation appelle à la vigilance






A l’heure où les campagnes françaises retentissent des coups de fusils des amateurs cynégétiques, la Fondation 30 Millions d’Amis met en garde contre les dangers que représente cette pratique pour les usagers de la nature. Petits rappels utiles à l’attention des non-chasseurs.

Oiseaux et autres animaux dits de gibier n’ont qu’à bien se tenir : les amateurs de chasse commencent leur nouvelle saison. Chemins, forêts et campagnes vont pendant quelques mois être leur lieu de prédilection, au péril des promeneurs, à pied ou à vélo. Une cohabitation difficile que la loi n’aide guère. Si la pratique de la chasse est tout à fait légale, chacun dispose de droits face à elle.

Depuis 2000, tout non chasseur a désormais le droit de refuser la chasse chez lui [loi du 28/06/00, NDLR]. Nelly Boutinot, vice-présidente de la ligue ROC pour la préservation de la faune sauvage et la défense des non-chasseurs, apporte cependant une précision importante : « Les ACCA [Associations Communales et Intercommunales de Chasse Agréées, NDLR] régissent certains territoires*. Les chasseurs de l'ACCA ne peuvent exercer leur pratique qu'au-delà de 150 mètres des habitations. Sur les zones qu’elles ne réglementent pas, on peut apposer un panneau avec la mention d’interdiction. »

Et la complexité ne s’arrête pas là : « 5 ans sont nécessaires pour que le Préfet accorde à un particulier le droit de faire cesser la chasse sur sa propriété », ajoute Nelly Boutinot qui elle rappelle que depuis 1982, aucun périmètre de sécurité n’est obligatoire, et que seuls les tirs en direction des habitations sont interdits. Une réglementation qui n’est pas vraiment en faveur des opposants à la chasse, qui peuvent néanmoins interdire cette pratique sur leur propriété !

Pour aller dans le bon sens, le ministère de l’Ecologie a décidé de réunir autour d’une Table Ronde fédérations de chasseurs et associations de protection animale. « C’est une bonne initiative, reconnaît Nelly Boutinot. Cela peut améliorer à la fois les rapports entre chasseurs et non chasseurs, et le respect des textes lorsque ceux-ci sont adoptés par consensus par les deux parties. » Au ministère, une jeune femme du service communication confirme qu’ « il s’agit d’identifier les problèmes et de trouver des terrains d’entente, sans forcément passer par la voie réglementaire ». Le but étant de mieux partager l’espace, mais aussi le temps, sans forcément toucher aux lois existantes. « Il faut réserver des créneaux aux non-chasseurs, poursuit Mme Boutinot. Des moments dans le week-end où chacun se sent en sécurité sans crainte des coups de fusil. »

Dans l’attente de nouvelles mesures ou d’améliorations, la Fondation 30 Millions d’Amis rappelle qu’en 2009, 174 accidents, dont près d’une vingtaine mortels, ont ponctué la saison de la chasse. Qu’ils concernent chasseurs ou non chasseurs, ces chiffres** sont révélateurs des problèmes de sécurité que pose la chasse, au-delà des simples nuisances.

Dans une interview accordée au quotidien transalpin Corriere della Sera (19/09/10), Michela Brambilla, ministre du Tourisme en Italie, a indiqué vouloir augmenter le périmètre de sécurité aux abords des propriétés privées fixée aujourd’hui à 100 mètres dans la législation italienne. Par ailleurs, une pétition intitulée « Manifeste pour la conscience des animaux » a enfin été lancée par cette grande amoureuse des animaux et a déjà recueilli plus de 100 000 signatures. Cette initiative montrera-t-elle l’exemple en France, où les non chasseurs sont en nombre et où 30 millions d’animaux sont victimes de la chasse ?

Source : 30 millions d'amis

04/10/2010

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Grande-Bretagne - Une femme s'est rendue dans un supermarché Asda, afin de déposer une réclamation après avoir trouvé une "grenouille dans une bouteille de vin".

Isolde Beesley, est une cliente fidèle du supermarché Asda, situé à Liecestershire, en Grande-Bretagne. Récemment, elle ouvre une bouteille de vin blanc espagnol, achetée dans l'enseigne, pour une réunion de famille. Seulement, au moment de servir un verre durant le repas, une grenouille tombe de la bouteille ! Après avoir tout de même bu quelques verres, elle se plaint au supermarché suite à des maux d'estomac.Interrogée par le magazine Decanter, Isolde Beesley explique avoir aujourd'hui engagé un avocat afin d'attaquer la chaîne de supermarché où elle a acheté la bouteille en décembre dernier, pour 3,58 livres (environ 4,10 euros). De son côté, le porte-parole d'Asda explique n'avoir trouvé aucune anomalie dans le processus de mise en bouteille et chacun se demande comment Isolde Beesley n'a pu voir une grenouille flotter dans sa bouteille.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Dans l'état du Massachusets, la communauté urbaine a trouvé un drôle de moyen écologique afin d'éclairer son parc canin. En effet celui-ci propose un éclairage à l'aide de crottes de chien.


Dorénavant lorsque les citoyens de la ville de Cambridge aux États-Unis promèneront leurs chiens dans ce parc dédié à leurs amis à quatre pattes, ils contribueront à éclairer la ville. D'ici peu de temps, ils seront en effet invités à venir jeter les déjections de leurs animaux dans une benne spéciale capable de retraiter les déchets.Ces mêmes déjections serviront ensuite à alimenter en électricité l'unique lampadaire du parc. Recyclées à l'aide de bactéries contenues dans la benne, elles créent ainsi du méthane après décomposition organique, et permettent d'alimenter la nuit l'éclairage du lampadaire à proximité. Une idée écologique astucieuse et peu onéreuse qui, si elle est couronnée de succès, pourrait être rapidement étendue à d'autres villes

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Des biologistes australiens affirment que des espèces supposément extinctes sont souvent redécouvertes, rapporte Discovery News. Dans une étude de l'université de Queensland, deux scientifiques ont examiné 187 espèces de mammifères que l'on pensait extinctes depuis le début du XVIe siècle et se sont aperçus que 67 espèces, soit plus d'un tiers d'entre elles, avaient été redécouvertes.

Les mammifères dont les habitats ont été partiellement détruits sont les plus à même d'être retrouvés, tandis que ceux qui ont été tués par des prédateurs, la maladie ou la chasse sont les moins à même de survivre. Pour les chercheurs, connaître les facteurs qui causent l'extinction d'une espèce est crucial pour évaluer les possibilités de sauver des espèces en danger:

«Ça ne sert à rien de mettre beaucoup d'efforts dans de gros et charismatiques animaux qu'il est peu probable de trouver. On pourrait avoir un bien meilleur résultat de conservation en concentrant davantage d'efforts sur le genre de chose qui peut être trouvée.»

En concentrant par exemple les efforts sur les espèces qui ont dépeuplé leurs habitats naturels et sont peut-être «quelque part ailleurs en train de persister. Ils ne vont pas tenir pour toujours si on ne les trouve pas et qu'on ne les protège pas». Par exemple, explique le Australian Geographic, l'indienne civette de Malabar a souffert en perdant près de la totalité de son habitat, la forêt côtière, en 1929, mais on l'a redécouverte en 1987 dans une plantation de noix de cajou.

Les scientifiques donnent aussi l'exemple du wallaby bridé à queue cornée: auparavant très répandu dans l'Etat du Queensland, on pensait l'espèce éteinte depuis 1930. En 1973, un employé du coin était en train de barricader une ferme avant qu'elle soit détruite quand il a reconnu un wallaby. Il a appelé les services en charge des parcs nationaux qui ont acheté le terrain. Le wallaby a depuis été réintroduit dans de nouveaux endroits où il s'épanouit.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Un touriste a filmé le moment où un lion a attaqué son dresseur en pleine représentation, devant une foule comptant des centaines de personnes.


A Lviv, en Ukraine, Oleksie Pinko, un dresseur de lion s'est fait attaquer par une de ses bêtes en pleine représentation. Un second a ensuite rejoint la mêlée et a réussi à s'emparer du bras gauche du dresseur, sous les yeux d'enfants qui ont poussé des cris de terreur devant la scène. Les employés du cirque tentaient de Pour tenter de sauver Pinko, les employés du crique se sont servis de jets d'eaux à haute pression, tout en lançant en lançant différents objets sur les lions.Écartés dans un premier temps, les deux fauves se sont jetés néanmoins une nouvelle fois sur le dresseur quelques secondes plus tard. Après avoir enfin réussi à s'échapper, ce dernier a été emmené d'urgence à l'hôpital avec de multiples blessures au bras gauche. Néanmoins, ses jours ne sont pas en danger. Reste à savoir désormais s'il osera retourner dans la cage auprès de ses lions après cet incident...

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Menu sans viande à la cantine : la colère des agriculteurs
Par Augustin Scalbert | Rue89 | 28/04/2010 | 11H16

http://www.rue89.com/planete89/2010/04/28/pas-de-viande-a-la-cantine-une-prise-dotage-pour-les-eleveurs-149257?page=14


« Dans ce menu, il n'y a pas de viande car l'élevage peut abîmer notre planète » : en proposant en mars un repas végétarien aux enfants de ses cantines scolaires, la ville de Saint-Nazaire s'est attirée les foudres des syndicats d'agriculteurs FNSEA et Jeunes Agriculteurs.

Au menu du jeudi 25 mars, « céleri au pomelos, couscous aux céréales gourmandes, yaourt issu de l'agriculture biologique, abricots secs, pain issu de l'agriculture biologique ». Et pas de viande, donc, pour plusieurs raisons :

« Par exemple, les vaches ont besoin de prés donc on détruit des forêts. Mais les arbres enlèvent la pollution de l'air. »


Voilà pour la partie destinée aux enfants. Pour les parents, le même prospectus indiquait ceci :

« Une importante consommation de viande a des conséquences sur notre environnement :

Emission de gaz à effet de serre par les élevages (plus élevés que ceux des transports)
Déforestation pour créer des pâturages
Participation à la pollution de l'eau et à la dégénération des récifs coraliens
Contribution à la survenue des pluies acides. »
Suivait un paragraphe sur l'équilibre alimentaire. Les sections de Loire-Atlantique du syndicat FNSEA et de sa version junior, les Jeunes Agriculteurs, n'ont pas du tout goûté l'opération.

« Des thèses véhiculées par certains extrémistes militants »

Dans une « lettre ouverte à tous les élus communaux et départementaux » envoyée un mois plus tard, soit le 27 avril, elles écrivent :

« Nous sommes profondément choqués d'un tel procédé qui prend littéralement en otage des jeunes enfants, et leurs parents, en diffusant des thèses fallacieuses et mensongères par un canal officiel (la restauration municipale).

Nous comprenons, et acceptons, que des individus fassent le choix d'être végétariens pour les raisons qui leur sont propres ; il s'agit de l'exercice de la liberté individuelle. […] Qu'une municipalité, à travers son service de restauration, fasse de l'éducation à la nutrition et à la citoyenneté, est parfaitement normal.

Ce tract répand auprès de dizaines de milliers d'enfants, sous prétexte d'une bonne intention (“Sauver la planète”), des mensonges et des thèses véhiculées par certains extrémistes militants. Il s'agit ni plus ni moins d'une manipulation détestable.

Ceci est très grave, bien au-delà de la nuisance que cela peut provoquer pour la filière élevage de la région. »

Puis les agriculteurs (la lettre a sept signataires, présidents des sections concernant les différents animaux producteurs de viande) démontent les arguments du prospectus un par un. « Pas de déforestation en France pour créer des pâturages » ou, à propos de la part de l'élevage dans l'émission de gaz à effet de serre, « 13% contre 23% pour les transports ».

Avant de demander une « communication objective », les agriculteurs concluent sur une pointe d'ironie :

« Dans le menu du tract, il est proposé un yaourt… issu à priori d'une vache ! […] 42% des effectifs en viande bovine française sont issus d'élevages laitiers, élevages qui ont permis de mettre dans ce menu des yaourts ! »

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
< BRUXELLES, 15 oct 2010 (AFP) - La Commission européenne va proposer mardi un moratoire pour interdire pendant 5 ans le clonage animal destiné à l'alimentation humaine en Europe et demander une traçabilité des embryons et du sperme importés, a-t-on appris vendredi de source communautaire.> Elle vise à apaiser les inquiétudes provoquées durant l'été par la vente au Royaume-Uni de viande d'animaux clonés, mais ne va pas aussi loin que ce que souhaitait le Parlement européen: il avait demandé en juillet "l'interdiction, à titre préventif, de toute commercialisation de viande ou de lait issus d'animaux clonés ou de leur descendance".

"La viande de clone ne se mange pas" actuellement, a indiqué une source européenne, "un animal cloné coûte entre 15 et 20.000 dollars, il sert pour la recherche et n'a pas vocation a être découpé en steaks". Il n'en va pas de même des embryons et de la semence des animaux clonés.

La majorité des vaches laitières de l'UE sont issues de l'insémination artificielle, mais 98% des semences utilisées proviennent de l'UE. 3% seulement sont importées, selon la même source.

L'Agence européenne pour la sécurité alimentaire (AESA), basée à Parme en Italie, considère que la viande ou le lait des descendants des animaux crées par clonage ne représente aucun danger pour la santé humaine, plaide la Commission.

La commercialisation de la viande et du lait des animaux clonés de la première génération est soumise à une autorisation préalable dans l'UE.

Le clonage pour l'alimentation humaine est une technique quasiment inexistante dans l'Union européenne. En revanche, cette technique est très utilisée aux Etats-Unis, au Canada et en Argentine.

L'Union européenne ne peut pas interdire les importations, car elle contreviendrait alors aux règles de l'Organisation mondiale du commerce. La proposition de la Commission préconise une traçabilité des importations, notamment des embryons et de semences d'animaux clonés.


Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
< DENPASAR (Indonésie), 15 oct 2010 (AFP) - L'épidémie de rage qui sévit sur l'île indonésienne de Bali a fait 100 morts depuis 2008 alors qu'une vaste campagne de vaccination des chiens a été lancée, ont annoncé vendredi les autorités.> "60 d'entre eux sont décédés dans notre hôpital", où opèrent des équipes spécialisées, a-t-il ajouté.

Les autorités, critiquées pour leurs maigres résultats dans la lutte contre l'épidémie, ont lancé fin septembre une campagne pour vacciner près de 400.000 chiens.

Elles avaient auparavant tué des dizaines de milliers de chiens, mais sans parvenir à freiner l'épidémie, qui s'est propagée à de nouvelles régions depuis le début de l'année.

Bali compterait plus de 400.000 chiens, dont environ 30% sont errants.

Contrairement au reste de l'Indonésie musulmane, "le meilleur ami de l'homme" n'est pas considéré comme un animal impur sur l'île de tradition hindouiste.

Les autorités craignent qu'une persistance de l'épidémie ne fasse fuir les touristes alors que "l'île des dieux" a élargi sa clientèle aux Chinois ou aux Russes ces dernières années.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Monde - Une étude allemande vient de démontrer que les animaux de compagnie font comme nous l'expérience d'une longévité croissante.

La chambre syndicale des fabricants d'aliments préparés pour animaux familiers, la FACCO allemande, a mené en 2005 une étude sur les animaux domestiques. Selon elle, depuis 1980, l'espérance de vie de nos compagnons à quatre pattes s'est allongée de manière continue. Ainsi, les chats vivaient en moyenne 6,2 ans en 1982, 9,2 ans en 1996 et 11,1 ans en 2005. Durant cette même période, les chiens ont augmenté leur espérance de vie de plus de 2 ans, cette dernière passant de 9,5 à 11,9 ans.

Pour expliquer cette évolution, les chercheurs mettent en avant les meilleurs traitements prodigués aux animaux de compagnie : l'alimentation spécialisée, les médicaments et les soins adaptés aux pathologies lourdes. Les propriétaires d'animaux sont désormais nombreux à faire passer scanner ou IRM à leur compagnon afin de détecter précocement les maladies et pouvoir soigner celles-ci.

Les chercheurs précisent que si l'étude est allemande, les mêmes effets doivent être observés en France, où le comportement vis-à-vis des animaux de compagnie est similaire.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Fréjus, seule ville à organiser des corridas dans l'extrême sud-est de l'Hexagone, vient de se rendre sous la pression de l'Alliance Anticorrida.

Depuis 2006, date de la fermeture des arènes pour restauration, l’Alliance Anticorrida a pallié l'absence de structure locale, n'ayant de cesse d'informer les conseillers municipaux, le sénateur-maire Élie Brun et les conseillers généraux varois, en faisant notamment valoir qu'aux termes d'un sondage Ipsos de 2001, 62 % des Fréjussiens étaient contre l’organisation de corridas, et que 78 % d’entre eux désapprouvaient le financement des corridas par les pouvoirs publics.

Des centaines de messages des adhérents de l'association sont parvenus à ces élus pour les inciter à reconsidérer la relance des corridas dans leur ville.

En effet, le 17 novembre 2009, Claude Larguez, président de la commission taurine extra-municipale avait remercié le maire pour son « soutien sans faille dans ce combat pour la défense du patrimoine […] et sa volonté affirmée de défendre, au nom de la tradition, l’avenir du temple romain ».

L'Alliance Anticorrida a fini par obtenir une réponse du maire en avril 2010, précisant, contrairement à ses déclarations précédentes, ne pas avoir encore pris de décision sur la réimplantation de la tauromachie dans sa commune.

Le 3 octobre dernier, Elie Brun a finalement confié, devant témoins, sa décision de ne pas reconduire les corridas à Fréjus. Les arènes réouvriront bien en 2011, mais cette fois, uniquement pour donner des spectacles culturels dignes de ce nom.

L’Alliance Anticorrida, par la voix de Claire Starozinski, sa fondatrice, se réjouit de l'espoir ainsi soulevé par cette décision qui signifie que « la corrida perd un peu plus de terrain chaque jour et que la fin inéluctable de la tauromachie en France est annoncée. »


Le document accréditant la décision du maire ici : http://www.allianceanticorrida.fr/Docs_atelecharger/frejus-tour-de-mare.jpg

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
La Fondation lance un SOS en faveur de 70 nacs






Furets, lapins et rongeurs du refuge Free en Seine-et-Marne seront en péril si leur structure d’accueil ne retrouve pas rapidement un local. La Fondation 30 Millions d’Amis a décidé de relayer son appel.

Le refuge Free – pour Furets, rongeurs, etc., etc. – situé à Jouy-sur-Morin (77), accueille chaque année entre 150 et 200 nacs (Nouveaux animaux de compagnie, NDLR) abandonnés. Pourtant, ses jours sont comptés : il doit impérativement retrouver de nouveaux locaux. Une véritable situation de crise pour toute l’équipe et la directrice, qui a rapidement contacté la Fondation 30 Millions d’Amis.

Actuellement dans un local de 80 m² entouré d’un terrain de 500 m², le refuge doit avoir déménagé avant l’automne 2011 : « Nous sommes à la recherche d’un bâtiment au moins aussi grand, mais également doté d’un terrain afin d’y construire des enclos », précise Cécile David, directrice du refuge.

Si, au cours de l’année, 3 /4 des animaux abandonnés trouvent une nouvelle famille, d’autres ne peuvent être proposés à l’adoption et doivent être conservés par l’association « car certains, trop malades nécessitent des soins lourds et spécifiques. D’autres sont mal socialisés. Dans ces deux cas, il est préférable de les garder où l’on dispose de structures adaptées pour leur tranquillité et leur bien-être » explique Cécile David.

Victimes de méconnaissance et d’un effet « coup de cœur » lors de leur acquisition, les nacs, très en vogue depuis quelques années, souffrent de l’abandon au même titre que les chiens et les chats. En 2008, la France en comptait 3,2 millions*. Un chiffre qui augmenterait de 10% chaque année ! Les refuges classiques recueillant chiens et chats , sont souvent surchargés et ne possèdent pas les installations nécessaires à l'accueil de nacs, ni de bénévoles disposant des connaissances relatives à certaines espèces.

La Fondation 30 Millions d’Amis, qui soutient le refuge Free depuis 2008 en lui fournissant notamment de la nourriture, lance un appel à toute personne ou structure qui pourrait aider cette association à investir de nouveaux locaux et poursuivre ainsi son action. Les nouveaux locaux devront être situés en Seine-et-Marne afin que les nombreux bénévoles puissent continuer à s’y rendre chaque jour, idéalement près de Coulommiers (77).

Le réseau Entraide de 30millionsdamis.fr est également à disposition des internautes : cette plateforme permet à chacun d’entrer en relation – dans toutes les régions de France – avec des particuliers, possesseurs d’animaux, ou non, qui souhaitent "échanger" des gardes ou des bons plans et trouver des solutions de transport ou d’hébergement rapidement.

Source : 30 millions d'amis

15/10/2010

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Cahors. "Avec la crise, de plus en plus d'abandons"



Évelyne Versini hier matin au refuge : « S'occuper de ces bêtes c'est une passion »./Photo DDM J-M. F. Journée portes ouvertes, hier, au Refuge canin lotois, zone d'Englandières. Beaucoup de chiens ont été abandonnés depuis l'été. Nombre de propriétaires n'arriveraient plus à entretenir leurs animaux.

Le Refuge canin lotois, présidé par Anne-Marie Froumenty, campe dans une vieille ferme zone d'Englandières. Le préfabriqué qui abrite les bureaux vient d'être rafraîchi, la caravane utilisée par les salariés pour accueillir les adoptants ou boire un café à la pause est plutôt délabré. Du précaire qui dure en attendant le déménagement sur un autre site. Hier, le Refuge organisait une journée portes ouvertes avec l'espoir de placer quelques-uns de ces chiens perdus. Des gueules cassées par la vie dont s'occupent en plus des permanents, une quinzaine de bénévoles, dont Évelyne Versini, trésorière de l'association.

Combien avez-vous de chiens aujourd'hui au refuge ?

Une bonne quarantaine, c'est beaucoup. Un arrêté préfectoral autorise sur le site 33 chiens, 10 à la fourrière et 23 au refuge.

Avez-vous noté davantage d'abandons ces derniers mois ?

Cet été, beaucoup de chiots ont été abandonnés. Les salariés en retrouvaient le matin devant les grilles du refuge. D'autres avaient été laissés au bord de la route en pleine nature.

Comment expliquez-vous ce phénomène ?

La crise, les difficultés financières auxquelles sont confrontées de plus en plus de familles jouent sûrement un rôle. L'entretien d'un animal a un prix, entre la nourriture et les soins vétérinaires c'est un budget qu'il faut considérer. Des personnes contraintes de quitter leur maison pour un logement plus petit se retrouvent malgré elles dans l'impossibilité de garder leurs chiens.

Que deviennent ces chiens ?

Nous parvenons à en placer beaucoup. Depuis le début de l'année nous en sommes à 93 adoptions, c'est un chiffre stable.

Combien de personnes pour gérer le refuge ?

Nous avons trois salariés en contrat unique d'insertion, des contrats encore aujourd'hui subventionnés à 90 % par l'État ; demain, ils ne le seront plus qu'à 80 %. Et puis il y a les bénévoles.

Comment se passe une adoption ?

Il y a tout un travail d'approche. La personne qui est intéressée par un animal va revenir 2 à 3 fois en amenant ses enfants, peut-être son autre chien pour que l'accueil dans le foyer se passe au mieux. Elle aura encore 15 jours après l'adoption pour voir si tout va bien. Dans 9 cas sur 10, c'est le cas.

Faut-il payer pour adopter un animal ?

L'adoption coûte 150 € pour une femelle car nous les faisons systématiquement stériliser. Pour un mâle, nous demandons 120€. Tous nos chiens sont vaccinés et « pucés », la puce implantée dans le corps porte le numéro d'identification de l'animal.


--------------------------------------------------------------------------------

Subventions et dons
La subvention allouée par le SIPA (syndicat intercommunal de protection animale) a été portée en 2010 à 13 000 €(en hausse de 3 000 € par rapport à l'an dernier). En 2009, l'aide avait intégralement servi à l'achat des croquettes (pour 4 500 €) et à couvrir les dépenses vétérinaires. Le refuge qui ne peut plus compter sur la subvention du conseil général, tourne grâce au montant des adhésions, aux dons, aux adoptions et grâce à des opérations ponctuelles, les « tirelires ».

www.refuge-canin-lotois.fr


--------------------------------------------------------------------------------

Le chiffre : 219
chiens > Activité de la fourrière en 2009. La fourrière intercommunale, qui exerce son activité sur 105 communes, récupère les chiens sur la voie publique. Elle les garde 8 jours avant de les confier au refuge.

« Le refuge c'est une petite entreprise, avec du travail en continu pour tenir nos chiens propres, les soigner, les promener, recevoir les visiteurs, gérer les adoptions ». Évelyne Versini, bénévole.

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
La Commission européenne a proposé mardi d'interdire pendant cinq ans le clonage animal destiné à l'alimentation humaine en Europe pour tenter de sauver les autres aliments de laboratoire. 'Il n'y a aucun besoin du clonage pour l'alimentation en Europe', a soutenu le commissaire à la santé John Dalli, qui souhaitait répondre aux inquiétudes des consommateurs.

Le Commissaire s'est dit préoccupé par la mauvaise image du clonage, car 'il nuit aux nouveaux aliments et nous devons les dissocier si nous ne voulons pas avoir de problèmes', a-t-il expliqué. La proposition vaut également pour les importations de clones et la vente de leur viande ou de leur lait. Mais elle est temporaire et ne va pas aussi loin que le souhaitent les gouvernements et les députés européens.

Pour éviter à l'Europe une guerre commerciale avec les Etats Unis, où le clonage animal est très développé, John Dalli préconise en effet d'autoriser 'sous surveillance' l'importation de la progéniture des clones, de leur viande, de leur sperme et de leurs embryons. 'Le clone est un jumeau. Mais sa descendance est naturelle. Elle ne suscite aucune réserve éthique et aucun problème de bien-être animal, comme le clonage', a-t-il soutenu. La partie n'est pas jouée, a-t-il reconnu.

UN MORATOIRE MOINS SEVÈRE QUE LES ETATS L'AURAIENT SOUHAITÉ

Les Etats souhaitent également interdire l'importation des premiers descendants des clones, ainsi que de leur sperme et de leurs embryons. Les élus européens, eux, réclament 'l'interdiction à titre préventif de toute commercialisation de viande ou de lait issus d'animaux clonés ou de leur descendance'. 'Ce n'est pas proportionné', a jugé M. Dalli, qui se prépare à une dure bataille, similaire à celle pour les autorisations de culture des plantes génétiquement modifiées, autre type d'aliments nouveaux très controversé. Sa proposition ne concerne pas le clonage pour la recherche, ni celui pour la préservation des espèces en danger

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites
Vous venez d'accoucher et vous vous apprêtez à ramener Bébé à la maison. Votre vie va changer... tout comme celle de votre compagnon à quatre pattes. Il n'y a là rien d'insurmontable pourtant. Si vous suivez les conseils du Dr Benjamin Capron, vétérinaire près de Nantes, tout se passera au mieux.

Pour que Médor et Bébé ne soient pas comme chien et chat...

- « Le plus important, c'est de ne jamais laisser l'enfant seul avec l'animal. Lors de la première rencontre, laissez faire et observez. Certains chiens ou chats s'enfuiront, d'autres au contraire voudront renifler le nouveau-né ». Pour des raisons d'hygiène évidentes, vous l'empêcherez seulement de toucher l'enfant;

- La réaction de votre animal dépend beaucoup de son tempérament, mais vous ne devez pas négliger non plus, l'impact de votre propre comportement. « Pour que votre animal ne ressente pas de jalousie particulièrement s'il s'agit d'un chien - et pour qu'il intègre bien votre petit dans son environnement, accordez-lui régulièrement un peu de temps », conseille notre vétérinaire. Des caresses, des jeux ou une promenade « rien que pour lui », une fois par jour ou au moins tous les deux jours ;

- Dans les jours ou les semaines suivant l'arrivée de Bébé à la maison, « ne laissez jamaisvotre enfant sans surveillance. Les risques de morsure, de griffure ou d'étouffement par un chat notamment, doivent être pris en compte », insiste le Dr Capron. Mais ne soyez pas trop inquiets et surtout ne le montrez pas. Car « la plupart du temps, tout se passe très bien ».

Partager ce message


Lien à poster
Partager sur d’autres sites

Créer un compte ou se connecter pour commenter

Vous devez être membre afin de pouvoir déposer un commentaire

Créer un compte

Créez un compte sur notre communauté. C’est facile !

Créer un nouveau compte

Se connecter

Vous avez déjà un compte ? Connectez-vous ici.

Connectez-vous maintenant

×
×
  • Créer...