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L'actualité des animaux de la ferme

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STRASBOURG, 30 juin 2010 (AFP) - Une camionnette transportant des poulets s'est couchée sur l'autoroute A35 mardi aux alentours de 5H00 du matin à hauteur de Rohrwiller (Bas-Rhin) ce qui a provoqué le blocage de l'axe dans le sens nord-sud, a-t-on appris auprès des gendarmes.> Le conducteur de la camionnette n'a pas été blessé. Ses collègues étaient sur place mardi matin pour récupérer les poulets, enfermés dans des caisses, mais la camionnette était toujours couchée sur la chaussée à 9H00.

Une déviation a été mise en place en amont

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Les élevages biologiques font aussi souffrir les porcelets





L'élevage biologique de porcs n'est pas aussi respectueux des animaux que le secteur le prétend pour promouvoir la semaine bio qui démarre ce samedi. Comme en élevage industriel, les porcelets élevés pour produire de la viande biologique sont castrés sans anesthésie, ce qui constitue un sévice inacceptable, selon l'organisation de défense des animaux GAIA.

"Cette pratique douloureuse pour les porcelets est en absolue contradiction avec les valeurs de l'élevage biologique", réagit Ann De Greef, directrice de GAIA. "Les consommateurs sont en droit d'attendre de l'élevage bio qu'il donne l'exemple en matière de bien-être animal". GAIA demande à la filière bio de mettre un terme immédiat à la castration à vif, pratique destinée à éviter chez les porcs mâles une odeur de verrat dans la viande. "La castration à vif est devenue aussi cruelle qu'inutile, étant donné les alternatives dont on dispose aujourd'hui".

Les tentatives de concertation de GAIA avec Bioforum n'ont pas porté leurs fruits. "Bioforum ignore nos appels depuis des années, aussi bien en Wallonie qu'en Flandre," souligne Ann De Greef. "Les citoyens doivent savoir que les éleveurs bio font aussi souffrir les porcelets en les castrant à vif et qu'ils ne démontrent aucune volonté de remédier à la situation". Cette réalité contraste sérieusement avec la campagne publicitaire menée par Bioforum dans les médias, qui met fortement l'accent sur le respect des animaux en élevage biologique.

Il y a quelques semaines, un éleveur pratiquant l'élevage intensif en Flandre ("De Wolkenhoeve") a été le premier éleveur de Belgique à renoncer à la castration à vif des porcelets. Les élevages bio, étonnamment, traînent la patte. Il existe pourtant des alternatives respectueuses des animaux, notamment la vaccination (comme au Wolkenhoeve) ou l'abattage des mâles à un poids inférieur à 85 kg. Cette dernière pratique est tout à fait envisageable pour un marché de niche tel que l'élevage biologique.

A compter du 1er janvier 2011, la castration sans anesthésie sera interdite pour les élevages biologiques de porcs, dans toute l'UE. Toutefois, en dépit des demandes insistantes et réitérées de GAIA, Bioforum n'a pas donné la moindre garantie de la mise aux normes des élevages bio dans les délais. Ann De Greef: "Comble de la déraison, Bioforum minimalise même la douleur causée par la castration à vif, alors qu'il est scientifiquement démontré qu'elle provoque une douleur aiguë chez les animaux."

Source : GAIA

2010-06-19 22:17:00

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Elevage de porcs en Espagne : une enquête aux résultats édifiants





L’association espagnole « Igualdad Animal » vient de rendre publiques les résultats de deux ans d’enquête au sein de la quatrième industrie mondiale porcine qui fournit 50% du marché français. One Voice relaie son action et demande aux consommateurs d’écouter leur conscience et de ne plus manger de viande de porc.

Près de 60 activistes de l’association se sont introduits dans 172 élevages du pays afin de photographier et filmer les conditions d’élevage des porcs. La majorité des élevages ont été choisis au hasard sauf ceux qui ont bénéficié de prix gouvernementaux pour leur exemplarité.

Au terme de ces deux années, ce sont plus de 2600 photos et un film de cinquante minutes qui relatent la vie des cochons de la naissance à la mort. Le bilan est le même pour tous les élevages : maltraitances, cruautés et non-respect pour ces êtres sentients. Ce travail est, pour l’association, le lancement d’une campagne sans précédent pour informer et sensibiliser les consommateurs.

L’enquête révèle l’horreur sous toutes ses formes. Comme dans tous les élevages intensifs, les animaux sont détenus dans des stalles exiguës, où ils peuvent à peine se coucher et encore moins se retourner. Rangés comme de simples objets, ils n’ont pas d’autre distraction que de mordre les barreaux ou de se cogner la tête d’un côté à l’autre du box de manière incessante ; comportements stéréotypés révélateurs d’un profond niveau de stress.

Les porcs sont maintenus sur un sol fait de grilles en métal ou en plastique sur lequel ils se coincent les pattes, piétinent et se couchent dans leurs excréments. Les femelles mettent bas dans les mêmes conditions. Les jeunes meurent pour la plupart écrasés sous leur mère qui ne peut se déplacer ou agonisent dans les excréments.

Le personnel de ces industries n’a aucune considération pour les animaux et pour le fait qu’ils souffrent. Toutes les manipulations sont permises : coups de pieds ou doigts dans les yeux pour diriger l’animal et le faire obéir…La queue des porcelets est coupée à vif ; seule solution utilisée par les élevages pour éviter que les porcs ne se la mangent entre eux.

Qu’ils soient adultes ou nouveau-nés, les animaux faibles, blessés ou malades n’ont aucune valeur économique et sont alors laissés à l’agonie dans des souffrances atroces au beau milieu des animaux vivants, ou bien ils sont entassés encore vivants dans les conteneurs de cadavres.

Ces images chocs rappellent hélas les conditions d’élevage des cochons en France. One Voice soutient cette campagne et rappelle au public qu’il a le pouvoir de faire disparaître ce type de pratique en changeant de mode de consommation et ainsi en ne finançant plus l’exploitation de ces animaux.

Source : OneVoice

2010-07-05 19:19:00

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Villeurbanne. Il y a une semaine, des moutons ont été introduits dans le parc de la Feyssine à titre expérimental pour tondre les prairies… Mardi soir, voilà qu’ils se sont échappés de l’enclos où ils se trouvaient… La clôture ayant sans soute été coupée "par un plaisantin", rapporte Le Progrès

Des moutons s’échappent et se retrouvent à une fête du PS Agrandir la photo Non loin de là, la section locale du Parti socialiste réunissait 200 militants pour la fête de fin d’année, lorsqu’ils ont été surpris par l’arrivée de moutons apeurés… Quelques militants se sont donc employés à rattraper les moutons et à les ramener dans leur enclos… L’un d’eux leur a échappé et a rejoint la station d’épuration de l’autre côté du périphérique, toujours d’après ce journal.

"Cette fugue des moutons villeurbannais est une première" assure au Progrès l'association qui les héberge.

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Luxembourg - Le pays vient d'être épinglé par la Cour européenne des droits de l'homme (CEDH) pour ne pas être parvenu à traiter la plainte d'un paysan concernant le vol d'une vache, et cela après douze ans de procédure.

En 1988, Gustave Rausch dépose plainte pour vol de vache et falsification de numéro d'identification d'un animal, accusant alors son voisin d'en être à l'origine. En 2010, la Cour européenne des droits de l'homme se penche sur l'affaire et épingle le Luxembourg pour ne pas avoir réglé cette affaire malgré douze années de procédures. L'AFP explique ainsi qu'entre 2000 et 2007, ce sont trois ordonnances de renvoi qui ont été émises par la chambre du conseil du tribunal d'arrondissement, toutes trois annulées. Alors qu'en 2008, les magistrats considèrent l'extinction de l'action public, la Cour d'appel casse cette décision et renvoie l'affaire devant la Chambre correctionnelle du tribunal d'arrondissement. La plainte y est toujours traitée.Aujourd'hui, la CEDH estime que l'histoire est constitutive d'une "violation du droit à un procès équitable dans un délai raisonnable" et le cultivateur s'est vu allouer la somme de 16.000 euros pour dommage moral. Et l'Agence France Presse d'expliquer que si la CEDH se penche régulièrement sur des affaires d'une gravité extrême, elle étudie également régulièrement des cas simples et anodins afin de vérifier le bon fonctionnement de la justice dans les pays européens.

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http://www.lanouvellerepublique.fr/deux-sevres/ACTUALITE/Environnement/Des-chevres-pour-entretenir-le-Pressoir

Comme en 2008 et en 2009, deux chèvres poitevines ont pâturé les coteaux de la Grande-Gourde de la vallée du ruisseau du Pressoir (Sainte-Radégonde-des-Pommiers). Leur arrivée dans la vallée et leur départ dépendent des conditions climatiques, celles-ci déterminant la production fourragère des coteaux. Cette année, le pâturage a commencé le 15 avril et s'est terminé fin juin. Une ânesse (Baudet du Poitou) mise à disposition par M. Drouaud était aussi présente.
Lutter contre les broussailles

L'objectif de cette gestion est double. Il consiste à favoriser une diversité de milieux dans la vallée (prairies et forêts), l'absence de gestion favorisant la colonisation des prairies par des espèces ligneuses (genêts, ronces puis prunelliers et chênes). D'autre part, les pelouses des coteaux de la Grande-Gourde présentent un intérêt patrimonial reconnu (cortège floristique constitué d'espèces protégées) dont le maintien nécessite l'entretien des pelouses.
Le choix de la mise en place d'un pâturage mixte (équin-caprin) se justifie par la différence des régimes alimentaires des animaux et de leur morphologie buccale et dentaire. En effet, ces différences permettent de lutter efficacement contre l'embroussaillement. De plus, elles favorisent une diversification de la composition botanique des pelouses et par là même une diversification du cortège d'insectes associé.
Cet été, à nouveau, le service valorisation du patrimoine et animation touristique de la communauté de communes du Thouarsais proposera des visites de la vallée.
Des balades sont organisées les jeudis 22 juillet, et 19 et 26 août. Rendez-vous à 15 h à l'office de tourisme de Thouars. La visite est assurée à partir de cinq personnes. Tarifs : adultes 3 € ; enfants de moins de 12 ans 2 €. Renseignements au 05.49.66.43.36 ou 05.49.66.17.65.

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Shangdong, Chine - un agneau, né seulement avec deux pattes, a évité d'être abattu et vit normalement.

Un agneau à deux pattes a été découvert en Chine

Le jeune mouton est né simplement avec deux membres et aurait dû être tué à la naissance. Cependant, la fermière Cui Jinxiu a été touchée par la volonté de l'animal à survivre et à marcher avec ses deux membres. Elle a donc décidé d'épargner l'agneau et de ne pas le tuer. "Il était tellement déterminé à vivre. Il s'est dressé sur ses deux pattes et est allé boire le lait de sa mère. Je ne pouvais pas le laisser mourir", raconte-t-elle à la presse locale relayée par Metro. L'animal a réussi, depuis, à se déplacer en dépit de son handicap et il suit la fermière partout où elle va. "Il s'en fiche (d'avoir deux pattes). Il est tellement adorable et je ne pense même pas qu'il réalise être handicapé ", a-t-elle ajouté. Selon le quotidien Austrian Times, les vétérinaires aurait déclaré que la difformité de l'agneau serait le résultat de l'importante pollution chimique en Chine.

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Caroline du Nord, États-Unis - Un fermier a découvert qu'une de ses vaches avait donné naissance à un veau à six pattes.

Mike Fields a raconté qu'il a élevé des vaches pendant des années mais que c'était la première fois qu'il assistait à une telle naissance.Le veau possède quatre pattes ainsi que qu'une autre paire supplémentaire totalement formées possédant des sabots. L'animal est, cependant, selon le fermier, en très bonne santé. Le veau qui ne possède pas encore de nom est rapidement devenu une célébrité locale, devenant l'attraction préférée des voisins. Bien que le fermier ne sache pas encore ce qu'il va faire de son veau, ce dernier va certainement pouvoir, grâce à sa singularité, éviter le destin réservé à ses congénères

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Bruxelles, Belgique - Les forces de l'ordre ont dû se mobiliser afin d'attraper des taureaux qui s'étaient enfuis de leur étable.

Alors qu'ils étaient tranquillement dans leur étable d'Haren, deux taureaux se sont échappés à travers les champs. Un habitant des environs aurait alors aperçu les animaux se rendant près des jardins des habitations.La police a été prévenue et des agents ont ainsi tenté d'approcher les bêtes lorsque l'un d'elles s'est mise à charger. Un policier a tiré deux coups de feu, et un seul a touché l'animal, ne le blessant que légèrement. A force de patience, les taureaux ont été enfermés dans un pré où ils ont attendu que leur propriétaire vienne les récupérer lui-même.

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Publié le 31/08/2010 08:07 | Sabrina Rezki
Tuberculose bovine. Un troisième troupeau infecté

http://www.ladepeche.fr/article/2010/08/31/896831-Tuberculose-bovine-Un-troisieme-troupeau-infecte.html

Une trentaine de vaches ont été emmenées à l'abbatoir hier/ Photo DDM L'abattage a commencé et les contrôles vont s'intensifier, toute cette semaine, afin d'identifier et d'isoler les bêtes porteuses de la tuberculeuse bovine.

Hier, une trentaine de vaches de l'exploitation de la Mothe tenue par Roland Gaychet ont été amenées à l'abattoir. Aujourd'hui c'est au tour des veaux et à terme, ce sont les 84 limousines- soit tout le troupeau-qui vont être abattues. Selon Pierre Jabert, chef du pôle protection des populations à la DDCSPP (Direction départementale de la cohésion sociale et de la protection des populations), « même si l'exploitation de la Mothe a été la première où des cas positifs au bacille tuberculeux ont été avérés, cela ne veut pas dire que c'est cette exploitation qui est le foyer primaire. M. Gaychet l'a sûrement reçu de quelqu'un du voisinage, et on espère le trouver au plus vite », explique-t-il. Le contrôle des 12 exploitations environnantes est en cours et les résultats des cultures histologiques devraient être fournis d'ici la semaine prochaine. Une troisième exploitation du Mas d'Azil après celle de la Mothe et de La Plagne s'est révélée positive au test allergique. « Dans ce cas, l'abattage de l'animal positif est obligatoire, explique le Dr Jean-Pierre Alzieu, directeur du laboratoire vétérinaire départemental. On regarde ensuite sur la carcasse et les ganglions de l'animal s'il y a des lésions. Pour une identification formelle de la présence de la bactérie, on fait une étude histologique, c'est-à-dire qu'on procède à coupe de la lésion qu'on met en culture. Après quelques jours d'incubation, si c'est positif, le troupeau entier doit être abattu ». Selon Pierre Jabert, il y a 90 % de probabilité que d'autres troupeaux seront euthanasiés.


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Inde - Une femme située en Inde n'a pas hésité à donner le sein à un veau aujourd'hui âgé d'une cinquantaine de jours et cela par pure affection envers le monde animal.

Chouthi explique aimer les animaux, c'est ainsi qu'elle n'hésite pas à allaiter un veau, et cela entre trois et quatre fois par jours depuis plusieurs semaines.Elle explique : "Pour moi il n'y a aucune différence entre un bébé et un veau [...] Elle était si jeune quand sa mère est morte. J'ai mis la petite créature dans mes bras et je lui ai donné le sein." L'animal est également nourri avec du pain, explique 7sur7

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Sussex, Grande-Bretagne - Une oie a causé un important embouteillage en s'installant au milieu de la route à l'heure de pointe.


L'oiseau a effectué trois kilomètres avant de s'arrêter au beau milieu d'une route pendant les heures de pointe causant ainsi un important embouteillage.

Le propriétaire de l'oie, qui n'a pas souhaité être cité, a expliqué au journal The Sun que l'oiseau était devenu très déprimé après que sa compagne ait été tuée par un renard. La police a alors dû intervenir et placer l'animal dans une boîte en carton. "Je ne pouvais pas y croire lorsque j'ai vu l'oie sur la route", a raconté une automobiliste coincé dans l'embouteillage, "les gens freinaient rapidement mais elle ne bougeait pas. C'est vraiment triste à dire vrai. Même si cela a perturbé ma journée je me suis sentie désolée pour le pauvre animal."

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Dans un appel solennel lancé le 26 août dernier, le Dalaï Lama s’est prononcé contre l’élevage des poules pondeuses en cage. Cet appel a été initialement diffusé par l’association américaine HSUS, puis traduit et relayé par l’association L214.

Extrait :
« Dans ces cages, les oiseaux ne peuvent pas se livrer à leurs comportements naturels, comme étendre leurs ailes, pondre dans un nid, se percher, gratter le sol, et même se tenir sur une surface solide. [...] Transformer ces oiseaux sans défense en machines à produire des œufs, sans la moindre considération pour leur bien-être est une dégradation de notre propre humanité. »

En France, 81% des 47 millions de poules pondeuses sont élevées en batterie de cages*.

- Déclaration du Dalaï Lama : http://www.l214.com/Dalai-Lama-oeufs-poules-pondeuses
- Dossier poules pondeuses : www.L214.com/oeufs-poules-pondeuses
- Enquête dans un élevage de poules pondeuses en France (2008-2009) : http://www.l214.com/video/poules-pondeuses-2008-2009

http://www.l214.com/Dalai-Lama-oeufs-poules-pondeuses

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Une vache minuscule qui aime la musique moderne est entrée jeudi dans l'histoire du livre Guinness des records, couronnée la plus petite vache au monde.


Le mini-bovin, pas plus gros qu'un mouton, mesure 84 centimètres et répond au doux nom de Swallow ("Hirondelle", en anglais).

Agée de 11 ans, elle a donné naissance à neuf veaux de taille normale, et porte actuellement le dixième. Son dernier rejeton est déjà plus gros qu'elle.

Selon sa propriétaire, Caroline Ryder, fermière du Yorkshire, la mini-vache est une Dexter, race bovine connue pour sa petite taille, mais Swallow a tout de même battu tous les records chez les Dexter. AP

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Berlin, Allemagne - Selon une étude allemande les lièvres européen femelles seraient capables d'avoir plusieurs grossesses en même temps et pourraient être potentiellement enceintes de manière permanente.

Les scientifiques ont ainsi étudié une colonie de hases en captivités et en gestation. Ils ont alors découvert que les femelles pouvaient développer une seconde grossesse environ quatre jours avant de donner naissance. Ce système de grossesses simultanées ou superfétation, permet à la hase d'avoir un tiers de petit en plus à chaque saison reproductrice. Cette moyenne est également due également au fait que la période de gestation est passée de 42 jours, pour un lièvre normal, à 38 jours. Les scientifiques estiment que la superfétation pourrait être une adaptation évolutionnaire des lièvres afin d'augmenter les chances de pouvoir se reproduire.

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L'une des tendances du moment consiste à louer une chèvre afin de tondre l'herbe.


Afin de tondre la pelouse, certains font à présent appel aux services d'une chèvre. Ainsi, si chacun n'en possède pas une à son domicile, l'une des possibilité consiste à louer les services d'un animal. Certains sites mettent en relation les particuliers avec des propriétaires de chèvres, susceptibles de vendre cette prestation pour une dizaine d'euros par jour seulement. Le site garantit que la chèvre ne ravagera pas le terrain et fera sont travail correctement en tondant votre pelouse, ne laissant que quelques centimètres d'herbe, aussi bien que l'aurait fait une tondeuse électrique et le tout sans émission de co2.

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http://www.tele-animaux.com/actualite,info,les-constatations-effectuee---:7600.html

LIMOGES, 5 oct 2010 (AFP) - Près de 90 moutons issus de quatre élevages d'Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) ont été tués depuis le 8 septembre par un animal errant, provoquant le déploiement de gendarmes et la multiplication des traques pour tenter de le capturer, a-t-on appris mardi auprès des autorités.> Après le déploiement à plusieurs reprises d'importants moyens pour tenter de capturer le responsable des massacres, un labrador a finalement été tué mercredi dernier à proximité d'Oradour, lors d'une battue rassemblant une centaine de personnes.

La propriétaire du chien, rapidement identifiée grâce au tatouage et entendue par les gendarmes, a expliqué au quotidien régional Le Populaire du Centre que son chien était attaché dans son jardin "durant tout le mois dernier, lors des attaques" et s'était échappé mercredi pendant sa promenade.

Une autopsie de l'animal n'a révélé la présence d'aucune trace de laine dans l'estomac du labrador abattu mais seulement de croquettes.

En outre, huit agneaux ont été à nouveau attaqués lundi et ont dû être euthanasiés.

"On ne peut pas affirmer que le labrador de la semaine dernière n'a pas participé à des attaques. Il correspondait aux descriptions et il était en divagation sur la commune. Ce que l'on sait, c'est que nous avons encore un chien en liberté qui tue les moutons", a déclaré le sous-préfet de Bellac, Michel Laborie, chargé de coordonner les actions des gendarmes et des agents de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage.

Stéphane Fontanillas et Loïc Nicolle, deux des éleveurs touchés, ont fait leurs comptes : ils viennent de perdre entre 1.300 et 3.000 euros. "Quand on se lève le matin, on ne sait pas ce que l'on va trouver", a déploré l'un d'eux, inquiet que le chien tueur coure toujours.

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L'Albere, dans les Pyrénées-Orientales.

Des vaches espagnoles envahissent un village français: "Les habitants sont …Plus Agrandir la photo Une commune située dans une chaîne de montagnes du même nom, sur le versant français de la frontière avec l'Espagne. Son habitat est dispersé sur plus de 1.700 hectares. Mais voilà que depuis plusieurs années, des dizaines de vaches espagnoles se promènent sur son territoire, raconte L'Indépendant.

Le plus gênant, c'est que les vaches se montrent plutôt agressives... Un habitant, se promenant tranquillement dans le hameau, s'est ainsi fait encorner par une vache qui était accompagnée de son veau, toujours d'après ce journal.

La malheureuse victime a pu être heureusement secourue par d'autres personnes qui se trouvaient avec elle, ce qui peut-être a évité un drame.

Le maire d'Albere a fait savoir sur France Bleu Roussillon que "cette invasion de vaches est inacceptable".

Mais que va-t-il se passer maintenant ? Sûr que cela ne provoquera quand même pas un incident diplomatique entre la France et l'Espagne!

Note de la rédaction

"Cela dure des puis des années !" confie-t-on du côté de la mairie contactée par Le Post. "Et la situation est toutjours la même". Sur le site internet de la mairie, on prévient: "Promeneurs : faites attention aux vaches, évitez de les approcher."

Et pour cause, les vaches affichent un palmarès inquiétant:

"Une fillette attaquée, une femme percutée, un homme blessé aux mains, une vache investissant un véhicule, une autre tombant dans une piscine."

Mais d'où viennent-elles? Interrogé sur France Bleu Roussillon, le maire précise qu'elles sont originaires "du côté sud, d'Espagne, d'un domaine transfrontalier à la limite de la commune."

Pourquoi viennent-elles en France?

"L'herbe est plus tendre, c'est plus frais ici, de tout temps, elles sont venues. Elles saccagent tout, mangent tout, nos administrés sont excédés, cela peut causer des problèmes graves. Et on en a déjà eu. Un habitant s'est fait encorner à l'entrejambes, près de l'artère fémorale!

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Lisle-sur-Tarn. Deux chiens ont tué 51 brebis



Une des brebis attaquée à la tête: une vingtaine, la mâchoire emportée par les crocs des deux molosses, a dû être euthanasiée. Cinquante-et-une brebis mortes, quelques unes la tête à moitié dévorée, d'autres sans la moindre morsure, étouffées dans la bousculade de la terreur. C'est le constat qu'a fait Jeanot Choulet dans sa bergerie à 6 heures, samedi, quand il est allée donné à manger à trois d'entre elles, avant de partir à la chasse. Les deux molosses auteur du carnage, des «croisés», l'un sans doute de beauceron, l'autre de berger allemand, étaient encore enfermés dans le bâtiment, sanguinolents et furieux. «Ils ont failli me bouffer. Sur 10 mètres, il y avait trois étages de cadavres entassés. Une seule brebis a été attaquée au gigot, toutes les autres à la tête. Le vétérinaire a dû en euthanasier une vingtaine». Avec l'aide d'un voisin, l'éleveur a tenu les chiens en respect, sous la menace d'un bâton, en attendant l'arrivée des gendarmes qui les a attrapés. Les deux chiens n'avaient pas de tatouage. Un spécialiste est venu dans la journée de Toulouse, pour vérifier s'ils portaient une puce, dont on attendait hier l'identification. De leur côté, les gendarmes de Lisle, arrivée très rapidement, effectuait un tour dans le voisinage pour trouver des riverains pouvant connaître le propriétaire des deux chiens.

Déjà en juillet
La bergerie de Jeanot Choulet avait déjà fait l'objet d'une attaque en juillet, avec sept brebis égorgées. «Cette fois-là, j'étais allé de nuit chez le propriétaire du chien. Il l'avait mal pris et m'avait menacé. Depuis, d'autres bêtes ont été attaquées. J'en suis à près de 70 brebis perdues». Les chiens passent sur ou sous les grillages et entrent dans les parcs où dorment les brebis avant l'hiver. Jeanot Choulet avait un temps souscrit une assurance qui remboursait les pertes, même sans qu'on ait connaissance du propriétaire. «Mais il fallait assurer tout le troupeau. C'était hors de prix: je ne l'ai pas renouvelée». Pour le sinistre de juillet, l'assurance lui demande un constat de gendarmerie. «Je ne l'ai pas. J'avais appelé quatre fois la gendarmerie de Rabastens, mais personne n'avait pu se déplacer. Cette fois, la patrouille est venue de suite».

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Saint-Benoît, dans l'Ain.

Une vache coincée... dans un arbre Agrandir la photo Cette drôle d'histoire se passe jeudi soir. Les pompiers se demandent s'ils ont affaire à un canular, lorsqu'on les appelle pour leur dire de venir vite parce "qu'une vache est coincée dans un arbre". Ils en ont vu d'autres, mais ils demandent plus de précisions. Finalement, les pompiers se rendent sur place et voient bien que la vache est dans une mauvaise posture raconte Le Progrès.

En vérité, l'animal est tombé depuis des rochers et a été retenu par l'arbre.

Le groupe de pompiers spécialisé dans les interventions en milieux périlleux a été dépêché sur place mais in'a pas pu sauver la vache car elle était déjà morte. Elle a effectivement eu peur, a essayé de se dégager et a chuté.

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Un randonneur est décédé des suites de ses blessures après avoir été attaqué par une chèvre dans un parc national de l'État de Washington. Mais cette dernière n'était pas vraiment comme celle que nous connaissons...

Ce n'est pas parce qu'elle donne du lait qu'elle n'est pas dangereuse. Samedi après-midi, alors qu'il se promenait avec sa femme et un ami, un randonneur a été encorné par une chèvre des montagnes en plein parc National Olympique de l'Etat de Washington, aux États-Unis. Alors qu'il essayait de l'éloigner, il s'est fait attaquer par l'animal, qui ne s'est finalement enfuit qu'après plusieurs pierres lancées sur elle. L'homme, âgé de 63 ans, a été transporté d'urgences à l'hôpital de Port Angeles. Malgré les secours, BBC News indique qu'il a succombé à ses blessures.Selon les gardes du parc, la chèvre responsable de ce décès était connue pour être agressive. De plus, il ne s'agit pas de n'importe quelle espèce, mais de la chèvre des montagnes. Celle-ci est en effet complètement différente des chèvres connues en France, puisqu'elle pèse environ 200 kilos pour une taille d'environ 1 mètre. Dotée de cornes, elle se sert de cela pour se défendre, voire attaquer. Après l'attaque, les Rangers du parc National Olympique se sont empressés de tuer la bête, afin qu'elle n'attaque pas quelqu'un d'autre.

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L'ours a-t-il attaqué les vaches ?

http://www.ladepeche.fr/article/2010/10/20/930899-L-ours-a-t-il-attaque-les-vaches.html



L'ours a-t-il attaqué les vaches ? Le troupeau de Serge Ponsolle, censé se trouver sur l'estive de Pouil, est aperçu aux abords de La Plagne, dans la commune de Salau.

Un trajet d'autant plus inhabituel qu'il avait fallu franchir des passages « canadiens », exploit tout à fait exceptionnel, dû certainement à un mouvement de panique.

Constatant les faits, le maire de la localité, Henri Richl, avertit le propriétaire éleveur au « Campas », à Oust.

Se rendant immédiatement sur les lieux, ce dernier constate qu'il lui manque deux bêtes, une vache et une génisse.

Après de brèves recherches, il découvre les deux animaux à une trentaine de mètres de la barrière.

La vache était déjà morte. La génisse souffrant de nombreuses blessures, dont une patte cassée, a dû être euthanasiée (notre photo).

Les soupçons se portent immédiatement sur l'ours, comme le confirmeraient les multiples traces de griffes, relevées sur la tête de l'une des malheureuses victimes. Un plantigrade souvent aperçu dans les parages. Le constat effectué par les responsables habilités, pourrait confirmer cette hypothèse, attisant la crainte des bergers encore en estive.

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Lisle-sur-Tarn. Les propriétaires des chiens paieront pour les brebis tuées



Une des brebis, affreusement mordue à la tête,qui a dû être euthanasiée./ Photo DDM Dans son malheur, Jeannot Choulet a quand même eu de la chance: celle d'avoir pu retenir sur le lieu du massacre les deux chiens qui s'en sont pris, samedi matin, à son troupeau de brebis. Capturés par les gendarmes de Lisle-sur-Tarn, les deux molosses avaient été placés en fourrière, à Briatexte. Restait à identifier leurs propriétaires: cela s'est fait très rapidement puisque ces deux chiens, non tatoués, étaient porteurs d'une puce électronique. «Ils appartiennent à des gens de passage, qui n'habitent pas le Tarn et étaient venus rendre visite à des amis. C'est dans ces circonstances que les chiens leur ont échappé», indique un gradé de la brigade de Lisle.

Pénalement, les propriétaires sont sous le coup d'une contravention de 2e classe pour divagation d'animaux: la procédure a été transmise au parquet d'Albi. Mais c'est civilement que les conséquences seront les plus lourdes.

«Les propriétaires des chiens sont civilement responsables des dommages occasionnés à ce troupeau. Le préjudice financier n'a pas encore été établi mais il sera lourd», indique le chef d'enquête.

En effet, Jeannot Choulet a perdu 51 brebis: certaines tuées par ces chiens, d'autres mortes de peur pendant l'attaque, une vingtaine d'autres bêtes ayant dû être euthanasiées suite aux terribles blessures qu'elles ont subies.

Ce n'est pas la première fois que des troupeaux sont décimés par des chiens errants dans le Tarn. Ces affaires ne sont pas toujours résolues: quand les faits sont découverts, leurs auteurs ont pris la clé des champs. Pas samedi, à Lisle, où les «loups» étaient encore dans la bergerie.

http://www.ladepeche.fr/article/2010/10/19/930257-Lisle-sur-Tarn-Les-proprietaires-des-chiens-paieront-pour-les-brebis-tuees.html

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http://pmaf.org/news/72/86/De-la-paille-pour-les-cochons-chez-des-eleveurs-bretons.html

12 10 2010
De la paille pour les cochons chez des éleveurs bretons !

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Les 27 et 28 septembre 2010, l’équipe de la PMAF a rendu visite à trois éleveurs de porcs bretons ayant opté pour l’élevage sur paille. Le bonheur est dans la paille : ces élevages nous l’ont confirmé !



Dans les élevages visités, les porcs sont élevés en bâtiments, sur un sol recouvert d’une litière régulièrement renouvelée. Bénéficiant davantage d’espace, les porcs peuvent donc courir et fouiller la paille, et ainsi exprimer pleinement leur comportements naturels !

Ces trois agriculteurs ont observé que les porcs se révèlent plus sociables et montrent moins d’agressivité que leurs congénères élevés sur sol sans paille. L’élevage sur paille permet un meilleur développement des porcs, tant sur le plan physique que psychologique : moins stressés, ces animaux sont « copains comme cochons » !

Ce mode d’élevage permet également une meilleure rentabilité sur le long terme pour l’éleveur ! Les frais vétérinaires se retrouvent réduits, le confort de travail est accru et la viande de meilleure qualité. Les professionnels de la restauration sont unanimes ! En effet, des porcs ayant la possibilité de se mouvoir plus librement produisent une chair plus ferme.

La PMAF encourage les éleveurs porcins à se tourner vers une production sur paille, au bénéfice de tous : éleveurs et consommateurs et bien entendu animaux.

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En Suisse on trouve des banques et des vaches. Les banques sont partagées par le monde entier, les vaches peuvent aussi être partagées entre les habitants des villes et des campagnes.

Louer une vache pour le plaisir : Alors un paysan suisse a eu l’idée de louer ses vaches. Comme elles ne viennent pas à la ville, les citadins qui recherchent des activités relaxantes se déplacent à la montagne pour les traire et les câliner.

C’est le choix de Nathalie qui est comptable et à qui son petit ami a offert une adoption pour une saison d’Urania, rapporte Femina. Elle va lui tenir compagnie pour 280 CHF la saison, (soit 253 EUR).

Il est possible de consulter les prétendantes sur le site mavachamoi. Ça se passe à Lécherette dans le canton de Vaud, nous explique le Guide du routard. Les visites à sa vache sont illimitées. Le locataire doit aussi effectuer des travaux à la ferme : rassembler le troupeau, couper du bois, participer à la traite et à la fabrication des fromages. Cela permet également au citadin de partager la vraie vie des fermiers.

Alors si ça vous intéresse, vous pouvez consulter le site mavachamoi dès mi-novembre 2010 pour vos demandes de parrainages 2011.

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Guny, dans l'Aisne.






Mercredi, vers midi, rue Pierre-Choquart. Liliane, 78 ans, voit un bélier dans son jardin. Il s'est échappé d'un pré voisin et a sans doute été attiré par son petit potager... Elle sort pour le faire partir, mais il la charge et la fait tomber. Elle est allongée et le bélier lui donne des coups de tête... Elle ne peut pas se défendre, raconte L'Aisne Nouvelle.
Elle appelle à l'aide, mais personne n'entend... personne ne vient... L'animal s'acharne sur elle pendant quatre heures. Ce n'est que vers 16 heures 30 que sa fille vient lui rendre visite, faisant fuir l'animal.
Les pompiers transportent Liliane au centre hospitalier de Chauny, où elle est placée en soins intensifs. Son état est inquiétant. Elle a des blessures graves : des côtes cassées, une fracture du col du fémur et un poumon touché.
Une voisine pense qu'elle serait sans doute morte si sa fille n'était pas arrivée dans l'après-midi. La famille de Liliane a porté plainte contre le propriétaire du bélier. Une enquête va être menée par la gendarmerie.

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@Choupi91 a écrit:
Guny, dans l'Aisne.






Mercredi, vers midi, rue Pierre-Choquart. Liliane, 78 ans, voit un bélier dans son jardin. Il s'est échappé d'un pré voisin et a sans doute été attiré par son petit potager... Elle sort pour le faire partir, mais il la charge et la fait tomber. Elle est allongée et le bélier lui donne des coups de tête... Elle ne peut pas se défendre, raconte L'Aisne Nouvelle.
Elle appelle à l'aide, mais personne n'entend... personne ne vient... L'animal s'acharne sur elle pendant quatre heures. Ce n'est que vers 16 heures 30 que sa fille vient lui rendre visite, faisant fuir l'animal.
Les pompiers transportent Liliane au centre hospitalier de Chauny, où elle est placée en soins intensifs. Son état est inquiétant. Elle a des blessures graves : des côtes cassées, une fracture du col du fémur et un poumon touché.
Une voisine pense qu'elle serait sans doute morte si sa fille n'était pas arrivée dans l'après-midi. La famille de Liliane a porté plainte contre le propriétaire du bélier. Une enquête va être menée par la gendarmerie.



Mercredi à Guny dans l'Aisne. Lire la suite l'article

Liliane, 78 ans, aperçoit un bélier dans son jardin. Se déplaçant avec une canne, elle sort pour le faire partir, mais elle serait tombée, devenant ainsi une proie facile pour l'animal, qui s'acharne sur elle... pendant 4 heures.
Elle appelle à l'aide, mais personne ne vient. Elle ne doit son salut qu'à la visite de sa fille, qui la sauvera des cornes du bélier. Transportée à l'hôpital, Liliane est en soins intensifs et souffre d'une perforation au poumon et de côtes cassées. Sa fille, sous le choc, a donc déposé plainte à la gendarmerie.
Contactée par Le Post, la cousine de la victime est très émue:
"On est comme des soeurs. Ça fait mal de voir ça, on ne savait pas qu'il y avait un bélier dans les parages! Personne ne lui est venue en aide, les gens sont de plus en plus égoïstes!"
Une autre habitante confie au Post que Liliane n'est pas du genre à provoquer les animaux : "C'est une dame très aimable, et aussi très entourée."
Mais au fait, qu'est devenu le bélier?
"Ils l'ont tué et mangé!" assure sa cousine au Post. C'est également ce que dit L'Union, l'animal aurait été tué par son propriétaire, mais sans confirmation de la part de la gendarmerie. Celle-ci précise au Post que "c'est la première fois que l'on voit ce genre d'attaque dans la région."

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Les bovins viennent d'Espagne comme le rapporte le Midi Libre.






Des vaches en provenance d'Espagne qui sont revenues à l'état sauvage envahissent le village de l'Albère (Pyrénées-Orientales).
Les problèmes ont commencé il y a une dizaine d'années avec la mort d'un éleveur espagnol. Son troupeau, laissé à l'abandon, est arrivé en partie sur la commune de l'Albère.
Et maintenant il y a plus de vaches dans le village que d'habitants !
Celles-ci, sauvages, sont agressives et n'hésitent pas à charger pour défendre leurs veaux. Deux personnes ont été gravement blessées.
Les bovins en liberté vont sur tous les pâturages et dévastent les potagers. Elles se retrouvent même parfois dans des piscines de particuliers !
En 2008, une dizaine de vaches ont été tuées en application d'un arrêté préfectoral. Les associations de défense des animaux sont alors intervenues, ce qui a mis fin aux abattages.

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Elle s'appelle Valérie, et depuis 6 mois, elle vit dans un box à chevaux, au milieu d'un champ, à Houppeville, en Seine-Maritime, à 20 kilomètres de Rouen.



Un box ouvert à tous les vents, sans eau, ni électricité, ni moyen de chauffage. Voir la vidéo ci-dessus


Comportementaliste de formation, Valérie est aujourd'hui sans emploi. Elle vit des minimas sociaux : 400 euros par mois qui servent en grande partie à nourrir ses animaux : une douzaine de cochons et de sangliers. Car Il y a cinq ans, Valérie est " tombée amoureuse de cette espèce qu'on ne protège pas "... Elle a créé une association, " la forêt de Léa ", pour offrir un refuge aux cochons maltraités et aux sangliers. Un amour pour les animaux à groin qui ne lui a pas porté chance. Son précédent propriétaire l'a expulsée de la ferme qu'elle occupait avec ses pensionnaires. Depuis avril 2010, elle a trouvé refuge dans ce box et dans ce champ prêtés par une amie. Mais la situation est très précaire : l'autorisation d'héberger des sangliers expire fin décembre. Valérie cherche désespérément un nouvel endroit pour continuer à prendre soin de ses protégés

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@Choupi91 a écrit:
Elle s'appelle Valérie, et depuis 6 mois, elle vit dans un box à chevaux, au milieu d'un champ, à Houppeville, en Seine-Maritime, à 20 kilomètres de Rouen.



Un box ouvert à tous les vents, sans eau, ni électricité, ni moyen de chauffage. Voir la vidéo ci-dessus


Comportementaliste de formation, Valérie est aujourd'hui sans emploi. Elle vit des minimas sociaux : 400 euros par mois qui servent en grande partie à nourrir ses animaux : une douzaine de cochons et de sangliers. Car Il y a cinq ans, Valérie est " tombée amoureuse de cette espèce qu'on ne protège pas "... Elle a créé une association, " la forêt de Léa ", pour offrir un refuge aux cochons maltraités et aux sangliers. Un amour pour les animaux à groin qui ne lui a pas porté chance. Son précédent propriétaire l'a expulsée de la ferme qu'elle occupait avec ses pensionnaires. Depuis avril 2010, elle a trouvé refuge dans ce box et dans ce champ prêtés par une amie. Mais la situation est très précaire : l'autorisation d'héberger des sangliers expire fin décembre. Valérie cherche désespérément un nouvel endroit pour continuer à prendre soin de ses protégés


http://www.lepost.fr/article/2010/11/12/2302141_seine-maritime-valerie-ne-vit-que-pour-ses-sangliers-et-ses-cochons.html#xtor=AL-235

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Lancement de la première campagne d’information sur la réalité de l’abattage rituel






Le 10 novembre, L’œuvre d’Assistance aux Bêtes d’Abattoirs, La Fondation Brigitte Bardot, la Protection Mondiale des Animaux de Ferme, la Confédération Nationale des SPA de France, Le Conseil National de la Protection Animale, la Fondation Assistance aux Animaux, la Société Nationale pour la Défense des Animaux et l’Association Stéphane Lamart dévoilent, à l’Assemblée Nationale, la première campagne d’information sur la réalité de l’abattage rituel.

A cette occasion, le Député Lionnel Luca présente une proposition de loi «visant à limiter la production de viande provenant d’animaux abattus sans étourdissement aux strictes nécessités prévues par la réglementation européenne».


Une intervention de Madame Brigitte Bardot est également programmée.

Aujourd’hui, en France, jusqu’à 60 % de la viande issue d’animaux abattus selon le rite musulman et plus de 70 % de la viande issue du rite israélite se retrouvent dans le circuit classique à l’insu des consommateurs (aucun étiquetage sur le mode d’abattage).

Par leur action unitaire, les organisations de défense des animaux veulent à la fois dénoncer la cruauté de l’abattage sans étourdissement (égorgement à vif sur un animal pleinement conscient, pouvant entraîner une longue agonie) et le détournement de la législation (européenne et nationale) puisque la dérogation prévue dans le cadre strict de l’abattage rituel devient la règle générale dans les abattoirs français.

Source : PMAF
14/11/2010

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http://www.ledauphine.com/savoie/2010/11/15/un-train-heurte-des-moutons

pomblière / saint-Marcel Un TER Bourg-Saint-Maurice / Chambéry percute des moutons






//








Hier en fin d’après-mid, le train TER Bourg-Saint-Maurice/Chambéry a heurté des moutons qui divaguaient sur la voie ferrée. Le choc s’est produit à hauteur de Pomblière/Saint-Marcel, près de Moûtiers.?
Après avoir constaté des dégâts peu importants, le conducteur décidait de repartir.?Selon le service communication de la SNCF joint hier soir par téléphone, le train a pu rattraper son retard et arriver sans encombres à Chambéry.


le 15/11/2010 à 05:00

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http://www.dna.fr/fr/faits-divers/info/4156268-Kingersheim-Des-riverains-confrontes-aux-nuisances-140-000-poules-laissees-a-l-abandon


140 000 poules laissées à l'abandon : Appelé à fermer ses portes fin mars, le plus gros élevage industriel de poules du Haut-Rhin n'a plus les moyens financiers d'évacuer les fientes ni de nourrir 140 000 volailles. La situation sanitaire est catastrophique et une filière d'abattage peine à être organisée.
Publié le 17/11/2010

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Ça s'est passé à Usseau dans les Deux-Sèvres. Fin août et fin septembre, deux samedis à la suite, des éleveurs de ce village ont trouvé des chèvres pendues dans leur ferme. Après être tombé dans un piège tendu par l'éleveur, un homme d'une cinquantaine d'années avait fini par reconnaître "qu'il aurait attaché les chèvres pour les utiliser à des fins sexuelles".
Sursis et dommages et intérêts
Selon Europe 1, c'est dans le cadre d'une procédure de "plaider-coupable" que ce célibataire de 52 a été condamné à 5 mois de prison avec sursis par le parquet de Niort, ainsi qu'à une amende de 150 euros.
L'homme devra également verser 2 600 euros de dommages et intérêts à l'leveur des chèvres et, pour 5 associations de défense des animaux, 1 euros symbolique.
Et surtout, il est privé d'animaux domestiques
Le tribunal a de plus interdit à cet homme - et ceci à vie - de posséder un animal domestique. Il devra, de plus, suivre des soins psychiatriques.

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Dans la soirée de mercredi, 74 taurillons se sont enfuis d'une remorque dans la cale d'un ferry qui les transportait vers Cherbourg.



Mercredi soir, 74 taurillons voyageaient à bord d'une remorque dans la cale du ferry Norman Voyager, de la compagnie Celtic Link Ferries, à destination de Cherbourg. Seulement, la houle, violente ce soir là en raison des vents de Force 7, a provoqué un désarrimage de la remorque, laissant ainsi s'échapper les animaux dans la cale.
Si les 101 personnes et la cargaison présentes sur le ferry n'ont subi aucun dommage, il a tout de même fallu organiser la récupération des taurillons. Arrivé à Cherbourg entre 23h et 1h du matin, le ferry était attendu par cinq bouviers, professionnels habitués à capturer des bovins, ainsi que trois vétérinaires des pompiers.
Benoît Lemaire, directeur de cabinet de la préfecture de la Manche a annoncé que "la plupart des voitures (avaient pu) sortir sans difficulté, les taurillons (avaient) été isolés sur un autre pont". Malgré toutes les précautions prises, quatre taurillons sont morts durant la traversée.

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STRASBOURG, 17 nov 2010 (AFP) - Les services de l'Etat ont annoncé mercredi qu'ils allaient euthanasier quelque 120.000 poules pondeuses d'un élevage industriel près de Mulhouse (Haut-Rhin) car son exploitant, empêtré dans des difficultés économiques, n'a plus les moyens de nourrir les volailles.> "Il reste à organiser cette opération, sur le plan logistique ce n'est pas simple", a-t-il ajouté.

"Il arrive qu'une décision aussi radicale soit prise en raison d'une épizootie au sein du cheptel, mais pour des raisons économiques, je n'ai jamais vu ça", a encore commenté M. Bayart

La situation dramatique de l'entreprise "Alsace Oeufs", implantée à Kingersheim dans la banlieue de Mulhouse, a été mise en lumière à la fin de la semaine dernière lorsque les riverains avaient été incommodés par une invasion très spectaculaire de mouches.

"Les insectes se sont multipliés parce que dimanche il a fait très doux. A ce moment-là, c'est devenu abominable, on avait des mouches dans la bouche, dans notre café", a expliqué à l'AFP Rosa Cucuzza, présidente d'une association de riverains qui se bat depuis des années contre les nuisances provoquées par à cet élevage.

D'après Mme Cucuzza, la présence envahissante des mouches a longtemps pu s'expliquer par l'accumulation excessive de fientes dans le hangar d'élevage, mais "à présent le problème c'est que les poules crèvent de faim et les cadavres s'accumulent".

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Un fermier français a été condamné à un mois de prison avec sursis et 500 euros d'amende pour avoir donné du cannabis à ses canards.



Un fermier français a été condamné pour avoir administré du cannabis à ses canards. En effet, le tribunal de Rochefort a réclamé un mois de prison avec sursis et 500 euros d'amende contre le sexagénaire. La supercherie a été découverte alors que des policiers intervenaient dans la ferme pour une affaire de vol. Ils ont alors découvert douze plants de cannabis et 5 kilos d'herbes. L'éleveur a avoué qu'il en fumait et qu'il donnait également un peu de cette drogue à ses canards. Il a expliqué suivre les conseils d'un spécialiste en agissant de la sorte. Selon lui, cette herbe aurait certaines vertus médicales pour ses oiseaux. "Il n'y a pas meilleur vermifuge pour eux, un spécialiste me l'a conseillé" s'est-il défendu. Depuis qu'il traite ses 150 canards au cannabis, "pas un seul n'a des vers et tous sont en excellente santé", explique son avocat dans Sudpresse.

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Lors d'un rodéo au canada, le taureau a sauté les barrières de sécurité de l'arène pour rejoindre les spectateurs dans les gradins.



Le week-end dernier, un concours de rodéo qui avait lieu à Edmonton, au Canada, a vu un taureau s'échapper dans les gradins. En effet, l'animal, visiblement très énervé, a réussi à sauter les barrières entourant l'arène pour rejoindre les spectateurs. Heureusement, l'échappée belle de Redwind a été plus spectaculaire que dramatique, puisqu'elle n'a fait que 4 blessés légers.
Un bilan plus lourd a pu être évité grâce à la réactivité du personnel du rodéo, qui a rapidement maîtrisé la bête de 725 kilos. Deux hommes, Gary Rempel et Jason Resch, maintenaient le taureau immobilisé à l'aide d'un lasso. Les barrières de sécurité ont ensuite été ouvertes pour que l'animal retourne dans l'arène.
Dans un communiqué de presse, les organisateurs Northlands ont affirmé qu'il s'agissait du premier accident de ce type dans l'histoire du rodéo. Toutefois, des évènements similaires ont déjà eu lieu en corrida.

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TBILISSI, 19 nov 2010 (AFP) - Trois hommes soupçonnés d'avoir tué deux bergers et volé leurs 600 moutons en Géorgie ont été interpellés, ont annoncé vendredi les autorités de cette ancienne république soviétique du Caucase, élucidant une affaire très suivie par les médias locaux.> L'un des suspects a tué les deux bergers, les frères Koba and Soulkhan Arabouli, et les deux autres ont conduit leurs moutons dans un village où ils les ont vendus.

Les médias géorgiens avaient fait état de la mystérieuse disparition dimanche des bergers et de leurs moutons dans le village d'Akhalsopeli, près de la frontière avec l'Azerbaïdjan.

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200 dépouilles de moutons dans une ferme près de Nancy : La SPA porte plainte pour abattage illégal et actes de cruauté






Le 17 novembre dernier, la SPA a appris par une dépêche AFP l'abattage illégal de 200 moutons près de Nancy (54). Le service juridique de la SPA a immédiatement pris contact avec la gendarmerie et le directeur des Services de Protection des Populations de Moselle, pour obtenir confirmation des informations diffusées par la dépêche : le directeur déclarait que « les animaux étaient égorgés à même le sol, dans des box d'abattage faits de bottes de paille (..), certains animaux avaient les oreilles coupées de manière à empêcher toute traçabilité ».

La direction des services vétérinaires nous confirmait par ailleurs qu'une enquête était diligentée.

La SPA a décidé au vu des sévices et actes infligés sur les animaux de porter plainte contre l'exploitant du site pour abattage illégal et actes de cruauté.


Source : IFAW
22/11/2010

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http://pmaf.org/news/74/86/L-UNESCO-honorerait-elle-la-production-de-foie-gras.html
L’UNESCO honorerait-elle la production de foie gras ?



Depuis le 16 novembre 2010, le repas gastronomique des Français est inclus par l'UNESCO dans la « liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité ». Implicitement, l’organisation internationale glorifie donc la production de foie gras...

...de magrets de canard, de chapons ainsi que la multitude de mets français qui engendrent de la souffrance animale. C’est du moins ainsi que l’a entendu le CIFOG (l’interprofessionnelle du foie gras) qui dans le journal « Les Marchés » du 17 novembre, précise que cette reconnaissance « contribue encore davantage au rayonnement des produits de la gastronomie française dans le monde entier, à l’image du foie gras ». Cette inscription a été décidée par les vingt quatre États membres du Comité intergouvernemental de sauvegarde du patrimoine culturel immatériel. Les décisions de ce comité sont suivies avec attention dans le monde entier par des communautés de plus en plus conscientes de l’importance de sauvegarder leur patrimoine. D’après ce comité : « Le repas gastronomique met l’accent sur le fait d’être bien ensemble, le plaisir du goût, l’harmonie entre l’être humain et les productions de la nature. » Rappelons que par définition, le foie gras français est issu du foie d'un canard ou d'une oie spécialement engraissé par gavage. Suralimentés de force, ces animaux subissent lésions, douleurs et stress ; le plus grand nombre est enclavé dans des cages individuelles. Cette méthode d’alimentation forcée n’a évidemment rien de naturel !
La Protection mondiale des animaux de ferme regrette que l’état français déploie si peu d’efforts, pour ne pas dire aucun, pour trouver une alternative au gavage. Face à cet immobilisme, la production de foie gras industrielle est toujours florissante. Les fêtes de fin d’année approchent à grands pas, n’oubliez pas d’affirmer haut et fort : « Non au foie gras ! ».

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L’hécatombre de Kingersheim






La PMAF déplore la situation critique de l’élevage intensif « Alsace Oeufs » de Kingersheim où les 140 000 poules pondeuses de l’exploitation meurent les unes après les autres.

C’est suite à d’irréversibles difficultés économiques que cet élevage et les dizaines de milliers d’animaux y vivants dans des conditions déplorables, ont été laissés à l’abandon. L’état sanitaire critique des animaux a incité les services vétérinaires à refuser les adoptions et à demander l’euthanasie des animaux encore en vie. A cette étape, seule cette solution était encore envisageable afin d’abréger les souffrances des animaux.

Ce triste événement met en avant la multitude de problèmes que posent les élevages intensifs et les conséquences désastreuses pour les animaux. Densité d’individus extrêmes dans les bâtiments, vie en cage, manque de contrôles dans les élevages sont des situations que dénonce quotidiennement la PMAF. Les élevages intensifs sont malheureusement encore très présents en France : 80% des poules pondeuses vivent encore en cage. Il reste du chemin à parcourir pour améliorer les conditions de vie des animaux de ferme.

Source : PMAF

24/11/2010

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Maubourguet. Les chiens attaquent et tuent 74 moutons
http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/01/959989-Maubourguet-Les-chiens-attaquent-et-tuent-74-moutons.html


Les attaques sur les brebis sont toujours vécues comme un traumatisme profond par les éleveurs

La colère gronde chez les éleveurs de moutons du secteur de Maubourguet : 6 d'entre eux viennent d'adresser une lettre au préfet, après moult plaintes déposées en gendarmerie. Six éleveurs de moutons, quatre de Maubourguet, un de Larreule et un de Lafitole, viennent d'envoyer une lettre au préfet pour lui faire part de leur exaspération et de leur désarroi et surtout lui demander de prendre des mesures. En effet, depuis le mois de juin 2009, les attaques de chiens errants sur des moutons se multiplient sur le secteur. En juin 2009, 25 moutons sont tués chez Henri Nouvellon, à Maubourguet : un chien de type malinois est capturé et ramené à son propriétaire. En août, 21 moutons appartenant à Bernard Méniche sont tués : le propriétaire du chien refuse de reconnaître que son chien est responsable de l'attaque. Fin août, c'est le troupeau de Serge Tisserant qui est attaqué : une brebis morte. Quelques jours plus tard, Ezéquiel Lozano essuie une nouvelle agression : 12 brebis sacrifiées. Les 10 et 11 octobre dernier, 6 moutons chez Bernard Méniche de nouveau. Quinze jours plus tard, 4 autres et un autre le lendemain : Bernard Méniche réussit à capturer le chien : le même qu'en juin 2009. Dernière attaque le 11 novembre, à Larreule, chez Joël Berdy : 5 brebis au tapis.


Bêtes féroces


À chaque fois, une plainte est déposée à la gendarmerie : « Cela fait 74 moutons qui sont égorgés dans un rayon de 4 km en un an et demi, sans compter tous ceux qui ont été blessés. Les ours des Pyrénées ont-ils fait mieux ? Quand ce massacre s'arrêtera-t-il ? écrivent les éleveurs au préfet. Faut-il s'interposer devant ces bêtes féroces, sanguinaires, au risque de se faire attaquer soi-même pour apporter des preuves ? Quid des indemnisations ? Quid du traumatisme des éleveurs ? N'ayant aucune nouvelle de différentes plaintes déposées auprès de la gendarmerie, les propriétaires informent les maires des communes concernées et s'adressent à vous afin que les différents services de l'État puissent enfin mettre tous les moyens en œuvre pour arrêter ce massacre ».
De son côté, la gendarmerie n'est pas restée inactive, mais peut difficilement courir derrière les chiens. Les deux chiens mis en cause seraient des chiens de surveillance d'une entreprise de Maubourguet, qui échapperaient régulièrement à la surveillance de leur maître, qui refuse de reconnaître sa responsabilité pour l'instant. Pour toutes ces attaques, la gendarmerie est en cours d'investigations : si la divagation des chiens repérés est parfaitement avérée, leur implication dans ces attaques est loin d'être formellement établie. C'est le parquet qui décidera, in fine, de la suite à donner à cette malheureuse affaire qui tient les éleveurs sous le choc.


repères


Le chiffre : 74


Moutons > Morts. C'est le nombre de moutons qui auraient été tués lors d'attaques de chiens.
« Les ours des Pyrénées ont-ils fait mieux ? Quand ce massacre s'arrêtera-t-il ? »

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Boutx. Une vache tuée par balle
http://www.ladepeche.fr/article/2010/12/01/959920-Boutx-Une-vache-tuee-par-balle.html

En ce samedi matin, Nicole Bordes mène comme à son habitude, son troupeau pacager, au-dessus du village de Boutx, au lieu-dit La Chapelle. Le bétail emprunte le chemin puis gagne les prés. L'agricultrice contourne alors les lieux avec sa voiture, afin de vérifier que les clôtures ne sont pas endommagées. Ce petit contrôle quotidien ne dure pas plus de cinq minutes. Revenue près de son cheptel, elle gare son véhicule, en descend pour aller fermer l'enclos afin que les animaux ne s'échappent pas.


Trois explications possibles

Mais durant ces cinq minutes, une vache a été terrassée par une balle logée entre les deux yeux. Nicole la découvre allongée sur le sol, agonisante. Le choc est énorme : « La vache est née à la maison, il y a trois ans et demi. Qui a pu faire une chose pareille. C'est horrible », explique l'agricultrice, qui depuis qu'elle s'est installée 26 ans plus tôt au village, n'a jamais connu telle situation. Pour elle, trois explications sont possibles : la vache aurait été tuée pour la viande ; il pourrait s'agir d'un acte de malveillance ou encore une balle perdue par un chasseur. La question reste : que s'est-il passé à l'instant où les bêtes rentraient dans leur enclos et que Nicole faisait sa ronde ? Une question à laquelle la brigade de gendarmerie de Luchon, chargée de l'enquête va tenter de répondre.

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http://pmaf.org/news/76/86/Grands-froids-la-PMAF-reactive-son-plan-Vigiferme.html

Grands froids : la PMAF réactive son plan Vigiferme



Alors que la France connaît en ce moment une vague de froid intense, qui a surpris certains éleveurs et détenteurs d’animaux, la PMAF tente d’apporter des solutions en réactivant son plan Vigiferme...

La France connaît en ce moment une vague de froid intense, qui a surpris certains éleveurs et détenteurs d’animaux.
Ainsi, certains animaux d’élevage ont du affronter d’affilée plusieurs nuits glaciales tandis que d’autres passeront l’hiver au pré. Il est bien entendu essentiel que ces animaux disposent d’un minimum de protection contre ces intempéries.
En fonction de leur race, de leur état de santé, de leur âge, certains animaux peuvent passer tout l’hiver en extérieur sans rencontrer de difficultés majeures. Mais ce n’est pas toujours le cas !
Quel abri est nécessaire pour protéger les animaux de ferme face aux variations climatiques ? Quels sont les besoins spécifiques des différentes espèces ? Que dit la réglementation concernant l’exposition aux intempéries ?
A travers son plan Vigiferme, la Protection mondiale des animaux de ferme tente d’apporter toutes les réponses à ces questions.

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SEOUL, 7 déc 2010 (AFP) - La Corée du Sud va abattre plus de 100.000 têtes de bétail afin de stopper une épidémie de fièvre aphteuse, détectée cet automne, et qui fait suite à deux vagues successives en début d'année, a indiqué mardi le ministère de l'Agriculture.> L'abattage, qui a démarré, concerne 8.000 bovins et 96.000 porcs, a précisé le ministère, ajoutant qu'une enquête était en cours pour déterminer l'origine de l'épidémie.

Deux vagues de fièvre aphteuse, en janvier et en avril, avaient coûté au secteur agricole sud-coréen plus de 250 milliards de wons (165,40 millions d'euros) et provoqué l'abattage de 50.000 têtes de bétail

Le virus de la fièvre aphteuse, très contagieux, se transmet aux bovins, porcins, caprins et ovins, mais rarement à l'homme.

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Ces deux potes ont passé la soirée de vendredi dans une boîte de nuit à Bonneville, en Haute-Savoie.








Et samedi matin, quand ils se sont réveillés, ils ont découvert dans leur appartement… un veau. Passablement éméchés, en sortant de la discothèque, les deux hommes avaient volé le veau dans une ferme située à proximité de l’établissement de nuit. Ils ont ensuite chargé l’animal dans leur voiture et l’ont emmené à leur domicile, précise Le Dauphiné Libéré. Et samedi, quand les deux fêtards ont découvert le veau dans leur logement, ils ont pris la décision de le ramener à la SPA. Mais entre-temps, le propriétaire du veau avait déposé plainte à la gendarmerie. Les deux hommes ont été rapidement retrouvés par les enquêteurs. Entendus par les gendarmes, ils ont confié qu’ils avaient « emprunté » l’animal pour s’amuser. Des fêtards qui pourraient faire l’objet de poursuite pour vol, rapporte Le Dauphiné Libéré.

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BORDEAUX, 10 déc 2010 (AFP) - Une vache de 9 ans a donné naissance à des triplées, trois génisses en bonne santé, dans un élevage des Pyrénées-Atlantiques, un événement "exceptionnel", relève la fédération régionale des producteurs de lait.> La mise-bas a duré trois heures et demie, a-t-il rapporté à l'AFP, la première génisse est sortie toute seule entre minuit et 01H00 du matin, mais l'éleveur a dû repousser la deuxième pour "laisser passer" la troisième. Les trois nouveau-nés "se portent bien et pèsent entre 25 et 30 kilos chacune", a-t-il précisé.

C'est un événement "relativement rare, qui reste exceptionnel", a déclaré à l'AFP Max Aureille, vice-président de la fédération des producteurs de lait d'Aquitaine et Midi-Pyrénées

La mère biologique n'étant pas une vache laitière mais d'une race à viande, elle ne peut nourrir qu'une seule génisse, une autre a été adoptée par une Montbéliarde de l'élevage, mais M. Laporte cherche à acquérir une mère adoptante pour la troisième de la portée, qui, dans l'attente, tête au biberon.

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Spoy, dans l'Aube.










Mardi matin, la brebis, prénommée Moïse (après cette aventure...) s'était réfugiée sur une petite île au centre d'un étang gelé, situé route de Fravaux. Poursuivie par des chiens, elle s'est retrouvée là, il y a quelques jours, précise Libération Champagne. Comme il neigeait et que la température baissait, le propriétaire a donc appelé les pompiers du centre de secours de Bar-sur-Aube qui sont venus tenter de la sauver, sous les yeux de deux autres moutons restés sur la berge et qui ne pouvaient que bêler ! A l'aide d'un canot et malgré l'eau glacée sur une faible épaisseur, les pompiers ont réussi à s'approcher de l'îlot, mais ont fait peur à la brebis qui a sauté dans l'eau glacée... Transie, elle est vite ressortie pour revenir sur son lopin de terre. Finalement, les pompiers ont réussi à la calmer et à la ramener avec leur barque, sur la rive. Son état de santé étant satisfaisant, elle a été ensuite gambader avec ses congénères.

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Saint-Cirgues. Un agriculteur tué par un taureau


Alors qu'il soignait son troupeau au pré, Jean-Noël Cayrol a été chargé par le taureau. Cet agriculteur de Saint-Cirgues est décédé des assauts de l'animal, hier midi. Inapprochable. L'animal était encore au pré, hier après-midi, chacun se demandant que faire de ce taureau en furie, personne n'osant s'approcher. Vers l'heure du déjeuner, Jean-Noël Cayrol, un agriculteur de la Croix de Cros, à Saint-Cirgues (canton de Latronquière), a été victime des charges répétées et fatales de cette bête. S'inquiétant de ne pas le voir revenir, son épouse trouvera son mari gisant au sol, non loin de son tracteur. « Elle a voulu lui porter secours, mais elle n'a pas pu entrer dans le parc, car le taureau la menaçait. Elle a appelé les secours », rapporte un proche de la famille. L'agriculteur, âgé de 43 seulement, est décédé sous les assauts du taureau, une bête de race Holstein blanche et noire. « C'était quelqu'un de très attentif et proche de ses animaux. Il n'aurait jamais commis d'imprudence. Il savait la réactivité des mâles reproducteurs auxquels il avait déjà été confronté il y a plusieurs années, trouvant alors refuge sur un pylône, pour esquiver les charges d'un animal nerveux », évoque un habitant de la petite commune. Dans le monde agricole, les Holstein ont, semble-t-il, mauvaise réputation. Si les femelles constituent un troupeau de laitières idéales, les mâles ont un tempérament impulsif et nerveux. Les secours venus de Latronquière, Bagnac-sur-Célé et Figeac ont pu mesurer avec inquiétude la réactivité de ce taureau. « Nous avons dû écarter les bêtes, en les changeant de pré, pour pouvoir approcher du corps. Nous nous y sommes mis à plusieurs avec les pompiers, l'animal était vraiment dangereux, nous avons eu les pires difficultés », reconnaissent-ils. Jean-Noël Cayrol, seul dans son pré, n'avait donc aucune chance face à ce mastodonte qui avoisine les 1 000 kg. Sa femme a eu la présence d'esprit de ne pas pénétrer dans le pré ; certains disent qu'un autre drame aurait pu survenir. Cette disparition brutale laisse une famille effondrée et un village endeuillé. « C'était un homme courageux, un vrai bosseur, qui aimait son métier. Il avait repris la ferme familiale, après son père. Malgré les difficultés de la profession, il faisait face, s'impliquant énormément. Il était d'ailleurs l'un des responsables de la CUMA locale. Nous sommes sous le choc. Nous pensons à son épouse Véronique et à ses deux enfants. C'est une telle injustice », regrettait le maire de Saint-Cirgues, en lui rendant hommage, hier.

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