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pacemaker91

L'actualité des animaux de la ferme

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Antin. Des bêtes brûlées vives dans un incendie

Hier soir, dans l'incendie d'une ferme, plus de 30 truies et une centaine de porcelets sont morts, prisonniers des flammes. Les pompiers ont défoncé un mur pour sauver quelques bêtes. Une trentaine de truies et près de cent porcelets ont péri, hier soir, à Antin, dans l'incendie d'une vieille ferme faisant usage d'étable, de porcherie et de grange. Triste spectacle. Car ces animaux, ont été brûlés vifs. Ils n'ont pu échapper aux flammes en dépit des efforts conjugués des sapeurs-pompiers et des proches voisins, venus prêter main-forte. L'alerte a été donnée vers 17 heures, signalant que la bâtisse était entièrement embrasée. Fort heureusement personne n'y habitait. « Depuis la maison, mon fils a vu la fumée dans les combles du bâtiment où la paille était entreposée » raconte Josiane Doléac qui exploite la ferme avec Claude, son mari. Elle est sous le choc mais garde son sang-froid. « On a réussi à sauver les vaches » dit-elle, expliquant qu'elles se trouvaient dans un enclos jouxtant la porcherie. Hannes Reimer, son voisin qui a vu la fumée est accouru. Il a ouvert le portail pour leur permettre de s'échapper. Dans la panique générale le troupeau s'est affolé avant d'être regroupé dans un enclos. Pendant que les flammes et la fumée s'élèvent dans la nuit glaciale, une truie allaitante agonise dans le fossé. « C'est triste d'entendre des animaux crier » glisse un habitant du village. Les cris perçants des porcelets se mêlent aux beuglements tandis que près 33 soldats du feu, venus de Trie, Andrest, Rabastens, Capvern, Bordères, Bagnères et du Gers tentent l'impossible. Sous le commandement du capitaine Pellen, ils se sont déplacés avec 10 véhicules dont quatre engins de lutte contre l'incendie.


Ils ont défoncé le mur

Les pompiers ont défoncé le mur de la porcherie à la masse pour libérer les animaux, parvenant à faire un trou. Équipes de masques et de bouteilles, ils ont d'abord réussi à sortir une dizaine de porcelets. Et ensuite une truie en l'attrapant par la queue ou par les oreilles. Une autre a pu être sauvée. Des voisins ont encore essayé d'agrandir encore l'ouverture. Mais il a fallu abandonner à cause des menaces d'effondrement de la toiture. Certaines bêtes ont dû être euthanasiées. Au final, malgré les efforts déployés, la plupart ont péri. Seule l'enquête diligentée par les gendarmes de la communauté de brigades de Castelnau-Magnoac, Galan et Trie, permettra de déterminer l'origine de ce terrible incendie. Jean Maumus, le maire d'Antin était également sur les lieux, partageant l'émotion de tout un village






repères


Le chiffre : 33


sapeurs-pompiers sur les lieux > Hier à Antin. Ces soldats du feu sont venus de Trie, Andrest, Capvern, Bordères, Bagnères et du Gers.
« C'est triste d'entendre les animaux crier. C'est pas comme le cri du cochon à Trie. »

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< STRASBOURG (Parlement européen), 16 déc 2010 (AFP) - Les députés européens ont adopté jeudi une résolution demandant à la Commission européenne de ne pas repousser l'interdiction des cages de batterie conventionnelles pour les poules pondeuses.> A partir de cette date, les poules pondeuses ne pourront être élevées que dans des cages aménagées ou selon d'autres systèmes comme l'élevage au sol ou en liberté. Dans une cage aménagée, les poules doivent disposer de 750 cm2 au moins par poule, d'un nid, d'une litière, d'un perchoir...

Or, un "nombre considérable d'Etats membres" et "30% de la production d'oeufs de l'UE" ne respecteront probablement pas l'interdiction des cages non aménagées d'ici le 1er janvier 2012", faute d'avoir anticipé la mise en oeuvre de la directive ordonnant l'interdiction, constatent les eurodéputés.

La Commission doit "s'opposer fermement à toute tentative des Etats membres d'obtenir un report de ce délai" pour l'interdiction des cages de batterie, ont-ils demandé.

Un tel report "porterait gravement préjudice au bien-être des poules pondeuses". Il introduirait aussi une distorsion de concurrence entre les producteurs vertueux ayant fait l'effort d'investir dans des systèmes sans cages ou avec cages aménagées, et les autres.

Les eurodéputés s'inquiètent néanmoins de "pénuries" d'oeufs et d'"augmentations des prix", les oeufs qui ne sont pas produits dans le respect de la directive ne pouvant être légalement commercialisés dans l'Union européenne

Ces pénuries pourraient se traduire, paradoxalement, par une augmentation des importations d'oeufs et d'ovoproduits en provenance de pays tiers qui ne respectent pas les normes de l'UE.

La Commission doit rencontrer en janvier les principales parties prenantes et autorités compétentes afin de dresser un état des lieux de la mise en oeuvre de la directive.

En Europe, plus de 80% des poules élevées pour leurs oeufs sont détenues dans des cages de batteries, dans un environnement appauvri à l'extrême et un espace de vie ne dépassant pas la surface d'une feuille de format A4.


sl/aje/ai ef

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Les habitants de Nevers ont assisté à une chasse à la truie pas comme les autres, samedi, comme le rapporte LeFigaro.fr.


Une truie d'environ 150 kilos a réussi à quitter son enclos. Elle a ensuite décidé d'aller faire un tour dans les rues de Nevers (Nièvre). C'est un chauffeur de taxi qui a croisé l'animal et qui a averti les pompiers. Pendant ce temps, la truie s'est promenée en ville, notamment sur les trottoirs. Plusieurs policiers et pompiers ont été réquisitionnés pour intercepter l'animal qui a été maîtrisé avec l'aide d'un sapeur-vétérinaire puis amené à la fourrière. Un responsable des pompiers a précisé qu'il avait fallu une demi-heure pour retrouver la truie "qui divaguait dans les rues". Elle n'a pas causé de dégâts.

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Une chaîne de télévision de l'Oklahoma, aux États-Unis, a sauvé lundi matin un veau incapable de bouger au milieu d'un étang gelé, en se servant du souffle de son hélicoptère pour le pousser vers la rive.



Lundi matin dans l'Oklahoma, aux États-Unis, des journalistes ont porté secours à un veau échoué sur un étang gelé. Le propriétaire d'un ranch, en voyant son animal ainsi perdu sur la glace, avait fait appel à la chaîne de télévision locale KWTV pour lui venir en aide. C'est le pilote d'hélicoptère de celle-ci, Manson Dunn, qui a été dépêché sur les lieux, accompagné d'un caméraman qui a servi à immortaliser le sauvetage. En s'approchant du veau avec son appareil, il a pu utiliser le souffle provoqué par les hélices pour faire glisser l'animal sur la glace. Toute la difficulté de l'opération consistait à prendre en compte la direction du vent et celle du veau. La synchronisation parfaite des deux a permis de sauver le veau. Toutefois, cela ne s'est pas déroulé sans encombre puisqu'à quelques mètres du bord, la glace a cédé sous le poids de l'animal. Heureusement, ce dernier a réussi à se sortir de l'eau froide en nageant. A noter que ce n'est pas la première fois que Manson Dunn effectue ce genre de sauvetage. En effet, trois années auparavant, il avait déjà effectué une opération similaire pour sauver un cerf prisonnier d'un lac de glace là aussi.

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Visiblement, les canards auraient besoin qu'on leur apprennent le fonctionnement des escalators...


On se demande bien comment ce groupe de canards a pu se retrouver ainsi dans ce centre commercial à utiliser les escalators ? Il n'empêche que les volatiles ne semblent pas avoir tout compris au fonctionnement de ces escaliers mécaniques. Se retrouvant sur l'un deux en marche descendante, les canards, malgré leurs efforts, ne parviennent évidement pas à monter les marches. S'ils gravissent chaque marche à un rythme soutenu, ils se retrouvent bien malgré eux repoussés inexorablement vers le bas. Une escalade sans fin qui a dû leur prendre des heures, mais qui a suscité la joie et l'hilarité des passants de ce centre commercial, étonnés de voir des canards dans un lieu si insolite !

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Dans la petite commune de Lalleu au sud de l'Ile-et-Vilaine, un habitant sur trois élève des poules. mais voilà, le maire, sans étiquette, ne supporte pas le bruit engendré par ces gallinacés.



Dans un arrêté "contre les nuisances sonores" , il met en garde les propriétaires de chiens, de pintades et de coqs relate Ouest-France.

Lire la suite : http://fr.news.yahoo.com/63/20110121/tod-le-maire-interdit-aux-coqs-de-chante-366b5ef.html

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Montauban, dans le Tarn-et-Garonne.





Fernand, 82 ans, possède une quinzaine de poules lui fournissant quelques œufs chaque jour. Il en fait quelques omelettes délicieuses destinées à sa consommation personnelle, précise La Dépêche.


Personne n'en aurait rien su s'il ne s'était pas produit un phénomène étrange dans la ponte d'une poule ! En général, les œufs ont une forme bien connue, mais Fernand en a trouvé un qui ressemble, comme il dit « à une petite saucisse de Strasbourg ». C'est sa fille, Martine, employée de librairie, qui se charge de montrer à son entourage et à ses amis la trouvaille de son papa. Avez-vous déjà eu l'occasion de voir des œufs de poule qui n'ont pas la forme d'un œuf ?

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< SOFIA, 31 jan 2011 (AFP) - Les autorités bulgares ont détecté lundi un troisième foyer de fièvre aphteuse dans le sud-est de la Bulgarie, à la frontière bulgaro-turque, a annoncé le service vétérinaire national.> Les 149 animaux du village - bovins et ovins - qui pourraient être infectés seront abattus par précaution, a ajouté le service vétérinaire.

Le village se trouve dans la région de Malko-Tarnovo où se situent les deux premiers foyers détectés les 10 et 17 janvier. Les autorités vétérinaires ont examiné quelque 1.100 animaux dans cette région et seuls 13 tests se sont avérés positifs.

Il s'agit des premiers foyers de fièvre aphteuse depuis 12 ans en Bulgarie

Cette maladie très contagieuse qui touche le bétail, mais pas les hommes, serait venue de Turquie, selon les autorités bulgares.

Un premier cas de fièvre aphteuse avait été constaté le 5 janvier sur un sanglier abattu fin décembre.

Le Bélarus a récemment décidé d'interdir temporairement l'importation de viande de Bulgarie en raison des risques de contamination. L'embargo touche notamment les brebis, les chèvres, les bovins et les porcs, ainsi que la nourriture pour ces animaux.


vs/ilp/jh[email=chcapel@orange.fr][/email]

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Scène particulièrement insolite dans le centre-ville de Valenciennes, dans le Nord, ce lundi matin.



Un cochon tombé d'un camion qui le conduisait à l'abattoir a semé la pagaille dans les rues de la ville, rapporte L'Observateur du Valenciennois. Policiers municipaux et employés de la ville ont eu les plus grandes peines pour le capturer. Le cochon ne semblait pas être pressé de retrouver le chemin de l'abattoir...

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@Choupi91 a écrit:
Scène particulièrement insolite dans le centre-ville de Valenciennes, dans le Nord, ce lundi matin.



Un cochon tombé d'un camion qui le conduisait à l'abattoir a semé la pagaille dans les rues de la ville, rapporte L'Observateur du Valenciennois. Policiers municipaux et employés de la ville ont eu les plus grandes peines pour le capturer. Le cochon ne semblait pas être pressé de retrouver le chemin de l'abattoir...


ça se comprend

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Voici une excentricité de plus dont seuls les Britanniques ont le secret. Car l'un des sujets de sa Gracieuse Majesté a en effet eu l'idée d'ouvrir le premier hôtel... pour les poules!


On doit cet établissement étonnant à David Roberts, un Anglais de 31 ans qui a eu l'idée saugrenue d'ouvrir un hôtel pour poulets. Baptisé "The Chicken Hotel", ce lieu situé dans la ville de Helston, dans le comté des Cornouailles, offre à ses clients très particulier le gîte et le couvert en pension complète. David Roberts dit avoir eu l'idée de ce projet pour répondre au problème des personnes qui migrent de plus en plus vers la campagne et qui sont également désireuses de posséder chez elles quelques poules à élever. Or, quand celles-ci s'absentent pour les vacances, plus personne ne s'occupe des animaux. C'est pourquoi David Roberts se propose de s'en occuper à leur place en fournissant aux poules un poulailler et un repas à base de grains trois fois par jour. Les poules peuvent ainsi gambader en toute liberté et profiter de leurs vacances, jusqu'au retour de leurs propriétaires

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DRAGUIGNAN (Var), 1 fév 2011 (AFP) - Un TGV Paris-Nice a heurté un troupeau de moutons mardi en début d'après-midi sur la commune du Muy (Var), où aucun passager n'a été blessé mais une trentaine d'ovins ont été tués ou blessés, a-t-on appris auprès de la gendarmerie.> Selon la même source, la motrice a été endommagée et remorquée jusqu'en gare des Arcs-sur-Argens.

Après 16H00, la circulation ferroviaire a pu reprendre en sens alterné, puis normalement après que des contrôles eurent été effectués sur le ballast.

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http://www.nicematin.com/article/cote-dazur/le-broc-la-vache-lucie-est-debout

Cette vache allongée dans la boue depuis dix jours a été relevée hier par les pompiers à l’aide d’un treuil. Mais elle n’est pas encore tirée d’affaire






Lucie sera-t-elle sauvée ? La question est sur toutes les lèvres. Cette jolie vache de race « abondance » est allongée dans la boue depuis une dizaine de jours. La faute à un vêlage qui s’est mal passé et a vidé de ses forces la pauvre bête. Tombée dans un trou, elle en a été sortie par ses propriétaires. Elle est depuis, incapable de se relever seule.
Hier matin, 9 h 30. Nous remontons au village retrouver la génisse qui a passé la nuit sous une montagne de couverture et de foin.




Nous arrivons en même temps que les pompiers : le Groupe de Sauvetage Animalier et l’unité de Sauvetage et Déblaiement. Patrick Villardry, président de la Société de Défense des Animaux est sur le pied de guerre : « Personne ne m’arrêtera à partir de maintenant. On va sortir cette bête de là. »

Une chèvre pour sauver une vache

Lucie, elle, n’a pas bougé. Du coin de l’œil, elle semble observer tout ce monde qui s’affaire. Comprend-elle que c’est pour la sauver ?

10 h 30, les pompiers sont à pied d’œuvre. Véronique Vienet, la vétérinaire du GSA, administre des fortifiants à la génisse par voie intramusculaire et prend sa température. Première bonne nouvelle, celle-ci est remontée et la bête n’est plus en hypothermie. Thierry Baugé, son propriétaire, est là depuis 8 heures : « Elle a l’air d’aller mieux, elle m’a même poussé avec ses pattes ce matin ! Elle a aussi bien bu, mais elle refuse de manger. »

Les pompiers discutent, cherchent la meilleure solution. Finalement, décision est prise de la soulever avec une chèvre (dispositif de levage) pour la remettre sur ses pattes et de « voir après ».
À midi, la chèvre arrive. Gros tuyaux gris et enchevêtrement de câbles et de cordes. Une fois dépliée, elle ressemble à une araignée géante, qui enjambe la vache, toujours allongée sous son tas de paille. On enveloppe la bête dans un harnais rouge et Véronique Vienet décide de l’entraver « pour travailler en toute sécurité ».

« Allez ma grosse » l’encourage-t-elle, « maintenant c’est à toi de jouer ! »

« Fais-moi plaisir », chuchote Patrick Villardry à l’oreille de l’animal. Tout le monde attend. La tension monte.

Midi et demi, l’installation est en place. À l’aide d’un tire-fort, les pompiers commencent à hisser Lucie qui ouvre de grands yeux.

Après quelques efforts, elle est debout. Mais très faible. Sans le harnais, il est évident qu’elle tomberait. Ses pattes ne la portent plus et sa tête pend, sans force.

Rapidement, ils sont six à s’activer autour d’elle, à la bouchonner avec de la paille. Et au bout de quelques minutes, Lucie commence à redresser la tête. Des sourires apparaissent sur les visages. Mais ce n’est pas encore gagné. Loin de là.

Après de longues discussions, la décision est prise : « On la laisse comme ça pour cette nuit », tranche la vétérinaire. « Pour qu’elle se remette et qu’elle se dégourdisse les pattes. On avisera demain, suivant son état ».

Encore une nuit dehors pour Lucie. Tous espèrent que ce sera la dernière. Et prient pour une issue positive.

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Myennes dans la Nièvre.

Mercredi, un camion transporte 5.000 poulets à l'abattoir, sur une route de la Nièvre (la D955), lorsqu'il dérape sur du verglas, précise Le Journal de la Saône. Il glisse, et sa cargaison, qui est constituée de centaines de caisses en plastique empilées contenant les poulets, se met en travers de la route. La circulation est alors bloquée sur cet axe fréquenté. Le chauffeur n'a pas été blessé, mais la plupart des poulets ont été tués sur le coup...

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Un cochon poilu immobilise la police




Image ©️ Police cantonale





Une patrouille de la police bâloise s’est trouvée nez à nez avec un "usager de la route" un peu particulier et pas très commode lundi matin (hier) à Brislach (BL).

le 22 février 2011, 10h03
LeMatin.ch & les agences


Les agents ont vu leur route barrée par un...cochon à poil laineux guère décidé à leur céder le passage. Après quelques encouragements des policiers, l’animal échappé d’une ferme voisine a finalement daigné s’écarter, a précisé mardi la police bâloise. AP

http://www.lematin.ch/actu/cochon-poilu-immobilise-police-386760

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Pas d'animaux de rente sans cornes !
Depuis des années, la Fondation Franz Weber met au pilori les mutilations infligées aux animaux de rente, à travers l'écornage. En conséquence, elle soutient la proposition de récompenser avec un bonus les paysans qui laissent les cornes à leurs animaux de rente.

Depuis de nombreuses années, la Fondation Franz Weber s'engage pour le bien-être des animaux en Suisse et contre l'écornage des animaux de rente (particulièrement, les vaches et les chèvres), une pratique cruelle, qui provoque des dommages physiques et psychiques durables aux animaux, de même qu'elle détruit la hiérarchie sociale du troupeau.

En 2010, la FFW a intensifié sa campagne en faveur des animaux de rente avec leurs cornes à travers la publication d'articles, la diffusion de cartes postales et d'un calendrier largement considéré « Nos vaches - notre Suisse », qui a notamment été distribué auprès de tous les parlementaires suisses.

La FFW soutient le projet de deux agriculteurs romands, Armin Capaul et Daniel Wismer, qui ont exigé dans une lettre ouverte adressée à l'Office fédéral de l'agriculture (OFAG), l'instauration d'un bonus, dans le cadre des paiements directs à l'agriculture suisse, pour les paysans qui laissent les cornes à leurs animaux, comme compensation pour les éventuels frais supplémentaires et pour encourager la prise en considération du bien-être animal. La FFW adhère pleinement à cette exigence.

L'écornage des vaches et des chèvres est une mutilation douloureuse et dégradante, qui n'a pas sa place dans l'agriculture moderne en Suisse.

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Publiée dans la revue Public Library of Science One, une étude britannique montre chez le mouton des capacités cognitives inattendues. Ce qui pourrait grandement aider la recherche médicale en neurologie.







C'est dans l'optique de les utiliser dans la recherche sur la maladie de Huntington - une affection neuro-dégénérative qui perturbe le contrôle musculaire - que Jenny Morton, spécialiste de neurosciences à l'Université de Cambridge, a testé l'intelligence de 7 moutons. La longévité et la taille de ces animaux, plus proches de celles de l'homme que chez la souris, sont en effet propices à l'étude de cette pathologie. Résultats : au bout de 7 essais - tout comme chez les petits singes et les rongeurs -, les moutons sont capables de sélectionner, parmi deux seaux de couleur différente, celui qui contient de la nourriture, et s'adaptent lorsqu'on intervertit la signification des couleurs. Des résultats encore plus surprenants lorsqu'on associe cette fois la nourriture à des formes, tout en conservant deux couleurs comme leurre. "Les moutons ont appris que la couleur n'était plus pertinente et que la forme était ce qui importait. Il s'agit d'un changement de règle vraiment sophistiqué et c'est généralement quelque chose que même les humains prennent du temps à apprendre. Les souris et les rats ne peuvent pas le faire du tout. Les ouistitis prennent plus de temps que les moutons, lesquels sont toutefois moins rapides que les macaques Rhésus. Donc, nous pouvons probablement classer le mouton un peu comme 'un singe lent' en termes d'intelligence", conclut Jenny Morton.

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Aux États-Unis, lors d'un show de rodéo, un taureau a échappé à la vigilance de tout le monde et est parvenu à atteindre les gradins, causant alors une importante panique.


Dans les compétitions de rodéo aux États-Unis, il existe plusieurs épreuves, comme le Bronc Riding. Éprouvante, celle-ci consiste à monter sur un cheval sauvage et à se maintenir en selle durant un temps imparti. Vient ensuite l'épreuve du Roping qui veut que l'on capture un veau au lasso, et celle du Bull Riding qui demande aux participants de tenir sur le dos d'un taureau plusieurs secondes et d'une seule main. C'est sans doute lors de cette dernière épreuve qu'un accident a eu lieu le 26 février dernier, en Caroline du Nord. Alors que le spectacle se déroulait parfaitement, un taureau est parvenu à se précipiter vers les gradins et à sauter au dessus de la balustrade. Une scène filmée par un spectateur qui n'a causé par chance aucun blessé.

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Alban. Les brebis piégées par les flammes


http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/08/1030160-Alban-Les-brebis-piegees-par-les-flammes.html
Un bâtiment d'élevage a été ravagé par les flammes hier, en début de soirée, à Alban, au lieu-dit «La Fon». Un violent incendie a démarré vers 18h15 dans l'ancien bâtiment de pierres qui, en l'espace d'une heure, a vu sa toiture d'ardoises s'effondrer. Le propriétaire, Jean Rodière, très ému, a raconté comment de la salle de traite adjacente il avait fait remarquer à son fils, Christian, qu'après une belle journée et avec l'allongement des jours, le soleil rougeoyant pouvait se refléter sur le mur d'en face. Hélas, la réalité mit dramatiquement fin à l'évaluation poétique. L'ancienne bergerie qui abritait 130 brebis et 8 vaches brûlait avec intensité. Les pompiers d'Alban, Saint-Juéry, Albi et Réalmont en renfort avec grande échelle et fourgon-pompe tonne luttaient contre la rapide progression du feu. Dans la grange à la charpente de bois désormais calcinée, du matériel agricole a été détruit, notamment un pulvérisateur tout neuf. Hier soir, les dégâts n'étaient pas encore précisément évalués mais le pire est à craindre quant aux animaux n'ayant pu être dégagés. Des soucis supplémentaires dont se seraient bien passés ces agriculteurs.

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la suite du poste précédent :

Alban. Un lourd sinistre pour l'éleveur



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Un incendie a détruit une grange lundi soir dans un hameau d'Alban. Huit génisses et 100 agnelles ont péri dans le sinistre. Hier matin, les pompiers étaient encore sur place.
l'essentiel t
L'incendie qui s'est déclenché lundi vers 18 heures au lieu-dit «La Fon» à Alban (lire notre édition de mardi) va se solder par de gros dégâts matériels et la perte d'animaux d'élevage. Pas moins de 34 sapeurs-pompiers venus de 5 centres de secours du département (Alban, Albi, Carmaux, Réalmont et Saint-Juéry) auront été mobilisés sur ce feu agricole.
Hier matin les pompiers étaient toujours sur place pour surveiller l'état des cendres et éviter toute éventuelle reprise, d'autant plus que durant le sinistre le vent d'autan avait commencé à se manifester augmentant d'autant les risques de développement des flammes.
100 agnelles ont péri


Au lendemain de ce brasier particulièrement virulent, en plus du bâtiment, les dégâts s'établissent à une centaine de jeunes agnelles mortes ainsi que huit génisses limousines. La ferme étant un peu isolée au fond d'un val, le sinistre a eu le temps de se développer avant que l'alerte ne soit donnée et que des voisins ayant aperçu une colonne noire de fumée ne viennent offrir leur aide spontanément. Ainsi quelques jeunes brebis (une trentaine) ont-elles pu être sauvées mais leur pronostic de vie reste encore engagé en raison des toxines qui se dégagent avec la fumée. « Une bâtisse de 70 ans avec un toit en ardoises » comme le décrivait le propriétaire qui a connu dix-sept ans auparavant un incendie en été qui avait alors détruit bâtiment et fourrage à l'intérieur.

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Il était un peu après minuit, mercredi, quand cet éleveur, âgé de 62 ans, a été piétiné par quatre vaches et une génisse, alors qu’il se trouvait dans une grange de son exploitation agricole à Oléac-Debat, dans les Hautes-Pyrénées.


C’est son épouse qui a donné l’alerte après avoir découvert son époux dans la grange, rapporte La Semaine des Pyrénées. Quand les pompiers sont arrivés sur les lieux du drame, ils n’ont pu que constater que l’éleveur était décédé d’un arrêt cardiaque. Une enquête a été ouverte par la gendarmerie.

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< GENEVE, 11 mars 2011 (AFP) - La Suisse a interdit vendredi aux autres pays le transit sur son sol des chevaux et volailles de boucherie, pour des raisons de protection des animaux.> La Suisse interdit le transit sur son sol des animaux de boucherie "à cause de la réglementation de la protection des animaux qui interdit des transports plus longs de six heures", a précisé à l'AFP la vice-directrice de l'Office fédéral vétérinaire, Prisca Grossenbacher.

Elle a expliqué que Berne a décidé d'ajouter à la liste les chevaux et volailles "par souci d'exhaustivité bien que le nombre de ces animaux transitant par la Suisse est faible".

L'interdiction de transit pour les chevaux et la volaille destinés à la boucherie entre en vigueur en avril.

La Suisse, qui dispose notamment d'un parti pour les animaux mais qui a toutefois refusé une initiative populaire voulant introduire des avocats pour chiens, chats et autres bêtes, estime que du point de vue du bien-être animal, les animaux ne devraient pas subir de longs transports dans le seul but d'être abattus.


apo/hmn/

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Une étude britannique révèle que les poules sont aussi sensibles que les hommes aux souffrances de leurs semblables. De quoi faire réfléchir sur les conditions d'élevage des poulets en batterie.







Le magazine anglais Proceedings of Royal Society vient de publier une étude mettant en évidence que les poules éprouvent elles aussi de l'empathie. Les chercheurs de l'Université britannique de Bristol ont noté la réaction des poules dont les poussins avaient les plumes ébouriffées par des souffles d'air. Les résultats ont montré que leur rythme cardiaque et leurs gloussements augmentaient. Un des membres de l'équipe, explique Sciences et Avenir, indique que "savoir dans quelles mesures les animaux sont affectés par la détresse de leurs semblables est d'une grande importance pour le bien-être des animaux de ferme et de laboratoire". Or il semble évident que les poules ont la capacité d'être affectées et de partager l'état émotionnel de leurs semblables. Les élevages en batterie qui torturent les animaux feraient donc souffrir les animaux blessés mais également les animaux qui assistent à cette douleur. Les souris elles aussi font preuve d'empathie et de compassion, elles ont davantage mal si elles voient d'autres rongeurs souffrir.

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SOFIA, 24 mars 2011 (AFP) - Un nouveau foyer de fièvre aphteuse a été détecté en Bulgarie dans un troupeau du village de Granichar (sud-est), a indiqué jeudi le ministère de l'Agriculture.> Il s'agit du cinquième foyer de fièvre aphteuse cette année dans le pays.

Environ 950 animaux, vaches, moutons, chèvres et cochons, ont été abattus dans le sud-est du pays depuis janvier

La maladie n'avait plus frappé la Bulgarie depuis 12 ans

Cette infection très contagieuse qui touche le bétail, mais pas les hommes, serait venue de Turquie, selon les autorités bulgares.

Un premier cas de fièvre aphteuse avait été constaté le 5 janvier sur un sanglier abattu fin décembre.

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Alertée de la situation « déplorable » dans lequel se trouvait un troupeau de taureaux de race camargue, la SPA des Baux-de-Provence est intervenue auprès de la direction départementale de la protection des populations du Gard (DDPP) pour faire saisir les bêtes chez un manadier gardois.

L’opération s’est déroulée en trois temps et dans le calme, les 17, 18 et 25 mars derniers, à Beauvoisin, Générac et Vestric-et-Candiac, dans les pâturages de la manade Vassas, dont le siège est à Bernis.

« Les 102 animaux, des femelles sur le point de mettre bas, des veaux et des taureaux, très affaiblis, n’étaient ni nourris, ni soignés. Heureusement, les bêtes rescapées ne souffraient d’aucune maladie contagieuse », souligne Daniel Meyssonnier, président
de la SPA provençale. Thierry Laurent, directeur de cabinet du préfet du Gard, précise qu’avant l’arrêté d’enlèvement, signé le 16 mars, la DDPP (compétente aussi en matière de santé et de protection animale), avait convoqué l’éleveur à plusieurs reprises et l’avait mis en demeure de nourrir le cheptel.

« À partir de fin février, des visites de contrôle quotidiennes ont été faites dans les pâturages. Dix cadavres de taureaux ont néanmoins été trouvés dans les prés lors de l’opération d’enlèvement ». Une plainte pour maltraitance a été déposée auprès du procureur de la République de Nîmes. Désormais à l’abri dans la plaine de la Crau, le troupeau aura besoin de soins pendant plusieurs mois avant de recouvrer la santé. « Cela va coûter 7 000 € par mois à la SPA, et nous avons donc besoin de toute urgence que la solidarité se manifeste », alerte Daniel Meyssonnier.

« On ne s’improvise pas éleveur. Il faut être solide sur le plan financier pour payer le fourrage et les soins. Il faut aussi disposer d’une surface suffisante de pâturages. Nous sommes très vigilants car nous savons déjà eu un cas similaire dans le Gard à l’automne dernier. La DDPP multiplie les contrôles pour éviter que des taureaux en mauvais état participent aux fêtes locales, car cela porte atteinte à l’image des traditions », note encore Thierry Laurent.


http://www.midilibre.com/articles/2011/03/28/A-LA-UNE-102-taureaux-fameliques-saisis-dans-le-Gard-1576210.php5

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Gaillac. Des chiens attaquent encore les brebis de Jeannot Soulet


http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/04/1050407-Gaillac-Des-chiens-attaquent-encore-les-brebis-de-Jeannot-Soulet.html

Les moutons de Jeannot Soulet semblent la cible et la proie favorite des prédateurs. Alors que le propriétaire du troupeau recevait le solde des dégâts survenus le 16 octobre 2010 dans sa bergerie, des chiens ont de nouveau attaqué les brebis. les gendarmes de Rabastens sont arrivés très vite pour constater les résultat: une brebis morte, deux et un agneau blessés. Les chiens ont défoncé une partie de la la clôture. «On a en permanence l'appréhension de trouver le troupeau décimé quand nous allons le voir» indique Jeannot Choulet.

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SOFIA, 4 avr 2011 (AFP) - Les services vétérinaires bulgares ont détecté lundi un nouveau foyer de fièvre aphteuse dans le sud-est du pays, où cette infection très contagieuse pour le bétail ne cesse de s'étendre depuis le début de l'année, selon le ministère de l'Agriculture.> Près de 1.500 animaux ont été abattus dans huit villages longeant la frontière depuis janvier, quand la maladie a été diagnostiquée sur un sanglier. Il s'agissait du premier cas de fièvre aphteuse depuis douze ans dans le pays.

Cette maladie affecte les animaux comme les bovins, les porcs, les cerfs, les chèvres et les moutons, mais n'est pas une menace directe pour la santé de l'homme.

Sofia avait annoncé en janvier vouloir reconstruire une clôture de barbelés dans le sud du pays, le long de sa frontière de 143 km avec la Turquie, afin de limiter la propagation de la fièvre aphteuse.

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LIMOGES, 6 avr 2011 (AFP) - Des gendarmes aidés de tireurs sont à l'affût depuis deux jours pour traquer un chien errant responsable de la mort de 34 moutons en une semaine autour d'Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), a-t-on appris mercredi auprès de la direction départementale des territoires du Limousin (DDT).> Pilotée par la gendarmerie, avec l'appui des services de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) et de louvetiers de la DDT, l'opération conduite depuis deux jours par une quinzaine de personnes a pour l'heure ramené le calme au sein des troupeaux.

Mardi, "l'animal a été tiré de trop loin et n'a été que blessé. Il n'a pas sévi la nuit dernière et nous pensons qu'il n'est plus dans le secteur", a indiqué Bernard Triffaud, louvetier à la DDT.

Néanmoins, les gendarmes ont mené trois traques mercredi à la recherche d'indices pour localiser à nouveau le chien et le mettre hors d'état de nuire.

L'enquête a révélé que ce chien errant à la robe noire est de type labrador, et les faits ont confirmé qu'il était "méfiant" car "très difficile à approcher", a souligné M. Triffaud.

Les responsables pensent que cet animal avait déjà sévi sur la même zone en septembre et octobre derniers quand 90 moutons avaient été égorgés par plusieurs chiens. Un seul avait été appréhendé et les analyses avaient révélé qu'il avait de la laine de mouton dans l'estomac.

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http://www.lepost.fr/article/2010/11/19/2310526_l-eleveur-qui-purgeait-ses-canards-avec-du-cannabis.html

Le tribunal de Rochefort a jugé hier et condamné à de la prison avec sursis un éleveur de canard qui alimentait ses palmipèdes avec du cannabis, raconte Sud Ouest.

« Bah oui, j'en ai 150, et depuis deux ans à partir de décembre je leur donne les feuilles à manger. Croyez-moi, y'a pas meilleur vermifuge pour eux, un spécialiste me l'a conseillé », a-t-il expliqué au tribunal.

"Au siècle de la cuisine moléculaire, pourquoi en effet ne pas imaginer accélérer ainsi la délicieuse cirrhose coin-coin par le gavage à la pelouse jamaïquaine plutôt qu'au traditionnel pop-corn gersois ? ", commente le journal qui juge le sort des canards charentais plus enviable que celui des biquettes des Deux-Sèvres où l'on condamnait en effet la veille à cinq mois de prison un violeur-étrangleur de chèvres.




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source : Télé animaux

NANCY, 12 avr 2011 (AFP) - Des bergers vosgiens sont convaincus que ce sont des loups qui ont tué une vingtaine de brebis en moins d'une semaine dans le village de montagne de Ventron, mais les autorités privilégient l'hypothèse de prédateurs canins, a-t-on appris de l'Office national de la chasse.> Depuis jeudi dernier, l'inquiétude a saisi le village de Ventron. En trois attaques nocturnes, 21 brebis ont été tuées, par morsure à la gorge, et six blessées

"Pour nous, c'est forcément des loups. On nous parle d'attaque de chiens, mais on les aurait forcément vus, entendus", a affirmé à l'AFP Patrice Munsch, le berger dont les bêtes ont subi les deux dernières attaques, L'Office national de la chasse (ONC) des Vosges, qui s'est saisi de l'affaire, a expliqué à l'AFP "ne négliger aucune piste", mais a estimé que "le plus probable est que ce soit dû à des chiens".

"C'est possible que ce soient des loups, mais il faut raison garder", a insisté un porte-parole de l'ONC, alors que des prélèvements sur les brebis sont en cours, afin de comparer l'ADN des agresseurs avec ceux de chiens environnants.

Les spécialistes reconnaissent que ce type d'attaques, "très rare", est généralement le fait de lynx, hypothèse en l'état écartée.

Un scientifique du Centre national d'études et de recherches appliquées sur les prédateurs et animaux déprédateurs (CNERA-PAD) s'est rendu mardi dans les Vosges pour procéder à des relevés de morsures et d'indices, notamment des excréments, poils ou empreintes.

"L'attaque typique de loup, ce sont des morsures au cou, très profondes, les os brisés, la peau en chaussette, avec de gros hématomes et gros taux de consommation, jusqu'à 10 kg par animal", a expliqué à l'AFP un porte-parole du CNERA-PAD.

Le loup, qui avait disparu en 1937 du territoire national, s'est réimplanté depuis 1992. Il est notamment présent dans les Alpes et les Pyrénées.

"Il peut se disperser et parcourir plusieurs centaines de kilomètres" a précisé le porte-parole du CNERA-PAD.

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source télé animaux

< TOULOUSE, 21 avr 2011 (AFP) - Un éleveur de 60 ans a été tué par le veau de 250 kilos qu'il venait d'amener à l'abattoir de Puylaurens (Tarn), a indiqué la gendarmerie jeudi.> La victime a eu le crâne fracturé et est morte sur place.

Les Abattoirs Puylaurentais ont été ouverts il y a deux ans, et le couloir d'admission est aux normes, a précisé la gendarmerie.


gcv/lal/df

au moins des abattoirs qui servent vraiement à quelque chose !

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Une vache qui s'était échappée samedi matin d'une ferme au sud-ouest de Graz, en Autriche, a terminé dans la soirée son escapade dans la piscine d'une propriété, selon un communiqué de la police dimanche.



Après avoir quitté son étable, l'animal a erré pendant des heures, se rapprochant des faubourgs de Graz, deuxième ville d'Autriche dans l'est du pays. Le bovin commençait à faire des dégâts, et la police s'apprêtait à neutraliser l'animal. La vache est entrée dans une rue d'un quartier d'habitation, a sauté une clôture avant d'atterrir dans la piscine d'une propriété.

Rafraichie et calmée, la vache s'est laissé docilement reconduire dans son étable. AP

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