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pacemaker91

L'actualité des animaux de la ferme

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/10/05/687163-Un-troupeau-de-brebis-attaque-par-un-ours.html

Dimanche, au lever du jour, Alain Porté, l'un des cinq éleveurs baroussais à avoir encore son troupeau d'ovins à Sarrat-Bieilh (Hautes-Pyrénées), a découvert lors d'une tournée de surveillance, une brebis morte et une seconde blessée.
Arrivé sur ce lieu d'estive, ce dernier a rapidement eu le sentiment que l'attaque s'était produite dans la nuit ou au petit matin. « Les bêtes étaient dispersées en trois ou quatre groupes alors qu'en temps normal, elles se regroupent sur un même point. Elles semblaient apeurées ».
Alain Porté a aussitôt chargé la brebis encore vivante dans son véhicule pour se rendre chez François Nogues, son propriétaire, qui sur le champ a appelé la clinique vétérinaire de Montréjeau. Le vétérinaire, Philippe Casamitjana, s'est rendu à Gaudent pour examiner l'animal qu'il a dû euthanasier. Pour lui, les lésions évoquent non pas des morsures de chien mais bel et bien des griffures d'ours. En effet, attaquée sur le flanc droit, la brebis présente, entre autres, des marques profondes et parallèles au niveau du thorax à droite, derrière la patte avant. « Il s'agit d'une plaie d'une quinzaine de centimètres faite par l'équivalent de cinq couteaux venus lacérer dans le même sens le thorax, et ce, de manière très profonde, ce qui correspond à l'emprise d'une patte d'ours, il n'y a pas de confusion possible sur ce type de plaie, c'est flagrant » précise le vétérinaire qui conclut à des plaies par griffures d'ours. Chez les éleveurs c'est la colère. Ils ont vraiment le sentiment d'être insuffisamment informés par le comité du suivi de l'ours, sur le terrain. « Quand on rencontre des techniciens sur les lieux d'estives, ils sont dans l'incapacité de nous préciser la localisation de l'ours. Mieux renseignés, nous pourrions éviter ce genre de situation très fâcheuse et ne pas avoir à déplorer la perte de nos bêtes comme aujourd'hui. Ils ne jouent pas le jeu ».
Dans l'après-midi, les éleveurs se sont rendus à Sarrat Bieilh afin de faire le point sur la situation dans les estives et de mesurer l'ampleur des dégâts.
Depuis la disparition de Franska, voici trois ans, les éleveurs de la Barousse dormaient en paix. Le fantôme de l'ours est revenu et ils en sauront sûrement plus aujourd'hui avec la visite attendue de l'équipe du suivi.

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C’est l’histoire d’Alexandra , qui habite dans un logement social à Malines (Belgique).



Les voisins ne supportent plus son cochon de 80 kg...

Cela fait trois ans qu’elle vit avec un animal de compagnie peu commun, Flurk, un cochon de 80 kg!
Comme on peut l’imaginer, ses voisins ont fini par être incommodés et par se plaindre! Ils veulent que l’animal quitte les lieux parce qu’il "dérange et sent" raconte Le Matin... C’est donc un juge de paix qui va décider de son sort.
Selon sa propriétaire, le cochon dort toute la journée sur une couverture et il est propre… Elle ne le verrait pas s’habituer à une autre maison ou ferme… Elle le croit heureux et craint qu’il meure de chagrin en quittant son appartement...
Mais Alexandra va se défendre, avec un argument de choc: "dans le règlement de police de Malines, il est dit clairement que le cochon est un animal de compagnie."
Qui en douterait ? Mais de là à le garder dans un immeuble…!

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http://www.zigonet.com/b%e9lier/un-belier-suspendu-dans-le-vide_art7537.html

C’est en descendant une montagne que le bélier s’est pris une corne dans un câble électrique. A force d’agitation, il a glissé jusqu’à se retrouver suspendu à 6 mètres de hauteur. L’animal a été sauvé après près d’une heure de manœuvres.

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Isère, France - Une vache, échappée de l'enclos où elle broutait, est tombée dans une piscine. Elle en est ressortie en empruntant les escaliers.



C'est dans le village de Claix en Isère, qu'une dizaine de vaches ont cassé la clôture qui fermait le pré où elles broutaient. Elles se sont ensuite éparpillées dans le village. Mais l'une d'elle a pénétré chez un particulier qui possèdait une piscine extérieure bâchée : l'animal s'est aventuré sur la bâche qui a cédé sous son poids. Le propriétaire a prévenu les pompiers qui sont parvenus à faire sortir la vache de la piscine en la faisant passer par les escaliers. Le vétérinaire des pompiers a affirmé que "en bonne santé, la vache est retournée brouter dans le pré."

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Tcheliabinsk, Russie - Les pompiers russes ont procédé à une opération de sauvetage inédite : libérer une vache, coincée au 13e étage d'un immeuble d'habitation.



Les pompiers de la ville de Chelyabinsk ont reçu des appels d'urgence de la part de voisins inquiets : une vache se trouvait au 13e étage de leur immeuble. Lorsqu'ils sont arrivés sur place, l'animal essayait de pénétrer dans un ascenseur. Personne ne sait ce que la vache faisait dans cet immeuble, ni comment elle était arrivée à monter les treize étages. Les pompiers sont parvenus à faire redescendre l'animal par les escaliers.

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Etats-Unis - Une compagnie américaine propose comme service la location d'animaux ruminants pour effectuer la tonte de végétaux. Plus besoin de s'acquitter de la corvée de tondeuse, les chèvres font le travail !



Établie près de Seattle, la compagnie américaine Rent a ruminant a décidé d'allier confort et respect de l'environnement en proposant à ses clients une tondeuse sans conséquence écologique : la location de ruminants, et plus particulièrement de chèvres. Ainsi, lorsqu'un client veut s'offrir les services de l'entreprise, cette dernière dépose plusieurs chèvres sur le terrain, dont le nombre varie en fonction de la surface du terrain à tondre.Si soixante chèvres peuvent brouter près de 2000m² de surface en 3 à 5 jours, cette location a tout de même un coût : 490 euros par jour, plus 200 euros de frais fixes. Le prix à payer pour ne plus s'occuper de ce qui est souvent défini comme une corvée. Pour découvrir le travail de ces animaux : http://www.zigonet.com/ch%e8vre/des-chevres-remplacent-les-tondeuses-a-gazon_art8724.html

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/11/10/711855-Fumel-Poulailler-nouvelle-polemique.html

La future installation de quatre poulaillers de 400 m2 chacun, où seront élevés 17 600 poulets, au lieu dit « Bezombes », sur la commune de Monsempron-Libos, projet mené par Christophe Bouyé, inquiète les riverains. Ceux-ci ont aussitôt créé un collectif de défense et ont fait circuler une pétition qui a recueilli 80 signatures. Voyant que la polémique autour de ces futurs poulaillers prenait de l'ampleur, Christophe Bouyé, qui a choisi de reprendre l'exploitation de son père, conviait les voisins de la ferme à une réunion, samedi dernier, dans la salle du Foirail. Une réunion où il a pu présenter dans le détail son projet et répondre aux nombreuses questions que se posent les riverains. « Finalement, si j'avais su que ce projet pose un tel problème auprès de certains, j'aurai communiqué plus tôt. Les 4 bâtiments sont à plus de 100 m de mes voisins et même très au-delà des distances réglementaires. Ce n'est pas un élevage de poulets industriels en batterie. C'est du poulet haut de gamme qui est en liberté. Les poussins qui arriveront pèseront 30 gr. Ils resteront ensuite 40 jours à l'intérieur. Ils seront entièrement élevés aux céréales : à 80 % avec du maïs et le reste avec des tourteaux de colza et de tournesol. Dans les bâtiments, il n'y aura pas de ventilateurs mais des trappes d'aération. Les poulets vivront ensuite 41 jours à l'extérieur, sur 4 ha semés d'herbe et abrités par des noisetiers, noyers et châtaigniers que je vais planter. Je comprends les craintes qu'ont certains à propos des nuisances mais elles ne sont pas justifiées. Il n'y aura aucun écoulement, pas d'odeur, la fiente sèche sera stockée loin des habitations et réintégrée dans mes terres. Cet apport est beaucoup moins nocif que certains épandages », explique le porteur du projet qui souligne que sa production de poulets sera très contrôlée.
Des inquiétudes


Du côté du collectif de défense des riverains, les inquiétudes portent sur les odeurs, le bruit, les poussières, la pollution… « Les camions qui circuleront vont dégrader les routes et ce sera à la commune de payer pour les réparations. Dans le voisinage du futur poulailler, il y a une maison à vendre. Depuis que le panneau avec le permis de construire est installé, plus personne n'en veut. C'est un préjudice. L'on fait des zones artisanales, des zones industrielles, je ne vois pas pourquoi l'on ne peut pas faire des zones pour des élevages de cette sorte ». Le collectif envisage d'utiliser toutes les procédures qui sont à sa disposition.
Le maire Jean-Jacques Brouillet explique qu'il s'est intéressé aux projets de création des quatre poulaillers. « Il ne dépasse pas une certaine capacité et il n'y a donc pas d'enquête publique à faire. La mairie n'a pas d'avis à donner, le permis, délivré par la DDEA, est réputé valable. Ce qui est paradoxal, c'est que si Christophe Bouyé avait voulu mettre 60 vaches laitières, on ne l'empêcherait même pas. Alors qu'une vache produit 8 kg d'excrément par jour, explique-t-il. Si cela avait été un élevage industriel, je n'aurais pas été d'accord. Il n'y a pas matière à polémiquer. Même si c'est vrai que je suis sensible à l'aspect environnemental. Il est normal que les gens s'inquiètent et se renseignent mais il faut aussi entendre ce qu'il y a dans ce dossier », l'édile notant au passage que la pétition n'est pas parvenue jusqu'à la mairie.
Soulignons que, samedi, Christophe Bouyé organise une visite de trois sites identiques à celui qu'il veut créer, à l'attention des riverains qui veulent constater de visu. Quant aux travaux, ils devraient débuter le 1er décembre. Les premiers poussins de 30 gr devraient arriver en mars 2010.

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Mercredi dernier, en fin d'après-midi, à Murviel-lès-Béziers, dans l'Hérault, Louisette H. a retrouvé sa chèvre naine dans son enclos, couchée sur le sol, ensanglantée, le vagin perforé.
Elle a immédiatement conduite « Châtaigne » à Clermont-l’Hérault chez un vétérinaire.
Après plusieurs heures d’opération, la chèvre a été sauvée.
« Le vétérinaire n’avait jamais vu ça. Il m’a d’ailleurs donné un certificat afin que je puisse porter plainte à la gendarmerie de Murviel. Je vais également me rapprocher de 30 millions d’amis. On ne peut pas laisser de tels actes de barbarie à l’encontre des animaux impunis » confie, en colère, Louisette.
Louisette qui avoue dans Midi libre:
« Pour moi, ce sont des lâches qui sont entrés ce jour-là dans l’enclos afin de s’en prendre à ma chèvre. C’est inconcevable pour des gens normaux de perforer le vagin d’un animal à l’aide d’un objet traumatisant. »
En janvier dernier, une des chèvres de Louisette et Joseph était morte à la suite de blessures semblables.
Mais à cette époque, le couple n'avait pas soupçonné que leur chèvre avait subi des sévices sexuels.
« Quand je m’étais rendu compte qu’elle avait des pertes de sang, je l’avais emmenée chez un vétérinaire à Béziers qui n’avait pu la sauver » précise Louisette.
Tout en ajoutant:
« A cette époque, il n’avait d’ailleurs pas suspecté de viol. Ce n’est qu’en ayant le certificat du second vétérinaire, installé à Clermont-l’Hérault, que j’ai pu faire le rapprochement. »
La SPA de Béziers a décidé de se saisir de ce dossier et de porter plainte contre X.

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/11/20/719531-Axat-Un-homme-de-88-ans-tue-par-un-bouc.html

C'est un accident dramatique et peu banal qui s'est déroulé hier en début d'après-midi (l'alerte a été donnée vers 13h50) sur la commune d'Axat, juste dans les premiers virages de la route qui mène au village d'Artigues. Alors qu'il venait, comme à son habitude, porter du pain à ses chêvres en paccage chez un ami, Jean Bénito a été tué par le bouc du troupeau. Chargé et mis à terre, le malheureux n'a pu se défaire de l'animal. Alertés par les cris de la victime, des promeneurs ont immédiatement donné l'alerte. Trés rapidement sur les lieux, les hommes de la brigade de gendarmerie d'Axat accompagnés des sapeurs-pompiers n'ont pu dans un premier temps porter secours à la victime qui, à leur arrivée, était encornée par l'animal.
Le bouc a dû être abattu


«Il a fallu que le commandant de la brigade d'Axat face usage de son arme de dotation à deux reprises» précise le commandant de compagnie Stéphane Rousseau présent sur les lieux de l'accident. Touché à la tête, l'animal parvenait malgré tout à prendre la fuite et à rester menaçant pour les secours, obligeant un sapeur-pompier à l'abattre d'un coup de carabine de chasse. Pendant ce temps pompiers et SAMU s'activaient autour du corps de la victime. Inconscient et durement touché à la tête par les énormes cornes de l'animal, Jean Bénito devait succomber de ses blessures malgré un massage cardiaque prodigué en vain. Pendant que le corps de la victime était emmené à la chambre funéraire de Quillan, les gendarmes d'Axat et de Quillan renforçés par les Techniciens de l'Indentification Criminelle (T.I.C) sous le commandement du commandant Rousseau procédaient aux constatations d'usage d'un accident dont l'issue dramatique à provoqué émoi et consternation dans le village d'Axat, où la victime était connue et appréciée.

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C'est un fait insolite qui s'est produit mardi vers 17 heures à Alès.



En effet, une vache s'est échappée alors qu'elle était en train d'être sortie du camion qui l'avait emmenée à l'abattoir selon le Midi Libre.
Pas folle, la vache n'est pas restée dans l'abattoir mais elle a pris ses pattes à son coup.
Elle est partie dans une zone industrielle puis elle est entrée dans l’enceinte de l’Ecole des mines, provoquant une certaine panique.
Elle a ensuite emprunté un chemin avant d'être stoppée par ... une voiture de la police nationale.
L'animal s'est alors réfugié dans un jardin raconte Le Midi Libre.
Sur place, la police municipale a tiré sur la vache avec un fusil hypodermique.
Le propriétaire a alors pu récupérer son animal.
Malheureusement, l'histoire s'est mal terminée. La vache n'a pas été graciée.

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Perranporth, Grande-Bretagne - Poobah est un lapin géant domestique. Il y a huit mois, sa famille a fait l'acquisition d'un cocker anglais et depuis, l'animal imite le comportement de son nouveau compagnon.



Poobah, le lapin de la famille âgé de 3 ans, a commencé à adopter un étrange comportement après l'arrivée de Scout, le cocker anglais. En effet, l'animal se comporte de la même manière que le chien de la famille : il mange ses croquettes, dort dans son panier, il se dresse même sur ses pattes arrières afin de quémander de la nourriture. Le lapin refusant son alimentation habituelle, il est devenu énorme, bien plus gros que le chiot de huit mois qui lui tient compagnie. "Poobah essaie même d'attraper les jouets du chien, mais il se fatigue beaucoup plus vite que Scout" raconte un membre de la famille.Pour découvrir les images : http://www.zigonet.com/animal-domestique/grande-bretagne-poobah-le-lapin-qui-pense-etre-un-chien_art9372.html

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Les lapins de Coulonges-sur-l’Autize, au nord de Niort, tremblent! Un tueur en série de lapins près de Niort?



Entre le 5 et le 13 décembre, une cinquantaine de lapins ont été décimés chez plusieurs habitants d’un hameau de la commune.
Les gendarmes ont ouvert une enquête et sont à la recherche de "quelqu’un d’assez perturbé."
En fin de semaine, les gendarmes de la commune ont reçu d’autres plaintes, pour des faits plus anciens, avec, à chaque fois, au moins une demi-douzaine de lapins trucidés...

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Un mouton à cinq pattes (un vrai…) est né le 2 décembre dernier à Anhaux (Pyrénées-Atlantiques), dans la bergerie de Manuel et de Francesco, selon le site sudouest.com.



Il s’appelle Napoléon… Vous n’auriez pas deviné pourquoi… C’est parce qu’il est né le même jour que celui du sacre de l’Empereur! C’est un petit agneau qui a trois pattes à l’avant et deux à l’arrière… La cinquième (on l’appellera comme ça) ressemble à une cravate… Cela ne semble pas être un handicap pour lui, qui vit au milieu d’un troupeau de 300 brebis.
La maman, la brebis Patabeltza, a eu du retard pour mettre bas. Il lui a fallu une piqûre du vétérinaire. Napoléon avait un frère jumeau malheureusement qui est "mort né". Les éleveurs ne se sont aperçus de l’anomalie du nouveau né que le lendemain…
Manuel, qui est descendant d’une longue lignée d’éleveurs de moutons, ne se souvient pas avoir vu pareil cas…
Son père dit en avoir entendu parler sans jamais les voir, de même pour les moutons à deux têtes…
Napoléon semble se porter à merveille. Il pourrait faire un gigot de Noël, mais Francesca hésite.

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Brême, Allemagne - Une chèvre arrêtée au milieu d'un carrefour bloquait la circulation dans la ville de Brême. La police a emmené l'animal au poste, il est désormais derrière les barreaux.



L'animal a été arrêté par la police après s'être immobilisé au milieu d'un carrefour. Il bloquait ainsi la circulation. Plusieurs policiers ont été appelés sur les lieux par des automobilistes impatients, afin de capturer l'animal. Appelée Billy par les officiers, la chèvre a été attrapée après plusieurs tentatives. Elle a été mise dans une cellule, le temps que les policiers retrouvent son propriétaire. Sur le procès-verbal figure une seule et unique remarque : l'animal sentirait "très mauvais".

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/29/745511-Castres-Des-moutons-a-nouveau-attaques.html

Le mauvais conte de noël n'est pas fini pour Cédric Carme et ses oncles. Deux chiens errants s'en sont pris à leur troupeau de 20 brebis. Une d'entre elles a été égorgée, cinq autres ont été mordues et une dernière a pris la fuite (La Dépêche de dimanche).
Les cinq brebis blessées avaient reçu samedi la visite du vétérinaire. La seule certitude était qu'elles ne pourraient mettre bas. «Les animaux stressés et très perturbés n'ont pu attendre ce dénouement. Lundi matin, les cinq brebis ont été euthanasiées après les profondes morsures provoquées par les molosses» explique Cédric Carme après la décision de Pauline Bauries de la clinique vétérinaire du Siala à Castres.
Pour le jeune éleveur des Estrabauts Haut, à Saint-Amans Soult, l'attaque de son troupeau est «une souffrance». «Un tiers de mon cheptel est mort. Six brebis pleines, soit environ 12 agneaux de moins. Les autres, je les soigne au mieux en espérant qu'elles n'avorteront pas. La seule consolation, c'est que mon chien de berger m'a retrouvé la brebis qui avait fui. Elle semble en bon état».
Hier, une autre attaque était enregistrée du côté de Bout du Pont de l'Arn au lieu dit « Mas Ala » chez Arnault De Raspide.
Les gendarmes se sont rendus, dimanche vers 20 heures, sur la parcelle de « Lou Sicardas». Vraisemblablement un chien errant a attaqué le troupeau. Une bête est morte et quatre autres ovins blessés. Il n'y aurait pas de chien identifié.
Hier, un vétérinaire s'est rendu au chevet du troupeau pour les soins d'usage. Pour l'heure, aucune plainte n'a été déposée.

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Grande-Bretagne - Annette Edwards est âgée de 57 ans. Cette femme, qui est l'heureuse propriétaire du plus grand lapin du monde, a subi de nombreuses interventions de chirurgie plastique afin de ressembler le plus possible à Jessica Rabbit.



Cette mère de dix enfants et déjà grand-mère, a dépensé plus de 10.000 euros afin de ressembler à l'héroïne de Qui veut la peau de Roger Rabbit ?"J'ai effectué une chirurgie mammaire, un lifting des sourcils, un implant au niveau du menton et des injections de botox" explique Mme Edwards. Ces opérations, couplées à un régime strict ont fait de cette mère de famille et ancien modèle une copie de Jessica Rabbit. Elle explique que c'est son amour des lapins qui l'a inspirée pour incarner ce nouveau personnage. Mme Edwards avait connu la célébrité en 2004 lorsque son lapin Roberto avait été sacré "plus grand lapin du monde". Le lapin Amy avait lui aussi été inscrit au Guinness et c'est Alice, toujours un lapin appartenant à Mme Edwards, qui l'a détrôné en septembre 2009.Découvrez les images : http://www.zigonet.com/chirurgie/decouvrez-annette-edwards-qui-veut-ressembler-a-jessica-rabbit_art9681.html

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Arlington, États-Unis - Des dizaines d'arbres de Noël ont été recyclés en nourriture pour chèvres.



Les arbres de Noël de la ville d'Arlington ont été intelligemment recyclés. En effet, ils ont fini par servir de nourriture aux trente-huit chèvres d'une ferme. La propriétaire, Ellen Felsenthal, a déclaré que cet usage secondaire était très écologique et utile. A la tête de la New Moon Farm Goat Rescue and Sanctuary, elle espère que cette publicité l'aidera à trouver des familles pour adopter les chèvres qu'elle a sauvées.

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Grande-Bretagne - Afin d'aider des poulets ayant perdu leur plumage à supporter l'hiver, une Anglaise de 55 ans a monté une association de création de pulls pour volailles.


Prise de pitié pour le poulet qu'elle a sauvé d'une ferme d'élevage, Ann Duran a remarqué qu'il avait perdu son plumage, un inconvénient majeur durant cette période hivernale. Pour remplacer son plumage perdu, elle lui a fait un tricot sur mesure pour le maintenir au chaud. "On peut croire que je suis un peu folle mais je n'aime pas l'idée que les poulets tremblent de froid durant l'hiver", déclare-t-elle. Souhaitant étendre son action à tous les poulets de son pays retirés des fermes d'élevage, Mme Duran a créé l'association "Helping Hand" (littéralement : "la main aidante") avec quelques amies. L'association de tricoteuses passera donc l'hiver à fabriquer des pulls en laine pour tous les poulets malchanceux qui ont perdu leurs plumes.

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PARIS, 21 jan 2010 (AFP) - Des associations de défense des animaux ont porté plainte jeudi auprès de la Commission européenne à l'encontre de six pays pour violation de la législation sur les conditions d'élevage de porcs, a annoncé dans un communiqué le Groupe d'action dans l'intérêt des animaux (GAIA).

Compassion in World Farming et La Coalition européenne pour les animaux de ferme (ECFA) ont mené une enquête de 18 mois (en 2008 et 2009) dans 74 élevages de six pays de l'Union européenne (Danemark, Hongrie, Allemagne, Espagne, Pays-Bas et Royaume-Uni) qui révèlent que "la vaste majorité des élevages visités étaient en infraction".

Selon eux, plus de 90% des animaux étaient amputés de la queue et 67% étaient détenus entassés dans des élevages industriels sur des sols en caillebotis sans aucune litière, en violation d'une législation entrée en vigueur en 2003.

"Il est scandaleux que sept ans après son entrée en vigueur, la loi soit ignorée par tant d'éleveurs à travers l'Europe (...) Nous appelons les Etats membres à appliquer la loi qui impose l'accès à une litière et interdit la coupe systématique des queues", a déclaré Peter Stevenson, de Compassion in world farming.

En général, les éleveurs coupent la queue des porcs pour éviter, notamment lors qu'ils sont dans un espace réduit et clos, qu'ils ne se mordent entre eux.

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VIENNE, 18 jan 2010 (AFP) - Deux associations de protection des animaux ont déposé une plainte pour mauvais traitement sur 29 cochons qui avaient été enfouis vivants sous des masses de neige pour une expérience au Tyrol visant à améliorer l'efficacité des secours en cas d'avalanches.

L'expérience scientifique menée par la faculté de médecine d'Innsbruck (ouest) et le centre pour la médecine d'urgence de Bolzano (Italie) à Vent im Ötztal avait dû être interrompue vendredi pour cause de menaces à l'ordre public par des défenseurs des animaux qui avaient commencé à se déployer dans la vallée. Toutefois dix des 29 animaux impliqués dans les tests n'avaient pas survécu.

Le parquet d'Innsbruck a ouvert une enquête pour déterminer s'il y a eu mauvais traitement de ces porcs que les scientifiques avaient ensevelis sous la neige pour évaluer l'impact des poches d'air sur les chances de survie des victimes d'avalanches et développer ainsi de nouvelles techniques de secours.

Alors que les militants de l'association "Quatre pattes" parlaient de "barbarie", les chercheurs avaient expliqué qu'il n'y aurait pas eu ce tollé si l'expérience avait été menée en laboratoire.

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Sussex, Grande-Bretagne - Depuis la mort d'Amy, sa mère, le lapin Ralph serait devenu le plus gros lapin du monde. A un an, le lapin géant pèse déjà près de 20 kilos.






Ralph est l'un des 32 petits d'Amy, le lapin qui détenait le précédent record du monde. Il n'a qu'un an et pourtant il a déjà dépassé la taille et le poids qu'avaient sa mère à l'époque de son inscription au Guinness. Le père de Ralph, Roberto, avait lui aussi été détenteur du titre de plus gros lapin du monde.Avec un poids de près de 20 kilos, l'animal pèse déjà bien plus qu'un enfant de 3 ans. Il dévore chaque jour pour près de 14 euros de nourriture : chou, carottes, pommes, weetabix et pain grillé font, entre autres, partie de son régime alimentaire. Cependant sa popularité est telle que certains admirateurs aident la famille du lapin à payer la facture... La propriétaire de Ralph attend maintenant l'accord du Guinness des Records, confirmant que l'animal est bel et bien le plus gros lapin du monde.Pour découvrir les images du lapin : http://www.zigonet.com/lapin/decouvrez-ralph-l-039-un-des-plus-gros-lapins-du-monde_art10485.html

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Bayonne, Pyrénées-Atlantiques. Il est 7 h30. C’est le grand jour de la traditionnelle exposition des bœufs gras, organisée par les bouchers de la ville. On décharge un camion de bétail près du carreau des halles raconte Le Monde.fr



Une vache abattue par la police en plein Bayonne...

Deux vaches s’échappent alors… Une est rapidement rattrapée, l’autre est perdue, affolée et parcourt les rues de la ville.
Au cours de cette escapade, elle blesse légèrement trois personnes. Finalement, en raison de sa dangerosité, la police décide de l’abattre sur une place, en bordure de la Nive, précise Le Monde.fr

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Nice, France - Un exposition de l'artiste Wim Delvoye fait actuellement scandale. Le plasticien met en scène au Musée d'art moderne et contemporain des cochons tatoués, ce qui révolte les défenseurs de la protection des animaux.







Dans l'un des volets de l'exposition Dessins et maquettes, qui a ouvert samedi 13 février, le musée expose les oeuvres de Wim Delvoye, qui présente au public sept cochons naturalisés et tatoués qu'il a élevés un temps dans une ferme chinoise. Le musée explique ainsi au public à travers un communiqué : "Sauvés de l'industrie agro-alimentaire, les porcelets sont anesthésiés pour être tatoués. De leur vivant, les bêtes sont choyées, traitées comme des stars, libres de leur mouvement et filmées en continu. Une fois mortes, elles sont naturalisées [...] Bien que la démarche de l'artiste puisse être perçue comme dérangeante voire provocatrice, elle sert néanmoins à poser le débat sur la question de l'exploitation animale". Finalement, le directeur du musée, Gilbert Perlein explique que la polémique n'a pas lieu d'être, puisqu'elle est fondée sur une méconnaissance du dossier. Il explique ainsi que si beaucoup pensent que les cochons sont vivants et qu'ils ont été torturés, cela n'est pas le cas puisqu'ils sont aujourd'hui empaillés.Le vice-président du Mouvement écologiste indépendant déplore quant à lui "la souffrance que le tatouage, fait sous anesthésie légère, implique" tandis que la Fondation Brigitte Bardot se déclare "profondément choquée". Pour voir les photos des cochons tatoués de Wim Delvoye : http://www.zigonet.com/exposition/decouvrez-les-cochons-tatoues-de-wim-delvoye_art10514.html

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Jeudi, une truie de 300 kilos prénommée Mélanie, a attaqué deux octogénaires, relate Sud Ouest dans l'édition de ce vendredi. Lire la suite l'article



Les blessures des deux femmes sont suffisamment graves pour qu'elles soient toujours en observation à l'hôpital de Périgueux. Une d'elles a trois côtes cassées et l'autre une luxation de l'omoplate et de nombreux bleus au visage.
La truie s'en est ensuite pris à une dame de 76 ans occupée à étendre son linge, la mordant au mollet avant de la reverser. Heureusement, son petit-fils intervient in extremis.

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Patricia a trouvé un gros coq blanc sur une route, près de Bourg-en-Bresse (Ain) il y a environ huit ans. Elle l’appelle Coco, raconte Le Progrès.



Coco n'est pas particulièrement un beau coq. On peut même dire que la vie l'a marqué, mais il plaît à Patricia.
Au début, il était paralysé. Patricia l’a soigné.
Aujourd'hui, il vit dans le salon. Patricia le met dans un parc à bébé et lorsque la saison le permet, il va dans le jardin. Coco sort très tard, rapporte Le Progrès.
Sa maitresse est pianiste et accordéoniste et elle l’emmène partout lorsqu’elle voyage.
Lorsque Patricia va à l'hôtel, elle le fait passer incognito dans une valise, pour qu’on ne s’aperçoive pas de sa présence.
Et le matin, il faut qu’elle se lève tôt pour le ramener à la voiture, avant qu’il ne se mette à chanter et ne réveille tout l’hôtel!
Quand on voit Patricia et Coco à la gare, tout le monde se retourne et s’amuse… Certains demandent même à le toucher.
Devenu un vrai animal de compagnie, Coco se blottit contre Patricia. Il réussit même à tenir à distance le chien de la maison.
L’an dernier, Coco a eu un accident vasculaire cérébral. Depuis, il est un peu désorienté et tourne en rond, raconte Patricia au Progrès.
La célèbre émission de télé 30 millions d'amis a retenue l'histoire de Coco et Patricia et lui consacrera un reportage mi-mars.

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Suisse - Un cochon a semé la panique dans le tunnel du Mont-Terri situé sur l'autoroute A16 en parvenant à s'échapper du camion qui le transportait.



Un véhicule transportait plusieurs cochons destinés à l'abattoir quand l'un d'eux s'est échappé. Le chauffeur n'a alors rien remarqué. L'animal s'est trouvé sur la route, blessé et semblant désorienté. Il a commencé alors à errer sur la route. La circulation a dû être arrêtée pendant que les forces de l'ordre appelées à l'aident guidaient le cochon vers un tunnel de fuite. Une fois l'animal immobilisé, il a été chargé à bord d'un véhicule spécialisé et la circulation a repris normalement après 30 minutes de perturbations.

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Il était 9h30 jeudi matin à Saint-Pierre-de-Bat, en Gironde, lorsque sept gendarmes et deux représentants de la direction départementale de la protection des populations se sont présentés chez Yvette De Giacinto, éleveur à la retraite, raconte Sud Ouest dans son édition de ce vendredi.

A la vue de tout ce monde, la pauvre femme fut prise d’un malaise et dût être dirigée vers l’hôpital. Résultat: les fonctionnaires sont repartis bredouilles.

Vingt quatre heures plus tôt, les mêmes gendarmes avaient été chargés de lui remettre en main propre une notification des services vétérinaires, lui intimant l’ordre de saisie de trois vaches à l’équarrissage, au prétexte que la propriétaire n’est pas en mesure de présenter les documents d’origine.

Yvette de Giacinto a toujours voulu témoigner sa bonne foi : «Je n’ai jamais cherché à dissimuler mes vaches que j’ai achetées il y a une dizaine d’années. J’avais prévenu l’administration.Mais entre temps, le vendeur est décédé accidentellement» se défend Yvette.

Le vétérinaire local considère lui aussi que l’administration commet une erreur

Mais l’administration reste inflexible.

La rédaction de Sud Ouest se mobilise pour soutenir Yvette et sauver ses vaches de l'abattage: un groupe Facebook a été créé. Rejoignez-le!


Voir les photos, les vidéos et réagissez à l'info sur LePost.fr

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Les trois vaches d'Yvette en sursis

Yvette de Giacinto, dans son étable à Saint-Pierre-de-Bat : les vaches, c'est toute sa vie. (photo dr)
Groupe Facebook : Pour sauver les trois vaches d'Yvette de l'abattoir

http://www.facebook.com/group.php?gid=327127298772&ref=ts
-------------

Il était 9 h 30 hier matin, lorsque sept gendarmes ont escorté deux représentants de la Direction départementale de la protection des populations, à la demande du préfet, pour venir frapper à la porte d'Yvette de Giacinto, une septuagénaire, éleveuse à la retraite installée à Saint-Pierre-de-Bat. Cette entrée pour le moins spectaculaire fut loin de passer inaperçue dans ce paisible village de l'Entre-Deux-Mers, provoquant un vif émoi. À la vue de tout ce monde, la pauvre femme fut prise d'un malaise et dut être dirigée vers l'hôpital. Résultat : les fonctionnaires sont repartis bredouilles. Mais ici, on est persuadé qu'ils reviendront.

Pas de document d'origine

Vingt-quatre heures plus tôt, les mêmes gendarmes avaient été chargés de lui remettre en main propre une notification des services vétérinaires, lui intimant l'ordre de saisie de ses trois vaches condamnées à l'équarrissage, au prétexte que la propriétaire n'est pas en mesure de présenter les documents d'origine. L'histoire ne date pas d'hier. Yvette de Giacinto a toujours voulu témoigner de sa bonne foi : « Je n'ai jamais cherché à dissimuler mes vaches, que j'ai achetées il y a une dizaine d'années. J'avais prévenu l'administration. Mais entre-temps, le vendeur est décédé accidentellement. »

Alain de Peretti, vétérinaire, considère que l'administration commet une erreur : « Les animaux sont identifiés. Ils portent une marque auriculaire. Depuis que l'on cherche à régulariser la situation de ces animaux, on n'a malheureusement trouvé personne qui soit prêt à examiner ce cas particulier. Chaque service se renvoit la balle. »

Recours au tribunal

Le docteur de Peretti a remué ciel et terre et interpellé les élus. Un comité de soutien s'est constitué. L'administration reste inflexible. « Je tiens un courrier signé du préfet qui commande l'enlèvement des animaux », constate Yves d'Amécourt, maire et conseiller général de Sauveterre-de-Guyenne. Mais l'élu attend qu'on lui fournisse le règlement qui autorise les services vétérinaires à saisir les animaux.

Yvette de Giacinto est déterminée à conserver ses bêtes magnifiques qu'elle considère désormais comme des animaux de compagnie depuis qu'elle est retirée des affaires. Trois exemplaires de la race blonde d'Aquitaine en bonne santé auxquels elle apporte des soins quotidiens. Yvette de Giacinto a l'intention de déposer un recours devant le tribunal administratif, mais la décision opératoire est maintenue.

Au mieux, la plaignante peut espérer être indemnisée, sans qu'elle ne sache quand, ni combien. Entre-temps, le comité de soutien qui s'est constitué autour de l'éleveuse veut gagner du temps et s'est tourné vers la présidente nationale de la SPA.

Abattage confirmé

Dans un communiqué du cabinet du préfet, on indique que la position de l'administration se justifie par des considérations liées à la sécurité sanitaire de la filière bovine et à la protection des consommateurs.

Elle repose sur une réglementation qui a été renforcée depuis la crise de la vache folle. Le principe d'identification individuelle de tous les bovins constitue le pilier de la traçabilité de la filière.

Toute mesure de tolérance serait de nature à porter préjudice à l'ensemble du secteur et ôter toute crédibilité au système de contrôle. L'administration maintient donc les infractions constatées et confirme l'abattage des animaux. L'État s'engage par ailleurs à prendre en charge les frais liés à cette opération.

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Mouscron, Belgique - La ville de Mouscron a décidé d'offrir deux poules pondeuses à chaque foyer qui l'accepte, dans le but de réduire les déchets ménagers. Une nouvelle mesure pour préserver l'environnement ?

Les foyers qui se disent intéressés par la proposition se verront offrir deux poules pondeuses. En plus de récolter des oeufs, l'opération a pour but de réduire le volume des déchets ménagers explique l'AFP, notamment en nourrissant les volatiles des déchets de cuisine. Pour Christophe Denève, responsable de la Cellule environnement de Mouscron, "toutes les personnes intéressées peuvent nous envoyer un courrier reprenant leurs motivation et, si elles habitent Mouscron et ne possèdent pas encore de poules, nous leur en offrons deux [...] pour ne pas qu'elles s'ennuient". Dans le cadre du projet, la municipalité a déjà fait l'acquisition de 100 poules qui n'attendent qu'un nouveau foyer.Les ménages acceptant d'accueillir les animaux se verront également dispenser une formation pour bien s'occuper des gallinacés et devront s'engager à ne pas "manger les poules avant deux ans, à ne pas les céder à des tiers, et autoriser la ville à effectuer des contrôles". A noter que cette opération est la troisième du genre à Mouscron, et remporte à chaque fois un grand succès. Pour les individus vivant en appartenant, la ville pourrait bientôt leur proposer de composter leurs déchets à l'aide de vers de terre.

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http://www.sudouest.com/dordogne/actualite/perigueux/article/889530/mil/5796921.html


LA COQUILLE.

Les lapereaux cherchent une mère


Une habitante de La Coquille a vu mourir tous ses lapins y compris une mère de huit lapereaux, âgés de seulement 10 jours. N'ayant pas le courage de les tuer, elle s'est procuré biberon et tétine afin d'essayer de remplacer la mère morte. De son côté, son caniche, en mal de progéniture, voudrait bien les adopter, mais n'a pas de lait. Le spectacle de l'allaitement vaut le coup d'oeil, ainsi que les efforts du caniche, qui les lèche en fin de tétée. photo charlie mazière

Tags : Environnement Nature la coquille Grand Périgueux SUD OUEST | Mardi 09 Mars 2010

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STRASBOURG, 18 mars 2010 (AFP) - Un éleveur alsacien de moutons sera vendredi le premier en France à comparaître devant un juge pour avoir refusé de faire vacciner ses bêtes contre la fièvre catarrhale ovine (FCO), a-t-on appris jeudi après du collectif alsacien contre cette obligation vaccinale.

André Durrmann, éleveur à Andlau (Bas-Rhin), est convoqué vendredi à 14h15 devant un juge de proximité au tribunal d'instance de Sélestat, où il encourt une amende de 750 euros pour chacun de ses 18 moutons non vaccinés, a précisé à l'AFP Rémi Picot, responsable du collectif pour le Bas-Rhin.

Dans toute la France, quelque 3.000 éleveurs réfractaires à l'obligation vaccinale se sont regroupés en 60 collectifs environ. "De nombreuses procédures sont en cours dans tout le pays, mais cette audience devant un juge sera une première, c'est pourquoi nous allons nous mobiliser nombreux", a dit M. Picot.

L'éleveur est poursuivi pour non respect de l'arrêté ministériel imposant la vaccination de son cheptel, une infraction considérée non pas comme un délit mais comme une contravention de 4e classe - et qui peut, à ce titre, être examinée par un juge de proximité non professionnel.

Quelque 100 à 200 éleveurs ou sympathisants de cette cause ont prévu de se rassembler devant le tribunal pour soutenir M. Durrmann, a encore indiqué M

Picot.

La FCO est une infection virale non transmissible à l'homme et qui n'affecte que les ruminants (bovins, ovins, caprins). Les opposants à la vaccination obligatoire affirment que cette maladie n'est "pas très difficile à soigner", et que la vaccination a pour inconvénient de retarder l'exportation des animaux jusqu'à trois mois après leur vaccination.


ab/tj/ag

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Invité
Complément d'information:
Le procès a eu lieu vendredi et l'éleveur, qui encourait une peine de 750 EUR par bête, a été condamné à une amende de 750 EUR en tout !
(Info des Dernières Nouvelles d'Alsace)

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C’est un accident peu banal qui s’est produit à Cologne, dans l’Ouest de l’Allemagne.

Un automobiliste qui passait sous un pont, dans une rue de la ville, a vu tomber, devant lui, « quelque chose de gros ».

Quelque chose de gros qu’il n’a pu reconnaître.

« J’ai essayé de l’éviter et j’ai fait une sortie de route », explique t-il.

Ce « quelque chose de gros » qui tombait du ciel, n’était autre qu’un agneau qui venait de tomber s’une passerelle.

La police locale a indiqué que le jeune mouton, était en train de traverser un pont réservé aux piétons, avec un troupeau de 600 animaux, quant, après avoir escaladé le garde-corps, il a chuté sur la voie, devant la voiture.

Pour éviter le mouton, l’automobiliste a percuté de plein fouet un bloc de béton.

Légèrement blessé, le conducteur a été transporté à l’hôpital de la ville.

L’agneau a été abattu sur place.

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Swaziland - Un porcelet handicapé, d'abord destiné à l'abattoir, a appris à marcher et a ainsi échappé à un destin funeste.

Amanda Kopp, une Américaine de 25 ans, visitait la ferme de sa famille lorsqu'elle a été témoin de la naissance d'un petit cochon. Ce dernier, contrairement à ses 19 frères et soeurs, était dans l'incapacité de marcher et par conséquent de se nourrir. Cependant la mère du petit porcelet a refusé d'abandonner son petit et l'encourageait à marcher en le poussant de son groin. "La mère semblait consciente de la situation et grognait fortement comme pour lui dire 'lève toi, vas-y tu peux le faire'" raconte la jeune Américaine. Le fermier avait l'intention de mettre fin aux jours du petit cochon mais a décidé finalement de laisser à des jeunes locaux le soin de s'occuper de lui. Ainsi l'animal a rapidement récupéré l'usage de ses pattes et a appris à marcher comme ses frères et soeurs, évitant ainsi (pour le moment) une mort certaine. Pour voir les images :
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Consommateurs, grandes surfaces ou décideurs sont de plus en plus nombreux à se soucier du bien-être des animaux de ferme. Un domaine dans lequel l’association messine PMAF œuvre depuis seize ans.


Lire aussi
Eleveurs à deux vitesses
Le chiffre : 20
De nombreuses avancées

Le directeur de la Protection mondiale des animaux de ferme (PMAF) brandit la brochure comme un étendard. Elle est tombée dans sa boîte aux lettres la semaine dernière : «Votre magasin Cora, soucieux du bien-être animal, vous propose des œufs d’élevages alternatifs. » Pour Ghislain Zuccolo, c’est le signe que les temps changent. Voir que la grande distribution, rarement philanthrope, commence à épouser le combat que son association, basée à Metz, mène depuis seize ans, constitue, pour lui, une victoire. C’est aussi le signe qu’un marché est en train de naître : «Nous connaissons la même évolution que celle vécue par les défenseurs de l’environnement. Dans les années soixante-dix, on les prenait pour de doux rêveurs. Comme nous, quand on a créé notre structure en 1994. Aujourd’hui, on a atteint notre objectif. L’élevage des animaux de ferme devient un vrai sujet de société. Le grand public y est de plus en plus sensible. »

Aurélia Warin-Ramette, chargée de campagne et éthologue (spécialiste des comportements des espèces animales) va dans le même sens : «Même les grandes marques de mayonnaise ou de pâtes fraîches s’y mettent. » Il y a un mois, la PMAF a reçu un courrier signé Bruno Le Maire. Le ministre de l’Agriculture y félicite l’association pour l’édition de la brochure Vigiferme, un guide pratique à l’usage des particuliers et des associations de protection des animaux. La PMAF a le vent en poupe. Elle comprend aujourd’hui 15 000 membres donateurs qui lui ont assuré, l’an dernier, une entrée d’argent d’1 M€. Ce qui permet de faire vivre les dix salariés et d’assurer les différentes missions. «Nous œuvrons pour faire évoluer et appliquer la réglementation encadrant l’élevage des animaux de ferme», explique le fondateur.

Peur et anxiété

«Cinq notions définissent le bien-être animal : l’absence de faim et de soif ; l’absence de problèmes sanitaires, de blessures ou de maladies, la présence dans un environnement adéquat. La plupart des éleveurs pensent à ces trois premiers points qui relèvent de la maltraitance. Les deux derniers, l’absence de peur et d’anxiété et la possibilité d’exprimer des comportements naturels, sont trop peu pris en compte. C’est sur ceux-là que nous travaillons », martèle Aurélia Warin-Ramette. Si elle reconnaît que les ruminants sont assez bien lotis, elle explique que l’essentiel des efforts se concentre autour des porcs et des volailles. Un travail qui a déjà porté ses fruits (lire ci-contre).
Assez radicale au départ, la PMAF reconnaît avoir mis un peu d’eau dans son vin. «L’idée n’est pas d’entamer un bras de fer avec les éleveurs, mais de travailler avec eux, à des solutions économiquement viables leur permettant de continuer à travailler tout en prenant un peu mieux en compte le bonheur animal. »
Une technique qui ouvre des portes. La PMAF possède ses entrées auprès des décideurs comme le ministère, les directions départementales des services vétérinaires ou la Commission européenne. Mais au final, le dernier mot revient aux consommateurs : «Ce sont eux qui font le marché de demain. Les éleveurs suivront. »

Textes : Philippe
MARQUE.
http://www.republicain-lorrain.fr/fr/article/2951109,79/Les-animaux-de-ferme-reprennent-du-poil-de-la-bete.html

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GRENOBLE, 13 avr 2010 (AFP) - Un éleveur dépressif et en situation précaire a laissé mourir de faim son cheptel de 18 vaches, retrouvées en état de putréfaction en Haute-Savoie, un "cas isolé" néanmoins symptomatique du malaise des agriculteurs, a-t-on appris mardi de source judiciaire et syndicale.> Dans l'étable étaient enterrés 18 cadavres de vaches dans le fumier, qui ont été envoyés à l'équarissage lundi, a-t-elle précisé.

Non nourries depuis plusieurs semaines, les vaches sont mortes affamées, a précisé une source judiciaire confirmant une information du Dauphiné libéré.

Dépressif et en situation précaire, l'éleveur, un cinquantenaire qui n'a pas vraiment fourni d'explication, a été hospitalisé.

La DDPP va remettre son rapport au parquet d'Annecy, qui doit décider d'éventuelles poursuites contre l'éleveur notamment pour mauvais traitements à animaux, contravention passible d'une amende de 750 euros par bête.

En décembre dernier, lors d'un contrôle de routine de l'élevage, la DDPP avait déjà constaté l'état "très moyen" de ce cheptel et recommandé à l'éleveur de "nettoyer son étable et de nourrir plus régulièrement ses animaux", a précisé Mme Lavignac.

La situation "catastrophique" découverte le 9 avril a surpris les inspecteurs, aucun signe précurseur ne laissant présager une "dégradation aussi rapide", a assuré la responsable.

La DDPP exclut "tout risque sanitaire" l'éleveur ne produisant plus de reblochon depuis l'été dernier.

"C'est un cas isolé, une personne en dehors du système. Quand les agriculteurs ont des difficultés économiques, ils se serrent la ceinture pour nourrir leur troupeau", a souligné le président des JA de Haute-Savoie, Guillaume Burgat-Charvillon.

Mais il juge ce cas néanmoins "symptomatique des difficultés économiques, d'un malaise de la profession" qui touche tous les agriculteurs.

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États-Unis - Un taureau qui s'était échappé de son enclos a attaqué un jeune homme avant d'être abattu. Sa victime a, pour vengeance, apprécié de manger la viande de l'animal.



Lundi 5 avril, un taureau ainsi qu'un boeuf s'échappent d'une ferme. Vinnie Huntington est le fils du couple possédant l'élevage et il se fait alors attaquer par le taureau, souffrant de contusions et d'une épaule démise à la suite de l'attaque. Pour ces méfaits, l'animal a alors été abattu, ce qui a donné l'occasion au jeune homme de manger l'animal en guise de vengeance.Il explique aux médias locaux : "Nous aurions certainement mangé ce taureau un jour ou l'autre mais vu les faits, il est déjà dépecé. Je vais le savourer".
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BESANCON, 18 avr 2010 (AFP) - Un troupeau d'une soixantaine de chèvres escorté par près de 300 randonneurs est parti dimanche en transhumance vers les collines de Besançon (130.000 habitants), dont il aura en charge le débroussaillement.

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@Choupi91 a écrit:
BESANCON, 18 avr 2010 (AFP) - Un troupeau d'une soixantaine de chèvres escorté par près de 300 randonneurs est parti dimanche en transhumance vers les collines de Besançon (130.000 habitants), dont il aura en charge le débroussaillement.


Le Conservatoire régional des Espaces naturels (CREN) de Franche-Comté effectue un suivi scientifique de l'impact du pâturage sur la végétation, précise la municipalité qui veut investir 30.000 euros sur trois ans pour l'organisation du pâturage.

Les Bisontins sont invités a accompagner le troupeau dans sa transhumance et différents ateliers seront proposés dimanche par l'association des bergers du Jura franco-suisse pour mieux faire connaître les divers aspects de leur activité.

Une découverte des plantes de pelouse et de l'intérêt écologique du pâturage par les chèvres sera proposée par le CREN.

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Au Québec, ils ont des caribous. En France, on a des taureaux qui courent en ville. Lire la suite l'article
Photos/Vidéos liées La police abat un taureau en plein Charleville-Mézières Après la vache abattue par la police en plein Bayonne, le taureau fugueur de Bellegarde, un autre taureau de 900 kg qui a été tué lundi par les forces de l'ordre en plein Charleville-Mézières, dans le quartier de la gare.

Tout commence par son évasion de l'abattoir, et la blessure sérieuse qu'il inflige à un homme de 67 ans. Libre, l'animal longe alors la voie ferrée, raconte L'Union l'Ardennais.

L'alerte est donnée. Heureusement, les rues sont désertes. La police, les pompiers arrivent. Même la SNCF prévoit la régulation du trafic, si jamais le taureau décide de traverser les voies.

La chasse se poursuit une grande partie de l'après-midi. Les flèches piqûres anesthésiantes font psschhhhht relate L'Union l'Ardennais.

Le taureau fonce alors vers la "rue Paul-Laurent, de la rue Voltaire et de la rue d'Alsace, bordées de pavillons d'habitation" précise L'Union. Là, c'est un quartier moins désertique...

L'animal se brise une corne sur un arbre. Enervé, il s'apprête à charger. Le danger étant bien réel, un gardien de la paix dégaine son arme et tire trois balles de 9 mm, dont "une en pleine tête"...

Le taureau mort, devrait partir à l'équarrissage annonce RTL, et la vie à Charleville-Mézières de reprendre son petit train train-quotidien...

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Une jeune vache âgée de 15 mois s'était échappée il y a 12 jours d'un abattoir d'Ivanec (Croatie) où elle devait finir en morceaux pour barbecue, raconte TV5.


Pendant presque deux semaines, elle resta introuvable...

Mais un jour, un homme stimulé par la prime de 2.500 kunas (345 euros) promise par l'abattoir, la retrouve enfin, en pleine forme, broutant dans un pré à proximité de la ville.

Mais, têtue, notre vache s'est à nouveau enfuie!

La population s'est alors émue et devant ce soutien inattendu, le propriétaire de notre vache a décidé de lui laisser la vie sauve.

"Comme la génisse bénéficie maintenant du soutien de tout le pays dans sa lutte pour la vie, nous avons décidé de l'épargner", déclare le propriétaire de l'animal sur TV5.

Et de conclure: "Elle ne retournera jamais à l'abattoir"

Elle ira donc finir ses jours tranquillement dans un pré comme l'a promis son propriétaire!

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Une jeune vache âgée de 15 mois s'était échappée il y a 12 jours d'un abattoir d'Ivanec (Croatie) où elle devait finir en morceaux pour barbecue, raconte TV5.

Pendant presque deux semaines, elle resta introuvable...

Mais un jour, un homme stimulé par la prime de 2.500 kunas (345 euros) promise par l'abattoir, la retrouve enfin, en pleine forme, broutant dans un pré à proximité de la ville.

Mais, têtue, notre vache s'est à nouveau enfuie!

La population s'est alors émue et devant ce soutien inattendu, le propriétaire de notre vache a décidé de lui laisser la vie sauve.

"Comme la génisse bénéficie maintenant du soutien de tout le pays dans sa lutte pour la vie, nous avons décidé de l'épargner", déclare le propriétaire de l'animal sur TV5.

Et de conclure: "Elle ne retournera jamais à l'abattoir"

Elle ira donc finir ses jours tranquillement dans un pré comme l'a promis son propriétaire!

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Une jeune vache âgée de 15 mois s'était échappée il y a 12 jours d'un abattoir d'Ivanec (Croatie) où elle devait finir en morceaux pour barbecue, raconte TV5.

Pendant presque deux semaines, elle resta introuvable...

Mais un jour, un homme stimulé par la prime de 2.500 kunas (345 euros) promise par l'abattoir, la retrouve enfin, en pleine forme, broutant dans un pré à proximité de la ville.

Mais, têtue, notre vache s'est à nouveau enfuie!

La population s'est alors émue et devant ce soutien inattendu, le propriétaire de notre vache a décidé de lui laisser la vie sauve.

"Comme la génisse bénéficie maintenant du soutien de tout le pays dans sa lutte pour la vie, nous avons décidé de l'épargner", déclare le propriétaire de l'animal sur TV5.

Et de conclure: "Elle ne retournera jamais à l'abattoir"

Elle ira donc finir ses jours tranquillement dans un pré comme l'a promis son propriétaire!

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Singapour - Alors qu'il souhaitait manifester contre les traitements cruels des poulets qui seraient utilisés par la chaine KFC, un homme déguisé en poulet s'est fait arrêter.

Edward Basse appartient à l'organisation PETA qui défend les animaux. Alors qu'il tentait de manifester déguisé en poulet devant un restaurant KFC, l'homme explique avoir été arrêté par la police puis placé dans un fourgon. Contacté par l'AFP au téléphone, l'homme expliquait : "Je suis maintenant dans ma chambre d'hôtel sous surveillance de la police jusqu'à mon départ demain." Et l'homme d'ajouter : "Ils m'ont confisqué mes sacs et mon costume de poulet."Pour ne pas risquer de poursuites, l'homme va devoir rapidement quitter Singapour. Le directeur régional de PETA a Hong Konk a expliqué qu'Edward Basse était végétarien et souhaitait juste, en se déguisant en poulet, dénoncer le traitement cruel qui serait infligé aux animaux utilisés par KFC

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GRENOBLE, 10 juin 2010 (AFP) - Une quarantaine de veaux qui s'étaient échappés de leur enclos près d'Albertville (Savoie) ont dérivé pour certains sur plus de 10 km dans une rivière dans laquelle ils étaient tombés, tandis que d'autres se sont noyés, a-t-on appris jeudi auprès des pompiers.> "Le débit de l'Isère est très fort en raison de la fonte des neiges et rend leur sauvetage particulièrement difficile", ont ajouté les pompiers.

L'entreprise EDF qui gère une centrale électrique située en amont a été sollicitée afin de réguler le courant de la rivière, selon la même source

Une vingtaine de pompiers-plongeurs ainsi qu'un vétérinaire ont été mobilisés pour l'intervention.

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BELGIQUE : Une première ferme renonce à castrer à vif ses porcelets





Avant-hier, GAIA, le Groupe d'action dans l'intérêt des animaux, a encore surpris le ministre-président flamand, Kris Peeters, par une action ludique dénonçant la castration à vif des porcelets. Aujourd'hui, nous sommes heureux d'annoncer une excellente nouvelle : "Wolkenhoeve" est la première exploitation porcine de Belgique à renoncer à la castration à vif des porcelets. Une nouvelle que GAIA salue.

Chaque année, des millions de porcelets sont castrés à vif pour prévenir l'odeur de verrat. L'odeur de verrat est une mauvaise odeur qui peut se libérer à la cuisson de la viande chez au plus 5% des verrats non castrés. Les propriétaires de l'exploitation ont décidé d'opter pour une solution indolore et efficace à l'odeur de verrat: la vaccination.

Une décision respectant le bien-être des animaux, pour laquelle Michel Vandenbosch, président de Gaia, a chaleureusement félicité Chris Peeters, l'exploitant, et son épouse. "Nous n'hésitons pas à applaudir publiquement toute décision positive", indique Vandenbosch. "Il s'agit d'une victoire importante dans la lutte que nous menons depuis des années contre la souffrance porcine. GAIA espère que d'autres exploitations porcines suivront l'exemple de 'Wolkenhoeve'.

Source : GAIA

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PARIS, 17 juin 2010 (AFP) - La maltraitance dans les élevages de porcs est "structurelle" en France comme Espagne, a affirmé jeudi l'association L214 sur la base d'enquêtes menées dans les deux pays.> Selon l'association espagnole de défense des animaux, les employés des élevages tuent de façon routinière une partie des porcs en les frappant contre le sol, leur donnent des coups de pieds, leur introduisent les doigts dans les yeux pour les obliger à se lever et à avancer.

Ces maltraitances sont "structurelles" et "inévitables" dans les conditions des élevages industriels, où les besoins de contact des porcs (mères-petits, vie en harde), "leurs besoins de marcher, leurs besoins de fouir, leurs besoins de faire des nids sont impossibles à combler", précise l'association L214.

Selon l'association, les adaptations de force pour les maintenir en élevage conduisent à de grandes souffrances, notamment au moment du meulage des dents, de la coupe des queues sans parler de la castration à vif des jeunes mâles.

L214 rappelle que "d'après l'article L214 du code rural, ce type d'élevage est interdit" en France comme en Espagne conformément aux lois communautaires de protection des animaux.

"En France, près de 50% des importations de viandes et produits transformés de porc proviennent d'Espagne", indique L214.

Déjà au mois de janvier, l'association Compassion in World Farming et La Coalition européenne pour les animaux de ferme (ECFA) avaient mené une enquête de 18 mois (en 2008 et 2009) dans 74 élevages de six pays de l'Union européenne (Danemark, Hongrie, Allemagne, Espagne, Pays-Bas et Royaume-Uni) qui révélait que "la vaste majorité des élevages visités étaient en infraction".

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Dimanche soir, dix vaches s'échappent de leur enclos près de Saint-Mard en Seine-et-Marne.

Dix vaches perturbent routes et autoroutes: vont-elles être "évacuées par …Plus Agrandir la photo Résultat, les animaux perturbent la circulation près de la Nationale 2. "Cet axe est fermé dans les deux sens depuis lundi peu avant 19 heures à la hauteur de la commune de Saint-Mard" rapporte Le Parisien, qui précise que l'A1, l'A104, la N3 et la N330 sont également perturbées.

Ce mardi matin, on comptait d'après le quotidien 10 kilomètres de bouchon dans l'Oise "en amont de la déviation vers Meaux".

Les pompiers, les gendarmes, aidés par des agriculteurs ne sont pas parvenus à capturer les vaches dont certaines seraient paniquées.

Sur son blog Aulnay libre, Stéphane relate en direct des bouchons sa mésaventure:

"Là il est 10h07 et ça fait plus d'une heure que je suis coincé parmi les voitures et les camions... D'après la direction interdépartementale des routes nationales, les vaches sont devenues incontrôlables et une évacuation par hélicoptère est prévue... (...) Les vaches en pleine révolution dis-donc! On se croirait dans la ferme de George Orwell... On vient de m'apprendre qu'on procéderait à un abattage en règle du troupeau..."

Quant à momo, il raconte sa galère dans les commentaires du Parisien:

"C'est un vrai bordel, pour aller de Paris à Saint-Mard, 2 heures ce matin. Habituellement pour faire 35 km je mets 30 minutes. Ah la vache, dur, dur. J'espère que ce soir, cela ira mieux, surtout avec les poids lourds qui empruntent la RN 2 vers Paris."

D'après Le Parisien, ce mardi matin, des pompiers et un vétérinaire se sont équipés de "fusils à seringues hypodermiques afin d'anesthésier les vaches récalcitrantes."

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