pacemaker91 0 Posté(e) le 6 octobre 2009 Sketch des Nuls, Pigeon bourré, vidéo envoyée par Tassin80 Lire la suite l'article Ce serait comme ça depuis 2006! Quelques pigeons qui ont fait leur nid dans six ou sept maisons abandonnées et depuis, ils se sont multipliés… Ce sont des pigeons dits "de clocher et domestiques." En général, ils ne vont pas plus loin qu’un rayon d’une centaine de mètres autour de leur logis! A la tombée de la nuit, ils vont dormir sous un pont et dans plusieurs maisons inhabitées raconte La Voix du Nord. Selon le journal, "c'est tout un quartier délimité par le port, la grand'place et les rues de Camiers et de Rosamel qui est envahi par la gent ailée. De cinquante à cent maisons sont concernées." Presque inutile de décrire la situation… Ce sont des plumes et des crottes qui s’entassent dans la cour de certaines maisons ou sur les balcons. Dans la rue aussi, on ne sait plus où marcher pour éviter les étrons. Les tuiles des toits sont blanchies… et les gouttières engorgées! Sans oublier les voitures qui sont "maculées"… Des mécontents sont allés voir le maire pour lui en parler. Il a répondu que c’était au responsable de la police d’Etaples de s’occuper de ce problème selon La Voix du Nord. Des habitants ont fini par mettre un peu de blé rouge sur les toits, mais les pigeons y sont insensibles et le blé se retrouve dans la rue… Il parait que la meilleure solution (pour s’en débarrasser…) serait de leur donner des graines de maïs mélangées avec un produit qui les endormirait… Ensuite, on les récupèrerait "dans des filets pour aller les mettre dans des bois où ils se réacclimatent", toujours selon le même journal. Une expérience de ce genre avait été faite pendant quelques mois dans un autre quartier, mais elle avait dû être interrompue après un temps insuffisant, pour cause de grippe aviaire... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 octobre 2009 Mardi soir, un avion d'Air France, qui relie Ajaccio et Marseille, n’a pu décoller qu’avec beaucoup de retard, raconte La Provence. Le décollage était normalement prévu à 18h55, mais il n’a effectivement eu lieu qu’après 22 heures 30... Ce retard est dû a un oiseau qui serait entré dans le réacteur d'après le quotidien. Bien sûr, il s’est trouvé quelques passagers pour déplorer "qu’on ne les aient pas nourris correctement" comme le rappelle Maurice Di Nocera, adjoint au maire de Marseille, qui a été retardé dans ses rendez-vous professionnels... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 octobre 2009 C’est un perroquet gris du Gabon qui s'appelle Kokin… ... Dans certains pays d'Afrique, il est courant qu' un perroquet vive en liberté dans la maison…. Jean-Christophe et sa femme ont vite compris que c’était plus difficile en France! Ce n’est pas un chat ou un chien! Au début du mois de septembre, raconte La Dépêche, Jean-Christophe a dû regagner Toulouse depuis la Côte d’Ivoire où il se trouvait… Il est parti précipitamment... Sa compagne et Kokin (le perroquet…) devaient le rejoindre plus tard… Il avait quand même fait des recherches sur internet pour savoir quelles étaient les formalités pour faire entre un perroquet en France. Il avait trouvé (ou cru) qu’il suffisait de faire établir un certificat international de bonne santé de l’oiseau… Mais un autre document régissant le commerce des espèces en voie de disparition était exigé, ce qu’il ne savait pas… Voilà donc que la compagne prend l’avion avec Kokin, qu’elle fait voyager en soute pour le prix de 30 euros… Arrivée à l’aéroport de Blagnac, elle passe au poste de douane, montre son certificat de bonne santé du perroquet, mais les douaniers lui réclament alors l’autre certificat qu’elle ne peut fournir et décident donc de retenir le perroquet… On propose alors à la dame trois solutions pour le volatile… le zoo en France, l’euthanasie ou un retour en Côte d’Ivoire moyennant la coquette somme de 1700 euros… Jean-Christophe, qui est en recherche d’emploi, ne peut s’exonérer de cette somme, précise La Dépêche. Alors que fait-on? En attendant, on a abrité Kokin dans une cabane du terrain d’atterrissage de Blagnac, avant de le mettre en quarantaine à l’école vétérinaire de Toulouse. On va lui chercher un zoo en France… Jean-Christophe est triste pour son perroquet qui dépérit. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 13 octobre 2009 Animaux. En quarantaine jusqu'au 18 octobre à l'Ecole vétérinaire de Toulouse, il se porte bien.OAS_AD("Position1"); Kokin se porte bien. En quarantaine jusqu'au 18 octobre à l'École Vétérinaire de Toulouse, il avait été pris en charge et très bien soigné par Sonia Kaeuffer, la responsable du poste frontalier vétérinaire de Blagnac jusqu'au 6 octobre. En quittant l'Ecole Vétérinaire, il sera placé dans un zoo ou une réserve. « Non, Kokin n'a pas dépéri, comme le soulignait son propriétaire. On a vraiment pris soin de lui », précise l'une des responsables du service vétérinaire. Relatée dans la Dépêche du Midi du mercredi 7 octobre, sa mésaventure désolait Jean-Christophe, son propriétaire, désespéré de ne pouvoir récupérer son perroquet. Arrivé à Toulouse mi-septembre avec la compagne de Jean-Christophe, Kokin avait été refoulé par les services de la douane de Blagnac : « Le propriétaire n'avait pas été assez vigilant, reprend la responsable. Ce perroquet ne répondait pas aux mesures de protection de santé publique mises en place contre l'influenza aviaire, (grippe aviaire). De plus, espèce protégée et inscrite à la Convention de Washington, ce volatile devait être en possession du Cites. Or il ne l'avait pas ». Ce document régit le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction. Établi par le pays d'origine pour le pays d'arrivée, il garantit la légalité del'exportation et l'importation de l'animal.Heureusement, la situation vécue par Kokin n'arrive pas très souvent. « Cela peut se présenter bien sûr, remarque-t-on au service de douane de l'aéroport de Blagnac. C'est d'ailleurs toujours douloureux pour tout le monde ». Poissons, singes, reptilesLes espèces confrontées le plus souvent à ce problème sont les oiseaux, bien sûr comme les perroquets, mais aussi les poissons exotiques. Les singes de petite taille type ouistiti et les reptiles peuvent aussi se heurter aux services de la douane. Les propriétaires de ces animaux ne s'informent pas suffisamment sur les pièces administratives à fournir : « Les Toulousains qui désirent sortir de France des animaux protégés peuvent collecter toutes les informations nécessaires auprès des services vétérinaires. Quant aux autres qui ont des interrogations pour faire rentrer en France des espèces protégées, ils peuvent avoir toutes les réponses à l'ambassade de France du pays concerné ». La responsable le dit et le répète : il ne faut jamais se contenter d'aller surfer sur internet. Bien trop de forums existent et pas assez de sites officiels. « Quand on voyage avec un animal, on se doit de collecter autant d'informations que lors d'un voyage pour soi ». Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 14 octobre 2009 Kokin se porte bien selon La Dépêche. Le perroquet refoulé à la douane ne sera pas euthanasié... Rappelez-vous. Kokin… C’est ce perroquet qui avait été refoulé par la douane de Blagnac (31) à la mi-septembre parce que ses propriétaires n’avaient qu’un certificat de bonne santé et pas celui sur la protection des "espèces en voie d’extinction"! Jean-Christophe son maître était même désolé de le voir dépérir. Et bien non! Il ne dépérit pas! Il est en bonne santé. C’est Sonia de l’école vétérinaire de Toulouse qui le soigne très bien annonce La Dépêche. Après le 6 octobre, on va lui trouver un zoo ou une réserve… Son propriétaire, lui, ne s’en remet pas d’avoir été privé de ce perroquet… Les services des douanes souhaiteraient que cela serve de leçon pour les gens qui voyagent avec des animaux… Un responsable préconise "de ne pas se contenter de surfer sur internet." Pour faire voyager un animal, il faut faire comme pour soi, demander à des organismes officiels la procédure à suivre! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 19 octobre 2009 Louisiane, États-Unis - Paul et Brandy Romero ont récemment été jugés pour avoir échangé leur oiseau exotique et 175 dollars contre deux enfants. Leur peine est pour le moment suspendue, mais ils devront témoigner contre la femme qui leur a confié les enfants. C'est en février dernier que les Romero ont procédé à cet échange. Ils souhaitaient vendre leur oiseau et c'est Mme Greenwell qui les a contactés. Cette dernière leur aurait proposé deux enfants qu'elle avait sous sa garde en échange du cacatoès et de 175 dollars (soit environ 120 euros).Les Romero ont plaidé coupable et ont été condamnés à cinq ans de prison. Leur peine est pour le moment suspendue en contrepartie de leur témoignage au procès de Mme. Greenwell, qui se tiendra en novembre. Tous les trois prétendent que leur but était de fournir un foyer convenable aux enfants. Paul et Brandy Romero, âgés de 46 et 28 ans, ne parvenaient pas à concevoir un enfant et "ignoraient les conditions légales concernant le transfert d'une garde de mineurs. Le couple maintient qu'il essayait seulement de donner un foyer à deux enfants dont Mme Greenwell ne voulait pas." Selon la police, les parents biologiques savaient que leurs enfants vivaient avec Mme Greenwell, il ne s'agit pas d'un enlèvement. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 octobre 2009 Cité Roguet à Toulouse. Depuis l’avenue Billières, (pas loin de chez moi…) on aperçoit une grande cage d’oiseaux sur un immeuble qui est géré par le département. Ce serait la mairie qui l’aurait fait installer d'après La Dépêche... Ainsi, on piège les pigeons… et on les aperçoit qui se jettent sur le grillage à grand bruit d’ailes! Vous me direz: y’en a marre de leurs salissures! (si vous êtes polis…) Alors, le site de la Dépêche a ouvert un débat! Résultat. Il se trouve des gens pour se poser les questions suivantes: "Ne sommes-nous pas les complices de la mort lente de ces animaux?", "Que disent les associations écologistes et la SPA, et la mairie?" Du côté de la mairie, l'adjointe au maire (Verts) chargée de l’environnement a précisé qu’il y a une quinzaine de ces cages en ville, qu’elles sont relevées tous les deux jours, qu’on nourrit les pigeons, qu’on stérilise ceux qui sont en bonne santé, et qu’on euthanasie seulement… ceux qui sont en mauvaise santé… Mais certains sont incrédules et pensent que ces cages ne servent qu’à éliminer les pigeons. Mais l’adjointe au maire souligne que la ville songe à des méthodes de gestion moins dures… "On va remettre en fonction des anciens pigeonniers et développer la stérilisation des œufs", précise-t-elle. Alors, peut-être qu’un jour, on ne verra plus ces cages sur les immeubles? Qu’en pensez-vous? Comment réguler les pigeons dans les villes? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 octobre 2009 France - Les Ministères de la Défense et du Développement durable, ainsi que la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) ont signé dernièrement un protocole en faveur des gypaètes barbus, des rapaces particulièrement menacés par l'activité humaine et notamment les survols d'aéronefs. Les gypaètes barbus vivent dans les régions montagneuses comme les Pyrénées, les Alpes ou encore la Corse. Mais ces rapaces doivent faire face à un problème : le survol des hélicoptères, avions ou autres moyens de transport aériens au-dessus des zones où ils se reproduisent. Le passage de ces appareils, bien souvent militaires, peut en effet perturber les gypaètes qui abandonnent leurs nids et menace donc la survie de l'espèce. Le protocole signé par la LPO et les ministères de la Défense et du Développement durable vise donc à empêcher le survol des régions où les rapaces se reproduisent, de la période d'accouplement fin novembre à l'envol des oisillons début août. Cet accord s'inscrit dans le cadre d'un plan national d'actions en faveur de la conservation du gypaète barbu. C'est aussi la suite logique d'un partenariat entre l'armée de terre, la Direction régionale de l'environnement (DIREN) Aquitaine et la LPO, conclu le 15 avril 2008 sur les conditions de survol militaire au-dessus des Pyrénées.Pour le gouvernement, c'est surtout le signe d'un engagement de la France en faveur de la conservation des espèces. Le but étant de réaliser concrètement les objectifs du Grenelle de l'environnement : freiner la perte de la biodiversité. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 octobre 2009 http://www.ladepeche.fr/article/2009/10/27/702958-Les-lignes-electriques-fatales-aux-oiseaux.html Chaque année des millions d'oiseaux meurent, le crâne fracassé contre des lignes aériennes électriques ou foudroyés. Parmi les victimes figurent de nombreuses espèces de rapaces menacées, aigle de Bonelli, vautour percnoptère, balbuzard pêcheur, cigogne blanche ou noire, gypaète barbu .... Des dispositifs ont été mis en place pour rendre les lignes plus visibles - des balises orange ou blanc en forme de spirales en tire-bouchon ou des silhouettes de rapaces faisant également office d'épouvantail pour d'autres espèces. Des gaines colorées peuvent également être installées. Mais ce n'est pas infaillible, la nuit, ou par temps de brouillard, les balises sont inefficaces, et les oiseaux finissent pas s'habituer aux silhouettes. Sur les lignes à basse ou moyenne tension, certains oiseaux de grande envergure peuvent s'électrocuter en touchant simultanément de leurs ailes un conducteur (la ligne) et une masse (le poteau).Des capuchons isolants peuvent être posés sur les têtes de ligne dans les régions où l'avifaune est la plus riche.Une solution plus radicale est l'enfouissement des lignes, mais elle serait trop coûteuse pour être étendue à l'ensemble du territoire français. Le réseau français de basse et moyenne tension s'étend en France sur 1,2 million de kilomètres, dont 400.000 kilomètres en aérien.Aujourd'hui, le groupe Electricité réseau distribution France (ERDF) enfouit la quasi totalité des réseaux neufs. Dans certains cas, les lignes existantes peuvent être enterrées, comme en Camargue, en 2007, pour protéger le flamand rose, ou dans le cirque de Navacelle dans les Pyrénées en 2008, lieu d'habitat de l'aigle royal. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 29 octobre 2009 http://www.ladepeche.fr/article/2009/10/29/704296-Lac-de-Lourdes-vol-ou-migration.html Décidément, le lac de Lourdes alimente les conversations. Ces dernières semaines, sont revenus sur le devant de la scène : le recul par la municipalité du projet de travaux à l'embarcadère ou l'aménagement des abords engagés par la commission extra-municipale, sans parler des « fenêtres » pour mieux voir le lac, transformées en baies vitrées ». Aujourd'hui, le Lourdais est face à un phénomène : la diminution de canards et oies sauvages rapportée par plusieurs promeneurs habitués des lieux. En soi, le constat n'inspire aucun débat mais un doute plane sur cette disparition. S'agit-il d'un vol d'animaux ou d'une migration automnale ? Deux marcheurs habitués des lieux ont constaté cet état de fait en milieu de semaine dernière. D'abord, sans y prendre garde, puis avec un peu plus d'intérêt. « C'est en leur portant du pain qu'on a bien vu que les volatiles étaient moins nombreux, rapporte un promeneur, surtout les oies. » Quelle mesure ? Maintenant, que faire de ce constat ? Pister les lieux comme une équipe de policiers en quête de flagrant délit ? Impensable. Porter plainte ? « Sûrement pas, répond le premier adjoint au maire Sylvain Peretto. On est en présence d'animaux migrateurs, ils ont très bien pu s'envoler vers d'autres chaleurs, mais ce serait à l'office de chasse et faune sauvage à le faire. En tout cas, si quelqu'un s'amuse à les voler, le geste est déplorable. Ces oiseaux occupent bien le lac, en font une attraction. Il faut en appeler au respect de l'environnement et combattre une fois encore tout acte d'incivisme. Aussi, on ne peut qu'inviter celui qui aurait volé ces oiseaux à les remettre dans leur espace, sur le lac. » Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 novembre 2009 http://www.ladepeche.fr/article/2009/11/03/707058-Maziere-Migration-des-especes-le-temps-des-questions.html Au sein de la réserve naturelle de l'étang de la Mazière où l'on suit les migrateurs depuis 20 ans, le phénomène n'est pas passé inaperçu : la migration post-nuptiale 2009 s'est révélée quelque peu atypique. Suffisamment pour susciter des questions auxquelles il s'avère difficile de répondre. Si en terme de bilan brut, 2009 va se solder par des chiffres impressionnants (plus de 30 000 oiseaux auront été bagués en trois mois !), il n'en sera peut-être pas de même pour une étude plus affinée de ce dernier : baisse de l'indice de fréquentation pour certaines espèces, augmentation extraordinaire pour d'autres, décalage des dates, absence de pics dans les déplacements, la liste pourrait s'avérer longue. Décalage MÊME pour LES ROUGEs-GORGEs « Même si nous manquons de recul pour formaliser des hypothèses, nous ne pouvons écarter le contexte climatique des causes possibles de ces anomalies, notent les spécialistes de la réserve naturelle de la Mazière. Celles-ci peuvent, en effet, avoir pour origine des éléments conjoncturels, par nature limités dans l'espace et dans le temps ou structurels. Dans les deux cas, le climat, son évolution, demeurent des facteurs importants qu'il serait coupable d'ignorer ». Le mois d'août et son cortège d'espèces dites « paludicoles » (vivant dans les zones humides) s'est révélé être très moyen en terme de migration alors que septembre et octobre ont vu passer des migrateurs en nombre. « Il semblerait que 2009 ait vu l'émergence de décalages, parfois très importants dans les dates de migration : cas de la fauvette à tête noire et surtout du rouge-gorge comme de l'accenteur mouchet, le décalage atteignant, pour ces deux espèces, au moins 15 jours ». Des décalages et une absence de « pics » déjà notés en 2003 puis 2006, 2008 et donc 2009. Une répétition des « anomalies » (que d'autres nommeront, à tort, « évolutions » ou « mutations ») qui aura eu tendance à se multiplier au cours de la dernière décennie et qu'il est difficile de dissocier du réchauffement climatique. D'autant plus difficile que des espèces, en étendant leur aire de répartition vers le nord sont devenues migratrices alors que jusque-là elles étaient strictement sédentaires, cas de la bouscarle de Cetti par exemple. Les palombes capricieuses Pour les palombes, les explications vont se révéler plus complexes dans la mesure où cette espèce va voir ses migrations influencées par… les pratiques agricoles. « Le pigeon ramier va hiverner de plus en plus au sein de l'Hexagone où les champs de céréales (maïs et tournesol) lui offrent des possibilités alimentaires abondantes. Et comme les conditions climatiques sont également favorables, il y a fort à parier que les palombes seront de moins en moins nombreuses à franchir les Pyrénées. Ces séjours au nord de la Loire expliquent sûrement les très mauvais chiffres avancés par les chasseurs de palombes en 2009 ». Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 novembre 2009 Un oiseau laisse choir un crouton de pain et c'est le grand collisionneur de hadrons (LHC) du CERN à Genève qui tombe en panne... Le volatile a en effet perdu sa pitance mardi dernier sur une installation électrique externe, provoquant une interruption du système de refroidissement. L'oiseau est, lui, sain et sauf mais il n'a peut-être pas mangé à sa faim. Le système de sécurité du LHC s'est mis en route et, une fois la panne identifiée, les secteurs concernés ont pu être refroidis à leur température de fonctionnement trois jours plus tard, pouvait-on lire lundi sur le site du CERN (Organisation européenne pour la recherche nucléaire). Selon l'institution, l'incident est comparable à une coupure d'électricité contre laquelle les systèmes de protection de la machine sont bien préparés. Il faut préciser que la température de fonctionnement de l'installation est proche du zéro absolu, soit moins 273 degrés Celsius. Cet incident intervient alors que le LHC devrait à nouveau être remis en service ce mois, à la moitié de sa puissance. Il devra ensuite être arrêté en 2010 afin de poursuivre les travaux permettant une exploitation à pleine puissance. L'accélérateur, un anneau de 27 kilomètres de circonférence à 100 mètres sous terre à la frontière franco-suisse, avait été mis en route le 10 septembre 2008, mais avait dû être arrêté 36 heures après, en raison d'une importante panne électrique. Le LHC est destiné à percer les mystères de la physique et aider les scientifiques à mieux comprendre l'univers et notamment détecter des traces de l'invisible "matière noire". AP Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 16 novembre 2009 A Montauban (Tarn-et-Garonne). La nuit de dimanche à lundi, un homme de trente ans s’introduit dans une volière dans le but de voler des pigeons d’élevage bien dodus... Cependant, il manqué de discrétion et fait un peu de bruit ce qui ne manque pas d’alerter la propriétaire… Elle a eu le courage de crier: sortez de là! Cela suffit à le faire fuir. Mais il a déjà mis neuf pigeons dans le sac. Il passe sous le nez de la propriétaire et s’échappe en franchissant le grillage du jardin, précise La Dépêche. Mais ce n’est pas fini. Les policiers arrivent et tombent sur lui. Ils le reconnaissent… En juillet, ils l’avaient déjà repéré lors d’un contrôle de camion où ils avaient découvert du grillage volé dans un camp de gens de voyage, mais l'homme était parvenu à s’évader en laissant ses deux copains sur place! Il avait aussi à son actif une condamnation pour "outrage à personne dépositaire de l'autorité publique." L’amateur de pigeons va donc rejoindre la maison d'arrêt Beausoleil, en attendant son jugement début 2010. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 novembre 2009 Mathias est un passionné d’oiseaux. Potier de son métier, il habite et travaille à Briatexte (Tarn). Dimanche soir, alors qu’il se promène avec un ami dans le quartier de Saint-Cyprien à Toulouse, il voit un oiseau posé à un mètre de lui… Entrainé par sa passion, il tend le bras… Et l’oiseau prend se chemin là pour arriver jusqu’à son épaule d’où il ne bouge plus, explique La Dépêche.Mathias croit dans un premier temps qu’il s’agit d’un mainate… Alors il rentre chez lui – toujours avec l’oiseau – pour le protéger du froid, pensant qu’il sera mieux là que dehors…Puis, il fait des recherches sur internet, s’aperçoit qu’il s’agit en fait d’une corneille, et conclut "que visiblement elle a été dressée", toujours selon La Dépêche.Pour l'oiseau, il a bricolé rapidement une volière avec du grillage, afin qu’elle ne picore pas les meubles de sa maison et qu’elle ne se dispute pas avec le perroquet de Mathias.Mais ce passionné d’oiseaux n’en est pas resté là, il est retourné dans le quartier de Sain-Cyprien et a collé des affichettes en vue d’essayer de retrouver le propriétaire de la corneille. Cela n’a rien donné pour le moment.Sinon, il compte le garder dix jours, après quoi il s’adressera à la Ligue de production protection des oiseaux ou la donnera à une personne intéressée. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 24 novembre 2009 Aidez les oiseaux pendant l'hiver Suivant les régions, l'hiver est particulièrement rude pour les oiseaux qui restent dans nos contrées.Plusieurs gestes peuvent les aider à passer l'hiver :- l'alimentation se fait rare pendant cette période, pensez à installer des mangeoires avec si possible différentes sortes d'aliments, à titre d'exemple, des graines, des fruits tranchés, du beurre, du pain. Vous trouverez dans le commerce des boules de nourriture toutes prêtes qu'il ne reste plus qu'à installer, sur un arbre par exemple, lors de l'installation de la mangeoire pensez à la protéger d'éventuel prédateur comme les chats.-Faites des amas de broussailles pour que certains oiseaux puissent y nicher.-D'une saison à l'autre, plantez des plantes qui font des fruits assez tardivement comme les pyracanthas, le sumac, l'érable, pour que les oiseaux s'en nourrissent. -A l'automne ne supprimez pas les fleurs mortes de vos plantes, car certaines contiennent des graines.-Ne pas trop ratisser votre jardin, certains oiseaux se nourrissent des insectes qu'ils peuvent trouver sous ces tas de feuilles.-Ne pas trop élaguer non plus la végétation morte, car les oiseaux se servent des tiges et des brindilles mortes pour faire leurs abris.-Installer un nichoir qui servira de maison aux oiseaux pendant l'hiver, comme pour les mangeoires, il faut penser à installer le nichoir à l'abri des prédateurs, sur un balcon par exemple. Vous pouvez acheter des nichoirs dans le commerce où en fabriquer un vous-même, c'est assez simple à faire et vous trouverez en cherchant un peu sur le net tous les conseils pour en fabriquer un. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 décembre 2009 http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/02/728212-L-etrange-sejour-d-une-cigogne-au-confluent.html A quelques jours du sommet de Copenhague, d'aucuns y verront comme un signe prémonitoire, d'autres plus pragmatiques comme une aberration comportementale. Et pourtant, n'y aurait-il pas comme un « curieux hasard » dans ce séjour peu ordinaire (à cause de la date bien sûr) de cette cigogne blanche au « pays du bien vivre » ? La première surprise passée, les « ornithos » de l'équipe de la Mazière (dont Laurent Joubert, le chargé de mission faune), à l'origine de cette découverte en forme de « première », ont cherché des explications d'autant que l'oiseau ne paraissait souffrir d'aucune blessure comme en témoignent les nombreux envols dont il a gratifié les observateurs. « Découvrir une cigogne blanche début décembre au beau milieu d'un groupe de 150 goélands leucophées avec le Pech de Bère en toile de fond, c'est suffisamment exceptionnel pour être signalé. Ceci dit, cette présence pose un certain nombre de questions auxquelles il est particulièrement difficile de répondre. La cause paraît imputable au contexte climatique très particulier de cet automne 2009 mais aussi et peut-être surtout à la présence du CET de Nicole qui offre à ce genre d'espèce comme aux goélands une source de nourriture abondante et pérenne. La présence de cette cigogne blanche s'inscrit, par ailleurs, dans une tendance relevée par les observateurs depuis plusieurs années, le raccourcissement des trajets migratoires, voire leur interruption ». A moins qu'elle ait un bébé à livrer courant décembre, le 25 par exemple. OAS_AD("Middle1") OAS_AD("Middle2") OAS_AD("Middle3") Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 décembre 2009 Aviv, Israël - Un oiseau souffrant d'une aile cassée réapprend à voler à l'aide d'un harnais. L'histoire se passe à l'hôpital du centre zoologique de Tel Aviv, où les vétérinaires font tout leur possible pour que l'oiseau puisse voler à nouveau. Le martinet Sisso a été recueilli à l'hôpital pour animaux du parc zoologique de Tel Aviv après s'être brisé une aile. Sous l'oeil des vétérinaires, l'oiseau réapprend désormais à voler. Attaché à un harnais fait de bandages et de gaze, lui-même fixé au plafond à l'aide d'une ficelle, Sisso prend des leçons de vol. Il peut désormais rebattre des ailes, alors que sept mois auparavant il ne pouvait que les remuer faiblement. Le but du personnel de l'hôpital du parc zoologique est de pouvoir relâcher le martinet dans la nature. A savoir que Sisso est devenu l'une des attractions du centre hospitalier pour animaux où se trouvent également chiens, chats et éléphants.Pour découvrir les images : http://www.zigonet.com/oiseau/israel-un-harnais-pour-reapprendre-a-voler-a-un-oiseau_art9427.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 décembre 2009 http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/22/741872-Cahors-Bientot-des-cages-pour-pieger-les-pigeons.html#xtor=EPR-1 En ville, ce n'est un secret pour personne, les pigeons prolifèrent. Élue de quartier de la rue Nationale, Noëlle Boyer, entend bien endiguer le problème. « Le pigeon est un animal domestique qui est revenu à la vie sauvage et qui niche en ville ». Le hic, ils détériorent l'ensemble des bâtiments historiques. C'est là qu'ils ont élu domicile. « Le pigeon dort dans des lieux fermés à l'abri de la pluie et du vent et sort le matin pour se nourrir ». Près de trente centimètres de fiente de pigeon envahissent aujourd'hui les tours du Pont Valentré. Sans parler de la cathédrale, de la tour des Pendus, de la tour Saint-Jean, la tour Barthélemy. Comment résoudre l'invasion quand on sait qu'un couple de pigeons fait 24 pigeons par an. Les filets de protection posés ici et là n'ont pas d'effet dissuasif. « À l'église Saint -Barthélémy, ils ont découpé ça à coups de bec comme on ouvre une boîte de conserve ». Nettoyer tous ces sites est devenu une nécessité. Elle aura bien sûr un coût, encore non chiffré pour la collectivité. Depuis le début du mois, l'association Lot insertion service, intervient sur les tours du pont Valentré. Après on passera à la tour des Pendus. Là autre problème souligne Noëlle Boyer, « il faut d'abord remettre en état les menuiseries, qui ressemblent à de la dentelle, et après il faudra nettoyer ». Le plus gros chantier étant Saint Barthélémy. « Au-dessus des voûtes au-dessous de la charpente, les voûtes ont des creux, or les creux sont pleins » expose Noëlle Boyer. Hors de question par rapport à l'envahissement de le résoudre par une campagne de tirs. « Nous nous sommes renseignés auprès de l'association des piégeurs du Lot, ils savent comment faire avec ces animaux. Ils interviennent sur les communes ». Avec eux la ville a signé une convention. Six cages seront achetées pour attirer les volatiles. Un arrêté municipal déterminera les périodes de captures et les zones concernées. Des pigeons encore porteurs de maladies. « Ils en transportent bien plus que le rat. À un moment il faut s'interroger, l'humain, l'animal il faut que tout ça cohabite ». Les nourrir entretient la prolifération. « Le règlement sanitaire et départemental pourtant le dit clairement, il est interdit de nourrir les animaux, c'est une infraction, passible d'une amende » insiste Noëlle Boyer. « Autrefois, on était dans une logique d'élevage »Les jardins potagers se font plus rares qu'autrefois. Conséquence, les gens n'utilisent plus la colombine issue de la fiente des pigeons, comme engrais, remarque Noëlle Boyer. Autrefois les gens mangeaient régulièrement des pigeons. On était plus proche de la logique de l'élevage.Dans les campagnes on trouvait des pigeonniers. « Cahors aussi avait des lieux de fixation des pigeons. On a recensé un pigeonnier sur la nationale 20, un autre à côté de la maison de retraite Olt, un autre à Cabessut ». Aujourd'hui le constat est autre ils sont trop nombreux sur la ville.« Pour résoudre le problème, Albi a lancé une expérimentation. Le seul prédateur du pigeon c'est le faucon pèlerin. Il peut en manger deux par jour, Mais lorsqu'ils les tuent, ils tombent à pic ». Lire aussi :À Roguet, les pigeons s'encagent pour mourir« Oui les pigeons salissent. Mais n'y a-t-il pas d'autres moyens que de les capturer avec des pièges installés sur le toit des immeubles en rendant complices de leur future euthanasie des centaines de gens ? ». Un de nos lecteurs critique ainsi la cage à oiseaux...Publié le 22 Octobre 2009 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 24 décembre 2009 Dans la nuit de lundi à mardi, des individus se sont introduits dans le parc zoologique du Domaine des Fauves qui se trouve sur la commune de Fitilieu (Isère) raconte Le Dauphiné... Leur but n'était pas une visite nocturne du parc mais le vol de perroquets.Après avoir découpé un grillage pour entrer dans les lieux, ils sont allés vers les volières des aras bleus, grands perroquets d'Amérique du Sud.Ils ont alors découpé le grillage pour entrer dans la volière.Mais là ils sont tombés sur un os.... ou plutôt sur des becs.Les aras sont assez conséquents, mesurant entre 80 et 100 cm pour un poids compris entre 1,1 et 1,7 kg.Et surtout, ajoute Le Dauphiné, ils ont des becs qui sont tranchants comme des lames. Et ils crient très fort.Les pieds nickelés ont dû rebrousser chemin tout en étant bredouille.Les perroquets peuvent se négocier entre 1.500 et 3.000 € à la revente.Il faut savoir que tous les animaux du parc sont équipés de puces qui permettent de les repérer. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 janvier 2010 Tunbridge Wells, Grande-Bretagne - Un photographe est parvenu à prendre un étonnant cliché d'un arbre dont les branches étaient couvertes de plusieurs centaines d'oiseaux. Lire la suite l'article Photos/Vidéos liées Agrandir la photo Plus de photos Insolite Articles liés Des SMS pour alerter les sauveteurs australiens de l’approche d’un requin Espagne : la police met la main sur 25 kilos d'héroïne, découverts dans des cageots de fruits Etats-Unis : une peluche sème la panique Plus d'articles sur : Animaux insolites Discussion: Animaux insolites Ce sont en effet des centaines de bergeronnettes grises qui se sont rassemblées sur les branches de cet arbre, en pleine ville. Le photographe David Tipling a repéré cet étrange rassemblement : "Au tout début, j'ai cru qu'il s'agissait de lumières de Noël qui ne fonctionnaient pas" explique-t-il.La bergeronnette grise, aussi appelée hochequeue grise, est un passereau qui est généralement assez solitaire, mais il peut s'en rassembler un grand nombre au moment de dormir. Selon le Dr Nigel Collar, du groupe Birdlife pour la protection des oiseaux, il y aurait deux théories possibles pouvant expliquer ce regroupement de bergeronnettes au même endroit. La première serait que les oiseaux échangeraient ainsi des informations entre eux : jugeant des différences de poids entre eux, les oiseaux pourraient ainsi déterminer où trouver la meilleure nourriture. La seconde hypothèse serait la protection contre d'éventuels dangers : en effet, un tel rassemblement leur donnerait plus de chances de sonner l'alerte à la moindre menace.Découvrir les images : http://www.zigonet.com/bergeronnette/des-centaines-de-bergeronnettes-decorent-un-arbre_art9680.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 janvier 2010 Alors qu'elle est en pleine promotion de son one-woman show, Eve Angeli a eu très très peur de perdre son grand ami Whoopi, un perroquet ! Comme le raconte le journal local Midi Libre, Eve Angeli a eu une très grosse frayeur lorsque son perroquet Whoopi s'est échappé de sa cage.Le jolie blonde est restée trois jours sans aucune nouvelle de son animal de compagnie, et terriblement inquiète, elle a publié un avis de recherche dans les petites annonces du quotidien. Grâce à cette annonce, les parents de la chanteuse et nouvelle humoriste ont récupéré le fugueur Whoopi à Bagnols-sur-Cèze.Eve Angeli peut respirer, son perroquet est à nouveau dans sa cage et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes. La jeune femme va désormais pouvoir entièrement se concentrer sur son spectacle Drôle malgré moi qu'elle présentera à Nice, au Théâtre du Port, les 29 et 30 janvier prochains. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 janvier 2010 Monde - Pourquoi certains oiseaux migrateurs prennent-ils autant de risques pour aller nicher si loin au nord ? A partir d'une étude réalisée dans l'Arctique canadien, des chercheurs canadiens et français ont démontré que les risques de prédation diminuaient avec les latitudes extrêmes. Les coûts et les bénéfices du comportement migratoire chez les oiseaux ont fait l'objet de nombreuses hypothèses. D'un point de vue évolutif, les coûts (dépenses énergétiques, risque de mortalité élevé, exposition aux évènements climatiques extrêmes...) doivent être compensés par des bénéfices (succès de la reproduction, moindre risque de prédation...).Un dispositif standardisé destiné à mesurer la variation du risque de prédation des pontes avec la latitude a été mis en oeuvre dans le cadre de l'année polaire internationale : des nids artificiels ont été disposés à différentes latitudes entre 53°N et 82°N. En chacun de ces sites, les chercheurs ont mesuré le nombre d'oeufs n'ayant pas été consommés par les prédateurs (renards polaires, goélands...). Ils ont ainsi pu montrer que le risque de prédation des pontes diminuait de plus de 60% entre les sites du sud et ceux situés dans des milieux comparables, 3.350 kilomètres plus au nord. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 février 2010 Frontière russe - Alors qu'elle tentait d'introduire illégalement dans son pays une cinquantaine de perroquets, une femme russe a été démasquée par les bavardages des oiseaux, cachés sous ses vêtements. La fraudeuse avait spécialement aménagé des espaces pour chaque oiseau dans ses vêtements, alors qu'elle comptait en introduire une cinquantaine dans son pays en revenant de Chine. Mais alors qu'elle était en train de passer le contrôle des douanes, les volatiles ont commencé à se manifester. Un communiqué révèle alors : "Ils (les perroquets) se sont réveillés à ce moment, et ont commencé à discuter activement entre eux. Il était tout simplement impossible pour l'inspecteur de la douane et pour les touristes de ne pas entendre les perroquets". Chaque perroquet est estimé à une valeur de 235 euros d'après l'AFP et une action en justice a été intentée contre la Russe pour recel de marchandises. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 février 2010 Yorkshire, Grande-Bretagne - Depuis quelques mois déjà, la population du village de Newsham est terrorisée par les attaques sournoises d'un faisan. Hommes, femmes, enfants, bicyclettes, rien ne semble pouvoir arrêter l'animal. Le faisan va même jusqu'à poursuivre les enfants quand ces derniers descendent du bus pour aller à l'école. Une des victimes de l'oiseau, Sonia Hall, 65 ans, explique qu'elle se promenait dans la rue avec son petit-fils quand le faisan l'a attaquée. Elle a tenté de se défendre en lui assénant des coups, mais l'animal ne s'est pas laissé faire. Selon Lyndsey Waddell, présidente du comité national des gardes-chasse, "le faisan ne ferait que protéger ce qu'il considère comme étant son territoire". Certains villageois avancent une autre hypothèse, un peu plus fantaisiste : le faisan viendrait venger ses comparses, tués par les chasseurs. Découvrez quelques clichés du village et du faisan : http://www.zigonet.com/attaque/decouvrez-quelques-images-d-039-un-faisan-agressif-et-du-village-qu-039-il-terrorise_art10248.html Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 février 2010 Péninsule d'Otago, Nouvelle-Zélande - Deux femelles albatros vont élever ensemble un poussin. Ce type de comportement n'avait été observé chez les albatros que deux fois en 70 ans. Les deux femelles seraient les deux compagnes d'un même mâle, qui les aurait délaissées il y a quelques mois. Avant de disparaître, il s'est accouplé avec l'une des deux femelles. Depuis, elles sont inséparables. Lyndon Perriman, le ranger chargé de la surveillance de la colonie d'albatros, explique : "Il est très rare de voir deux oiseaux femelles se mettre en couple." Il ajoute : "Les deux femelles vont élever le poussin comme l'auraient fait un mâle et une femelle." Les deux albatros vont se relayer dans leurs tâches tous les deux jours. Pendant que l'une ira pêcher de la nourriture pour le petit, l'autre s'en occupera et le protégera des éventuels prédateurs. Cette année, la colonie qui compte déjà 140 individus, s'est agrandie de 17 nouveaux membres. En effet, sur les 17 oeufs fertiles en incubation, tous ont éclos. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 février 2010 Un dentiste d'Alaska a refait un bec à un aigle chauve, en utilisant une couronne dentaire temporaire, du mastic et un surligneur jaune. L'oiseau avait été découvert en décembre avec un bec très abîmé, apparemment après qu'il se soit pris dans un fil de pèche qui s'était enroulé autour du bec et avait commencé à le couper.Cindy Palmatier, du centre de traitement des oiseaux de l'Etat, explique que l'équipe a décidé de faire appel au dentiste Kirk Johnson, qui a proposé de travailler sur l'aigle comme il aurait fait pour une couronne dentaire sur un client ordinaire.L'oiseau a un nouveau bec, mais il ne pourra pas retourner vivre dans la nature avec ce bizarre appendice. AP Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 13 février 2010 Selon les experts, les canards se sont mis à la recherche d'une partenaire pour s'accoupler. Seulement, l'absence de femelles les rend plutôt agressifs. Les habitants de Thirsk craignent désormais que le comportement belliqueux des canards ne fasse fuir les touristes : ils chassent les femelles en groupes et se montrent très combatifs. "Le phénomène peut se révéler perturbant pour les jeunes enfants et nous avons reçu beaucoup de plaintes à ce sujet", a déclaré un élu local. Certains des volatiles ont depuis été déplacés dans des zones assez éloignées du centre ville. Cependant, les autorités craignent que les canards ne retournent sur leur ancien territoire. La loi interdisant qu'on les tue, les membres du conseil municipal recherchent actuellement une solution au problème. Rappelez-vous, Zigonet vous en parlait la semaine dernière, dans un autre village du Yorkshire, c'est un faisan qui sème la panique au sein de la population (voir article).Donnez votre avis, découvrez les photos et toute l'actualité insolite sur Zigonet Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 février 2010 je transmets cette informatio, c'est délirant :Un matin d’hiver 2010, j'ai trouvé un corbeau cloué par les ailes sur une vidéo youtube.La vidéo montre un corbeau crucifié, il est mort je crois, c'est un acte sadique, une scène d'un autre âge à laquelle on assiste quand on cherche des vidéos.En me renseignant sur internet on trouve cet acte est peu commun, il s'agirait de jeter un sort ???la vidéo est en ligne depuis le 10 octobre 2008le diffuseur qui se nomme Frédéric vit dans le 74 et va au Collège sur le film l'oiseau est mort.il n'y a pas de son mais des bulles en incrustation1/ jesus je te ressemble2/ je suis jesus en corbeau3/ je vais te tuer pour avoir péchéhttp://www.youtube.c...h?v=hONxfdTSi-0fred74ol10 octobre 2008corbeau crucifierCatégorie : DivertissementTags : jesus Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 février 2010 source : 20minutes Environnement Le premier bilan du pigeonnier urbain de Villeurbanne n'est pas très concluantLes pigeons ont encore de beaux jours devant eux. A tel point, d'ailleurs, qu'aucune méthode de gestion de leur (sur) population ne donne satisfaction. Dans le Grand Lyon, Villeurbanne s'est lancée dans l'expérience du pigeonnier, installé square Felix-Lebossé, à l'automne 2008. « Nous avions essayé les graines contraceptives, la stérilisation, les prédateurs », explique Antoine Lumetta, technicien coordinateur à la direction de l'hygiène et à la santé publique. « Mais, soit c'est inefficace, soit on ne fait que déplacer le problème. » Des résultats encore peu probantsà VilleurbanneSur le papier, le principe du pigeonnier urbain est simple : les oiseaux sont attirés par cette « pension complète », ils nichent, font des œufs, qu'on stérilise en les secouant. Donc les effectifs baissent. Théoriquement. Philippe Clergeau, écologue à l'INRA, estime au contraire qu'en fournissant plus de nourriture et de possibilité de couver, on aboutit à « une augmentation faible, mais régulière, de la population du secteur ». Fiente alors !A Villeurbanne, un an et demi après le début de l'expérimentation, la municipalité est toujours dans l'expectative. La stérilisation des œufs a commencé. Mais l'évolution des indicateurs (nombre de pigeons, plaintes d'habitants) ne révèle rien de significatif. « L'impact est difficile à mesurer. Nous sommes dans un domaine très empirique », reconnaît Vincent Morland, délégué villeurbannais à la nature et à l'animal en ville.Curieusement, si le pigeon suscite des débats enragés, la littérature et les références scientifiques manquent. Un constat, cependant : le pigeonnier, qui rappelle des souvenirs champêtres, donne une autre image du « rat volant ». « Les enfants des écoles découvrent qu'il est intelligent. Le regard sur l'animal change, il n'est plus considéré seulement comme un nuisible », remarque Vincent Morland. « Le pigeon fait partie de notre paysage urbain. S'il n'y en avait plus, ce serait étrange, non ? » sandrine boucher méthode dureLa technique classique de régulation des pigeons est le « prélèvement », c'est-à-dire la capture au filet et l'euthanasie des oiseaux. Environ 4 000 volatiles sont concernés à Lyon chaque année et entre600 et 1 100 à Villeurbanne, où ils ne sont plus capturés aux abords du pigeonnier. Mais il ne s'agit que d'une solution à court terme : tant que les pigeons trouvent nichoirs et nourriture en abondance, les grandes villes resteront pour eux une « niche écologique ». Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 avril 2010 Vos charmants petits inséparables, pinsons et autres perruches ne sont pas si inoffensifs que vous le pensez. Gare en effet, aux bactéries qu'ils sont susceptibles de vous transmettre. Pour en limiter la propagation, l'hygiène reste encore votre arme la plus efficace Lorsque vous nettoyez la cage ou la volière, gardez donc cela présent à l'esprit. Une perte d'appétit, une diarrhée, un plumage « ébouriffé », une passivité inhabituelle sont autant de signes qui doivent vous faire évoquer une maladie. Interrogez votre vétérinaire. Il vous recommandera sans aucun doute d'apporter un soin particulier à l'hygiène de la cage.Escherichia coli (E. Coli), Salmonella voire Chlamydophila psittaci des bactéries en effet, peuvent être en cause. Et très logiquement, leur prolifération est favorisée par une hygiène approximative Voilà pourquoi, pour votre santé comme pour celle de vos animaux, il convient de nettoyer leur lieu de vie très régulièrement. Au moins une fois par semaine, videz la cage. Passez sur tous ses constituants une éponge imbibée d'un produit nettoyant et d'eau tiède, puis rincez abondamment. N'oubliez pas les accessoires : perchoirs, balançoires, mangeoires sont des nids à microbes. Chaque jour, vous devrez en changez l'eau car elle est le plus souvent, souillée par les déjections.La transmission bactérienne s'effectuant par inhalation comme par ingestion, utilisez toujours un masque et des gants pour nettoyer la cage. Et après avoir touché un oiseau, lavez-vous systématiquement les mains à l'eau et au savon. Un dernier point, interdisez-vous d'embrasser votre oiseau sur bec. C'est très sympa (pour vous) mais pas du tout hygiénique Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 19 avril 2010 Un beau cygne tout blanc s’est retrouvé prisonnier, il y a quinze jours, dans un trou de recyclage des eaux, à Saint-Martin-sur-le-Pré dans la Marne, nous raconte L’Union...Le pauvre volatile peine et ne parvient pas à s’envoler.Il ne peut pas sortir tout seul de là…Nous reviennent alors ces vers de Lamartine:Le cygne voit le ciel à son heure dernière,L'homme seul, reportant ses regards en arrière,Compte ses jours pour les pleurer…Mais non, ce n’était pas la dernière heure pour ce cygne…Car les secouristes de Châlon sont venus l’aider.Grâce à eux, il a pu s’envoler et retrouver un espace plus grand pour lui. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 mai 2010 Les premiers oiseaux ont été atteints jeudi par la marée noire sur l'archipel des Chandeleur près de la côte de la Louisiane, déclare un responsable local. "Nous avons des indications selon lesquelles des oiseaux sont mazoutés dans cette zone", a déclaré Jeff Dauzat, du département de la qualité environnementale dans l'Etat de Louisiane.Les espèces touchées sont les fous de Bassan et les pélicans bruns, a-t-il précisé.Du pétrole a pour la première fois atteint une plage de l'île de Freemason, dans le petit archipel des îles Chandeleur, au large de la côte sud-est de la Louisiane.Le delta du Mississippi et les côtes de la Louisiane, de l'Alabama, du Mississippi et de la Floride, sont menacés par la marée noire. La nappe mesure plus de 200 km sur 110.Pascal Liétout pour le service français Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 mai 2010 VENICE (Etats-Unis), 6 mai 2010 (AFP) - Des galettes de pétrole en provenance de la marée noire qui se propage dans le golfe du Mexique ont touché jeudi une île au large de la Louisiane (sud), ont indiqué les garde-côtes, annonçant officiellement pour la première fois un impact de brut.> Un porte-parole de BP, qui exploitait la plateforme pétrolière à l'origine de la marée noire, John Curry, a annoncé de son côté que trois équipes d'intervention d'urgence avaient été envoyées sur l'île à environ 50 km au large des côtes et déployaient des boudins gonflables pour protéger la faune et la flore.Les îles Chandeleur font partie de la réserve naturelle Breton National Wildlife Refuge, la deuxième plus ancienne des Etats-Unis abritant un nombre incalculable d'oiseaux.Dès le 30 avril, le responsable de la commune littorale de Plaquemines en Louisiane, Billy Nungesser, avait annoncé à l'AFP l'arrivée des premières plaques de pétrole sur la côte de l'Etat. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 10 mai 2010 C’est à Bâle (Suisse). Dimanche matin, une dizaine de canards s’engagent dans le tunnel autoutier de Sankt Johann… Les autorités font fermer le tunnel à la circulation pendant près de 40 minutes… Les policiers, les pompiers et les garde-frontières interviennent, selon Le Matin. Lire la suite l'articlePhotos/Vidéos liées A Bâle, 10 canards font fermer l'autoroute Une dizaine d’hommes (autant que de canards) parviennent à les récupérer et comptent les introduire dans le jardin zoologique de Lange Erlen, toujours selon ce journal.La balade des canards s’est donc terminée vers 10 heures 30, heure à laquelle le tunnel a pu être rouvert à la circulation, selon la police locale…Voir les photos, les vidéos et réagissez à l'info sur LePost.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 juin 2010 Depuis plusieurs jours, des drôles de panneaux ont fait leur apparition dans les parcs et les rues de Berlin : "ATTENTION: CORNEILLES MÉCHANTES". C'est un journal allemand qui en a fait un gros titre, accompagné d'une photo : "L'attaque" raconte France 2.Celles-ci attaquent depuis plusieurs jours les passants, dont un a été blessé, mais aussi des chiens...(Images : France 2)Elles protègent leurs petits.Ce phénomène, peu courant tout de même, n'a cependant rien d'extra-ordinaire. Les corneilles protègent tout simplement leur nid et leurs oisillons qui peuvent à peine voler et qui se réfugient dans les buissons.Les "attaques" devraient encore durer un quinzaine de jours, donc si vous allez dans les environs de Berlin, jetez de temps en temps un coup d'œil... en l'air. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 juin 2010 Brandebourg, Allemagne - La célèbre cigogne bleue qui intrigue toute l'Allemagne depuis plusieurs semaines a eu quelques bébés... qui sont blancs comme leur mère. Zigonet vous en faisait part il y a quelques semaines (voir article : Découvrez en images une mystérieuse cigogne bleue), l'oiseau bleu installé dans le village de Brandebourg intrigue beaucoup. Si une plume de l'animal n'a pour l'instant pu être récupérée avant de connaître l'origine de cette couleur bleu, la cigogne mâle a eu des petits, qui sont eux, blanc et noir.L'élu Manfred Wilke explique à l'AFP : "Pour l'instant, moi je n'en ai vu que deux, mais des témoins ont parlé de trois petits cigogneaux", tout en précisant que la couleur bleu de la cigogne mâle n'a jamais été considérée comme une mutation génétique, ce qui explique la couleur blanche des petits oiseaux. Et l'Agence France Presse de préciser que la présence de l'oiseau bleu a relancér le tourisme dans le village Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 juin 2010 Brandebourg, Allemagne - La célèbre cigogne bleue qui intrigue toute l'Allemagne depuis plusieurs semaines a eu quelques bébés... qui sont blancs comme leur mère. Zigonet vous en faisait part il y a quelques semaines (voir article : Découvrez en images une mystérieuse cigogne bleue), l'oiseau bleu installé dans le village de Brandebourg intrigue beaucoup. Si une plume de l'animal n'a pour l'instant pu être récupérée avant de connaître l'origine de cette couleur bleu, la cigogne mâle a eu des petits, qui sont eux, blanc et noir.L'élu Manfred Wilke explique à l'AFP : "Pour l'instant, moi je n'en ai vu que deux, mais des témoins ont parlé de trois petits cigogneaux", tout en précisant que la couleur bleu de la cigogne mâle n'a jamais été considérée comme une mutation génétique, ce qui explique la couleur blanche des petits oiseaux. Et l'Agence France Presse de préciser que la présence de l'oiseau bleu a relancér le tourisme dans le village Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 15 juin 2010 Hertfordshire, Grande Bretagne - Des bébés cygnes apprennent à nager avant de se laisser porter sur le dos de leur mère. La petite famille de cygnes a été photographiée près de leur nid lors d'un cours de natation. Sur les photographies, on peut apercevoir la mère donnant un cours de nage et de navigation à ses deux petits. Ces derniers, tout d'abord derrière elle, grimpent rapidement sur son dos afin de se laisser porter pour rentrer au nid.Les petits cygnes restent généralement proches de leur parents pendant les deux premières années de leur vie afin d'apprendre à nager correctement ou encore de connaître parfaitement les routes de migration. Ce n'est que par la suite qu'ils choisissent un partenaire et qu'ils quittent le confort familial pour fonder leur propre famille. Découvrez les photos de l'apprentissage des bébés cygnes : Donnez votre avis, découvrez les photos et toute l'actualité insolite sur Zigonet Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 16 juin 2010 Cannes, lundi matin. A l’angle de la rue Clémenceau et du boulevard Hibert, une camionnette pas en très bon état est stationnée. Rien de très étonnant, sauf qu’à l’intérieur, se trouvent deux goélands, raconte Nice Matin.Comment se sont-ils retrouvés là alors que vitres et portières sont fermées? Bien sûr, les volatiles se sont attaqués aux sièges qu’ils ont souillés et griffés. Mais pouvaient-ils faire autrement, alors qu’ils étaient enfermés depuis peut-être plusieurs heures, se demande le quotidien?Les riverains ont prévenu la police municipale et la police nationale, qui se sont rapidement rendus sur les lieux. Mais, comme il n’est pas facile d’attraper ces grands oiseaux, la société Chenil service, spécialisée dans le ramassage des animaux, a été sollicitée, et a aussi eu du mal à les approcher à cause des risques de coups de bec. Elle a réussi à les capturer puis les a transportés sur le mont Chauve à Nice, d'où les oiseaux ont été lâchés.(photo maxppp)L’épicier, à qui appartient la camionnette, a été placé en garde à vue, mais n’a pas pu expliquer comment ces goélands ont pu faire leur nid sur les sièges du véhicule ! Ni pourquoi, il était inscrit "galet" sur les pattes des oiseaux.Toujours le mystère… L’épicier a été remis en liberté, mais il devra payer une amende de 300 euros, car les goélands sont une espèce protégée, précise Nice Matin. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 juin 2010 LILLE, 16 juin 2010 (AFP) - Les céréaliers de l'Oise, victimes de la prolifération des corbeaux, ont écrit au préfet pour demander un plan de régulation du volatile, très friand des semis de maïs ou d'orge, a-t-on appris mercredi auprès de la FDSEA.> "Les problèmes commencent à la levée du maïs. Ils bouffent les grains au moment de la fermentation. Ils sont friands de toutes les cultures", explique Grégoire Longuépée, agriculteur à Blancfossé.Pour protéger son pois d'hiver, il a sollicité la société de chasse locale pour installer dans ses champs des cages permettant de capturer l'animal.Luc Smessaert, de la FDSEA 60, déplore que "personne ne s'intéresse vraiment" au corvidé, qu'il qualifie de "bête noire" des cultivateurs isariens."Le corbeau n'a quasiment pas de prédateur à part l'homme, et l'homme ne le consomme pas. Avec l'interdiction des répulsifs et le piégeage réservé aux professionnels, on n'a plus aucune protection du grain", estime-t-il.Les corbeaux s'habituent aux épouvantails et les détonateurs au butane "ne font que déplacer la question chez le voisin", souligne-t-il.Les exploitants souhaiteraient pouvoir chasser le corbeau toute l'année et être autorisés à piéger sans recourir aux piégeurs professionnels. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 juin 2010 À la fin du mois de mai, à Gouaux-de-Luchon, dans le Comminges, près de 70 vautours se sont jetés sur un poulain de quelques jours. Une attaque en règle pour se repaître décrite par les propriétaires impuissants comme une vision d'horreur. Mardi, ces charognards se sont littéralement acharnés sur un veau de quelques heures. Depuis deux ans maintenant, le comportement des vautours inquiète tout particulièrement les éleveurs travaillant dans les Pyrénées. Ces charognards délaissent les cimes pour trouver leur nourriture dans les pâturages.Mardi matin, Michel Rozès, habitant la commune de Soueich dans le Comminges, se rend dans un pré, situé au bas du lieu-dit le « Bois vert ». Cet éleveur veut voir si une de ses vaches et le veau auquel elle a donné naissance se portent bien. Quand il arrive, vers 14 h 30, il voit une douzaine de vautours autours du petit veau.« La mère essayait de le protéger », raconte Michel Rozès.En vain. Le veau est déjà mort. Les vautours, eux, sautillent autours de la carcasse qu'ils dépècent en quelques coups de becs acérés. « Mon père qui a plus de 80 ans n'avait jamais vu cela ! C'est très inquiétant », confie l'éleveur commingeois. Prévenus, les agents de l'office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) n'ont pu que constater les dégâts. « Actuellement, il faut savoir que rien n'est prévu pour indemniser les éleveurs de ce genre d'attaque », insiste Michel Rozès, un brin dépité. Dans la vallée de Luchon, le vautour fait régulièrement parler de lui, c'est la première fois qu'une telle attaque est recensée sur la commune de Soueich. Face à ces attaques, les éleveurs envisagent de mettre à l'abri leurs bêtes prêtent à mettre bas.(1) Mercredi, à Montauban-de-Luchon, les éleveurs inquiets et les représentants de l'ONCFS ont participé à une réunion pour évoquer le comportement des vautours. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 29 juin 2010 Beaucens. Naissances au Donjon des aigleshttp://www.ladepeche.fr/article/2010/06/29/864414-Beaucens-Naissances-au-Donjon-des-aigles.htmlJean-Loup Venant bichonne les petits derniers./Photo D. P. Le Donjon des aigles, à Beaucens, est véritablement un lieu magique où les rapaces et autres perroquets s'épanouissent en toute quiétude. Une nouvelle preuve en est faite avec la naissance de 18 petits depuis le début de l'année. Il faut dire que Jean-Loup Venant veille tout particulièrement sur ces jeunes recouverts de duvet : « L'écloserie est à la maison, c'est plus facile pour s'en occuper car il faut leur prêter attention 24 heures sur 24. Ensuite, on les amène ici, au donjon ».Plusieurs espèces sont concernées par ces naissances, le vautour fauve notamment : « C'est un rapace qui vit assez facilement en captivité mais il n'y a pas énormément de naissances par an. Nous avons eu aussi des chouettes hulotte, des chouettes effraie, des faucons lamiers, laggar ou encore un grand-duc de Virginie ».Les perroquets en vedetteAu milieu des 250 rapaces, une cinquantaine d'espèces en tout, on trouve aussi une vingtaine d'espèces de perroquets, de la perruche au ara, qui enchantent le public lors des représentations : « Nous avons rajouté beaucoup de perroquets. À chaque fois, on lâche une soixantaine de perroquets, c'est très beau car très coloré ».Des spectacles qui ont lieu tous les après-midi, à 15 h 30 et 17 heures ; au mois d'août, il y en a trois, à 15 heures, 16 h 30 et 18 heures, et qui se déroulent sous la forme de démonstrations des qualités des rapaces et des perroquets :« On commence par les aigles qui montrent comment ils pêchent devant du public, puis ils font preuve de talent, de vitesse, avec un leurre qu'ils doivent saisir en plein vol. Le vautour percnoptère, casseur d'œuf, ou le serpentaire africain, très haut sur pattes, qui boxe les reptiles afin de les assommer ».Un spectacle impressionnantVient ensuite le ballet de plusieurs espèces de rapaces dont le milan noir qui doit attraper des récompenses dans des positions parfois très acrobatiques. Les rapaces nocturnes, comme la chouette effraie qui est chargée de retrouver une personne dans le public grâce à son ouïe. L'harfang des neiges, rendue célèbre par la série « Harry Potter », grosse chouette toute blanche fait aussi partie du spectacle au même titre que la plus petite chevêche et son vol ondulant. Le grand-duc d'Europe et son 1,60 m d'envergure vient frôler le public avant l'arrivée du condor, 3,20 m d'envergure pour 11 kg.Un spectacle impressionnant qui se termine par le fameux ballet de couleurs des perroquets. À ne pas manquer au Donjon des aigles jusqu'au 3 octobre prochain. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 juillet 2010 Un président de club ornithologique est convoqué devant le tribunal correctionnel uniquement parce qu'il a recueilli deux merles blessés et fait éclore chez lui deux oeufs de pinson. http://www.lepost.fr/article/2010/07/01/2136478_convoque-au-tribunal-pour-avoir-recueilli-deux-merles-blesses.html#xtor=AL-235Non, nous ne sommes pas dans la quatrième dimension, mais bien dans le Béarn, avec un faits divers raconté en détails par La République des Pyrénées.Tout commence au coeur de l'hiver 2007-2008. Deux merles blessés sont confiés au club de Christian. Celui-ci les installe chez lui, dans une volière « avec une tourterelle pour limiter leur stress ». Au printemps suivant, Christian trouve deux oeufs de pinson dans un nid partiellement détruit. Il les récupère, les fait couver par des canaris. Bientôt naissent deux passereaux. Quand ils ont six jours, l'ornithologue leur pose des bagues conventionnelles.Mais un an plus tard, des représentants de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage débarquent chez Christian. « Il s'agissait d'un contrôle classique, dont le programme est concerté avec les autorités chargées de la police de l'environnement », précise le responsable départemental de l'ONCFS, Xavier Horgassan - qui, devoir de réserve oblige, ne peut pas s'exprimer sur la procédure en cours. Les agents de l'ONFCS découvrent alors les deux merles et les deux pinsons.Comme le prévoit la procédure, leur rapport est transmis au parquet. Car il y a une infraction : certes, on peut chasser le merle noir sauvage, mais on ne peut pas le garder en cage chez soi. Le pinson est pour sa part une espèce protégée. Tout cela, Christian le sait bien : « Cependant, si je n'avais pas récupéré les deux merles, ils seraient morts. De même, si je n'avais pas récupéré les deux oeufs, il n'y aurait pas de pinsons aujourd'hui ». Et donc pas d'objet du délit...Quelques mois plus tard, le président du club ornithologique reçoit sa convocation à une audience du tribunal correctionnel. « Je suis tombé des nues », lâche-t-il. Au mois d'octobre, il répondra précisément d'« avoir ouvert sans ... Lire la suite sur LePost.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 juillet 2010 http://www.lpo.fr/comm/2010/cp-gypaete-vercors.shtmlLe Gypaète barbu réintroduit dans le Vercors : Le Gypaète barbu est l'un des plus grands rapaces d'Europe mais aussi l'un des plus menacés. Seules les Pyrénées accueillent une population stable (environ 130 couples en 2009). Dans les Alpes, le nombre de couples reproducteurs est encore très faible, rendant cette population très fragile. Cette espèce est inscrite dans la catégorie « en danger » sur la liste rouge de la faune protégée en France et bénéficie du statut d'espèce protégée (arrêté du 17/04/81) et menacée d'extinction.Pourquoi le réintroduire ?Le Gypaète barbu est une espèce menacée de disparition, il est donc nécessaire de mener des réintroductions pour augmenter ses chances de survie.Depuis 1986, ces programmes sont réalisés dans les Alpes sous le contrôle de la Vulture Conservation Foundation (VCF). C'est cette fondation qui a sollicité le Parc du Vercors afin d'étudier la possibilité de réintroduire des gypaètes sur le Vercors ou aux alentours. Les dernières traces de cette espèce sur le Vercors remontent à 1878 à Pont-en-Royans. À l'époque, il était diabolisé à tort, sa réputation lui donnait le rôle de voleur d'agneaux et d'enfants ! Cette image fût certainement véhiculée par son habitude à prendre des bains dans des boues ferrugineuses : les gens pensaient qu'il se baignait dans le sang de ses victimes.C'est l'homme qui a conduit à son extinction.Pourquoi le Vercors ?La conservation de cette espèce s'inscrit dans le cadre d'un programme national et européen de conservation et de sauvegarde, soutenu par le Ministère de l'écologie dans lequel le massif du Vercors prend toute sa place. Au niveau européen, cette réintroduction permettra de renforcer la population alpine encore très fragile.Le projet du Vercors suscite d'autres intérêts, ce qui devrait permettre la création d'un corridor entre les Alpes et les Pyrénées. À l'échelle du massif, ce projet s'inscrit dans la politique de restauration de la Biodiversité que mène le Parc du Vercors depuis les années 80. Fort de son expérience, le Parc en partenariat avec la commune de Treschenu-Creyers, la VCF, la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux) et ASTERS, mène cette campagne de préservation de la faune sauvage.La méthode employée pour le lâcherUne des particularités de cette espèce est que le Gypaète est « philopatrique », c'est à dire qu'il est très fidèle à son lieu de naissance ou de lâcher. C'est pour cela que la méthode de lâcher utilisée est dite du « taquet ». Elle consiste à installer et nourrir de jeunes oiseaux dans une cavité aménagée, un mois avant que leur instinct ne les pousse à s'envoler. Ils sont âgés de trois mois lorsqu'ils sont déposés dans cette cavité et ils auront un mois pour s'imprégner de l'environnement dans lequel ils reviendront certainement nicher une fois adultes. Dans le cadre de cette opération qui va dérouler sur cinq ans, le 6 juin dernier, trois oisillons ont été déposés dans une cavité des falaises de Treschenu-Creyers. Ces gypaètes barbus viennent de trois pays différents : France, Autriche et République tchèque.Plus d'information sur l'opération de réintroduction menée par le Parc naturel régional du Vercors : http://www.parc-du-vercors.fr/Allain Bougrain DubourgPrésident de la LPOContacts Documents Parc du Vercors : Alexandra Couturier06 85 03 49 79alexandra.couturier@pnr-vercors.frLPO : Yvan Tariel05 46 82 12 34yvan.tariel@lpo.fr Communiqué de Presse en version PDFSuivez ici la réintroduction des Gypaètes barbus grâce à la webcam, installée dans la falaise. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 12 juillet 2010 Kevin, bébé faucon crécerelle, tombé de son nid, a été transporté dans une clinique vétérinaire dans le Buckinghamshire (Angleterre). Sa patte cassée a pu être soignée grâce à un plâtre de fortune : une aiguille, du fil et un peu de plombage dentaire. Un bébé faucon crécerelle surnommé Kevin a présenté un challenge pour les vétérinaires. Tombé du nid, il s'est brisé la patte gauche. A la clinique de la vie sauvage de St. Tiggywinkles, dans le Buckinghamhshire (Royaume-Uni), l'oisillon âgé d'environ quatre semaines a subi une intervention d'une demi-heure où à l'aide d'une aiguille, de fil chirurgical et de ciment dentaire, les vétérinaires ont été en mesure de soigner sa patte brisée.Le fondateur de la clinique, Les Stocker, a affirmé aux journaliste du Mail qu'il "était très important de faire le meilleur travail possible. Les faucons crécerelles rôdent au-dessus de leur proie et lui tombent dessus en l'agrippant avec leurs pattes, d'où l'importance vitale d'avoir l'usage de ses deux pattes."Pour le moment soigné à la clinique de M. Stocker, l'animal devra attendre de voir son plumage d'adulte pousser avant de pouvoir être relâché dans la nature. L'oisillon que le personnel a surnommé Kevin récupère bien de ses blessures et devrait pouvoir retourner à la vie sauvage d'ici septembre. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 juillet 2010 BREST, 22 juil 2010 (AFP) - Des jeunes goélands ont vu leur plumage peint en rose ou vert par des malveillants, a-t-on appris auprès de la Ligue de protection des oiseaux (LPO) qui s'indigne de ces mauvais traitements survenus en Bretagne sud.> A l'antenne LPO de Lorient, une bénévole, Renée Poignant, a recueilli trois jeunes goélands rose ou orange fluorescent dans le port de Lorient. Ils seront acheminés au centre de soins de l'Ile Grande avec une dizaine d'autres goélands blessés ou mutilés par l'homme, a-t-elle dit.Ces dernières semaines, le centre de l'Ile Grande a recueilli près de 200 goélands blessés par l'homme. Rétablis, 80 ont été relâchés mercredi.Le goéland argenté (larus argentatus de la famille des laridés), très répandu en zone urbaine, est régulièrement la cible de représailles "abominables", selon la LPO.Les plus vulnérables sont les poussins qui dépendent de leurs parents, selon les ornithologues. Ils savent marcher mais pas encore voler et s'aventurent hors du nid, notamment pendant les grandes chaleurs en ville."Certaines personnes les traitent comme des jouets ou des défouloirs, jouent au foot avec les poussins ou les écrasent volontairement", s'indigne Renée Poignant.Après l'apparition des premiers goélands fluorescents, des rumeurs avaient attribué leurs teintes à des colorants contenus dans les résidus d'une usine locale d'aliments pour chiens, où les oiseaux marins viennent se nourrir.Contrairement au flamant rose, le goéland ne possède pas de "plumage cosmétique" et les couleurs insolites proviennent de l'application de peintures, a expliqué M. Bentz.Le service juridique de la LPO nationale compte déposer une plainte au tribunal de LorientCet oiseau intelligent, opportuniste et omnivore, attiré en mer par les déchets de pêche, en ville par les détritus alimentaires. Bien que protégé, certains le jugent nuisible à cause de ses cris, de ses déjections et de ses nids qui provoquent des rétentions d'eau dans les toitures. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 juillet 2010 http://www.ladepeche.fr/article/2010/07/26/879374-Rocamadour-Des-rapaces-suivis-a-la-trace-par-GPS.htmlDepuis mi-juillet, une expérience scientifique est menée par le CNRS sur le vol des rapaces à Rocamadour. Une expérience unique au monde, rendue possible grâce à la spécificité du Rocher des Aigles.Merveilleux outil pédagogique, le Rocher des Aigles de Rocamadour franchit une nouvelle étape dans la connaissance scientifique. Depuis mi-juillet, le parc participe à une expérience avec le CNRS. Après un premier séjour de reconnaissance en avril, Olivier Duriez, chercheur au muséum d'histoire naturelle de Paris, Yann Ropert-Coudert et Akiro Kato, de l'institut pluridisciplinaire Hubert Curien de Strasbourg ont cette fois équipé plusieurs vautours et aigles de balises.« J'ai travaillé sur le comportement alimentaire de vautours dans le Sud-Aveyron. Mais la spécificité du Rocher des Aigles, où les oiseaux sont à la fois libres et dressés, permet avec la pose de balises GPS très précises (quatre points par seconde), d'étudier le comportement des oiseaux en milieu naturel : la dynamique de vol, la vitesse de montée et de descente, l'utilisation des courants aériens, la stratégie de vol en fonction du vent et de la météo, à quel moment le vautour bat des ailes ce qui est pour lui une très grande dépense d'énergie », explique Olivier Duriez.Un autre type de balise relève le rythme cardiaque. Cette expérience avec les rapaces du Rocher des Aigles permet également de travailler sur l'acuité visuelle des rapaces puisqu'ils obéissent immédiatement au geste du dresseur : « nous relèverons les points GPS dès la levée du poing de rappel du dresseur ».Le 15 juillet dernier, les premières données ont suscité l'enthousiasme des chercheurs et de Raphaël Arnaud, le fondateur du Rocher des Aigles : un vautour fauve a volé à 1 697 mètres d'altitude. Un vautour de l'Himalaya s'est « contenté » de 1 579 mètres, et un autre vautour fauve de 1 325 mètres. Ce dernier, Henri, a explosé le record connu de vitesse : 122km/h en vol horizontal et 23 m/seconde en descente verticale. Un aigle pêcheur a effectué un piqué à 119km/h et un aigle ravisseur un piqué à 107km/h.Toutes ces données « une mine d'or pour les chercheurs » feront l'objet d'études mais aussi de publications dans des revues scientifiques nationales et internationales. Voire dans le Guiness Book des records !--------------------------------------------------------------------------------400 oiseaux de 60 espècesCréé en 1977, le Rocher des aigles accueille maintenant plus de 400 oiseaux (rapaces et perroquets) de 60 espèces différentes. Ses techniques en font un centre de reproduction reconnu au plan mondial : plus de 1 500 volatiles y ont déjà vu le jour, permettant des réintroductions dans le milieu naturel ou des échanges avec d'autres parcs animaliers. Le Rocher participe par ailleurs à la protection de la forêt tropicale au Mexique où le parc a acheté plusieurs hectares et participe à des programmes de réintroduction d'espèces menacées.Le Rocher des aigles est ouvert tous les jours de 11 heures à 19 heures. Spectacle à 11h30, 13h30, 15 heures, 16h30 et 17h45. Tel : 05 65 33 65 45. www.rocherdesaigles.com--------------------------------------------------------------------------------Le chiffre : 1697Mètres> Vol. C'est l'altitude de vol mesurée le 15 juillet à 15h54 pour un vautour fauve, au-dessus de Rocamadour.« C'est une expérience unique au monde, qui n'a jamais été tentée jusqu'alors. »Olivier Duriezchercheur CNRS Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 juillet 2010 09-07-2010 - http://www.aspas-nature.org/content/view/406/163/lang,fr/Savez-vous que les surfaces vitrées tuent plus d’oiseaux que les pires accidents de bateaux pétroliers ? Des estimations faites dans de nombreux pays le démontrent, avec une précision effarante : cette hécatombe se produit tous les jours ! Les collisions mortelles contre les bâtiments constituent l’un des plus grands problèmes de protection des oiseaux de notre monde urbanisé. En France, on estime que des centaines de milliers d’oiseaux meurent de cette façon chaque année. Passerelles, garages à vélos, abribus, vérandas, murs anti-bruits, façades réfléchissantes d’immeubles, etc. Le verre tient aujourd’hui une place considérable dans l’architecture moderne. Malheureusement, le verre est une double source de danger : L’environnement s’y réfléchit : le ciel ou un paysage naturel (végétation) s’y reflètent et donnent à l’oiseau l’illusion d’un milieu attractif.Il est transparent : l’oiseau aperçoit un environnement propice derrière la vitre et ne prend pas l’obstacle en compte. Afin de limiter les pièges pour les oiseaux et d’éviter les critiques désagréables aux professionnels du bâtiment, l’ASPAS lance une nouvelle campagne, en partenariat avec la Station ornithologique suisse, et avec le soutien de l’Ordre des architectes : « Le verre : un piège pour les oiseaux ». Pour donner des conseils utiles et pratiques, 2 supports de communication ont été édités : un dépliant 4 volets à destination du grand public : vous y trouverez des explications sur les nombreuses sources de danger liées au verre, des solutions préventives, des mesures de protections ou encore des conseils pratiques pour tenter d’enrayer l’hécatombe des oiseaux causée par le verre. un guide de 50 pages, destiné en priorité aux professionnels, mais également très complet pour les particuliers. Ce support démontre que des constructions réalisées avec le souci de la sauvegarde des oiseaux ne sont pas forcément synonymes d’une architecture monotone, de contraintes inacceptables ni de coûts supplémentaires. Des mesures esthétiques et modernes, respectant les oiseaux, adaptées aux professionnels et aux particuliers y sont entre autre présentées (verres sérigraphiés, colorés, imprimés ou collage de bandes ou silhouettes d’oiseaux sur les vitres…). L’aspect biologique et les problèmes de protection de la nature doivent être pris en considération au même titre que ceux de l’esthétique. Les mesures de prévention des collisions d’oiseaux doivent urgemment être inscrites dans les directives des normes pour la construction. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 29 juillet 2010 ALGER, 28 juil 2010 (AFP) - Hector, condor centenaire de la cordillère des Andes, considéré comme le plus vieux au monde, est mort lundi au parc zoologique du jardin d'Essai d'El Hamma à Alger, a rapporté mercredi la presse algérienne.> Selon Fayçal Haffaci, vétérinaire et ancien directeur du parc zoologique du jardin d'Essai, la longévité du condor s'expliquait par sa constitution physique, son alimentation et surtout par le micro-climat dans lequel se trouve le zoo.Cet oiseau nécrophage de la famille des cathartidés mesurait 107 cm et pesait 15 kg pour une envergure de 3,25 m. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 août 2010 Londres, Grande-Bretagne - Un perroquet a mis en fuite des cambrioleurs qui volaient la maison de ses maîtres, et cela grâce à un cri strident.Cela se passe en plaine nuit, dans le quartier londonien de Docklands, explique La Dernière Heure. Des cambrioleurs fracturent la porte d'une habitation, lorsqu'un perroquet émet un cri strident. Le Telegraph précise que le cri était tellement fort qu'il était audible à plusieurs rues à la ronde.Les cambrioleurs se sont donc enfuis, sans doute gênés par le cri du perroquet, explique Gennadi Kurkul, le propriétaire de l'animal. Les voleurs sont tout de même parvenus à se saisir de son portefeuille. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites