pacemaker91 0 Posté(e) le 3 août 2010 Un couple d'Allemands a décidé d'effectuer un périple de 500 km à la nage cet été, du centre de l'Allemagne jusqu'à la mer du Nord, accompagnés de sept canards.Au départ de la ville de Cassel, Pia Marie Will, 33 ans, et Wilfried Arnold, 58 ans, nageront avec leurs compagnons palmés le long de la rivière Fuda et du fleuve Weser, avec pour objectif d'atteindre le port de Bremerhaven à la mi-septembre.Le couple compte nager chaque jour entre 10 et 15 km. Les canards pourront en revanche se contenter de se mettre à l'eau une vingtaine de minutes par jour et suivront en voiture ou en bateau le reste du temps.Max Chrambach; Antoine Bouthier pour le service français Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 août 2010 NANCY, 2 août 2010 (AFP) - Deux curés d'une église de Laxou (Meurthe-et-Moselle) sont promis "aux flammes de l'enfer" par plusieurs associations de défense des animaux, qui harcèlent les hommes d'église au prétexte que la paroisse va abriter un piège à pigeon, a-t-on appris lundi auprès d'un des prêtres mis en cause.> "Nous nous sommes faits +pigeonner+", poursuit-il avec le sourire.L'un des courriers met en garde les curés quant au Jugement dernier: "Au moment de mourir, vous devrez rendre compte de ces innocents (pigeons) tués pour rien et surtout de leur souffrance au moment du trépas", menacent les militants."Les curés n'y sont de toute façon pour rien, les églises sont des bâtiments communaux et la décision a été votée à l'unanimité par le conseil municipal", a indiqué à l'AFP le maire de Laxou, Laurent Garcia (MoDem), qui assure des opérations de capture de pigeons se font "très régulièrement dans la commune".Les militants reprochent le mode d'euthanasie des oiseaux qui, selon eux, périssent "dans d'atroces souffrances"."Les oiseaux capturés par les piégeurs seront tués par des méthodes barbares et expéditives comme à coup de bâton (...) ou étouffés dans des sacs en plastique", affirme une association belge sur son site internet, qui appelle à envoyer des courriers aux curés. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 août 2010 @Choupi91 a écrit:NANCY, 2 août 2010 (AFP) - Deux curés d'une église de Laxou (Meurthe-et-Moselle) sont promis "aux flammes de l'enfer" par plusieurs associations de défense des animaux, qui harcèlent les hommes d'église au prétexte que la paroisse va abriter un piège à pigeon, a-t-on appris lundi auprès d'un des prêtres mis en cause.> "Nous nous sommes faits +pigeonner+", poursuit-il avec le sourire.L'un des courriers met en garde les curés quant au Jugement dernier: "Au moment de mourir, vous devrez rendre compte de ces innocents (pigeons) tués pour rien et surtout de leur souffrance au moment du trépas", menacent les militants."Les curés n'y sont de toute façon pour rien, les églises sont des bâtiments communaux et la décision a été votée à l'unanimité par le conseil municipal", a indiqué à l'AFP le maire de Laxou, Laurent Garcia (MoDem), qui assure des opérations de capture de pigeons se font "très régulièrement dans la commune".Les militants reprochent le mode d'euthanasie des oiseaux qui, selon eux, périssent "dans d'atroces souffrances"."Les oiseaux capturés par les piégeurs seront tués par des méthodes barbares et expéditives comme à coup de bâton (...) ou étouffés dans des sacs en plastique", affirme une association belge sur son site internet, qui appelle à envoyer des courriers aux curés.la suite de l'histoire : A Laxou il ne fait pas bon être pigeon, et encore moins curé. Le prêtre de la paroisse le dit lui-même: "Je suis le premier pigeonné de cette affaire!" Depuis près d'une semaine, deux curés de la paroisse de Laxou (Meurthe-et-Moselle) sont la cible de nombreuses menaces d'associations de défense des pigeons."J'ai reçu près d'une centaine de mails de menaces", nous explique le prêtre Jacques Bertholet, un des deux curés concernés.La cause de ces attaques? La mairie a voté, à l'unanimité, lors du dernier conseil municipal, l'installation de pièges à pigeons dans la ville."Cette décision a été prise car nous recevions énormément de plaintes des habitants", nous indique le maire de Laxou Laurent Garcia.Poursuivant: "Mais ça n'a rien de neuf. Des dispositifs de la sorte sont pris tous les deux ans. Je ne comprends pas pourquoi cette année ça fait polémique".Quelles sont les accusations des associations? Les défenseurs des pigeons s'élèvent, nous dit le maire, contre plusieurs aspects de ce dispositif anti-pigeons. Notamment contre les conditions dans laquelle les pigeons sont tués et le fait que les pièges soient placés sur un édifice religieux.Dans des lettres adressées aux curés, les militants se livrent à une description détaillée du funeste sort réservé aux volatiles. "Les oiseaux capturés seront tués par des méthodes barbares et expéditives comme à coup de bâton (...) ou étouffés dans des sacs en plastique", affirme une association belge sur son site internet, qui appelle à envoyer des courriers aux curés, selon Le Point.fr.Pascal Cousin, ornithologue de l'association "Nos amis les oiseaux" raconte lui aussi à RTL le supplice infligé aux pigeons: "Au mieux, les oiseaux sont gazés. Parfois c'est pire. Soit on tord le coup aux oiseaux, soit ils sont placés dans des sacs en plastique. Bref, c'est une horreur."Le maire de Laxou en personne est monté au créneau pour défendre les deux religieux. "Je peux comprendre que l'on accuse le fait que les pigeons ... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 août 2010 Baudelaire l'avait écrit: «Ses ailes de géant l'empêchent de marcher». Mais pas de faire son marché. Grâce à des caméras fixés sur le dos d'albatros à sourcils noirs (Thalassarche melanophrys), des scientifiques japonais de l'Institut national de recherche polaire de Tokyo ont montré que les oiseaux géants maraudaient dans le sillage des orques pour grapiller leur pitance. En équipant les immenses planeurs de balises Argos, les ornithologues savaient déjà reconstituer leurs trajets océaniques sur des distances colossales, plusieurs milliers de kilomètres. Restait à comprendre comment ils répéraient leurs proies en plein milieu des flots déchaînés et surtout, d'élucider le mystère de la présence d'espèces de poisssons vivant en eaux profondes, hors d'accès des oiseaux plongeurs, dans leur régime.«Les albatros sont incapables de plongées profondes. Les restes laissés par les orques ou les bancs de poissons qu'ils ramènent vers la surface, peuvent constituer une bonne source de nourriture» a commenté le professeur Akinori Takahashi.A l'économieCette stratégie alimentaire, dont la généralisation demeure à confirmer, présenterait deux avantages: économiser de l'énergie et aller vite. Car le temps est compté. L'albatros n'a que peu de jours pour ramener de quoi becqueter à son unique rejeton resté au nid, au risque de le faire dépérir.Les expériences ont été menées sur une colonie de Bird Island, un des ilôts de l'archipel britannique de Géorgie du Sud, au coeur des 50ème hurlants de l'Atlantique sud. Les Albatros à sourcils noirs se reproduisent également sur le territoire français, dans les districts de Crozet et Kerguelen, administrés par les Terres Australes et Antarctiques Françaises (TAAF). Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 19 août 2010 LONDON, 18 août 2010 (AFP) - Une alerte a été lancée à l'aéroport de Glasgow (Ecosse) en raison d'un vautour nommé Gandalf, de trois mètres d'envergure, qui s'est échappé d'une exhibition non loin de là, ont indiqué mercredi les contrôleurs aériens.> Mais le rapace n'est pas rentré depuis mardi à son port d'attache, après un des vols que l'oiseau fait régulièrement. "Gandalf n'avait jamais fait ça, jusqu'à présent", assure la fauconnière Joanna Timson, du centre "World of Wings".Nats, les contrôleurs aériens britanniques, ont aussitôt lancé l'alerte à l'aéroport non loin de là."Nous avons averti les pilotes de la possibilité qu'ils voient un oiseau, car il a une envergure de trois mètres et peut voler à l'altitude des avions commerciaux", a expliqué un porte-parole de Nats. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 août 2010 Il faut protéger les oiseaux du centre historiquePublié le mardi 24 août 2010 à 00H00 - 1 Tangui Corveler (debout), responsable de la LPO basée à Vence et Morgan Boch, animateur nature, sont salariés de l'association et oeuvrent, tout au long de l'année, en faveur de la faune et de la flore de la région. Gaelle Belda Environnement La Ligue pour la protection des oiseaux va collaborer avec la communauté d'agglomération pour que la réhabilitation ne nuise pas aux espèces« Nous arrivons un peu tard... mais il n'est jamais trop tard. » Tangui Corveler, responsable de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) des Alpes-Maritimes s'inquiète du sort des espèces vivant en milieu urbain. À l'heure où des opérations de rénovation s'engagent en ville, où l'architecture design prend le pas sur le style typiquement provençal, les membres de l'association mènent des opérations de sensibilisation dans le département. « Avoir une biodiversité riche, c'est signe de bonne santé. Quand les populations d'oiseaux déclinent, ce n'est jamais bon signe... » Et pour éviter le pire, les spécialistes dispensent quelques consignes.« Nous ne sommes pas des militants ! Nous ne prônons pas la biodiversité à tout prix. Nous sommes là pour accompagner et donner des conseils techniques aux élus qui, en programmant des travaux, doivent veiller à ce qu'ils n'aient pas un impact négatif sur la faune » explique Tangui Corveler.Il y a peu de temps, il discutait justement, avec des représentants de la communauté d'agglomération Pôle Azur Provence. « Je pense que nous allons pouvoir travailler ensemble. Tous m'ont paru particulièrement réceptifs. »La biodiversité la plus riche de FranceCe n'est pas le cas dans tous les bassins de vie... « L'engouement pour les actions que nous menons n'est pas vraiment extraordinaire. Quand les gens s'y intéressent, bien souvent, ils sont surpris de la somme d'informations que nous sommes en mesure de leur apporter... » Et, il serait dommage de s'en passer, étant donné la richesse exceptionnelle du département en matière de faune et de flore. « Notre biodiversité est la plus importante de France » insiste le responsable LPO.Pas de soucis, donc, pour le moment, en ce qui concerne le moyen et le haut pays... Bien qu'il faille « rester vigilants ». En revanche les centres urbains sont en ligne de mire. « Il faut être attentifs, à Grasse notamment, à la manière dont on réhabilite le centre historique. Maintenant, les bâtiments sont de plus en plus épurés et aseptisés alors que les façades anciennes favorisaient la nidification d'espèces qu'il ne faudrait pas voir disparaître. »Des soupentes, des moulures, des matériaux adaptés au développement des hirondelles et autres martinets noirs.Un tissu urbain dense, des ruelles étroites qui offrent une protection non négligeable à des oiseaux qui, aujourd'hui, dépendent de l'homme pour survivre. Le discours ne trouve pas d'échos auprès de tous.« Parce que la fiente dérange, le plus souvent... Le bruit, peut-être, aussi. Mais ce n'est pas tant l'animal qui pose problème, c'est plutôt sa concentration en un même lieu. Pour cela, il y a des solutions. Il est tout à fait possible de réguler les populations. »Une structure qui s'est professionnaliséeLa Ligue pour la protection des oiseaux compte 3700 membres en région Paca. Dans le département, il y a environ 650 adhérents. Et si l'on comptabilise seulement trois ou quatre salariés, une trentaine de bénévoles actifs, répartis dans toutes les villes, se tiennent à disposition des particuliers comme des institutions afin de délivrer conseils et recommandations. « Nous organisons des conférences, des mini-formations, nous rencontrons les architectes, les entreprises d'entretien, celles des bâtiments et travaux publics (BTP) et nous nous chargeons aussi des scolaires dans le cadre d'un programme pédagogique » détaille Tangui Corveler. La LPO s'est professionnalisée avec le temps. Son objectif actuel est de se poser en partenaire des villes dans le cadre de l'élaboration de plans d'urbanisation, par exemple. « Quand nous nous allions avec une municipalité, nous pouvons parler de mariage de raison... Parce qu'il est juste question de bon sens. » Veiller aux dates de mise en oeuvre des travaux pour ne pas perturber la nidification. Soigner les façades pour permettre un abri sûr à certaines espèces. Mener une réflexion de fond afin de trouver des options de régulation des populations. Préserver la biodiversité. « C'est la garantie d'un environnement le plus sain possible... »Gaelle Beldahttp://www.nicematin.com/article/grasse/il-faut-proteger-les-oiseaux-du-centre-historique Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 septembre 2010 http://www.nicematin.com/article/societe/le-nouvel-envol-des-grands-ducsAprès s'être aguerris dans une volière à Gap, deux rapaces ont été relâchés, hier soir à Saint-André-de-la-Roche, par l'association Aquila 06 Après s'être aguerris dans une volière à Gap, deux rapaces ont été relâchés, mercredi soir à Saint-André-de-la-Roche, par l'association Aquila 06Une odeur animale. Un souffle inquiétant. Et à travers le carton percé, un oeil énorme, couleur or, qui vous scrute avec insistance, façon vélociraptor dans Jurassic Park. Mais ici, point de fiction. Ni de dinosaure. La scène se passe hier soir, quelque part entre St-André-de-la-Roche et Tourrette-Levens. Christian Hycnar et Jennifer Mauro défont les liens du carton, soulèvent le couvercle et en extraient... un hibou grand-duc. Un rapace. Une belle bête, pesant un bon kilo et mesurant facilement 1,50 mètre d'envergure, ailes déployées.Mais ce prédateur a peur. Alors, il joue l'intimidation. Respire fort, ouvre son bec puis le fait claquer bruyamment, toutes serres dehors. Il est pourtant entre de bonnes mains : celles d'Aquila 06 (« aigle » en italien), association active dans la sauvegarde des oiseaux sauvages. En fait, ce n'est pas un, mais deux hiboux que Christian et Jennifer vont relâcher dans leur habitat d'origine : la région niçoise.« Il y a des endroits, par ici, où l'on ne soupçonnerait pas l'existence d'une faune sauvage », expliquent-ils. Or, il arrive que cette nature-là se rappelle au bon souvenir de nous autres, bipèdes. Les badauds n'ont pas oublié ce grand-duc qui, en mai, avait créé la sensation en pleine avenue Jean-Médecin, complètement sonné.Cap sur la libertéLe malheureux était mort avant d'arriver au centre de soins UNCS (*) de Gap. Mais deux autres ont été récupérés en début d'été, quartier Saint-Roch et à Saint-André-de-la-Roche. Les voici de retour, en pleine forme, après deux mois passés dans les Hautes-Alpes.« Quand on les a récupérés, c'était des jeunes tombés du nid qui ne savaient pas encore voler. Ils ont appris à le faire dans une volière de réadaptation, raconte Christian, ornithologue amateur. Problème : on ignorait d'où ils venaient. Alors, on est revenus scruter le coin, la nuit, avec des jumelles. Jusqu'à ce qu'on repère un couple de hiboux qui vivait là. »Entre-temps, leurs protégés ont atteint leur taille adulte, nourris de leurs mets favoris, rats et poussins en tête. Ils pouvaient dès lors faire leur retour. Bagués, afin d'être identifiables.Allez hop ! Cap sur la liberté. A la tombée de la nuit, leurs bienfaiteurs saisissent les deux hiboux qui, plutôt ingrats, tentent de leur porter des coups de bec en se dévissant la nuque à 180°. Puis, ils prennent leur envol. Enfin. Et offrent à Christian et Jennifer le spectacle d'un ballet aérien, à flanc de falaise, sous l'oeil vigilant d'un grand mâle protecteur.*Union française des centres de sauvegarde de la faune sauvage.Christophe Cirone Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 6 septembre 2010 PARIS, 4 sept 2010 (AFP) - Un jeune vautour moine, né en captivité, devait être relâché samedi dans les Baronnies (Drôme) à l'occasion de la journée internationale des vautours et dans le cadre d'un programme de réintroduction de cette espèce disparue du sud de la France il y a 150 ans.> "Quand il sera capable de voler, on ouvrira la volière et il s'envolera et prendra place spontanément dans ce nouvel environnement", a-t-il ajouté.Le rapace a été offert par le parc zoologique de Doué-la-Fontaine (Maine et Loire) où il est né en avril.Deux autres individus, donnés par le centre de soins pour la faune sauvage "Los hornos" en Estrémadure en Espagne, seront relâchés dans les Baronnies en 2011, indique la Ligue de protection des oiseaux (LPO) dans un communiqué.Il ne reste plus que 1.900 couples de vautours moines en Europe, dont il est le plus grand rapace (2,80m). Nécrophage (il se nourrit de cadavres de brebis et d'autres animaux domestiques), on en trouve essentiellement en Espagne.En France, il avait disparu des Alpes et du sud il y a 150 ans. "C'est le type de vautour qui a le plus souffert", explique M. Terrasse. Il a été principalement décimé "en mangeant le poison utilisé pour éliminer les carnivores du type loups, renards...", ajoute-t-il.Aujourd'hui, sa population est d'une centaine d'individus. La réintroduction a commencé en 1992 dans le sud du Massif central, puis dans les Baronnies et les gorges du Verdon.Dans les Baronnies, "une trentaine d'oiseaux ont déjà été relâchés et il faut qu'il y en ait une cinquantaine pour qu'on considère qu'on fait confiance à leur croissance naturelle pour coloniser la région", a expliqué M. Terrasse. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 6 septembre 2010 http://www.ladepeche.fr/article/2010/09/05/900502-Les-oiseaux-sont-en-danger.htmlLes oiseaux sont en dangerTous les ans, les gardes du Parc national des Pyrénées effectuent, dans le cadre du programme national STOC (Suivi Temporel des Oiseaux Communs) des opérations de baguage. Le baguage consiste à mettre une bague à la patte de l'oiseau, préalablement capturé en filet. L'opération est totalement indolore pour le piaf et à peine un peu stressante, car effectuée par des spécialistes. Le baguage se fait sur tout le territoire et en Europe : chaque année 135 millions d'oiseaux sauvages sont ainsi bagués. Le baguage à des fins d'études a été initié par l'ornithologue danois, Cornelius Mortensen, en 1 889. Depuis, l'étude a considérablement évolué et grâce à cette technique, on peut suivre les oiseaux à la trace. À savoir leurs déplacements (vitesse et distances migratoires), mais aussi leur biologie (mortalité, longévité…) et grâce aux observations relevées, évaluer les menaces qui pèsent sur eux. « On s'en fout des oiseaux ! Vaudrait mieux s'occuper des hommes ! » : la phrase est récurrente et trop souvent lancée. Car ce qui pend au bec des oiseaux, pend aussi à notre nez à nous, les bipèdes.Inventaire completAu Parc national, on recense bien sûr les oiseaux emblématiques pyrénéens, tels le gypaète barbu, en grand danger, le vautour fauve, guère mieux loti, le percnoptère, le circaète, etc. Mais on recense aussi tous les « petits » piafs familiers : le rouge-gorge (migrateur, soit dit en passant), le rouge-queue, la fauvette des jardins, la fauvette à tête noire, le pouillot véloce, le bouvreuil pivoine, le pinson des arbres, et autre chardonneret élégant, entre autres… La maison de la Nature a Puydarrieux participe également à l'effort de baguage, avec une vaste opération de marquage en janvier sur la sarcelle d'hiver. Tout ce travail d'observation et de baguage aboutit à des conclusions bien évidemment. Et elles ne sont guère réjouissantes : en 20 ans, on a noté une diminution de 10 % des oiseaux nicheurs en France, avec une proportion encore plus grande et plus alarmante, de l'ordre de 20 %, pour l'hirondelle de fenêtre et autres espèces directement en prise avec le milieu rural. En cause, les pesticides et produits nocifs qui privent les oiseaux de nourriture. En cause aussi, un retour en force d'une certaine forme d'obscurantisme : les granges se ferment, l'hirondelle passant pour être porteuse de maladies, ce qui n'est absolument pas démontré. La destruction des nids entraîne une mortalité inquiétante. Bref, les conditions actuelles ne sont pas bonnes et ce qui n'est pas bon pour les oiseaux ne l'est pas davantage pour l'homme. Ce baromètre ornithologique devrait alerter. Mais qui regarde les signaux d'alerte ?--------------------------------------------------------------------------------Laisser nicherL'aventure assez malheureuse de l'hirondelle de fenêtre est entièrement liée à l'homme : pesticides, destruction, par pure superstition ou sottise, de l'habitat. Pour retrouver un semblant d'équilibre : laisser nicher les oiseaux en paix. D'autre part, dans le cadre du baguage et pour enrichir les connaissances, si vous trouvez un oiseau mort (ou blessé) porteur d'une bague, il faut appeler le spécialiste en la matière, Philippe Fontrailles, à la maison du Parc national à Luz -Sain-t Sauveur, 2 rue des Moulins et lui communiquer le N° de la bague. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 septembre 2010 Cambodge - Alors qu'ils avaient presque disparu du pays, les vautours sont de retour au Cambodge, et cela notamment après que le pays a mis en place des sortes de "restaurants" dédiés aux rapaces. En 2004, les vautours étaient au nombre de 166 au Cambodge. Aujourd'hui, ils seraient près de 300, voyant leur population largement augmenter, et cela en très peu d'années. Et la Wildlife Conservation Society d'expliquer que les oiseaux étaient victimes d'un anti-inflammatoire souvent utilisé pour soigner les animaux dont ils se nourrissaient.Aujourd'hui, le Cambodge n'utilise que très peu cet anti-inflammatoire et un programme de conservation a été mis en place. Ainsi, le Dr. Hugo Rainey explique à l'AFP : "En protégeant les nids et assurant l'approvisionnement en nourriture, nous sauvons l'un des plus grands et plus charismatiques oiseaux de la planète." En effet, le pays a mis en place sept "restaurants" pour les vautours, ces derniers contenant de la nourriture saine afin d'éviter toute intoxication. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 septembre 2010 Les étourneaux envahissent la Ville roseoiseauxhttp://www.ladepeche.fr/article/2010/09/09/903372-Les-etourneaux-envahissent-la-Ville-rose.htmlLes étourneaux commencent à investir la Ville rose, au grand désespoir des riverains./ Photo DDM, archive « Depuis la semaine dernière, je ne joue plus aux boules sans ma casquette ! » Jean-Marc, pour se protéger des déjections fécales des étourneaux, ne laisse plus son crâne à l'air libre.à l'image de ce quinquagénaire, les amateurs de pétanque du cours Dillon sont des proies faciles pour ces oiseaux dont la migration passe par la Ville rose (voir encadré). Nichés dans les platanes surplombant le boulodrome, ces oiseaux s'en donnent à cœur joie. « C'est infernal, lance irrité René. Chaque année, à la même époque, on lance nos boules en regardant en l'air, de peur de prendre des excréments sur la tête ! »Les adeptes de la pétanque ne sont pas les seuls à se plaindre des nuisances provoquées par les étourneaux. Les automobilistes toulousains, qui ont l'habitude de se garer place du Salin par exemple, pestent également contre cette espèce de passereau. Au petit matin, ils ont l'habitude de retrouver leur voiture crépie de déjections. Hormis les excréments, les riverains se plaignent également du bruit assourdissant émis par les étourneaux qui peuvent former des nuées de 100 000 oiseaux.Consciente du problème, la municipalité use de la méthode INRA (Institut national de la recherche agronomique) pour atténuer ces nuisances. « L'objectif de ce procédé est d'effrayer les étourneaux, explique Jean-Michel Fabre, adjoint au maire chargé des animaux en ville. Sur sollicitation des riverains, un cri de geai est diffusé grâce à une sono et des tirs à blanc sont également effectués. » Pour être efficace, cette opération doit être répétée sur plusieurs jours. « C'est un animal coriace », sourit l'élu. Mais à ce jour, seules trois campagnes d'effarouchement ont été menées cette année à Toulouse. « Preuve que la migration des étourneaux ne fait que commencer », ajoute Jean-Michel Fabre.Les boulistes du cour Dillon, eux, ont une méthode qu'ils jugent « beaucoup plus efficace » pour venir à bout des étourneaux : « Il parait qu'en pâté, c'est excellent ! ».--------------------------------------------------------------------------------« Le début de la migration »« C'est le tout début de la période de migration des étourneaux », assure Sylvain Frémaux, ornithologue au sein de Nature Midi-Pyrénées. « Ils sont attirés par la chaleur des villes où on leur offre le gîte et le couvert, sourit le spécialiste. Les étourneaux se nichent dans des feuillus où ils se sentent en sécurité. » Ces oiseaux seront présents dans notre région jusqu'au mois d'octobre/novembre avant d'aller chercher des températures plus élevées au sud. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 13 septembre 2010 REIMS, 11 sept 2010 (AFP) - A quelques jours des vendanges en Champagne, alors que les étourneaux menacent la récolte, la maison Pommery a confié à un fauconnier et à ses deux buses de Harris la protection de son vignoble en zone urbaine de Reims.> Leur mission est de générer un maximum de stress dans la population d'étourneaux qui, friands de raisins mûrs, pourraient mettre à mal en un seul passage une partie de la récolte"Nous venons d'une manière aléatoire pour ne pas créer d'habitude chez les étourneaux, ce qui maintient leur stress à un niveau très dissuasif et les éloigne durablement du domaine", explique Maxime Khellout, le fauconnier.Selon lui, la présence des rapaces agit également sur d'autres nuisibles comme les grives, les corneilles ou encore les lapins."Même apprivoisées, ces buses gardent leur instinct de chasseur et leur agressivité contrairement aux oiseaux de spectacle, d'autant qu'elles sont mises légèrement à la diète avant le travail", poursuit-il.La technique d'effarouchement par rapace est employée depuis 2003 par la maison de champagne qui possède 25 hectares de vignes plantées principalement en cépage Chardonnay, répartis en quatre clos, à la sortie de Reims."Avant nous utilisions des filets en plastique peu pratiques et polluants, que nous ne pouvions pas réutiliser et qui monopolisaient au moins cinq personnes", précise Thierry Gasco, le chef de cave du domaine Vranken-Pommery."Les nuisibles ont associé cette partie du vignoble à un tel danger que d'année en année le temps d'intervention du fauconnier est de moins en moins long", constate l'oenologue. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 13 septembre 2010 Deux aigles de Bonelli, un rapace méditerranéen menacé d'extinction, ont été retrouvés morts sur la massif de la Sainte-Victoire, près d'Aix-en-Provence, où ils pourraient avoir été empoisonnés.Seuls trente couples d'aigles de Bonelli ont été recensés cette année en France. "La disparition de ces oiseaux, une femelle et un aiglon, porte un coup aux efforts mis en place pour la conservation de cette espèce", a déploré lundi le Conservatoire-Etudes des écosystèmes de Provence (CEEP).Des prélèvements effectués sur les cadavres des rapaces, retrouvés morts fin août, ont été envoyés au laboratoire de toxicologie de l'Ecole vétérinaire de Lyon. "La piste de l'empoisonnement est en effet possible", précise le CEEP dans un communiqué.L'aigle de Bonelli peut vivre plus de 30 ans et un couple produit en moyenne un à deux oeufs par an. Sa population a chuté de plus de 40% en soixante ans.Jean-François Rosnoblet, édité par Gérard Bon Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 15 septembre 2010 Une société stoppe ses travaux... pour reloger des hirondelles !Dans le département du Nord, une colonie d'hirondelles de fenêtre a perturbé la destruction d'un bâtiment vétuste. Le report des travaux et l’implantation de nouveaux nids ont été décidés par l’entreprise chargée de la démolition. Une décision saluée par la Fondation 30 Millions d'Amis.C’est le quotidien La Voix du Nord (12/08/10) qui a révélé le délicat problème auquel a été confrontée la société canadienne Bombardier, implantée à Crespin (59) et spécialisée dans l’industrie ferroviaire : alors qu’elle doit procéder à la destruction d'un bâtiment vétuste, cette entreprise remarque la présence sous les toits de quelques nids d’hirondelles de fenêtre. Un employé de la société prévient la LPO (Ligue pour la Protection des Oiseaux) et le GON (Groupement des Ornithologues du Nord) : l’hirondelle de fenêtre étant une espèce strictement protégée, la destruction de nids est prohibée. « Nous avons décidé très rapidement de repousser les travaux de trois mois, le temps que les oiseaux migrent à nouveau, indique Eric Petit, directeur du site de Crespin. La loi protège cette espèce, et il était hors de question de ne pas la respecter. » « Nous avons pris contact avec le GON afin de savoir ce que nous devions faire pour ne pas nuire aux oiseaux », précise M. Petit. Réponse : attendre que les hirondelles aient terminé d’élever leurs petits, et quittent les nids ! Les industriels s’arment donc de patience. Aujourd’hui, si les hirondelles ne sont plus menacées, elles n’en ont pas moins perdu leur habitat [le bâtiment sera détruit une fois vide et après accord de la préfecture du département du Nord, NDLR], celui-là même qu’elles auraient dû retrouver au printemps 2011. Afin de compenser cette perte, l’entreprise Bombardier s’est engagée à implanter à proximité de l’immeuble détruit, 70 nids artificiels. Plus petite que l’hirondelle rustique, l’hirondelle de fenêtre est reconnaissable grâce à son corps noir bleuté et à son ventre et croupion de couleur blanche. En raison de sa raréfaction, elle est protégée [loi du 10 juillet 1976 sur la protection de la nature et arrêté du 17 avril 1981 fixant la liste des oiseaux protégés sur l'ensemble du territoire, NDLR]. La destruction des nids est quant à elle interdite depuis 2009 [Arrêté ministériel du 29 octobre 2009, NDLR]. « Mais ces textes ne sont pas systématiquement respectés, regrette Vincent Théry, membre du GON qui suit la colonie depuis plusieurs mois. C’est la première fois que nous sommes sollicités, alors que l’on sait que la découverte de nids est fréquente, y compris sur des sites de collectivités locales. » Un constat alarmant pour l’hirondelle de fenêtre, dont la population a diminué de 40% en douze ans sur le territoire français, et qui souffre véritablement d’une méconnaissance de la loi. La Fondation 30 Millions d’Amis se réjouit de ce sauvetage, qui pourrait, par sa médiatisation, faire des émules. Source : 30 Millions d'amis13/09/2010 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 20 septembre 2010 DIJON, 17 sept 2010 (AFP) - Un aigle, dont les plumes de vol ont été réimplantées manuellement, va être relâché samedi dans les environs de Mâimbécile (Saône-et-Loire), équipé d'une balise Argos pour suivre ses migrations ainsi que son régime alimentaire, a-t-on appris vendredi auprès des organisateurs.> "On a coupé les plumes de vol du rapace à quelques centimètres de leur racine. Sur cette base, on a ensuite réimplanté les plumes d'un oiseau mort à l'intérieur desquelles avait été collé un morceau de fibre de carbone", a expliqué à l'AFP Gilles Moyne, le responsable du centre de soins."On peut assimiler ça à des implants capillaires. Sur chaque aile, il y a 22 plumes et 12 sur la queue. L'opération, dont une partie a eu lieu sous anesthésie générale, nous a pris 7 heures 30", a-t-il ajoutéLe plumage du rapace, qui mesure près de 2 mètres d'envergure, s'est ensuite renouvelé intégralement lors de la mue. C'est donc avec ses vraies plumes qu'il sera relâché."Si on n'avait pas procédé aux implants, les vraies plumes auraient cassé lors de la repousse car elles auraient été trop fragiles et les muscles de l'oiseau auraient été atrophiés par manque d'exercice", a conclu M. Moyne expliquant que l'oiseau avait pu voler en captivité.Equipé d'une balise Argos, les déplacements de l'aigle pourront être suivis à distance pour savoir s'il a conservé son "instinct migratoire". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 septembre 2010 Colombie - Les forces de police ont choisi d'arrêter un perroquet dans le cadre d'un raid visant l'arrestation de voleurs et dealers et cela parce que le volatile les aurait aidés à s'enfuir.Ainsi, mercredi 15 septembre, 300 policiers étaient prêts à intervenir dans le cadre d'un raid visant l'arrestation de dealers et voleurs qui se cachaient dans une "planque". Mais alors que les policiers entraient dans la maison servant de cachette, ils ont entendu une voix stridente prononcer la phrase suivante : 'Cours, cours ou le chat t'attrapera !' Finalement, aucun voleur ne sera arrêté, et seul un perroquet auteur de la phrase d'alerte sera retrouvé. L'oiseau a été amené dans une organisation de protection des animaux, explique SudPresse, tandis qu'il criait toujours après son arrestation "Cours ! Cours !". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 septembre 2010 Yorkshire, Royaume-Uni - Le pigeon comme moyen de communication s'est prouvé plus rapide que le haut débit lors d'une course de vitesse visant à montrer les faibles performances de ce dernier dans les zones rurales. Alors que les zones rurales peinent toujours à obtenir un haut débit performant, une course de vitesse a démontré que dans certains villages peu desservis du Royaume-Uni, il vaut mieux recourir aux pigeons voyageurs. Pour ce faire, des clés USB ont été attachées aux pattes des volatiles alors que le téléchargement d'une vidéo de 5 minutes était lancé en parallèle sur un terminal informatique. Ainsi jeudi 16 septembre, lors de la course reliant une ferme du Yorkshire à la ville de Skegness quelque 120 kilomètres plus loin, le pigeon s'est illustré en mettant seulement une heure et quart à atteindre son but. Pendant ce temps, seulement 24% du fichier de 300 mégabytes avait été téléchargé. Les responsables de cet événement voulaient ainsi mettre en évidence que dans certaines parties du Royaume-Uni, le haut débit n'est toujours "pas assez performant pour remplir sa fonction". L'année dernière, une expérience similaire avait été menée en Afrique du Sud et avait vu l'oiseau devancer son concurrent technologique en mettant seulement deux heures à effectuer un voyage de 96 kilomètres alors que le fichier de 4 gigabytes n'avait avancé que de 4%. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 24 septembre 2010 Coventry, Royaume-Uni - Alors que des voleurs tentaient de s'infiltrer dans une animalerie, Jack, une perruche du magasin, les a mis en déroute à coups de bec et d'ongles. Lorsque Caroline et Andrew Hobday, tenants de l'animalerie Hobday de Coventry, pénètrent dans leur magasin, un matin de septembre, ils découvrent l'endroit saccagé, des taches de sang jonchant le sol. "Jack était perché sur sa cage et piaillait comme un fou" a affirmé Caroline à Metro. "Les indices semblent indiquer que [la perruche] aurait effrayé les voleurs et aurait passé la nuit à patrouiller et protéger les autres animaux, à la manière d'un chien de garde", a-t-elle estimé, selon la même source. Selon les propriétaires du magasin, Jack serait "un jeune oiseau pugnace et férocement protectif des autres oiseaux" de l'animalerie. "Nous le laissons souvent voler dans le magasin pour qu'il se dégourdisse, donc il connaît bien les lieux", auraient-ils expliqué. Les voleurs, dont l'ADN a pu être récoltée sur les bouts de tissus arrachés à leurs vêtements, ont emporté pour tout butin trois serpents des blés d'une valeur unitaire de 300 livres sterling (environ 360 euros, NDLR), ainsi qu'une perruche Rosella d'une valeur de £250 (environ 300 euros, NDLR). Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 septembre 2010 Nouvelle-Zélande - Des chercheurs néo-zélandais planchent sur la conception d'un déodorant qui protégerait les nombreuses espèces d'oiseaux endémiques de leurs prédateurs, introduits par l'homme dans le pays. $La Nouvelle-Zélande abrite de nombreuses espèces d'oiseaux qui n'existent nulle part ailleurs, mais presque aucun mammifère n'est natif du pays. Chats, hermines et autres animaux de ce type ont donc été introduits par l'homme, devenant de dangereux prédateurs pour les oiseaux endémiques.Or, comme l'explique Jim Briskie, un chercheur de l'université de Canterbury, il semble que les oiseaux néo-zélandais dégagent une très forte odeur corporelle qui les rend aisément repérables. Contrairement aux oiseaux qui ont évolué auprès de mammifères, ceux de Nouvelle-Zélande se couvrent d'une odeur lorsqu'ils se lissent les plumes avec leur bec.Ainsi, le kiwi, symbole national du pays, sent le champignon et l'ammoniaque, tandis que le perroquet kakapo, qui est menacé d'extinction, dégage une odeur "d'étui à violon moisi". Ils sont donc facilement identifiables par leurs prédateurs. C'est pourquoi les scientifiques tentent de créer un déodorant qui masquerait ces odeurs et protégerait la faune ornithologique exceptionnelle de la Nouvelle-Zélande.Jim Briskie et son équipe disposent de 600.000 dollars néo-zélandais, soit 330.000 euros environ, pour étudier les espèces endémiques et leurs odeurs, et tenter de les rendre moins vulnérables. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 septembre 2010 Portugal - Un chercheur portugais a publié mardi 21 septembre, dans le journal en ligne Proteome Science, son étude sur des bactéries ultra-résistantes aux antibiotiques infestant des goélands. Les oiseaux pourraient propager ces souches bactériennes inquiétantes.Elles résistent même à la Vancomycine, l'un des antibiotiques les plus puissants actuellement utilisé. Ces bactéries, des entérocoques, sont présentes dans 10% des échantillons d'excréments de goéland pontique (Larus cachinnans) analysés par le Dr Gilberto Igrejas, de l'université de Tras-os-Montes et Alto Douro (Portugal). Il a utilisé une nouvelle technique, dite protéornique (étude de l'ensemble des protéines d'une cellule ou d'une bactérie), afin de déceler un maximum de protéines jouant un rôle - encore indéterminé - dans la résistance aux médicaments.Cette étude est une avancée dans l'identification de nouveaux biomarqueurs de l'immunité bactérienne aux antibiotiques, et pourrait donner des pistes pour le développement de nouveaux agents antimicrobiens. Les bactéries étudiées ici sont généralement peu malsaines pour l'homme, mais pourraient transmettre génétiquement leur capacité de résistance à d'autres germes, dangereux ceux-là, tels les staphylocoques.Les goélands, répandus près des installations humaines où ils se nourrissent de déchets, pourraient jouer un rôle épidémiologique comme réservoirs et vecteurs de souches microbiennes résistantes. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 septembre 2010 Tournefeuille. Pour protéger et défendre les oiseauxhttp://www.ladepeche.fr/article/2010/09/25/914073-Tournefeuille-Pour-proteger-et-defendre-les-oiseaux.htmlMichèle et Pierre sont inquiets de la disparition de s oiseaux dans le ciel tournefeuillais. ./Photo DDM « Nous nourrissions les oiseaux dans nos jardins respectifs expliquent Pierre Nectoux, le président et Michèle Aubin la trésorière, surtout l'hiver, et progressivement nous nous sommes aperçus que l'on en voyait de moins en moins. Nous ne voulions plus seulement observer mais prendre une part active, nous avons donc décidé en mars 2010 de créer une association qui contribuerait à la protection des oiseaux de la faune européenne. »Pierre et Michèle ont identifié deux causes principales à cette disparition : le manque de reproduction, les parents ne trouvant plus de nourriture pour leurs petits, à cause des pesticides et insecticides, et deuxièmement les prédateurs, pies et chats errants.Zones de pampres : le « sanctuaire »« Nous avons donc décidé de recenser les sites permettant de conserver et de développer des espaces de quiétude pour les oiseaux du ciel dans l'espace public ou chez les particuliers. Le premier « sanctuaire » sera installé aux vignes sur un endroit sauvage avec de la biodiversité, nous l'avons baptisé « zone des pampres». Nous espérons trouver d'autres endroits ou installer des mangeoires, des abreuvoirs et des nichoirs, et si des particuliers veulent s'associer ils seront les bienvenus, affirment défenseurs des oiseaux qui ont bien peaufiné leur projet. « Ensuite nous souhaitons nourrir les oiseaux en toute saison et surtout en période de reproduction. Enfin nous aimerions faire un travail pédagogique auprès des écoles et du grand public en proposant par exemple de découvrir la vie d'un nid grâce à de petites caméras placées dans les nids avant la ponte. Nous avons la volonté de mener cette association en prenant contact avec d'autres associations comme les jardiniers de Tournefeuille ou les apiculteurs ou encore pour la fabrication des nichoirs de travailler avec les centres de loisirs ou les ALAE si cela est possible. Aimer la nature c'est bien… l'aider c'est encore mieux » nous avons fait de cette phrase notre devise, nous aimerions la partager avec d'autres » concluent Pierre et Michèle. Si vous souhaitez rejoindre cette association ou simplement l'aider ;Contact : 0 975 515 896, mail : zostus@wanodoo.fr et http :/mésange31170.skyrock.com Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 29 septembre 2010 New York, États-Unis - S'ils offrent un superbe spectacle aux touristes et aux New Yorkais, les gratte-ciel illuminés de Manhattan représentent un réel danger pour les oiseaux migrateurs qui s'en trouvent très perturbés. Un groupe écologiste a tenu à avertir la population de cette menace, et demande à ses concitoyens d'éteindre les lumières inutiles après minuit afin de limiter les dégâts. Cette initiative a été lancée il y a cinq ans par l'association NYC Audubon. Elle invite les New Yorkais à éteindre de minuit à l'aube l'éclairage ornemental et les lumières des bureaux vides pendant les mois de septembre et octobre, au pic de la saison migratoire d'automne. Cette année, une quarantaine d'immeubles se sont joints à l'association. Parmi eux, les célèbres Chrysler Building, Rockefeller Center et le Time Warner. Quant à l'Empire State Building, il est doté de son propre programme de protection depuis plusieurs années.D'après NYC Audubon, ce sont quelque 90.000 oiseaux qui se tuent chaque année à New York en heurtant des gratte-ciel lors de leur migration. "La nuit, les oiseaux prennent comme repères la lune et les étoiles. Dans un milieu urbain, aux puissantes lumières artificielles, ils sont déboussolés", a expliqué à l'AFP Susan Elbin, ornithologue pour l'association. C'est lorsque le ciel est couvert que les oiseaux se détournent le plus souvent de leur trajet migratoire. Ils sont alors nombreux à heurter des façades de verre, ou à graviter autour des immeubles. "Toute déviation est susceptible de les épuiser, et de les amener, dans un moment de flottement, à s'écraser", déplore Susan Elbin. "Économisez de l'argent et de l'énergie tout en sauvant des vies", clame NYC Audubon sur son site internet. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 30 septembre 2010 Le vendredi 1er octobre 2010, la Cigogne noire retrouvera la liberté et sera relâchée sur le site du MARAIS DE SACY Lire Une cigogne noire relachée ce vendredi 1er octobre dans l'Oise Agrandir la photo Rendez-vous à 14 h 45 à la salle des fêtes deSAINT MARTIN LONGUEAUA cette occasion d’autres rapaces diurnes et nocturnes retrouveront la libertéÉvénement à ne pas manquer, venez nombreuxCliquez sur ce lien pour voir la dernière vidéo (disponible sur le site d'ENVOL) de cette cigogne noire :http://www.asso-envol.org/actu.htm Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 6 octobre 2010 MONTPELLIER, 6 oct 2010 (AFP) - Deux aigles de Bonelli, une femelle et son aiglon, découverts morts fin août à Puyloubier (Bouches-du-Rhône), près du massif de la Sainte-Victoire, ont été empoisonnés, a-t-on appris mercredi auprès de la préfecture du Languedoc-Roussillon.> Cet insecticide est utilisé dans la confection d'appâts empoisonnés contre les corvidés ou les renards en particulier.C'est un technicien de la Fédération départementale des chasseurs des Bouches-du-Rhône qui avait découvert les deux cadavres dans une pièce d'eau.Une radiographie des aigles avait permis d'écarter la mortalité par tirDes prélèvements, effectués sur les oiseaux, avaient été transmis à l'Ecole nationale vétérinaire de Lyon, qui s'est chargée des analyses.Le Conservatoire Etudes des écosystèmes de Provence (CEEP) a porté plainte pour destruction d'espèces menacées.L'Hexagone n'abrite que 30 couples d'aigles de Bonelli. Les effectifs de l'espèce en France ont diminué de près de 40% au cours des 60 dernières années. Depuis le début des années 2000, ils se sont stabilisés et augmentent même très lentement. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 octobre 2010 KIEV, 23 oct 2010 (AFP) - Près de 1.500 cormorans et goélands argentés ont été retrouvés morts sur une île de la mer d'Azov, dans le sud-est de l'Ukraine, a annoncé samedi le ministère ukrainien des Situations d'urgence.> Selon Volodymyr Boreïko, directeur du Centre écologique et culturel de Kiev, les morts soudaines et simultanées d'oiseaux sont généralement dues à un agent extérieur et non à une maladie."Les cormorans et les goélands sont des oiseaux nageurs. Ils ont pu être les victimes d'un déversement d'hydrocarbure ou alors ils ont été empoisonnés par quelque chose", a-t-il dit à l'AFP. "Les oiseaux ne meurent pas comme ça massivement et simultanément de la grippe aviaire." Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 novembre 2010 Le succès de Harry Potter en Inde met en danger les hiboux. En effet, ces oiseaux sont depuis devenus les derniers accessoires à la mode. En Inde, le succès de la saga Harry Potter est tel que la dernière mode est de posséder un hibou ou une chouette. Ces oiseaux, qui sont utilisés comme messagers dans les romans, séduisent en effet particulièrement les Indiens. Mais le sort qui leur est réservé dans certaines familles est très inquiétant. Certains propriétaires sacrifient ces oiseaux lors des cérémonies. L'association indienne luttant pour la conservation des oiseaux a d'ailleurs rendu un rapport alarmant concernant cette nouvelle mode.Ce dernier explique que cela pourrait accélérer l'extinction de certaines espèces, déjà en voie de disparition. A l'approche du festival hindou Diwali, l'auteur du rapport l'ornithologue, Abrar Ahmen, prévient du risque de voir ces sacrifices devenir une pratique régulière dans le pays. Il propose donc au gouvernement chinois de prendre des mesures afin de protéger les hiboux et les chouettes de l'homme, en interdisant leur possession. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 15 novembre 2010 http://www.nicematin.com/article/societe/les-etourneaux-chasses-a-coups-de-fusees-a-laeroport-de-niceLes étourneaux chassés à coups de fusées à l'aéroport de NicePublié le lundi 15 novembre 2010 à 09H26 -Les étourneaux dorment dans les arbres en ville et s’éparpillent la journée pour trouver à manger. (Photo Franck Fernandes) Autour de la ville la journée, intra muros la nuit, les étourneaux sont de retour. Cette année, l’aéroport met les bouchées doubles pour les éloignerChaque année on y a droit. Chaque année, on admire ces vols en bandes harmonieuses, obéissant au doigt et à l’œil à un chef d’orchestre aux compétences exceptionnelles. Ça, c’est pour la version romantique. L’autre version plus réaliste, ce sont les voitures, les bancs, les trottoirs, le mobilier urbain maculés de fientes, et les « précipitations » en cascade au moment où ils regagnent les arbres, à la tombée de la nuit.C’est très désagréable, ça sent mauvais, on peut glisser et les salissures ont un haut pouvoir de corrosion. En revanche, l’étourneau n’est pas un problème de santé publique comme le rappelle la mairie. Il ne transmet pas de maladie, est peu allergisant. Il porte moins de germes que les pigeons. Il y a quelques années, sous la pression de riverains excédés, la municipalité avait mené des campagnes d’effarouchement à coup de pétards. C’est terminé. Sous la pression... d’associations de protection animale, on ne chasse plus ces oiseaux qui ne sont que de passage, en principe jusque vers la mi-décembre. Il faut dire que ces volatiles sont à la fois utiles et nuisibles. Ils arrivent généralement d’Europe de l’Est où on les adore, au point de les fêter ! Là-bas ils font partie des espèces protégées car ils se nourrissent de larves d’insectes.Mobilisation à l’aéroport : Ici ils ne sont pas à la fête surtout par sur l’aéroport Nice-Côte d’Azur où ils sont dans le collimateur des services de sécurité. « Cette année est particulière car nous menons des travaux autour des pistes. Nous réaménageons les postes de stationnement des avions et donc il y a de la terre retournée. C’est dans cette terre que les étourneaux viennent chercher des vers ou des insectes », explique Marc Terrauillon, chef du département sécurité et sûreté. Alors, sur les pistes du 2e aéroport de France, c’est la mobilisation de 8 à 20 heures ! « Ils quittent leurs dortoirs en ville pour la journée, volent en bande de plusieurs centaines ou milliers et cherchent à se nourrir dans les alentours. On doit les empêcher de venir ici. Car il faut éviter que les oiseaux croisent la route des avions... Le danger c’est que des nuées se retrouvent dans les réacteurs. ça peut être dangereux»Les équipes chargées de l’effarouchement ont donc été multipliées par deux. « On consomme 140 à 150 fusées par jour ! » Des fusées crépitantes, explosives et même des « envois spéciaux » qui émettent un bruit important – 150 décibels – à 250 mètres de haut. Pour cette saison, les équipages ont été doublés. « Ils sont en permenance sur les pistes. Il faut absolument rendre le terrain inhospitalier aux étourneaux ». Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 15 novembre 2010 http://www.nicematin.com/article/cannes/les-oiseaux-ont-trouve-refuge-dans-le-parc-de-lhotel-de-ville-mandolocienLes oiseaux ont trouvé refuge dans le parc de l'Hôtel de Ville mandolocienPublié le jeudi 11 novembre 2010 à 07H05Symboliquement, pour la création du refuge pour les oiseaux, un rapace a été remis dans la nature après avoir été soigné par le LPO. La municipalité de Mandelieu-La Napoule a signé un partenariat avec la Ligue de protection des oiseaux pour faire du parc de l'Hôtel de Ville un refuge pour les oiseaux et un lieu où la nature sera préservée. Hier matin, à l'école des Bleuets, un partenariat a été signé entre la municipalité et la Ligue de protection des oiseaux (LPO). Il fait du parc de l'Hôtel de Ville un refuge pour les volatiles et un lieu où la nature sera préservée. Un partenariat signé par le maire, Henri Leroy, et la vice-présidente de la LPO, Michèle Pinguet. Symboliquement, avant de parapher le document, les participants se sont rendus dans l'une des classes de l'école. Là, les enfants ont participé à un petit jeu éducatif qui consistait à reconnaître différentes espèces d'oiseaux. Le maire et Michèle Pinguet ont ensuite expliqué à l'assistance les bases de la création de ce refuge pour oiseaux : « La LPO se félicite de voir la nature mise à l'honneur cette année, année mondiale de la biodiversité. Elle se félicite aussi de voir que la Ville de Mandelieu-la-Napoule participe à cette démarche pour l'environnement, la faune et la flore. Ce partenariat s'agrandira au fil du temps ; il montre à tous qu'il faut protéger la nature et la respecter », a précisé Michèle Pinguet. Désormais, les 44 358 m2 du parc de l'Hôtel de Ville sont dédiés à la nature. Les conditions seront propices à l'installation de la faune et de la flore locales, notamment en abandonnant l'utilisation de produits d'entretien chimiques ou en favorisant le cycle naturel des espèces. Les écoliers de la commune pourront également venir dans le parc pour découvrir les nombreuses espèces d'oiseaux avec des animateurs de la LPO. A terme, des perchoirs pourront être mis en place, ou bien d'autres installations visant à préserver la nature et la trentaine d'espèces d'oiseaux recensée dans le parc. Notons qu'aujourd'hui, chardonnets, fauvettes, mésanges, moineaux ou chouettes font partie des habitants du lieu.Un lâcher de rapace symboliqueQuant au maire, Henri Leroy, il a rappelé l'importance du respect de l'Agenda 21 et celle de la politique environnementale de la commune, conformément aux voeux des citoyens. : « Nous sommes attachés à notre environnement ; notre patrimoine est la plus grande richesse de la commune qui possède 310 hectares d'espaces verts, de parcs et de jardins. Le refuge aujourd'hui créé est un symbole fort de l'identité de Mandelieu-la-Napoule », a-t-il déclaré. Tous les participants se sont rendus devant la mairie pour inaugurer la plaque commémorative et assister à un lâcher de rapace. Cet oiseau, blessé par un véhicule, a été soigné par la LPO et remis en liberté par un enfant, symboliquement, pour célébrer la création du parc.L.L Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 16 novembre 2010 REIMS, 15 nov 2010 (AFP) - Les compteurs de la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO) ont dénombré dimanche 74.500 grues cendrées sur le lac du Der (Champagne-Ardenne), nouveau record de fréquentation du site par ces oiseaux migrateurs en route pour le sud de l'Europe, a indiqué lundi la LPO.> Le comptage a été effectué dimanche à l'aube par une douzaine de bénévoles de la LPO qui étudient la population de grues cendrées durant toute la période migratoire d'octobre à mars.L'année dernière à la même époque, 52.000 grues avaient été dénombrées sur le lac artificiel.Venus d'Europe du Nord, les échassiers y font étape en attendant de bonnes conditions météorologiques pour poursuivre leur vol vers l'Espagne, via l'Aquitaine."Depuis plusieurs jours, il y a beaucoup de pluies et un fort flux de sud-ouest, donc un vent contraire, empêchant les oiseaux d'accomplir leur voyage", a expliqué à l'AFP Etienne Clément, de la LPO de Champagne-Ardenne.Depuis la création du lac de 4.800 ha en 1974, les grues cendrées sont de plus en plus nombreuses à s'y poser sur le chemin de leur migration.Vidé d'une grande partie de ses réserves à cette saison au profit de la Marne, le plan d'eau présente en son milieu des terres émergées qui constituent une protection idéale contre les prédateurs, tandis que les champs de maïs environnants apportent suffisamment de nourriture.Une partie de la population de ce grand échassier de 2,40 m d'envergure a même renoncé au voyage vers l'Espagne, préférant séjourner sur le lac du Der durant tout l'hiver. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 novembre 2010 MOSCOU, 19 nov 2010 (AFP) - Plusieurs pélicans roses ont atterri dans l'Altaï, une région du sud de la Sibérie, le temps anormalement chaud leur ayant fait perdre la route de l'Afrique où devait les mener comme chaque année leur migration, ont rapporté vendredi les médias russes.> La chaîne publique Pervyi Kanal a montré ces oiseaux de bonne taille et au bec imposant, recueillis dans l'étable d'un paysan, côtoyant des canards.Les animaux étaient épuisés à leur arrivée. "Ils ne tenaient pas sur leurs pattes", a dit Sergueï Pissarev, le directeur du zoo de la ville voisine, Barnaoul, chargé de récupérer les pélicans.Nourris avec des poissons, ils ont manifestement repris des forces, selon les images de la télévision, mais la neige qui commençait à tomber leur aurait assuré une fin certaine dans cette région au climat rigoureux.Selon Pervyi Kanal, les pélicans, des oiseaux migrateurs qui viennent à l'occasion en été jusque dans le delta de la Volga, sur la mer Caspienne, devaient rejoindre l'Afrique du nord à l'approche de l'hiver.Mais les anomalies climatiques, avec l'arrivée d'une masse d'air chaud venant d'Asie centrale, leur ont fait prendre la mauvaise direction. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 29 novembre 2010 Une demi-douzaine de pélicans roses est arrivée dans l'Altaï, au sud de la Sibérie. Pourtant, leur destination initiale était, comme chaque année, l'Afrique. Les six pélicans roses qui ont été recueillis étaient épuisés. Un zoo du pays a pris en charge les oiseaux qui "ne tenaient plus sur leurs pattes", après les avoir trouvés et mis au chaud avec les canards des paysans russes locaux. Grâce aux soins qui leur ont été prodigués et au poisson dont ils ont été nourris, les oiseaux ont repris des forces. Mais la neige qui envahit peu à peu la région les aurait sans aucun doute tués très rapidement.Normalement, ces pélicans devaient rejoindre le continent africain. Seuls quelques uns vont parfois jusqu'à la Volga mais uniquement en été. Ils n'auraient pas été capables de survivre au rude climat hivernal de la Sibérie.Ces pélicans auraient été détournés des masses d'air chaud en provenance d'Asie centrale, à cause des changements climatiques. Ils ont ainsi pris une mauvaise trajectoire. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 29 novembre 2010 Ce week-end, un Japonais a acheté aux enchères un pigeon pour 170 000 euros ! Ce week-end, la maison de vente "PiPa.be", de Knesselare, en Belgique, organisait une vente aux enchères de pigeons voyageurs. Au total, les 151 spécimens ont rapporté un total de 1 016 550 euros, dont 170 000 euros pour un seul d'entre eux. C'est un passionné japonais qui a dépensé une telle somme pour devenir le propriétaire d'Euro-diamond. Ce célèbre volatile est connu des spécialistes pour avoir participé à de nombreuses compétitions, dont les Olympiades. Il était donc très demandé car les participants connaissaient ses capacités et sa valeur dans les concours. Avec cette vente, il est devenu le pigeon le plus cher du monde. A noter que si Euro-diamond a été acheté par un Japonais, la plupart des autres spécimens partiront en Chine, même si des Britanniques, des Allemands, ou encore des Français ont également trouvé leur bonheur. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 décembre 2010 Un Britannique de 28 ans a "engagé" une chouette pour demander sa petite amie en mariage. Jason Jenkins, 28 ans, voulait demander la main de sa petite amie d'une manière originale. C'est alors qu'il a eu l'idée d'engager Zulu, une chouette, pour l'aider dans sa demande. Le couple était en train d'assister à une démonstration de vol à la fauconnerie de Northwich lorsque Zulu est arrivée et s'est posée sur le bras de Mélissa Bowen, la fiancé du jeune homme. Sur la patte du volatile était attachée une petite sacoche en velours rose dans laquelle se trouvait la bague de fiançailles. "Je ne pouvais pas y croire", a raconté la future mariée dans la presse britannique. Le couple attend désormais de pouvoir fixer une date pour le plus beau jour de leur vie. Qui a dit que le romantisme était mort ?! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 décembre 2010 HELSINKI, 1 déc 2010 (AFP) - Une espèce animale ou végétale sur dix en Finlande est menacée d'extinction en raison du réchauffement climatique, a annoncé mercredi le ministère finlandais de l'Environnement.> Sur les 2.247 espèces menacées en Finlande, seules quelques dizaines le sont au niveau mondial, a précisé l'Institut finlandais de l'Environnement."Toutefois, c'est significatif car cela veut dire que la nature en Finlande a beaucoup changé et rapidement (...) à cause du réchauffement climatique", a expliqué à l'AFP un porte-parole de l'Institut, Heikki Toivonen.Selon lui, l'augmentation du nombre d'espèces d'oiseaux menacées, par exemple, illustre le fait que la migration depuis et vers le sud du Sahara est rendue nettement plus difficile avec le réchauffement et l'assèchement de l'Afrique du nord.Ainsi, le statut de la tourterelle des bois est passé en Finlande de "vulnérable" à "en danger critique d'extinction", celui du combattant varié et de la fauvette épervière est passé d'un coup à "en danger d'extinction" alors qu'aucune de ces deux espèces n'était menacée en Finlande il y a encore dix ans."Le réchauffement et les hivers plus doux ont également provoqué le déclin de certains mammifères adaptés à vie dans des conditions neigeuses et glaciales, comme le lièvre des montagnes, le glouton et le phoque", selon le ministère. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 6 décembre 2010 Un groupe de naturalistes a pu observer au Pérou une chouette minuscule, d'une espèce qui n'avait quasiment plus été signalée depuis 26 ans. Des oiseaux insolites et menacés. Minuscule, de longues soies autour du bec et des plumes délicates qui s'étendent en favoris : Xenoglaux loweryi, la chevêchette nimbée, découverte en 1976, n'avait pratiquement plus été observée depuis 26 ans. La petite chouette a été repérée dans la réserve Abra Patricia, dans le nord du Pérou, une aire protégée par l'ONG American Bird Conservancy (ABC). Confiné dans un habitat de forêts pluviales nuageuses d'environ 118 kilomètres carrés, menacé par la déforestation, cet oiseau est considéré comme une espèce en danger par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). "La chevêchette nimbée est nocturne, ne vit que dans cette région, et n'existe qu'en très petit nombre : les visiteurs ont vécu une expérience ornithologique unique", commente Sara Lara, de l'"American Bird Conservancy". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 6 décembre 2010 SYDNEY, 6 déc 2010 (AFP) - Un fermier australien a trouvé deux Kookaburras albinos aux ailes bleues, un oiseau emblématique de l'Australie, mais dont des spécimens albinos n'ont jamais été observés, ont indiqué lundi les employés d'un parc naturel> Avec leurs yeux et leurs becs roses et leurs ramages d'un blanc immaculé, ces oisillons, des soeurs semble-t-il, sont les premiers spécimens albinos de cette espèce jamais découverts en Australie"Tout le monde me demande s'ils sont rares. Jamais on n'en a vu, parce que s'ils sortent de leur nid dans la nature, leur couleur blanche attire les prédateurs et ils sont tout de suite la proie d'un reptile, d'une chouette ou d'un autre prédateur", a déclaré Harry Kunz."Dans toute l'Australie, je sais qu'il y a trois kookaburras blancs (ou martin-chasseur géant: ndlr) mais ils ne sont pas albinos, ils ont des yeux noirs. Quant aux ailes bleues, personne ne sait si elles existent vraiment ou si elles vont prendre cette couleur" lorsque les oiseaux grandiront, a-t-il ajouté.Les deux oiseaux sont en bonne santé et sont nourris avec des petites souris et des insectes dans le sanctuaire où ils sont pris en charge.Le Kookaburra est un oiseau trapu pouvant atteindre 45 cm de long, d'environ 500 grammes, avec une grosse tête et un très grand bec pointuOiseau symbole de l'Australie, il a été l'une des trois mascottes des Jeux Olympiques de Sydney en 2000. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 6 décembre 2010 L’Europe favorable à la torture des oies Alors que One Voice espérait une interdiction totale de cette pratique barbare, l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments) a publié le 25 novembre 2010 un avis scientifique favorable à la collecte des plumes sur les oiseaux vivants.Pour collecter les plumes et le duvet des oiseaux, il existe deux méthodes. L’arrachage sur les animaux déjà morts, qui nécessite un tri et un séchage mécaniques des plumes préalablement ébouillantées. Et l’arrachage « à sec » sur les oiseaux vivants. Cette dernière méthode est une source de revenus plus importante car elle est commercialement plus rentable. Mais c’est aussi et surtout une source de grandes souffrances pour ces animaux. Le groupe d’experts scientifiques sur la santé et le bien-être des animaux a bien été obligé de constater que dans les conditions actuelles d’exploitation, l’arrachage des plumes était inévitablement douloureux pour l’animal. Cette plumaison provoque en effet des saignements, des lésions cutanées et des ecchymoses. En revanche, le brossage et le peignage en phase de mue ne provoqueraient pas de lésion des tissus. La proposition de l’EFSA est donc la mise en place d’un système de contrôle pour garantir que seules les plumes en phase de mue soient « récoltées ». En sachant qu’une oie ne mue pas uniformément sur l’ensemble de son corps et que les oies ne muent pas de manière synchrone au sein d’un troupeau, on se demande vraiment comment instaurer un tel système de contrôle. La récolte des plumes en phase de mue ne peut se faire sans arracher des plumes à l’animal. De plus, qui va vérifier comment se passe le plumage? Dans son rapport, l’EFSA va jusqu’à préciser que « L’existence de plumes ensanglantées, de blessures cutanées, […] d’os cassés ou disloqués constituent des éléments qui peuvent être utilisés pour évaluer le bien-être des oies dont les plumes sont collectées. » Des propos choquants dans un rapport sur le « bien-être » qui tente de justifier la souffrance des volatiles et démontre l’absurdité de la proposition. En 2009, un documentaire suédois sur des élevages d’oies en Hongrie avait déjà heurté les consciences. Certains magasins avaient immédiatement cessé de vendre tous les articles contenant du duvet ou des plumes d’oies provenant de Hongrie. Des vétérinaires interrogés sur le sujet avaient parlé de pure torture sur des animaux qui peuvent subir ce châtiment jusqu’à 4 fois au court de leur vie. La collecte des plumes sur les oies vivantes représente 80 % de la production mondiale ! Les six plus gros producteurs de plumes sont des pays européens comme la Hongrie, la Pologne et la France. En 1999, le Conseil de l’Europe avait pourtant adopté une recommandation concernant les oies domestiques. Cette recommandation prescrit que «les plumes, y compris le duvet, ne doivent pas être arrachées sur des oiseaux vivants». La publication de l’EFSA sonne donc comme un recul inacceptable. Afin de faire cesser la torture des oies, One Voice invite les consommateurs à éviter tout produit à base de plumes et de duvet d’animaux. Les matières synthétiques actuelles possèdent toutes les qualités requises pour s’y substituer. Source : One Voice03/12/2010 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 décembre 2010 < TOULOUSE, 9 déc 2010 (AFP) - La femelle du canard colvert pond des oeufs plus viables quand le mâle et père de la progéniture a l'air en meilleure santé et qu'il a le bec bien coloré, selon les résultats d'une étude publiée par le CNRS à Toulouse.> Cette étude conforte une théorie de la biologie évolutive qui suppose que les femelles utiliseraient les signaux sexuels exhibés par les mâles pour juger de leurs qualités, telles que leur capacité à protéger les jeunes, à les nourrir ou à leur transmettre des gènes de résistance aux parasites. En fonction de ces critères d'attractivité, elles modifieraient leur propre investissement dans la reproduction.Les chercheurs ont testé cette hypothèse sur quarante couples de colverts en manipulant la coloration du bec de la moitié des mâles grâce à de petites doses de caroténoïdes. La coloration est considérée comme un bon indicateur de l'état de santé des canards, en particulier d'une meilleure immunité.Les femelles qui se sont accouplées avec les mâles au bec plus coloré ont pondu des oeufs de plus grande taille que les autres canes, augmentant ainsi la quantité de nutriments disponibles pour l'embryon.Elles ont aussi déposé dans l'albumen (le blanc de l'oeuf) davantage de protéines chargées de la destruction des parois des bactéries. Elles ont ainsi mieux protégé l'embryon des micro-organismes pathogènes.Cette étude a été réalisée par Mathieu Giraudeau sous la direction de Philipp Heeb, membre du CNRS et chargé de recherche à l'université de Toulouse III-Paul Sabatier. Elle a été publiée par la revue scientifique britannique Proceedings of the Royal Society B (biological sciences), précise le communiqué.Elle "démontre clairement et de façon expérimentale que les femelles colverts prennent en compte la coloration de leur partenaire et modulent leur investissement dans la reproduction en fonction" de celle-ci, ajoute le texte.ev/lal/cgd Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 14 décembre 2010 Cet homme se rappellera longtemps de sa balade en mer. Alors qu'il s'apprêtait à manger son croissant, une mouette a foncé sur lui pour en dérober un morceau ! Les mouettes sont des animaux prêts à tout pour se nourrir. Opportunistes, elles se positionnent régulièrement derrière les bateaux de pêche lorsque ces derniers remontent le poisson pour récupérer quelques proies. Mais certaines peuvent être beaucoup plus téméraires, et attaquer à la source. L'une d'elle a encore une fois prouvé dans cette vidéo incroyable, qui montre l'oiseau foncer littéralement sur une personne pour lui chiper un morceau de nourriture !Alors qu'un homme est tranquillement en train de déguster un croissant sur le pont du navire sur lequel il est en balade, une mouette, arrivée de nulle part, fonce sur lui par derrière et attrape au vol un morceau de nourriture avant de s'éloigner ! La victime, ainsi que le reste des passagers, en restent complètement médusés ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 14 décembre 2010 Manses. Des faucons pour éloigner les goélands Les goélands qui proliféraient au site d'enfouissement de déchets de Manses sont beaucoup moins nombreux depuis qu'un fauconnier fait voler ses rapaces dans le coin. Il y a quelques années à peine, des centaines de goélands s'étaient installés sur le site d'enfouissement de déchets de Manses. Qualifiés « d'oiseaux gênants » par le SMECTOM du Plantaurel, mais protégés par la loi, ces oiseaux qui vivent des détritus sont considérés comme nuisibles étant donné leur prolifération. Le SMECTOM a trouvé une solution… dérangeante en louant les services d'un fauconnier, en l'occurrence Christophe Lafuste, bien connu dans la région puisque c'est lui qui gère le domaine des Aigles de Lordat. Il ne s'agit pas de tuer les goélands mais de les dissuader de fréquenter les lieux, une recette bien connue sur les aéroports pour empêcher les oiseaux d'aller se faire plumer dans la turbine d'un réacteur en l'endommageant. Et le résultat est spectaculaire : Christophe Lafuste a commencé à travailler sur Manses il y a trois ans, aujourd'hui on ne voit plus que quelques rares goélands, pas pressés d'ailleurs d'aller se frotter à l'autour ou aux gerfauts du fauconnier. Dès que l'un des faucons fait mine de prendre de la hauteur dans le ciel pour dominer sa proie, celle-ci prend la fuite à tire d'aile. L'autour qui est un oiseau de bas vol (c'est-à-dire qu'il n'attaque pas en piqué) provoque les mêmes effrois : le goéland va voir ailleurs. C'est en hiver que cette action est la plus efficace et Christophe se rend sur les lieux avec ses rapaces trois fois par semaine dans le cadre du contrat annuel qui le lie au SMECTOM du Plantaurel. Celui-ci a fait des efforts considérables pour limiter les nuisances. Le bio gaz qui émanait de la décomposition des déchets était brûlé auparavant ; aujourd'hui cette énergie est récupérée pour produire de l'électricité via une unité qui sera inaugurée prochainement. Et puis il y a beaucoup moins de mauvaises odeurs ; le SMECTOM dépense 10 000 € par an pour asperger le site avec des huiles essentielles d'agrumes diluées. Il s'agit de microgouttes diffusées dans les endroits sensibles. Une étude a été effectuée pour comprendre comment les odeurs se répandaient et l'on a ensuite établi un réseau de tuyaux pour diffuser le parfum, là où c'était nécessaire. Les riverains seraient plutôt contents de cette initiative. On les comprend. Enfin le SMECTOM a des alliés de qualité pour limiter l'incontournable population de rats : il s'agit des chats du coin, peut-être des animaux ensauvagés, qui rétablissent un nécessaire équilibre dans ce milieu bien particulier. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 décembre 2010 NICOSIE, 17 déc 2010 (AFP) - Quelque 1,4 million d'oiseaux migrateurs ont été tués illégalement cet automne par des chasseurs chypriotes, un record depuis 10 ans, a dénoncé vendredi l'organisation écologiste Birdlife Cyprus.> Par rapport à l'automne 2009, Birdlife Cyprus a relevé une hausse de 75% de l'utilisation de filets japonais (dans lesquels les oiseaux s'emmêlent) et de 89% de fausses branches collantes (dont ils ne peuvent se détacher). Une augmentation que l'organisation juge "tout simplement inacceptable".Ces méthodes sont notamment utilisées pour attraper des fauvettes à tête noire et des grives musiciennes. Ce petit gibier, très recherché, peut atteindre 5 euros la pièce dans les restaurants chypriotes, faisant du braconnage une pratique lucrative.Pour Birdlife, ces chiffres montrent "l'échec inquiétant" des autorités chypriotes et britanniques, la chasse illégale étant répandue dans les zones sous souveraineté britannique."En tant qu'Etats membres de l'Union européenne, tous deux ont des obligations en vertu de la directive européenne protégeant les oiseaux", a souligné l'association, qui réclame des mesures contre les restaurateurs fraudeurs et les braconniers, y compris devant la justice.Le braconnage avait diminué avant que Chypre ne rejoigne l'Union européenne en 2004, les autorités ayant mené une politique de fermeté. Mais les écologistes estiment que le gouvernement manque désormais de volonté pour éradiquer cette pratique. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 décembre 2010 < PARIS, 17 déc 2010 (AFP) - Une perruche qui chante, c'est déjà surprenant, mais quand, en plus, elle entonne parfaitement un refrain du groupe américain de metal Drowning Pool, "Let the bodies hit the floor", l'oiseau chanteur fait le buzz sur la toile.> Il est catégorique: "Ma perruche Lolita chante vraiment!", assure l'internaute."Si vous comparez sa voix entre les différentes vidéos, vous vous rendrez compte que c'est la même", insiste-t-il, en précisant "qu'il ne lui a jamais appris à chanter".Aujourd'hui, plus de 430.000 internautes ont écouté la voix de la charmante lolita au plumage vert et jaune.Sur le site MinuteBuzz, la grande question de la matinée était: Fake ou pas fake pour la vidéo? Selon eux, c'est: fake (intox) 60%, non-fake (info) 40%Avis aux internautes!it/gle/df Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 24 décembre 2010 < LILLE, 23 déc 2010 (AFP) - Douze chasseurs ont été interpellés par la police de l'environnement du Nord pour avoir tué plusieurs espèces de gibier d'eau, dont certaines protégées, dans des conditions interdites près de Loon-Plage et Grand-Fort-Philippe (Nord), a-t-on appris jeudi auprès de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage.> Alors que la chasse nocturne au gibier d'eau n'est autorisée qu'à partir de huttes de chasse immatriculées, les contrevenants ont tiré sur les vagues de migrateurs directement du bord de mer.En plus des interpellations, les agents de la police de l'environnement ont saisi neuf fusils de chasse et 25 pièces de gibier dont des oies rieuses, des canards siffleurs, mais également des espèces dont la chasse est interdite comme la bernache cravant et des courlis cendrés.dep/bb/ajc Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 29 décembre 2010 Depuis le 1er juillet dernier, un nouveau dispositif de service civique remplaçant le service civil volontaire est proposé aux jeunes âgés de 16 à 25 ans. C'est dans ce cadre que l'association Bretagne Vivante propose sept postes de gardiens de sternes, oiseaux qui chaque année migrent en Bretagne pour s'y reproduire. Comme le souligne Gaëlle Quemmerais-Amice, responsable de ce dossier pour Bretagne Vivante, ce type de postes est proposé depuis plusieurs années. Mais cette année, ce sont sept services civiques qui sont ainsi offerts à des jeunes âgés de 16 à 25 ans. Une formation sera fournie aux heureux élus, qui commenceront leur mission en mars pour l'achever en septembre. Les gardiens de sternes seront chargés d'observer et surveiller les oiseaux migrateurs dans les îles bretonnes, mais devront également mener des actions de prévention auprès du public, une mission de sensibilisation jusqu'alors confiée à des bénévoles. Mais le recours au service civique semble être la meilleure solution face au "manque de bénévoles et par la difficulté juridique à créer un statut pour les gardiens", a expliqué à l'AFP François de Beaulieu, administrateur de l'association. Et ce dernier de souligner : "Si ce travail n'avait pas été effectué depuis de nombreuses années, une partie du patrimoine ornithologique breton aurait disparu". Quant au profil recherché, Bretagne Vivante privilégiera les candidatures de jeunes passionnés par l'ornithologie et la protection de l'environnement, attirés par la vie dans les îles bretonnes et ne craignant pas l'isolement. Recrutés pour six mois, les gardiens recevront une indemnité de l'Etat de 442 euros par mois, complétée par 100 euros qui leur seront versés chaque mois par l'association. Celle-ci assurera également l'hébergement des sept jeunes recrutés Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 29 décembre 2010 La préfecture du Pas-de-Calais a décidé lundi d'interdire la chasse de certains oiseaux fragilisés par la période de grand froid que traverse la région. Un arrêté pour l'instant en vigueur jusqu'au 5 janvier prochain. Cette mesure concerne les limicoles, de petits échassiers tels que la barge rousse, la bécasse des bois, le chevalier aboyeur ou le vanneau huppé. Du 27 décembre au 5 janvier, il est également interdit de chasser les turdidés, et notamment le merle noir, de même que les alaudidés et plus particulièrement l'alouette des champs. Dans un communiqué, la préfecture explique avoir pis cette décision face aux "conditions climatiques actuelles, nécessitant pour les limicoles, les turdidés et les alaulidés la mise en place de dispositions particulières de protection". L'interdiction de chasser ces oiseaux fragilisés par la neige et le froid, fait suite à une mise en garde émise par la Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) en fin de semaine dernière. L'association avait appelé vendredi à "suspendre immédiatement la chasse" de plusieurs espèces, dénonçant "un véritable massacre" se déroulant dans le nord de la France vers lequel des dizaines de milliers d'oies, canards et limicoles qui hivernent généralement en Belgique et aux Pays-Bas ont migré depuis le mois de novembre. "Les oiseaux, déjà affaiblis par la difficulté à trouver les ressources alimentaires, sont chassés et dérangés nuit et jour", déplorait alors la LPO. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 décembre 2010 Les pluies torrentielles et le grand froid qui se sont abattus sur Moscou et plusieurs autres régions du centre de la Russie représentent une réelle menace pour les oiseaux sauvages qui pourraient se voir privés de nourriture. Une alerte émise par le WWF, qui évoque une véritable "catastrophe". Le Fonds mondial pour la nature s'inquiète de voir les oiseaux sauvages victimes de famine face aux intempéries qui touchent le centre de la Russie en cet hiver particulièrement rude. Une pluie glaciale est tombée sur la région les 24 et 25 décembre derniers, couvrant de gel en quelques heures seulement les trottoirs, les voitures et les arbres de Moscou et ses environs. "C'est une catastrophe", estime le directeur du bureau russe de l'association WWF, Igor Tchestine. "Tout ce qui peut leur servir de nourriture est actuellement recouvert de glace", explique-t-il, évoquant notamment les sorbiers dont les fruits constituent une importante source d'alimentation des oiseaux.Selon le WWF, un oiseau affamé et soumis à un grand froid peut mourir en seulement vingt-quatre heures s'il ne parvient pas à se nourrir. Face à cette menace, l'organisation de protection de la nature appelle les habitants du centre de la Russie à venir en aide aux oiseaux en mettant de la nourriture à leur disposition, accrochée aux arbres ou aux balcons. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 janvier 2011 Les habitants de la petite ville de Beebe dans l'Etat américain de l'Arkansas ont été surpris au premier jour de l'année par une pluie d'oiseaux morts. La mystérieuse pluie d'oiseaux a commencé le soir de la Saint-Sylvestre. Les services communaux en ont dénombré plus d'un millier, gisant dans les rues de Beebe, explique la commission de la chasse et de la pêche de cet Etat du sud américain sur son site Internet. La plupart des oiseaux sont des carouges à épaulettes, reconnaissables à leurs taches rouges à la base des ailes, comme le rapporte ce reportage de CNN. Les autorités n'ont pas encore réussi à déterminer la cause de cette vague de décès. Des tests doivent être pratiqués lundi. Selon le quotidien Arkansas Times, les oiseaux pourraient avoir été touchés par la grêle en haute altitude. Une autre théorie met en cause les feux d'artifice du Nouvel An qui pourraient avoir surpris les oiseaux en plein vol. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 janvier 2011 http://www.ladepeche.fr/article/2011/01/03/981522-Du-gibier-braconne-chez-un-restaurateur.html Des contrôles ont été effectués dans les chambres froides de traiteurs et restaurateurs . Du gibier vendu sous le manteau a été saisi . Classique au moment des fêtes. Les fêtes de fin d'année ont démontré une fois de plus qu'il existe une délinquance spécifique à cette période particulière. Pas seulement des braquages, mais aussi des raids sur les produits comestibles (huîtres, truffes). C'est le moment de l'année où des gourmets pensent à un bon pavé de biche, où à des bécasses sur canapé. Le braconnage est à la hausse, c'est pourquoi l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) secondé par d'autres services de l'État a procédé à des contrôles. Les chambres froides des abattoirs de Saint-Girons ont été visitées, celles de traiteurs et de restaurateurs également. Soit au total une douzaine d'établissements divers. Rien à dire sur les abattoirs, ni chez les traiteurs. En revanche six bécasses, en cours de préparation, ont été découvertes chez un restaurateur, ainsi que 14 kg de sanglier de provenance douteuse. Le restaurateur a expliqué qu'il s'agissait d'un animal tué par une collision sur la route. Seul problème c'est que la viande avait atterri dans la chambre froide du restaurant et non au domicile du restaurateur pour consommation personnelle. Autrement dit la viande pouvait très bien échoir dans l'assiette des clients du restaurant. Une procédure a été établie à l'encontre du restaurateur pour mise en vente de gibier dont la commercialisation est prohibée. Les bécasses et la viande de sanglier ont été remises au centre communal d'action social de Pamiers. Des chasseurs peuvent vendre de la venaison, mais elle doit passer par le contrôle vétérinaire. Ce n'est qu'avec le cachet du laboratoire que la transaction peut avoir lieu. Par ailleurs si un animal est tué sur la route à la suite d'une collision, le conducteur, et lui seul, (pas un troisième larron qui passait par là pour tirer les marrons du feu) peut emporter l'animal après avoir averti la police ou la gendarmerie. Un coup de téléphone suffit, mais l'automobiliste ne pourra céder la viande à personne, même à titre gracieux. La législation s'est assouplie pour le transport et le commerce du gibier : il n'est plus nécessaire d'avoir un ticket et un numéro de bracelet sur la venaison. Il n'empêche que l'ONCFS procède régulièrement à des contrôles et pas seulement pour les fêtes de fin d'année. À bon entendeur…. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 janvier 2011 Des scientifiques enquêtent actuellement sur la mort de 100.000 poissons dans la rivière Arkansas de l'État américain du même nom. Vendredi 31 décembre, près de la ville d'Ozark, dans le nord-ouest de l'État, des milliers de cadavres de poissons sont remontés à la surface et flottaient sur 30 kilomètres de rivière.Le représentant de la Commission de Chasse et Pêche de l'Arkansas, Keith Stephens, a déclaré à CNN que la mort massive de poissons pouvaient avoir lieu chaque année mais que les proportions de 2010 étaient inhabituelles, d'autant plus qu'une seule espèce est touchée. Il a suggéré ensuite qu'une maladie pouvait être la cause de la mort subite des poissons.«Il n'y a qu'une seule espèce de poisson qui est touchée. Si un polluant avait été responsable des décès, toute la faune marine aurait été touchée et pas seulement le poisson-tambour.»Des oiseaux mortsÀ environ 200 kilomètres de la rivière, plusieurs milliers de cadavres d'oiseaux ont aussi été retrouvés. Tombés du ciel le jour de l'An, jusqu'à 5.000 merles à ailes-rouge sont morts et ont chuté dans un rayon de deux kilomètres dans la ville de Beebe répandant pendant quelques instants dans l'Arkansas un parfum de fin du monde. Des théories naissantes sur les événements ont été démenties, la Bible ne mentionnant nulle part que la mort de poissons et d'oiseaux doit être interprétée comme un signe prophétique d'Armageddon. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 janvier 2011 @Choupi91 a écrit:Des scientifiques enquêtent actuellement sur la mort de 100.000 poissons dans la rivière Arkansas de l'État américain du même nom. Vendredi 31 décembre, près de la ville d'Ozark, dans le nord-ouest de l'État, des milliers de cadavres de poissons sont remontés à la surface et flottaient sur 30 kilomètres de rivière.Le représentant de la Commission de Chasse et Pêche de l'Arkansas, Keith Stephens, a déclaré à CNN que la mort massive de poissons pouvaient avoir lieu chaque année mais que les proportions de 2010 étaient inhabituelles, d'autant plus qu'une seule espèce est touchée. Il a suggéré ensuite qu'une maladie pouvait être la cause de la mort subite des poissons.«Il n'y a qu'une seule espèce de poisson qui est touchée. Si un polluant avait été responsable des décès, toute la faune marine aurait été touchée et pas seulement le poisson-tambour.»Des oiseaux mortsÀ environ 200 kilomètres de la rivière, plusieurs milliers de cadavres d'oiseaux ont aussi été retrouvés. Tombés du ciel le jour de l'An, jusqu'à 5.000 merles à ailes-rouge sont morts et ont chuté dans un rayon de deux kilomètres dans la ville de Beebe répandant pendant quelques instants dans l'Arkansas un parfum de fin du monde. Des théories naissantes sur les événements ont été démenties, la Bible ne mentionnant nulle part que la mort de poissons et d'oiseaux doit être interprétée comme un signe prophétique d'Armageddon. CHICAGO (Etats-Unis), 3 jan 2011 (AFP) - La pluie d'oiseaux morts qui a surpris le 1er janvier les habitants de la petite ville de Beebe dans l'Etat américain de l'Arkansas est certainement due à la frayeur, ont expliqué lundi des responsables.> "Nous sommes maintenant presque sûrs que c'est un traumatisme qui a causé leur mort", a déclaré un responsable des services vétérinaires de l'Etat, George Badley.Un habitant a indiqué avoir entendu une vingtaine de détonations samedi soir, --peut-être des feux d'artifice ou des coups de canons utilisés pour se débarrasser des oiseaux nuisibles--, suivies par le vol erratique d'une grande quantité d'oiseaux."Il a entendu les carouges voltiger dans tous les sens, il a entendu leurs battements d'ailes et les a entendu heurter des obstacles", a raconté MBadley à l'AFP.Les carouges à épaulettes ont une mauvaise vision nocturne et ont sans doute été tués en heurtant les maisons et les arbres dans leur frayeur.L'Etat de l'Arkansas a cependant décidé de mener une enquête pour être sûr qu'ils n'ont pas été victimes d'empoisonnement ou de maladie, a indiqué M Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites