pacemaker91 0 Posté(e) le 5 janvier 2011 Le mystère des oiseaux morts en nombre n'en finit pas. Mardi 4 janvier, un nouveau groupe de volatiles tombés morts du ciel a été découvert dans le sud des Etats-Unis, en Louisiane, après une hécatombe similaire dans l'Etat voisin de l'Arkansas. Environ cinq cents oiseaux se sont effondrés dans la paroisse [équivalent d'un département français] de Pointe Coupée, a déclaré Olivia Watkins, du service de la pêche et de la faune de Louisiane, pour qui la cause de ces morts reste inconnue. 'Nous avons envoyé des échantillons à un laboratoire du Missouri et en attendons les résultats,' a-t-elle expliqué.TRAUMATISMECe mystère s'ajoute à celui des cinq mille carouges à épaulettes retrouvés morts dans la petite ville de Beebe, dans l'Arkansas, au matin du 1er janvier et des quatre-vingt mille à cent mille poissons flottant sans vie dans une rivière distante de 160 kilomètres.Dans l'attente des résultats d'autopsie, les autorités de l'Arkansas ont exclu tout lien entre la mort des poissons et celle des oiseaux. Un responsable des services vétérinaires de l'Etat, George Badley, a affirmé être 'presque sûr que c'est un traumatisme qui a causé la mort' des oiseaux. Les résultats préliminaires semblaient également écarter un empoisonnement.La peur de feux d'artifice dans la nuit du 31 décembre ou de coups de canon utilisés pour se débarrasser d'oiseaux nuisibles pourrait avoir provoqué l'envol massif de ces oiseaux à mauvaise vision nocturne, qui se seraient ensuite tués en heurtant des maisons et des arbres. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 janvier 2011 MONTPELLIER, 4 jan 2011 (AFP) - Un aigle de Bonelli a été victime d'une électrocution début décembre près de Béziers, les acteurs de la conservation de cette espèce menacée de disparition en France déplorant dans un communiqué "une avancée trop lente de la neutralisation des lignes dangereuses du secteur".> Il s'agit, en à peine plus de deux ans, de la cinquième électrocution d'un aigle de Bonelli dans le même secteur, au sud-est de Béziers. Une sixième est aussi intervenue un peu plus à l'est, sur la commune de Marseillan, toujours dans l'Hérault."Avec seulement 30 couples en France et une trentaine de jeunes produits par an, les pertes répétées d'immatures sur ce secteur dont la dangerosité est connue sont hautement préjudiciables à l'avenir de cette espèce qui bénéficie d'un Plan national d'actions en application du Grenelle de l'environnement", souligne dans le communiqué les associations et institutions chargées de la protection de cette espèce.Les acteurs de ce plan en faveur de la restauration de l'aigle de Bonelli avancent que des "solutions techniques simples permettent d'atténuer la dangerosité des lignes". "Mais l'action des compagnies en charge du transport de l'électricité est insuffisante pour limiter de manière significative la menace", déplorent-ils. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 janvier 2011 STOCKHOLM, 5 jan 2011 (AFP) - Entre 50 et 100 oiseaux ont été retrouvés mystérieusement morts dans la nuit de mardi à mercredi éparpillés sur une route à l'entrée d'une petite ville du sud-ouest de la Suède, après une série de chutes de milliers d'oiseaux dans le sud des Etats-Unis.> "Le vétérinaire du district est venu vers 08H30 (07H30 GMT) et a prélevé cinq oiseaux pour les analyser" avec des résultats attendus sous 24 ou 48 heures, a-t-il expliqué.Les photos de témoins publiées par les médias suédois montrent les oiseaux éparpillés au milieu de la route sur plusieurs dizaines de mètres, apparemment après être tombés du ciel.L'incident inexpliqué de Falköping intervient après deux "pluies" d'oiseaux morts aux Etats-Unis - une première de plusieurs milliers de carouges à épaulettes en Arkansas ce week-end puis une autre mardi de 500 autres oiseaux en Louisiane.Selon les autorités de l'Arkansas, les premiers prélèvements n'indiquent aucun signe de maladie et les volatiles sont certainement morts de peur.La peur de feux d'artifices dans la nuit du 31 décembre ou de coups de canons utilisés pour se débarrasser d'oiseaux nuisibles pourrait avoir provoqué l'envol massif de ces oiseaux à mauvaise vision nocturne, qui se seraient ensuite tués en heurtant des maisons et des arbres.Selon des témoignages recueillis par les secours et cités par les médias suédois, des feux d'artifice ont été tirés mardi soir à Falköping. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 6 janvier 2011 Entre 50 et 100 oiseaux ont été retrouvés morts, dans la nuit du mardi 4 au mercredi 5 janvier, éparpillés sur une route à l'entrée d'une petite ville du sud-ouest de la Suède, après une série de chutes de milliers d'oiseaux dans le sud des Etats-Unis, en Louisiane et dans l'Arkansas. Dans les deux cas, un grand nombre des volatiles découverts portaient des traces de blessures traumatiques. Frédéric Jiguet, ornithologue au Museum national d'histoire naturelle, revient sur les causes probables du phénomène. Quelle est, selon vous, l'explication la plus probable à la mort de ces oiseaux ?Les étourneaux et les carouges trouvés dans l'Arkansas sont des oiseaux qui volent en grand groupe de manière coordonnée : chaque oiseau se fie au déplacement de son voisin pour adapter son vol, décider d'un petit déplacement à gauche ou à droite. Ils utilisent ce mode de déplacement parce qu'ils savent le gérer, parce que c'est la meilleure solution pour eux. Il paraît donc improbable qu'il se soient tous heurtés à des obstacles, en plein vol et de manière consciente, à quelques instants d'intervalle : le choc subi par les premiers aurait alerté leurs voisins.D'après les premières images, j'imagine donc qu'ils ont plutôt été 'étourdis' en vol par un choc sonore ça peut être un feu d'artifice ou le 'bang' supersonique d'un avion, par exemple et se sont tués en atterrissant violemment sur le sol. Cette hypothèse est cohérente avec les traumatismes constatés, qui seraient simplement liés à la chute. Elle est aussi renforcée par la trouvaille similaire faite en Suède, où certains oiseaux étaient vivants : il s'agit d'oiseaux plus gros et qui auraient donc mieux résisté à la chute. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 11 janvier 2011 < BUCAREST, 11 jan 2011 (AFP) - Des dizaines d'oiseaux retrouvés morts samedi à Constanta (sud-est de la Roumanie), suscitant des craintes d'une maladie mystérieuse, ont succombé aux effets de l'alcool, après avoir ingurgité du marc de raisins, a annoncé mardi l'autorité sanitaire-vétérinaire (DSVSA).> Selon lui, la cause du décès a été déterminée après l'analyse du contenu du gésier des volatiles.Samedi, des habitants de Constanta avaient alerté les autorités après avoir découvert sur un terrain vague une trentaine d'étourneaux morts, craignant qu'ils aient été tués par la grippe aviaire.Cette découverte était intervenue dans le contexte d'informations faisant état de la mort soudaine de quantités massives d'oiseaux et de poissons dans plusieurs pays, dont les Etats-Unis, la Suède, la Grande-Bretagne et le Japon. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 janvier 2011 Publiée dans l'International Journal of Avian Science, une étude hispano-canadienne menée sur 10 ans révèle la façon dont le harfang, un hibou boréal, utilise la brillance de son plumage blanc pour signaler sa présence à ses congénères.Le harfang (Bubo scandiacus), un hibou des régions subarctiques, utilise le reflet du soleil sur son plumage clair pour être vu de ses congénères et protéger ainsi son territoire : c'est ce qu'ont découvert des chercheurs de l'Université du Saskatchewan (Canada) et du Muséum de sciences naturelles d'Espagne (CSIC), lors d'une étude du comportement et de l'écologie de ces oiseaux, durant 10 hivers. Avec une véritable "science intuitive" de la réfraction, ces volatiles, dont la couleur varie du brun au blanc immaculé, gèrent leur position pour optimiser les reflets lumineux et donc l'intensité du signal visuel : les individus les plus tachetés - donc les moins éclatants - se perchent le plus haut possible (notamment sur des poteaux électriques) pour bénéficier du meilleur ensoleillement, tandis que les plus blancs - mâles et spécimens âgés - restent près du sol, utilisant la réfraction des rayons solaires sur la neige pour augmenter l'effet de brillance. Tous se positionnent face au soleil, pivotant au fur et à mesure de la course journalière de l'astre pour maintenir cet effet. Un comportement que permet une adaptation biologique : zones claires du plumage réparties essentiellement sur la face, la gorge et le poitrail, et plumes formant des "cils" protecteurs contre l'éblouissement. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 janvier 2011 Dans la revue IBIS, un naturaliste suisse s'inquiète de l'impact des sports d'hiver sur la santé et le confort du grand tétras, un oiseau emblématique qui passe la mauvaise saison à proximité des stations de ski des Alpes. "Les écosystèmes alpins à travers l'Europe sont restés relativement préservés jusqu'au début du siècle dernier, mais aujourd'hui les secteurs d'activités humaines de plein air coïncident avec les habitats hivernaux de plusieurs espèces timides et menacées. Le grand tétras a subi un rapide déclin de ses populations ces dernières décennies", explique Dominik Thiel, de l'Institut ornithologique suisse. Son équipe a suivi des populations de ces oiseaux, aux environs de stations de sports d'hiver suisses et allemandes durant deux saisons consécutives. Les 1.130 échantillons de fiente analysés révèlent une augmentation du taux d'hormones du stress chez les volatiles. L'hiver est la période où les oiseaux ont les plus grands besoins énergétiques, et où ils doivent pourtant se contenter d'une rare nourriture, telle que les aiguilles de pin. Prendre la fuite lorsqu'ils sont dérangés par des gens occasionne un grand surcroît de dépense énergétique. "L'hiver est toujours la saison le plus énergétiquement exigeante de l'année pour n'importe quelle espèce survivant dans les montagnes. Le fait que cela coïncide avec une perturbation humaine intense a des implications physiologiques et comportementales claires pour le grand tétras", conclut Dominik Thiel. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 19 janvier 2011 La police colombienne a annoncé avoir capturé un pigeon qui tentait d'introduire de la drogue en prison. On a beau être en 2011, certaines méthodes ancestrales restent au goût du jour. En Colombie, par exemple, les criminels utilisent encore des pigeons voyageurs. Pas pour transmettre du courrier, non, plutôt de la drogue. C'est ce qu'a découvert la police de Bucaramanga, ville située dans le Nord-Est du pays, en tombant sur un pigeon qui transportait du cannabis et de la cocaïne. Trop gourmand, les passeurs avaient donné une charge un peu lourde (45 grammes) au volatile, qui n'a pas réussi à rentrer dans l'enceinte de la prison. "Nous avons trouvé l'oiseau à un pâté de maison de la prison, il essayait de voler avec un paquet mais en raison de son poids excessif il ne pouvait pas accomplir sa mission", a déclaré le chef de la police de Bucaramanga, Jose Angel Mendoza. La police locale avait déjà eu à faire à des pigeons-voyageurs de ce type par le passé. Ils étaient chargés d'introduire des cartes SIM... VIA : BBC News Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 janvier 2011 Publiée dans la revue Animal Cognition, une étude britannique montre chez le corbeau calédonien l'utilisation de petits bâtons pour tâter un objet inconnu : signe d'une intelligence exceptionnelle chez les oiseaux. La poursuite des recherches des scientifiques de l'Université d'Oxford sur le corbeau calédonien (Corvus moneduloides) montre que cet oiseau utilise une baguette comme extension de son bec pour explorer des objets nouveaux, donc potentiellement dangereux. L'utilisation de tels outils pour déloger les insectes d'un arbre avait déjà été constatée chez cette espèce, mais ce comportement d'investigation précautionneuse, non alimentaire, est relevé pour la première fois chez un oiseau. "Nous ferions la même chose au cours d'une promenade en forêt, en trouvant par hasard un objet étrange que nous n'avons jamais vu auparavant : il est plus sûr de le pousser avec un bâton qu'avec nos doigts !", explique le Dr Jo Wimpenny, dont l'équipe a présenté à un groupe de corbeaux de nouveaux objets, tels qu'un serpent en caoutchouc, un phare de vélo ou un pot de peinture. "Seules quelques espèce, autres que l'homme, utilisent des outils à des fins multiples, et nos observations sont passionnantes parce qu'elles suggèrent que le corbeau calédonien serait 'qualifié' pour rejoindre ce groupe restreint", conclut la scientifique. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 24 janvier 2011 L'Union Européenne va financer à 75 % la restauration d'une population d'outardes - le plus lourd des oiseaux volants - en Angleterre, d'où elles avaient disparu au XIXe siècle, victimes d'une chasse excessive. Ce sont 1,8 million de livres sterling que l'Union Européenne va investir dans le suivi et la protection d'une petite population d'outardes au Royaume-Uni, couvrant ainsi 75% d'un projet incluant l'équipement de 16 de ces oiseaux avec des émetteurs GPS, la plantation locale de plantes attirant les insectes dont ils se nourrissent, une étude et une surveillance par des biologistes. Avec jusqu'à un mètre de hauteur et 2,40 mètres d'envergure pour le mâle, la grande outarde (Otis tarda), victime de son succès auprès des chasseurs, avait disparu d'Angleterre depuis 1932. Réintroduite à Salisbury Plain (Wiltshire) en 2004 à partir de poussins prélevés en Russie, l'espèce compte une population d'environ 18 individus au Royaume-Uni. Un succès, puisque les premiers poussins y ont vu le jour en 2009 : le résultat des efforts du Great Bustard Consortium, fondé en 2004 et regroupant le Great Bustard Group, l'Université de Bath, la Société royale pour la protection des oiseaux et l'ONG Natural England. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 janvier 2011 Max» la cigogne est sur le chemin du retour Image Heide BürgermeisterLa cigogne blanche «Max» a décidé de revenir au bercail. Le 15 janvier dernier, elle a quitté l’agréable climat tempéré de son quartier d’hiver près de Madrid pour revenir affronter le froid qui glace l’Europe centrale. Anne Hemmer - le 25 janvier 2011, 08h44LeMatin.chhttp://www.lematin.ch/actu/monde/max-cigogne-chemin-retour-377891En une première étape, elle a parcouru environ 100 km. Le lendemain, après un vol de près de 150 km, elle est arrivée à Tudela, où elle est restée quelques jours. Elle s’est ensuite rendue 70km vers le sud-est pour passer le week-end dans la ville de Saragosse. Difficile cependant de dire si ses trois petits, nés en avril dernier, sont avec elle. «C’est même impossible, vu que les cigogneaux ne sont pas balisés », explique André Fasel, directeur du Musée d’histoire naturelle de Fribourg et coresponsable du suivi satellitaire de cet oiseau avec son collègue biologiste Adrian Aebischer. La célèbre cigogne va sans doute rejoindre son nid de Tüfingen (D), au nord du lac de Constance. Son arrivée est attendue dans environ un mois. Le 20 mai prochain, la cigogne blanche fêtera ses 12 ans. «Un bel âge», ajoute André Fasel. «Ce qui explique qu’elle prenne son temps pour effectuer ses migrations.» Suivi depuis sa naissance à Avenches (VD) en mai 1999, «Max» est la doyenne des animaux portant une balise Argos. Il est possible de la suivre par satellite et de la localiser dans de bonnes conditions, jusqu'à moins de 150 m. Accompagnez «Max» tout au long de son retour au bercail sur le site du Musée d'histoire naturelle de Fribourg. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 janvier 2011 Candé-sur-Beuvron, dans le Loir-et-Cher. La conductrice (38 ans), originaire d'Amboise, roule normalement sur la départementale 135, lorsqu'elle voit un oiseau passer devant son pare-brise, raconte La Nouvelle République.Surprise et affolée, elle donne brusquement un coup de volant. Mais ce n'était sans doute pas le bon réflexe ! Elle se retrouve ensuite en contrebas de la route dans un fossé. Les gendarmes ont été prévenus et se sont rendus sur place faire les constatations. L'état de la conductrice a nécessité son transport par les pompiers à l'hôpital de Blois. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 janvier 2011 Le concours photo The World's Rarest Birds met à l'honneur les oiseaux rares immortalisés par des photographes originaires des quatre coins du monde, qui arpentent le globe en long, en large et en travers. Jugées par un jury constitué d'ornithologues, de photographes et d'artistes renommés, les images ont été sélectionnées selon plusieurs critères, dont la qualité de la photo, la rareté de l'oiseau photographié et l'esthétique de l'image. Chaque année, ce sont deux gagnants qui sont sélectionnés : l'un dans la catégorie oiseaux désignés menacés, et l'autre dans la catégorie oiseaux désignés disparus à l'état sauvage. Et cette année, les deux photographes qui ont réussi à allier la rareté de l'espèce photographiée à la qualité de l'image sont Shane McInnes (pour les oiseaux désignés disparus à l'état sauvage), et Quan Min Li (pour les oiseaux désignés menacés). Alors que Shane McInnes a séduit le jury avec son Kakapo accroché à une branche, Quan Min Li a subjugué le jury avec cet oiseau en plein vol, aux couleurs à la fois orangées et grises. Et si tout le monde ne peut terminer premier, certains participants de ce prestigieux concours photographique international auront le privilège de figurer dans le livre Rare Birds Yearbook, l'unique guide photographique des oiseaux les plus rares et les plus menacés de la planète. Une jolie récompense. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 janvier 2011 Les milans noirs, des oiseaux de proie, utilisent pour confectionner leurs nids, des bouts de plastique blanc. Une technique qui, loin d'être pur esthétisme, est une façon pour eux de montrer leur puissance. Des chercheurs espagnols ont fait cette découverte et l'ont publiée dans la revue Science. Si voir un nid rempli de plastique nous rappelle combien la nature est polluée par l'activité humaine, les milans noirs ont su faire de cette pollution un moyen de protection. Les scientifiques se sont intéressés à ces nids plastifiés dans le parc national de Doñana, en Andalousie. Si certains oiseaux décorent leurs nids avec des cailloux pour attirer les femelles, les milans noirs construisent leur nid en couple et le décorent. Toutefois, tous ces rapaces ne remplissent pas leurs nids de bouts de plastique blanc, préféré aux autres couleurs par les milans noirs. Seuls les adultes les plus forts, âgés de sept à douze ans, confectionnent ainsi leur nid, afin de faire part de leur puissance à leurs pairs. Les oiseaux les plus jeunes et les plus vieux ne le font pas ou peu, ont constaté les chercheurs. Ainsi, les milans ayant les nids les plus décorés sont bien moins attaqués que les autres, la quantité de plastique témoignant de leur capacité à se défendre. Quant aux rapaces les moins puissants, ils ont pris soin de se débarrasser des morceaux de plastique que les chercheurs avaient déposés dans leur nid. "Cela s'explique par le fait que les oiseaux doivent passer un test social au cours duquel leurs pairs vérifient s'ils mentent ou non", note Fabrizio Sergio, écologiste pour la Station Biologique Doñana. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 janvier 2011 CITE DU VATICAN (Saint-Siège), 30 jan 2011 (AFP) - Deux colombes symbolisant la paix libérées par le pape Benoît XVI dimanche lors de la prière de l'Angelus ont refusé de s'envoler et se sont aussitôt engouffrées dans une fenêtre ouverte du Vatican, a constaté un photographe de l'AFP.> Le pape était accompagné par deux jeunes de l'Action catholique de Rome (A.C.R.) qui célèbre en janvier le "mois de la paix", qui ont tenté aussi de rattraper les colombes.Le pape a marqué la 3ème Journée internationale d'intercession pour la paix en Terre Sainte, appelant "tout le monde à prier le Seigneur pour qu'il concentre les coeurs et les esprits vers des plans concrets de paix". Il a aussi souhaité aux peuples de l'Extrême-Orient "sérénité et prospérité" à l'occasion de la célébration du Nouvel An chinois.Il n'a fait aucune allusion aux tensions en Egypte. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 février 2011 Cet homme passionné par les oiseaux a décidé d'offrir à nos amis à plumes de véritables hôtels de luxe en guise d'abris pour l'hiver. Ces étonnants refuges pour oiseaux ont été imbécileçu par John Looser, un charpentier de 46 ans vivant à Toronto au Canada. Retiré du monde du travail après avoir bâti durant 20 ans des maisons pour les humains, John Looser a décidé de mettre tout son savoir-faire et son talent dans la construction d'abris en bois pour s'adonner à ses deux passion : le bois et les oiseaux ! Véritables palaces, ces immenses refuges permettent ainsi à John de rester constamment occupé. Souffrant d'insomnies, John Looser travail ainsi près de dix heures par jour à construire ces magnifiques maisons en bois pour oiseaux, inspirées par l'architecture victorienne et européenne. Ainsi, elles peuvent accueillir près de 103 sortes d'oiseaux différents, ce qui rend le charpentier très heureux de voir ainsi son travail obtenir un tel succès auprès des volatiles ! Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 février 2011 zoo d'Adelaide, dans le sud de l'Australie, compte un nouveau résident depuis octobre 2010 : un petit cacatoès de palme. C'est le premier de son espèce à voir le jour et à grandir depuis 1973 dans le pays. Le 5 octobre dernier, un oeuf a éclos au zoo d'Adelaide, en Australie. En est sorti un petit oiseau rare, un cacatoès de palme, le premier à survivre après sa naissance dans un zoo du pays depuis près de 40 ans. Pendant les premiers temps, l'oiseau a été placé dans une couveuse et était nourri toutes les heures et demie. La femelle doit encore être nourrie par le personnel du zoo pendant les cinq ou six prochains mois. Comme c'est un animal qui vit dans les régions chaudes, il a dû être placé dans un environnement dont la température moyenne avoisine les 35°C. Dix jours après sa naissance, le cacatoès a ouvert ses yeux pour la première fois, et une semaine plus tard, celui-ci a vu ses premières plumes apparaître. A 86 jours, il a effectué son premier vol, très court mais gracieux, selon le zoo. La prochaine étape pour l'oiseau ? Rencontrer ses parents qui lui apprendront à s'intégrer et à se rendre sociable. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 février 2011 NEW YORK, 8 fév 2011 (AFP) - Des centaines d'outardes (ou bernaches du Canada) ont été euthanasiées l'an dernier à New York afin d'éviter la répétition d'une collision avec un avion, comme celle qui s'était terminée par l'amerrissage d'un Airbus dans l'Hudson, a révélé mardi le New York Times.> L'opération a permis de réduire de 89% la population des outardes vivant à proximité des deux aéroports, mais le nombre de ces animaux migrateurs s'est à nouveau envolé et une nouvelle élimination massive est prévue, selon le rapport."L'administration fédérale de l'aviation et l'armée de l'air des Etats-Unis observent une tolérance zéro à l'égard des bernaches du Canada aux aéroports ou à proximité des aéroports, en raison de la forte probabilité de dommages aux aéronefs", martèle le ministère de l'Agriculture.La lutte contre ces volatiles a commencé à la suite de la collision de janvier 2009 entre un appareil qui venait de décoller de La Guardia et un vol d'outardes. Les corps des volatiles avaient provoqué l'étouffement des réacteurs, mais le pilote était parvenu à poser son avion dans l'Hudson avec 155 personnes à bord, dont toutes ont survécu. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 février 2011 < WASHINGTON, 17 fév 2011 (AFP) - Des dizaines de milliers de personnes aux Etats-Unis et au Canada participeront ce week-end au recensement annuel des oiseaux sauvages du continent nord-américain, organisé par plusieurs sociétés de protection des oiseaux.> Les participants à l'édition 2010 ont notamment vu plus de 1,8 million de merles d'Amérique et un phaéton à bec rouge a été observé près de San Diego (Californie) pour la première fois depuis que ce recensement annuel a été créé il y a 14 ans.Les ornithologues bénévoles ont également apporté la preuve de l'invasion inquiétante du continent par les tourterelles turques, un oiseau qui a été vu dans 39 Etats américains l'an dernier contre neuf seulement en 1999.Ils ont aussi constaté une chute vertigineuse du nombre de goélands à ailes grises sur la côte Pacifique.Les participants à ce recensement, qui se déroulera du 18 au 21 février, doivent observer et compter les oiseaux à l'endroit de leur choix pendant au moins 15 minutes et remplir un formulaire en indiquant le nombre d'oiseaux observés et leur espèce.kdz/cel/sj Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 février 2011 Comme chaque année, plusieurs associations de protection des oiseaux s'apprêtent à lancer une vaste opération de recensement aux Etats-Unis et au Canada. Des milliers de personnes sont attendues ce week-end pour y participer. L'année dernière, plus de 97.000 listes d'oiseaux sauvages avaient ainsi pu être transmises à la société Audubon, à Etudes d'oiseaux Canada et au laboratoire d'ornithologie de l'université Cornell. 602 espèces avaient alors été recensées, sur les 11,2 millions d'oiseaux observés pendant les trois jours de l'opération, rapporte Romandie.com. Un phaéton à bec rouge, jamais observé depuis le lancement de cette opération en 1997, avait été aperçu près de San Diego en Californie, tandis que l'invasion du continent par les tourterelles turques avait été constatée. Cet oiseau avait en effet été observé dans 39 Etats américains, quand en 1999, seuls neuf Etats abritaient ce volatile. L'édition 2011 de ce recensement entend faire encore mieux, et des milliers d'ornithologues bénévoles sont attendus pendant le week-end, pour observer et compter les oiseaux sauvages. Chacun se positionnera dans une zone qu'il aura lui-même choisi, et devra y rester pendant un quart d'heure au moins, afin de remplir un formulaire dans lequel il indiquera les conclusions de ses observations. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 février 2011 Du fait d'un cruel manque de nourriture, les rapaces volant au Canada tomberaient du ciel ou ne seraient plus capables de contourner des obstacles, trop épuisés. Les aigles et pygargues souffrent sont affamés au Canada. Sans nourriture, les rapaces sont épuisés, affaiblis, et tomberaient du ciel du fait de leur manque de force, explique le journal Globe and Mail. Ainsi, plusieurs écologistes ajoutent que si les oiseaux ne sont plus capables de voler, ils tomberaient également des arbres, ne pouvant même plus rester accrochés aux branches. Les vétérinaires canadiens tentent tant bien que mal de soigner ces oiseaux, même s'ils ont du mal à cacher leur surprise comme Maj Birchn qui explique : "Il ne faut pas chercher après ces aigles affamés, il suffit d'avancer, de vous pencher et d'en ramasser". Si habituellement les rapaces se nourrissent des saumons et de leurs oeufs lorsque les poissons remontent les rivières canadiennes, la diminution du nombre de ces poissons dans les eaux cette année pourrait être à l'origine de la souffrance des rapaces aujourd'hui. De son côté, Robin Campbell, qui travaille dans un refuge pour animaux, alerte l'opinion publique sur ce qui tue également ces oiseaux affamés : "Les gens jettent des animaux empoisonnés dans les dépotoirs et les aigles viennent les manger car ils sont affamés, ça les achève", expliquant que parfois, 1.300 aigles morts sont observés en une seule journée. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 28 février 2011 Des scientifiques finlandais indiquent que pour faire face au réchauffement climatique, les hiboux prenaient, au fil du temps, une couleur de plus en plus brune. La couleur du plumage est héréditaire. Chez les hiboux, les plumes de couleur grise dominent sur celles qui sont brunes (un couple où le hibou est brun et la chouette grise donne des hiboux gris). Mais une récente étude publiée par la revue Nature montre que le nombre de chouettes possédant un plumage marron était en augmentation. Selon les auteurs de l'étude, les hivers plus doux tendent à faire disparaître le plumage gris des hiboux. Ceux-ci s'adaptent au changement climatique. L'étude est basée sur des informations collectées depuis 30 ans par une équipe de chercheurs finlandais. Etant donné que le plumage d'un hibou reste le même tout au long de sa vie, l'analyse des données a permis aux scientifiques de classer les hiboux et leurs descendants en fonction de leur plumage. Avec le réchauffement climatique, la neige est de moins en moins présente et les hiboux gris se fondent désormais difficilement dans un paysage moins enneigé qu'auparavant. Les résultats suggèrent également que le changement climatique pourrait entraîner une diminution du brassage génétique chez différentes espèces. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 1 mars 2011 Un retraité américain de 65 ans et une oie sont follement tombés amoureux l'un de l'autre. Devenus inséparables, leur idylle pourrait être remise en question suite à des travaux prévus prochainement dans le parc où réside l'animal. Relayée dans les médias américains, une incroyable histoire d'amour a vu le jour à Los Angeles entre un retraité de 65 ans et une oie vivant dans un parc public de la ville. Débuté au printemps dernier, à force de promenades et de chips, les deux compagnons se sont liés. Chaque fois que Dominique se promène, l'oie Maria le suit partout, ne laissant personne s'approcher, humain ou animal. Les deux comparses sont tellement unis que même lorsqu'il prend son scooter, le gallinacé suit son compagnon en volant à ses côtés. Le retraité doit alors fermer la grille du jardin public lorsqu'il rentre chez lui le soir pour éviter que l'animal ne le suive. Les journalistes se sont rapidement intéressés à cette affaire, interviewant l'homme sur son idylle : "Je ne pensais pas que je tomberais amoureux à 65 ans, qui plus est d'une oie. Je dois l'avouer, Maria est dans mon coeur". Par amour, il ne mange d'ailleurs plus de volailles. Seulement, une décision municipale pourrait mettre à mal cette relation. La ville souhaite faire des travaux dans le parc où réside Maria, et a prévu d'assécher un point d'eau du parc public. Dominique aimerait bien amener son amie avec lui dans l'Oregon, mais l'animal reste la propriété de la ville... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 mars 2011 http://www.20minutes.fr/article/682580/planete-les-oiseaux-migrateurs-decimes-plate-formes-off-shore Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 mars 2011 Frapper une chouette : un acte impardonnable !Luis Moreno, membre de l'équipe de football le Deportivo Pereira, a shooté la mascotte de l'équipe adverse, l'Atlético Junior Baranquilla, lors d'une rencontre en Colombie. La chouette n'a pas survécu au mauvais traitement dont elle a été victime...L'oiseau se retrouve sur le terrain de football alors que le match n'est pas encore terminé. Visiblement désorienté, ce dernier reste au sol et est violemment percuté par le ballon tiré par un joueur. La chouette est alors assommée et se retrouve sur le dos. C'est alors que Luis Moreno décide de "virer" l'animal à coup de pied. Pourquoi ne l'a-t-il pas tout simplement pris et rendu à ses propriétaires en bordure de terrain ? "Une association locale de défense des animaux a demandé que le joueur soit suspendu par son club", écrit l'Equipe.fr. L'affaire remonte jusqu'à la Fédération Colombienne de Football. Face à cet acte cruel, elle prononce une sanction à l'encontre de Luis Moreno : une suspension pour deux matchs et une amende de 1 070 200 pesos, soit 401 euros... Mais l'histoire n'est pas terminée. En effet, l'Atlético Junior Baranquilla menace le joueur de le poursuivre en justice pour homicide volontaire sur leur mascotte. La SPA, atterrée par les faits, félicite la Fédération Colombienne de Football pour les sanctions prises contre le sportif. Cependant, cela reste globalement léger pour ce type de "crimes". L'Association rappelle que, en France, les sévices graves et les actes de cruauté sont punis de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende par l'article 521-1 du Code pénal. Source : SPA20/03/2011 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 mars 2011 Un jour d'école, un enfant et un oiseau sont devenus amis. Depuis, le volatile s'est installé au domicile de l'enfant, et ce dernier est ravi d'avoir cet ami un peu particulier. Un jour, alors qu'Emmanuel Adams est en train de marcher vers l'école, un oiseau se pose sur sa tête. Ce fait aurait pu être anodin si une amitié ne s'était pas créée depuis entre les deux compères. Aujourd'hui, le choucas s'est même installé au domicile de l'enfant, et se perche sur ses épaules pour regarder la télévision avec lui lorsqu'il rentre de l'école. "A chaque fois que je marche vers l'école ou que j'en reviens, il vient sur mon bras", explique Emmanuel à Metro.co.uk. Les dirigeants de l'école St Mary's RC, où Emmanuel est scolarisé, explique quant à eux que l'oiseau harcelait les élèves en les piquant aux épaules depuis janvier, jusqu'à ce qu'il croise son nouvel ami.La mère de l'enfant, Carolyn, explique que l'histoire de son fils étonne beaucoup de monde : "Un chauffeur de camion a eu un accident alors qu'il le regardait. Il était tellement étonné !". Aujourd'hui, la petite famille compte bien se renseigner auprès de professionnels afin de pouvoir bien s'occuper complètement du choucas. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 mars 2011 Wisdom, sage femelle albatros d'une soixantaine d'années, a survécu au tsunami, a annoncé lundi le service américain de protection de la faune. Les ornithologues s'en réjouissent d'autant plus qu'elle est considérée comme le plus vieil oiseau sauvage d'Amérique. Ils l'ont repérée en compagnie de son dernier-né il y a quelques jours au large de Sand Island, l'une des îles de l'archipel de Midway balayée par un raz-de-marée de 1,5 mètre déclenché par le séisme du 11 mars au Japon. Le tsunami a tué quelque 2.000 albatros adultes et 110.000 oisillons dans le refuge national de Midway, situé dans le Pacifique Nord, entre Hawaï et Tokyo. Wisdom a été munie d'une balise pour la première fois en 1956, quand elle avait alors cinq ans environ. Les scientifiques estiment qu'elle a parcouru près de cinq millions de kilomètres depuis sa naissance. Son dernier-né, le 35e estime-t-on, est âgé de quelques semaines. Jorene Barut, Jean-Stéphane Brosse pour le service français Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 mars 2011 PARIS, 25 mars 2011 (AFP) - Une trentaine de cadavres de milans royaux retrouvés en 2010 en France, neuf depuis début 2011, probablement empoisonnés: des écologistes s'inquiètent vendredi pour l'avenir de ce grand rapace qui figure déjà parmi les espèces vulnérables dans l'Hexagone.> D'après la LPO, les autopsies réalisées sur 7 des 9 cadavres découverts cette année ont révélé "un tableau lésionnel compatible" avec une intoxication aux insecticides ou molluscicides.En 2010, 28 cadavres de milans royaux avaient été décomptés sur le territoire national, "la majorité victimes d'empoisonnements", poursuit la LPO, qui dénonce notamment des cas d'intoxication au carbofuran, un insecticide pourtant interdit à la vente en France depuis décembre 2008."Il est donc certain que ces empoisonnements correspondent à des actes volontaires dirigés contre la faune sauvage et particulièrement contre ceux dénommés à tort comme +nuisibles+" (renards, fouines, rapaces)", écrit Allain Bougrain Dubourg.La population nicheuse du milan royal, rapace diurne d'une envergure qui peut atteindre les 1m65, a diminué de 20% entre 2002 et 2008. Ce rapace figure désormais parmi les espèces vulnérables en France, qui abrite la deuxième population mondiale après l'Allemagne (2.650 couples nicheurs)."Concrètement, la LPO exige que les produits chimiques dangereux pour la faune sauvage soient bannis, que ceux interdits en France ne circulent plus librement sur notre territoire et que des sanctions soient prises à l'encontre des auteurs de ces faits délictueux". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 mars 2011 Royaume-Uni - Publiée dans la revue Evolution, une étude britannique montre l'évolution, au fil du temps, des mécanismes permettant au coucou de "squatter" le nid d'autres espèces en y pondant ses propres oeufs, et des moyens de défense de ses hôtes involontaires. Oiseau opportuniste, le coucou abuse les autres oiseaux en pondant dans leur nid pour leur faire couver ses propres oeufs puis nourrir ses propres oisillons. Une technique surprenante que des chercheurs britanniques ont tenté de comprendre en développant un "simulateur d'oeil d'oiseau".En effet, "les oiseaux ont, dans la rétine, quatre types de ces cellules sensibles à la couleur, connues sous le nom de cônes, tandis que les humains n'en ont que trois. Ce cône supplémentaire est sensible aux longueurs d'onde ultraviolettes. En conséquence, les oiseaux peuvent voir un plus large éventail de couleurs que les humains", explique Mary Cassie Stoddard, du Département de zoologie à l'Université de Cambridge. L'appareil créé utilise donc la spectroscopie ainsi que des modélisations de couleurs, afin d'appréhender la perception qu'ont les oiseaux de différents types de coquilles d'oeuf. Les chercheurs ont alors découvert que, vu ainsi, l'oeuf pondu par le coucou dans le nid du rouge-queue, l'une de ses "victimes" habituelles, est presque identique à l'oeuf de ce dernier. Pourtant, le rouge-queue est l'une des espèces qui savent le mieux "démasquer" les oeufs intrus et s'en débarrasser : d'où la nécessité pour le coucou d'un mimétisme perfectionné. En revanche, dans le nid d'un oiseau appelé l'accenteur mouchet, dont l'oeuf est bleu, le coucou pond un oeuf blanc tâcheté de brun, visiblement très différent. Plus facilement bernée, cette espèce accepte fréquemment les oeufs étrangers, d'où l'inutilité d'un 'effort' de mimétisme de la part du squatteur. Evoluer pour mieux se défendre ? Les chercheurs pensent que les hôtes naïfs, comme l'accenteur mouchet, en sont encore aux premiers stades de cette "course aux armem... lire la suite de l'article sur Maxisciences Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 28 mars 2011 Océan Indien - Publiée dans le Journal of Avian Biology et réalisée par des chercheurs canadiens, une analyse de l'ADN de l'albatros d'Amsterdam, qui ne vit que sur l'île australe du même nom, confirme que cet oiseau est bien une espèce à part entière, et non une variante de l'albatros hurleur, son plus proche parent. 3,50 m d'envergure, un poids de 8 kg, et seulement 170 individus au monde : l'albatros d'Amsterdam est grand par la taille et petit par le nombre. C'est même l'espèce la plus rare de sa catégorie, depuis que le Dr Theresa Burg et ses collègues de l'Université de Lethbridge (Canada), décidés à lever 20 ans de controverse scientifique à son sujet, ont examiné son ADN et confirmé finalement son statut d'espèce à part entière. Certains zoologistes le considéraient en effet comme une simple sous-espèce de l'albatros hurleur dont il diffère pourtant : "Ils sont légèrement plus petits en taille, ils pondent leurs oeufs à une période différente de l'année, et ont un plumage un peu plus brun que l'albatros hurleur", explique le Dr Burg, qui précise que, selon l'analyse génétique, les deux lignées se sont séparées il y a 265 000 ans. Découverts en 1983 sur l'île française d'Amsterdam, dans l'océan Indien, leur unique habitat, les albatros d'Amsterdam sont menacés par les engins de pêche à la palangre dans lesquels ils ses prennent accidentellement, et par la prédation d'animaux domestiques - relâchés sur l'île - sur les aires de nidification. De plus, l'espèce ne compte que 18 à 26 couples reproducteurs, ne pondant un oeuf que tous les deux ans. Les scientifiques espèrent que ces oiseaux, maintenant reconnus comme étant uniques, vont bénéficier de mesures de protection. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 mars 2011 TALLINN, 30 mars 2011 (AFP) - Près de 400 cygnes restés pour l'hiver à Tallinn ont survécu au froid et à la neige, a annoncé mercredi l'Association estonienne pour la protection des animaux, tandis que l'hiver précédent avait fait 150 morts parmi ces grands oiseaux migrateurs.> Selon elle, des hivers doux au cours des dernières années, ainsi que le comportement des admirateurs d'oiseaux mal informés qui ont continuellement nourri les cygnes, les ont dissuadés de migrer pour l'hiver.L'Association a ainsi lancé une campagne d'information, demandant aux gens de ne plus nourrir les cygnes à l'automne, en été et au printemps. En hiver par contre, les cygnes doivent être nourris avec du grain, et non pas avec du pain, indique l'organisation.Le problème se pose lorsque les températures descendent à moins 20 degrés Celcius. Les gens ne viennent plus nourrir les cygnes, alors qu'ils en ont le plus grand besoin, la mer gelée les empêchant de trouver de la nourriture.Selon les ornithologistes, environ 10.00O cygnes ont passé les derniers hivers en Estonie. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 mars 2011 @Choupi91 a écrit:TALLINN, 30 mars 2011 (AFP) - Près de 400 cygnes restés pour l'hiver à Tallinn ont survécu au froid et à la neige, a annoncé mercredi l'Association estonienne pour la protection des animaux, tandis que l'hiver précédent avait fait 150 morts parmi ces grands oiseaux migrateurs.> Selon elle, des hivers doux au cours des dernières années, ainsi que le comportement des admirateurs d'oiseaux mal informés qui ont continuellement nourri les cygnes, les ont dissuadés de migrer pour l'hiver.L'Association a ainsi lancé une campagne d'information, demandant aux gens de ne plus nourrir les cygnes à l'automne, en été et au printemps. En hiver par contre, les cygnes doivent être nourris avec du grain, et non pas avec du pain, indique l'organisation.Le problème se pose lorsque les températures descendent à moins 20 degrés Celcius. Les gens ne viennent plus nourrir les cygnes, alors qu'ils en ont le plus grand besoin, la mer gelée les empêchant de trouver de la nourriture.Selon les ornithologistes, environ 10.00O cygnes ont passé les derniers hivers en Estonie. ATTENTION - CORRECTION: avec coquille corrigée dans le titre ///> "Alors qu'environ 150 cygnes sont morts l'hiver dernier dans la baie de Tallinn, plus de 400 cygnes qui y sont restés cet hiver ont survécu", a déclaré à l'AFP Tania Selart, une des responsable de l'organisation.Selon elle, des hivers doux au cours des dernières années, ainsi que le comportement des admirateurs d'oiseaux mal informés qui ont continuellement nourri les cygnes, les ont dissuadés de migrer pour l'hiver.L'Association a ainsi lancé une campagne d'information, demandant aux gens de ne plus nourrir les cygnes à l'automne, en été et au printemps. En hiver par contre, les cygnes doivent être nourris avec du grain, et non pas avec du pain, indique l'organisation.Le problème se pose lorsque les températures descendent à moins 20 degrés Celcius. Les gens ne viennent plus nourrir les cygnes, alors qu'ils en ont le plus grand besoin, la mer gelée les empêchant de trouver de la nourriture.Selon les ornithologistes, environ 10.00O cygnes ont passé les derniers hivers en Estonie. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 avril 2011 Alors que l'hiver précédent avait fait 150 victimes parmi les cygnes restés dans la baie de Tallinn, en Estonie, près de 400 de ces oiseaux migrateurs ont cette année résisté au froid et à la neige, a affirmé l'Association estonienne pour la protection des animaux. "Alors qu'environ 150 cygnes sont morts l'hiver dernier dans la baie de Tallinn, plus de 400 cygnes qui y sont restés cet hiver ont survécu", a annoncé Tania Selart, une responsable de l'organisation de protection des animaux citée par le site de la fondation GoodPlanet. Comme elle l'explique, la baie de Tallinn a connu des hivers relativement doux ces dernières années, ce qui a sans doute contribué à convaincre les cygnes de ne pas quitter la baie pour l'hiver. En outre, de nombreuses personnes nourrissent les cygnes tout au long de l'année, un autre facteur qui a sans doute dissuadé les oiseaux de migrer, estime Tania Selart. L'Association de protection des animaux tente alors d'informer les habitants et visiteurs de Tallinn afin qu'ils cessent de nourrir les cygnes en automne, en été et au printemps. En revanche, ils sont invités à donner du grain, et non du pain, aux oiseaux restés dans la baie pour l'hiver. Mais bien souvent, lorsque la température descend trop, pour atteindre moins 20°C, plus personne ne vient nourrir les cygnes, quand ces derniers peinent à trouver à manger dans la mer gelée. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 avril 2011 WASHINGTON, 4 avr 2011 (AFP) - Une caméra perchée au sommet d'un arbre de l'Iowa (centre des Etats-Unis) fait vivre à des dizaines de milliers d'internautes fascinés l'intimité de la vie d'un aigle, filmé en direct nuit et jour par des passionnés de la nature.> Depuis cinq ans il a filmé ce nid d'aigles pour un documentaire. L'année dernière, il transmettait déjà des images via internet à des écoles et des universités grâce à un procédé mis au point par Xcel EnergyCette année, la diffusion de la vie de l'aigle, via le nouveau site de flux video "U Stream", s'est répandue comme une traînée de poudre.Quelque 150.000 spectateurs se branchaient ces derniers jours en même temps sur les images du couple d'aigles d'Amérique, perché sur son nid à 25 mètres de hauteur.Le vent, agitant les plumes de l'oiseau couvant ses petits indifférent à la caméra, demeurait souvent l'unique mouvement de ce spectacle étrange. Les dépouilles d'un rat musqué, d'un lapin, d'un corbeau et de deux truites gisent dans le nid."C'est un outil merveilleux d'enseignement de la nature. Les enfants découvrent les bons et mauvais côtés de la nature, que des animaux en mangent d'autres et que c'est la vie", a affirmé le biologiste Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 6 avril 2011 Depuis quelques temps, une caméra vidéo a été installée près du nid d'un couple d'aigles dans l'Iowa aux États-Unis. Les images sont retransmises en direct sur un serveur internet où se connectent un nombre impressionnant de spectateurs. Bob Anderson ne s'attendait pas à un tel succès lorsqu'il a initié ce projet. Responsable du Raptor Resource Project, il filme le nid d'un couple d'aigles depuis 5 ans pour un documentaire. Il a commencé à diffuser les images en direct l'an dernier pour des écoles et des universités, grâce à un procédé mis en place par Xcel Energy. Aujourd'hui, c'est via le site de flux vidéo "U Stream" que la vie des rapaces est retransmise sur le net 24h/24, attirant chaque jour de nouveaux internautes. "Pourquoi un tel succès ? Je ne sais pas, je pense que les gens veulent voir des choses positives, des choses qui les rendent heureux, ils s'accrochent à ça", explique Bob Anderson lors de son interview avec le journaliste Scott Laughlin pour wjbc.com. Récemment, près de 150 000 curieux ou amoureux de la nature se sont virtuellement retrouvés près des oiseaux, à 25 mètres de hauteur, pour les observer. Pourtant, il ne s'y passe pas grand-chose : le plus souvent, seul le vent fait bouger les plumes de l'aigle couvant ses petits. Parfois, sont visibles les dépouilles de petits animaux leur ayant servi de repas : rat musqué, lapin, corbeau, truites... Mr Anderson estime que c'est "un outil merveilleux d'enseignement de la nature", parce que "les enfants découvrent les bons et les mauvais côtés de la nature, que les animaux en mangent d'autres et que c'est la vie". Toutefois, tous les spectateurs ne sont pas des enfants, et le succès est pourtant bel et bien là. Lors du déroulement de son interview, le journaliste Scott Laughlin raconte son excitation lorsqu'il a vu, "en live", la femelle aigle pondre son troisième oeuf. Le direct permet aux plus chanceux d'être le témoin d'un moment privilégié, à condition d'être devant son écran au bon moment. La nat... lire la suite de l'article sur Zigonet Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 14 avril 2011 http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/14/1058543-Plaisance-du-Touch-On-a-vole-les-perroquets-du-zoo.html Trois oiseaux d'espèce protégée ont disparu d'une volière fermée à clé, au zoo de Plaisance. La valeur marchande élevée de ces animaux est probablement le mobile du vol.Jeannot, un perroquet à calotte rouge, pleure sa dulcinée Eva, dérobée dans la nuit de vendredi à samedi dans sa volière du zoo de Plaisance-du-Touch, en compagnie de Belinda et Colonel, un couple de youyous du Sénégal. Cette volière munie d'une vitrine est intégrée dans un bâtiment en « dur », et la seule sortie possible est la porte.« Elle était fermée à clé, et aucune trace d'effraction n'a été constatée », explique la direction du zoo. Il se pourrait donc que le voleur soit un familier des lieux.Jojo, retrouvé en 2008Une plainte a été déposée à la gendarmerie, et la vétérinaire du zoo a transmis le signalement des animaux au réseau des zoos français, ainsi qu'à la DDPP 31 (direction de la protection de la population, ex-direction des services vétérinaires) et à la Diren (Direction régionale de l'environnement). « Nous allons aussi communiquer auprès des éleveurs et professionnels de l'alimentation des oiseaux », souligne Sylvie Clavel.Ces oiseaux ont une valeur marchande relativement importante, de 500 à 800 €, ce qui peut expliquer la raison du vol. Mais attention, explique la vétérinaire, « ils peuvent être dangereux ». « Il y a 3 ans, on nous avait volé Jojo, un cacatoès. Il a été retrouvé une semaine plus tard sur un parking de supermarché. Très certainement parce qu'il avait mordu le voleur… »Les vols d'oiseaux se multiplient ces derniers temps dans les zoos français. Et les autres animaux ne sont pas épargnés : trois oustitis, dont le mâle dominant du groupe, avaient été dérobés en 2008 à Plaisance. Eux n'ont jamais été retrouvés.Toute personne ayant repéré ces oiseaux peut contacter le parc zoologique au 05 61 86 45 03. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 avril 2011 source télé animaux < VILNIUS, 21 avr 2011 (AFP) - Des ballons bleu et violet gonflés à l'hélium ont été accrochés dans les arbres d'une petite ville de Lituanie afin d'essayer de se débarrasser des corneilles dont les nuisances exaspèrent les habitants, a-t-on appris jeudi auprès de la municipalité.> "J'ai entendu des scientifiques dire que les corneilles n'aiment pas la couleur bleue et qu'elles n'aiment pas non plus qu'il y ait du mouvement dans les arbres, c'est pourquoi nous y avons installé environ 25 ballons", a indiqué à l'AFP un officiel de la ville, Antanas Karalevicius.D'autres mesures ont été essayées allant de la destruction des nids jusqu'à l'installation d'un système acoustique d'effarouchement des oiseaux, mais sans succès."Il fallait essayer quelque chose de nouveau", a expliqué Antanas Karalevicius.Les habitants n'en peuvent plus des corneilles locales."Leur croassement est tout simplement épouvantable et elles polluent tellement. Je pense qu'il vaut mieux des ballons que des coups de fusil", a déclaré à l'AFP Andrius Zimaitis, un habitant de Panevezys, interrogé par téléphone depuis Vilnius.Et si les effets de cette nouvelle arme de dissuasion restent à prouver, Antanas Karalevicius assure qu'il a remarqué une certaine "confusion" chez les corneilles dès le premier jour de cette expérimentation.Les ballons devraient flotter dans les arbres pendant au moins une dizaine de jours, a-t-il précisé.vab/jwf/ea/plh Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 avril 2011 Une étude menée par des chercheurs américains indique que la quantité de mercure présent dans l'océan Pacifique ne cesse d'augmenter depuis 120 ans. C'est l'analyse des plumes d'albatros à pattes noires, menacés par cette substance toxique qui a permis de faire ces mesures. Une étude publiée hier dans les Annales de l'Académie nationale américaine des sciences porte sur l'évolution des concentrations de mercure dans l'océan Pacifique. C'est en utilisant les plumes d'oiseaux vivants et d'oiseaux naturalisés vieux de 120 ans (de 1880 à 2002) que les scientifiques sont arrivés à la conclusion que de nombreuses espèces d'oiseaux marins étaient menacées. Comme l'explique un chercheur de l'université de Harvard, Michael Bank, "ces plumes d'oiseaux représentent d'une certaine façon la mémoire de l'océan et les résultats de nos analyses sont comme une photographie de la pollution au mercure dans le passé et le présent dans le Pacifique". Les résultats s'avèrent inquiétants car, comme le précise l'auteur principal de l'étude, Anh-Thu Vo, "cette région abrite plus d'espèces d'oiseaux marins menacés que les autres". Sciences et Avenir explique que la forme la plus toxique du mercure, le méthylmercure, a été retrouvée sur les plumes d'albatros. De plus, "nous commençons à détecter des concentrations élevées de méthylmercure [...] dans tous les écosystèmes : marins, d'eau douce et terrestres', ajoute le professeur Bank. Enfin, consommer des poissons intoxiqués est également une menace pour la santé des hommes puisque ce neurotoxique peut entraîner de sérieux problèmes sur le développement neuro-moteur des enfants. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 1 mai 2011 Publiée dans le Journal of Experimental Biology, une étude britannique donne des preuves expérimentales de l'existence de personnalités véritablement différentes chez les individus d'une espèce d'oiseau, les verdiers. Le Dr Kathryn Arnold, du Département de l'environnement à l'Université d'York, et Katherine Herborn, de l'Institut de biodiversité, de santé animale et de médecine comparée à l'Université de Glasgow, ont entrepris de classer les personnalités de 22 verdiers (des oiseaux apparentés aux chardonnerets et aux linottes). Elles ont d'abord testé le 'courage' de chaque oiseau : confrontés à un objet inconnu de couleur vive placé dans leur mangeoire, les plus hardis n'ont mis que quelques secondes pour surmonter leur peur et s'approcher de la nourriture, tandis que d'autres ont mis jusqu'à 30 minutes ! Puis, les scientifiques ont testé la curiosité des verdiers en attachant un objet 'intriguant' à leur perchoir et en chronométrant le temps mis par chaque individu pour se poser à proximité. Elles n'ont cependant trouvé aucune corrélation entre courage et curiosité. Enfin, mesurant certains indicateurs métaboliques, les chercheuses ont constaté que les oiseaux les plus timides avaient les plus hauts niveaux de toxines de l'oxygène sanguin et les plus faibles défenses contre elles, souffrant d'avantage du 'stress oxydatif' que les individus courageux. En outre, les verdiers les plus curieux avaient de meilleures défenses contre les dommages oxydatifs que les moins curieux. Kathryn Arnold veut poursuivre ce travail sur des volatiles sauvages, dans la nature : "Les oiseaux qui ont peur des choses nouvelles pourraient souffrir des coûts élevés du stress oxydatif et en mourir prématurément. Mais ils pourraient aussi être moins susceptibles d'être mangés par un prédateur, car ils sont plus circonspects que les sujets plus audacieux", spécule-t-elle. source : Maxisciences Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 mai 2011 source : yahoo actualités Les autorités britanniques viennent de décider de contrôler les populations de perruches moines échappées d'élevage avant qu'elles ne soient trop nombreuses. La principale association ornithologique du pays souhaiterait toutefois éviter l'abattage des oiseaux. "Elles ont le potentiel de se développer rapidement et pourraient constituer une menace pour l'agriculture et la sécurité publique", reconnaît ce représentant de la Société royale pour la Protection des Oiseaux (RSPB), évoquant les problèmes posés par les 150 perruches moines, originaires d'Amérique du Sud et issues d'élevages, qui ont commencé à coloniser la région londonienne depuis 1990. Constituant une menace pour l'agriculture en mangeant des fruits, ces oiseaux peuvent également évincer les espèces indigènes qui comptent sur les mêmes ressources, et construire des nids de très grande taille, notamment sur les pylônes électriques, qu'ils peuvent endommager. Pour prévenir les problèmes déjà posés dans d'autres pays, le ministère britannique de l'Environnement, de l'Alimentation et des Affaires rurales a déclaré que ces perruches devaient être mises sous contrôle avant qu'elles ne deviennent une nuisance. "Les mesures de contrôle comprendront le piégeage et la rapatriement, l'enlevage des nids, et le tir si nécessaire", a dit un porte-parole. La RSPB, elle, préfèrerait éviter ce dernier procédé. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 mai 2011 "Max" la cigogne prend soin de ses bébéshttp://www.lematin.ch/actu/suisse/max-cigogne-prend-soin-bebes-405568Image Les deux nouveaux-nés de "Max" sont la dixième couvée consécutive de leur maman.Anne Hemmer - le 02 mai 2011, 12h14LeMatin.ch"Max", la célèbre cigogne munie d’une balise Argos, s’applique à ravitailler ses deux bébés âgés de 2 semaines. Nés à la mi-avril, les cigogneaux sont la dixième couvée consécutive de leur mère. Celle-ci a élevé au total, entre 2002 et 2010, 26 jeunes, dont une bonne partie dans le village voisin de Tüfingen. Depuis plusieurs années, la région du nord du lac de Constance est le lieu de vie et de procréation de la cigogne, pourtant née à Avenches (VD). Pour que les deux derniers nés prennent leur envol, il faudra encore patienter jusqu’au début de l’été… Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites