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L'actualité de la faune marine

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Afrique - La Côte d'Ivoire et le Libéria, avec l'aide de l'ONU, ont pour projet de réaliser un corridor écologique transfrontalier pour protéger les mammifères africains et notamment les chimpanzés dont la population a considérablement diminué ces dix dernières années.



Ce corridor devrait être installé entre deux grands blocs de forêt dans la Haute-région de la forêt guinéenne, le Parc national de Sapo au Libéria et le Parc national de Taï en Côte d'Ivoire. Ces forêts de basse altitude, qui ont subi des années de guerre civile, constituent d'après le Programmes de Nations Unies pour l'Environnement (PNUE), "le plus grand bloc de forêt tropicale humide relativement intact en Afrique occidentale''. Elles abritent plus d'un quart des mammifères d'Afrique dont douze espèces de primates, une population de chimpanzés qui est passée de 15.000 individus en 2002 à moins 3.000 aujourd'hui, mais aussi des espèces rares telles que les hippopotames nains et les éléphants de forêt."Aujourd'hui, ces forêts offrent la possibilité unique d'être transformées en outil pour la conservation de la biodiversité et la consolidation de la paix" estime Camille Djitroh, de la Fondation pour les chimpanzés sauvages (WCF).Les 5 et 6 octobre derniers, ce projet a fait l'objet d'une première réunion à laquelle ont participé des représentants du Programme de l'ONU pour la survie des grands singes (GRASP), la WCF, ainsi que des agences de développement, des organismes non-gouvernementaux, et des porte-parole des communautés autochtones.

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Écosse - C'est un spectacle étonnant qu'un photographe amateur a pu immortaliser en images : deux dauphins jouant avec la proie qu'ils ont attrapée.



Alister Kemp, 43 ans, a vécu toute sa vie dans la région et déclare avoir observé des dauphins toute sa vie. "Ils viennent régulièrement chasser le saumon dans ces eaux, car les courants marins retiennent les poissons" raconte-t-il. M. Kemp affirme également que les dauphins peuvent passer des heures à jouer ainsi avec leur proie. Leur technique de chasse consiste à se disperser pour mieux encercler le saumon. Il y aurait environ 130 dauphins chassant le saumon dans les eaux écossaises. Pour voir les images : http://www.zigonet.com/dauphin/en-images-des-dauphins-jouent-avec-leur-prise_art8317.html

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Pays de Galles, Grande-Bretagne - Des dauphins ont été filmés alors qu'ils s'amusaient à jouer une sorte de match de football à l'aide d'une méduse. Ce sont des biologistes marins qui ont pu capturer ces images étonnantes.



Une équipe de biologistes marins qui étudiait les dauphins au large des côtes du Pays de Galles a eu la surprise d'apercevoir un dauphin nager sous une méduse avant d'éjecter celle-ci hors de l'eau à l'aide de sa queue. Les méduses étaient ainsi propulsées jusqu'à 1.80 mètre hors de l'eau. Il va sans dire que certaines d'entre elles ont trouvé la mort dans cette partie de "football" aquatique. Les scientifiques pensent que ce jeu remonterait à des centaines de milliers d'années. D'après ces derniers, cela pourrait expliquer pourquoi les dauphins en captivité dans les parcs aquatiques sont si habiles lorsqu'il s'agit de jouer avec des ballons.Un biologiste marin témoigne : "Ce comportement n'avait encore jamais été observé et nous fait nous poser plus de questions qu'il n'apporte de réponses." Et d'ajouter qu'une "chose est sûre, c'est [que les dauphins] s'amusaient." Voir la vidéo: http://www.zigonet.com/m%e9duse/des-dauphins-s-039-amusent-avec-des-meduses_art8459.htmlVoir les images : http://www.zigonet.com/dauphin/decouvrez-des-dauphins-jouer-avec-des-meduses_art8458.html

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Japon - L'aquarium de Shimane abrite trois baleines blanches, aussi appelées bélugas. L'une d'elles a été photographiée alors qu'elle s'amusait à recracher des bulles d'air. L



Les trois bélugas de l'aquarium de Shimane sont de véritables stars. Parmi les 10.000 autres animaux marins de l'aquarium, ce sont eux que le public vient voir avant tout. Et pour cause ! Ces cétacés aux caractéristiques physiques si particulières sont très sociables et joueurs.Celui-ci s'amuse à faire des ronds dans l'eau. Il recrache de l'eau par la bouche pour former un cercle, puis nage au-dessus ou en dessous de celui-ci.Voir les images : http://www.zigonet.com/baleine-blanche/decouvrez-un-beluga-s-039-amusant-a-faire-des-bulles_art8509.html

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Australie - Les autorités australiennes mettent en garde les touristes : un squale de grande taille, ayant déjà dévoré partiellement un autre requin long de 3 mètres, rôderait près des côtes du Queensland.



L'animal, probablement un autre grand blanc, mesurerait au moins six mètres de long et rôderait au large de Deadman's Beach. Le requin plus petit retrouvé par les gardes-côtes présente en effet des traces de morsure de taille impressionnante. Le ministre australien de la Pêche, Tim Mulherin, a déclaré : "L'officier qui a découvert le requin mort a été alarmé par ce qu'il a vu. Des marques de morsure massives, d'un rayon proche de 50 centimètres, qui ont pu arracher d'énormes morceaux de chair. Ces marques ont une forme triangulaire caractéristique indiquant qu'elles doivent avoir été faites par un autre grand blanc".
De nombreuses plages du Queensland sont protégées par des filets anti-requins, lesquels capturent également des cétacés et d'autres grandes espèces de poissons. Une situation dénoncée par les écologistes, mais que les pouvoirs publics refusent d'entendre, affirmant privilégier la protection des personnes.Découvrir les images : http://www.maxisciences.com/requin/un-requin-blanc-de-3-metres-partiellement-devore-par-l-039-un-de-ses-congeneres_art4224.html

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Boulogne-sur-Mer, France - Il y a quelques semaines est né le premier bébé manchot du Centre national de la mer Nausicaa. Il s'agit d'un manchot du Cap, dont les deux parents sont tous deux nés dans des zoos français.



A Nausicaa, chaque manchot reçoit un prénom, formé de deux syllabes maximum, qu'il va reconnaître rapidement et qui s'avère très utile lorsque le soigneur veut communiquer avec lui en particulier. Les prénoms ont toujours un rapport avec la mer, l'Afrique du sud (où le manchot du Cap, Spheniscus demersus, est bien représenté) ou tout simplement l'attitude si caractéristique de ces animaux. Particularité étonnante de ces oiseaux : il faut procéder à un test ADN pour déterminer leur sexe. Ce test s'effectue à partir d'une plume, et il faut attendre plusieurs mois pour pouvoir en prélever une au jeune manchot encore non sexué. Un prénom masculin et un autre féminin sont donc toujours prévus pour les jeunes animaux.
Depuis le 2 novembre dernier, les internautes peuvent participer à un concours sur le site de Nausicaa : les deux personnes ayant trouvé le prénom masculin et le prénom féminin retenus par le jury recevront chacun deux entrées gratuites pour le Centre national de la mer. Voir la vidéo : http://www.maxisciences.com/manchot/le-premier-manchot-du-cap-ne-a-nausicaa_art4295.html

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Japon - C'est dans le Pacifique, près des îles d'Ogasawara, qu'une femelle cachalot accompagnée de son petit a été photographiée en plein repas. Au menu : un calmar géant d'environ 9 mètres. Des clichés rares, et précieux pour la communauté scientifique.



Selon Steve O'Shea, spécialiste du calmar géant officiant à l'université d'Auckland, ces photographies "absolument sensationnelles" constituent une preuve du goût certain qu'éprouvent les cachalots pour les calmars géants.
Les images montrent également que les cachalots adultes utilisent des morceaux de leurs proies pour apprendre à leurs jeunes à chasser. Selon Tony Wu, le photographe ayant réalisé les clichés, "les adultes semblaient essayer d'apprendre au jeune à plonger et à attraper des bouts du calmar".Découvrir les photos : http://www.maxisciences.com/calmar-g%e9ant/un-calmar-geant-devore-par-un-cachalot-decouvrez-les-images_art4310.html

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Îles Fidji - Une population de mangoustes brunes (Herpestes fuscus) a été identifiée sur l'île de Viti Levu, aux Fidji, par une équipe mixte du Muséum national d'Histoire naturelle et du CNRS. Il s'agit du premier cas connu d'introduction de cette espèce, qui pourrait dériver d'un couple issu d'un zoo dans les années 70. Toutefois, les scientifiques n'ont à ce jour que peu d'informations sur ces mangoustes brunes, ce qui complique l'estimation de leur impact sur la faune locale.



La mangouste brune est un petit carnivore originaire du sud-ouest de l'Inde et du Sri Lanka. Elle coexiste aux îles Fidji avec la petite mangouste indienne (Herpestes auropunctatus), introduite dans plusieurs régions du monde entier, et présente aux îles Fidji depuis 1883. Cette petite mangouste indienne est d'ailleurs tenue pour responsable du déclin de plusieurs espèces endémiques d'oiseaux, de reptiles et amphibiens, tant aux Fidji que dans d'autres îles comme Hawaï ou l'île Maurice.

Les connaissances des chercheurs sur la mangouste brune restent limitées : il semblerait que ce soit un animal solitaire et nocturne, mais les scientifiques ne connaissent rien de son régime alimentaire pas plus que des menaces spécifiques qui pèsent sur elle dans son habitat naturel. Toutefois, la destruction de son habitat ou sa dégradation pourrait avoir un impact considérable sur sa population. Aussi, très récemment, cette espèce a été reclassée de « Données insuffisantes » à « Vulnérable » selon les critères établis par l'UICN (Liste Rouge 2008).
En l'absence d'information sur le régime alimentaire et la biologie de la mangouste brune, il parait difficile de connaître son impact possible sur la faune locale des Fidji. Son activité nocturne apparente et sa plus grande taille laissent supposer qu'elle pourrait avoir un impact sur d'autres espèces que celles affectées par la petite mangouste indienne. De même, les scientifiques ne savent pas s'il existe une interaction ou une compétition quelconque entr... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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Citation:
Ouvert au public depuis mars dernier, le delphinarium de Planète sauvage se trouve de nouveau dans la tourmente. Le tribunal administratif de Nantes a en effet annulé, hier, un arrêté préfectoral de 2007 autorisant son ouverture au sein du parc animalier de Port-Saint-Père. La juridiction a estimé que la procédure d'enquête publique préalable à l'autorisation d'un delphinarium a été réalisée de façon « irrégulière ». Des informations complémentaires concernant l'impact environnemental ont en effet été apportées plus de quatre mois après la clôture de l'enquête publique. Trop tard pour le tribunal, qui juge que « le public n'a pas pu disposer d'une information aussi complète et claire que possible ».

« Cette décision est une grande victoire pour les cétacés », se réjouit l'association écologiste One voice, qui avait porté plainte aux côtés de l'association SOS Grand Bleu. « On se bat depuis 1997 contre l'ouverture de ce delphinarium qui porte atteinte aux conditions de vie des dauphins. Nous n'avions jamais perdu espoir. Mais on sait que le combat n'est pas terminé. »
De son côté, Planète sauvage se veut rassurant et envisage de faire appel. « Nous ne sommes pas inquiets pour notre projet qui, d'évidence, plaît déjà beaucoup au public, indique la direction. Nous travaillons avec la préfecture pour trouver une solution provisoire permettant au delphinarium de rester ouvert en attendant une régularisation de la situation. »

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Bhubaneswar, Inde - Des villageois refusent de remettre aux autorités une tortue de mer appartenant à une espèce rare, arguant qu'il s'agit d'une incarnation de Dieu.



Les policiers ont finalement renoncé à essayer de raisonner la foule qui afflue de tous les villages des environs pour se rendre au temple de Kendrapara. Les villageois apportent avec eux bols de riz et fruits, offrandes qu'ils destinent à "l'incarnation de Jagannath", une divinité populaire hindoue. Les villageois invoquent le caractère sacré de l'animal et refusent de rendre le reptile aux autorités compétentes. Ramesh Mishra, un des prêtre du temple a déclaré par ailleurs: "Jagannath nous a fait l'honneur de venir dans notre village. Nous ne permettrons à personne d'emmener la tortue". Il faut savoir que la tortue est une espèce protégée en Inde, et que quiconque en détient illégalement s'expose à des poursuites pouvant aller jusqu'à un an de réclusion. Nul doute que l'engouement de la communauté risque de donner du fil à retordre aux autorités

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Sans heurts, presque avec délicatesse, les forces de l’ordre haïtiennes
découpent le filet qui ferme l’enclos marin. Ric O’Barry se jette à
l’eau pour porter main forte. Le bateau arrache une partie de la
clôture pour ouvrir une porte. Un premier dauphin hésite à s’engager
dans ce couloir qui s’ouvre sur la liberté. Mais il y va. Les autres le
suivent sous les applaudissements des instigateurs de cette libération.
Au loin, les dauphins
nagent, enfin libres. Le ministre haïtien invite le monde à venir
désormais voir en Haïti des dauphins respectés et évoluant dans leur
milieu naturel. Il rend à la liberté une petite tortue verte qui
s’empresse de rejoindre ses congénères dans l’immensité bleue.

Voir la vidéo ici : [url=http://www.one-voice.fr/fr/article/enfin-libres?utm_source=onevoice&utm_medium=Mod%C3%A8le%20newsletter%20principal&utm_content=link_next&utm_campaign=La%20cause%20des%20dauphins%20entendue]http://www.one-voice.fr/fr/article/enfin-libres?utm_source=onevoice&utm_medium=Mod%C3%A8le%20newsletter%20principal&utm_content=link_next&utm_campaign=La%20cause%20des%20dauphins%20entendue[/url]

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Les orques, mammifères marins, pensaient attraper le pingouin et en faire leur repas. Mais c'était sans compter l'ingéniosité de l'oiseau, prêt à tout pour sauver sa vie.



Alors que le pingouin ne cesse de nager pour échapper aux prédateurs, il remarque alors l'embarcation remplie d'humains en train d'observer la scène. Une bouée de secours pour l'animal qui échappe aux orques en grimpant à bord.

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La grande barrière de corail australienne n'aura qu'une chance sur deux de survivre si les émissions mondiales de dioxyde de carbone ne sont pas réduites d'au moins 25% d'ici à 2020, préviennent des scientifiques australiens.





Les 13 scientifiques qui ont présenté leurs conclusions à des députés australiens estiment même qu'une baisse des émissions de 90% d'ici 2050 sera sûrement nécessaire pour assurer la survie de la barrière, le corail étant menacé par la hausse des températures de l'océan.
"Nous avons constaté l'évidence de nos propres yeux. Le changement climatique a déjà un impact sur la grande barrière de corail", a déclaré Terry Hughes, directeur d'un centre d'études sur la barrière de corail à l'université James Cook, dans le Queensland.
L'Australie, l'un des plus importants émetteurs de CO2 par habitant au monde, s'est engagée à une réduction de 5% de ses émissions de gaz à effet de serre d'ici 2020 par rapport au niveau de 2000.
Le gouvernement de Canberra s'est dit prêt à s'engager à une baisse de 25% si la conférence internationale sur le climat de Copenhague de décembre débouche sur un accord légalement contraignant, une perspective qui semble de moins en moins probable.
Un texte sur le climat est actuellement débattu au Sénat australien.
"C'est notre grande barrière de corail. Si l'Australie ne montre pas l'exemple en réduisant ses émissions pour sauver le corail, qui le fera?", a déclaré le scientifique Ken Baldwin.
La barrière de corail, classée au patrimoine mondial de l'humanité, s'étend sur plus de 345.000 km² au large de la côte est de l'Australie. Elle peut être vue de l'espace.
On estime que la grande barrière de corail contribue chaque année à hauteur de 5,4 milliards de dollars australiens (3,4 milliards d'euros) à l'économie du pays, que ce soit pour le tourisme ou la pêche.
Amy Pyett, version française Clément Dossin

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Une opération de remise à l'eau d'une tortue luth échouée sur une plage de Saint-Broladre (Ille-et-Vilaine), dans la baie du Mont Saint-Michel, une zone pourtant peu fréquentée par ces animaux, était en cours mardi après-midi.





"La tortue a été découverte ce matin par un cavalier qui se promenait sur la plage. Nous allons tenter de la remettre à l'eau mais les spécialistes qui sont avec nous sont pessimistes sur ses chances de survie. Elle a apparemment été blessée à la tête par un filet ou une hélice et semble dans un état d'épuisement avancé", a déclaré à l'Associated Press Jean-Pierre Lacaille, adjoint au maire.
Cette tortue serait un mâle adulte, selon les premières observations, a déclaré Florence Dell'Amico, chargée du développement du centre d'études et de soins pour les tortues marines de l'Aquarium de La Rochelle, qui suit les opérations. Elle n'a pas pu confirmer les dimensions avancées par des témoins, qui parlent d'un animal de 1,50m de long pour près de 400kg.
Les tortues luth sont les plus grands représentants de la famille des chelonioidea. Si elles pondent dans les eaux tropicales, leur observation sur la côte atlantique française, au large du littoral de la Charente et de la Vendée, ne sont pas rares en été.
Leur présence dans les eaux plus froides de la Manche est plus inhabituelle, leur échouage exceptionnel dans ces parages. Dominique Barthélémy, responsable du département aquariologie d'Océanopolis à Brest (Finistère), relève qu'aucun échouage de tortues marines n'a été relevé en Bretagne depuis le milieu des années 1990. AP

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Encore trop ou pas assez ce quota mondial de 13 500 tonnes de thon rouge pour 2010 ? Dimanche soir, à Recife au Brésil, la Cicta, la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique, s'est entendue sur ce TAC (total autorisé de capture) de 13 500 tonnes, une baisse de près de 40% par rapport à 2009. Un compromis qui satisfait surtout ceux qui l'ont porté : l'Union européenne, plus gros pêcheur qui s'est félicitée d'un «progrès décisif dans la conservation du stock», et le Japon, premier consommateur, a salué «une politique d'exploitation durable» qui permet «de continuer à pêcher ce poisson à l'avenir». Lire la suite l'article

Inquiets. Mais hors politiques, le jugement est plus sévère. Il y a ceux, les pêcheurs, qui voient surtout la baisse de 40% et s'inquiètent. En Italie («un nouveau coup dur pour l'économie italienne de la pêche», selon la fédération Federpesca) comme en France. «Les pêcheurs français ont l'impression d'avoir déjà fait beaucoup, plaide Marie Vecten, du Comité national des pêches. Avec cette baisse, le quota pour la France va être dérisoire alors que les efforts réalisés l'an dernier ne sont même pas encore visibles.» D'autant que la réduction s'accompagne d'une restriction de la période de pêche à un mois (15 mai-15 juin), sans possibilité d'extension pour mauvais temps.
Côté écologistes, à l'inverse, on juge le quota «encore trop élevé pour permettre une restauration du stock» (Greenpeace). Les ONG espéraient une suspension provisoire ou au maximum un quota de 8 500 tonnes, considéré comme raisonnable par les scientifiques de la Cicta. Mais l'accord négocié à 13500 tonnes est dans le haut de la fourchette scientifique : ce quota n'aurait que 20% de chances d'aboutir à terme à une reconstitution de la population de thons rouges. «A une chance sur cinq, on joue à la roulette russe avec le stock, estime Charles Braine, du... lire la suite de l'article sur Libération.fr

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Golfe du Mexique - Une équipe de scientifiques américains étudiant le régime des cachalots a été surprise de remonter un calmar géant mesurant près de 6 mètres et pesant 47 kilos dans ses filets.



Les chercheurs, détachés dans le golfe du Mexique par la Noaa (America's National Oceanic and Atmospheric Administration) ont été surpris par leur prise, accidentelle, effectuée à 460 mètres de profondeur.
Ne sachant pas ce qu'ils avaient capturé, les scientifiques se sont empressés de ramener leur filet à la surface : cette remontée rapide depuis les grandes profondeurs sans palier de décompression a malheureusement entraîné la mort de l'animal. Depuis 1954, date à laquelle un calmar géant avait été retrouvé mort, flottant sur les eaux du delta du Mississippi, une telle créature n'avait plus été signalée dans le golfe du Mexique.
Capturé en juillet dernier, l'animal a été préservé et envoyé au Smithsonian Institution's National Museum of Natural History pour y être étudié.
Michael Vecchione, responsable du laboratoire de systématique de la Noaa, a insisté sur l'importance de cette prise pour la communauté scientifique qui étudie les calmars géants. Il explique : "Cette capture illustre le peu de connaissances que nous possédons sur ce qui nage dans les profondeurs du golfe du Mexique. C'est la première fois qu'un calmar géant est capturé au cours d'une mission scientifique dans cette région du globe". Voir les images : http://www.maxisciences.com/calmar-g%e9ant/un-calmar-geant-capture-par-accident-dans-le-golfe-du-mexique_art4548.html

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Dorsale médio-atlantique - Une nouvelle espèce de Grimpoteuthis, ou "pieuvre Dumbo", a été découverte dans les profondeurs de la dorsale médio-atlantique, parmi d'autres espèces abyssales surprenantes.



Les pieuvres du genre Grimpoteuthis tirent leur surnom des nageoires implantées sur leur tête, lesquelles les font ressembler au célèbre éléphanteau des studios Disney. Rares et méconnus, ces animaux intriguent encore beaucoup les scientifiques, qui se réjouissent de la découverte d'une nouvelle espèce. Longue d'environ 1,80 mètre, cette dernière vit, comme les autres membres du genre, à grande ou très grande profondeur : elle a été aperçue à plus de 1600 mètres de la surface.Parmi les autres espèces découvertes par l'équipe de biologistes marins du projet Census of marine life (Recensement de la vie marine), l'Enypniastes, un concombre de mer nageur.Découvrez ces espèces, et d'autres, en images : http://www.maxisciences.com/abysses/des-creatures-abyssales-surprenantes-identifiees-par-les-scientifiques_art4577.html

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http://tempsreel.nouvelobs.com/actualites/sciences/vivant/20091118.OBS8174/confusion_sur_deux_especes_de_raies.html



Confusion sur deux espèces de raies NOUVELOBS.COM | 19.11.2009 | 15:31

Une équipe de scientifiques de la Station de biologie marine de Concarneau a découvert récemment que deux espèces distinctes de raies ont été confondues et regroupées sous l’unique dénomination Dipturus batis depuis des dizaines d’années. Cette longue confusion a entravé les efforts de conservation de ces deux espèces dont l’une est aujourd’hui particulièrement menacée d’extinction suite à des années de surpêche.



Vues dorsales et ventrales de D. cf. intermedia et D. cf. flossada. ©️ S. Iglésias / MNHN

Le pocheteau gris, Dipturus batis (la plus grosse raie au monde avec une taille de plus de 2.5 mètres) a été classé en 2006 sur la liste rouge de l’UICN (Union Internationale pour la Conservation de la Nature) comme espèce en "danger critique d’extinction" mais son sort pourrait s’avérer encore plus préoccupant. Il semble en effet que depuis 80 ans sous cet unique nom scientifique soit regroupé deux espèces distinctes. Ces deux espèces (provisoirement nommées D. cf. flossada et D. cf. intermedia) ont été correctement décrites et distinguées au cours de l’histoire avant d’être confondues, alors que parallèlement celles-ci se raréfiaient. Ce quiproquo fait l’objet d’une publication dans la revue Aquatic Conservation : Marine and Freshwater Ecosystems et sera également commenté dans la rubrique "News & Views" de la revue Nature.

Des analyses moléculaires, morpho-anatomiques et l’étude des traits de vie, ont montré que D. cf.flossada et D. cf. intermedia constituent des espèces distinctes. Les résultats montrent que l’espèce D. cf.intermedia, est très vulnérable à la surpêche du fait de sa grande taille (plus de 2,5 m) et de sa maturité sexuelle tardive (environ 20 ans). Sa probabilité de capture avant de s’être reproduit apparaît très élevée. Le suivi des débarquements français entre les années 1960 et aujourd’hui montrent une diminution d’environ 95% des débarquements de pocheteaux.

En l’absence de révision et de reconnaissance de son statut, D. cf. intermedia serait donc amenée à s’éteindre dans un futur proche. Sur les 75 espèces de raies évaluées par l’UICN, 17 sont déjà en grand danger d’extinction. Cette étude montre qu’à long terme la confusion taxonomique de ces espèces a entravé l’efficacité des plans d’actions de conservation. Le risque d’extinction de ces espèces est aujourd’hui important et nécessite la mise en place rapide de mesures conservatoires efficaces.

J.I.
Sciences-et-Avenir.com

18/11/2009



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Afrique du Sud - Un bébé manchot rejeté par ses parents naturels a été recueilli par un couple de deux manchots mâles. Cette famille plutôt atypique se porte bien.



Il y a six mois, un oeuf a été laissé à l'abandon par un couple de manchots. Il a été immédiatement pris en charge par Guido et Molly, deux manchots mâles, qui se sont relayés pour couver l'oeuf jusqu'à son éclosion. Le petit, dont le sexe n'a pas encore été déterminé, se porte bien, il sait nager et semble, d'après le personnel du East London Aquarium, heureux.D'après Siani Tinley, la conservatrice de l'aquarium, les deux manchots formeraient un couple homosexuel en raison du manque de femelles. Au départ les deux manchots étaient considérés comme mâle et femelle, d'où le nom de Molly. Mais au bout de 16 mois, le couple n'avait toujours pas produit d'oeuf, ce qui a mené le personnel de l'aquarium à effectuer des examens médicaux. C'est là qu'il est apparu que Molly était en réalité... un mâle.

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/15/737584-Landes-Un-bebe-phoque-s-echoue-sur-une-plage-de-Contis.html

Un bébé phoque, âgé de moins d'un an, a été retrouvé dimanche par des promeneuses sur une plage de Contis (Landes) sur laquelle il s'était échoué.
Il est 15 heures quand deux amies découvrent à 200 mètres au nord de l'entrée de la plage le petit mammifère au pelage gris et noir, blotti dans le sable à la recherche d'un peu de chaleur. « On aurait dit une peluche », confie l'une des promeneuses, en décrivant un « animal de 80 cm à 1 mètre de long, et de 12 ou 13 kilos ». Un bébé en somme.
Le mammifère marin, a été récupéré par les sapeurs-pompiers de Saint-Julien-en-Born et a passé la nuit dans un local technique de la commune. Il a été remis hier en fin de matinée à une équipe du centre de La Rochelle qui va le prendre en charge dans la clinique du centre de recherche sur les mammifères marins de La Rochelle. « Il devra rester quelques jours à La Rochelle où nous allons le stabiliser et il repartira ensuite pour Océanopolis à Brest », a dit Willy Dabin, biologiste à l'Université de la Rochelle.
Le phoque, qui devrait normalement peser une quarantaine de kilos à son âge, devrait être remis dans son milieu naturel d'ici un mois et demi à deux mois. Les spécialistes des mammifères marins tiennent à renouveler des conseils de prudence sur les risques de morsures et mouvements violents de ces animaux. « Il ne faut pas les approcher à moins d'un mètre et prévenir aussitôt le centre de La Rochelle », a averti le biologiste.
Jusqu'à une quarantaine de mammifères marins s'échouent chaque année sur les plages de la façade Atlantique.

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Norfolk, Grande-Bretagne - Le Sea Life Center de la ville de Great Yarmouth dans le Norfolk a été forcé de vider des milliers de litres d'eau suite aux flatulences des tortues.





A l'approche de l'hiver, les tortues vertes du Sea Life Center de la ville de Great Yarmouth font une cure saisonnière de choux de Bruxelles. Dans ces légumes, on retrouve une bonne dose de vitamines, de fibres et de minéraux, et même ces reptiles peuvent être sujets à des crises de flatulences, causées par une trop grande ingestion de légumes...Le zoo marin avait déjà eu une mauvaise expérience l'année dernière, lorsque des remous causés par les flatulences des animaux avaient heurté les capteurs de l'aquarium, faisant résonner l'alarme dans l'établissement en pleine nuit. Les responsables ont cette année décidé de prendre leurs précautions. L'aquarium d'une profondeur de 3,65 mètres de profondeur et d'une capacité de 250.000 litres d'eau a été partiellement vidé : des milliers de litres ont été retirés afin de baisser le niveau de l'eau d'une quinzaine de centimètres.

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Australie - Un grand requin blanc s'est arraché deux dents après avoir attaqué et mordu un aviron en bois. Les dents sont bien visibles, plantées sur le morceau de bois.



L'événement a eu lieu à 400 mètres de la côte, à 200 kilomètres au nord de Sydney. Ces eaux sont réputées dans la région pour être un véritable vivier pour les jeunes requins blancs. Ils s'y nourrissent de saumons avant de gagner le grand large. Greg Ross, un sauveteur volontaire de 41 ans, était à la barre du bateau à avirons quand l'accident s'est produit. Il raconte : "Le requin m'a juste arraché la rame des mains. L'attaque a été fulgurante, un peu comme dans une des scènes des Jaws (Les Dents de la mer). Je suis bien content qu'il s'en soit pris à l'aviron et pas à ma jambe." Il ajoute : "L'aviron est plutôt grand, il a dû croire qu'il s'agissait d'un phoque, et s'est précipité dessus pour le tuer. J'ai entendu un énorme craquement. Le requin faisait plus de trois mètres de long. Il était déjà costaud, même si c'était probablement un jeune. Après avoir enfoncé ses mâchoires dans la rame, il a commencé à se démener pour se libérer, provoquant des remous dans l'eau. Quand il a enfin lâché prise, j'ai pu voir une traînée de sang dans son sillage".Monsieur Ross a expliqué par ailleurs que les dents manquantes du requin seraient bientôt remplacées par d'autres. En attendant, Georgia, sa fille de 12 ans, garde les deux dents tranchantes comme souvenirs. Découvrir les images : http://www.zigonet.com/morsure/decouvrez-une-morsure-de-requin-sur-un-aviron-de-bois_art9453.html

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Chaque année, des millions de crabes rouges envahissent la petite île de Christmas, un territoire de l'Océan Indien rattaché à l'Australie.



Large de 14 kilomètres pour une longueur de 19 kilomètres, cette petite île est chaque année le théâtre d'un incroyable phénomène, durant la saison des pluies : la migration de reproduction des crabes rouges terrestres de l'espèce Gecarcoidea natalis.L'île, peuplée d'environ 1400 habitants, subit ainsi chaque année l'invasion de plusieurs dizaines de millions de crabes. Ils quittent la forêt pour rejoindre le rivage, afin que les femelles puissent déposer leurs oeufs dans l'océan.Retrouvez ici cette impressionnante migration en vidéo.

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Au moins 125 baleines sont mortes après s'être échouées sur deux plages en Nouvelle-Zélande, a annoncé lundi un responsable des services de protection de la nature. AFP Un total de 105 baleines pilotes ont péri à Farewell Spit, à l'ouest de la station touristique de Nelson, sur l'île méridionale de la Nouvelle Zélande, tandis que 21 cétacés ont trouvé la mort en s'échouant sur une plage de la côte est de l'île septentrionale. Selon un responsable des services de préservation des ressources naturelles, Hans Stoffregen, cité par le journal Nelson Mail, aucune des baleines pilotes qui se sont échouées à Farewell Spit n'a pu être sauvée. "Elles étaient dans un triste état. Le temps que nous arrivions, les deux-tiers étaient déjà mortes. Nous avons dû euthanasier les autres", a-t-il dit. "C'était affreux, mais rien n'aurait pu être fait pour les sauver. C'était la solution la plus humaine", a-t-il souligné. Les baleines étaient restées longtemps hors de l'eau et étaient dans un état de grande souffrance, a-t-il expliqué. Selon lui, une autre baleine a été découverte lundi sur une plage proche et d'autres pourraient avoir péri dans le secteur. Les 21 baleines qui sont mortes sur la péninsule de Coromandel, sur l'île septentrionale, faisait partie d'un groupe de 63 cétacés qui se sont échoués dimanche sur la plage. Des bénévoles et des vacanciers ont pu remettre à la mer les 42 baleines survivantes. "La dernière fois qu'elles ont été vues, elles nageaient sans problème vers le large", a indiqué la porte-parole du service Lyn Williams. L'une des femelles a même donné naissance à un baleineau immédiatement après avoir été remise à la mer, selon elle.

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On ignorait, il y a quelques années encore, la diversité des espèces pouvant vivre dans les profondeurs abyssales.



C'est dans les années 1970 que l'on découvre cette faune, peu dense mais très variée, composée de créatures aux caractéristiques souvent originales. La faune abyssale évolue dans des milieux hostiles : fortes pressions, faible luminosité et basses températures. Elle est encore très mal connue des scientifiques : aujourd'hui, on estime que moins de 5% des océans ont été explorés par l'Homme. Découvrez en images quelques espèces abyssales surprenantes de crabes araignées, de poissons lanternes ou de pieuvres dumbo. Pour voir les images : http://www.maxisciences.com/poisson/creatures-des-abysses-des-images-de-cette-faune-etrange_art5065.html

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États-Unis - Depuis les années 1960, les scientifiques ont remarqué que le chant des baleines bleues devient de plus en plus grave.



Ce sont deux chercheurs de l'Institut d'océanographie Scripps, situé en Californie, qui ont découvert ce changement. Ils n'en ont pas encore déterminé les causes, mais diverses hypothèses expliquant ce chant plus grave ont déjà été avancées.Ces cétacés émettent un son, plus puissant qu'un avion au décollage, de 190 décibels. La baisse de fréquence de ces sons est de 31% depuis 1960, mais les autres caractéristiques du chant n'ont pas changé. Les mâles utilisent entre autres leur chant pour se repérer et attirer les femelles or, l'effectif de la baleine bleue a augmenté depuis l'arrêt de la chasse en 1986. Les chants les plus graves, émis par les mâles désormais soumis à une plus grande compétition, pourraient être plus attirants pour les femelles.D'autres facteurs explicatifs, comme les activités humaines ou certains changements du milieu marin, sont envisageables : ainsi, l'acidité accrue des océans, due à l'augmentation du taux de CO2 dans leurs eaux, pourrait influer sur le chant de la baleine bleue.

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Australie - Des scientifiques ont équipé des requins d'un GPS afin de pouvoir alerter les sauveteurs lorsque l'un d'entre eux s'approche trop près d'une plage.



Les requins portant un GPS seront ainsi constamment surveillés via un satellite. Des courriels et des SMS seront envoyés automatiquement aux sauveteurs si l'un d'entre eux s'approche trop près d'une plage. Il y aurait actuellement 74 grands requins blancs équipés d'un GPS : les autorités espèrent ainsi pouvoir prévenir tout risque pour les baigneurs. Les sauveteurs et gardes-côtes, ainsi avertis, pourront rapidement prendre les mesures adéquates. Les scientifiques espèrent également pouvoir obtenir d'importantes informations sur la vie de ces prédateurs marins.

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http://www.20minutes.fr/article/373942/Monde-Le-dauphin-est-une-personne.php


SCIENCES - De nouvelles études relancent le débat sur l’intelligence de l’animal...Des droits pour les dauphins. C’est ce que vont réclamer des scientifiques américains lors d’une conférence qui se tiendra en février à San Diego, en Californie. Leur argument? Des études qu’ils ont réalisées prouvent une nouvelle fois l’exceptionnelle intelligence du mammifère. Ils estiment même qu’il pourrait être le deuxième être le plus évolué de la planète, juste après... l’homme.

Une espèce si proche de nous ne peut être traitée comme un animal. Mais doit l’être comme une «personne, non humaine», affirment-ils. Pour eux, il est moralement inacceptable de les enfermer dans des parcs, ou, quand ils sont en liberté, de les tuer.

Se reconnaître dans un miroir

Les résultats des études sur le comportement de l’animal sont étonnants. Diana Reiss, professeur de psychologie au Hunter College, de l’université de New York a prouvé que le grand dauphin est capable de se reconnaître dans un miroir, et d’inspecter différentes parties de son corps. Une capacité qu’on pensait réservée aux humains et aux grands singes.

La scientifique a également découvert que le dauphin était capable d’apprendre un langage rudimentaire, basé sur des symboles.

Cerveau complexe

Les études sur le cerveau de l’animal, menées par Lori Marino, zoologiste à l’université Emory d’Atlanta, appuient les thèses de la psychologue. «Le cerveau des cétacés a évolué différemment de celui des humains, mais il a les traits caractéristiques de l’intelligence complexe.» Comme un fort développement du cortex et du néocortex.

Si les résultats des études sont confirmés, le dauphin détrônerait alors le chimpanzé, longtemps considéré comme supérieur. Or le primate peut atteindre le niveau d’intelligence d’un enfant de trois ans.

>> Et vous, qu’en pensez-vous? Faut-il considérer le dauphin comme une personne non humaine, ou est-il juste bon à jongler avec un ballon?


T. B.

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Les militants de l'ONG de défense des baleines Sea Shepherd ont accusé mercredi un navire baleinier japonais d'avoir éperonné et coulé un de leurs bateaux dans l'océan Antarctique.



Un baleinier japonais a-t-il coulé délibérément le bateau d'une ONG dans l'océan Antarctique? Selon l'ONG Sea Shepherd, son récent navire ultra-rapide, l'"Ady-Gil", a été coupé en deux par le "Shonan Maru 2" alors qu'il naviguait à proximité de la flotte japonaise. Les six membres d'équipage ont été sauvés, ajoute Sea Shepherd.
Les baleiniers japonais affirment que les militants leur lançaient des projectiles.
"Le 'Shonan Maru 2' l'avait en pleine ligne de mire et venait droit sur lui. Il a chargé et a emporté toute une section de la coque", a rétorque Jeff Hansen, directeur de Sea Shepherd pour l'Australie. "Nous pensons qu'ils ont agi de manière délibérée. Notre bateau se trouvait à l'arrêt complet et ils lui ont tout simplement foncé dessus. Ils l'ont balayé."
L'"Ady Gil", un trimaran de 24 mètres en fibre de carbone coûtant 1,37 million de dollars, était la dernière acquisition de la flotte de Sea Shepherd. Les matériaux dont il était composé et la peinture qui le recouvrait le rendaient particulièrement difficile à détecter par radar. Le bateau pouvait ainsi s'approcher sans se faire remarquer des baleiniers et venir perturber leur chasse.
Polémique autour de la pâche à la baleine
Cet incident intervient alors qu'une polémique se développe en Australie où des députés ont appelé le gouvernement à empêcher les "vols espions" par les baleiniers japonais à partir d'aéroports australiens pour déjouer les plans des militants écologistes dans l'océan Antarctique.
Selon, les parlementaires, ces vols de reconnaissance aident Tokyo à enfreindre les conventions internationales anti-pêche baleinière.
La pêche baleinière commerciale est interdite depuis 1986 mais les Japonais continuent de harponner des grands cétacés en présentant cette activité comme une pêche scientifique.

Retrouvez cet article sur LEXPRESS.fr

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États-Unis - Selon les chercheurs des universités d'Atlanta et de Los Angeles, les dauphins devraient bénéficier de droits spéciaux à cause de leur intelligence, bien supérieure à celle des autres animaux.



Les dauphins sont dotés d'une intelligence qui les rend conscients de leur situation : ils peuvent réfléchir à une situation future, ont une grande mémoire, se reconnaissent devant un miroir, sont capables d'utiliser des outils... Les dauphins du genre Tursiops, les plus connus mais aussi les plus doués, font ainsi concurrence au chimpanzé, considéré comme l'espèce animale la plus intelligente directement après l'homme et qui peut atteindre la capacité intellectuelle d'un enfant de 5 ans. C'est pourquoi, d'après les scientifiques, les dauphins ne devraient pas être enfermés dans des parcs animaliers ou pire, servir de nourriture. Pour les experts, ces cétacés devraient être considérés comme des "personnes non humaines".Chaque année, environ 10.000 dauphins sont tués, principalement lors de pêches au chalut ou simplement pour servir de nourriture pour les humains et les chiens. Afin d'éviter ou du moins limiter le massacre et toute la souffrance morale que peuvent endurer ces animaux, les chercheurs se prononcent afin qu'ils puissent bénéficier de droits particulier à leur espèce.

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États-Unis - Des chercheurs de l'université de Floride ont étudié une espèce particulière : la limace des mers Elysia chlorotica, capable d'auto-produire la chlorophylle dont elle se nourrit.



Mi-plante, mi-animal, la limace des mers Elysia chlorotica est une espèce bien particulière. Elle semble avoir réellement incorporé à son génome le gène des algues permettant la fabrication de la chlorophylle. Par conséquent, elle est capable de fabriquer son énergie par photosynthèse, procédé grâce auquel les plantes transforment l'énergie solaire en matière organique.Ces animaux-plantes sont donc capables de survivre sans se nourrir. Ils doivent toutefois recevoir l'énergie solaire pendant au moins 12 heures par jour.Elysia chlorotica vit dans les eaux salées du Canada et de la Nouvelle Angleterre. Elle est le premier animal découvert à ce jour qui soit capable de fabriquer de la chlorophylle et des chloroplastes, lesquels permettent de capter la lumière à l'origine de la photosynthèse. Cette capacité est due à l'assimilation d'un gène des algues : une découverte qui prouve que l'ADN peut être transmis d'une espèce à une autre, même si les scientifiques n'ont toujours pas compris le mécanisme de ce phénomène.

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Aux Iles Féroé, la baleine pilote fait partie intégrante de la gastronomie locale. Depuis 2008, les autorités danoises interdisent cette chasse. Pas pour céder à la pression des écologistes, mais parce que les cétacés, contaminés au mercure, sont déclarés impropres à la consommation.



Une pollution qui touche également la population féringienne, comme l'a démontré une étude réalisée en 1997. Jan Egil Kristiansen, un habitant de l'archipel, livre à Fluctuat son témoignage et une sélection de photos décrivant la situation qui frappe cette région de la Mer du Nord.

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France - 65% des Français déclarent souhaiter l'interdiction de la commercialisation internationale du thon rouge, d'après un sondage CSA-Greenpeace paru vendredi 22 janvier.




D'après cette même enquête, 74% des Français considèrent que le thon rouge est une espèce menacée, seuls 9% ont un avis contraire. 78% se disent prêts à arrêter d'en consommer contre 14% qui ne le souhaitent pas.
"Combien de fois devra-t-on rappeler que la population de thons s'effondre de 80% sur les vingt dernières années ?", se demande François Chartier, chargé de campagne Océans à Greenpeace France.
Les Français ne sont pas les seuls à se mobiliser : des chaînes de grande distribution participent également à ce mouvement, en stoppant la vente de thon rouge. De même, les Relais Châteaux n'en proposent plus depuis le 1er janvier 2010.
"L'inscription en annexe 1 de la Cites, et donc l'interdiction de la commercialisation internationale du thon rouge, sans condition et sans délai, est l'unique solution pour sauver l'espèce", affirme François Chartier.

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Pour les membres en France, merci à tous de diffuser largement cette information !

PS : En espèrant que je suis dans la bonne rubrique et que je respecte le règlement.

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» Lundi 25 Janvier 2010
COMMUNIQUE DE PRESSE : UN ACTE INNOMMABLE… VOL D'UN BEBE OCELOT AU PARC DES FELINS

Chers visiteurs réguliers ou occasionnels du Parc des Félins,
Madame, Monsieur,

C’est avec une grande tristesse que nous vous informons de la disparition criminelle du bébé ocelot femelle né le 27 novembre 2009.

En effet, cet animal qui était le dernier né de l’année 2009 a été dérobé dans notre établissement le vendredi 22 janvier en pleine journée ! Le grillage sectionné de la volière des ocelots ne laisse planer aucun doute quant au vol. Heureusement pour nous, les ocelots adultes paniqués sont restés en hauteur et ne sont pas enfuis de la volière !

Une plainte a évidemment été déposée à la Gendarmerie dans les plus brefs délais après la constatation de l’effraction et toutes les administrations traitant des animaux de faune sauvage (DDSV77, Direction Générale de l’ONCSF et antenne du 77, BMI CITES CAPTURE de Chambord, DIREN l’Île de France, PIF de Roissy, …) ont été averties à ce jour par fax et courrier. L’Association Européenne des Zoos et Aquariums (EAZA), les vétérinaires de Seine-et-Marne et des alentours ainsi que les compagnies aériennes ont également été prévenus.

L’auteur de cet acte innommable n’a pas encore été appréhendé et malheureusement, la probabilité de retrouver l’animal est très très faible car retrouver l’auteur est une tâche quasi-impossible, le bébé peut être dissimulé très aisément en cas de contrôle et cette espèce ne fait pas, par nature, beaucoup de bruit (miaulements ou autre). La vidéosurveillance nous offre une piste que les autorités essayent d’approfondir…

Ce petit ocelot qui a été enlevé à sa mère avant ses deux mois n’est pas complètement sevré et, du fait de son jeune âge, n’a pas encore été ni vacciné (il devait l’être dans deux semaines). Il n’est donc immunisé contre le typhus et le coryza mais cet animal est identifiable électroniquement et repérable par des moyens modernes de repérage. Un bébé ocelot est déjà bien différent d’un chat domestique : il a une plus grosse tête, des pattes larges et des griffes déjà acérées ainsi qu’un pelage aux motifs caractéristiques (Son portrait récent figure ci-dessous). Au parc, nous sommes trois personnes à pouvoir l’identifier sans aucun doute et, pour information, il y a eu moins de 10 naissances d’ocelots dans les parcs zoologiques mondiaux en 2009. Ce petit devait rejoindre à terme un mâle dans un parc zoologique anglais pour former un nouveau couple reproducteur...

Si la personne ayant commis ce délit (ou le commanditaire) lit ces lignes, nous espérons qu’elle prenne conscience de son acte et du traumatisme causé à l’animal. Nous serions prêts à retirer notre plainte si l’animal est restitué dans les 6 jours. Après ce délai, ses parents ne pourraient plus l’accepter… Pour information, un ocelot adulte n’est pas un chat, il marque énormément son territoire d’une odeur très forte (urine et excréments), il griffe énormément de substrats et supports et peut devenir potentiellement dangereux pour des enfants mais aussi des adultes. A la maturité sexuelle, les félins sauvages sont difficilement contrôlables même pour la personne qui s’en occupe depuis le plus jeune âge... Nous avons par le passé recueilli un ocelot qui a été gardé chez un particulier pendant 6 mois avant que ce dernier ne se décide à le confier aux autorités… Et nous avons eu aussi connaissance d’ocelots chez des particuliers maintenus enfermés dans des caddies de supermarché ou des petites cages du fait de leur agressivité. Salvador Dali n’est décidemment pas un bon exemple !

Il est également important de préciser que l’ocelot est une espèce protégée au titre de la Convention de Washington (Annexe I de la CITES interdisant tout commerce) ainsi que par la loi française (Arrêté du 15 mai 1986). Quiconque possède un ocelot sans permis CITES est passible d’emprisonnement et d’amende. L’animal ne pourra jamais être régularisé ! Nous faisons donc appel à la raison : si le voleur ou le commanditaire souhaite faire marche arrière, il est encore temps.L’animal peut aussi bien être restitué au parc ou être déposé chez un vétérinaire qui en prendra soin avant de nous le remettre…

Nous faisons donc appel à votre vigilance et nous vous remercions de nous avertir si vous avez vu « un petit chat rondouillard au pelage inhabituel et au comportement étrange » ces derniers jours.

Si vous êtes confronté à l’animal au cas où le voleur le relâche dans la nature ou le dépose chez vous, sachez qu’il n’est pas manipulable aisément car il est rapide et possède déjà des griffes et des dents bien solides. Nous vous recommandons de le saisir avec des gants très épais, une épuisette ou en retournant un sac sur lui.

Si vous avez des informations à communiquer, merci de prévenir la Gendarmerie de Rozay-en-Brie et/ou Grégory Breton, Directeur adjoint et responsable zoologique du Parc, au 01.64.51.33.30.

Nous vous remercions d’avance pour votre soutien et espérons une issue positive à ce triste événement…

Toute l’équipe du Parc des Félins
Nesles, le 23 janvier 2010

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Mercredi, les députés de la commission Environnement du Parlement européen ont voté en faveur de l'interdiction du commerce international du thon rouge. Par ce vote à valeur consultative, ils demandent à l'Union européenne de surmonter ses hésitations à soutenir une telle interdiction.





Alors que la France ne parvient pas à se positionner quant à l'inscription du thon rouge à l'annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites), la commission Environnement du Parlement européen a voté pour, à 48 voix contre 2."Cette décision envoie un signal politique fort à la France, qui tarde à faire connaître sa position sur le sujet" a souligné Corinne Lepage, eurodéputée et vice-présidente de la commission Environnement. Après s'être dit favorable à une interdiction du commerce du thon rouge l'été dernier, Nicolas Sarkozy tarde en effet désormais à se prononcer quand le ministre de la Pêche et de l'Agriculture, Bruno Le Maire, plaide en faveur d'une inscription de l'espèce à l'annexe II de la Cites. Cette annexe recense les espèces qui ne sont pas actuellement menacées d'extinction mais pourraient le devenir si aucun contrôle n'était effectué quant à leur commerce.La récente prise de position de l'Italie en faveur de l'interdiction du commerce international du thon rouge constitue un deuxième signal fort pour la France qui à l'automne dernier, s'était opposée avec les pays européens riverains de la Méditerranée, dont l'Italie, à l'inscription du thon rouge à l'annexe I de la Cites. Corinne Lepage a salué l'Italie pour cette "décision responsable et courageuse" tandis que François Chartier, chargé de campagne Océans à Greenpeace France, estime que "la France fait aujourd'hui, par son silence, bien pâle figure à côté de l'Italie".

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Hier mercredi 24 janvier, la France vivait l'évènement avec la sortie dans les salles d'Océans, un film documentaire spectaculaire présentant plus de 1h30 d'images exceptionnelles de la faune océanique.





Des animaux de tous les océans y sont présentés, sous l'oeil attentif des deux producteurs : Jacques Perrin et Jacques Cluzaud. D'ailleurs, ces deux compères n'ont pas lésiné sur les moyens : un budget de 49 millions d'euros, 75 expéditions dans le monde, un matériel de pointe (souvent fabriqué à la "Mac Gyver", tant il est difficile de prendre des images impeccables dans les profondeurs des abysses) mais surtout, sept ans de travail ont été nécessaires.Parmi les espèces filmées figurent des mammifères (la baleine à bosse, l'orque, l'ours blanc, l'otarie de Californie, la baleine bleue, le cachalot, le dauphin commun du Cap...), des reptiles (l'iguane marin, la tortue verte, la tortue Luth...), des oiseaux (le manchot empereur, le fou du Cap), des poissons (le grand requin blanc, le saumon rouge, la raie manta, le poisson perroquet à bosse, le requin baleine...), des invertébrés (la seiche géante, la seiche flamboyante, la méduse dorée, la pieuvre violacée, l'araignée de mer géante,...). Autant de créatures à découvrir, d'autant plus que d'après les premiers avis sur le film, les images sont d'une rare qualité.Pour découvrir des images : http://www.maxisciences.com/oc%e9ans/oceans-des-images-a-couper-le-souffle_art5528.html

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La France va se prononcer pour l'interdiction du commerce international du thon rouge. En échange de l'officialisation de son ralliement, Paris veut négocier avec Bruxelles une zone de pêche exclusive pour les petits artisans qui pêchent à la canne, et assurer des aides à la reconversion aux pêcheurs touchés par la protection de cette espèce menacée par les consommateurs japonais de sushis.



Le sujet ne figure pas encore à l'agenda des Vingt-Sept et de la Commission européenne, notamment parce que celle-ci tourne au ralenti en attendant l'investiture de la Commission de Jose Manuel Barroso par le Parlement.
Franck Louvrier, conseiller en communication de l'Elysée, nie que Nicolas Sarkozy fasse une annonce sur le sujet lors de son déplacement en Corse, mardi 2 février. 'C'est Jean-Louis Borloo qui doit faire cette annonce', précise M. Louvrier.
'Ce sera fait d'ici à quinze jours ', annonce le ministre de l'écologie. La décision est délicate, en pleine campagne pour les élections régionales des 14 et 21 mars : l'UMP doit séduire l'électorat écologiste, sans provoquer un blocage des ports français par les pêcheurs mécontents.
UNE INITIATIVE DE LA PRINCIPAUTÉ DE MONACO
Techniquement, la France va proposer d'inscrire la pêche au thon rouge à l'annexe I de la convention de l'ONU sur le commerce international des espèces menacées d'extinction (Cites). Cette inscription aboutirait à l'interdiction du commerce international de cette espèce menacée.
La position française, attendue de longue date, devrait faire basculer la position de l'Union européenne, d'autant que l'Italie envisagerait elle aussi d'adopter cette position. Ce revirement européen pourrait permettre d'atteindre plus facilement la majorité des deux tiers lors de la réunion de Doha qui réunira du 13 au 25 mars les 175 pays membres de la convention.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr

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Invercargill, Nouvelle-Zélande - Une jeune fille de 14 ans est parvenue à se soustraire aux mâchoires d'un requin en le frappant à la tête avec son bodyboard. Elle souffre de blessures assez profondes, mais ses jours ne sont pas en danger.






L'accident s'est produit au large d'Invercargill. Lydia Ward faisait du bodyboard en compagnie de son frère, quand elle dit avoir vu une grande chose grise glisser silencieusement vers elle. Il s'agissait en réalité d'un requin qui, selon le témoignage du frère de la jeune fille, mesurait près de 1,5 mètre de long. L'animal s'est alors attaqué à la jeune fille et lui a mordu la jambe.L'adolescente réagit et se met à frapper violemment la tête du requin à l'aide de son bodyboard. La bête a fini par lâcher prise, et Lydia s'est dépêchée de sortir de l'eau. "Je me suis approchée de mon père, et il ne m'a d'abord pas crue. Alors je lui ai montré ma combinaison couverte de sang, et là il m'a crue", raconte la victime. La jeune fille a dû être hospitalisée et devra recevoir un traitement pour les deux plaies les plus profondes. Fiona Ward, la mère de cette dernière, affirme cependant que les autres blessures sont sans gravité.

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Californie, États-Unis - Depuis la semaine dernière, de nombreux encornets géants ont été repérés sur les côtes californiennes. Les calmars ont été repérés au large de Newport Beach et font depuis la joie des pêcheurs.



Ces encornets géants sont aussi appelés calmars de Humboldt. Ceux qui ont envahi les eaux californiennes pèsent de 10 à 20 kilos, mais certains spécimens peuvent atteindre les 45 kilos pour 2,5 mètres de long. A Newport Beach, les pêcheurs en ont déjà attrapé plus de 400. Mais ces calmars géants sont aussi présents en large concentration tout le long de la côte ouest américaine, jusqu'à l'État de Washington tout au nord. De nombreuses parties de pêche ont été organisées, de jour comme de nuit. Dans le golfe du mexique en septembre dernier, un calmar géant avait été pêché : il pesait près de 47 kilos pour 5,7 mètres de long.

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France - Samedi, des militants de Greenpeace sont allés à la rencontre des restaurateurs pour les exhorter à cesser de proposer du thon rouge, une espèce dont la population a diminué de deux-tiers en seulement 50 ans. L'association écologiste a mené cette action dans 25 villes françaises, invitant les restaurateurs à signer une lettre d'engagement. Articles liés





La France s'est récemment déclarée en faveur d'une inscription du thon rouge à l'annexe I de la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites). Si elle est votée en mars prochain par les membres de la convention, cette inscription se traduira par une interdiction du commerce international du thon rouge, mais la France souhaite qu'un délai de 18 mois soit accordé avant son application."C'est maintenant qu'on doit agir, pas dans 18 mois" s'insurge Greenpeace. L'association écologiste a tenté samedi de convaincre les restaurateurs de 25 villes françaises de retirer le thon rouge de leur carte et de signer une lettre d'engagement.Cette démarche a porté ses fruits, certains commerçants, sensibilisés au sort du thon rouge, considéré comme une espèce menacée, ont accepté de signer cette lettre dans laquelle ils s'engagent à ne plus en vendre. "C'est une bonne démarche qu'a lancée Greenpeace aujourd'hui. La base de la cuisine, étoilée ou pas, débute par le respect du produit, donc sa survie. [...] Si le thon rouge est en voie de disparition, alors il faut le sauver" a ainsi estimé Franck Rénimel, restaurateur à Toulouse.D'après un sondage commandé par Greenpeace en janvier dernier, 65% des Français seraient favorables à l'interdiction du commerce international du thon rouge tandis que 78% se disent prêts à arrêter d'en manger pour protéger l'espèce.L'inscription du thon rouge à l'annexe I de la Cites sera soumise au vote des États membres de la convention en mars, à Doha. Mercredi, le Parlement européen s'est prononcé en faveur de cette inscription, exhortant la Co... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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La perche du Nil a mauvaise réputation depuis Le Cauchemar de Darwin, le documentaire d'Hubert Sauper sorti en 2004. Coupable de tous les maux selon la thèse - controversée - du réalisateur (destruction de l'environnement, exploitation des populations locales par l'industrie d'exportation, développement de la prostitution et du trafic d'armes), l''antipathique' animal se retrouve aujourd'hui victime de surpêche.





'Il y avait 654 000 tonnes de poisson dans le lac en 2006 contre 310 000 aujourd'hui, explique Brian Marshall, de l'Organisation des pêches du lac Victoria, qui réunit les trois pays riverains (Kenya, Tanzanie, Ouganda). Si on ne met pas un terme à la surexploitation, la perche sera menacée, et ceux qui en tirent leur revenu également.'
L'introduction du poisson dans le lac Victoria a lieu dans les années 1950. Peu à peu, l'envahisseur supplante la majorité des 500 espèces locales. Le 'boom' de la perche, dont les filets sont exportés vers l'Europe, commence dans les années 1980. Des centaines de milliers de personnes trouvent là un moyen de subsistance et affluent autour du lac. Le développement de l'agriculture et la déforestation, qui accompagnent cette migration, dégradent le milieu naturel. L'érosion provoque l'écoulement de sédiments dans l'eau, qui devient turbide. La biodiversité souffre.
La perche, elle, continue à prospérer, et les pêcheurs à affluer. Ils étaient 129 000 en 2000, et presque 200 000 en 2008. Au total, 2 millions de personnes dépendent de la filière. 'Leurs conditions de vie sont mauvaises, mais ils ont un travail, affirme M. Marshall. Un pêcheur gagne mieux sa vie qu'un agriculteur de subsistance.'
Sauver la perche
Mais le poisson donne aujourd'hui des signes de faiblesse : la taille moyenne des prises est passée de plus de 50 cm avant 2007 à 26 cm aujourd'hui. La part de la perche dans les captures baisse, le revenu des pêcheurs (54 euros par semaine pour le propriétaire de l'embarcation, 29 euros pour un marin, selon les chiffres de l'organisation des pêches) s'en ressent.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr

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Une dresseuse d'orques a été tuée par un des mammifères marins dont elle s'occupait.


Selon Dan Brown, le directeur général du parc, la victime qui était l'un des "dresseurs les plus expérimentés" s'est noyée "lors d'un accident avec une de nos orques".

De son côté la police a réfuté le scénario d'une attaque de l'orque contre la dresseuse.

La victime qui était hors de l'eau, au moment de l'accident, aurait glissé dans le delphinarium, avant d'être attaquée par l'orque.

Pour les autorités, il s'agit donc d'une "mort accidentelle".

Une version contredite par les témoignages de plusieurs spectateurs cités par des chaînes de télévision locales, explique Midi Libre.

Selon ces témoins, l'orque se serait hissé hors de l'eau, avant de saisir la jeune femme entre ses mâchoires, sur le bord de l'aquarium.

Victoria Biniak, une spectatrice présente lors du drame a raconté la scène à plusieurs chaînes de télévision:

"L'animal a décollé de je-ne-sais-où, a saisi l'entraîneur par la taille et l'a secouée violemment. Les sirènes se sont mises à sonner, tout le monde est parti en courant", raconte cette femme citée par Le Figaro.

L'aquarium de Seaworld compte huit orques.

Après le drame, une partie du centre aquatique a été fermée au public.

Selon LCI, l'orque est une récidiviste.

Appelée Tilikum ("ami" en langue indienne), l'animal serait à l'orgine de la mort de deux personnes.

En 1991, dans un parc aquatique canadien, l'orque a noyé sa dresseuse, en la maintenant entre sa bouche sous l'eau. En 1999, aux Etats-Unis cette fois, c'est un homme qui s'est introduit la nuit dans un parc aquatique pour nager avec l'orque. Il a été retrouvé le corps "nu et lacéré, l'animal l'a "traîné contre les murs de la piscine", rapporte LCI.

Edit de la rédaction

La chaîne Fox News diffuse les extraits d'une vidéo amateur de la scène ... Lire la suite sur LePost.fr

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ATTENTION - Revoici avec mention PHOTO ///

PARIS, 17 mars 2010 (AFP) - Chez les Syngnathus scovelli, un petit poisson des mers chaudes, le mâle assure la gestation des oeufs et sélectionne sa progéniture en choisissant les oeufs des femelles les plus grandes, selon une étude publiée mercredi dans la revue Nature.

Chez ces poissons des fonds marins des mers chaudes qui mesurent de 10 à 12 centimètres, les mâles se débarrassent souvent des oeufs reçus pendant un accouplement avec une femelle de petite taille, apparemment dans le but d'économiser leurs forces pour les oeufs d'une autre offrant de meilleures chances de survie.

Comme chez les hippocampes, les oeufs couvés sont placés dans une poche où ils seront nourris et pourront se développer.

"Au bout du compte, si le mâle aime la maman, les enfants seront mieux traités", observe dans un communiqué de l'université A&M du Texas Kimberley Paczolt, l'un des deux auteurs de l'étude.

Les arbitrages pour sélectionner une descendance ayant de meilleures chances de survie sont monnaie courante dans le règne animal, mais c'est la première fois qu'ils sont observés après l'accouplement chez une espèce où le mâle est "enceint".


Les chercheurs restent pour l'instant perplexes sur la signification de cette découverte. "Nous ne comprenons pas bien pourquoi il en est ainsi", observe Mme Paczolt.

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France - Après le rejet, par la Cites, de la proposition de Monaco visant à interdire le commerce international du thon rouge, la France réaffirme sa volonté de protéger cette espèce menacée par la surpêche.

Le 18 mars, les propositions monégasque et européenne d'inscription du thon rouge à l'annexe I de la Convention ont été rejetées. Mais la France, qui s'est prononcée en faveur de cette inscription assortie d'un délai de mise en oeuvre de 18 mois, reste déterminée à agir pour la protection de l'espèce dont les stocks ont diminué de 75% au cours des cinquante dernières années.

"Soucieuse de l'avenir de cette espèce, et considérant que la seule protection efficace doit s'inscrire dans un cadre international, la France est décidée à proposer à l'Union européenne de continuer ses efforts pour convaincre les États parties de la Cites d'agir en faveur de la protection de cette espèce" a déclaré Jean-Louis Borloo, le ministre de l'Environnement. Une inscription du thon rouge à l'annexe II de la Cites pourrait alors être proposée. Cette annexe impose un contrôle strict du commerce des espèces qui y sont inscrites, et la nécessité de détenir un permis d'exporter.

D'après les associations de protection de l'environnement, inscrire le thon rouge à l'annexe II de la Cites ne suffira pas à protéger l'espèce du danger d'extinction qui pèse sur elle. Comme l'avait souligné le représentant de Monaco Patrick Van Klaveren juste avant le vote de jeudi, "si nous proposons l'inscription du thon rouge à l'Annexe I, c'est que nous avons atteint un niveau où l'effondrement du stock est inéluctable". Au cours de la dernière décennie, les stocks de thon rouge auraient diminué de 65%.

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JOHANNESBURG, 15 juin 2010 (AFP) - Le temps glacial qui s'est abattu à l'est de la région du Cap, en Afrique du Sud, a tué près de 500 pingouins en moins de 24 heures, a annoncé mardi l'agence des parcs nationaux.> Selon l'agence des parcs nationaux, la population des pingouins est d'ores et déjà en train de diminuer et il ne resterait plus que 700 couples reproducteurs dans la zone.

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COPENHAGUE, 16 juin 2010 (AFP) - Des sauveteurs danois ont perdu tout espoir mercredi en fin de journée de sauver une baleine échouée dans un fjord du royaume scandinave après une course contre la montre pour l'aider à retrouver la haute mer.> Des pompiers ont tenté en vain de l'aider à retrouver la haute mer, l'aspergeant d'eau afin de le protéger du soleil et de le maintenir en vie, selon des images diffusées par la chaîne danoise TV2 News.

L'arrivée de la marée haute à 13H00 GMT n'a pas permis au cétacé épuisé de se dégager. Les secouristes ont décidé en fin d'après-midi de cesser toute tentative de le renflouer. Ils ont interdit aux curieux de s'approcher de trop près du rorqual agonisant dont les signes de vie déclinaient, comme la fin des battements de queue, selon les témoins.


"Nous pensons qu'il souffrira moins si nous le laissons mourir en paix que d'essayer une nouvelle fois de l'amener en eau profonde" a estimé Henrik Lykke Soerensen, un responsable de la Direction de la nature et des forêts

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MIAMI, 16 juin 2010 (AFP) - Une tortue de mer est devenue, bien malgré elle, une star sur le site youtube.com grâce à une séquence qu'elle aurait "filmée" sous l'eau avec une caméra perdue l'an dernier par un touriste à Aruba, dans les Caraïbes, et qui s'est échouée six mois plus tard en Floride.> "En janvier", a assuré M. Shultz à l'AFP, "deux mois après que le propriétaire a perdu son appareil photo, une tortue a croisé le chemin de l'appareil dans la mer et, c'est difficile de dire comment cela s'est passé, mais elle a réussi à mettre en marche la caméra et s'est +filmée+ en train de nager. C'est vraiment incroyable".

Après avoir trouvé l'appareil, M. Schultz a téléchargé la séquence sur internet pour tenter de retrouver la trace du propriétaire. Avec succès

L'homme en question est un soldat néerlandais qui a expliqué avoir perdu son appareil alors qu'il plongeait en novembre à Aruba, une île au large du Venezuela.

"Sur la vidéo, on voit d'abord des images sous-marines, puis tout à coup commence une autre séquence dans laquelle la caméra tourbillonne dans l'eau" et une tortue donne des coups dans l'appareil, a poursuivi M. Schultz

"Je suis très étonné. Je n'arrive pas à croire que la caméra ait pu flotter d'Aruba jusqu'à Key West", à 1.800 km de là, a-t-il dit.

Mais à en juger par les courants marins qui traversent la mer des Caraïbes puis le golfe du Mexique, l'épopée de la caméra est plausible, a-t-il assuré.

La séquence vidéo tournée par la tortue avait déjà été visionnée par 760.000 personnes mercredi sur le site internet de partage de vidéos Youtube à l'adresse

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Le Cap, Afrique du Sud - Les grands requins blancs du Cap ont adopté une technique de chasse des plus efficaces face aux otaries à fourrure : le breaching (créer une brèche en français).

C'est uniquement dans la région du Cap, en Afrique du Sud, que les grands requins blancs utilisent cette méthode de chasse qui mise sur la rapidité et la force du prédateur.

Afin de surprendre sa proie, en l'occurrence une otarie qui est certainement son met préféré car très riche en graisses, le grand requin blanc se place au fond de l'eau puis, une fois sa proie repérée, il s'élance à toute vitesse pour bondir hors de l'eau. Il percute alors sa proie qu'il saisit en retombant. Le Cap est l'endroit idéal pour observer le breaching. En effet, les eaux sont peuplées d'environ 64.000 otaries à fourrure d'avril à septembre. Les otaries, pour pouvoir se nourrir, doivent traverser des eaux infestées de requins (le "cercle de la mort" ou "ring of death" en anglais). Une sur deux environ survit à une poursuite par un grand requin blanc.

Les otaries ont des tactiques pour éviter les attaques de requin. Elles traversent la zone en groupe puis se dispersent une fois le requin repéré. Si elles se retrouvent trop près du prédateur, elles s'arrangent pour nager à ses côtés en évitant à tout prix sa mâchoire.

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Après trois ans d'efforts et de longues heures d'acrimonieux débats au sein de la Commission baleinière internationale (CBI), le Groenland a obtenu vendredi l'addition de neuf baleines à bosse (Megaptera novaeangliae) à son tableau de chasse annuel jusqu'en 2012. La chasse aborigène de subsistance est la seule autorisée sous le moratoire et la seule sous contrôle de la CBI, chargée d'attribuer des quotas au communautés du Grand Nord et de Sibérie extrême-orientale.

Le Groenland a obtenu l'autorisation de chasser la baleine à bosse Agrandir la photo Déboutés par deux fois de leur requête depuis 2008, les Inuits du Groenland, soutenus par le Danemark, ont âprement défendu à Agadir 'leurs droits à gérer leurs ressources marines' sur leur territoire. 'Nos droits seraient violés si nous ne pouvions obtenir cette autorisation', avait prévenu la veille la ministre groenlandaise des pêches et de la chasse, Ane Hansen, affirmant en outre que la population croissante de baleines dans ses eaux 'constituait une concurrence majeure pour les pêcheurs'.

Le comité scientifique de la CBI considère le stock de baleines à bosse du Groenland en suffisamment bon état pour autoriser cette ponction. Mais les pays anti-chasse étaient réticents à ouvrir une nouvelle espèce à la chasse groelandaise. L'Amérique latine, en particulier, en a fait une affaire de principe et apposé son droit à préserver les Megaptera novaeangliae qui traversent l'Atlantique à des fins de tourisme et d'observation.

Pour obtenir un feu vert de la CBI et sortir de l'impasse, l'Union européenne a négocié un compromis avec le Danemark, suggérant de réduire les prises de rorquals communs en échange des baleines à bosse (le Groenland a aussi droit à 212 petits rorquals). L'accord sera valable jusqu'en 2012, date à laquelle les quotas seront rééxaminés.

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WASHINGTON, 21 juin 2010 (AFP) - Des sénateurs américains ont écrit au président Barack Obama pour soutenir l'interdiction de la chasse à la baleine commerciale alors que s'ouvre lundi à Agadir (Maroc) la réunion de la Commission baleinière internationale (CBI).> La lettre rendue publique lundi par la Humane Society, une association de défense des animaux, a été initiée par la sénatrice républicaine Susan Collins et son collègue démocrate Carl Levin.

Ce courrier est diffusé au moment où la CBI, seul organe de gestion des populations de grands cétacés, doit se prononcer d'ici vendredi sur un projet d'accord qui lui permettrait de sortir de 25 ans de confrontation entre ses 88 membres depuis l'entrée en vigueur du moratoire sur la chasse en 1986.

La proposition prévoit de réduire le nombre des prises sur les dix prochaines années, mais revient à autoriser de fait la pêche commerciale sans préciser ce qu'il adviendra au terme de cette période intérimaire.

"La proposition légitimerait la chasse commerciale et établirait des quotas qui ne sont pas fondés sur des principes scientifiques", ont regretté les sénateurs.


La Norvège et l'Islande (qui ont dénoncé le moratoire) et le Japon (sous couvert de chasse scientifique) ont capturé plus de 1.500 baleines l'an passé, dont plus de 1.000 pour la seule flotte nippone, sur des quotas auto-attribués. ok/emp/sj

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