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L'actualité de la faune marine

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VANCOUVER, 22 juin 2010 (AFP) - Une béluga d'un an, une des pensionnaires fétiches de l'Aquarium de Vancouver, est morte à cause de "corps étrangers" trouvés dans ses voies respiratoires, a annoncé mardi la direction de l'établissement> Son nom a été choisi par consultation nationale. Nala est une abréviation de Nalautsaagaq, qui désigne un cadeau surprise en langue inuit.

Les employés de l'Aquarium, institut de recherche et attraction touristique à la fois, savaient que le petit cétacé blanc était malade et sous antibiotiques, mais sa mort, découverte lundi soir, les a surpris.

"Son comportement s'était amélioré, son appétit était revenu" a indiqué l'Aquarium dans un communiqué. "Elle continuait à jouer avec les autres bélugas et les moniteurs, et on ne s'attendait pas à la voir mourir".

"Les résultats préliminaires de l'autopsie ont révélé la présence de trois corps étrangers dans une poche unique dans ses voies respiratoires. (...) La poche s'est enflammée, provoquant une obstruction des voies respiratoires et une accumulation de liquide dans les poumons", explique le communiqué, sans préciser la nature de ces corps.

Une organisation de défense des baleines, Lifeforce, qui s'oppose à leur captivité, a affirmé qu'il s'agissait du 36e cétacé mort à cause de l'exploitation commerciale de l'Aquarium de Vancouver.

"Les besoins psychologiques et physiques des bélugas ne peuvent être satisfaits dans les aquariums-prisons", a affirmé à l'AFP un porte-parole de Lifeforce, Peter Hamilton.


Cinq autres cétacés blancs vivent dans l'Aquarium, qui défend son système d'alimentation des mammifères marins par les besoins de la recherche.

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LA HAYE, 24 juin 2010 (AFP) - Un orque a été capturé mercredi soir dans la mer des Wadden, au nord-ouest des Pays-Bas, et transporté dans un dolfinarium à Harderwijk (centre) pour y être soigné, a-t-on appris jeudi auprès du dolfinarium.> "Nous ne savons pas d'où il vient ni comment il est arrivé là", a ajouté le porte-parole, précisant que le mammifère marin, noir et blanc, est une jeune femelle d'environ 3,5 mètres de long, pesant environ 400 kilos et âgée d'un à trois ans.

L'orque, transporté dans un camion spécialement aménagé, restera dans un bassin du dolfinarium jusqu'à ce qu'il soit en état d'être remis en liberté et de subvenir lui-même à ses besoins, a expliqué M. van Plateringen.

Les orques vivent généralement en groupe dans des eaux plus profondes que celles de la mer des Wadden, notamment au large des côtes écossaises et à proximité de Gibraltar, selon Bert van Plateringen.

Un orque avait été observé pour la dernière fois dans la mer des Wadden en 1947, selon le ministère néerlandais de l'Environnement. En 1963, un orque mort s'était échoué sur une plage de Noordwijk (ouest), selon la même source.

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Groenland - Après avoir été débouté de sa demande à deux reprises, le Groenland a obtenu vendredi dernier, lors de la réunion de la Commission baleinière internationale (CBI) au Maroc, l'autorisation de chasser la baleine à bosse. Lire la suite l'article
Photos/Vidéos liées Le Groenland obtient l'autorisation de chasser la baleine à bosse Agrandir la photo Plus de photos Sciences


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Alors que la chasse commerciale à la baleine est interdite depuis 1986, la chasse aborigène de subsistance est la seule autorisée sous le moratoire et la seule sous contrôle de la CBI, chargée d'attribuer des quotas aux communautés du Grand nord et de Sibérie extrême-orientale.

Soutenus par le Danemark, les Inuits du Groenland ont été déboutés à deux reprises de leur demande depuis 2008. A Agadir lors de la dernière réunion de la CBI, ils ont défendu "leurs droits à gérer leurs ressources marines" sur leur territoire.

Le comité scientifique de la Commission a finalement estimé que le stock de baleines à bosse du Groenland était en suffisamment bon état pour autoriser cette ponction. Si les pays anti-chasse se sont montrés très réticents devant l'ouverture de la chasse groenlandaise à une nouvelle espèce de baleine, l'Union européenne a négocié un compromis avec le Danemark pour obtenir cette autorisation. Un compromis qui consiste à réduire les prises de rorquals communs de 10 à 19 en échange des baleines à bosse.

Vendredi, le Groenland a ainsi obtenu l'addition de neuf baleines à bosse à son tableau de chasse annuel. Cet accord sera valable jusqu'en 2012, date à laquelle les quotas seront réexaminés.

La CBI, qui a terminé ses travaux vendredi à Agadir, n'est pas parvenue à un compromis concernant le moratoire de 1986 sur la chasse commerciale à la baleine. La Commission avait proposé un accord consistant à annuler ce moratoire en échange d'une réduction des quotas des trois pays qui continuent à chasser la baleine : le Japon, l'Islande et la Norvège.

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PARIS, 29 juin 2010 (AFP) - Une toute petite population de baleines, entre 28 et 31 individus, a été recensée dans le Pacifique nord par des scientifiques américains qui soulignent sa grande vulnérabilité, directement liée à la surchasse soviétique des années 60.> C'est ce faible nombre de femelles qui rend l'avenir de cette espèce particulièrement incertain.

Cette découverte confirme le jugement de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) qui a classé cette population comme "en danger de disparition" - c'est-à-dire comptant moins de 50 individus.

Une autre population de baleines franches vit à l'ouest du Pacifique nord

Elle est également en danger et compte d'après les estimations moins de 900 individus. Ces deux populations n'ont aucun contact, elles sont donc bien distinctes, soulignent les scientifiques.

La baleine franche du Pacifique nord a été fortement exploitée par la chasse baleinière du XIXe siècle et par les pêches illégales de l'Union Soviétique dans les années 1960: sans cette chasse soviétique, la population aurait pu se remettre lentement des déprédations du siècle précédent, estiment les scientifiques.

L'équipe a utilisé la technique de "capture/recapture", une méthode de recensement classique en étude de la faune: elle consiste à capturer et à marquer des animaux puis à les relâcher

La proportion d'animaux marqués à la recapture permet d'évaluer la taille d'une population qui s'abstient de contacts avec d'autres représentants de son espèce, comme c'est le cas ici.

L'autre méthode utilisée consiste à prendre des photos aériennes et depuis des bateaux. Dans le cas de Eubalanaena japonica, ces deux techniques ont donné des résultats très proches : de 28 à 31 individus.

Aujourd'hui, ces baleines franches sont encore menacées par le trafic maritime: elles s'avèrent particulièrement exposées aux collisions avec les navires étant proches d'une grande ligne de transport maritime transpacifique.


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Le poulpe d'un aquarium anglais aurait comme étrange capacité de prédire les résultats des futurs matchs de football dans la Coupe du monde 2010. Si l'idée semble incroyable, beaucoup se tournent désormais vers le céphalopode afin de deviner la suite de la compétition.


Paul serait connu pour être une pieuvre médium. Grâce à un rituel qu'explique l'AFP, il pourrait être capable de prédire le gagnant d'un match à venir. Cela avait notamment été le cas avant la rencontre Angleterre/Allemagne. Deux plats recouverts des couleurs de chaque pays avaient été présentées au poulpe qui s'était alors sans hésiter dirigé vers la boîte aux couleurs allemandes. L'Allemagne a d'ailleurs remporté son match contre l'Angleterre 4/1 (voir article : Coupe du Monde 2010 : une pieuvre aurait prédit la victoire de l'Allemagne contre l'Angleterre).Et alors que l'Allemagne doit affronter l'Argentine en quart de final, le test a été renouvelé et Paul n'a pas hésité à désigner une nouvelle fois l'Allemagne comme la nation gagnante. Reste à attendre la rencontre pour voir si le poulpe a vu juste.

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PARIS, 29 juin 2010 (AFP) - Une toute petite population de baleines, entre 28 et 31 individus, a été recensée dans le Pacifique nord par des scientifiques américains qui soulignent sa grande vulnérabilité, directement liée à la surchasse soviétique des années 60.> C'est ce faible nombre de femelles qui rend l'avenir de cette espèce particulièrement incertain.

Cette découverte confirme le jugement de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN) qui a classé cette population comme "en danger de disparition" - c'est-à-dire comptant moins de 50 individus.

Une autre population de baleines franches vit à l'ouest du Pacifique nord

Elle est également en danger et compte d'après les estimations moins de 900 individus. Ces deux populations n'ont aucun contact, elles sont donc bien distinctes, soulignent les scientifiques.

La baleine franche du Pacifique nord a été fortement exploitée par la chasse baleinière du XIXe siècle et par les pêches illégales de l'Union Soviétique dans les années 1960: sans cette chasse soviétique, la population aurait pu se remettre lentement des déprédations du siècle précédent, estiment les scientifiques.

L'équipe a utilisé la technique de "capture/recapture", une méthode de recensement classique en étude de la faune: elle consiste à capturer et à marquer des animaux puis à les relâcher

La proportion d'animaux marqués à la recapture permet d'évaluer la taille d'une population qui s'abstient de contacts avec d'autres représentants de son espèce, comme c'est le cas ici.

L'autre méthode utilisée consiste à prendre des photos aériennes et depuis des bateaux. Dans le cas de Eubalanaena japonica, ces deux techniques ont donné des résultats très proches : de 28 à 31 individus.

Aujourd'hui, ces baleines franches sont encore menacées par le trafic maritime: elles s'avèrent particulièrement exposées aux collisions avec les navires étant proches d'une grande ligne de transport maritime transpacifique.

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Irlande - Au zoo de Dublin, un pingouin a été enlevé par plusieurs individus, avant d'être relâché au milieu de la ville. La police est actuellement en train d'enquêter.

Voilà une histoire que la police ne parvient toujours pas à expliquer. Jeudi 8 juillet, vers 08h00, plusieurs individus parviennent à entrer dans le zoo de Dublin, et s'emparent d'un pingouin. Les voleurs s'enfuient avec l'animal et prennent un taxi. L'animal est retrouvé alors à plusieurs kilomètres, vivant et sain et sauf, errant dans les rues de la ville après y avoir été abandonné.Et l'AFP de préciser que d'après les premières déclarations du chauffeur de taxi, témoin privilégié de la scène, les individus auraient mis le pingouin dans un sac, tentant de faire croire qu'il s'agissait d'un lapin. Le zoo quant à lui a remercié la police pour sa rapidité d'intervention avant de rappeler que l'accident n'a rien d'amusant. L'animal a retrouvé son enclos.

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Le 4 juillet, un dauphin de l'Aquarium Churaumi au Japon a voulu "échapper à sa captiivité en tentant à plusieurs reprises de quitter son bassin", rapporte The Guardian.

Selon Ric O'Barry, 70 ans, qui milite pour la défense des dauphins, cette vidéo montre à quel point les animaux souffrent lorsqu'ils sont en captivité. "Il voulait en finir. Pourquoi une personne saute d'un bâtiment?", dit-il au DailyMail.

Pour Hideshi Teruya, qui s'occupe du dauphin: "Il jouait et il a sauté par accident", selon le DailyMail.

Des scientifiques et les associations de défense des animaux s'accordent à dire que les mammifères marins ne devraient pas eêtre enfermés dans des parcs d'attraction. Les produits chimiques et les bactéries des bassins causent un grand nombre de mortalité parmi ces amuseurs à bas coût.

Je vous laisse une vidéo en anglais pour vous montrer comment les dauphins sont capturés dans la nature. Ce n'est pas beau à voir. Certains sont sélectionnés pour aller à l'Aquarium et quelques autres sont tués sous une petite tente blanche que vous pourrez voir dans la vidéo (l'exterieur seulement).

Il est temps d'arrêter ces attractions d'un autre âge. Soyez un consommateur responsable si vous décidez de payer pour des attractions de ce type.

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PARIS, 16 juil 2010 (AFP) - Les douaniers de Roissy ont saisi plus de 200 dents de poissons-scie, une espèce menacée d'extinction et protégée, lors de deux prises de colis sur un trajet Sénégal-Equateur, a annoncé vendredi la direction générale des douanes.> Grâce à l'assistance d'un expert zoologiste, ils ont finalement pu déterminer qu'il s'agissait en fait de 75 dents provenant de rostres de poissons-scies, espèces reprises à l'annexe I de la Convention de Washington

Ces dents de poisson-scie sont généralement utilisées comme des objets de décoration.

Le 6 juillet, une saisie similaire de 129 dents a été effectuée sur le même trajet. Après information du tribunal de grande instance de Bobigny, les 204 dents ont été saisies.

En 2009, les douanes françaises ont réalisé 501 constatations portant sur des espèces protégées et saisi 6.005 spécimens, dont 758 animaux vivants, 1.500 kg de coquillages, coraux et caviar, 229 animaux protégés naturalisés et 3.288 produits d'espèces protégées.

Le trafic illégal des espèces animales et végétales menacées d'extinction est la deuxième cause de leur disparition après la destruction de leur habitat naturel, rappellent les douanes, qui demandent aux vacanciers de ne pas ramener d'espèces de faune et de flore protégées comme souvenir de voyage.

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BREST, 19 juil 2010 (AFP) - Deux manchots papous et un manchot gorfou sauteur, des espèces qui vivent à l'état naturel autour des îles de l'hémisphère sud, sont nés les 25 et 26 juin à Océanopolis, ont annoncé lundi les responsables du parc de découverte des océans de Brest.> Couvés et nourris par régurgitation à tour de rôle par leur père et par leur mère, les petits qui pèsent entre 0,650 et 1,7 kg vont être regroupés en crèche d'ici quelque temps, comme dans leur milieu naturel.

Tous les ans, les manchots d'Océanopolis pondent jusqu'à deux oeufs par femelle à trois jours d'intervalle

Devenus adultes les jeunes papous, gorfous sauteurs et royaux issus de colonies qui regroupent chacune une dizaine d'individus, sont ensuite donnés à d'autre zoos.

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Dimanche, dans la baie de Granger, près du Cap, en Afrique du Sud, une baleine de 10 m de long et pesant 40 tonnes s’est attaquée à un voilier, l’écrasant à moitié.

Une enquête a été ouverte par les gardes-côtes sud-africains pour déterminer les causes de cette « agression », digne des « Dents de la mer », et les raisons de l’agressivité de cette baleine. Il se pourrait bien... qu'elle soit de la faute des plaisanciers: il est recommandé de ne pas s'approcher à plus de 300m d'une baleine. Dans leur cas, croit savoir sify news, la baleine s'est rapidement rapprochée pour faire surface à 10m de leur embarcation.

(Source vidéo: YouTube)

Paloma, qui était dans le bateau, raconte au Daily Mirror: "Je réalise la chance que nous avons eue. Les baleines se dirigent grâce au son. Moteur coupé, elle ne devait pas savoir que nous étions là. Nous étions dans le mauvais bateau au mauvais moment, mais cela dit, j'aime toujours les baleines."

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AEROPORT DE ROISSY, 16 juil 2010 (AFP) - Les douaniers de Roissy ont saisi 270 kg de civelles, des larves d'anguilles menacées d'extinction et protégées, sur un chargement en provenance d'Espagne et à destination de Hong Kong, a annoncé vendredi la direction générale des douanes.> C'est lors d'un contrôle de chargement de 70 colis, avec le concours de l'Office central de lutte contre les atteintes à l'environnement et la santé publique (OCLAESP), que les agents des douanes ont découvert 270 kg de civelles vivantes, précise le communiqué.

Les animaux seront prochainement réintroduits dans la Loire.

Depuis 2009, les Comités CITES de Bruxelles, en charge de la protection des espèces menacées d'extinction, ont décidé que seuls les Etats membres dont le plan de gestion " anguilles " était approuvé par la Commission européenne seraient autorisés à exporter des civelles

Aujourd'hui, la France est l'unique pays à avoir reçu l'aval de la Commission. Toutes les exportations de civelles sont strictement interdites depuis avril 2010 pour les autres pays européens

En 2009, les services douaniers français ont constaté 501 infractions portant sur des espèces protégées et saisi 6 005 spécimens, dont 758 animaux vivants, 1 500 kg de coquillages, coraux et caviar, 229 animaux protégés naturalisés et 3 288 produits d'espèces protégées

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Des tortues marines brûlées vives





Victimes de la marée noire américaine, les tortues marines sont également menacées par les techniques employées par BP pour endiguer la propagation du pétrole. La Fondation 30 Millions d’Amis salue l'initiative des associations US qui ont porté l’affaire devant les tribunaux.

Le scandale est révélé par les organismes Animal Welfare Institute (AWI), Animal Legal Defense Fund et le Center for Biological Diversity. Face au désastre écologique qui menace les côtes de Louisiane, BP, en concertation avec le gouvernement américain, a en effet recours à une technique rarement utilisée car extrêmement dangereuse, qui consiste à incendier des parcelles de la nappe de pétrole, entourées de barrages gonflables.

Mais cette méthode est en réalité fatale pour de nombreux animaux, en particulier pour les tortues marines : « Ces espèces ont une respiration pulmonaire, et doivent donc régulièrement remonter en surface pour respirer », précise Stéphane Ciccione, responsable de l’Observatoire des tortues marines basé sur l’île de La Réunion. Capturées par la nappe de pétrole brut, elles ne peuvent s’échapper et meurent dans les flammes.

Plus de 430 tortues marines auraient déjà péri, selon la plainte déposée par le collectif d’associations devant le tribunal fédéral de Louisiane (02/07/10). Et les conséquences à termes seront désastreuses : « Il est certain que l'impact sur les tortues et sur le littoral sera très important. Il faudra des années pour retrouver une situation normale », confirme Stéphane Ciccione.

Parmi les victimes, la tortue de Kemp, la plus petite des tortues marines, est classée par la CITES* en « danger critique d'extinction ». Même constat pour la tortue imbriquée, menacée elle aussi de disparition. En appliquant ce procédé incendiaire, la compagnie britannique enfreint la législation relative aux espèces protégées, sans pour autant réussir à vaincre la marée noire. « BP devrait plutôt concentrer ses efforts pour arrêter la fuite de pétrole. Mettre le feu ne fait que transférer le problème de l'océan vers l'atmosphère », s’indigne Stéphane Ciccione.

D’autres espèces de tortues, à l’instar de la tortue luth et de la tortue verte, auront peut-être la chance d’être épargnées. En Floride et en Alabama, les services fédéraux américains s’apprêtent à déplacer 70 000 œufs sur le point d’éclore afin de les préserver des eaux souillées, rapporte le site de Sciences et Avenir. Transportés de leur plage d’origine jusqu’à la côte atlantique de la Floride, les petites tortues pourraient naître en toute sécurité et migrer vers des territoires propices à leur développement.

Source : 30 millions d'amis

2010-07-21 21:45:00

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Tuerie de phoques gris sur l'Ile de Sable

L'Ile de Sable est située dans l’Atlantique nord, à environ 300 kilomètres au large de la Nouvelle-Ecosse, au Canada. Une colonie de 300 000 phoques gris y vit avec plus de 300 espèces d’oiseaux. On retrouve aussi 400 chevaux sauvages dont l’origine est attribuée à des naufrages de bateaux près de l’Ile. Dix-huit espèces de requins résident dans la région. L'Ile est une aire de mise-bas pour cette plus grande colonie de phoques gris au monde. 50 000 bébés-phoques naissent chaque année dans cet écosystème unique et fragile.

Depuis des années, l’industrie de la pêche commerciale fait un lobbying agressif auprès du gouvernement canadien pour qu’on abatte massivement les phoques gris de l’Ile de Sable. Selon les pêcheurs, les phoques sont à blâmer parce qu’ils mangent trop de morues.

Pour répondre à la pression croissante de ce lobby, le ministère canadien des Pêches et des Océans (MPO) envisage un massacre animalier de grande envergure étalé sur près de cinq ans. Lors de la première année près de 100 000 phoques seraient tués sur l’Ile : 50 000 bébés-phoques, 30 000 femelles et 20 000 mâles. Puis chaque année, pendant quatre ans, 30 000 autres phoques gris pourraient être abattus. Un programme annuel de vaccination contraceptive ciblant 16 000 phoques gris femelles est aussi envisagé comme deuxième option.

Ces recommandations pour éliminer ces phoques gris de l'Ile proviennent d’une étude commandée par le MPO, datant de 2009 et obtenue grâce à une demande d’accès à l’information par le journal The Coast. (1) Le coût total de la chasse et de l’élimination des carcasses pourrait s'élever à 35 millions $.

VIOLENCE SUR LES BÉBÉS ET LES MÈRES

Le carnage des phoques gris se déroulerait entre décembre et début février alors que les plages et les dunes sont couvertes de mères qui allaitent leurs bébés. On tuerait les phoques adultes à l'aide de fusils et les bébés soit avec un fusil ou un gourdin. Pour atteindre l’objectif de 100 000 phoques tués en 25 jours, il faudra tuer 10 phoques à la minute. Pour maintenir une telle cadence dans les tueries, on peut imaginer tout ce que cela peut comporter comme violence,cruauté et souffrance animale.

La grande question de cette élimination de masse est de savoir comment se débarrasser de toutes ces carcasses ? Des cadavres animaux qui ne serviront strictement à rien, puisqu’il n’y a pas de marché autant pour les peaux que pour la viande de phoque gris. Selon l’étude, il est extrêmement difficile d’envisager de sortir les carcasses de phoques gris de l’Ile car cela nécessiterait l'envoi de véhicules, de carburant, de travailleurs et d'abris. 100 000 carcasses totalisant un poids de 15 000 tonnes équivaut à 500 voyages par camion vers une installation d’élimination. Cette logistique est impossible à mettre en place dans un écosystème comme celui de l’Ile au Sable. On pense plutôt incinérer sur place les milliers de carcasses, pour ensuite jeter leurs cendres dans la mer.

UN CERCLE VICIEUX

Selon un porte-parole du MPO, toute décision visant à mettre en œuvre les recommandations de l'étude sera faite par la ministre Gail Shea. Ce qui est une très mauvaise nouvelle pour les phoques gris. C'est cette même ministre qui n'a pas hésité à augmenter les quotas lors de la chasse aux phoques du Groenland au printemps dernier, alors même que le manque de glaces empêchait la survie des bébés-phoques. Madame Shea a aussi donné son feu vert, en janvier dernier, pour une chasse de près de 39 000 phoques gris sur l'Ile de Sable, malgré l'opposition des écologistes. Un fonctionnaire du MPO Don Bowen a déclaré, lors d’une récente réunion publique, que si le gouvernement canadien autorise cette chasse à grande échelle sur l'Ile de Sable étalée sur cinq ans « ce n’est pas une décision scientifique, mais qu'elle est plutôt politique ou économique ».

En d'autres mots, ce massacre de milliers de phoques dans une aire de mise-bas ne sert qu’à répondre au lobbying agressif de l’industrie de la pêche commerciale qui depuis des décennies accusent les phoques de manger trop de poissons. D'après un rapport d'experts de l'ONU (Organisation des nations unies), les poissons pourraient disparaître des océans d'ici une quarantaine d'années. Et les coupables ne sont pas les phoques, mais plutôt certaines pratiques de la pêche commerciale qui depuis des décennies vident les océans sans aucune considération éthique ou écologique.

Même si on tue tous les animaux marins qui mangent du poisson, dauphins, belugas, requins, baleines ou oiseaux de mer, les morues ne reviendront pas, pas plus que les autres poissons. Tuer les phoques de l’Ile de Sable (ou d’ailleurs) pour renflouer les stocks de poissons n’est pas une solution à long terme, comme le confirme Mark Butler du Centre d'action écologique d'Halifax : « Si on commence à tuer les phoques pour préserver les morues, il faudra continuer pendant des siècles car la pêche a décimé leurs prédateurs naturels (tels les requins). C'est un cercle vicieux ».

Le ministre canadien de l'Environnement, Jim Prentice, a récemment envisagé de faire de l’Ile de Sable un parc national. Une décision saluée unanimement par les écologistes pour qui il faut protéger cette île à la biodiversité unique et aux écosystèmes de dunes de sable très fragiles. Mais cette protection ne semble pas s’appliquer aux phoques, encore victimes de la bêtise humaine.

http://www.lepost.fr...e-de-sable.html

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Lorient, France - Un veau marin vit actuellement à l'entrée de la rade de Lorient. Signalé depuis le 25 juillet, les autorités ont prévenu l'Océanopolis de Brest et plusieurs personnes se sont inquiétées de voir l'animal ainsi échoué.

Le phoque pourrait avoir décidé de ne pas suivre ses congénères afin de rejoindre une partie du littoral plus tranquille. Le centre de recherche de Brest, Océanopolis, a déclaré que même s'il est inhabituel d'observer des veaux marins dans le sud de la Manche, l'animal est en bonne santé.

Le veau marin semble simplement se reposer afin de reprendre des forces. L'animal solitaire est déjà là depuis plus d'une semaine et ne montre aucun signe annonçant son départ. Des touristes et des plagistes ont pourtant tenté d'approcher l'animal pour l'observer ou le photographier mais le phoque, perturbé, s'est caché en plongeant dans l'eau. Ce seraient ces plongées fréquentes qui l'empêcheraient de complètement se reposer. L'animal pourrait se lasser et quitter les lieux.

"Il peut rester six mois, voire plus, si l'endroit lui convient, s'il trouve suffisamment de nourriture", a expliqué Patrick Le Ménec, soigneur animalier au laboratoire des mammifères marins d'Océanopolis, "L'essentiel est qu'il ne soit pas trop dérangé. "

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Cinq pêcheurs polynésiens ont été attaqués par un banc de calmars qui ont coulé leur canot de sauvetage, rapporte La Dépêche de Tahiti.

L'incident, qui serait sans précédent, s'est produit au large de l'île de Maiao, en Polynésie française, dans la nuit de mercredi à jeudi, précise le quotidien.

Les pêcheurs, qui s'étaient réfugiés dans le canot après avoir découvert une voie d'eau dans leur bateau, se sont laissés dériver en attendant les secours.

Mais une fois l'obscurité venue, un banc de calmars longs de 50 centimètres a cerné le canot et l'a attaqué.

"Ils se sont débattus toute la nuit", explique Willy Hopuare, le capitaine du bateau qui les a repêchés jeudi matin.

"Les calmars attaquaient la paroi du radeau jusqu'à faire des trous. Les naufragés ont tenté de les boucher mais c'était impossible. A un moment donné, le canot s'est complètement dégonflé", ajoute-t-il.

"Lorsque nous les avons trouvés, ils nageaient, fatigués, surtout l'un d'eux qui a été blessé à la jambe."

Une fois le canot hors d'usage, les attaques des céphalopodes ont été peu virulentes contre les cinq hommes.

Selon les pêcheurs de Tahiti et de Moorea, aucune attaque massive de calmars contre des bateaux ou des hommes n'avait encore été recensée, et personne ne sait comment expliquer le comportement des ces animaux.

Daniel Pardon, édité par Jean-Baptiste Vey

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Caroline du Nord, États-Unis - Une plongeuse en apnée nage avec des requins.

Ashley Frutal, 27 ans, fait de la plongée en apnée. Sa particularité ? La jeune femme est descendue plus d'une centaine de fois nager avec les requins et s'est aussi faite photographier en compagnie d'un requin des sables. Nageuse confirmée depuis l'âge de 4 ans, Ashley Frutal n'a pourtant commencé la plongée en apnée qu'en 2007 mais est devenue depuis une véritable passionnée de ce sport.

"Je peux retenir ma respiration pendant 5 min et 15 secondes et je me sens plus libre de nager qu'avec un équipement de plongée", a-t-elle expliqué au Telegraph.

La jeune femme a déclaré que c'étaient ses techniques de respiration et de relaxation qui lui permettaient de nager avec les requins sans être effrayée et sans courir aucun risque. C'est en restant détendue qu'elle donnerait une "impression positive" aux créatures.

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VANCOUVER, 6 août 2010 (AFP) - Une espèce de poisson au moins se montre capable de s'adapter en l'espace de trois générations à survivre à un important changement climatique, selon une étude qui révèle la plus rapide évolution jamais enregistrée chez les animaux sauvages.> Des scientifiques canadiens et européens ont capturé des épinoches dans l'océan pour les mettre dans des bassins où ils faisaient descendre graduellement la température de l'eau.

Ils ont étudié le comportement des poissons pendant trois ans. Résultat: à chaque génération les poissons ont réussi à s'adapter jusqu'à pouvoir survivre dans une eau 2,5 degrés Celsius plus froide que celle dans laquelle leurs arrière-grands-parents seraient morts, selon l'étude mise en ligne sur internet en août et qui sera publiée le 7 septembre 2010 dans la revue britannique "Proceedings of the Royal Society B".

Les conclusions de ces recherches suggèrent que certains animaux au sein d'une espèce pourraient être capables d'évoluer assez rapidement pour survivre à des changements climatiques importants.

La majorité des études sur le climat publiées dans les revues scientifiques prédisent en effet que le niveau global des températures va augmenter graduellement de plusieurs degrés dans les décennies à venir, avec des vagues de chaleur et de froid extrêmes.

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PARIS, 10 août 2010 (AFP) - Le récit de cinq pêcheurs naufragés qui affirment avoir été attaqués par des calmars au large de l'île de Moorea (Polynésie) suscitait mardi un certain scepticisme chez les experts de la pêche et les scientifiques interrogés par l'AFP.> L'équipage n'avait été secouru que plusieurs heures plus tard, après avoir été repéré grâce à une fusée de détresse.

L'armateur du bateau de pêche, Victor Moureu, a confirmé lundi à l'AFP que le canot de survie, dont l'épave a pu être récupérée, présentait des entailles et que le marin a été sérieusement blessé. "On a vu l'os du tibia", a-t-il dit.

Pour Pierre Sasal, chargé de recherche au Centre national de Recherche scientifique et au Centre de Recherches Insulaires et Observatoire de l'Environnement, "l'avis général des personnes qui travaillent dans le milieu marin, c'est que ça paraît très très louche". "J'ai du mal à comprendre qu'un calmar puisse faire un trou dans un bateau", a-t-il ajouté.

Même scepticisme chez Cédric Ponçonnet, ingénieur au service de la pêche

"Des calmars qui, frénétiquement, se jettent sur un bateau pour le mordre, ça me semble léger". Selon lui, "ils peuvent être agressifs, mais seulement s'ils sont attaqués".

Arsène Stein, qui est biologiste marin dans le même service depuis 24 ans, n'a vu qu'une fois des calmars atteignant 50 centimètres en Polynésie. Il n'a "jamais entendu parler d'une telle attaque" et juge "bizarre que les calmars s'enfuient après avoir attaqué".

François Sarano, océanographe, ancien chef d'expédition du commandant Cousteau et co-auteur du film de Jacques Perrin, "Océans", est également très réservé : "Je n'ai jamais entendu pareille histoire en 40 ans de plongée et de navigation avec la Calypso de Cousteau et d'autres".

"Les seuls calmars connus pour être agressifs - et encore, entre eux - ce sont les calmars de Humboldt, qu'on trouve dans la mer de Cortez (Basse Californie) qui sont beaucoup plus gros, environ 1,50 m". Selon lui, "ils peuvent mordre".

A l'Institut français de recherche pour l'exploitation de la mer à Papeete, on juge cependant plausible le récit des pêcheurs, estimant que "de nuit, ça ne me semble pas impossible, d'autant plus que le canot gonflable peut ressembler à un cadavre de mammifère marin".

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Chuck Patterson est un passionné de sport à sensations fortes. Lire la suite l'article
Il y a quelques jours, alors qu'il faisait du surf (plus précisément du paddle surf pour les connaisseurs), il a vu deux requins tourner autour de lui pendant 15 minutes, comme il le raconte en légende de la vidéo.

Il a décidé d'y retourner mais cette fois-ci avec pour objectif de filmer les requins repérés lors d’une précédente session.

L’objectif a été atteint : il a rencontré deux requins de respectivement presque 3 mètres et d’un peu plus de 2 mètres. Même pas peur !

Publiée hier, sa vidéo fait un sacré carton puisqu'elle a déjà été vue plus de 477.000 fois !

Mis à jour par la rédaction du Post.


http://www.lepost.fr/article/2010/08/12/2181689_est-il-fou-il-part-surfer-avec-des-requins-video.html#xtor=AL-235

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Queensland, Australie - Un spécimen de baleine à bosse albinos très rare a été observé sur les côtes australiennes.

C'est la seule fois que Migaloo, qui signifie "l'ami blanc" en aborigène, a pu être filmé dans de bonnes conditions au large des côtes australiennes, près de la Grande Barrière de Corail. La vidéo sera utilisée pour créer un documentaire sur ce spécimen unique au monde. Deborah Ross, directrice d'une agence d'hélicoptères de la Grande Barrière de Corail a expliqué ses motivations au journal australien Cairn Post : "Migaloo est si précieux que pouvoir le filmer est devenu un objectif professionnel afin de pouvoir aider à sa protection." C'est la première fois que l'on filme Migaloo de façon professionnel a-t-elle ajouté. Le propriétaire des croisières Reef Magic a témoigné de cette expérience à couper le souffle : "Ça vous fait dresser les cheveux sur la nuque quand vous êtes avec lui". Les 70 passagers à bord du bateau de croisière ont pu observer l'animal plus de 5 heures. "Les gens étaient stupéfaits, ils pensaient être les personnes les plus chanceuses sur terre", a commenté Jenna Marino, qui travaille pour Reef Magic

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Lundi, des baigneurs ont alerté les pompiers après avoir aperçu un aileron au bord de la mer, alors qu’ils se trouvaient sur la plage de Cagnes-sur-Mer, dans les Alpes-Maritimes.

En zodiac, les pompiers se sont rendus sur place.

Des pompiers qui auraient effectivement aperçu un « gros poisson » de deux mètres de long avec un aileron, des branchies et un ventre blanc.

Selon eux il pouvait s’agir d’un requin.

Par mesure de sécurité, le drapeau rouge avait été hissé sur la plage et la baignade interdite sur les plages de Cagnes-sur-Mer, Villeneuve-Loubet et Saint-Laurent-du-Var, trois communes de la Côte d’Azur.

La panique n'aura été que de courte durée.

Puisque le fameux requin, n’était qu’un dauphin.

Un dauphin retrouvé mort, mardi, sur l’île de Saint-Honorat, au large de Cannes, précise Le Parisien.

Le dauphin présente les mêmes caractéristiques que le « requin » aperçu par les baigneurs au large de Cagnes-sur-Mer: même taille (2,5 mètres), même coloration bicolore et même nageoire dorsale.

Le Service départemental d’incendie et de secours (Sdis) « pense fortement que c’est l’animal marin » de lundi.

Le Sdis a indiqué que le dauphin était décédé à la suite d'un accouchement difficile.

Depuis mardi matin, la baignade est à nouveau autorisée sur les trois plages.

(source vidéo: BFM TV)

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Un troisième dauphin échoue au large de CannesPublié le jeudi 19 août 2010 à 00H00 - 1
Une femelle adulte mesurant 2,10 m, échouée sur les rochers de l'île St-Honorat, hier matin. Le troisième dauphin bleu et blanc que l'on retrouve mort au large de Cannes, durant ces huit derniers jours.
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/un-troisieme-dauphin-echoue-au-large-de-cannes

C’est le troisième spécimen retrouvé mort au large de Cannes ces huit derniers jours
Les temps sont durs pour les dauphins, au large de Cannes. Mercredi matin, un spécimen a encore été retrouvé mort, échoué sur les rochers de l'île St-Honorat, juste à côté de l'embarcadère.

« C'est encore un dauphin blanc et bleu, une belle femelle adulte mesurant environ 2,10 m, précise le commandant Véronique Vienet, vétérinaire en chef des sapeurs-pompiers.

L'animal est décédé il y a 4 ou 5 jours pour des raisons encore non identifiées car il était en état de putréfaction. Ce sont les conditions météo du week-end qui l'ont ramené sur nos rivages cannois. »

Morte après avoir mis bas

Des similitudes troublantes avec les deux autres dauphins de la même espèce, pour lesquels la mer a fait office de cimetière, ces derniers jours. Mardi, c'est une autre femelle de 2,05 m qui a dérivé jusqu'à St-Honorat, après avoir terrorisé le littoral cagnois, parce qu'on avait pris son cadavre pour un requin. Celle-ci était morte après avoir mis bas, selon le vétérinaire.

La semaine dernière, portée par les mêmes courants marins, la dépouille d'un jeune dauphin d'environ 1,50 m était également retrouvée à la pointe de la Convention (extrémité Est de l'île Ste-Marguerite).

Repêchés par les pompiers, tous sont soumis à des analyses strictes au laboratoire départemental, afin de déceler les causes exactes de leur mort.

Car s'il n'y a pas encore lieu de s'alarmer, cette succession macabre n'est pas sans poser de questions.

« C'est vrai qu'il n'est pas très logique de retrouver tous ces dauphins morts en cette saison, constate Véronique Vienet. La situation est à surveiller, mais il est beaucoup trop tôt pour évoquer un mobillivirus. »

Mobillivirus ? Une sorte de peste pour les cétacés, qui provoque des problèmes nerveux, respiratoires et digestifs sur les sujets contaminés. Importé d'Espagne en 1990, le virus avait décimé 160 dauphins bleu et blanc sur les côtes méditerranéennes françaises.

Les prémices d'une épidémie ?

L'épidémie était réapparue en 2003, puis en 2007 où 126 cétacés avaient péri, y compris de grands dauphins. Un animal particulièrement ciblé par la maladie de par ses moeurs grégaires et sa densité en Méditerranée qui favorisent la propagation du virus.

Depuis 2003, le laboratoire vétérinaire de l'Hérault effectue des recherches spécifiques sur le mobillivirus. Mais tout vaccin semble encore exclu, tant il serait compliqué de l'administrer à cette faune sauvage.

Au CODIS 06, Véronique Vienet confirme : « Épidémie ou pas, le stress animal suscité par la capture des dauphins pour les vacciner ferait peut-être davantage de dégâts que le virus, qui part comme il est venu. »

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http://www.nicematin.com/article/cannes/a-la-rencontre-des-dauphins-et-de-la-liberte

Au départ de Mandelieu, une balade nautique inoubliable permet de se jeter à l'eau au milieu des mammifères marins. Partir en mer nager avec des dauphins et autres mammifères marins : une expérience excitante et hors du commun. Mais lorsque l'on panique à l'idée de ne plus avoir pied dans l'eau, cela peut très rapidement devenir angoissant ! Mon goût pour le challenge l'ayant malgré tout emporté, me voilà mercredi à 7 h 30 sur le ponton de la base du bateau Annett (678, av. de la Mer, à Mandelieu).

À l'arrivée, viennoiseries et café nous attendent. Thierry et notre hôtesse, Sabine, sont là. Une fois les combis enfilées et les dernières mises au point effectuées, c'est le départ pour la Grande bleue. Il est 8 h 30.

1 914 mètres sous les pieds !

L'excitation mélangée de stress est au rendez-vous, vite oubliée lorsque quelques milles plus loin, au large du Cap d'Antibes, Thierry nous briefe en attendant l'arrivée de l'avion éclaireur, indispensable pour le repérage des mammifères.

Il est 10 h 30 et nous approchons le premier groupe de dauphins blanc bleu. À bord, on se prépare à effectuer notre premier plongeon. Ce premier saut dans l'eau est pour beaucoup une déception. Car les dauphins sont difficiles à approcher et même à voir ! Accompagnés de leurs bébés, ils sont beaucoup moins joueurs qu'à l'habitude, plus craintifs et plongent rapidement dans les profondeurs.

Une quinzaine de plongeons dans la journée

Mon troisième plongeon est le bon. ça y est, je les ai vus sous l'eau ! Absolument magique. De quoi oublier les 1 914 mètres de profondeur que j'ai sous les pieds... « Baleine signalée à 6 milles, crie Thierry. C'est " dorsale coupée ", lance-t-il en arrivant. Cela fait quatre ans que je la vois ici, elle a dû se faire blesser par un gros bateau, elle n'a plus de dorsale et a de grosses blessures sur le dos. » Elle nous fuit. Le deuxième rorqual commun croisé ne nous laissera pas nager avec lui non plus. Mais aurais-je vraiment été à l'eau avec une baleine de plus de 20 mètres à côté ? Pas sur ! Puis Thierry est informé que des dauphins Risso rodent dans le coin. Des dauphins quoi ? Oui, les dauphins blanc bleu, vus auparavant, sont plus petits (2,40 m maximum) et vivent ici en sédentaires. Alors que les dauphins Risso (3-4 mètres) sont transatlantiques et rares en Méditerranée.

Huit heures, une quinzaine de plongeons et quelques coups de soleil plus loin, nous retournons à la base après avoir sillonné toute la Côte d'Azur par le large, des images et des souvenirs pleins la tête. La dizaine de personnes présente semble avoir oublié l'investissement, tout de même conséquent, de 300 euros pour la journée (180 euros la demi-journée). Ce rendez-vous avec la liberté et la nature n'aurait-il pas de prix ?

Savoir +

Rens. 06.08.26.27.78 ou 04.93.49.72.43

www.nageaveclesdauphins.com

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Royaume des Tonga - La parade nuptiale des baleines à bosse a pu être filmée par un photographe aquatique juste avant l'accouplement.

Tony Wu, 40 ans, un photographe aquatique a assisté à la parade des baleines à bosse juste avant leur accouplement. Il est ainsi parvenu à filmer une baleine femelle poursuivie par plusieurs mâles avant qu'elle ne choisisse son partenaire. "Il n'y a aucun document rapportant un témoin de l'accouplement des baleines à bosse" a expliqué avec enthousiasme le photographe à la presse. M. Wu a ainsi pu expliquer que lors de la parade amoureuse, la femelle nage en compagnie de plusieurs mâles. Ces derniers se défient alors et paradent devant la femelle avant que celle ci ne se décide à choisir son partenaire. "Cela peut prendre longtemps, des heures et même des jours. Et cela peut devenir plutôt violent parmi les mâles" a-t-il raconté. Lorsque la femelle a décidé de celui qui deviendra son partenaire, ces derniers passent alors un long moment ensemble à nager. Chaque année les baleines à bosse de l'hémisphère sud se rendent ainsi sur les lieux afin de se trouver un partenaire, de mettre bas et de nager en groupe avant de retourner dans les eaux d'Antarctique pour de se nourrir.En images : La parade nuptiale des baleines à bosse a été filmée

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Bolivie - Des milliers de poissons et autres animaux aquatiques de l'Amazone ont été retrouvés morts au début du mois d'août dans plusieurs cours d'eau de Bolivie. Les scientifiques estiment qu'il s'agit de la pire catastrophe écologique survenue dans le pays.

Les cadavres de six millions de poissons mais aussi de milliers de tortues, de crocodiles et de dauphins des rivières, ont été découverts en Bolivie il y a quelques semaines. Vingt-sept espèces ont été touchées. Une hécatombe qui aurait pour origine une vague de froid alliée à un niveau d'eau extrêmement bas. "Dans les rivières près de Santa Cruz, il y a environ 1.000 poissons morts par 100 mètres de rivière" raconte Michel Jégu, chargé de recherches à l'Institut de recherche pour le développement (IRD). Cette impressionnante quantité de poissons morts engendre une grave pollution de l'Amazone, obligeant les villes voisines à trouver une source alternative d'eau potable.

Une enquête est en cours pour déterminer l'origine exacte de ce que les scientifiques estiment être la pire catastrophe écologique que la Bolivie ait jamais connue. Mais déjà, ils tiennent pour responsable la vague de froid qui a touché l'hémisphère sud en juillet, provoquant des chutes de neige dans des régions chaudes telles que le Chaco au sud-est bolivien. En juillet, la Bolivie est certes en hiver, mais la température a avoisiné 0°C à l'extérieur et 6°C dans l'eau soit dix degrés de moins que la normale. Cette vague de froid aurait également provoqué la mort de centaines de manchots sur les côtes du Brésil, et de milliers de têtes de bétail au Paraguay.

Alors qu'en Bolivie, les pêcheurs ont reçu l'interdiction de travailler dans les eaux polluées, les autorités ne disposent pas de moyens suffisants pour ramasser les animaux morts dans un environnement difficilement accessible. Elle craignent que des riverains se baignent dans l'eau où se décomposent les cadavres, qu'ils la boivent, ou encore qu'ils tentent de revendre les poissons morts

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Protéger les tortues marines au Congo






Le Parc Marin des Mangroves est un Parc naturel situé à l’embouchure du fleuve Congo sur l’Océan Atlantique, en République Démocratique du Congo. La faune qu'il abrite est très variée. On y trouve des lamantins, des varans du Nil ou des rats des roseaux. La côte est le refuge de nombreux oiseaux comme le vanneau, la civette ou la sterne. La région est principalement peuplée de communautés de pêcheurs et d'agriculteurs.

Dans leurs filets, les pêcheurs retrouvent souvent des tortues marines qui s'y sont emmêlées par mégarde. Même s'ils en relâchent quelques unes, d'autres sont vendues comme ornement ou pour être mangées. Les nids sont régulièrement pillés car les œufs de tortues sont très prisés dans la région.

On savait peu de choses sur les tortues riveraines du parc. C'est pourquoi, en septembre 2006, le WWF et ses partenaires locaux ont récolté des données afin de mieux cerner et combattre les menaces qui pèsent ces reptiles menacés.

Pendant 5 mois, des volontaires ont surveillé les plages et les marchés. Ils ont recensé le nombre de tortues qui venaient pondre et qui étaient vendues.

Nous avons pu voir que trois espèces de tortues marines: la tortue verte, la tortue luth et la tortue olivâtre, viennent pondre sur les plages du Parc.

Les écogardes chargés de la surveillance des plages ont eu la surprise de découvrir la présence d'une quatrième espèce.

Nzinga Makutu, chef d'équipe des écogardes raconte: "Un matin, notre équipe de surveillance a surpris un groupe de pêcheurs en train de manipuler une 'étrange' tortue. Il s'agissait en fait d'une tortue imbriquée, une espèce que nous n'avions pas encore rencontrée. Nous l'avons baguée et relâchée dans l'océan."

Maintenant que nous en savons plus sur les tortues qui vivent dans la région, nous sommes plus à même de les protéger. Le WWF continue son action. Nous développons actuellement un projet d'écotourisme dans la région. C’est dans ce cadre, que l’équipe de terrain du WWF a récemment découvert une tortue marine sur l'étal d'un marché. Elle a immédiatement contacté l'ICCN (Institut congolais pour la conservation de la nature) qui est intervenu pour libérer la tortue et la relâcher après l'avoir baguée.

Source : WWF

01/09/2010

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États-Unis - Le favori d'une course de kayak a dû abandonner sa course, frappé à la tête par une carpe volante.

Brad Pennington ne s'attendait sûrement pas à ça. Lors d'une course d'endurance dans la rivière Missouri, le favori âgé de 43 ans a été frappé durement à la tête par une carpe qui venait de sauter hors de l'eau. "C'était comme si j'avais reçu une brique", a déclaré Pennington, qui a dû se résigner à quitter la course quand le mal de tête s'est aggravé et que la douleur ne soit devenue trop insupportable. Le kayakiste rencontrait déjà quelques difficultés et était en train de se diriger vers le rivage quand le poisson de 13kg l'a atteint à la tête. La carpe est connue pour paniquer et sauter hors de l'eau lorsqu'elle voit passer des embarcations. "C'est définitivement un risque quand on navigue sur la rivière", a commenté Tracy Hill, chargé de projet pour le bureau de la vie sauvage, "c'est extrêmement sérieux. Ces choses peuvent vous tuer." Hill a déclaré avoir été frappé plusieurs fois par ces carpes volantes alors qu'il effectuait des tests sur la rivière. Mais, avertis, ses collègues et lui portent des casques durs pour se protéger des impacts de poissons.
Donnez votre avis, découvrez les photos et toute l'actualité insolite sur Zigonet

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http://www.nicematin.com/article/faits-divers/pampelonne-se-mobilise-pour-un-dauphin-blesse

Un dauphin bleu et blanc (1) s’est échoué, hier matin, sur le sable fin de Pampelonne. Blessée au niveau de la nageoire, cette femelle, d’un mètre vingt environ, s’est rapprochée des côtes par instinct de survie. « On a tout de suite appelé les pompiers. Elle voulait se laisser mourir, mais on l’a remise à l’eau et on l’a gardé dans nos bras en attendant l’arrivée des secours », racontent encore émus, Fabrice et Flo, employés de Tabou beach. Alertés par les plagistes, les pompiers de Saint-Tropez ont tout de suite tenté de calmer la femelle en détresse.

Relâché au large
L’adjudant-chef Christian Gobillard a été le premier à se mettre à l’eau. Après une demi-heure de caresses, les nouvelles ne sont pas bonnes. « Il se fatigue, il faut qu’on fasse quelque chose », lance le sauveteur, en voyant le dauphin perdre de plus en plus de sang.
Appelé lui aussi en renfort, Jean-Claude Dherment, représentant du parc national de Port-Cros et membre du Réseau échouage, examine rapidement l’animal. « Il y a un trou d’un centimètre environ entre la queue et l’estomac, et plusieurs hématomes autour. Ce n’est pas une balle, mais probablement un tir de harpon », précise-t-il, décontenancé.
Aucun vétérinaire n’étant disponible à ce moment-là, les pompiers décident d’emmener l’animal à mille mètres au large. « Aucun organe vital n’est touché. On espère que la blessure cicatrisera d’elle-même. » Les maîtres nageurs sauveteurs de Pampelonne, ainsi qu’un policier de l’environnement, se joignent à eux pour les aider à transporter le dauphin à bord d’un bateau pneumatique. La foule se presse sur le ponton de Tahiti Beach. « Il nous faut, une bâche, une serviette et un saut d’eau pour l’hydrater. Il faut faire vite. » L’embarcation fonce vers le large, à vive allure. « Allez, courage mon petit. » Le dauphin est enfin relâché. L’aileron sombre doucement en direction des abysses. « Il va peut-être s’en sortir », espère Christian.

Joie de courte durée
Hélas, au cours de la journée, la santé du cétacé s’est faite de plus en plus précaire. Moins de trente minutes plus tard, on retrouvait déjà la femelle dauphin en grande difficulté sur la plage de l’Épi. Les pompiers de Saint-Tropez tentaient de le ramener, encore une fois, vers le large. Sans succès. Vers 15 heures, on signalait à nouveau sa présence, à quelques kilomètres de là, sur la plage de l’Escalet.
Aux dernières nouvelles, l’animal a été relâché entre cap Camarat et Port-Cros. Ses chances de survie étaient cependant jugées infimes par les spécialistes.

1. Une espèce très répandue en Méditerranée. On estime que la population estivale s’élève à environ 250 000 cétacés.

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Les deux hommes ont volé de la chair de baleine, afin de dénoncer un trafic illégal. C'est eux qui ont finalement été condammnés.

On les surnomme les "Tokyo two". Deux militants de Greenpeace ont écopé d'un an de prison avec sursis ce lundi 6 septembre au Japon, pour avoir volé de la chair de baleine afin de dénoncer un "trafic illégal". Un verdict dénoncé par l'association de défense de l'environnement comme une menace pour la liberté d'expression.

Junichi Sato et Toru Suzukiexpliquaient depuis deux ans avoir eu vent d'un "trafic illégal" réalisé par un membre d'un navire de la flotte baleinière japonaise. Après avoir "intercepté" en avril 2008 une boîte de 23 kg de chair de cétacé, ils avaient organisé une conférence de presse pour annoncer leur découverte, puis remis leur "pièce à conviction" à un procureur de Tokyo. D'après eux, cette marchandise était destinée à être écoulée sous le manteau.

Attachés à leur chaise

L'enquête du parquet sur ce trafic présumé a été classée sans suite deux mois plus tard. Le jour même où "Junichi et Toru" ont été arrêtés pour vol, lors d'une spectaculaire opération de la police. Gardés à vue pendant vingt-six jours, les deux militants affirment avoir été interrogés sans assistance d'un avocat, jusqu'à trois fois par jour, en étant attachés à leur chaise.

"Bien que la peine soit assortie du sursis, elle est complètement disproportionnée, au regard du fait que les deux ont agi au nom de l'intérêt général et non pour leur gain personnel", dénonce Greenpeace. Les deux militants ont fait part de leur intention de faire appel.

En juillet, un autre opposant à la pêche à la baleine japonaise avait été condamné à deux ans de prison pour avoir blessé au visage un marin japonais.

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Au nom de la protection des animaux, les autorités australiennes ont interdit mercredi un numéro du Grand Cirque de Moscou au cours duquel une femme avalait un poisson vivant avant de le régurgiter.

Le ministère de l'Industrie et de l'Investissement de Nouvelle-Galles du Sud a estimé que ce spectacle, présenté par le cirque en tournée à Sydney, était cruel pour les animaux.

"Les recherches scientifiques montrent que les poissons sont capables de souffrance", a souligné Glenys Oogjes, responsable de l'association de défense des animaux, Animals Australia.

Un porte-parole du cirque a déclaré que le directeur de la tournée ne serait pas disponible pour commenter cette décision mercredi, pas plus que jeudi et probablement pas vendredi.

Pauline Askin, Pascal Liétout pour le service français

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Au restaurant Nishiki Sushi de Sacramento, en Californie, on peut commander un plat original: le «dancing shrimp» (crevette qui danse). Ou plutôt, on pouvait, jusqu'à ce que l'association de défense des animaux Peta (People for the ethical treatment of animals) ne s'émeuve de cette manière cruelle de manger des crevettes: servies vivantes, elles sont aspergées de citron et avalées alors qu'elles se débattent encore pour échapper à une mort acide.

Ce plat, très coté au Japon, n'a pas plu à PETA, qui a contacté le restaurant après avoir reçu plusieurs plaintes de clients outrés par le sort réservé aux crevettes. S'appuyant sur un rapport de la Queen's University de Belfast paru en 2007, PETA a rappelé que la souffrance des crevettes était bien réelle: les expériences menées par les chercheurs irlandais permettent de mesurer la douleur ressentie par la crevette lorsqu'elle est aspergée de citron.

«Comme nous avons reçu de nombreux appels, nous avons contacté Nishiki et leur avons expliqué que tout animal ressentait la douleur. Nous en avons des preuves scientifiques», a déclaré Amanda Fortino, coordinatrice de campagne pour PETA. «Ils ont accepté de ne plus vendre de crevettes vivantes, et nous en sommes satisfaits».

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http://www.nicematin.com/article/cannes/un-rorqual-fait-trempette-au-large-de-la-croisette

Habituée à nager au large, une baleine s'est aventurée tout près des côtes vendredi. Rarissime. Surtout en cette saison. Si improbable que l'on a d'abord cru à une plaisanterie. Un cétacé de cette taille au large de la Croisette, faut pas exagérer...

Et pourtant, ces photos envoyées, hier, par une de nos lectrices n'ont rien d'une mauvaise blague. Ce vendredi, alors qu'elle naviguait près des îles de Lérins, elle est bel et bien tombée nez à nez avec une énorme baleine. Ou plutôt avec un rorqual commun. Le deuxième plus grand mammifère de la planète après la baleine bleue. Il peut dépasser les 20 mètres de long.

Si sa présence en Méditerranée n'étonnera pas les spécialistes de la Grande bleue qui ont l'habitude de croiser des rorquals communs au large, le voir se balader si près des côtes est rarissime. Surtout en cette période de l'année. Les cétacés exècrent les vibrations provoquées par les moteurs de bateaux. Qui sont encore très nombreux en mer actuellement.

Une chose est sûre : ce rorqual a bien fait de choisir vendredi pour visiter Cannes. Car, il y a fort à parier que les 134 participants de la traversée des îles de Lérins hier (lire aussi en page 18) n'auraient pas aimé, mais alors pas du tout, croiser, en plein crawl, un animal de cette taille.

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Pierrefitte-Nestalas. Extraordinaire naissance de requins

http://www.ladepeche.fr/article/2010/09/08/901717-Pierrefitte-Nestalas-Extraordinaire-naissance-de-requins.html

Deux naissances surprenantes dans l’aquarium tropical. L’air pur des Pyrénées ne semble pas déplaire à nos hôtes, les requins dissimulés dans les eaux limpides de l’aquarium tropical!

Cette véritable curiosité au coeur des vallées nous rappelle étrangement qu’il y a quelques millions d’années, la mer régnait ici, des milliers de fossiles marins ayant laissé leurs empreintes sur certaines pierres de nos montagnes. C’est ici donc, à Pierrefitte- Nestalas, qu’une nouvelle surprenante provient de la nursery de l’aquarium tropical: la naissance d’un requin dormeur, le chiloscyllum punctatum!

Le petit requin, baptisé «Léo», attend l’arrivée imminente de sa soeur « Léa ». Elle a éclos trois jours après son petit frère. Les deux bébés se cachent timidement sous les rochers de leur aquarium, à l’abri des prédateurs… Les embryons se dissimulaient sous des capsules de couleur noirâtre semblables à des oeufs de cuir. À la naissance, ils mesuraient 15 cm.

« Léo » et « Léa », presque jumeaux, fêtent leur troisième semaine et commencent déjà à chasser dans leur mini-océan. Gérémy, actuel propriétaire et biologiste marin de métier, surveille attentivement le développement des bébés. Avant son arrivée à Pierrefitte-Nestalas, Gérémy exerçait en tant que plongeur professionnel à Tahiti, spécialisé sur l’étude de la perle de culture de l’écosystème récifal.

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Christmas Island, Australie - Des chercheurs britanniques expliquent dans le numéro de septembre du Journal of Experimental Biology le mécanisme énergétique qui permet chaque année aux milliers de crabes des forêts de l'île d'affluer vers leurs plages de ponte. Une invasion subie avec indulgence par les habitants humains.

C'est un phénomène bien connu des scientifiques et des populations locales : chaque année à la saison humide (octobre - novembre), les crabes rouges vivant dans les forêts tropicales de l'île australienne de Christmas, se mettent en marche vers les plages de l'océan Indien pour s'y reproduire. Les mâles creusent un terrier qu'ils défendent jalousement, et la femelle vient y pondre ses oeufs, qui écloront au contact de l'eau de mer.Mais comment ces crustacés habituellement sédentaires et peu actifs trouvent-ils l'énergie pour une telle migration ? C'est l'équipe de Lucy Turner, biologiste de l'université de Bristol (Royaume-Uni), qui a résolu l'énigme. En prélevant du liquide circulatoire - l'équivalent de notre sang - sur des spécimens, elle y a découvert un afflux d'hormone hyper-glycémique, interagissant avec le glucose pour fournir au crabe marcheur un "supercarburant". Le système endocrinien de l'animal lui permet en outre de réguler sa capacité d'accès au glucose de ses propres réserves énergétiques.Les crustacés, d'une vingtaine de centimètres de longueur, peuvent ainsi entreprendre leur randonnée de plusieurs miles à travers l'île. Une invasion pacifique qui contraint les golfeurs à modifier les règles de leur sport et les automobilistes à slalomer, sous les yeux des enfants scolarisés, promus agents de la circulation pour éviter l'écrasement des petites bêtes

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Afrique du Sud - Après avoir été percutée par un bateau, une baleine a choisi de se venger en envoyant au visage du pêcheur l'ancre de son embarcation.


Ainsi, le pêcheur explique que l'accident s'est déroulé dimanche 12 septembre au lever du soleil, alors qu'aucune baleine n'était à signaler à l'horizon. C'est alors qu'il naviguait qu'il a ressenti un choc, constatant avoir percuté une baleine. Il explique au quotidien Cape Times : "Quand nous l'avons vue, nous étions déjà au-dessus. Percuter une baleine, c'est comme cogner dans un rocher. Si elle avait remonté, nous aurions chaviré."Et un des skippers présents sur l'embarcation de préciser : "Quand nous avons percuté la baleine, l'ancre s'est envolée et a frappé (le pécheur, ndlr) à la mâchoire." Aujourd'hui l'AFP précise que le pêcheur va bien même s'il a été sonné par le choc.

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New York, États-Unis - Neuf rescapés victimes d'attaques de requins se sont rendus au siège des Nations Unies pour tenter de protéger l'animal menacé d'extinction.

Bien que toujours aussi impressionnant dans les esprits, le requin est aujourd'hui une espèce fragile qui serait menacée d'extinction. Ainsi, le Pew Environment Group explique à l'AFP qu'au moins 30% des espèces de requins recensées dans le monde seraient soit menacées soit quasi-menacées de disparaître un jour. Pour préserver ces espèces, plusieurs défenseurs inhabituels ont choisi de se battre. Il s'agit notamment d'individus ayant été victimes d'une attaque de requin un jour. Ainsi, Paul de Gelder, qui a perdu sa main et son mollet droit lors d'une attaque, explique à l'AFP : "On est en train de décimer la population de requins juste pour un bol de soupe", le requin étant notamment prisé pour son aileron et sa chair utilisée en cuisine. De plus, le requin aurait un rôle très important dans l'écosystème, ce que défendent ces neuf victimes de l'animal qui soulignent tout de même que les requins font plus peur qu'ils ne sont dangereux pour l'homme.

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Pérou - Des scientifiques ont identifié une nouvelle espèce de poisson chat, mangeur de bois, qui présente une forme de dents peu répandue.

Ce sont des scientifiques américains qui ont fait cette découverte le mois dernier au parc de Alto Purus au Pérou. Le poisson, long de 70 cm, a développé une bouche et des dents en forme de cuillère qui lui permettent de ronger le bois qui tombe dans l'eau de la rivière. Bien que les indigènes aient chassé pendant longtemps ce poisson en lui tirant dessus, c'est la première fois qu'un tel spécimen est capturé vivant par les scientifiques afin d'être étudié. Paulo Petry, professeur de zoologie à l'Université de Harvard, a déclaré que le poisson chat avait été découvert dans une zone où la biodiversité est dense mais qui se trouve menacé par le développement du pays. "Il semble être très difficile à capturer. Il faut donc utiliser des filets spéciaux ou leur tirer dessus. Comme il mange le bois on ne peut pas non plus les capturer avec une ligne de pêche", a expliqué le Professeur Petry à la presse.

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http://www.ouest-france.fr/region/bretagne_detail_-Pollution-dans-l’Odet-plus-de-20-tonnes-de-poissons-morts-a-Langolen_8619-1503396_actu.Htm

Pollution dans l’Odet : plus de 20 tonnes de poissons morts à Langolen
Faits divers mercredi 08 septembre 2010

Environ 270 000 truitelles ont péri.
Ouest-France
Un désastre pour la pisciculture bio installée à Pont ar Stang, dans la campagne de Langolen (Finistère). Cette nuit, une pollution a tué la totalité des truites arc-en-ciel de cette exploitation, directement alimentée par l’Odet. Entre 20 et 25 tonnes de poissons, environ 270 000 têtes, ont péri. Un employé, habitant sur place, les a trouvés flottant dans les six bassins de production, à 8 h, ce matin.

En cause ? Certainement une pollution due à un produit chimique répandu dans la rivière.


Une enquête de la gendarmerie est en cours. Selon les premiers éléments, le produit chimique aurait pu être déversé du haut d’un pont, à un kilomètre en amont de l’exploitation. Entre la pisciculture et ce pont, de nombreux poissons sauvages sont également morts.

Le pisciculteur, Régis Thomas, est sonné. « Des pollutions, ça arrive. Mais de cette violence, je n’en ai encore jamais vu. » L’homme, également exploitant de deux autres piscicultures à Brasparts et Pleven, chiffre son préjudice à 500 000 €. « Je viens de perdre un an et demi de production. »

Plus d'informations dans le journal Ouest-France



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La pêche, contestée, des espèces profondes - grenadier, flétan, sabre, lingue bleue, etc. - devrait continuer à être pratiquée en France, et défendue par Paris au niveau international. La mission 'Pêches profondes', mandatée par les ministères de l'agriculture et de l'écologie dans le cadre du Grenelle de la mer de juillet 2009, a rendu un rapport, jeudi 16 septembre, qui préconise la poursuite de cette activité, moyennant certaines améliorations. Et ce, malgré l'opposition des associations de protection de l'environnement qui réclament son arrêt total, considérant que la mission 'entérine la destruction des écosystèmes profonds'.

En dépit de l'opposition des ONG, la France soutient la pêche en eaux profondes Agrandir la photo Le sujet est très polémique. Les organisations non gouvernementales (ONG) ont quitté, début juillet, la mission présidée par le député (UMP, Loire-Atlantique), Philippe Boënnec, qualifiant son travail d''imposture'. 'L'enjeu, ce n'est pas seulement l'activité de pêche dans les zones sous juridiction française, qui sont assez limitées, estime Charles Braine, du Fonds mondial pour la nature (WWF). C'est aussi le positionnement de notre pays au niveau européen, où un nouveau règlement est en train d'être négocié, et au niveau international, où des discussions se déroulent aux Nations unies.' Le groupe réunissait, outre les écologistes, des représentants des pêcheurs, et des scientifiques.

Selon les ONG, les poissons qui vivent dans les grandes profondeurs (au-delà de 200 mètres) ne devraient pas être considérés comme de la nourriture. Leur longévité exceptionnelle (jusqu'à 160 ans pour l'empereur) et leur rythme de reproduction très lent les rendent particulièrement vulnérables. De plus, toujours selon les écologistes, les chaluts qui raclent les fonds ont des conséquences dramatiques sur les écosystèmes marins, détruisant coraux et éponges.

'Grande vulnérabilité'

La mission, dont le rapporteur est Alain Biseau, responsable halieutique à l'Institut français pour l'exploitation de la mer (Ifremer), partage ce constat. Elle se dit 'particulièrement consciente de la très faible productivité et de la très grande vulnérabilité des espèces et milieux profonds'. Cependant, elle introduit une distinction entre espèces. L'exemple de l'empereur, dont les stocks ont baissé de 80 % en vingt ans, 'ne semble pas représentatif'. Elle considère ainsi qu'une exploitation 'durable' de la lingue bleue et du sabre noir 'semble envisageable'. Elle est 'partagée' en ce qui concerne le grenadier.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr

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TAIPEI, 16 sept 2010 (AFP) - Les automobilistes empruntant les routes tout au sud de Taïwan sont priés de laisser la priorité aux crabes pendant la période de ponte, ont indiqué jeudi les autorités environnementales de la région.> Mais ce voyage, des bois à la plage, est dangereux car il leur faut franchir des routes, très encombrées le week-end à cause des visteurs, ont expliqué les responsables du parc national.

Deux portions de routes seront fermées à la circulation pour un total de six jours au cours des deux prochains mois, pour protéger les animaux, ont-ils ajouté.

Ils demandent aussi aux motoristes de ralentir lorsqu'ils traversent la région et de s'arrêter complètement si nécessaire.

"C'est choquant d'entendre le bruit des crabes écrasés sous les roues des voitures, et de voir ensuite leurs corps dispersés le long des routes", a déclaré Kuo Wei-mei, du parc national.

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NEW YORK, 22 sept 2010 (AFP) - L'Archipel de Palau (Pacifique) et le Honduras ont lancé mercredi un appel mondial pour la sauvegarde des requins, soulignant que la disparition du squale mettrait en péril l'avenir de la faune et de la flore des océans.> "Nous ne pouvons rester les bras croisés alors que les requins sont éradiqués", expliquent dans cette déclaration le président de Palau Johnson Toribiong et du Honduras Porfirio Lobo.

"Nous pensons qu'il est dans l'intérêt à long terme de nos pays d'avoir un écosystème océanique robuste et sain, ce qui n'est pas possible sans une population de requins en bonne santé", ajoutent-ils.

En 2009, Palau a créé le premier sanctuaire mondiale pour les requins, suivi en 2010 par le Honduras.

Chaque année, 73 millions de requins sont tués pour leurs ailerons, cuisinés en soupes très demandées sur le marché asiatique, une surpêche conduisant certaines espèces, comme le grand requin blanc, au bord de l'extinction

D'après les scientifiques, la disparition des requins, qui figurent au sommet de la chaîne alimentaire, déstabilise l'ensemble de l'écosystème marin.

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Quelque 80 cétacés avaient été trouvés échoués mercredi sur la plage de Spirits Bay, à 320 km au nord-est d'Auckland. Vingt-cinq étaient déjà morts et le ministère de la Protection de la nature avait appelé une centaine de volontaires pour tenter de maintenir les mammifères en vie.

Mais sur les 80 échouées, seules 24 étaient encore vivantes jeudi matin, a indiqué Carolyn Smith, responsable au ministère. Il est difficile de connaître le nombre exact de décès car des carcasses ont déjà été emportées au large, a-t-elle ajouté.

Des vagues immenses et la marée haute rendaient impossible la remise à la mer des baleines dans la baie de Spirits Bay. Le ministère envisageait d'utiliser des camions pour les transporter jusqu'à une baie plus abritée, à une heure de route.

C'est la deuxième fois en deux mois que des dizaines de baleines pilote s'échouent sur cette côte. Les scientifiques n'ont pas d'explication exacte à ce phénomène, mais ils pensent que cela peut être causé par une panne du sonar lorsque les baleines nagent en eau peu profonde, ou lorsqu'un membre malade s'égare et qu'il est suivi par les autres cétacés de son groupe.

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Nouvelle-Zélande - Vendredi 24 septembre, des responsables de l'environnement néo-zélandais vont déplacer la vingtaine de baleines pilotes survivantes parmi les 80 animaux qui se sont échoués mercredi sur une plage isolée.

Avec un poids pouvant atteindre 2 tonnes, l'enveloppement d'une baleine pilote, son hissage dans un camion et son transport sont des opérations délicates. Ce sont pourtant 24 de ces cétacés que des responsables du Département de la protection de la nature de Nouvelle-Zélande, aidés par des volontaires, vont tenter de transporter vers une plage propice à leur remise à l'eau. L'opération doit être réalisée avant que la déshydratation n'achève ces survivantes d'un groupe d'environ 80 baleines, trouvées échouées mercredi sur la plage de Spirits Bay, à 320 km au nord-est d'Auckland.Les conditions météo à cet endroit empêchent en effet les sauveteurs de les remettre à flot, ce qui nécessite leur transfert vers un rivage plus calme, à 50 km de là. Les scientifiques ignorent la cause exacte qui entraîne ces échouages de masse, dont l'un avait eu lieu deux mois plus tôt dans la même zone. Ils envisagent une perturbation du système d'écholocalisation des cétacés en eau peu profonde, ou un comportement grégaire les poussant à accompagner trop loin l'un de leurs compagnons malade.

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Un dauphin échoué sur une plage antiboise - Le décès du jeune cétacé d'1,70 m remonterait à quatre ou cinq jours.

Vincent ROSSOTTI

Le cétacé serait mort depuis quatre à cinq jours. Des analyses vont être réalisées pour en déterminer la cause
Macabre découverte, hier, sur le littoral antibois. Le corps sans vie d'un dauphin - certainement amené par la houle - gisait sur les galets de la plage du Fort Carré. Alertés par des promeneurs, les pompiers d'Antibes déjà présents sur les lieux pour une première intervention, ont aussitôt appelé le Groupement de Sauvetage Animalier (GSA) basé au Bar-sur-Loup.

Selon la vétérinaire du GSA : « Le décès du jeune cétacé de la famille du dauphin commun d'1,70 m remonterait à quatre ou cinq jours. Seules les analyses qui seront effectuées au laboratoire vétérinaire de Sophia Antipolis permettront d'en définir les causes ».

Non loin de là, à quelques mètres des côtes, des témoins disent avoir vu trois autres dauphins en pleine santé. Michaël Evrard, soigneur à Marineland, a son hypothèse : « Dans un soutien collectif, ils ont probablement suivi le dauphin malade pour l'accompagner dans cette épreuve. Celui-ci s'étant échoué sur les côtes, le groupe n'avait plus qu'à rejoindre le large ».M.S.

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Miami, États-Unis - Une centaine de militants se sont réunis jeudi devant le consulat japonais de Miami en Floride, pour protester contre la chasse des dauphins pratiquée au pays du soleil levant. D'autres manifestations étaient organisées dans des villes américaines et à travers le monde.

Ces actions ont eu lieu dans le cadre de la "Journée internationale de protestation contre les massacres de dauphins au Japon", afin de condamner un pratique cruelle relevant de la tradition comme de l'activité commerciale.Parmi les protecteurs des animaux présents à Miami devant le consulat du Japon, Ric O'Barry, le réalisateur du documentaire "La Baie de la Honte", qui a reçu un Oscar en dénonçant le massacre des dauphins dans la baie japonaise de Taiji. "Il est important d'envoyer un message fort au gouvernement du Japon sur ce massacre inutile des cétacés". Et celui qui fut soigneur et dresseur de cétacés pendant des années de se dire très optimiste "parce que si un nombre suffisant de manifestants font entendre leur voix à travers le monde, le gouvernement japonais se verra contraint de ne plus délivrer de permis".Les manifestants réunis dans de nombreuses villes à travers le monde, brandissaient des photos insoutenables de dauphins mortellement blessés, se débattant dans une mer rouge de sang. Chaque année, les pêcheurs de Taiji capturent environ 2.000 dauphins. Certains cétacés sont vendus à des delphinariums et des parcs aquatiques, tandis que les autres sont tués pour leur viande, vendue sur les marchés.

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Madagascar - Une nouvelle espèce de carnivore a été découverte. Ce mammifère, de la taille d'un chat, appartient à la famille des mangoustes, qui se trouvent uniquement dans l'océan Indien.


La mangouste Salanoia durrelli a été découverte à Madagascar et fait très certainement partie des espèces de carnivores les plus menacées au monde. Ce nouveau mammifère a été découvert près du lac Alaotra, le plus grand de l'île. Le fait qu'il s'agisse d'un animal carnivore mérite d'être souligné puisque le dernier carnivore découvert remonte à 1986.Il y a si peu d'individus vivant autour de ce lac malgache que cette espèce pourrait rapidement entrer dans la catégorie des espèces éteintes, comme l'explique Frank Hawkins de Conservation International : "Il s'agit sans doute de l'espèce de carnivore qui compte le plus petit nombre d'individus et qui est l'une des plus menacées. Les zones humides du lac Alaotra ont subi une pression considérable. Seuls de rapides efforts de conservation pour faire de cet animal un symbole permettraient d'éviter son extinction".

L'habitat de cette mangouste a en effet souffert de l'introduction de poissons, de l'ensablement et de la pollution par les engrais et les pesticides. Bien que l'état de conservation de l'espèce nouvelle reste soumis à évaluation, celle-ci est susceptible d'être menacée en raison du faible nombre d'individus, de sa distribution restreinte et de l'impact de la dégradation de son habitat.

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États-Unis - L'expédition Oceanlab a exploré les fonds océaniques durant trois semaines. Elle a permis de prendre 6.000 clichés à des profondeurs comprises entre quatre et huit kilomètres, grâce à l'utilisation d'une toute nouvelle technologie d'imagerie sous-marine.


Au cours de l'expédition Oceanlab, menée par des océanologues dans la zone longeant le Chili et le Pérou, les scientifiques ont découvert de nouvelles espèces animales. Certaines ont même été photographiées à des profondeurs allant de 4,6 à 8 km."Nos découvertes révèlent la présence d'espèces abondantes et variées à des profondeurs jusqu'ici perçues comme vierges de poissons. Elles nous amènent à repenser complètement notre vision des populations marines des profondeurs extrêmes" indique Alan Jamieson, qui a dirigé l'expédition De pareils constats ont été rendus possibles grâce à une nouvelle plateforme, équipée d'une caméra imbécileçue par Jamieson. Celle-ci, flottant durant plus de un jour, laisse échapper de la nourriture de façon naturelle et permet ensuite de photographier toute la faune attirée par les aliments.Des clichés de nouvelles espèces ou d'espèces connues mais jamais photographiées permettent notamment d'observer des anguilles, des amphipodes et des crevettes. A une telle profondeur, on trouve même une espèce de poisson-escargot blanc de 15 centimètres, capable de supporter la pression équivalant au poids de 1.600 éléphants sur le toit d'une Mini Cooper

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Des scientifiques australiens ont découvert que les dauphins apprenaient à marcher sur l'eau à l'aide de leur queue et l'enseignaient à leurs congénères.

Les dauphins apprennent à marcher sur l’eau

Les dauphins, connus pour aimer jouer, auraient développé la capacité de "marcher" sur l'eau à l'aide de leur queues ! Selon le scientifique Mike Bossley, qui a passé 24 ans à étudier les dauphins près des côtes australiennes, cette pratique nouvelle n'aurait pas d'autre fonction que d'amuser les mammifères.Le Dr Bossley a pu observer la marche sur l'eau de Billie et Wave, deux dauphins femelles. Ces dernières en utilisant leurs queues étaient capable de se déplacer au dessus de l'eau. Aujourd'hui, il semblerait que les deux femelles aient appris à leurs petits cette étrange pratique. Le Dr Bossley pense que Billie, qui a passé un temps dans un parc aquatique il y a 22 ans, est à l'origine de cette marche.Selon lui, marcher sur l'eau ne serait motiver que par le "plaisir" de cette activité, mais serait également lié à un tout nouvel aspect culturel. "La culture au sens large du terme définit l'apprentissage d'un comportement au sein d'une communauté", explique t il. Ce comportement culturel serait ainsi d'une grande importance pour la conservation de l'espèce.

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ATTENTION - ajoute détails sur l'attaque, âge et identité de la victime ///> "Une personne est morte après une attaque de requin, alors qu'elle faisait du bodyboard au large de Surf Beach", a annoncé dans un communiqué la base aérienne de Vandenberg, située à 215 km au nord-ouest de Los Angeles, et dont dépend la plage où a eu lieu l'accident.

"Nos équipes sont sur la scène de l'accident pour aider les enquêteurs", a précisé la base aérienne, qui a ordonné la fermeture des plages de la base pendant 72 heures.

Un communiqué du shérif du comté de Santa Barbara a précisé pour sa part que le jeune homme, Lucas McKaine Ransom, étudiant en chimie à l'Université de Californie à Santa Barbara, était âgé de 19 ans.

L'attaque a eu lieu à une centaine de mètres du rivage. La victime "a été très grièvement blessée à la jambe gauche et est apparemment morte peu après", ajoute le bureau du shérif.

Le jeune homme a été ramené sur le rivage par son ami, et les secours ont constaté sa mort à leur arrivée, précise-t-il encore.

Le requin à l'origine de l'attaque faisait entre 4 et 6 mètres de long et les autorités tentaient de déterminer s'il s'agissait ou non d'un grand requin blanc.

Le dernier décès dû à un requin blanc en Californie remonte à 2008. Un vétérinaire à la retraite de 66 ans avait été attaqué alors qu'il nageait avec des amis au large d'une plage de San Diego, dans le sud de l'Etat.

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