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L'actualité de la faune marine

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Luxembourg - Réunis à Luxembourg, les ministres de l'Agriculture et de la Pêche de l'UE ont rejeté l'idée soutenue par la Commission européenne d'une réduction substantielle des quotas de pêche au thon rouge.

Les États méditerranéens de l'UE ont à l'unanimité rejeté cette proposition qui avait pour but de reconstituer les stocks de thon rouge, une espèce menacée de disparition par la surpêche. Le ministre français de l'Agriculture, Bruno Le Maire, a ainsi plaidé en faveur d'un maintien du quota existant, soit 13.500 tonnes. "Les scientifiques estiment qu'un quota de 13.500 tonnes est raisonnable pour parvenir, en 2022, au rendement maximum durable, ce qui est l'objectif de la France", a-t-il estimé. Et d'ajouter : "Toutes les autres solutions, notamment celles de quotas plus restrictifs de 6.000 tonnes par exemple, entraîneraient la suppression de 500 emplois de pêcheurs en France".Selon le dernier rapport du comité scientifique de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (Iccat), un maximum de 13.500 tonnes de captures laisserait une probabilité de 63% à la population de thons rouges de se reconstituer d'ici à 2022. Un quota de 6.000 tonnes permettrait de relever cette probabilité à 100%, et c'est cette réduction que proposait la Commission européenne.A Luxembourg, les ministres européens devaient discuter d'une position commune en vue de la prochaine réunion de l'Iccat, qui se tiendra à Paris du 17 au 27 novembre prochain.

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OTTAWA, 29 oct 2010 (AFP) - Les Inuits canadiens ont annoncé vendredi qu'ils allaient faire appel de l'interdiction du commerce des produits dérivés du phoque en Europe, estimant que le maintien de cet embargo par la justice européenne démontrait les "perceptions coloniales" des 27.> "Nous avons l'intention d'interjeter appel de cet arrêt car nous estimons que l'embargo (...) sur la chasse (au phoque) repose sur des perceptions coloniales de nos pratiques de chasse", a déclaré dans un communiqué Mary Simon, présidente de l'Inuit Tapiriit Kanatami (ITK).

La principale organisation inuit du Canada est appuyée dans sa démarche par l'Institut de la fourrure du Canada (IFC), dont le directeur exécutif, Rob Cahill, a dénoncé une législation "discriminatoire et injuste" qui "ne fait absolument rien pour protéger la faune marine".

L'ITK et 15 autres organisations avaient déposé un recours devant la justice européenne demandant la suspension de cet embargo. Elles avaient obtenu partiellement gain de cause en août quand un juge du tribunal de l'UE avait décidé de suspendre la mesure, le temps d'examiner leur recours.

Deux mois après, la Cour de Luxembourg a finalement tranché en faveur des Européens.

"Nous allons continuer à utiliser toutes les possibilités qui s'offrent à nous - judiciaires, politiques, opinion publique - pour démontrer l'injustice fondamentale (de cet embargo consistant) à punir les Inuits en raison de l'exercice de notre mode de vie", a assuré Mme Simon.

La responsable inuit a par ailleurs déploré que, selon elle, "une majorité de parlementaires européens continuent d'être aveuglés par un ensemble d'attitudes coloniales anciennes et décrédibilisées, ainsi que par une campagne cynique de désinformation menée par les défenseurs des droits des animaux".

L'embargo européen interdit le commerce de produits provenant de toutes les chasses commerciales au phoque, où que ce soit dans le monde, tout en protégeant la chasse des Inuits et autres peuples autochtones.

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SYDNEY, 30 oct 2010 (AFP) - Un requin a attaqué et légèrement blessé d'une morsure à la hanche une nageuse australienne dans les eaux de l'océan Indien bordant l'Australie occidentale au sud de la ville Perth, ont indiqué samedi des responsables.> La jeune femme, qui a reçu les premiers secours à la base navale avant d'être évacuée par hélicoptère vers un hôpital de Perth, a raconté aux secouristes que son attaquant était un requin blanc de trois mètres de long, ont rapporté des médias.

En août dernier un surfer de 31 ans était mort déchiqueté par un requin près de Gracetown, également au sud de Perth.

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TAIJI (Japon), 2 nov 2010 (AFP) - Le défenseur des dauphins Richard O'Barry, personnage principal du documentaire "The Cove, la baie de la honte", a boycotté mardi une rencontre organisée avec le maire du port japonais de Taiji, en dénonçant ce qu'il appelle une "farce".> Mais il a brusquement décidé de repartir, après avoir accusé les organisateurs d'avoir rompu leur promesse en limitant l'accès de la presse et en l'empêchant d'avoir "un franc dialogue".

"Cette conférence a tourné à la farce totale", a dit M. O'Barry dans un communiqué. "Je n'y prendrai part d'une aucune façon. Je vais boycotter cette mise en scène honteuse."

Des représentants de groupes de défense de l'environnement, comme Sea Shepherd, la Fondation Whaleman et le Fonds Mondial des Océans (World Ocean Fund) doivent participer au débat. Les organisateurs ont invité la presse mais le grand public n'a pas été admis pour des raisons de sécurité.

Le documentaire "The Cove, la baie de la honte", récompensé par un Oscar à Hollywood en mars, a été réalisé par Louie Psihoyos au moyen d'images chocs, souvent prises à la dérobée, en pleine nuit à Taiji.

Chaque année, de septembre à avril, les pêcheurs de ce port du centre-ouest du Japon capturent quelque 2.000 dauphins dans une baie fermée, dont certains sont vendus à des aquariums ou à des parcs d'attraction pour des spectacles marins, les autres étant tués pour être mangés.

Les pêcheurs japonais, qui chassent aussi la baleine, reprochent aux militants écologistes d'ignorer la tradition de la chasse aux cétacés pratiquée depuis des siècles dans l'archipel.


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Chers amis,

De nombreuses baleines figurent parmi le tiers des espèces menacées d'extinction sur notre planète. Les gouvernements du monde entier se réunissent cette semaine pour envisager un plan amibitieux visant à protéger 20% des océans et des terres du monde d'ici à 2020. Il nous reste 4 jours et un appel public mondial pourrait faire pencher la balance. Cliquez pour signer la pétition en soutien au plan 20/20 et faites suivre ce message:

Il ne reste que 300 baleines franches de l'Atlantique Nord, et 99% des baleines bleues ont été anéanties. Ces géants majestueux sont des espèces en péril, et leur cause est régulièrement défendue de par le monde. C'est en fait un tiers de toutes les espèces vivantes de la planète qui sont aujourd'hui sur le point de disparaître.

Le monde vivant est progressivement détruit par l'activité humaine, le gaspillage et l'exploitation. Mais il existe un plan pour le sauver -- un accord mondial visant à créer, financer et imposer des aires protégées recouvrant 20% de nos terres et océans d'ici à 2020. Et en ce moment même, 193 gouvernements se réunissent au Japon pour répondre à cette crise.

ll ne nous reste que 4 jours pour peser sur cette rencontre cruciale. Les experts estiment que les responsables politiques hésitent à adopter un objectif aussi ambitieux mais qu'un appel public mondial pourrait faire pencher la balance, montrant à nos dirigeants que les citoyens ont les yeux rivés sur eux. Cliquez pour signer la pétition urgente "20/20" et faites suivre largement cet email -- notre message sera présenté directement à la réunion au Japon:

http://www.avaaz.org/fr/the_end_of_whales/?vl

Paradoxalement, 2010 est l'Année Mondiale de la Biodiversité. Aujourd'hui, nos gouvernements étaient censés avoir "réduit de façon significative le taux actuel de perte de biodiversité". Ils ont échoué, cédant systématiquement aux industriels lorsqu'il y avait un choix à faire entre les profits à court terme et la protection des espèces. Nos animaux, plantes, océans, forêts, sols et rivières étouffent sous l'immense fardeau de la surexploitation, ainsi que d'autres formes de pression.

Les humains sont la principale cause de cette destruction. Mais nous pouvons inverser la tendance -- nous avons déjà réussi à sauver des espèces de l'extinction. Les causes du déclin de la biodiversité sont nombreuses, et l'arrêt du processus passera par un changement de cap, loin des promesses vides, décousues et sans engagement financier, et cette fois vers un plan audacieux prévoyant une application stricte et un financement sérieux. C'est exactement ce qu'offre le plan 20/20: les gouvernements seront contraints de réaliser des programmes stricts pour s'assurer que 20% de notre planète sera protégée d'ici au délai de 2020. Et ils devront pour cela augmenter massivement les financements.

C'est maintenant qu'il faut agir. Partout dans le monde, le tableau commence à s'assombrir -- il n'y a plus que 3 200 tigres à l'état sauvage, nos océans se vident de leurs poissons, et nous sommes en train de perdre des sources d'alimentation uniques au profit de grandes monocultures. La nature est résistante, mais c'est à nous de lui donner les moyens de rebondir. C'est pourquoi cette réunion est décisive -- c'est un moment crucial pour accélérer les actions mises en oeuvre sur la base d'engagements clairs capables de préserver le capital naturel.

Si nos gouvernements perçoivent une pression publique écrasante en train de s'exercer et les appelant à agir avec courage, nous pourrons les convaincre de s'engager à suivre le plan 20/20 à l'occasion de cette réunion. Mais il faudra pour cela que chacun de nous fasse écho à ce message adressé aux responsables présents au Japon. Signez la pétition urgente ci-dessous et diffusez-la largement.

Cette année, les membres d'Avaaz ont déjà joué un rôle central dans la protection des éléphants, la défense du moratoire sur la chasse commerciale à la baleine, et la création de la plus grande Aire Marine Protégée dans l'Archipel des Chagos. Notre mouvement a prouvé être à même de se donner des objectifs ambitieux - et de gagner. Cette campagne est l'étape suivante dans le combat essentiel visant à créer le monde que la majorité d'entre nous désire -- un monde où les ressources naturelles et les différentes espèces sont appréciées à leur juste valeur et où la planète est protégée pour les générations futures.

Avec espoir,

Alice, Iain, Emma, Ricken, Paula, Benjamin, Mia, David, Graziela, Ben, et le reste de l'équipe d'Avaaz

Sources:
Biodiversité: un constat sombre et alarmant, Romandie/AFP:
http://www.romandie.com/infos/news2/101015100956.yfxw4l2e.asp

La biodiversité doit devenir un des indicateurs de la richesse et du bien-être, Le Monde:
http://www.lemonde.fr/idees/article/2010/10/19/la-biodiversite-doit-devenir…

A propos de la Conférence sur la biodiversité, IUCN
http://www.iucn.org/fr/ressources/nouvelles/focus/cbd_2010/conference/

Informations sur la réunion de la Convention sur la Biodiversité
http://www.cbd.int/cop10/

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http://www.nicematin.com/article/actualites/des-poissons-flutes-captures-pour-la-premiere-fois-au-large-de-cap-d%E2%80%99ail
Des "poissons-flûtes" capturés pour la première fois au large de Cap-d’AilPublié le mardi 02 novembre 2010 à 08H14 - 4
Pour la première fois sur le littoral azuréen, des « poissons-flûtes », espèce originaire de la Mer Rouge, ont été capturés au large de Cap-d’Ail.
Éric Dulière

Cette espèce de poissons tropicaux, originaire de la Mer Rouge, n’y avait jamais été capturée.
En remontant ses filets au large de Cap-d’Ail, mercredi dernier, Gérard Rinaldi, pêcheur monégasque, a eu une heureuse surprise. Trois « poissons-flûtes » sont venus se glisser dans sa pêche. Une première sur le littoral azuréen, car cette espèce de poissons tropicaux, originaire de la Mer Rouge, n’y avait jamais été capturée. La « fistulaire », autre nom donné à ce poisson, avait déjà été aperçue près des côtes italiennes en 2002 et en 2007. Elle avait été introduite en Méditerranée via le canal de Suez. Cette espèce au corps allongé mesure près d’un mètre.

Exposition à Monaco
Identifiés par Pierre Gilles, responsable des aquariums du Musée océanographique de Monaco, les poissons-flûtes seront visibles à partir du 19 novembre au sein de l’établissement. Une exposition, baptisée « Méditerranée », permettra d’en savoir plus sur l’évolution de la mer et l’apparition, dans ces eaux, de nouvelles espèces.

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Taiji, Japon - Ce mardi 2 novembre, Richard O'Barry, dresseur de dauphins et personnage principal du documentaire The Cove, la baie de la honte, devait rencontrer le maire de la ville japonaise de Taiji, ainsi que des pêcheurs de dauphins, qui tuent chaque année 2.000 cétacés dans le petit port (voir notre article). Mais le protecteur des dauphins a finalement décidé de ne pas participer à cette rencontre.

Richard O'Barry, ancien dompteur de dauphins pour la célèbre série Flipper, s'est rendu à Taiji, dans le but de participer au débat sur la chasse aux cétacés, qui devait réunir le maire Kazutaka Sangen, des membres du syndicat local des pêcheries et les représentants de plusieurs associations écologistes.Mais alors que la rencontre devait être ouverte à la presse, le personnage principal du documentaire The Cove, qui fait la lumière sur le massacre de dauphins qui a lieu chaque année dans le petit port de Taiji, accuse les organisateurs du débat de ne pas avoir tenu leur promesse, en limitant l'accès de la presse et en l'empêchant d'avoir "un franc dialogue". S'insurgeant contre cette "farce", Richard O'Barry a décidé de boycotter la rencontre. "Cette conférence a tourné à la farce totale", a-t-il déploré dans un communiqué. "Je n'y prendrai part en aucune façon. Je vais boycotter cette mise en scène honteuse".Le débat a malgré tout eu lieu, les représentants de groupes de défense de l'environnement comme Sea Shepherd, la Fondation Whaleman et le Fonds mondial des océans (World Ocean Fund) ayant décidé d'y participer. Chacun est resté campé sur ses positions, les pêcheurs défendant leur culture et leurs traditions, les écologistes tentant de les convaincre de mettre un terme au massacre des dauphins qui se déroule chaque année, de septembre à avril, dans le petit port du centre-ouest du Japon. 2.000 cétacés sont capturés tous les ans, certains d'entre eux pour être cédés à des aquariums, et la majorité pour être tués et vendus pour leur viande.

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Un jeune adolescent de 14 ans s'est allongé sur une baleine près de Perth, en Australie. En apprenant que ce qu'il avait fait été interdit, il s'est aussitôt excusé.

A 14 ans, Sam Matheson a vécu une incroyable expérience. Alors qu'il se baignait avec une amie au sud de Perth, en Australie, il aperçoit une baleine non-loin d'eux. Curieux, l'adolescent décide alors d'approcher doucement l'animal, jusqu'à le toucher. "Je me suis rapproché de lui et l'ai touché avec mes bras, je me suis en quelque sorte allongé sur lui pendant 20 à 30 secondes, avec de l'eau jusqu'à ma taille (...) Cela ressemblait à du cuir, du cuir très lisse, très doux. Cela ne faisait pas peur, c'était juste : eh mec, c'est une baleine !", explique Sam à la presse locale. Le mammifère, qui ne s'est pas tout de suite rendu compte de la présence du jeune homme, a ensuite plongé dans l'eau. Mais ce que Sam ignorait, c'est que cet acte est illégal en Australie. En effet, la loi interdit quiconque de perturber ou d'approcher les espèces protégées. L'adolescent s'est alors excusé, échappant ainsi à une amende de 9 000 dollars (6 500 euros). L'aventure du jeune homme avait été rendue publique après la publication de clichés d'un photographe amateur montrant la scène.

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http://www.ledevoir.com/international/actualites-internationales/309839/en-bref-produits-du-phoque-l-embargo-reactive

En bref - Produits du phoque: l'embargo réactivé
La Presse canadienne 29 octobre 2010 Actualités internationales
La Cour de justice de l'Union européenne, qui avait suspendu la mise en œuvre de l'embargo sur les produits du phoque dans les heures précédant son entrée en vigueur en août, a levé hier cette injonction.

Bien que l'embargo exclut spécifiquement les produits du phoque issus de la chasse traditionnelle inuite, ceux-ci, de même que des regroupements d'entreprises et de chasseurs de phoques contestent toujours la légalité de l'embargo. Le président de l'Association des chasseurs de phoques des Îles, Denis Longuépée, n'écarte pas la possibilité de voir l'ensemble des groupes en appeler de cette décision.

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ENVIRONNEMENT 12/7/2010 -www.ilemaurice-tourisme.info > page d'accueil
Diva s’engage dans la protection des requins baleines


"Diva" le fleuron du groupe Naïade aux Maldives s'engage dans la protection des requins baleines.







Les Maldives regroupent les plus beaux sites de plongée sous-marine, sites dans lesquels vivent les requins baleines, une espèce menacée. Cet immense requin est totalement inoffensif pour l'homme, en effet il se nourrit uniquement de plancton, de krill, d'algues, de petits crustacés, de petits calamars ou de petits poissons. Il est chassé pour ses ailerons. Aujourd’hui, le requin baleine est menacé car le premier niveau d’extinction de l’espèce a déjà été atteint, selon l’Union Internationale pour la Conservation de la Nature.

Diva, luxueux hôtel des Maldives, est devenu un parrain phare de la FenMaaDhiguRan, la première plus grande zone de protection marine (ZPM) totalement réglementée des Maldives. Diva est le tout premier établissement hôtelier, situé dans la ZPM, à s'engager à soutenir ce projet pilote de conservation à travers des initiatives de collecte de fonds.

Ainsi, Diva a introduit un pourboire volontaire permettant à ses clients de contribuer activement à la conservation des requins-baleines et de leur habitat. Diva a également fait équipe avec le Programme de Recherche sur les Requins Baleines des Maldives afin d’organiser un programme d’échange scolaire entre l’école avoisinante de Dhigurah et le Brockhill Park Performing Arts College dans le Kent, Royaume-Uni.

L’hôtel, fleuron d'un des plus importants groupes hôteliers de l'île Maurice, a accueilli un groupe d'étudiants de Brockhill Park. Ces derniers ont rendu visite aux écoliers de Dhigurah afin d’en apprendre plus sur leur vie aux Maldives. Les Britanniques ont pu découvrir et apprécier la culture et l’environnement uniques des Maldives..

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HELSINKI, 11 nov 2010 (AFP) - La colonie de phoques annelés du lac Saimaa, une espèce en danger vivant autour de ce lac de l'est de la Finlande, a légèrement augmenté l'an dernier grâce à une campagne de préservation, ont annoncé jeudi des scientifiques.> "Les habitants de la région font très attention aux tanières et évitent de pêcher au filet", principale cause de mort des phoques adultes, a expliqué à l'AFP un porte-parole de l'agence gouvernementale pour les forêts et la conservation, Metsähallitus.

Les habitants locaux "semblent avoir très bien compris à quel point ils doivent faire attention" afin de protéger cette espèce de phoques en voie d'extinction, a ajouté ce porte-parole, Matti Määttä.

Selon lui, la croissance de population est quasiment totalement due à un groupe de phoques comptant 90 individus et qui s'est établi dans une région du lac appelée Pihlajavesi.

En plus de l'attention particulièrement élevée des habitants locaux, la région de Pihlajavesi a pris des mesures supplémentaires afin d'empêcher tout empiètement sur les zones préférées des phoques.

"La population de phoques de Pihlajavesi se porte bien, mais les autres sont toujours dans une situation particulièrement critique", a affirmé M

Määttä.

Selon lui, l'un des problèmes vient du fait que les différents groupes de phoques vivant autour du lac sont isolés les uns des autres.

Il a cependant souligné la faculté "miraculeuse" de ces animaux à protéger la diversité génétique malgré la petite taille des groupes d'individus.

Le phoque du lac de Saimaa est une sous-espèce du phoque annelé, devenu mammifère d'eau douce il y a environ 9.500 ans lorsqu'il s'est retrouvé piégé autour du lac par la fonte des glaces.

En 1980 les phoques du lac Saimaa n'étaient que 150. Grâce aux mesures de protection, leur nombre est remonté jusqu'à 280 mais de récents hivers trop chauds avaient ramené la population à 260 en 2008.

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ATTENTION - CORRECTION: Dans notre dépêche datée du 15 novembre, merci de noter que l'expert cité à l'avant dernier paragraphe travaille à l'université d'Oxford et non à la Zoological Society de Londres comme indiqué par erreur par l'UICN. Revoici la version corrigée: ///> L'espèce a été repérée à travers les quelque 7.000 animaux pêchés par les scientifiques de l'UICN lors de cette expédition l'année dernière dans le sud de l'océan Indien, précise l'organisation basée à Gland (Suisse) dans un communiqué.

De la famille des Chiroteuthidae, le nouveau calamar vivant en eaux profondes est long et plutôt fin, d'une couleur brunâtre et doté d'organes lui permettant de produire des faisceaux lumineux lui servant d'appat pour ses proies.

Cette découverte a été faite dans le cadre d'un programme de l'UICN, lancé il y a un an et destiné à explorer les profondeurs de l'océan Indien à la recherche d'espèces inconnues. L'objectif à terme du projet est de mieux connaître l'environnement marin de cette partie du monde afin d'améliorer la gestion de ses ressources.

Les scientifiques sont parvenus à repêcher des espèces à 1.200 mètres de profondeur, dont ils étudient désormais les spécificités.

"Depuis dix jours, 21 chercheurs équipés de microscopes travaillent sur un nombre impressionnant de bocaux remplis de poissons, calamars, plancton et autres créatures intéressantes", a raconté un professeur du département de Zoologie de l'Université d'Oxford, Alex Rogers cité dans le communiqué.

"Nous espérons obtenir des résultats sur la situation écologique (de l'océan) d'ici 12 à 18 mois", a-t-il ajouté à l'AFP.

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Europe - La réunion de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (Cicta), qui s'ouvre demain, mercredi 17 novembre, à Paris, suscite un regain de mobilisation, voire de colère de la part des ONG environnementales. La France est particulièrement pointée du doigt.





"Le président Nicolas Sarkozy est le seul homme qui pourrait, s'il le voulait, sauver le thon rouge", dit Paul Watson, pourfendeur de braconniers, fondateur et leader de l'ONG Sea shepherd, qui ne semble pourtant pas se faire trop d'illusions, jugeant "bien faibles et contradictoires" les actions du gouvernement français sur ce dossier.




Greenpeace, le WWF et l'association américaine Pew, de leur côté, rappellent que la Cicta a constaté, pour les thoniers français, durant la campagne de pêche 2007, un dépassement de 1.500 tonnes des quotas autorisés. Une "ardoise" qui, selon les ONG, devrait être déduite du quota qui sera décidé pour 2011 : si les 13.500 tonnes du quota mondial 2010 sont reconduites, soit 2.012 tonnes pour la France (15 % du total, environ), les 17 thoniers senneurs français ne pourraient ainsi prélever que 500 tonnes l'année prochaine.
Un accord autour de 10.000 tonnes (au niveau mondial) semble envisagé, au grand dam des écologistes, qui réclament un maximum de 6.000 tonnes, l'interdiction des prises dans les aires de reproduction et l'interdiction des thoniers senneurs, dont les pratiques sont jugées trop dévastatrices.

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Depuis ce mercredi et jusqu'au 27 novembre prochain, une cinquantaine de pays sont réunis à Paris afin de fixer les quotas de pêche du thon rouge pour l'année 2011. C'est une véritable bataille entre pays pêcheurs et protecteurs de l'espèce menacée qui s'est ouverte.







Alors que les principaux pays pêcheurs européens que sont la France, l'Italie et l'Espagne, plaident en faveur de la conservation des quotas fixés en 2010, soit 13.500 tonnes, Greenpeace, WWF, Pew et Oceana, les quatre principales ONG internationales représentées à Paris, réclament une réduction substantielle du nombre de captures de thons rouges. Cette position est en outre soutenue par la Commissaire européenne à la Pêche, Maria Damanaki, qui, le mois dernier, proposait une réduction des quotas à 6.000 tonnes pour 2011.
La France, qui en 2010 disposait d'une limite fixée à 2.022 tonnes, a appelé via le Comité national français des pêches, à ne pas réduire ce quota, estimant que "descendre en dessous (...) mettrait en péril la pêche française, en détruisant des entreprises et des emplois". Mais les experts de la Cicta jugent que ce maintien du quota de 2010 pourrait permettre la reconstitution du stock de thon rouge d'ici à 2022 avec une probabilité de chances de réussite de seulement 60%. Un taux bien insuffisant pour les défenseurs de la biodiversité marine qui retiennent de cette estimation les 40% de risques d'échec.
Les écologistes ont alors lancé un appel commun à la Cicta, lui demandant de se prononcer en faveur de la suspension de la pêche industrielle du thon rouge. Cette espèce menacée par la surpêche, et particulièrement appréciée des amateurs de sushis, a vu au cours des trente dernières années ses stocks chuter de 85%.
Ces bases posées, les Etats membres de la Cicta ont dix jours pour parvenir à un accord.

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Quelque 46.000 kilomètres carrés situés près des îles Raja Ampat ont été sanctuarisés par les autorités indonésiennes afin de protéger les espèces marines de cette région qui recèle un véritable trésor de biodiversité.








Dans cet immense territoire déclaré sanctuaire protégé, toutes pratiques destructrices, telles que la pêche des poissons dits d'aquarium ou le dynamitage des récifs, seront interdites, ont conjointement annoncé des responsables officiels et des associations de protection de l'environnement.
Les nombreuses espèces qu'abrite la région seront ainsi protégées, et tout particulièrement les tortues, les raies manta, et les requins, ces derniers qui se situant "au sommet de la chaîne alimentaire, jouent un rôle capital", soulignent les associations écologistes Shark Savers et Misool Eco Resort. Et d'ajouter qu'à Raja Ampat, "trois quarts des espèces de requins sont menacées d'extinction". Les plongeurs de la région découvrent désormais très rarement de gros requins, signe important de la diminution inquiétante de leur population. Une situation engendrée par des pratiques locales et notamment la récupération des ailerons qui constituent un met très apprécié, surtout dans les restaurants chinois.

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http://michellechagnon36.wordpress.com/category/en-israel/

Interdiction de pêcher dans le lac de Tibériade à partir du 1er janvier 2011.



15 nov 2010 Laisser un commentaire

by michellechagnon36 in EN ISRAËL
Le ministère de l’agriculture ne renouvellera pas les autorisations de pêche dans le lac de Tibériade. Cette décision a été prise en raison d’un abaissement drastique de la population marine dans le lac. L’interdiction de pécher prendra effet le 1er janvier 2011. Elle inclura l’ensemble de tous les cours d’eau menant au lac, et la zone où le lac de Tibériade se déverse dans Jourdain.

viaNews : 19:17 Dimanche 14 novembre 2010 – Guysen International News.

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Alors que les pays membres de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (Cicta) sont actuellement réunis à Paris pour décider des quotas de pêche au thon rouge de 2011, la Commission européenne annonce la position commune adoptée par les Etats de l'UE.






Dans un communiqué, la Commission indique que les Etats membres de l'Union européenne se sont mis d'accord pour plaider lors de la réunion de la Cicta, en faveur d'un quota identique à celui de 2010, voire légèrement réduit. Les 27 Etats européens, jusqu'alors très divisés sur la question, entendent ainsi négocier une limite de captures de thons rouges située "entre son niveau actuel de 13.500 tonnes et environ 11.500 tonnes", ont précisé à l'AFP des sources diplomatiques.




"Consciente de la situation précaire des stocks de thon rouge et de la nécessité d'une gestion durable", l'UE a trouvé un compromis qui lui "assure une position ambitieuse et donne aux négociateurs assez de marge de manoeuvre pour prendre en compte les dynamiques sur place", estime la Commission. Cette dernière avait pourtant, il y a quelques semaines, proposé aux 27 de plaider en faveur d'une réduction substantielle des captures de thons rouges, espèce menacée de disparition en raison de sa surpêche. Le mois dernier, la Commissaire européenne à la Pêche, Maria Damanaki, proposait en effet, à l'instar des défenseurs de l'environnement, une réduction des quotas à 6.000 tonnes pour 2011.
Un quota de 13.500 tonnes, estiment les scientifiques, offrirait aux stocks de thons rouge la possibilité de se reconstituer avec une probabilité de 60%. Un taux qui passe à 77% avec un quota fixé à 11.500 tonnes.
Hier soir, Maria Damanaki a reconnu que la décision des Etats membres de l'UE n'était "pas fondée sur la proposition de la Commission". Toutefois, celle-ci "va respecter ses obligations en tant que négociateur au nom de l'UE", a-t-elle souligné.

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Publiée dans le journal Biology Letters, une étude de chercheurs australiens dévoile, pour la première fois, les motivations du poisson-perroquet pour "bâtir" le cocon dans lequel il passe la nuit.




Derrière les branchies, une glande à mucus grosse comme une pièce de monnaie, pour un poisson ne dépassant pas 40 centimètres : c'est ce qui permet à cette espèce de poisson-perroquet, Chlorurus sordidus, de secréter, en 45 à 60 minutes, le cocon dans lequel il s'endort chaque nuit. Un "coût" énergétique et évolutif très élevé, qui s'explique par la très forte contrainte exercée par l'agression des parasites nocturnes, selon le Dr Alexandra Grutter, de l'université du Queensland (Australie).




Son équipe a exposé des poissons-perroquets de récifs coralliens - certains avec leur cocon, d'autres sans - à des parasites marins : ceux qui n'avaient pas de cocon ont été beaucoup plus infestés que les premiers. 'Ce que j'ai trouvé le plus étonnant dans ces résultats, c'est la façon unique dont ces poisons dissuadent les parasites nocturnes pour pouvoir dormir : une méthode utilisée, à ma connaissance, par aucun autre animal", conclut la scientifique.

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Une étude qui sera bientôt publiée dans Animal Conservation, menée par des universitaires britanniques, a estimé que 10 à 16.000 tortues marines sont - illégalement - capturées chaque année à Madagascar. Une évaluation qui s'appuie sur la collaboration des populations locales.





Rémunérer un représentant de chacun des 12 villages côtiers de Madagascar concernés par l'étude pour qu'il recense, photos à l'appui, toute capture de tortue de mer effectuée dans sa région : c'est la méthode inaugurée par le Dr Annette Broderick, du Centre d'écologie et de conservation de l'université d'Exeter et par l'ONG Blue Ventures Conservation. Non pour dénoncer aux autorités, mais pour documenter la pêche artisanale à la tortue, pourtant interdite sur l'île.




Résultat : 10 à 16.000 de ces reptiles, essentiellement des tortues vertes (Chelonia mydas), sont ainsi capturés chaque année. "Cette étude est un bon moyen d'impliquer les communautés locales dans la recherche d'une solution durable. Evidemment, nous ne pouvons être certains que toute tortue capturée soit signalée, c'est pourquoi nous considérons ces chiffres comme une estimation minimale, néanmoins très valable pour notre politique d'information", explique Frances Humber, de Blue Ventures Conservation. Les chercheurs espèrent qu'une réglementation et un suivi de cette chasse traditionnelle s'avèreront plus efficaces que l'interdiction pure et simple, non respectée.

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Méditerranée - Publiée dans Proceedings of the Royal Society B, une étude génétique menée par des chercheurs britanniques montre que les requins blancs de Méditerranée sont venus d'Australie il y a 450.000 ans. Ils s'étaient probablement égarés à cause des perturbations climatiques.





"C'était une période interglaciaire, avec toutes sortes de changements dans les courants descendant la côte est et remontant la côte ouest de l'Afrique", explique le Dr Les Noble, de l'Université d'Aberdeen (Écosse). Des femelles de requin blanc gravides, perturbées par ces modifications, auraient ainsi fait fausse route lors de leur migration entre l'Australie et l'Afrique, pour finir par pénétrer en Méditerranée par le détroit de Gibraltar.




Leur progéniture, née accidentellement dans cette mer, y aurait alors fait souche, le grand blanc (Carcharodon carcharias) partageant avec le saumon la particularité de revenir frayer sur le lieu de sa naissance.
C'est ainsi que le Dr Noble tente d'expliquer l'origine australienne des requins de Méditerranée, que son équipe a établie par l'analyse génétique de l'ADN mitochondrial - transmis par la seule lignée maternelle - de ces poissons. L' "horloge moléculaire" - étude statistique des mutations subies au cours des temps - révèle en effet que squales australiens et méditerranéens actuels partagent une origine commune, datant de 450.000 ans. Le grand blanc de la Grande Bleue ne vient donc pas, comme on le pensait, des populations de l'Atlantique.

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L'ONG Oceana s'inquiète de la pêche des requins migrateurs. Un million d'entre eux seraient capturés chaque année dans l'océan Atlantique. L'organisation souhaite voir cette pêche réglementée le plus rapidement possible.






Les discussions portant sur le thon rouge ont débuté mercredi dernier avec la Commission pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (Cicta), afin de fixer des quotas pour les années à venir. En revanche, on ne parle pas des autres espèces menacées. C'est ce sur quoi l'ONG Oceana, qui oeuvre pour la protection des océans, veut attirer l'attention, en tirant la sonnette d'alarme du côté de la pêche aux requins migrateurs. L'ONG communique des chiffres préoccupants : 1,3 million de ces requins auraient été pêchés en 2008 dans l'Atlantique. Pire : parmi les 72 espèces de requins répertoriées, 21 figurent dans les 65.000 tonnes pêchées. Et selon l'Union mondiale pour la nature (IUCN), les trois quarts de ces requins migrateurs sont des espèces vulnérables ou en danger d'extinction, parmi lesquelles on retrouve le requin renard, requin marteau ou requin-taupe. Seul le requin renard à gros yeux fait l'objet d'un encadrement par la Cicta depuis l'an dernier. Oceana regrette qu'aucune réglementation ne s'applique concernant la pêche de ces espèces. Notamment en terme de taille, de période ou de quotas. Elles ne figurent pas non plus à la Convention sur le commerce international des espèces de faune et de flore sauvages menacées d'extinction (Cites). Chose à laquelle Oceana souhaite également remédier.

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Alors que le sort du thon rouge est entre les mains de la Commission internationale de conservation des thonidés de l'Atlantique (Cicta), Greenpeace a mené une action contre les représentants des pays pêcheurs de thon rouge réunis à Paris depuis le 17 novembre dernier. Vingt-cinq activistes de l'association écologiste ont entrepris hier de bloquer une croisière sur la Seine organisée pour les délégations participant à la réunion de la Commission, afin de réclamer une suspension de la pêche industrielle de l'espèce menacée de disparition.




Les militants écologistes dispersés sur deux zodiacs et six canoës, ont déployé une ligne de flottaison autour de la péniche qui accueillait à son bord des représentants des 48 pays pêcheurs participant à la réunion de la Cicta. Cette conférence a pour objectif de fixer les quotas de pêche du thon rouge pour l'année 2011. Alors que la question d'une réduction substantielle des captures autorisées fait débat au sein des membres de la Commission, les écologistes réclament la suspension en Méditerranée de la pêche industrielle de l'espèce dont les stocks ont chuté de 80% au cours des trente dernières années. Accrochés aux banderoles qu'ils avaient fixées sur la coque du navire affrété par les associations françaises de pêcheurs, les militants de Greenpeace ont été délogés par les policiers de la brigade fluviale de Paris. "Nous sommes au coeur des négociations et la direction des pêches françaises essaie de faire du lobbying avec cette soirée de fête. Nous sommes là pour rappeler aux délégués qu'ils ont une mission, sauver le thon rouge, et qu'ils n'ont pas le droit d'échouer", a rappelé François Chartier, chargé de campagne Océans pour l'association. Réunis depuis le 17 novembre dernier, les pays pêcheurs ont encore quatre jours pour s'accorder sur les quotas de 2011. Cette année, la limite de captures de thons rouges avait été fixée à 13.500 tonnes.

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WASHINGTON, 23 nov 2010 (AFP) - Un des secrets permettant au requin d'être un formidable prédateur réside dans sa capacité à nager vite et à changer de cap sans ralentir, des manoeuvres permises par des écailles contrôlant le flux de la circulation de l'eau sur son corps, selon une étude présentée mardi.> La séparation des flux d'air est une question fondamentale dans la conception des avions et de leur système de navigation. Mal maîtrisé, ce phénomène a tendance à provoquer des remous qui affectent la vitesse et la stabilité de l'appareil.

Dans la nature, on constate que la surface du corps du requin n'est pas lisse mais a certaines caractéristiques, dont l'objectif le plus évident est "le contrôle de la circulation des fluides", explique l'auteur de cette communication.

Elle cite l'exemple de la balle de golf dont la surface alvéolée lui permet de voler plus loin en la rendant plus aérodynamique. "Nous pensons que les écailles sur la peau du requin nageant très vite assurent les mêmes fonctions dans l'eau", ajoute-t-elle.

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Une équipe de vétérinaires a réussi l'exploit de reconstruire la partie abîmée du bec d'un pingouin afin de lui redonner son autonomie.



Un pingouin de Patagonie a récemment été trouvé très affaibli sur une plage du Brésil. Ce dernier avait perdu la partie supérieure de son bec, certainement à cause de l'hélice d'un bateau. Heureusement pour lui, une équipe de vétérinaires du zoo de Rio de Janeiro s'est penchée sur son cas, et lui a reconstruit une prothèse spécialement adaptée à la partie manquante de son bec.
Celle-ci est faite du même matériau que celui utilisé pour restaurer des ossements humains. "Ma plus grande préoccupation pendant l'intervention était de ne pas couvrir ses narines afin qu'il ne meurt pas", explique Marco Janackovic vétérinaire, qui a pratiqué l'intervention sur Tungo, nom donné depuis à l'animal.
Après trois semaines de récupération, le pingouin sera bientôt prêt à faire le voyage jusqu'au centre de reproduction de Californie, où d'autres manchots de cette espèce en voie de disparition vivent aujourd'hui paisiblement.

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Une zone maritime de 20.000 hectares va être créée par les autorités de l'île indonésienne de Bali, afin de protéger les récifs de coraux menacés par la pêche comme par la pollution.

Cette zone protégée s'étendra autour de petites îles, et notamment celles de Penuda et Lembongan, qui situées à l'est de Bali, connaissent un tourisme en plein essor. Chaque année, de nombreux plongeurs viennent y observer les coraux, mais aussi la môle ou poisson lune, un animal rare doté d'une tête impressionnante. Située au coeur du Triangle de Corail, Bali est la première destination touristique d'Indonésie. L'île est surnommée "l'Amazone des mers" en raison de la richesse de ses fonds marins. Elle concentre en effet 53% des récifs coralliens du monde, 75% des espèces de coraux, et plus de 3.000 espèces de poissons.

Comme le souligne Marthen Welly, de l'association internationale The Nature Conservancy (TNC), les écosystèmes y sont menacés par les pêcheurs qui utilisent des explosifs et du cyanure, et par des navires qui abîment les récifs coralliens lorsqu'ils jettent l'ancre. L'autre menace est celle de la pollution, hôtels et villages déversant leurs déchets dans la mer.

Grâce à la création de la zone maritime protégée, une initiative financée par les collectivités locales, l'agence d'aide américaine USAID et TNC, "tout cela ne sera plus possible" assure Marthen Welly. Certaines zones seront désormais dédiées aux activités de pêche, de plongée et de culture des algues, tandis que l'accès à l'aire protégée sera soumise à de strictes contrôles.

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< REYKJAVIK, 25 nov 2010 (AFP) - L'Islande a reçu une lettre d'avertissement des Etats-Unis pour avoir fortement multiplié depuis deux ans ses quotas de chasse à la baleine, a-t-on appris jeudi auprès du gouvernement islandais.> "Nous nous inquiétons que l'Islande mène sa pêche de rorquals en dehors du contrôle de la Commission baleinière internationale et à un niveau deux à trois fois plus élevé que les recommandations scientifiques de l'autorité", ajoute-t-il dans cette lettre dont l'AFP a eu copie.

Cette année, l'Islande, qui a repris la pêche commerciale en 2006 et multiplié ses quotas fin 2008, a pêché quelque 148 rorquals après en avoir pêché 125 l'an dernier, contre moins de dix annuellement auparavant, souligne le ministre américain.

L'Islande, qui prépare une réponse à la protestation américaine, juge les populations de baleines dans ses eaux assez abondantes pour supporter des prélèvements d'environ 150 rorquals communs et 200 petits rorquals par an.

Figurant sur la liste des espèces menacées de la Cites, les populations de rorquals communs et de petits rorquals sont estimées à respectivement 20.000 et 70.000 spécimens dans l'Atlantique nord.

L'Islande et la Norvège sont les deux seuls pays au monde à pratiquer la pêche commerciale de la baleine. Le Japon pratique la chasse officiellement à des fins scientifiques, même si la viande est commercialisée.


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Des universitaires canadiens ont mené l'été dernier une campagne d'étude de la population de baleines à bec communes évoluant au large de la Nouvelle-Ecosse, au Canada. Cette "immersion" dans le rude habitat des cétacés a permis de percer quelques-uns de leurs secrets.





Hyperodon arctique, hyperodon boréal, baleine à bec commune : autant de synonymes pour désigner Hyperoodon ampullatus, ce cétacé appartenant à une famille méconnue, celle des ziphiidés ou baleines à bec. Repérée en 2006 à quelque 200 kilomètres au large de la Nouvelle-Ecosse (Canada), une population de 160 de ces mammifères fait l'objet d'un suivi par le laboratoire de recherches sur les cétacés de l'université d'Halifax.




L'été dernier, Hilary Moors, qui travaille également pour le Département canadien des pêches et des océans, a rejoint l'équipage du Balaena, un voilier de 12 mètres qui sert de base de recherche aux scientifiques. Utilisant notamment la photo-identification, qui permet de recenser chaque individu par les marques de son aileron dorsal, et des hydrophones permettant d'enregistrer les clics d'écholocalisation de ces animaux, elle a pu établir qu'ils fréquentaient la région été comme hiver.
Une information utile pour mieux évaluer l'impact des activités gazières et pétrolières de la région sur la vie de ces champions de l'apnée, qui ne se montrent souvent aux chercheurs que 10 minutes d'affilée, respirant en surface avant de replonger - parfois durant 70 minutes ! - à 1.400 mètres pour y capturer des calmars. Curieuses, les baleines à bec, qui mesurent de 7 à 9 mètres, aiment toutefois venir observer les chercheurs à bord de leur bateau, précise Hilary Moors.

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Australie - Publiée le 25 novembre dans la revue Functional Ecology, une étude de scientifiques britanniques, menée sur le requin-baleine, montre que le plus grand poisson du monde joue efficacement sur sa flottabilité et ses angles de déplacement pour économiser son énergie.




Une flottabilité négative : contrairement à la plupart des poissons, les squales ont tendance à couler. C'est pourquoi le requin-baleine (Rhincodon typus) peut descendre vers le fond sans aucune dépense énergétique. Pour remonter, il doit en revanche battre de la nageoire caudale, mais il privilégie alors de faibles angles d'ascension, qui lui permettent de remonter sans grand effort en glissant majestueusement comme à l'horizontale, et optimise sa dépense énergétique en cas de remontée plus verticale.




C'est en munissant des requins-baleines de capteurs et d'accéléromètres, qu'une équipe de chercheurs a obtenu ces résultats, au terme de quatre années d'étude à Ningaloo Reef, à l'ouest de l'Australie.
"Nos résultats démontrent que la géométrie joue un rôle crucial dans les stratégies de déplacement d'animaux évoluant dans les trois dimensions. L'utilisation d'une flottabilité négative a une large part dans la capacité de requins océaniques à localiser des sources de nourriture imprévisibles, et à se déplacer de l'une à l'autre efficacement", conclut Adrian Gleiss, de l'université de Swansea, au Royaume-Uni.

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Lors d'un colloque sur la dynamique des fluides à Long Beach (Californie), des chercheurs américains ont présenté leur étude sur la structure des écailles de requin, qui assure au véloce prédateur un hydrodynamisme unique.






"Nous pensons que les écailles, chez les requins à nage rapide, ont un rôle de contrôle de répartition des flux", explique Amy Lang, de l'université d'Alabama, qui a collaboré avec ses collègues de l'université de Floride du Sud. La répartition des flux (d'air ou d'eau) est un problème - que l'on rencontre également en aéronautique - car elle peut engendrer des vortex à la surface du corps des animaux, influant sur leur vitesse et leur stabilité. Mesures expérimentales et modélisation ont permis aux chercheurs de découvrir que, chez le requin mako, dans les régions du corps particulièrement soumises à la friction de l'eau (derrière les branchies), la partie de l'écaille qui touche la peau est plus étroite que l'autre extrémité, ce qui lui permet de s'écarter de plus de 60 degrés. Ce "hérissement des denticules", comme l'ont appellé les scientifiques, facilite l'écoulement du fluide le long du corps, un avantage qui permet à ce rapide chasseur de volter à grande vitesse.

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La réunion de la Commission internationale pour la conservation des thonidés de l'Atlantique (Cicta) vient de s'achever. Le quota de pêche au thon rouge alloué pour l'année prochaine est quasi-identique à celui de l'an dernier. Les défenseurs de l'espèce sont déçus.







Le quota de pêche au thon rouge alloué pour l'année prochaine est de 12.900 tonnes. Soit 600 tonnes de moins que le quota actuel. Les ONG écologiques réclamaient une réduction drastique du quota à 6.000 tonnes ainsi que l'instauration de sanctuaires dans les zones de reproduction pour le thon rouge, qui migre en Méditerranée et dans le Golfe du Mexique. Elles ne cachent pas leur déception à l'issue de cette réunion de la Cicta à laquelle 48 pays ont participé. Ainsi, WWF parle d' "un échec diplomatique pour la France" et dénonce un manque de transparence. "Aucune mesure concernant la protection des zones de reproduction n'a été adoptée malgré de nouveaux éléments scientifiques allant dans ce sens et les prises de position de certains Etats et des ONG environnementales", déplore le Fonds mondial pour la nature dans un communiqué. Greenpeace estime de son côté que cette réunion a "conduit le thon rouge dans le couloir de la mort". Le Japon, qui absorbe 80% des thons rouges pêchés en Mediterranée, avait réclamé des contrôles plus sévères pour enrayer la pêche illégale et le marché noir. Les Etats-Unis sont également mécontents. En revanche, le ministre français de la Pêche, Bruno Lemaire, ne partage pas cette vision. Il s'est même "félicité" du résultat dans un communiqué, qui représente selon lui "l'équilibre entre le respect de la ressource et le maintien du tissu socio-économique sur le long terme". Cependant, il n'a pas évoqué le délai demandé pour le paiement de la "dette de thon" de la France, qui a été rejeté. En 2007, les thoniers avaient dépassé le quota de pêche de plus de 100% (5.000 tonnes).

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Situé à Atlanta, cet aquarium, qui regroupe plusieurs centaines d'espèces de la faune aquatique, est le plus grand du monde.



Le plus grand aquarium du monde se trouve aux États-Unis, et plus précisément à Atlanta en Géorgie. La quantité d'eau présente atteint ici des sommets, avec plus de 30 millions de litres d'eau. La faune et la flore de cet aquarium y sont extrêmement riches et diversifiées. Il est ainsi possible de voir évoluer dans les bassins des bélougas, des baleines blanches, des requins, des hippocampes, ou encore des tortues de mers.
Au total, ce sont plus de 100 000 spécimens marins qui sont donnés à voir au public dans des conditions de visites uniques. A noter qu'en dehors des aquariums asiatiques, il s'agit du seul endroit au monde où il est possible de voir évoluer des requins baleines avec une liberté aussi grande.

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http://www.30millionsdamis.fr/acces-special/actualites/detail/article/2468-chasse-a-la-baleine-lislande-avertie-par-les-etats-unis/retour-actus/47.html

REYKJAVIK, 25 nov 2010 (AFP) - L'Islande a reçu une lettre d'avertissement des Etats-Unis pour avoir fortement multiplié depuis deux ans ses quotas de chasse à la baleine, a-t-on appris jeudi auprès du gouvernement islandais.


"Les Etats-Unis sont profondément inquiets et fortement opposés à l'augmentation de la chasse commerciale à la baleine de l'Islande, particulièrement celle des rorquals menacés", écrit le secrétaire américain au Commerce Gary Locke dans une lettre adressée au ministre islandais de la Pêche Jon Bjarnason. "Nous nous inquiétons que l'Islande mène sa pêche de rorquals en dehors du contrôle de la Commission baleinière internationale et à un niveau deux à trois fois plus élevé que les recommandations scientifiques de l'autorité", ajoute-t-il dans cette lettre dont l'AFP a eu copie.

Cette année, l'Islande, qui a repris la pêche commerciale en 2006 et multiplié ses quotas fin 2008, a pêché quelque 148 rorquals après en avoir pêché 125 l'an dernier, contre moins de dix annuellement auparavant, souligne le ministre américain. L'Islande, qui prépare une réponse à la protestation américaine, juge les populations de baleines dans ses eaux assez abondantes pour supporter des prélèvements d'environ 150 rorquals communs et 200 petits rorquals par an. Figurant sur la liste des espèces menacées de la Cites, les populations de rorquals communs et de petits rorquals sont estimées à respectivement 20.000 et 70.000 spécimens dans l'Atlantique nord. L'Islande et la Norvège sont les deux seuls pays au monde à pratiquer la pêche commerciale de la baleine. Le Japon pratique la chasse officiellement à des fins scientifiques, même si la viande est commercialisée.

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Quel avenir pour les tortues marines ?

Sur l’ensemble de la planète, les tortues marines sont menacées de disparition. One Voice dénonce leur exploitation menée par certains pays et s’oppose au projet de loi du gouvernement polynésien visant à rétablir la pêche des tortues marines pourtant entièrement protégées depuis 1990.

Toutes les tortues marines sont menacées d’extinction principalement à cause du braconnage, de la pollution et de la dégradation de leurs sites de ponte. Il existe peu de données fiables sur leurs effectifs mais une inquiétante tendance à la baisse est observée sur tous les continents et pour toutes les espèces. Contre toute attente, c’est au cours du 1er symposium international sur les tortues marines qui s’est tenu à Moorea en octobre 2010, que la chargée de la biodiversité marine pour la direction de l'environnement a officiellement annoncé « l'ouverture prochaine de quotas de pêche à la tortue ». La Polynésie française, qui recense 5 des 8 espèces existantes, devrait permettre d’ici le début de l’année 2011, le « prélèvement » de tortues dans certains cas de figure. Seront concernés les pêcheurs professionnels dans le cadre de leurs besoins alimentaires en mer, les habitants de certaines îles confrontés à des problèmes de dessertes engendrant des difficultés alimentaires, et enfin des associations légalement constituées, en vue d’activités récréatives… une brèche béante dans la protection des tortues. La mise en place de quotas de pêche impliquerait de connaître d’une part parfaitement l’état des populations actuelles de tortues ainsi que les quantités consommées et d’autre part de faire respecter les lois ; deux sujets phares du récent symposium qui restent encore à mettre en place. Au nord de la Colombie, l'ethnie wayuu, habituée depuis toujours à manger des tortues, base de l’alimentation déjà employée par leurs ancêtres, ont décidé de ne plus pêcher l'animal menacé de disparition. Ayant pris conscience de la raréfaction des tortues, ils renoncent à leurs traditions et tentent de mettre en place des actions de conservation afin de « les sauvegarder pour se sauver aussi ». Si cette initiative est à encourager, ce n’est malheureusement pas le cas de toutes les nations. Le Costa Rica, pays vert ? La question se pose lorsque l’on découvre les clichés montrant le pillage des œufs par les populations locales dès les premières « arribadas », arrivées massives de 3 000 à 170 000 femelles venant pondre sur les plages de juin à novembre. Au cours de cet événement très touristique et soi-disant contrôlé par les autorités, près de 500 000 œufs, chiffre officiel, sont « prélevés » sur les 1er pontes. Ces œufs sont normalement destinés à l’usage des populations locales et leur exportation est interdite. Bien évidement, le nombre d’œufs est sous estimé et la « récolte » serait destinée à un marché chinois très en demande. Le gouvernement du Costa Rica cautionne ce trafic au point d’estampiller les œufs d’un label vert qui certifie aux Chinois l’obtention d’œufs issus d’une production écologique et durable…

Un tel pillage n’est pas sans conséquences sur la survie des espèces. Entre les prédateurs naturels et le pillage par l’homme, un œuf sur quelques milliers seulement donnera une tortue adulte ! Celle-ci peut mettre jusqu’à 50 ans avant de se reproduire…si elle a réussi à échapper à ses prédateurs naturels mais aussi aux pêcheurs, aux filets des chaluts et aux sacs plastiques qu’elle confond avec les méduses. Les tortues marines ont une histoire qui remonte à plus de 100 millions d’années. Ne les laissons pas disparaître sous nos yeux sans rien faire :



  • - Pour agir, signez la pétition contre le retour de la pêche à la tortue
  • - Vous pouvez aussi écrire à l’ambassade du Costa Rica pour protester contre la « récolte » et le commerce avec la Chine menaçant la survie des tortues marines :
    Monsieur l’Ambassadeur du Costa Rica
    4, Square Rapp
    75007 Paris




Source : One Voice

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Un groupe de militants qui oeuvrent pour protéger les animaux se lance dans sa campagne annuelle pour empêcher les pêcheurs japonais de tuer les baleines. La nouveauté cette année : ils ont obtenu l'aide de "Godzilla".


"Godzilla" ou encore "Gojira". Ce bateau de patrouille, ultra-rapide et à l'allure menaçante, porte ainsi le nom du monstre féroce du légendaire film japonais. L'intercepteur de 35 mètres a été mis à l'eau par la Sea Shepherd Conservation Society lundi, à Fremantle en Australie, et a rejoint des bateaux plus imposants, Steve Irwin et Bob Barker, à Hobart en Tasmanie. Ensemble, ils ne devraient pas tarder à se diriger vers les eaux de l'Antarctique, où leurs équipages vont guetter l'arrivée des pêcheurs de baleine japonais. Selon le Japan Times, des garde-côtes japonais armés seront présents à bord de ces bateaux de pêche pour aider à empêcher tout sabotage de la part des activistes. Car cette activité rapporte de l'argent. Ces confrontations saisonnières dans les parties reculées de cet océan sont de plus en plus tendues. Il y aurait parfois des collisions, preuve de la dangerosité et de la nature controversée des méthodes employées par Sea Shepherd. La saison dernière, elle a dû saborder son intercepteur, le Ady Gil, après avoir accusé les pêcheurs de baleine de l'avoir endommagé. Les autorités néo-zélandaises ont ensuite découvert que les deux équipages étaient en faute. Chaque année, le Japon capture environ 900 baleines, parmi lesquelles se trouvent quelques espèces protégées. Généralement cette pêche dure trois mois et débute en décembre. Le Japon a déjà eu des avertissements de la part de la Commission baleinière internationale, qui souhaite que le Japon diminue ses quotas d'environ 200 baleines sur une période de 10 ans. Même si les scientifiques s'accordent également à dire qu'il faut empêcher cette pêche, la baleine est un met apprécié au Japon, commercialisé partout dans le pays.

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La ville de Charm-El-Cheikh est à la recherche d'un requin qui a attaqué mardi et mercredi dernier des nageurs près du rivage.





Depuis mercredi soir, les plages de la station balnéaire de Charm-El-Cheikh, en Égypte, sont fermées aux touristes. Les autorités sont à la recherche d'un requin à pointe blanche coupable d'avoir attaqué des nageurs dans la mer Rouge. Quatre personnes, trois Russes et une Ukrainienne, ont en effet été victimes du prédateur des mers. L'une d'entre elle est d'ailleurs dans un état grave. La première attaque est survenue mardi soir. Alors que de nombreux touristes se baignaient pour profiter de la fraicheur de la fin de journée, le squale a attaqué un couple. La jeune femme a été mordue aux jambes et au dos, et a dû être réanimée par les secouristes. Mercredi matin, une nouvelle attaque sur deux nageurs a poussé les autorités à fermer les plages. Blessée au deux bras, l'une des deux victimes a dû être transportée d'urgence au Caire, pour recevoir un traitement approprié. "Les requins océaniques à pointe blanche sont classés parmi les trois espèces les plus dangereuses du monde", explique Ibrahim Al-Shazly, plongeur dans la mer Rouge, relayé par The Telegraph. Il explique toutefois que les attaques de squales sont plus rares qu'on ne le pense : "Une telle attaque est très rare ... Le dernier incident a eu lieu l'année dernière, lorsqu'un touriste français est décédé après avoir eu une jambe arrachée." Depuis mercredi, une équipe de plongeurs d'un parc national du sud du Sinaï est à la recherche du requin auteur de ces attaques. S'ils l'attrapent, il est prévu que l'animal ne soit pas tué, mais relâché dans le golfe de Suez, loin des trois millions de touristes qui viennent chaque année à Charm-El-Cheikh.

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< WASHINGTON, 3 déc 2010 (AFP) - Le gouvernement américain a annoncé vendredi qu'il comptait ajouter six espèces de phoques à sa liste des espèces menacées, en raison de leurs difficultés à survivre à la fonte des glaces.> Une seule des cinq sous-espèces reconnues de phoques annelés, le phoque annelé du lac de Saïma en Finlande, est déjà inscrit sur cette liste. La NOAA souhaite y ajouter les quatre autres.

Les phoques annelés de l'Arctique passent la majeure partie de leur vie sur la glace de mer et donnent généralement naissance à un seul petit par an.

Cette rareté des naissances "est susceptible de limiter la capacité du phoque annelé à s'adapter aux changements environnementaux, comme la diminution de la glace et de la couverture neigeuse", écrit la NOAA.

De même, souligne-t-elle, la population de phoques barbus du Pacifique est "étroitement associée à la glace de mer, en particulier pendant les phases de reproduction et de mue"

Or, de nombreuses projections indiquent que la glace va diminuer "fortement" au cours du XXIe siècle, en particulier dans la mer d'Okhotsk et dans l'ouest de l'océan Pacifique, ce qui justifie le classement de ces phoques barbus parmi les espèces menacées, souligne la NOAA.

La décision finale du gouvernement fédéral doit avoir lieu après un délai destiné à organiser des consultations et à solliciter des avis d'experts.


ksh/cel/sf

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< LE CAIRE, 5 déc 2010 (AFP) - Une touriste allemande de 70 ans a été tuée dimanche par un requin alors qu'elle se baignait en mer Rouge devant son hôtel à Charm el-Cheikh (Egypte), ont indiqué à l'AFP des sources locales.> Ce décès intervient quelques jours après une attaque de requin contre des touristes russes qui ont été mutilés, également à Charm el-Cheikh.

Deux femmes, qui se baignaient près de la plage, avaient perdu des membres, et un homme avait été hospitalisé, à la suite de deux attaques séparées, une mardi et la seconde tôt mercredi.


"Il y a eu un décès malheureusement, à Naama Bay. Nous sommes en train de sortir tout le monde de l'eau", a confirmé à l'AFP Mohammed Salem, du South Sinaï Conservation, un organisme officiel.

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Le réchauffement climatique, entre autres dérèglements, provoque l'acidification des océans. Les changements provoqués pourraient bien menacer la pêche, notamment en ce qui concerne les crustacés.


Les changements dans la composition chimique des océans se font plus rapidement qu'au cours des 65 millions d'années précédentes. En cause, le réchauffement climatique qui provoque une acidification des océans. Un quart de l'ensemble des émissions de CO2 est absorbé par les mers et les océans où il se transforme en acide carbonique, entraînant une chute de 30% du pH (ce qui correspond à une acidification). Les crustacés sont les plus touchés par ce phénomène car, qu'il s'agisse de moules, de crevettes ou de homards, ils ne parviennent plus à fabriquer correctement leur coquille. Par ailleurs, les récifs coralliens sont eux aussi touchés alors qu'ils assurent un rôle protecteur pour de nombreux poissons. 'L'acidification des océans est un autre signal d'alarme, qui répercute des avertissements pour la santé de la planète face à une augmentation incontrôlée des émissions de gaz à effet de serre', explique Achim Steiner, du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE). 'Il reste à voir si l'acidification des océans en soi s'avèrera être une grande menace ou un danger mineur pour l'environnement marin et sa chaîne alimentaire', conclut-il.

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Charm el-Cheikh visée par des attaques meurtrières de requin




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6 décembre 2010

Série noire à Charm el-Cheikh. Une septuagénaire allemande a été tuée dimanche par un requin alors qu'elle nageait dans la mer Rouge devant son hôtel de cette station balnéaire égyptienne très prisée. Il s'agit de la troisième attaque en à peine une semaine d'un squale contre des baigneurs dans ce port à l'eau translucide situé au croisement de la mer Rouge et du golfe d'Aqaba.

Une responsable de l'hôtel Hyatt Regency a précisé que la victime nageait avec un tuba devant l'établissement lorsqu'elle a été attaquée. 'Le corps de la touriste a été repêché après qu'elle eut été attaquée par un requin qui a dévoré sa cuisse gauche et son avant-bras droit', a précisé une source médicale. 'Il y a malheureusement eu un décès, à Naama Bay. Nous sommes en train de sortir tout le monde de l'eau', a confirmé Mohammed Salem, membre d'un organisme officiel pour la conservation du Sud-Sinaï.


'PAS NORMAL'
Le ministère du tourisme a décidé de fermer les plages et de suspendre temporairement toutes les activités en mer à Charm el-Cheikh. Le ministre du tourisme, Zoheir Garranah, a déclaré qu'une telle série d'attaques à cet endroit n'était 'pas normale'. 'Ce n'est jamais arrivé auparavant', a-t-il assuré, ajoutant que l'Egypte avait appelé 'des spécialistes de la faune marine de l'étranger pour évaluer la situation'.
Ce décès intervient quelques jours après deux autres attaques de requin séparées, également à Charm el-Cheikh, où des touristes russes ont été gravement blessés le 30 novembre et le 1er décembre. Deux femmes, qui se baignaient près de la plage, ont perdu des membres, et un homme a été hospitalisé. Un touriste ukrainien, que l'on avait cru blessé par un requin mercredi, s'était en fait coupé sur un corail en fuyant l'animal... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr

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CHARM EL-CHEIKH (Egypte), 7 déc 2010 (AFP) - Les requins qui ont tué et blessé des touristes en mer Rouge près des côtes de la station balnéaire de Charm el-Cheikh en Egypte auraient été nourris de manière illégale puis privés d'aliments, a indiqué mardi un expert.> Les attaques ont eu lieu les après-midi laissant penser que les requins avaient l'habitude d'être nourris vers cette heure-là, a-t-il ajouté.

Une équipe d'experts étrangers se trouvait mardi à Charm el-Cheikh pour se joindre à l'enquête et tenter déterminer ce qui a pu attirer les requins si près de la côte.

Seuls des plongeurs professionnels ont été autorisés à aller dans l'eau, ont indiqué des responsables locaux, précisant que les attaques visaient des baigneurs et non des plongeurs.

Dimanche, un requin avait tué une septuagénaire allemande devant des vacanciers horrifiés dans cette station qui attire chaque année entre trois et quatre millions de vacanciers et constitue l'un des piliers de l'industrie touristique égyptienne.

Le 30 novembre et le 1er décembre, trois touristes russes avaient été attaqués et grièvement blessés.

Après ces deux attaques, les autorités avaient annoncé la capture de deux requins et les plages avaient été rouvertes samedi malgré l'avertissement d'une association locale selon laquelle un requin était toujours libre.

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< CHARM EL-CHEIKH (Egypte), 8 déc 2010 (AFP) - Les autorités égyptiennes ont indiqué mercredi qu'elles allaient décider dans la soirée de rouvrir ou non à la baignade les plages de Charm el-Cheikh, fermées depuis l'attaque mortelle d'un requin contre une touriste allemande.> Des experts internationaux sont arrivés à Charm el-Cheikh pour tenter de percer le mystère des trois attaques, dont celle mortelle de dimanche, survenues en moins d'une semaine dans les eaux de la station.

Les experts s'interrogent notamment sur la raison qui a poussé les squales à s'approcher si près des côtes et attaquer des touristes.

George Burgess, qui dirige l'International Shark Attack File, basé en Floride (sud-est des Etats-Unis), avait déclaré mardi que "le fait d'avoir plusieurs attaques, survenant l'une après l'autre dans une zone géographique limitée, est un cas de figure très rare".

Le 30 novembre et le 1er décembre, trois touristes russes séjournant dans la station avaient été attaquées et grièvement blessées. La baignade avait alors été interdite pendant 48 heures, avant d'être autorisée la veille de l'attaque contre la touriste allemande.


se-cr/feb

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Voici la preuve que les pingouins sont des animaux très intelligents. Afin d'éviter de se mouiller les pattes pour traverser un plan d'eau, deux d'entre eux imaginent des stratégies très futées.

La scène se passe dans les îles Malouines, au large de l'Amérique du Sud. Deux petits pingouins usent de stratégies redoutables pour éviter... de se mouiller les pattes. Face à un plan d'eau lors de leur promenade, les deux oiseaux, après avoir réfléchi un long moment, se décident à traverser de manière intelligente la flaque.

Pour l'un d'eux, le choix se porte sur un petit tas d'herbe qui lui sert de marchepied pour atteindre l'autre rive. Pour l'autre ça sera carrément le grand saut! Drôle et touchante, cette vidéo, tournée par un touriste et relayé par BuzzFeed, révèle toute la malice de cet animal, et montre que même les pingouins peuvent avoir envie de garder les pattes au sec!

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CHARM EL-CHEIKH (Egypte), 9 déc 2010 (AFP) - La surpêche et les charognes déversées dans la mer par des bateaux pourraient expliquer la récente série d'attaques de requin dans une station balnéaire en Egypte, selon les premiers éléments établis par des experts et rendus publics jeudi.> "Un ou plusieurs incidents de déversements illégaux de carcasses d'animaux" pourraient avoir contribué aux attaques, indique le service dans un communiqué.

"La diminution de proies naturelles dans la zone, en raison de la surpêche et du fait que des nageurs et plongeurs nourrissent à des endroits localisés des poissons de récif et/ou des requins", sont autant d'explications, auxquelles se rajoutent les températures élevées de l'eau. Quatre touristes, trois Russes et un Ukrainien, ont été grièvement blessés les 30 novembre et 1er décembre lors d'attaques séparées. Dimanche, une septuagénaire allemande a été tuée par un squale près du rivage.

Les plages de cette station de la mer Rouge sont interdites à la baignade depuis.

Après des premières attaques, les autorités avaient annoncé la capture de deux squales, un requin longimane et un requin mako, et les plages avaient été rouvertes samedi malgré l'avertissement d'une association locale selon laquelle un requin était toujours libre.

Les estomacs des squales, qui secrètent de l'acide hautement corrosif détruisant rapidement les tissus, ne contenaient pas de restes humains, a affirmé l'un des trois experts américains, George Burgess qui dirige l'International Shark Attack File, basé en Floride (Etats-Unis).

Selon lui, un mako ou deux sont derrière les attaques du 1er décembre, au vu des marques de morsure sur les victimes, alors que la première et la dernière attaques sont sans doute le fait d'un seul et même requin longimane.

"Ce serait un agresseur en série. C'est la première fois à ma connaissance que cela se produit", a dit M. Burgess.

Elke Bojanowski, expert des squales en mer Rouge, a dit que des photographies révélaient l'implication d'un requin femelle dans deux des attaques.

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CHARM EL-CHEIKH (Egypte), 9 déc 2010 (AFP) - La surpêche et les charognes déversées dans la mer par des bateaux pourraient expliquer la récente série d'attaques de requin dans une station balnéaire en Egypte, selon les premiers éléments établis par des experts et rendus publics jeudi.> "Un ou plusieurs incidents de déversements illégaux de carcasses d'animaux" pourraient avoir contribué aux attaques, indique le service dans un communiqué.

"La diminution de proies naturelles dans la zone, en raison de la surpêche et du fait que des nageurs et plongeurs nourrissent à des endroits localisés des poissons de récif et/ou des requins", sont autant d'explications, auxquelles se rajoutent les températures élevées de l'eau. Quatre touristes, trois Russes et un Ukrainien, ont été grièvement blessés les 30 novembre et 1er décembre lors d'attaques séparées. Dimanche, une septuagénaire allemande a été tuée par un squale près du rivage.

Les plages de cette station de la mer Rouge sont interdites à la baignade depuis.

Après des premières attaques, les autorités avaient annoncé la capture de deux squales, un requin longimane et un requin mako, et les plages avaient été rouvertes samedi malgré l'avertissement d'une association locale selon laquelle un requin était toujours libre.

Les estomacs des squales, qui secrètent de l'acide hautement corrosif détruisant rapidement les tissus, ne contenaient pas de restes humains, a affirmé l'un des trois experts américains, George Burgess qui dirige l'International Shark Attack File, basé en Floride (Etats-Unis).

Selon lui, un mako ou deux sont derrière les attaques du 1er décembre, au vu des marques de morsure sur les victimes, alors que la première et la dernière attaques sont sans doute le fait d'un seul et même requin longimane.

"Ce serait un agresseur en série. C'est la première fois à ma connaissance que cela se produit", a dit M. Burgess.

Elke Bojanowski, expert des squales en mer Rouge, a dit que des photographies révélaient l'implication d'un requin femelle dans deux des attaques.

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Des chercheurs américains et canadiens exposent dans le Journal of Experimental Biology la façon dont la baleine bleue fait le plein d'énergie en engloutissant, d'une bouchée, jusqu'à 90 tonnes d'eau, qu'elle filtre ensuite pour en retenir le zooplancton.



"C'est comme si vous pouviez introduire vos mains dans votre bouche, et l'étirer, sous la peau, jusqu'à votre nombril", explique Robert Shadwick, zoologiste à l'Université de Colombie-Britannique (Canada), décrivant l'ouverture démesurée de la gueule de la baleine bleue. Lui et son collègue Jeremy Goldbogen, de l'Université de Californie de San Diego, ont étudié quantitativement les capacités des baleines grâce à des capteurs fixés sur le corps des cétacés et à des modélisations informatiques. Comment l'animal peut-il, en quelques plongées de seulement 11 minutes en moyenne, absorber suffisamment de nourriture pour amortir la dépense énergétique occasionnée par cet effort ? Fonçant "comme un missile", gueule fermée, jusqu'à environ 200 mètres de profondeur, la baleine remonte lentement en ouvrant largement la bouche, gonflant les replis extensibles de peau qui tapissent sa mâchoire inférieure, formant une extension caverneuse à sa bouche : une baleine de 90 tonnes pourrait ainsi engloutir... 90 tonnes d'eau de mer. Expulsant l'eau à travers ses fanons - gigantesque "peigne" remplaçant les dents et servant de filtre -, elle ne conserve qu'une énorme bouchée de krill ou autres petits organismes. En répétant quelques fois ce processus, elle parvient à ingurgiter une quantité de nourriture représentant près de cent fois l'énergie qu'elle dépense en une plongée !

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Le gobie barbu est capable de survivre dans des eaux hypoxiques et toxiques où les autres vertébrés meurent habituellement. Des chercheurs africains et norvégiens viennent de percer son secret.



Vivant au large de la Namibie et de l'Afrique du Sud, le gobie barbu est un poisson de petite taille qui a réussi à s'adapter à ce milieu où les eaux sont pourtant très pauvres en oxygène. La surpêche massive de la région a entraîné la disparition de la sardine et c'est le gobie qui constitue désormais la source de nourriture des poissons plus gros, des oiseaux, des phoques et des pingouins. Du fait de l'environnement particulièrement défavorable, les chercheurs pensaient qu'aucun poisson ne pouvait survivre dans cette zone. En effet, entre les méduses, le sulfure d'hydrogène toxique contenu par les sédiments et la boue et l'absence d'oxygène, il était peu probable qu'un poisson comme le gobie puisse s'adapter. L'explication est simple : "Le gobie nage dans les fonds hypoxiques la journée où il retient son souffle tout en mangeant de la boue. La nuit, il nage vers la surface pour évacuer sa dette en oxygène et digérer sa nourriture", explique la biologiste Anne Christine Utne Palm. D'autre part, "tandis que les prédateurs évitent les méduses, les gobies se reposent juste au-dessus d'elles et nagent librement entre leurs tentacules urticants. C'est comme cela qu'ils échappent à leurs prédateurs et prospèrent". Cette découverte va permettre de développer la gestion écosystémique des pêches de la zone.

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CHARM EL-CHEIKH (Egypte), 12 déc 2010 (AFP) - Les plages de la station balnéaire égyptienne de Charm el-Cheikh, sur la mer Rouge, vont être rouvertes avec de nouvelles mesures pour assurer la sécurité des baigneurs, après des attaques de requins qui avaient conduit à leur fermeture, a annoncé dimanche le gouverneur de la région.> Les hôtels en activité sur cette côte riche en coraux devront ainsi faire en sorte que des plongeurs et des vedettes rapides patrouillent en permanence dans les eaux adjacentes, a-t-il précisé, sans dire cependant quand ces mesures entreraient en vigueur.

Mohammed Shosha a ajouté que les hôtels seraient sommés d'installer des panneaux le long des plages pour expliquer aux touristes comment éviter d'attirer les squales lorsqu'ils nagent. Les vacanciers devront aussi être informés des dangers qu'ils encourent lorsqu'ils nourrissent des poissons.

Le gouverneur a à cet égard critiqué les touristes qui ont illégalement donné de la nourriture aux poissons, ce qui pourrait avoir attiré des requins.

Il a en outre affirmé qu'une des principales raisons des récentes attaques avait été le déversement dans la mer de carcasses de moutons à partir d'un cargo transportant des animaux, excitant ainsi les squales.

Trois Russes et un Ukrainien ont été grièvement blessés les 30 novembre et 1er décembre. Le 5 décembre, une septuagénaire allemande a été tuée par un squale près du rivage.

Les plages de Charm el-Cheikh, sur lesquelles se rendent chaque année jusqu'à quatre millions de touristes, ont été à partir de cette date interdites à la baignade.


Les experts pensent qu'au moins deux requins appartenant à des espèces qui chassent en général loin des côtes ont été à l'origine de ces drames.

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< RENNES, 13 déc 2010 (AFP) - L'A84 entre Caen et Rennes a été fermée lundi à la circulation de 10h00 à 13h00 à la sortie de Rennes, dans les deux sens, pour une battue après plusieurs accidents dus à une horde d'une vingtaine de sangliers, ont indiqué la gendarmerie et la préfecture d'Ille-et-Vilaine.> Ces déviations ont entraîné d'importants bouchons, comme l'a constaté une automobiliste qui se rendait à Rennes et s'est retrouvée bloquée sur la RD794 sans savoir ce qui se passait réellement.

L'arrêté préfectoral autorisant la battue et la fermeture de l'autoroute a été pris vendredi pour lundi mais concerne aussi les autres jours de la semaine jusqu'à vendredi au cas où la battue de lundi ne serait pas fructueuse.

Cette battue vise "à éliminer une horde d'une vingtaine de sangliers ayant entraîné plusieurs accidents sur l'A84", précise la préfecture dans un communiqué.


gvy/phs/phc

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Si c'est surtout en été, lors des baignades en bord de mer qu'on se préoccupe des méduses, celles-ci sont présentes tout au long de l'année. Selon une étude du Centre d'océanographie des Baléares, les méduses seraient même de plus en plus nombreuses, et ce même dans des eaux normalement trop froides pour elles.











Une étude compilant 50 ans d'analyses et de données confirme bel et bien que les méduses se font de plus en plus nombreuses et de plus en plus grandes et ce, même en période hivernale. "Depuis 2002, les méduses sont de plus en plus fréquentes en hiver dans le nord-est de l'Atlantique, elles ont tendance à apparaître plus tôt et à passer plus de temps de leur cycle annuel là-bas", rapporte María Luz Fernández de Puelles, co-auteur de l'étude. En effet, les hivers plus chauds autorisent des espèces comme la méduse Pelagia noctiluca à proliférer le long des côtes dans des zones où la nourriture est plus abondante. Sciences et avenir rapporte ainsi que des Pelagia noctiluca adultes ont été observées en Méditerranée. Leur nombre est surprenant car ces proliférations ont habituellement une fréquence de 12 ans mais "depuis 1998, ces périodes sont devenues plus courtes et plus fréquentes", explique la scientifique. Les explications à ce phénomène sont la surpêche et les effets hydroclimatiques du réchauffement de la mer. De plus, ces méduses ayant une vie de longue durée, en mangeant une grande quantité de larves, elles modifient en profondeur l'ensemble de l'écosystème marin.

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