pacemaker91 0 Posté(e) le 21 décembre 2010 WASHINGTON, 20 déc 2010 (AFP) - Le Sénat américain a renforcé lundi son arsenal législatif contre la pêche au requin, dans l'espoir de protéger l'espèce en voie d'extinction en raison d'une demande croissante des restaurateurs chinois.> "Le prélèvement d'ailerons de requins a provoqué un déclin massif de l'espèce et un bouleversement irréversible de nos océans", a déclaré le sénateur démocrate John Kerry, promoteur du texte.La loi n'interdit toutefois pas la consommation d'ailerons de requins, plat offert par de nombreux restaurants chinois aux Etats-Unis.Les organismes de protection de l'environnement estiment que jusqu'à 73 millions de requins sont tués chaque année dans le monde pour leurs ailerons. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 décembre 2010 En regardant les photos de l'attaque, en étudiant les plaies et les morceaux de dents restés dans le corps de la victime, ou en se fiant à des témoignages. Début décembre, des attaques de requin dans la station balnéaire de Charm el-Cheikh ont fait quatre blessés et un mort. Les scientifiques américains disent avoir identifié avec certitude deux requins suspects.Un canular a même circulé sur Internet, faisant croire que l'animal responsable des attaques avait été tué par un touriste serbe ivre lui ayant sauté dessus. Comment les biologistes marins s'y prennent-ils pour démasquer les squales coupables de ce carnage? Les photos... quand il y en a. Dans le cas présent, ils s'appuient sur des photos qui servent de preuves. Les experts pensent qu'un seul requin longimane (plus communément appelé «requin à aileron blanc») est responsable de deux des attaques. En effet, des photographies prises avant et pendant les deux attaques montrent un animal aux caractéristiques physiques semblables. Bien qu'il n'y ait aucun moyen de retrouver la trace de ce requin, les scientifiques ont une idée précise de son apparence et pourraient l'identifier si, d'aventure, ils venaient à le croiser. S'agissant de deux des trois autres attaques, les experts supposent qu'elles ont dû être perpétrées par le même requin mako (de la famille des grands requins blancs): les assauts se sont produits à 5 minutes d'intervalle et à une distance de 9 mètres; en outre, les traces de morsures sur les victimes se ressemblent beaucoup. Cependant, on ne sait pas de quel requin mako particulier il s'agit. Il est très rare que des requins à aileron blanc sévissent dans les eaux égyptiennes. Les experts sont souvent obligés de croire à des chimères et de se limiter à déterminer l'espèce du squale responsable de l'attaque, sans aller jusqu'à décrire l'aspect de l'animal Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 décembre 2010 PARIS, 24 déc 2010 (AFP) - Le froid qui frappe le nord de l'Europe a poussé vers la France des dizaines de milliers d'oies et de canards, qui y sont la cible d'un "véritable massacre" en raison de la chasse, affirme vendredi la Ligue pour la protection des oiseaux (LPO).> Selon la LPO, depuis la fin du mois de novembre, des dizaines de milliers d'oies, canards et limicoles qui hivernent habituellement aux Pays-Bas et en Belgique, ont finalement poursuivi leur migration et trouvé refuge en France.Or, "les oiseaux, déjà affaiblis par la difficulté à trouver les ressources alimentaires, sont chassés et dérangés nuit et jour", dit la LPO dans un communiqué.L'ONG dénombre près de 5.000 oies rieuses, 5.000 bernaches nonettes, des dizaines de milliers de canards siffleurs, sur le littoral de la Manche."Malheureusement, les chasseurs sont à l'affût et les observations sur le terrain montrent qu'un véritable carnage est en cours", dit la LPO. "La présence de près de 5.000 canards siffleurs condamnés à rester posés en mer face à Sangatte, car empêchés par les chasseurs de s'alimenter dans les polders, en témoigne", poursuit-elle.Allain Bougrain Dubourg insiste également sur le fait qu'il existe "un protocole froid" qui suppose la fermeture de la chasse "quand les conditions météorologiques ne sont pas acceptables parce que les oiseaux ne trouvent pas leur nourriture". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 janvier 2011 Ce petit manchot semble découvrir la neige pour la première fois. Sautant et cabriolant dans la poudreuse, il fait ainsi la joie des spectateurs venus le voir! Il est rare de voir un animal s'amuser autant tout seul ! Et difficile de ne pas penser à un enfant lorsque l'on regarde sautiller ainsi ce jeune manchot dans la neige. Car si le groupe de manchots adultes se tient sagement en retrait, celui-ci préfère quant à lui s'éloigner un peu et faire quelques pirouettes et un peu de glissade dans la neige! Semblant s'amuser comme un petit fou, il fait ainsi la curiosité des visiteurs de ce zoo, mais aussi surtout des internautes. En effet, alors que cette vidéo a été mise en ligne il y a seulement quelques jours, elle comptabilise déjà près de 200 000 vues sur YouTube. Autant dire que le petit manchot n'a pas finit de faire sourire le Web. Découvrez le manchot le plus heureux du monde en vidéo sur Zigonet. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 janvier 2011 PARIS, 4 jan 2011 (AFP) - Ils sont des centaines à barboter du Cap Fréhel à la Manche en passant par les îles anglo-normandes, mais ces cétacés restent méconnus: un programme d'étude de trois ans vient d'être lancé pour recenser et mieux connaître les grands dauphins sédentarisés du golfe normand-breton.> Sur le terrain, le Groupe d'étude des cétacés du Cotentin (Gecc), une association spécialisée de Cherbourg, va prendre des photographies des dauphins pour établir une liste en distinguant individuellement chacun des animaux grâce à ses "marques naturelles" (taches, griffures, encoches) sur son aileron"On fait ces sorties en bateaux depuis plusieurs années, l'idée est de connaître la taille de la population et de connaître son évolution", explique François Gally, directeur de la petite association (deux salariés).L'association a identifié à ce jour plus de 650 grands dauphins et François Gally estime à environ 300 le nombre de cétacés sédentarisés dans la région, soit "l'une des populations les plus importantes de France"En France, les grands dauphins sont également présents en mer d'Iroise et en Méditerranée.Au volet démographique s'ajoute un aspect scientifique avec des prélèvements de peau par biopsie sur les animaux pour déterminer leur régime alimentaire et les niveaux de produits contaminants présents dans leur corps.Les prélèvement seront analysés par des scientifiques du centre d'étude biologique de Chizé (Deux-Sèvres) et de l'université de La Rochelle."Aujourd'hui, nous n'avons aucune idée de l'état de santé des animauxL'objectif final de cette étude, c'est la préservation de cette espèce au moment où se développent les activités offshore avec des activités éoliennes, hydroliennes et l'extraction des granulats", souligne François Gally, précisant que ce programme doit durer jusqu'à fin 2013 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 janvier 2011 Les tortues luth sont capables de parcourir plus de 7.000 kilomètres. Ces données sont révélées par des satellites qui ont suivi leur incroyable odyssée grâce à des capteurs. Des observations satellites ont permis à des biologistes anglais de suivre pendant cinq ans les mouvements de 25 tortues luth sur lesquelles des émetteurs avaient été disposés. Les relevés indiquent que toutes ces tortues prenaient, depuis le Gabon, la direction de l'océan Atlantique afin de se nourrir et de constituer un certain nombre de réserves pour les deux à cinq années à venir. La Royal Society, dans sa revue Proceedings B, reprise par Cyberpresse.ca, précise que trois grandes routes empruntées sont à distinguer. Les tortues luth se rendent au centre de l'Atlantique, entre l'Afrique centrale et le Brésil, d'autres, plus au sud, passent le Cap de Bonne Espérance quand d'autres encore vont de l'Afrique à l'Amérique du sud, couvrant ainsi 7.563 kilomètres. Un des biologistes qui les a observés indique que c'est la première fois que l'on connaît avec certitude le trajet parcouru par ces monstres marins. Cependant, chaque année, un certain nombre de tortues prend une direction plutôt qu'une autre et à l'heure actuelle, leur choix reste incompréhensible. Malheureusement, quelles qu'elles soient, les routes empruntées se trouvent toutes dans des zones de pêche et les filets prennent souvent les tortues au piège. Grâce aux relevés, il a toutefois été possible de repérer quels étaient les onze pays qui devraient tenir compte des tortues et faire en sorte de mettre en place des mesures de conservation. Les tortues luth sont une espèce parmi les plus anciennes et les plus grandes au monde. Capables de plonger jusqu'à 1.300 mètres de profondeur, ces énormes reptiles peuvent aussi mesurer jusqu'à deux mètres et peser plus de 900 kilos. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 janvier 2011 En raison des inondations sans précédent qui affectent le nord-est de l'Australie depuis plusieurs semaines, de nombreux détritus et pesticides rejoignent la mer, menaçant ainsi la grande barrière de corail. Alors qu'une quarantaine de villes australiennes, principalement de la région du Queensland, se retrouvent aujourd'hui sous les eaux (voir notre article), les inondations mettent également en danger les coraux. Les détritus et pesticides sont charriés par les eaux boueuses et rejetés en mer. Un "cocktail" dangereux pour l'équilibre de cet écosystème, rapporte 20minutes.fr. C'est toute "la chaîne alimentaire et la vie des coraux" qui seront perturbés, a indiqué Michelle Devlin, de l'Université James Cook. Unique au monde, la grande barrière de corail est inscrite au patrimoine mondial de l'Unesco. Et pourtant, la catastrophe doit encore atteindre son pic aujourd'hui, selon les prévisions. Le niveau de la rivière Fitzroy devrait atteindre 9,40 mètres et rester largement au-dessus de son niveau d'alerte pendant une semaine, ont précisé les services météorologiques australiens. Par ailleurs, une alerte aux orages a été émise pour la journée. Pour l'Australie, cette catastrophe, qualifiée de "biblique" par les autorités, est sans précédent. Le pays n'a lancé aucun appel à l'aide, mais hier les Nations unies ont indiqué que le secrétaire général Ban Ki-moon suivait la situation de près. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 janvier 2011 Des centaines de grands dauphins vivent dans la Manche mais ils étaient jusqu'ici très peu connus. Un étude de trois ans qui débute a pour but d'en apprendre davantage sur ces cétacés. Une association spécialisée dans l'étude des cétacés (le GECC) va photographier des centaines de dauphins afin de les distinguer les uns des autres en fonction de leurs caractéristiques : taches, griffures et forme particulière des ailerons par exemple. Le directeur de l'association, qui compte deux salariés, a expliqué à l'AFP que les sorties de la sorte en bateaux avaient lieu depuis plusieurs années déjà mais que cette fois, il s'agit de recenser la population de cétacés et d'en étudier l'évolution. L'objectif de l'étude est aussi d'analyser le régime alimentaire de l'espèce et d'évaluer (par biopsie) la quantité de produits polluants présents dans leur corps. En effet, en ce moment même se développent des activités offshore, éoliennes et hydroliennes dont l'impact sur la santé des dauphins est absolument inconnu. Pour l'heure, 650 dauphins ont été dénombrés dans le golfe normand-breton et le GECC estime que 300 d'entre eux vivent dans cette région toute l'année. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 6 janvier 2011 Mardi, sur les côtes de Nouvelle-Zélande, du Brésil et dans le plus grand estuaire des Etats-Unis, des millions de poissons sans vie ont été découverts. Un mystère qui s'ajoute à celui des trois pluies d'oiseaux morts observées aux Etats-Unis et en Suède depuis le passage à la nouvelle année. L'hécatombe continue. Mais cette fois, il ne s'agit pas de pluies d'oiseaux morts. Ce sont des millions de poissons qui ont été retrouvés sans vie, à la surface de l'eau ou jonchant le sol, à plusieurs endroits du monde. C'est le quotidien Baltimore Sun, rapporté par 7sur7.be, qui a révélé l'information concernant ces morts mystérieuses dans la baie de Chesapeake, plus grand estuaire des Etats-Unis, situé dans l'Etat du Maryland. Pas moins de 2 millions de poissons morts y ont été recensés. Le porte-parole du département de l'Environnement du Maryland parle d'une crise d'hypothermie consécutive à un bouleversement thermique brutal, note le journal américain. D'après ce monsieur, des cas similaires ont déjà été observés par le passé : en 1976 et 1980.Au large d'un autre continent, même stupeur. Un quintal de sardines et de poissons-chats ont été retrouvés morts dans des villes portuaires du Brésil. Un phénomène également relevé sur plusieurs plages néo-zélandaises. La plupart des cadavres de poissons étaient éborgnés.Ces événements restent pour le moment inexpliqués. Le plus troublant dans cette affaire, c'est qu'ils se produisent quelques jours seulement après la découverte de milliers d'oiseaux morts en Arkansas et en Louisiane, aux Etats-Unis, mais aussi à Beebe, en Suède.Plusieurs hypothèses ont été mises en avant : les oiseaux seraient morts de peur à cause des feux d'artifices de la Saint-Sylvestre, ou encore d'une possible électrocution à cause de lignes à haute tension qui bordent les autoroutes américaines. Mais pour le moment, rien n'a été confirmé. Plusieurs analyses et autopsies sont toujours en cours. Quoi qu'il en soit, ces "coincidences" restent alarmantes. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 janvier 2011 Des milliers de crabes morts ont été rejetés par la mer sur les plages du Kent. Les spécialistes pensent qu'ils ont été victimes d'hypothermie, car ce mois de décembre a été le plus froid qu'ait connu le Royaume-Uni depuis 120 ans "C'est très triste de voir toutes ces crabes morts rejetés sur la plage. L'hiver a été très froid et cela montre que tous les animaux sont affectés par ces conditions glaciales, et pas seulement nous, les humains", explique un habitant de la région de Margate au Daily Mail, qui parle de plages littéralement jonchées de crabes morts. Ce sont les cadavres de 40.000 étrilles qui ont été retrouvés ces derniers jours sur les côtes du Kent (Royaume-Uni). "Nous supposons que le réchauffement climatique a attiré les crabes près du littoral. Nous pensons que la chute soudaine de température a entraîné chez eux une hypothermie fatale", ajoute Tony Sykes, gestionnaire du littoral. "Nous ne nous attendions pas à une population si importante. Nous espérons, comme c'est généralement le cas dans les cycles vitaux naturels, que les plages seront rapidement nettoyées de tous ces crustacés par les oiseaux de mer. Nous avons bon espoir que la population de crabes se reconstituera bientôt", conclut son collègue Tony Childs. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 11 janvier 2011 < LIMA, 6 jan 2011 (AFP) - Plus de 25.000 hippocampes déshydratés et plusieurs milliers d'ailerons de requins voués à l'exportation illégale vers l'Asie ont été saisis jeudi à Lima, une cargaison d'une valeur marchande de 280.000 dollars (210.000 euros), a annoncé le ministre de la Production Jorge Villasante.> La saisie a été réalisée dans un entrepôt appartenant à un ressortissant chinois, près de l'aéroport international.L'hippocampe, menacé d'extinction et protégé par la Convention sur le commerce international des espèces sauvages (CITES), est prisé en Asie où on lui prête des qualités médicinales ou aphrodisiaques.Sa pêche est totalement interdite au Pérou depuis 2004. La pêche d'espèces marines protégées y est passible de deux à cinq ans de prison.bur/pbl/mdr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 14 janvier 2011 < WASHINGTON, 13 jan 2011 (AFP) - La population de saumons du Pacifique du Canada pourrait être décimée par une faiblesse immunitaire due à un problème génétique et qui rendrait l'animal plus sensible aux virus, selon une étude publiée jeudi.> Les chercheurs se sont penchés sur le profil génétique des saumons ayant réussi à atteindre les frayères et à se reproduire et l'ont comparé avec celui des saumons morts en route, selon cette étude parue dans le magazine américain Science.Les scientifiques ont découvert que les poissons qui n'avaient pas réussi à atteindre les frayères avaient en commun "une signature génétique clé montrant qu'ils souffrent d'un problème de métabolisme et d'immunité", selon l'étude, dirigée par Kristina Miller."Notre hypothèse est que le signal génétique associé à une mortalité plus élevée répond à un virus qui infecte les poissons avant qu'ils ne commencent à remonter les rivières et qui persiste jusqu'aux frayères", expliquent les auteurs.La mort des poissons au moment où ils se trouvent dans les rivières n'est pas attribuable à une cause unique, mais des analyses statistiques ont permis de repérer dans une bonne partie de ces saumons "un groupe régulier de gènes" qui sont "connus pour être liés à l'activité virale".La population de saumons rouges a recommencé à augmenter en 2010, après plusieurs années au cours desquelles leur rareté a conduit à la fermeture de nombreuses zones de pêche, en particulier au Canada.Leur quasi-disparition du Fraser, le plus grand fleuve de Colombie-Britannique, en 2009 avait amené les autorités canadiennes à mettre en place une commission d'enquête sur la question.bur-ksh/cel/js/bar Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 14 janvier 2011 < BORDEAUX, 14 jan 2011 (AFP) - Quatorze cadavres de dauphins et marsouins ont été retrouvés ces derniers jours sur la côte atlantique entre Lacanau (Gironde) et Biscarosse (Landes), a-t-on appris vendredi auprès du Centre de recherche des mammifères marins de La Rochelle, alors que débute la saison des échouages.> En outre, trois marsouins ont été retrouvés vendredi près du centre d'essais des Landes, un site militaire à Biscarosse, et devaient être ramenés à La Rochelle. "On s'attend à de nouvelles apparitions du fait des vents continus de secteur ouest depuis une semaine", a précisé Willy Dabin.Parmi les mammifères découverts, des dauphins communs du plateau continental mais aussi deux dauphins bleus et blancs océaniques, tous de moins de 2,10 mètres. Ils sont morts en mer il y a dix à quinze jours.Jusqu'à 200 à 300 dauphins peuvent ainsi être retrouvés sur les côtes atlantiques pendant les quelques semaines d'une saison d'échouage, qui dure en général de mi-janvier à mi-avril.Mais une faible part des cétacés morts en mer s'échoue, a précisé M. Dabin, selon lequel une étude sur des cadavres bagués a montré que seules 11% à 22% des dépouilles étaient revenues sur les côtes.La mortalité de ces cétacés est naturelle ou liée aux activités humaines, comme des collisions avec des bateaux ou des infrastructures côtières ou encore les captures accidentelles de certaines pêcheries, a-t-il précisé."Nous travaillons avec la profession (des pêcheurs) sur des programmes de suivi afin de limiter l'impact (de leur activité) sur cette population protégée", a ajouté M. Dabin, qui insiste sur le "climat de confiance" établi avec les pêcheurs.chv/od/phc Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 janvier 2011 Le site Cyberpresse.ca rapporte qu'entre 40 et 95% des saumons vivant dans le Pacifique auraient disparu ces dernières années, victimes d'une faiblesse immunitaire d'origine génétique. Une faiblesse immunitaire due à un problème génétique pourrait rendre les saumons du Pacifique plus sensibles au virus et entraînerait leur disparition progressive. L'étude à l'origine de cette découverte révèle que 40 à 95% de la population de saumon rouge ou saumon sockeye a disparu ces dernières années. La revue Science indique que les chercheurs auteurs de l'étude ont découvert que les poissons morts portaient "une signature génétique clé montrant qu'ils souffrent d'un problème de métabolisme et d'immunité". A cause de cette affection, les saumons ne seraient plus en mesure de faire face efficacement à une certaine catégorie de virus. Si la population de saumon rouge avait quasiment disparu du fleuve Fraser en 2009, elle avait légèrement repris du poil de la bête en 2010 après la fermeture de plusieurs zones de pêche qui menaçaient la population. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 janvier 2011 Tant redoutés par l'Homme, les requins, dont de nombreuses espèces sont menacées d'extinction, sont dans plusieurs pays et notamment à Palau, un petit archipel du Pacifique, officiellement protégés. Là-bas, d'importants efforts sont mis en oeuvre pour protéger les squales. En septembre 2009, l'archipel de vingt-six îles situé dans le Pacifique nord a créé le tout premier sanctuaire mondial des requins. Quelque 630.000 kilomètres, où vivent près de cent-trente espèces différentes, sont ainsi interdits à la pêche. Dermot Keane, un Irlandais arrivé à Palau en 1995, est à l'origine de cette initiative, lui qui consacre sa vie à la protection des squales. De nombreux pêcheurs pratiquaient dans les eaux de Palau, comme dans tous les lieux où vivent des requins, le shark finning. Cette pratique consiste à pêcher les requins pour prélever leurs ailerons, puis les rejeter à la mer où ils sont alors incapables de nager. Privés de leur ailerons, ils coulent, et meurent. L'aileron coupé sert de base à une soupe très prisée en Asie. "La première fois que je suis venu à Palau, il y avait 50 ou 60 bateaux dans la zone, avec des ailerons qui pendaient à leur gréement", raconte Dermot Keane. Selon l'association écologique Pew, ce quelque 73 millions de requins qui sont ainsi tués chaque année. Menacés de disparition à l'échelle mondiale, les requins sont essentiels dans la chaîne alimentaire, qui se trouve déséquilibrée face à l'inquiétante diminution de leur population. Dermot Keane s'est définitivement installé à Palau en 1997, pour se consacrer à la protection des squales, en commençant par sensibiliser la population locale à ce massacre. C'était vraiment des images sanguinolantes que je montrais pour expliquer aux gens ce qui se passait", explique-t-il. Peu à peu, M. Keane a combattu les réticences, pour faire de Palau l'un des pays les plus impliqués dans la protection des squales. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 janvier 2011 En quelques jours seulement, quatorze cadavres de dauphins et marsouins ont été retrouvés sur la côte atlantique entre Lacanau, en Gironde, et Biscarosse, dans les Landes, a annoncé le Centre de recherche des mammifères marins de La Rochelle. Onze dauphins, dont deux bleus et blancs océaniques, ont été découverts échoués sur la plage, entre Lacanau et Le Porge, en Gironde. Trois cadavres ont été transportés jeudi vers La Rochelle afin qu'ils soient autopsiés et que soient déterminées les causes de leur mort, a indiqué à l'AFP Willy Dabin, ingénieur du Centre de recherche chargé de l'exploitation des échouages.Outre ces onze cétacés, trois marsouins ont également été retrouvés morts vendredi près du centre d'essais des Landes. Les animaux devaient eux aussi être amenés à La Rochelle pour que leurs cadavres soient autopsiés, tandis que le centre de recherches s'attend "à de nouvelles apparitions du fait des vents continus de secteur ouest depuis une semaine", a souligné Willy Dabin.Chaque année à la même saison, de nombreux échouages sont à déplorer sur la côte atlantique. Cette période s'étend généralement de mi-janvier à mi-avril, et jusqu'à 300 cétacés peuvent ainsi être retrouvés échoués sur les plages. Souvent naturelle, la mortalité des dauphins est également engendrée par le activités humaines. Les mammifères marins sont notamment victimes de collisions avec des bateaux ou des infrastructures côtières, mais aussi de captures accidentelles par des pêcheurs. "Nous travaillons avec la profession sur des programmes de suivi afin de limiter l'impact (de leur activité) sur cette population protégée", souligne Willy Dabin, assurant qu'un "climat de confiance" a été établi avec les pêcheurs. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 janvier 2011 Trois jeunes phoques nés aux îles Farne (nord-est de l'Angleterre), emportés par les courants marins hivernaux très puissants, ont été retrouvés vivants sur les côtes néerlandaises. Un voyage de plusieurs centaines de miles auquel ils ont survécu par miracle. Trois jeunes phoques gris, recensés et marqués par les naturalistes de l'ONG National Trust sur leur site de naissance des îles Farne (compté de Northumberland, Royaume-Uni), emportés à cause du gros temps régnant cet hiver en Mer du Nord, ont étés retrouvés indemnes sur la côte hollandaise, à plus de 483 kilomètres de là. Survivre à un tel périple est un exploit pour ces bébés âgés de quelques semaines. Recueillis par un centre spécialisé, ils seront relâchés dans la nature dès qu'ils auront repris du poids. Le système de couleurs utilisé par les biologistes pour le marquage de ces animaux, retrouvés respectivement le 13 décembre et les 6 et 7 janvier, a permis de déterminer leur âge : teinture bleue pour deux d'entre eux, indiquant une naissance fin novembre, teinture jaune pour le troisième, né mi-novembre. "Les deux premiers étaient encore dépendants de leur mère et le troisième venait tout juste de gagner son indépendance quand ils ont commencé leur voyage. C'est une remarquable histoire de détermination et de survie dans les eaux turbulentes de la Mer du Nord", explique David Steel, de National Trust. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 19 janvier 2011 Publiée dans la revue Naturwissenschaften, une étude australienne montre que les requins ne distinguent pas les couleurs, et sont en revanche sensibles aux contrastes. Des résultats qui pourraient permettre d'améliorer la sécurité des surfeurs et celle des squales, victimes des engins de pêche. Ce sont les rétines de 17 espèces de squales qu'ont étudié Nathan Scott Hart et ses collègues de l'Université de l'Australie occidentale et de l'Université du Queensland. Résultats : 10 de ces requins n'avaient pas de cônes, ces cellules de l'oeil qui permettent de distinguer les couleurs, et 7 n'en avaient qu'un seul type - alors que l'homme en possède trois types, un pour chaque grand spectre de couleurs : vert, bleu, rouge. Les cellules rétiniennes appelées bâtonnets, aptes à percevoir les contrastes, notamment en faible éclairement, sont par contre nombreuses dans l'oeil des requins. Conséquence : ces derniers sont incapables de percevoir les couleurs, et ne réagissent qu'à l'intensité du contraste entre l'objet et le fond ambiant (mis à part leurs autres sens neurosensoriels). Un constat qui, selon les auteurs, pourrait permettre d'adapter les combinaisons de plongée et les planches de surf pour les rendre moins attractives pour ces prédateurs. Et aussi les leurres des grandes lignes de pêche industrielle, auxquelles se prennent accidentellement nombre de requins. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 20 janvier 2011 Publiée dans Proceedings of the Biological Society of Washington, la description, par des chercheurs américains, d'une nouvelle espèce d'écrevisse géante, trouvée dans le Tennessee, prouve que des découvertes zoologiques peuvent encore être faites dans des endroits que l'on pensait bien explorés. Avec ses 12,5 centimètres -une taille énorme pour ce type d'animaux- et ses antennes couvertes de soies minuscules et sensitives ressemblant à des cheveux, Barbicambarus simmonsi, la nouvelle espèce d'écrevisse découverte par des chercheurs dans un ruisseau cependant bien connu et fréquenté du Tennessee, ne passe pourtant pas inaperçue. "Ce n'est pas le genre d'animal que vous pourriez attraper en disant : 'tiens, encore une écrevisse' et en le rejetant à l'eau", commente Chris Taylor, biologiste des milieux aquatiques à l'Université de l'Illinois, qui, en compagnie de Guenter Schuster, de l'Université du Kentucky, a découvert le crustacé sous une pierre. "Nous dépensons des millions de dollars chaque année, sur des subventions fédérales, pour envoyer des biologistes en Amazone, en Asie du sud-est, dans le monde entier, à la recherche de la biodiversité de ces régions. Mais l'ironie est qu'il y a très peu d'argent dépensé dans notre propre pays pour faire la même chose. Or, il y a toujours des tas de secteurs, ici, aux Etats-Unis, qui doivent être explorés", conclut Guenter Schuster. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 janvier 2011 < LIMA, 20 jan 2011 (AFP) - Des paléontologues ont annoncé jeudi la découverte, dans le nord-est amazonien du Pérou, d'un fossile de calamar apparemment inconnu remontant au Crétacé, à environ 85 millions d'années.> Le fossile de céphalopode rectiligne, d'une longueur de 32 cm pour 5 cm de diamètre, appartient à la famille éteinte des Baculites. Il est strié d'anneaux diagonaux dans sa partie inférieure.Il a été découvert début janvier dans le bassin du fleuve Maranon, à plus de 4.000 m d'altitude dans la province d'Amazonie, dans une strate de terrain remontant à 83-85 millions d'années.Le cépaholopode aurait vécu dans un lac salé intérieur et devrait contribuer à "une meilleure compréhension de l'évolution indépendante des espèces isolées de manière durable" dans les mers du Crétacé en Amérique du Sud.bur/rm/pbl/mdr/dro Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 janvier 2011 < BANGKOK, 21 jan 2011 (AFP) - Les autorités thaïlandaises ont annoncé vendredi la fermeture sine die de sites de plongée populaires auprès des touristes pour tenter d'empêcher la mort des récifs de coraux victimes du réchauffement des eaux.> "L'interdiction de la plongée sur ces sites est décidée pour un temps indéfini, jusqu'à ce que le récif récupère complètement", a précisé Songtham Suksawang, ajoutant que le nombre de touristes serait également limité dans les parcs.Les sites sont situés dans sept des 26 parcs maritimes nationaux de Thaïlande: six parcs nationaux de la mer d'Andaman, sur la côte ouest (les populaires Similan et Phi Phi, ainsi que Surin, Chao Mai, Petra et Tarutao) et un dans le golfe de Thaïlande, sur la côte est (Chumphon).Les coraux de la mer d'Andaman et du golfe de Thaïlande souffrent d'un grave blanchissement lié à l'augmentation des températures de l'eau de mer provoquée par le phénomène météorologique El Nino et des activités humaines excessives à proximité des récifs, a précisé le département des parcs nationaux.La Thaïlande, avec ses plus de 3.000 km de côtes et de nombreuses îles, est une destination très prisée des plongeurs.Le corail abrite des millions d'algues qui lui donnent ses couleurs et ne supportent pas l'élévation en cours de la température de l'eau. Une fois les micro-algues mortes, le corail se décolore et meurt de faim, se transformant en un squelette calcaire.Selon une étude publiée en octobre par des scientifiques australiens, les coraux du sud-est asiatique et de l'océan Indien meurent en masse, victimes du pire phénomène de mortalité en 10 ans provoqué par le réchauffement des eaux.Le phénomène actuel est comparable à celui de 1998, quand des eaux plus chaudes avaient affecté les barrières de corail du monde entier.ask/klm/abd/jr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 janvier 2011 Sur le podium des animaux marins carnassiers, la plus haute marche est le plus souvent occupée par le requin. La faute à une mauvaise réputation, aux Dents de la mer et aux quelques plongeurs et surfeurs qui, chaque année, ont la malchance d'être croqués par des squales (rappelons que, dans le même temps, l'homme tue plus de 100 millions de requins par an...). Pourtant, ces poissons ne devraient être classés que deuxièmes, derrière l'orque. Mais la série gentillette des Sauvez Willy a fait oublier le terrible Orca, tandis que les prestations spectaculaires de ces grands mammifères marins dans des parcs aquatiques leur confèrent une image pas très éloignée de celle des dauphins. A tort, car les orques sont de redoutables chasseuses, au point que certaines n'hésitent pas à attaquer des requins pour s'en faire des gros sushis, comme on peut le voir sur cette vidéo exceptionnelle: Dans une étude parue le 6 janvier dans la revue Aquatic Biology, une équipe américano-canadienne a montré qu'une lignée d'orques vivant dans le nord-est du Pacifique mettait fréquemment du requin à son menu. A la différence des orques dits "résidants" qui se nourrissent de poisson, ou des épaulards "de passage" qui mangent plutôt des mammifères marins comme des lions de mer, les orques "du large", qui constituent la troisième famille identifiée dans la région, s'attaquent volontiers au requin dormeur du Pacifique (Somniosus pacificus). Malgré son nom qui peut le faire passer pour un mollasson, ce grand squale est lui-même un formidable prédateur. Pour faire cette découverte, les biologistes ont dû s'armer de patience. Leur réseau de collègues ont observé les orques 98 fois entre 1988 et 2009. Mais comme ces cétacés prennent en général leur repas à quelques centaines de mètres de profondeur, il était à chaque fois impossible de suivre leur chasse. Heureusement, en deux occasions, des morceaux de chair, reliefs du festin sous-marin, sont remontés à la surface. Leur analyse génétique a montré que... Lire la suite sur Slate.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 24 janvier 2011 Le site d'Ashadze est exploré depuis 2007. Situé au beau milieu de l'Atlantique à une profondeur de 4.080 mètres, les chercheurs viennent de découvrir qu'il était en déclin du fait de la disparition de certaines espèces indispensables. Le site d'Ashadze est le site hydrothermal le plus profond au monde. Depuis 2007, il a pu être cartographié et filmé grâce à l'utilisation du Victor 6000, un petit sous-marin missionné par le centre Ifremer de la Seyne-sur-mer. Mais les scientifiques se sont étonnés de l'absence de "gros amas de crevettes aveugles, [et de] massifs de moules que nous observons habituellement sur tous les sites de la ride médio-Atlantique", rapporte Sciences et Avenir. Par ailleurs, les chercheurs ont remarqué la présence inhabituelle d'anémones et de galathées (des charognards), normalement situées à la périphérie des sites hydrothermaux. L'explication viendrait de l'augmentation soudaine des courants sous-jacents qui auraient amené à créer une cheminée rejetant d'énormes quantités de poussières. La couche de particules ainsi constituée étouffe "l'ensemble de la faune chimiosynthétique présente à cet endroit, attirant ainsi les charognards", concluent les spécialistes. Le site d'Ashadze présente donc les caractéristiques d'un écosystème en passe de mourir puisqu'un des maillons initial de la chaîne alimentaire a complètement disparu, indique l'article publié dans le Journal of the Marine Biological Association of the United Kingdom. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 janvier 2011 Face à la menace qui pèse sur les coraux, victimes du réchauffement des eaux, les autorités thaïlandaises ont annoncé vendredi la fermeture de plusieurs sites de plongée très fréquentés par les touristes. Ce sont au total 18 sites répartis dans sept parcs maritimes nationaux, au sein desquels 80% des récifs de coraux sont victimes de blanchissement, qui ont été fermés sine die, a annoncé le département des parcs nationaux et de la conservation de la faune et de la flore. La plupart de ces sites de plongée sont situés sur la côte ouest du pays, le long de la mer Andama, précise l'agence ATS. Le blanchissement des coraux de la mer d'Andaman et du golfe de Thaïlande est engendré par par le réchauffement des eaux. Une augmentation des températures à la fois attribuée au phénomène météorologique El Nino, et aux activités humaines pratiquées à proximité des récifs. Les millions d'algues qu'abrite le corail et qui le colorent, sont extrêmement sensibles à ce réchauffement des eaux. Lorsqu'elles meurent, le corail blanchit avant de mourir de faim, devenant alors un squelette calcaire. La Thaïlande n'est pas le seul pays à voir ses récifs tant souffrir du changement climatique et de l'activité humaine trop intense. Une étude menée par des chercheurs australiens, et publiée en octobre dernier, a en effet révélé que les coraux du sud-est asiatique comme ceux de l'océan Indien, dépérissent eux aussi. Ce phénomène de mortalité serait comparable à celui de 1998, lorsqu'un réchauffement des eaux avait touché des récifs dans le monde entier. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 janvier 2011 ROME, 26 jan 2011 (AFP) - Une baleine d'environ 25 mètres de long est morte mercredi après avoir échoué sur la côte de la Toscane (Italie), située dans un parc naturel de la région de Pise, ont annoncé les médias italiens.> "La baleine avait perdu le sens de l'orientation, il semblait qu'elle avait du mal à respirer", ont raconté par la suite des pêcheurs cités par le quotidien Corriere della Sera sur son site internet.Les experts avancent deux hypothèses pour expliquer la mort de la baleine: le mammifère avait peut-être ingurgité un grand nombre de sacs en plastique ou il était malade.Une autopsie sera réalisée dans les prochains jours pour déterminer les causes exactes de sa mort et la carcasse de l'animal sera conservée dans un musée local d'histoire naturelle.Un sanctuaire international des cétacés (baleines, dauphins, etc..) s'étend depuis la Côte d'Azur en France jusqu'à la Toscane et englobe la Ligurie, la Corse et la Sardaigne. Une douzaine d'espèces y ont été recensées. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 janvier 2011 Publiée dans Marine Ecology Progress Series, une étude hispano-portugaise, sans précédent, de la chaîne alimentaire de l'écosystème marin de la Mauritanie, montre la nécessité d'un contrôle accru de la pêche dans cette région, où vivent le rarissime phoque moine et le dauphin à bosse. C'est notamment en traçant des isotopes chimiques à tous les niveaux de l'écosystème marin, au large de la Mauritanie (Afrique du nord-ouest), qu'Ana M. Pinela, chercheur à l'Université de Barcelone, et ses collègues, ont pu reconstituer la chaîne alimentaire de cette région, en particulier la distribution et la position trophique de 13 espèces de mammifères marins, tels le phoque moine (Monachus monachus) et le dauphin à bosse de l'Atlantique (Sousa teuszii). Ces deux super-prédateurs (animaux au sommet de la pyramide alimentaire), sont essentiels au bon équilibre de ce biotope, qui comprend également tortues, poissons, plancton, algues et épaulards - ces derniers étant à niveau égal avec les deux premières espèces sur le plan alimentaire, se nourrissant de poissons et non de mammifères marins, comme c'est le cas dans d'autres régions. Or, les eaux mauritaniennes sont parmi les plus exploitées du monde pour la pêche. "Les agences gouvernementales mauritaniennes et internationales devraient contrôler plus étroitement l'exploitation de pêche tant industrielle que traditionnelle dans ce secteur, aussi bien dans sa partie côtière qu'en haute mer. Cela devrait être une priorité de conservation pour ces espèces, importantes pour la biodiversité. Si elles disparaissaient, ce serait dur pour d'autres de prendre leur place", avertit Ana Pinela. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 31 janvier 2011 Le 14 février, Monaco accueillera une conférence internationale sur la façon de protéger la biodiversité des fonds marin et de les explorer davantage. La Fondation Prince Albert II de Monaco et l'Institut océanographique du rocher organisent pour la deuxième fois la "Monaco Blue Initiative". Cette conférence internationale sera notamment consacrée aux aires marines protégées. En effet, à la fin du mois d'octobre 2010, la conférence sur la biodiversité de Nagoya avait fixé comme objectif la protection de 10% des aires marines alors que le monde n'en compte actuellement qu'un tout petit pourcent. Par ailleurs, les fonds marins sont assez méconnus, et leur exploration est aussi une préoccupation importante. "A propos des grands fonds, on a fait le constat qu'on connaît mieux la surface de la planète Mars que les grands fonds de nos océans", indique Robert Calgano, directeur général de l'Institut océanographique de la Fondation Albert 1er. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 1 février 2011 Des traces d'antidépresseurs ont été retrouvées dans le corps des poissons de la ville de Montréal, au Canada. Celles-ci viendraient de l'évacuation des médicaments et leurs composés chimiques par voies d'eau. Une recherche menée par le Dr Sébastien Sauvé et une équipe de l'Université de Montréal a montré la présence de Prozac dans les tissus des poissons de la ville. La présence de l'antidépresseur chez ces animaux s'expliquerait notamment par le fait que 25% des Montréalais prennent des antidépresseurs, médicament qui se retrouve ensuite dans les eaux usagées, déversées dans le fleuve Saint-Laurent sans être désinfectées. Ainsi, les chercheurs essayent aujourd'hui de déterminer quelles conséquences sur le cerveau des poissons peuvent avoir les antidépresseurs présents dans l'eau tandis que le Dr Sauvé, cité par 20minutes.fr, explique : "Nous connaissons les effets négatifs des antidépresseurs sur les humains mais nous ne savons pas exactement à quel point les poissons sont affectés. Et au-delà, nous ne connaissons pas les effets sur l'écosystème du fleuve Saint-Laurent". L'équipe de scientifiques se base d'ailleurs, pour parvenir à mesurer les effets de la sérothérapie sur le cerveau des poissons, sur une exposition à long terme plutôt que sur une contamination forte et ponctuelle, explique Green et Vert. La présence d'antidépresseurs dans les eaux de Montréal n'aurait aucune conséquence sur l'homme. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 février 2011 Selon une étude canadienne, les Nations Unies ont sérieusement sous-évalué les quantités de poissons pêchées dans les eaux arctiques ces 50 dernières années. Une négligence qui pourrait avoir de graves conséquences sur les écosystèmes locaux. Près de 950.000 tonnes de poissons ont été pêchées dans les eaux arctiques du Canada, de la Russie et des Etats-Unis entre 1950 et 2006. Une quantité 75 fois supérieure à la quantité évaluée par l'Organisation des Nations Unies pour l'alimentation et l'agriculture, en charge d'évaluer l'activité de pêche. C'est ce que révèle une étude publiée dans la revue Polar Biology par des chercheurs de l'université de British Columbia au Canada.Pendant plusieurs années, ces scientifiques ont collecté des données de différentes sources sur les quantités pêchées au Nord de la Sibérie, dans les eaux de l'Alaska et dans l'Arctique canadien. Ils se sont alors aperçus que celles-ci n'avaient rien à voir avec les chiffres communiqués par les Nations Unies. Alors que les rapports mentionnent par exemple 12.700 tonnes de poissons pris dans les eaux russes, c'est en réalité près de 770.000 tonnes qui ont été pêchées ces 50 dernières années. Une quantité que n'aurait pas mentionné la Russie à l'organisation. "Notre travail révèle un manque de prudence des gouvernements canadien, russe et américain dans leurs tentatives de compréhension des besoins alimentaires et des pêcheries des différentes communautés", explique Daniel Pauly, membre de l'équipe de recherche. Désormais, ce sont les conséquences d'une telle sous-évaluation qui inquiètent les scientifiques. "Ces rapports erronés nous ont conforté dans l'idée que l'Arctique restait une zone immaculée en ce qui concerne la pêche", explique Dirk Zeller qui a conduit l'étude canadienne. Alors que les efforts de préservation se concentraient plutôt sur la protection des phoques et des ours polaires, c'est en fait tout l'écosystème qui serait menacé. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 février 2011 Vendredi, dix baleines sont mortes sur une plage de l'île du Sud de Nouvelle-Zélande. Soixante-dix autres cétacés se sont échoués sur cette baie, et des secouristes tentaient de les sauver. C'est à Farewell split, à la pointe de Golden Bay, située à 150 kilomètres environ de la ville de Nelson, que ces dizaines de baleines se sont échouées. "C'est une véritable épreuve pour elles que d'être exposées au soleil. Malheureusement, certaines finissent par mourir", a déploré Trish Grant, porte-parole du ministère de la Protection de l'environnement, cité par Romandie.com. Tentant de sauver les baleines survivantes, une centaine d'employés du ministère de la Protection de l'environnement ont été mobilisés pour rafraîchir les cétacés et leur éviter de succomber à la chaleur accablante de l'été austral, puis de les remettre à l'eau. Ce type d'échouage est malheureusement fréquent dans la région. "C'est quelque chose qui arrive assez souvent à Golden Bay avec les baleines pilotes. C'est peut-être dû à la forme de la baie et au courant circulaire qui font qu'elles se trouvent désorientées", explique en effet Trish Grant. Le mois dernier déjà, vingt-quatre baleines s'étaient ainsi échouées dans le nord du pays. Quatorze d'entre elles avaient été retrouvées mortes, et les autres avaient été abattues en raison de leur état, jugé trop critique pour les remettre à la mer. En septembre, ce sont 80 cétacés qui avaient été retrouvés sur une plage. Quatorze d'entre eux seulement avaient alors pu être sauvés. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 février 2011 Des biologistes américains viennent de découvrir que le calamar était capable d'entendre. Les scientifiques américains de l'Institut océanographique ont découverts que les mollusques étaient capables de détecter les mouvements générés par les ondes sonores de très basses fréquences. Leur système d'audition est donc différent du mécanisme humain qui entend les ondes sonores grâce au différentiel de pression qu'elles créent, associé aux ondes sonores. Si les humains sont capables de percevoir des sons ayant une fréquence de 20 à 20.000 hertz, les calamars, eux, ne perçoivent que des fréquences inférieures à 500 hertz, ce qui les rend facilement vulnérables et en fait des proies faciles pour leurs prédateurs que sont les baleines et les dauphins. Pour les scientifiques, avoir compris ce mécanisme d'audition pourrait aider à comprendre le fonctionnement humain et la façon dont l'audition peut être perdue. De plus, l'étude que publie The Journal of Experimental Biology fait état de particularités anatomiques propres aux calamars : ce sont des cellules pileuses reliées à des organes en forme de sac situées à proximité de la base de leurs cerveaux qui sont capable de détecter les vibrations. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 février 2011 Publiée le 3 février dans la revue ZooKeys, une étude américaine sur l'ADN des blennies établit à 10 le nombre d'espèces de ces poissons tropicaux dans le genre Starksia, là où les naturalistes n'en distinguaient que 3. Ce qui montre, en zoologie, le grand potentiel de la génétique, en complément des études morphologiques classiques, qui demeurent indispensables. Etudiées depuis plus de 100 ans, les blennies - ces poissons de moins de 5 centimètres vivant dans les récifs de l'Atlantique ouest et du Pacifique est - ne devaient plus avoir de secrets pour les zoologistes. Ce sont pourtant 7 nouvelles espèces qui viennent d'être identifiées génétiquement dans le genre Starksia, qui n'en comptait que 3 selon de précédentes études. "L'analyse ADN offre à la science une nouvelle ressource essentielle pour réexaminer d'anciennes questions. Cette découverte est un exemple parfait de la façon dont le décryptage de l'ADN met en lumière les espèces que nous avons 'manquées' (...). Nous ne savons pas où nous en sommes en termes de compréhension de la biodiversité, et notre travail suggère que les conceptions actuelles peuvent être étonnement incomplètes", explique Carole Baldwin, zoologiste à la Smithsonian Institution et auteur principal de l'étude. Son équipe ne pourra cependant se dispenser des classiques études morphologiques - pigmentation, forme des nageoires, en l'occurrence. Elles seules pourront confirmer définitivement le statut des nouvelles espèces décelées par la génétique. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 février 2011 MIAMI, 8 fév 2011 (AFP) - Le nombre d'attaques dont les humains ont été victimes de la part de requins a atteint 79 dans le monde en 2010, soit le niveau le plus élevé en 10 ans, selon un décompte effectué par des chercheurs de Floride et publié mardi.> Le décompte, effectué chaque année par les chercheurs de l'université de Floride, montre pour 2010 une occurrence exceptionnelle de cinq attaques de requins en cinq jours en Egypte début décembre, dont l'une a été fatale à la victime. Deux requins seraient responsables de quatre de ces attaques.En tout, six personnes sont mortes des suites de leur rencontre avec un requin en 2010."La hausse du nombre d'attaques par des requins ne signifie pas forcément que leur taux a augmenté mais reflète plus probablement le fait que les humains passent plus de temps dans l'eau, ce qui accroît les risques d'interaction entre les deux parties", écrivent les chercheurs.Le nombre de 2010 correspond à une hausse de plus de 25% par rapport aux 63 attaques enregistrées en 2009. La dernière année où le nombre d'attaques avait dépassé 79 est 2000, avec 80 attaques recensées.Les chiffres montrent par ailleurs un déclin constant des attaques de requins en Floride, l'Etat américain où elles sont le plus fréquentes. Leur nombre est passé de 31 en 2007 à 28 en 2008, 18 en 2009 et 13 l'an dernier.Cette évolution "reflète peut-être le déclin de l'économie et le fait que moins de touristes viennent en Floride", a commenté le principal auteur de cette compilation, George Burgess.Malgré ce déclin relatif, le chercheur met en garde les amoureux de la plage. "En réalité, se baigner en mer, c'est faire l'expérience de la nature sauvage", explique-t-il. "On visite un environnement étranger, ce n'est pas une opération où le succès est garanti". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 février 2011 SYDNEY, 17 fév 2011 (AFP) - Un plongeur australien a été tué jeudi par des requins dans le sud de l'Australie, la deuxième attaque mortelle de ce type en un peu plus de deux ans dans ce pays, a annoncé la police.> Le skipper du bateau d'où avait plongé le pêcheur a été témoin de l'attaque avant de revenir vers le rivage. Le drame s'est déroulé près de la baie de Coffin, à quelque 300 km à l'ouest de la ville d'Adelaide, a ajouté la police.En août, un surfeur australien avait été tué par un requin au large d'une plage de la côte ouest de l'Australie.Cette attaque était la première depuis décembre 2008, lorsqu'un homme avait été tué par un grand requin au moment où il nageait sous l'eau en compagnie de son fils au large du littoral occidental de l'Australie, selon le fichier qui recense les attaques de requins en Australie.Les requins sont nombreux dans les eaux australiennes, mais les attaques mortelles sont plutôt rares, vingt-quatre décès ayant été répertoriés en vingt ans jusqu'en juin 2009. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 février 2011 Environ 100.000 requins ont été aperçus au large des côtes de la Floride, aux Etats-Unis, au début du mois. Un spectacle incroyable qu'un pilote d'hélicoptère, Steve Irwin, a pu découvrir de ses propres yeux avant d'avertir les autorités locales. C'est au large de Boca Raton, en Floride, que l'incroyable phénomène s'est produit : la migration massive de dizaines de milliers de requins. Ces derniers se dirigeraient vers des eaux plus chaudes, ce qui est courant à cette période de l'année, ont indiqué plusieurs spécialistes. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 février 2011 SAINT-DENIS-DE-LA-REUNION, 20 fév 2011 (AFP) - Un surfer a été attaqué par un requin qui lui a sectionné une jambe, samedi sur la côte ouest de l'île de la Réunion, au spot de Grand Fond à Saint-Gilles, où aucune attaque de requin n'avait été enregistrée, a-t-on appris dimanche auprès des pompiers.> Plusieurs surfers se trouvaient dans l'eau lorsqu'ils ont entendu l'homme crier. La victime a eu la jambe gauche arrachée à hauteur du genou. Il était conscient lorsqu'il a été évacué par les pompiers vers le centre hospitalier Gabriel Martin de Saint-Paul. Ses jours ne sont pas en danger mais il devra rester hospitalisé une dizaine de jours, a précisé l'hôpital.Rémy Tézier, un réalisateur réunionnais de films sous-marins qui se trouvait sur place au moment du drame, a estimé que l'accident relevait de la "malchance". "L'eau était claire, la vague était belle (...) Les requins sont imprévisibles et peuvent attaquer à n'importe quel endroit. Aucune attaque de requin n'avait été observé dans cette zone", a-t-il dit.Le drame s'est produit une heure avant le coucher du soleil, horaire habituellement propice pour les attaques de requins qui se sont toujours déroulées au lever du jour au coucher du soleil, selon les observations faites par l'Observatoire marin de la Réunion.Une trentaine d'attaques de requins ont été recensées dans l'île depuis 1972 dont 17 ont été mortelles. La dernière remontait à mars 2010 à Saint-Benoît (côte Est) où la victime --un surfer-- s'en était sorti avec des égratignures.il/mad/pyj Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 février 2011 L'Agence des pêches japonaise indique que le baleinier Nisshin Maru a mis fin à sa mission en raison des pressions de Sea Shepherd, l'association qui se bat contre la chasse à la baleine dans l'Antarctique. Greenpeace indique que le Japon a décidé de suspendre sa chasse à la baleine depuis le 10 février. Si l'association Sea Shepherd y est peut-être pour quelque chose (elle traque et poursuit les baleiniers japonais pour les empêcher de chasser), Greenpeace précise que cette décision tient au fait que le Japon a déjà accumulé de très importants stocks de chair de baleine. Le Japon fait de son côté savoir que "le (bateau) Nisshin Maru, qui est poursuivi par Sea Shepherd, a suspendu ses activités depuis le 10 février pour des raisons de sécurité", rapporte Sciences et Avenir. Il semblerait, quoi qu'il en soit, que l'objectif japonais de capture de 1.000 baleines ne puisse être concrètement atteint étant donné la capacité de stockage insuffisante de l'énorme bateau qu'est pourtant le Nisshin Maru. En s'abritant derrière des prétextes de recherches scientifiques, les bateaux japonais tuent chaque année des centaines et des centaines de cétacés dans l'Antarctique. Comme la chasse est interdite depuis 1986, les besoins scientifiques offrent une couverture au Japon qui poursuit tranquillement ses activités. Par ailleurs, les Japonais clament que cette pêche fait partie intégrante de la culture du pays. L'Australie a toutefois réagi en faisant appel, en juin, à la Cour internationale de justice pour forcer le Japon à mettre fin à son programme de pêche puisqu'il violait ses "obligations internationales". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 février 2011 Le Canada a annoncé avoir déposé un recours devant l'Organisation mondiale du commerce (OMC), concernant l'embargo imposé par l'Union européenne sur les produits issus de ce mammifère marin. Le pays réclame la création d'un groupe spécial à l'OMC, qui sera chargé de régler le différend qui l'oppose à l'UE, rapporte le site Canoë. L'embargo contre lequel proteste le Canada, est entré en vigueur en 2010. Il a été décidé sous la pression des défenseurs des animaux, qui s'insurgent contre la cruauté avec laquelle les phoques sont abattus. Cette interdiction concernant les produits dérivés du phoque issus de toutes les chasses commerciales "est basée sur une mauvaise information. Le Parlement européen a pris le parti des lobbyistes des droits des animaux et choisi d'ignorer nos arguments", a estimé la ministre des Pêches et des Océans, Gail Shea. "Nous ne pouvons pas soutenir une action qui a été prise à la suite d'une mauvaise information, qui affecte une industrie légitime dans notre pays. Cela touche 6.000 familles canadiennes", a-t-elle souligné. Cet embargo entré en vigueur en août dernier, contient quelques exceptions, autorisant notamment la vente à des fins non lucratives de produits issus de la chasse traditionnelle pratiquée par les inuits. Toutefois ces communautés jugent cette dérogation inefficace, et réclament comme les industriels, la levée de l'embargo. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 février 2011 La pêche intensive a considérablement fait baisser le nombre de gros poissons prédateurs, ce qui permet une prolifération des petits poissons... La surpêche est en train de changer l'écosystème au fond de nos océans. Deux tiers des thons, morues et mérous ont déjà disparu et la situation ne semble pas devoir s'améliorer. "La surpêche a eu pour effet de modifier l'équilibre de la faune dans les océans alors que la forte diminution des gros prédateurs a fait exploser les populations de petits poissons", explique ainsi Villy Christensen, professeur à l'Université de Colombie Britannique au Canada, relayé par 20minute.fr. C'est au cours des 40 dernières années que s'est produite 54% de cette diminution des gros poissons. Une période qui a justement connu un accroissement continu de pêche industrielle... "Actuellement, nombre de poissons sont transformés en farine et huile pour être utilisés comme aliments pour l'industrie de l'aquaculture qui dépend de plus en plus de cette source d'alimentation", note également Villy Christensen avant d'adresser une sérieuse mise en garde : "Si cette situation persiste, nos océans risquent de devenir un jour une ferme à produire des aliments pour l'aquaculture". Pourtant, le recours à l'aquaculture semble indispensable afin de pouvoir subvenir aux besoins d'un nombre toujours plus important d'êtres humains. "La clé est le recours à de bonnes pratiques scientifiques -comme la réduction de l'usage des antibiotiques - et de gestion", explique de son côté Siwa Msangi, chercheur à l'International Food Policy Research Institute à Washington. Mais les industriels sont-ils prêts à rogner sur leurs profits pour mettre cela en oeuvre ? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 février 2011 Une centaine de baleines pilotes ont été retrouvées échouées sur une plage isolée de l'île du Sud de Nouvelle Zélande. Si nombre d'entre elles étaient déjà mortes lorsqu'elles ont été découvertes, les autres ont dû être euthanasiées. Ce sont des promeneurs qui ont découvert dimanche 107 baleines échouées sur une plage de Stewart Island, sur l'île du sud de Nouvelle Zélande, a indiqué le ministère de la Protection de l'environnement. Si nombre d'entre elles étaient déjà mortes, 48 autres ont été achevées par les services vétérinaires qui ont jugé inenvisageable leur remise à la mer. "Nous avons vite compris qu'il faudrait au moins de 10 à 12 heures avant de pouvoir essayer de les remettre à la mer, mais qu'à cause du soleil et de la chaleur, beaucoup mourraient avant", a en effet expliqué un porte parole du ministère, dont les propos sont rapportés par le site du Point. De tels échouages de cétacés sont malheureusement fréquents en Nouvelle Zélande. En septembre dernier déjà, près de 80 baleines pilotes, l'espèce la plus présente dans les eaux du pays, avaient été retrouvées mortes sur une plage. Si ce phénomène est encore inexpliqué, une hypothèse avance que le sonar des cétacés se brouillerait en eau peu profonde. La possibilité qu'un groupe puisse suivre l'un de leur congénère malade, et rejoigne ainsi la côte, est également évoquée. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 février 2011 SAINT-DENIS-DE-LA-REUNION, 22 fév 2011 (AFP) - La prise d'un requin par trois pêcheurs au lendemain de l'attaque d'un surfer a suscité la polémique à la Réunion entre les défenseurs de la nature dénonçant une "expédition punitive", et les auteurs de la capture affirmant avoir agi dans l'interêt des usagers de la mer.> Infirmier originaire de Marseille, marié et père de trois enfants, ce dernier était arrivé le matin même dans l'île. Il a eu la jambe sectionnée, à hauteur du genou, par le requin. Amputé de la jambe gauche, il se remet lentement de son accident, selon une source hospitalière."Je suis surfer, mes enfants et mes amis surfent. J'ai voulu faire quelque chose", a déclaré un des trois pêcheurs, Christophe Péry, auteur de la traque du requin. Selon lui, le squale rôdait dans la zone depuis deux ans. Il a été pêché, avec un petit thon pour appât, à proximité de l'endroit où le surfer a été attaqué. Ramené au port de Saint-Gilles, l'animal a été dépecé sous les yeux de nombreux badauds.Rien n'a été trouvé dans son estomac prouvant qu'il était le responsable de l'attaque mais les auteurs de sa capture en sont persuadés. "Il a pu régurgiter sa proie", a affirmé l'un d'eux.Des défenseurs de la nature ont vivement réagi à ce qu'ils ont qualifié "d'expédition punitive dérisoire et ridicule". "Il n'y a aucune raison de vouloir éradiquer une population qui joue un rôle central dans la chaîne alimentaire des poissons", a indiqué le Dr Fanch Landron, président de l'association "Squal'idées" destinée à promouvoir une meilleure connaissance du squale."Les requins sont des +top-prédateurs+ c'est-à-dire qu'ils se situent en haut de la chaîne alimentaire. Ils ont un rôle de régulation de l'éco-système", a expliqué à l'AFP Emmanuel Teyssier, directeur de la Réserve marine de la Réunion.Pour le Dr Gery Van Grevelynghe, autre spécialiste des requins sur l'île, la traque au requin engagée par les trois pêcheurs relève du "fantasme". "Ils se croient dans le film +Les dents de la mer+ où un seul requin sème la terreur dans une zone balnéaire. C'est rassurer sottement les surfers". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 février 2011 GULFPORT (Etats-Unis), 22 fév 2011 (AFP) - Des bébés dauphins échouent sans vie le long des côtes du golfe du Mexique polluées par la vaste marée noire du printemps dernier a un rythme dix fois plus élevé que d'ordinaire, ont indiqué mardi des chercheurs américains.> "La moyenne est de un à deux par mois. Cette année nous en avons 17, et février n'est même pas encore fini", a indiqué Moby Solangi, directeur de l'institut situé à Gulfport, dans le Mississippi (sud)."Pour une raison inconnue, (les femelles) ont commencé à avorter (...) ou (les bébés) étaient morts avant d'être nés", a indiqué Moby Solangi, ajoutant attendre les résultats des nécropsies pratiquées lundi sur deux bébés dauphins afin de déterminer les causes de leur mortIl a cependant estimé que ces décès pourraient résulter de la marée noire provoquée en avril 2010 par l'explosion de la plateforme pétrolière Deepwater Horizon, exploitée par BP. En trois mois, plus de quatre millions de barils de pétrole s'étaient déversés dans le golfe du Mexique."Nous ne devons pas tirer de conclusions hâtives tant que nous n'avons pas les résultats" des nécropsies, a indiqué M. Solangi. "Mais ceci est plus que juste une coïncidence", a-t-il toutefois ajouté.En 2010, le nombre de décès de dauphins a triplé par rapport aux années précédentes, passant d'une trentaine à 89, a également indiqué l'institutLes dauphins se reproduisent au printemps et la saison des naissances bat son plein en mars et en avril. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 février 2011 Fonte des glaces et pêcheurs menacent le phoque de Saimaa, rare en Finlande HELSINKI - La fonte des glaces et les filets de pêcheurs menacent la survie du phoque annelé de Saimaa, espèce de 260 mammifères établis dans le plus grand lac éponyme situé dans l'Est de la Finlande, s'inquiètent les experts.Ce phoque appartient à la famille des phoques annelés, dont l'ancêtre, piégé par la fonte des glaces il y 9.500 années, est devenu un mammifère d'eau douce.Victime de la pollution dans les années 60 et 70, il subit aujourd'hui le réchauffement climatique et surtout l'activité des pêcheurs.Car lors de la période des naissances entre fin février et début mars, les femelles construisent un abri sur la glace avec de la neige afin de protéger leur progéniture."Lors des trois derniers hivers, la glace et la neige sont arrivées tard ou ont fondu plus tôt, ce qui a empêché les femelles de construire leurs abris et contraint les bébés phoques à devoir survivre sans protection", explique Jari Luukkonen, directeur de la conservation à WWF Finlande.Ainsi, beaucoup de nouveaux-nés sont morts peu après leur naissance et le nombre de phoques de Saimaa a diminué.Les filets de pêcheurs amateurs constituent l'autre piège mortel pour les jeunes phoques, lorsqu'ils apprennent à aller chercher seuls leur nourriture."L'étranglement dans les filets est la première cause de mortalité imputée à l'homme. Si l'on s'en débarrasse, le phoque du Saimaa pourra très probablement survivre au changement climatique", explique M. Luukkonen.Des statistiques de l'agence finlandaise Metsaehallitus montrent que le nombre de phoques de Saimaa était en augmentation de 1990 à 2005, passant de 189 à 280, avant de retomber à 260 ces dernières années.Cinquante à soixante phoques naissent tous les ans mais 30% d'entre eux meurent la première année.Une loi temporaire, instaurant des restrictions sur la pêche dans le lac Saimaa, devrait être prolongée en mai 2009. Le texte est actuellement soumis à un groupe de travail, mis en place par le ministère de l'Agriculture et des forêts pour trouver un compromis."La dernière fois que nous avons révisé cette loi, les défenseurs de la nature jugeaient les restrictions insuffisantes, alors que les pêcheurs les trouvaient trop sévères", rappelle Roni Selen, de ce ministère, avançant que l'Union européenne pourrait surveiller de près les mesures prises par la Finlande pour protéger le phoque de Saimaa."Si cela devait arriver, nous aurons probablement plus de pression et de sanctions de Bruxelles", suppute-t-il.Or, parmi les propriétaires terriens possédant certaines parties du lac, peu semblent disposés à changer leurs habitudes de pêche pour sauvegarder l'espèce.Au printemps, WWF, le gouvernement finlandais et des associations de pêche, ont conjointement exhorté les pêcheurs à suspendre l'utilisation de filets de la mi-avril à la mi-juin, période d'apprentissage de la nage et de la plongée des jeunes mammifères.L'Association finlandaise pour la conservation de la nature leur a également proposé d'échanger leurs filets contre des pièges à poissons, moins nocifs.Mais "nous préférons que les pêcheurs fassent des efforts de leur propre initiative plutôt que de les contraindre par la loi", souligne Vesa Karttunen de la Fédération finlandaise des associations de pêche.Il note en outre que "la pêche au filet est d'ailleurs en train de disparaître, les usagers de cette méthode vieillissant".Pour Niko Ovaska, pêcheur professionnel sur le lac de Saimaa, les restrictions de pêche sont un faux débat, estimant qu'elles n'ont pas gêné son travail."Restreindre la pêche est bien sûr un problème à double tranchant, dit-il. Mais nous devons garder en tête que le phoque va disparaître si nous ne faisons rien". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 février 2011 D'après les spécialistes, les centaines de baleines échouées dimanche sur une plage de Nouvelle-Zélande auraient peut être subi les signes avant-coureurs du tremblement de terre qui a frappé l'île 48 heures après. La coïncidence pourrait bien ne pas en être une. Dimanche dernier, 107 baleines-pilotes se sont échouées sur une plage de Stewart Island, sur l'île du sud de Nouvelle-Zélande. Bien qu'étant assez fréquent, le phénomène n'avait alors pas trouvé d'explication et les spécialistes avaient une nouvelle fois avancé différentes hypothèses. Mais le séisme qui a frappé le pays hier, soit 48 heures après l'échouage, a réveillé les interrogations : et si les deux événements étaient liés ? D'après les spécialistes, la corrélation est loin d'être exclue. Les baleines auraient ainsi ressenti les signes avant-coureurs du tremblement de terre bien avant sa survenue. Un avertissement qui leur aurait été fatal. "Les mouvements des plaques tectoniques et les changements du champ électro-magnétique impliqués dans le séisme pourraient avoir désorienté la boussole interne de ces cétacés entraînant leur naufrage" a expliqué à Europe 1, la spécialiste Céline Liret de l'Océanopolis de Brest.Une explication d'autant plus probable que ce n'est pas la première fois qu'une telle coïncidence est observée. Près de 170 baleines se sont échouées en Australie et en Nouvelle-Zélande les mois précédant le tsunami qui a frappé les côtes de la Thaïlande en 2004. Et plus de 80 cas similaires auraient été recensés par les scientifiques au cours des quinze dernières années. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 février 2011 Les récifs de coraux pourraient disparaître du fond des océans d'ici 2050 si aucune action n'est entreprise pour mettre fin aux activités qui menacent la 'forêt tropicale de la mer', prévient un rapport publié mercredi 23 février par le centre de réflexion World Resources Institute. Le réchauffement des océans lié aux changements climatiques, l'acidification provoquée par la pollution au dioxyde de carbone, la navigation maritime, la surpêche, l'urbanisation des côtes menacent les coraux, dont dépend la vie de centaines de millions de personnes, indique le texte qui compile des dizaines d'études. 'Si on les laisse sans contrôle, plus de 90 % des récifs seront menacés d'ici 2030 et à peu près tous les récifs d'ici 2050'. Le corail abrite des millions d'algues qui lui donnent ses couleurs et ne supportent pas l'élévation de la température de l'eau. Une fois les micro-algues mortes, le corail se décolore et meurt de faim, se transformant en un squelette calcaire. L'acidification, qui est une conséquence des rejets accrus de CO2 dans l'atmosphère, menace par ailleurs la croissance des coraux et leur structure même, avance ce rapport. La destruction des récifs représente une énorme perte de biodiversité, puisqu'ils abritent environ le tiers des espèces marines répertoriées aujourd'hui à la surface du globe. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 24 février 2011 Ces deux dernières semaines, les côtes du golfe du Mexique ont vu s'échouer 17 bébés dauphins morts, soit dix fois plus qu'à l'ordinaire. En deux semaines, les chercheurs de l'Institut pour l'étude des mammifères marins, aux Etats-Unis, ont retrouvé 17 bébés dauphins morts le long des côtes du golfe du Mexique. Le directeur de l'Institut explique qu'habituellement, "la moyenne est de un à deux par mois. Cette année nous en avons 17, et février n'est même pas encore fini". LeMatin.ch rapporte que la cause exacte de ces morts est encore inconnue mais la marée noire de l'an dernier n'est sûrement pas étrangère à ce phénomène. Le scientifique indique simplement que "pour une raison inconnue, [les femelles] ont commencé à avorter [...] ou [les bébés] étaient morts avant d'être nés". Toutefois il est lui aussi persuadé qu'il ne s'agit pas là d'une simple coïncidence. Déjà, en 2010, le nombre de dauphins morts avait atteint le chiffre de 89 contre 30 habituellement. A noter que la plateforme pétrolière Deepwater Horizon avait explosé en avril, période à laquelle les naissances de dauphins sont extrêmement nombreuses Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 24 février 2011 La Ville s'engage pour la protection des mammifères marinsPublié le lundi 21 février 2011 à 09H07http://www.nicematin.com/article/cannes/la-ville-sengage-pour-la-protection-des-mammiferes-marinsDésormais, les cétacés qui migrent en baie de Cannes feront l'objet d'attentions toutes particulières. Synonymes de contraintes et restrictions pour les usagers de la mer DR. Oeuvrer pour la préservation de l'écosystème marin. Une action que la municipalité cannoise veut concrétiser un peu plus, en signant prochainement la charte Pelagos. Elle s'engage ainsi pour la protection des mammifères marins en baie de Canne. La Ville participera, via ce document, à une meilleure connaissance des espèces présentes en Méditerranée, dans le sanctuaire Pelagos. Un périmètre préservé de 87 500 km2, compris entre la presqu'île de Giens, la pointe de la Sardaigne et la Toscane en Italie. Une zone qui recèle de nombreux spécimens, surtout en période estivale. Il n'est pas rare d'apercevoir une baleine ou un dauphin en baie de Cannes l'été. Leur cohabitation avec l'activité humaine, requiert désormais une prise de conscience et de nouveaux comportements en mer. « La signature de ce document est logique, prétend Pascale Vaillant, adjointe au maire déléguée à la protection du patrimoine naturel, il était impensable que la ville n'intervienne pas, au coeur de ce sanctuaire, pour une sensibilisation et des actes concrets. La charte servira de support pédagogique auprès de la population. De plus, elle a l'avantage d'être tout bénéfice par un échange gratuit de bons procédés avec les gens de Pelagos » Cannes rejoint ainsi Saint-Jean-Cap-Ferrat et Antibes Juan-les-Pins au rang des villes signataires dans les Alpes-Maritimes au côté de Monaco.« Aller plus loin ! »Une décision accueillie avec satisfaction par le seul élu Verts siégeant au conseil municipal. Mais lors de la séance du 7 février, Lionel Nusslé n'a pu s'empêcher d'interpeller le maire, l'exhortant à aller plus loin encore. « Il serait bon que vous usiez de votre influence pour faire annuler l'autorisation du ministre de l'écologie pour la prospection d'hydrocarbures dans les fonds du sanctuaire Pelagos. Il ne faudrait pas revivre une catastrophe comme celle qui a touché le golfe du Mexique ! »Bernard Brochand aura peut-être le loisir de relayer cette demande lors de la signature de la charte début avril. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 février 2011 Alors qu'il transportait 63 kilos de crabes, un homme a été arrêté par des douaniers russes à l'aéroport Domodedovo de Moscou. L'homme a été arrêté à l'aéroport Domodedovo de Moscou par des agents douaniers russes parce qu'il transportait 63 kilos de crabes. Probablement pêchés dans le Pacifique, ces crustacés semblaient destinés à des restaurants de luxe de la capitale russe, explique la presse locale. Les agents de l'aéroport ont arrêté l'homme car il ont senti une odeur de coquillages pourris émaner de son bagage. L'odeur était due au manque de glace qui était en trop petite quantité pour maintenir les crabes au frais. L'homme a tenté de nier les fais et a précisé aux douaniers russes que les crustacés n'étaient pas destinés à la consommation, mais qu'ils devaient simplement servir de souvenirs dans les aquariums. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 28 février 2011 En marge des Jeux d’hiver du Canada, les phoques gris de Nouvelle-Ecosse sont massacrés: IFAW dénonce une menace pour l’économie du tourismeIFAW (Fonds international pour la protection des animaux – www.ifaw.org) s’indigne de la décision du ministère canadien des Pêches et des Océans d’avoir autorisé, dès vendredi dernier, le massacre cruel de 60 000 phoques gris sauvages en Nouvelle-Ecosse. Cette annonce est tombée en pleins Jeux d’hiver du Canada, seulement trois jours après la célébration, en Nouvelle-Ecosse, de la journée intitulée J’aime la Nouvelle-Ecosse (le 14 février), saluée par le Premier Ministre, Darrell Dexter, comme la célébration de toutes les merveilles que recèle cette région. “IFAW est stupéfait de constater la courte mémoire et l’arrogance du gouvernement canadien qui a autorisé l’abattage de 60 000 phoques gris dès vendredi dernier en Nouvelle-Ecosse,” a déclaré Sheryl Fink, Directrice du programme phoques d’IFAW. “Permettre l’abattage brutal de 80% des bébés phoques nés cette année est complètement irresponsable et sans lien avec la conservation. Les quelques dollars gagnés par la poignée de chasseurs qui participe à ce massacre est une misère comparé au bénéfice économique offert par les phoques gris à cette région en termes de tourisme.” “IFAW a participé à la journée J’aime la Nouvelle-Ecosse pour attirer l’attention sur la chasse au phoque gris. Des centaines de personnes nous ont littéralement exprimé leur amour et leur attachement pour ces phoques. Je suis très choquée que, quelques jours plus tard et en pleins Jeux d’hiver du Canada, le gouvernement puisse se montrer si dur en autorisant ce massacre brutal et en détruisant ainsi précisément ce que les gens aiment en Nouvelle-Ecosse,” a ajouté Sheryl Fink. IFAW maintient que l’exploitation commerciale de la faune sauvage de la Nouvelle-Ecosse et l’abattage des phoques financé par l’Etat sont non seulement embarrassants pour le Canada, mais aussi dissuasifs pour les touristes qui prévoient de visiter la région. Cela a des répercussions bien plus importantes pour l’économie canadienne. “Combien de mesures le monde devra-t-il encore prendre contre le Canada pour que le Gouvernement entende? Un accord commercial avec l’Union européenne a été considéré comme risqué à cause de la chasse au phoque commerciale menée par le Canada, pour la même raison des centaines de restaurants aux Etats-Unis boycottent les fruits de mer canadiens et maintenant c’est l’industrie touristique qui est menacée,” précise S. Fink. “Pourtant, le gouvernement canadien continue de choisir l’arrogance et cherche à épater la galerie plutôt que de choisir une conservation raisonnée, la logique et la compassion.” Source : IFAW27/02/2011 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 1 mars 2011 Soixante-dix sept ans. Un sacré long moment à passer seul(e). Good.is relate l'histoire d'une baleine qui subit depuis au moins une vingtaine d'année cette solitude. Elle chante en effet sur une fréquence de 51.75Hz, soit environ 25Hz au-dessus des autres espèces de baleines (qui chantent en général à une fréquence entre 12Hz et 25Hz). Chaque série d'appel qu'elle produit, une suite de deux à six chants de cinq à six secondes, n'est entendu par aucune des autres baleines. Good.is reprend un podcast diffusé sur Public Radio, The Dinner Party Download, qui relate cette histoire. Repérée pour la première fois en 1989 par le Woods Hole Oceanographic Institution, celle qui a depuis été surnommée la «baleine à 52Hz» a été enregistrée depuis régulièrement, grâce à l'utilisation d'«hydrophones», microphones fonctionnant sous l'eau et employés par la marine américaine pour traquer les sous-marins ennemis. L'équipe du Docteur William A. Watkins, maintenant menée par Mary Ann Daher (tous deux travaillant à l'Institution océanographique de Woods Hole à Cape Cod, Massachussets), est pionnière dans l'enregistrement des mammifères marins. Elle tente depuis plusieurs années d'écouter les conversations des baleines, dont la vie est encore trop peu connue. Personne ne sait exactement d'où vient ce chant si particulier: peut-être une malformation, «peut-être est-elle la dernière d'une espèce, ou membre d'une espèce dont on n'a que des traces fossiles», propose le blogueur Oll Lewis sur Still on the Tracks. Peut-être est-elle une baleine métissée, produit de la reproduction de deux baleines différentes... La liste des espèces est longue, et un tel croisement possible. On ne sait si c'est une conséquence de son chant hors-norme, mais en plus de n'être pas entendue par les autres baleines elle «n'emprunte pas non plus les routes de migration connues des autres espèces de baleines», ce qui rend d'autant plus difficile la possibilité de la suivre durant une longue période. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites