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L'actualité de la faune marine

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A l'instar des tigres et des pandas, les tortues sont elles aussi menacées d'extinction. Sur les 328 espèces connues, la moitié est en grand danger, indique un rapport de l'IUCN (Union internationale pour la conservation de la nature).







Un rapport de l'IUCN indique que les tortues sont extrêmement menacées et que, si rien n'est fait, 25 espèces sur les 328 existantes auront à tout jamais disparu d'ici quelques années. L'espèce la plus menacée de toutes est la tortue Pinta, une sous-espèce de la tortue géante des Galapagos, rapporte l'AFP. Il ne reste qu'un seul individu de cette espèce surnommée "Lonesome Georges". Avec la mort de "Georges" l'espèce des tortues Pinta s'éteindra. La seconde espèce la plus menacée est la tortue géante à carapace molle du Yangtze qui habite les zones de la Chine et du Vietnam. Avec l'urbanisation galopante de ces régions du globe, leur habitat a été totalement détruit et on ne compte que quatre survivantes dans les zoos chinois. Comme pour les tortues Pinta, les scientifiques ne parviennent pas à les faire se reproduire. Médecine traditionnelle et fêtes religieuses en ligne de mire. Les plus grands fléaux pour les tortues sont certainement les fêtes religieuses et la médecine traditionnelle chinoise. "Dans un seul marché de Dhaka, au Bangladesh, près de 100.000 tortues sauvages sont capturées et vendues pour être mangées à l'occasion d'une journée de fête religieuse, une fois par an", indique l'IUCN. Quant à la Chine, la médecine traditionnelle les utilise régulièrement quand elles ne sont pas vendues comme animal domestique. On estime également que huit millions de tortues sont restées prises au piège et tuées dans les filets de pêche vietnamiens depuis 1990. Certaines organisations mettent en place le TSA (l'alliance pour la survie des tortues) qui cherche à rapprocher les mâles et les femelles d'une même espèce pour leur assurer une descendance et qui, en plus de sensibiliser les populations locales, permet aux braconniers de se reco... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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MIAMI, 3 mars 2011 (AFP) - La mortalité des lamantins dans les eaux baignant la Floride a presque égalé début 2011 le record établi en 2010, une énigme pour les autorités qui ont également constaté un nombre anormal de morts parmi les bébés dauphins le long des côtes du golfe du Mexique.> L'an dernier sur la même période, le nombre de lamantins retrouvés morts a atteint 185 en Floride, un record.

Les lamantins vivent près des côtes et quand le temps se refroidit, ils s'abritent près des sources ou dans des canaux de délestages de centrales électriques, plus chauds, car le froid les affaiblit et peut même les tuer.

Par ailleurs, les scientifiques de l'Agence océanique et atmosphérique américaine (NOAA) enquêtent sur une importante augmentation de la mortalité des bébés dauphins du golfe du Mexique en cette première saison des naissances depuis la marée noire au large de la Louisiane qui a déversé des millions de barils de pétrole dans l'océan entre avril et juillet 2010.

Au total, 83 dauphins siffleurs, dont la moitié de nouveau-nés, ont été retrouvés échoués en janvier et février le long des côtes du Texas, de Louisiane, du Mississippi, d'Alabama et de Floride.

"Les effets directs ou indirects de la marée noire de BP comptent (...) parmi les causes possibles de cette augmentation des échouages", a déclaré mercredi Kim Amendola, porte-parole de la NOAA.

"Nous n'avons trouvé aucune indication sur ce qui pourrait causer ces morts", a-t-elle cependant ajouté, citant plusieurs facteurs possible, dont des biotoxines, une concentration inhabituelle de micro-organismes marins surnommée "marée rouge" ou encore des maladies infectieuses.

Les dauphins se reproduisent au printemps, et la gestation dure 11 à 12 mois, soit jusqu'en mars et avril de l'année suivante.

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Publiée récemment dans Endangered Species Research, l'étude de chercheurs américains, qui ont suivi par satellite les déplacements d'un grand requin-marteau, devrait permettre d'identifier les zones où il est particulièrement menacé par la surpêche.


"Cet animal a fait un déplacement extraordinairement long en un court laps de temps. Cette information en elle-même est un point de départ : elle montre que nous devons étendre nos efforts pour en apprendre plus sur eux", explique le Pr Neil Hammershlag, du programme de conservation marine de l'Université de Miami. Ses collègues et lui ont posé des marqueurs pour suivi satellitaire sur une cinquantaine de grands requins, dont un grand requin marteau. Ce dernier, marqué au sud de la Floride, a parcouru 1.200 kilomètres, jusqu'au large du New Jersey, tracé par les scientifiques durant 62 jours le long du talus continental et dans les eaux du Gulf Stream. Listé comme appartenant à une espèce en danger par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), le grand requin-marteau aurait vu ses populations diminuer de 50% ces dix dernières années. Il est largement pêché dans les eaux internationales de l'Atlantique nord-ouest, comme l'on montré des analyses ADN faites sur des ailerons vendus sur les étals des marchés asiatiques. "Connaître les zones où elle est vulnérable à cette exploitation sera utile pour la conservation et la gestion de cette espèce", conclut le Pr Hammershlag.

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Le manchot empereur est à l'Antarctique ce que l'ours polaire est à l'Arctique: l'animal emblématique. Mais, autant les signaux d'alarme concernant la possible extinction d'Ursus maritimus sont tirés depuis quelques années, notamment en raison du réchauffement climatique qui fragilise la banquise autour du pôle Nord mais aussi de la pollution des océans, autant l'alerte sur la survie à court ou moyen terme du manchot empereur n'avait pas encore été lancée. La fiche d'Aptenodytes forsteri dans la Liste rouge de l'UICN est d'ailleurs classée dans la catégorie la moins alarmante, celle des préoccupations mineures.



Cela pourrait bien changer au cours des années à venir. En effet, une étude britannique publiée le 28 février dans PLoS One fait état de la première disparition d'une colonie de manchots empereurs. Certes, il ne s'agit que d'un petite communauté, qui n'a jamais dépassé, depuis qu'on l'a découverte en 1948, les 250 individus mais sa réduction rapide depuis les années 1970 ne laisse pas d'inquiéter. Située dans les îles Dion, à l'ouest de la péninsule Antarctique (voir la carte ci-dessous), la colonie ne comptait plus que 85 membres en 1978 et moins d'une vingtaine au tournant du siècle. La dernière fois que l'on a essayé de la recenser, sur une photographie aérienne à haute résolution prise en 2009, il ne restait plus aucun oiseau sur la banquise. Même s'ils ne peuvent l'affirmer avec certitude, les auteurs de l'étude font peser la grande majorité de leurs soupçons sur le réchauffement climatique qui, s'il n'agit guère en règle générale sur le sixième continent, a des effets bien visibles sur la partie occidentale de la péninsule antarctique, où se trouvent les îles Dion. Les relevés effectués dans la zone montrent une augmentation sensible tant de la température moyenne générale que de la température moyenne pendant l'hiver, saison durant laquelle les manchots empereurs viennent se reproduire sur la glace de mer située devant le continent.

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Victime de la surpêche, le pousse-pied, un crustacé vivant fixé à des rochers le long de la côte-Atlantique, est soumis à des quotas de pêche très stricts depuis plusieurs années. Une interdiction bravée par des braconniers, en Bretagne notamment, où un trafiquant vient d'être interpellé.





Samedi, sur la cale de Saint-Guénolé dans le Finistère, les gendarmes maritimes de la patrouille de surveillance du littoral ont découvert un important butin dans le fourgon de trois pêcheurs : quelque 323 kilos de pousse-pieds, rapporte le site de Ouest-France. Une prise record, quand la dernière remontant à plusieurs mois avait atteint 125 kilos, pêchés illégalement par des braconniers espagnols à la pointe du Raz. Alors que deux des pêcheurs ont réussi à s'enfuir à bord d'un canot pneumatique, le troisième, habitant de Ploemeur dans le Morbihan, a été interpellé. Les gendarmes ont ensuite remis les crustacés à la mer. Pourtant les pousse-pieds arrachés avec des morceaux de roche par les trafiquants au marteau et au burin, ne pourront pas repousser. Négociés entre 20 et 40 euros le kilo en France, et entre 100 et 150 euros en Espagne, les pousse-pieds ont été longtemps victimes de la surpêche avant que des quotas ne soient mis en place pour préserver l'espèce. En ce moment, la pêche de ce crustacé est autorisée, toutefois elle est limitée à trois kilos par personne. Edit : la photo du pousse-pied a été modifiée.

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LOS ANGELES, 8 mars 2011 (AFP) - Des centaines de milliers d'anchois morts flottaient mardi dans le port de Redondo Beach, dans la banlieue sud de Los Angeles, et les pêcheurs et les autorités de la ville tentaient de comprendre les raisons de cette mystérieuse hécatombe.> "Cela ressemble à ce qui arrive avec les poissons rouges quand vous ne changez pas l'eau de l'aquarium: bouche ouverte et ventre en l'air", a déclaré Bill Workman, un responsable local, au Los Angeles Times.

"Il n'y a pas de signes visibles de pollution qui pourrait avoir causé (la mort des poissons) et notre première conclusion est un manque d'oxygène", a-t-il ajouté, avant de préciser: "Il n'y a pas de nappes de pétrole ou de fuites de substances (toxiques) dans l'eau".

Mais des habitants de Redondo Beach, où l'odeur pestilentielle du poisson mort envahissait tout le port, suggéraient que les vents violents de la nuit dernière avaient peut-être poussé les poissons vers le rivage, où ils auraient manqué d'oxygène en raison de leur grand nombre.

Les experts scientifiques restaient prudents. "Nous essayons de comprendre s'il s'agit d'une accumulation d'algues, de poissons, ou d'une pollution de l'eau", a déclaré David Caron de l'Université de Californie du Sud.

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PEKIN, 9 mars 2011 (AFP) - Un délégué de l'Assemblée nationale populaire (ANP), le parlement chinois, a proposé d'interdire le très lucratif commerce des ailerons de requin pour protéger ces poissons, a rapporté l'agence Chine nouvelle mercredi.> Mais le prélèvement des ailerons, qui se fait souvent sur des requins vivants par la suite relâchés et promis à une mort lente, est responsable d'une diminution rapide des populations de ces animaux dans le monde.

"Seule une loi peut stopper le commerce des ailerons de requins et réduire les mises à mort de requins", selon Ding Liguo, un délégué de l'ANP qui se trouve aussi être un milliardaire, cité par l'agence officielle chinoise.

Les énormes profits tirés du commerce des ailerons ont provoqué une surpêche, avec une trentaine d'espèces de requin menacées d'extinction, selon M. Ding qui ajoute que la Chine devrait être en pointe sur cette interdiction étant donné que 95% des ailerons sont consommés en Chine (y compris Hong Kong) et à Taïwan.

Chine nouvelle n'a pas précisé si la proposition de M. Ding, qui préside le groupe sidérurgique Delong Holdings Limited, avait été soumise par écrit ou oralement au parlement.

Mais dans les deux cas, une loi mettrait probablement des années avant d'être adoptée et buterait sur l'opposition des pêcheurs et des restaurateurs chinois.

M. Ding rejette les vertus nutritionnelles prêtées aux ailerons.

"Les recherches montrent que leur valeur nutritionnelle est similaire à celle de la volaille, de la peau de poisson, de la viande ou des oeufs", affirme-t-il en ajoutant que les ailerons "n'ont aucun goût".

Selon l'association Shark Savers, plus de 100 millions de requins sont tués par an, en majorité pour leurs ailerons. Dans certaines mers du globe, les populations de requins ont décrû de 90% au cours des 20 dernières années, ajoute cette organisation.

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Les passagers d'un vol entre San Diego et San Francisco ont eu la surprise de voir des pingouins se balader dans les allées de l'avion.


Les passagers du vol Southwest du 12 mars dernier entre San Diego et San Francisco ont eu de drôles de stewards à bord de leur avions. Ils ont en effet vu des pingouins déambuler dans les allées de l'appareil ! Des passagers bien insolites originaires du Parc SeaWorld de San Diego et qui se rendaient à une convention scientifiques à San Francisco. Alors qu'ils auraient dû voyager dans la soute de l'avion, comme tout animal, leurs soigneurs ont considéré qu'ils étaient assez bien apprivoisés pour se mélanger aux passagers de l'appareil. Après avoir reçu l'accord du personnel de bord, les pingouins se sont donc promenés à travers l'avion, sous les regard amusés des hôtesses, stewards et passagers.

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Onze pays se sont associés afin de publier une résolution demandant à l'Islande d'abandonner la chasse à la baleine commerciale, considérée alors comme cruelle et inutile.







Ils sont onze. Onze pays comme l'Argentine, le Brésil, l'Australie ou les Etats-Unis à avoir signé une résolution montrant leur opposition à la chasse à la baleine commerciale. Fort de cette résolution, le Fonds international pour la protection des animaux (IFAW) a alors demandé à l'Islande de stopper cette chasse aux rorquals, et à rejoindre de ce fait le consensus mondial de protection des baleines. Ainsi, le directeur du programme international sur les baleines du IFAW, Patrick Ramage, a expliqué : "Nous sommes encouragés dans notre démarche par l'opposition croissante de la population islandaise à cette cruelle industrie du gaspillage. Au-delà du massacre de centaines de baleines en voie de disparition que ses propres citoyens refusent de consommer, le gouvernement porte atteinte à ses propres intérêts économiques". Le site Neo Planete rapporte que la viande de baleine ne fait en aucun cas partie des traditions culinaires de l'Islande. Le marché domestique est limité pour pouvoir écouler la viande des rorquals. De plus, un sondage mené par Gallup dans le pays en 2006 montre que seulement 1,1% de la population Islandaise mange de la viande de baleine une fois par semaine tandis que plus de 8 jeunes de 16 à 24 ans sur 10 n'y ont jamais goûté. L'année dernière, ce sont 200 baleines qui ont été tuées par les baleiniers Islandais alors que le gouvernement du pays doit toujours présenter ses quotas de chasse pour l'année à venir. Pour autant, la baleine est un animal important pour l'Islande, non pas pour sa viande, mais pour l'attraction touristique qu'elle représente. Plus de six millions d'euros par an sont générés du tourisme d'observation de ces cétacés géants.

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Le 17 mars, la cour de justice européenne de Luxembourg a partiellement invalidé la fermeture anticipée de la pêche au thon rouge pour les thoniers senneurs français, italiens, maltais, grecs et chypriotes. Une fermeture qui avait été décrétée par Bruxelles en 2008.


Si la justice européenne a annulé cette interdiction de pêche visant à préserver les ressources de thon rouge, une espèce menacée, c'est parce qu'elle a jugé qu'une discrimination en faveur des pêcheurs espagnols a eu lieu, rapporte le site d'Europe 1. Ces derniers ont en effet bénéficié de quelques jours de pêche de plus que les autres pêcheurs européens. La fermeture anticipée de la pêche au thon rouge avait été décrétée en juin 2008, afin de respecter les quotas de pêche mis en place pour la préservation de l'espèce. Quotas censés être atteints le 16 juin. Mais alors que la fermeture de la pêche concernait les senneurs de Grèce, France, Italie, Chypre et Malte, les pêcheurs espagnols avaient bénéficié d'un délai allant jusqu'au 23 juin. Or la Cour estime "qu'il n'a pas été établi que les senneurs espagnols étaient dans une situation objectivement différente de celle des autres senneurs visés par le règlement, qui aurait justifié, pour eux, le report d'une semaine de l'entrée en vigueur des mesures d'interdiction". La décision de Bruxelles "n'était pas fondée sur l'épuisement du quota attribué à un Etat membre mais sur le risque d'épuisement des stocks du thon rouge et sur l'impact de la pêche à la senne sur ces stocks", a souligné la Cour. Au lendemain du jugement de la cour de justice européenne, la Commission a indiqué avoir pris note de la décision, mais a tenu à rappeler qu'il s'agissait d'une invalidation "partielle", et qu'elle avait désormais "besoin d'étudier l'arrêt avec attention pour évaluer ses conséquences".

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Manche : une baleine morte dérive dans le détroit, au large de Calais



mercredi 23.03.2011, 11:01 - La Voix du Nord
| Région |





http://www.lavoixdunord.fr/actualite/L_info_en_continu/Region/2011/03/23/article_manche-une-baleine-morte-d-eacute-rive-d.shtml



Mardi, le corps d'une baleine a été signalé dans le détroit, au large de Calais. Le cétacé, dont la mort remonterait à environ cinq jours, dérivait dans le dispositif de séparation du trafic.
Afin d'éviter tout accident, l'hélicoptère de la Marine nationale a été envoyé sur les lieux puis un plongeur a placé une balise sur cette baleine mesurant cinq à six mètres de long et pesant environ 4 tonnes, selon une première estimation. Elle pourrait être remorquée vers un port du secteur dans la journée

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OSAKA (Japon), 23 mars 2011 (AFP) - Un marsouin de belle taille et bien vivant a été retrouvé au milieu d'une rizière dans le nord-est du Japon, dévasté le 11 mars par un tsunami qui s'est enfoncé loin dans les terres, a rapporté mercredi la presse.> Masayuki Sato a entendu un bruit de clapot et a aperçu une forme noire dans l'eau de mer qui recouvrait la rizière.

"Aussitôt que je l'ai vu j'ai su qu'il fallait faire quelque chose. Après tout, il s'agissait d'une nouvelle victime du tsunami", a relaté le cycliste.

M. Sato a donc contacté une animalerie spécialisée dans les chiens et chats qui se consacrait depuis la catastrophe à venir en aide aux animaux domestiques ayant perdu leur maître.

Le propriétaire de l'animalerie, Ryo Taira, est tombé des nues en recevant l'appel téléphonique de M. Sato. "Il y a un dauphin dans la rizière", lui a dit ce dernier, en se trompant d'animal.

Après avoir secouru environ 80 chiens et chats, M. Taira aidé de ses volontaires a pris en charge le marsouin, après une capture peu facile dans la rizière.

Tous les aquariums de la préfecture ayant été endommagés par le séisme et le tsunami, ils ont finalement relâché le cétacé dans l'océan, écrit l'Asahi Shimbun.

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Un cargo qui transportait 1.500 tonnes métriques de pétrole brut s'est échoué sur l'île Nightingale, située dans l'archipel britannique Tristan da Cunha, dans l'Atlantique Sud. Le pétrole s'est déversé dans la mer et ce sont des milliers de gorfous, oiseaux marins vivant sur l'île, qui sont à présent menacés.











Le MS Olivia, battant le pavillon maltais, s'est échoué le 18 mars dernier alors qu'il venait du Brésil et naviguait vers Singapour rapporte Métro. Le navire transportait 60.000 tonnes métriques de fèves de soja, et 1.500 tonnes de pétrole brut, qui se sont déversées dans la mer lorsque le bateau s'est brisé en deux. Tous les membres d'équipage ont été secourus, mais cette marée noire est une catastrophe pour la population de gorfous sauteurs du Nord, une espèce menacée dont la moitié de la population mondiale vit sur l'île de Nightingale. Pour Trevor Glass, un agent de conservation de Tristan da Cunha, cette marée noire est un véritable "désastre". D'après l'administrateur du territoire, Sean Burns, 250 oiseaux couverts de pétrole ont été retrouvés par les secouristes et ce sont quelques 20.000 pingouins qui pourraient avoir été touchés. Une catastrophe susceptible d'être aggravée par les rats qui se trouvaient à bord du navire. Les rongeurs pourraient alors envahir l'île, s'attaquer aux poussins et aux oeufs de milliers d'oiseaux marins. En outre, la pêche à la langouste, dont dépendent nombre des 275 habitants de l'archipel, a dû être temporairement interdite autour de l'île de Nightingale, tandis que les agents de conservation tentent par tous les moyens de limiter l'impact de la marée noire.

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SYDNEY, 24 mars 2011 (AFP) - Un surfeur a été mordu par un requin dans l'Etat de Nouvelle-Galles du Sud, au nord de Sydney, seulement quelques jours après une autre attaque de requin dans cette région de l'Australie.> "J'étais assis chez moi lorsqu'un des surfeurs qui étaient avec lui est venu me chercher", a raconté à la radio ABC le sauveteur Adam Eady. "J'ai pris le kit de premier secours, et heureusement, les surfeurs l'avaient sorti de l'eau et avaient entouré son bras dans une serviette avec un garrot pour arrêter le sang".

"Il y avait une lacération vraiment profonde sur son avant-bras", a-t-il ajouté, précisant qu'il n'avait jamais entendu parler d'attaques de squales à Crowdy Head.

Cette attaque est survenue quelques jours après celle contre Lisa Mondy, 24 ans, qui faisait du wakeboard (ski nautique sur une planche de surf: ndlr) à Nelson Bay, un peu plus au sud et qui a été grièvement blessée au bras gauche et au cou.

La dernière attaque pourrait être le fait d'un requin taureau et la précédente d'un grand requin blanc.

Les requins sont très nombreux dans les eaux australiennes mais les attaques mortelles sont rares, avec 53 morts ces cinquante dernières années, selon les statistiques.

En 2009, une série d'attaques avait semé la panique dans le pays, relançant le débat sur les conséquences de la surpêche qui forcent les squales à chasser de plus en plus près des côtes.

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LE CAP, 24 mars 2011 (AFP) - Une opération de sauvetage était en cours jeudi pour venir en aide à quelque 20.000 manchots menacés par une marée noire près de l'archipel britannique Tristan Da Cunha, dans l'Atlantique sud, ont indiqué les autorités locales.> Or l'archipel abrite une large population de manchots à aigrette d'une espèce en danger, les gorfous sauteurs. Un bateau de sauvetage est arrivé lundi depuis l'Afrique du Sud pour les ramener sur l'île principale, les soigner et les nettoyer

"Environ 500 gorfous sauteurs ont été ramené à terre sur Tristan ce matin", a déclaré l'administrateur de l'archipel Sean Burns, dans un communiqué sur internet.

Mais l'île ne dispose pas de liquide de nettoyage en quantité suffisante et les secouristes attendent l'arrivée d'un second bateau sud-africain.

"Une étape essentielle sera de confirmer le départ d'un bateau du Cap (à 2.800 km) dans les jours à venir pour transporter les équipements nécessaires au nettoyage des oiseaux", a ajouté M. Burns. "C'est une course contre la montre", a-t-il ajouté.

L'archipel Tristan Da Cunha compte plusieurs îles volcaniques et abrite 263 ressortissants britanniques, décrits comme la communauté la plus isolée au monde sur le site internet de l'île, qui n'a aucun hôtel, aéroport ou restaurant.

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Un marsouin vient tout juste d'être retrouvé au beau milieu d'une rizière dans le nord-est du Japon. Une originalité dont le tsunami du 11 mars est à l'origine. Le cétacé marin s'est probablement fait emporter par les vagues qui se sont enfoncées à l'intérieur des terres.







Le quotidien japonais Asashi Shimbun rapporte qu'un homme a entendu, près de la ville de Sendai, à deux kilomètres des côtes, des clapotis dans une rizière. En s'approchant il a aperçu une forme noire et s'est dépêché de contacter une animalerie. "Après tout, il s'agissait d'une nouvelle victime du tsunami" ironise l'homme. Il croyait tout d'abord avoir à faire à un dauphin. C'est Ryo Taira, le propriétaire de l'animalerie, qui a pris en charge ce qui s'avéra être un marsouin. Si sa capture a été très compliqué, l'animal a aussitôt été relâché dans l'océan précise l'Asashi Shimbun.

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Des biologistes marins ont observé que lorsque les poissons étaient régulièrement chassés, ceux-ci étaient plus méfiants et gardaient leurs distance avec les plongeurs.


Les poissons pourraient bien être beaucoup plus intelligents qu'on ne croit. C'est ce que révèlent des recherches conduites dans le Pacifique et publiées dans la revue Conservation Biology. Au large de la Papouasie Nouvelle Guinée, des biologistes marins ont cherché à savoir si l'existence d'une zone protégée avait un impact sur le comportement des poissons. Pour cela, ils ont comparé des espèces vivant dans des zones où la pêche est interdite avec d'autres régulièrement exposées aux pêcheurs et chasseurs sous-marins. Une étude qui a abouti sur de surprenants résultats. En effet, les biologistes ont découvert que les poissons habitués à la chasse sous-marine, plus particulièrement au fusil, se montraient beaucoup plus méfiants et distants vis à vis des plongeurs que leurs congénères protégés. Plus concrètement, la "distance de fuite" de ceux-ci étaient beaucoup plus importantes. Pour mesurer cette distance, le plongeur s'approchait du poisson et plaçait un marqueur à l'endroit où il se trouvait quand l'animal a pris la fuite. Un second marqueur était ensuite laissé là où le poisson s'était enfui. Une technique répétée et appliquée dans les zones protégées et non protégées. "Les poissons régulièrement pris pour cibles sont apparus avoir une idée assez juste des 3 mètres de portée des fusils sous-marins typiques des chasseurs locaux. Dans les aires protégées, les poissons avaient tendance à s'éloigner lorsque le plongeur s'approchait de 2-3 mètres d'eux. Au contraire, ceux hors de ces zones, où la chasse est courante, fuyait pour la plupart dès que le plongeur était à moins de 4-5 mètres d'eux" a expliqué le Dr David Feary de l'Université de technologie de Sydney, principal auteur de l'étude. Il semblerait ainsi que les espèces chassées se tiennent volontairement à une distance suffisante pour empêcher... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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Canada - Publiée dans Science, une étude canadienne montre que la migration des saumons aide à la fertilisation des sols. En effet, après avoir remonté la rivière pour frayer, ils meurent et sont dispersés loin de l'eau par leurs prédateurs terrestres. Ils participent ainsi à la diversité du couvert végétal.


"Les saumons mourant tous après la ponte, leurs carcasses tapissent les rivières. Cependant, beaucoup d'entre eux sont tués avant par les ours et les loups. Cela représente une énorme quantité de nutriments répandus dans le ruisseau ou sur les berges. La question est de savoir où tous ces éléments nutritifs, consommés par le poisson en mer, finissent", explique John Reynolds, professeur d'écologie à l'Université Simon Fraser (SFU), au Canada. Lui et le Dr Morgan Hocking, également de la SFU, ont examiné 50 systèmes fluviaux de Colombie Britannique, au Canada, et constaté que près des ruisseaux, la communauté végétale est dominée par des espèces ayant prospéré grâce aux grandes quantités d'azote issues de la décomposition des saumons. "La plupart des carcasses laissées par les ours et les loups, qui mangent seulement une petite partie du saumon, sont abandonnées sur les 5 à 15 premiers mètres en partant de la rive. Nous avions donc prévu, avant même de commencer, que l'on verrait le plus d'impact (...) près de l'eau. C'est exactement ce que nous avons trouvé. En s'éloignant de la rivière, on a tendance à passer à une communauté d'espèces végétales moins dépendantes de cet azote supplémentaire", reprend le Pr Reynolds, qui estime que cette étude jouera un rôle clé dans la conservation et la gestion de l'habitat.

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Et je pense que les baleines apprécieront d'être un peu au calme :

Minoru Ito, chasseur de baleine japonais, ne pourra pas assurer la nouvelle campagne de pêche qu'il avait été autorisée à mener. Le tsunami qui s'est abattu sur le Japon le 11 mars dernier a dévasté tous ses bateaux, mais aussi ses stocks de viande, et l'homme a dû se séparer de tous ses employés.











La société de Minoru Ito, la seule entreprise de pêche à la baleine du petit port d'Ayukawa Whaling, a été dévastée par le tsunami. Si aucun employé n'a été blessé, tous les bateaux et stocks ont été perdus, et le vieil homme, vétéran de la pêche à la baleine, a été contraint de renoncer à la campagne de chasse qu'il devait mener en avril, rapporte la fondation GoodPlanet. Minoru Ito a licencié ses 28 employés, mais il espère toutefois pouvoir compter sur une aide de l'Etat suffisante pour reprendre dès l'automne prochain son activité, qui a jusqu'alors résisté à tous les appels de la communauté internationale visant une interdiction de la pêche à la baleine au Japon. Si la Commission baleinière internationale (CBI) interdit la chasse commerciale de ce cétacé depuis 1986, elle autorise le Japon à pratiquer une pêche dite scientifique. Une autorisation contre laquelle se bat vigoureusement l'Australie, qui a saisi l'été dernier la Cour internationale de justice pour y mettre un terme. Le mois dernier, face aux pressions de l'association écologiste Sea Sheperd, les baleiniers japonais avaient interrompu prématurément une campagne de pêche. Mais le pays refuse catégoriquement d'interdire une pratique faisant partie de la culture nippone.

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Afin de lutter contre la disparition du thon rouge, l'association Shepherd Conservation Society lance une nouvelle campagne de sensibilisation, aux images choc.


La nouvelle campagne de sensibilisation menée par l'association Shepherd Conservation Society est choquante. Et pour cause ? Elle présente des quantités de pandas tués et entassés au fond d'une cale de bateau. Cependant, le massacre qui figure sur l'affiche est trompeur, il s'agit en réalité d'une scène de pêche aux thons où les acteurs principaux du carnage ont été remplacés par ces pandas. Voilà maintenant quelques temps que les experts ont lancé l'alerte sur la disparition progressive du thon rouge liée à la surpêche encouragée par la consommation de sushis dans le monde entier. Si aucune mesure n'est envisagée, l'espèce devrait être amenée à disparaître d'ici 2012. Devant ce constat alarmant, de nombreuses associations de protection de l'environnement se sont lancées dans des campagnes de sensibilisation pour préserver cette espèce en voie d'extinction. Cependant si l'ours blanc, le panda ou le lion d'Afrique émeuvent les foules, le thon quant à lui laisse plutôt indifférent. Face à ce problème de reconnaissance, WWF publiait en novembre dernier, une affiche sur laquelle on pouvait voir un thon portant un masque de panda et cette phrase déconcertante : "Feriez-vous plus attention à moi si j'étais un panda ?". L'animal emblème de l'association de protection de la nature, est devenu depuis 50 ans le symbole des espèces à protéger. Pour mener le concept plus loin, Shepherd Conservation Society lance ainsi cette campagne composée de trois affiches sur lesquelles ont peut observer une scène factice de "pêche au panda". Cette fois-ci le slogan se veut nettement plus percutant, à l'instar de la force des images : "Quand vous voyez un thon, pensez à un panda".

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< MIAMI, 29 mars 2011 (AFP) - L'orque Tilikum, devenue célèbre pour avoir tué son entraîneuse en plein spectacle, devant un public horrifié, au parc d'attraction SeaWorld d'Orlando (Floride), va à nouveau participer à ce show, un peu plus d'un an après la tragédie, rapportent mardi des médias locaux.> Il s'agira de la première apparition publique de Tilikum depuis le 24 février 2010, jour où l'animal a acquis une notoriété internationale en tuant sa soigneuse Dawn Brancheau, âgée de 40 ans.

"La participation aux spectacles ne constitue qu'une petite portion de la journée de Tilikum, mais nous pensons que c'est une composante importante de son enrichissement physique, social et mental", avait déjà expliqué dans un communiqué Kelly Flaherty Clark, chargée au sein du parc des spectacles impliquant des animaux.

SeaWorld assure avoir adopté une série de nouvelles mesures de sécurité depuis l'accident, pour mieux protéger les entraîneurs des animaux.

Dawn Brancheau est morte lorsque Tilikum, un mâle de cinq tonnes déjà impliqué dans la mort de deux personnes depuis 1991, l'a saisie par la queue de cheval et l'a traînée au fond du bassin.

Tilikum, qui vivait en captivité depuis 27 ans au moment de l'attaque, est l'orque la plus grosse du parc SeaWorld d'Orlando.

Quelques jours après l'attaque, la direction du parc avait annoncé que l'animal continuerait à bénéficier des mêmes soins et ne serait pas puni pour son acte.

Les orques sont également appelées épaulards ou "baleines tueuses".


mdl/cel/rap

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< WASHINGTON, 30 mars 2011 (AFP) - Le nombre de cétacés tels que les dauphins et les baleines tués par la marée noire de BP dans le golfe du Mexique en 2010 pourrait avoir été très fortement sous-estimé et dépasserait plus de cinq mille, selon une étude publiée mercredi.> Mais en réalité, ces squelettes ne représentent qu'une petite fraction des animaux ayant succombé à la plus grande marée noire de l'histoire américaine, affirment les auteurs de cette communication parue dans les Conservation Letters, une revue de la Society for Conservation Biology.

Selon eux, ce nombre pourrait ainsi être multiplié par 50 établissant un nouveau bilan au-delà de cinq mille victimes.

"La marée noire de Deepwater, la plus grande qu'ait connu les Etats-Unis, n'a eu en apparence qu'un impact relativement modeste sur la faune, laissant penser que les dégâts sur l'environnement avaient été minimes", relève Rob Williams professeur à l'Université de Colombie Britannique au Canada et principal auteur de cette recherche.

"Cette impression s'explique par le fait que les études ont fait correspondre le nombre de victimes au nombre de squelettes retrouvés sur la côte", explique-t-il.

En temps normal, on ne retrouve que 2 % des carcasses, selon les estimations historiques des populations de cétacés et leur taux naturel de mortalité dans cette région combiné au décompte annuel des carcasses.

Le faible nombre de carcasses retrouvées peut aussi s'expliquer par le fait que ces animaux meurent loin des côtes. La marée noire de BP s'est produite à 60 km au large de la Louisiane


js/rap

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Selon Romandie News, le nombre de cétacés qui ont été victimes de la marée noire qui a touché le Golfe du Mexique en 2010 aurait été très largement sous-estimé. Une étude publiée aujourd'hui a évalué leur nombre à plus de 5000.


En 2010, le Golfe du Mexique était victime d'une terrible marée noire, la pire de l'histoire des Etats-Unis. Un an après, on découvre que les 101 cadavres de cétacés touchés par la catastrophe et retrouvés ne représentent pas, loin s'en faut, le nombre réel de victimes. Parue dans la revue Conservation Letters, une étude lève le voile sur le nombre exact de cétacés morts. Selon les auteurs de cette communication, le bilan final compterait plus de 5000 victimes. En effet, il ne faut pas s'en tenir au nombre de squelettes retrouvés, comme l'avaient fait jusque là les scientifiques. Les données que possèdent les chercheurs montrent que, dans ce genre de catastrophes écologiques, seuls 2% des carcasses d'animaux sont retrouvés. De plus, comme l'indique l'AFP, nombre de baleines et de dauphins ont pu mourir loin des côtes, ne laissant que très peu de chances de découvrir leur dépouille.

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< OSAKA (Japon), 31 mars 2011 (AFP) - Un taux d'iode radioactif en hausse, 4.385 fois supérieur à la norme légale, a été mesuré dans l'eau de mer prélevée à 300 mètres au sud de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima (nord-est du Japon), a indiqué jeudi l'exploitant Tepco.> Ce taux d'iode radioactif était 1.250 fois supérieur à la norme samedi, 1.850 fois supérieur dimanche, puis avait chuté en début de semaine avant de nettement rebondir mercredi, à 3.355 fois la norme légale Depuis le début de l'accident, toujours en cours, la centrale japonaise a rejeté de nombreux produits radioactifs, principalement de l'iode et du césium, transportés par les milliers de tonnes d'eau qui ont été déversées par les secours pour refroidir les installations et dont une partie a nécessairement ruisselé dans le Pacifique tout proche.

Selon Tepco et l'Agence de sûreté nucléaire nippone, cette radioactivité relâchée dans la mer se dilue avec les marées et le risque sur les algues et les animaux marins n'est pas important.

Selon d'autres spécialistes, ces rejets radioactifs dans l'océan Pacifique seront sans conséquence majeure à l'échelle planétaire, mais ils pourraient avoir un impact notable, voire durable, sur la vie marine au large de la centrale japonaise.

Les techniciens qui luttent depuis bientôt vingt jours pour éviter une catastrophe majeure à Fukushima sont entravés dans leurs opérations par des nappes d'eau fortement radioactive qui ont envahi des salles et des galeries techniques.


oh-ebe/pn/ple

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Comme chaque année, la Namibie se prépare à abattre cet été des milliers d'otaries avec une extrême cruauté. Une pratique traditionnelle dont on parle peu, alors qu'elle est le plus violent des massacres d'animaux marins menés à travers le monde.







Sur son site Internet, l'association Sea Sheperd, à l'origine de nombreuses actions en faveur de la protection des animaux marins et notamment des baleines, pousse un cri d'alerte quant au massacre qui se prépare en Namibie, comme tous les ans. Dans quatre mois, ce sont 91.000 otaries à fourrure d'Afrique du Sud, 85.000 bébés et 6.000 mâles, qui seront battues à mort dans le pays. Une pratique monstrueuse qui chaque année, tue encore plus d'otaries que le massacre des bébés phoques au Canada. L'association canadienne raconte l'insoutenable rituel : les bébés sont séparés de leurs mères, et sont encerclés avec les mâles, avant que des hommes armés de bâtons ne viennent les battre à mort. "Le sable de la plage sera rouge sang, et les corps ensanglantés seront jetés à l'arrière des véhicules attendant non loin de là. Peu après, des bulldozers arriveront pour nettoyer et remettre la plage en état avant que les touristes n'arrivent pour observer la colonie, car tout ceci se passe dans une réserve naturelle pour les otaries", s'insurge Sea Sheperd. Ce massacre est mené par un seul homme, Hatem Yavuz, explique l'association. Chaque année, et ce jusqu'en 2019, il bénéficie d'une exclusivité d'achat sur la peau de chaque otarie tuée. Des fourrures qu'il achète sept dollars l'unité, pour vendre des manteaux dont le prix peut atteindre quelque 30.000 dollars. Espèce menacée par la perte de son habitat naturel, la pêche industrielle, mais aussi la pollution, l'otarie à fourrure d'Afrique du Sud est inscrite à l'annexe II de la Convention sur le commerce international des espèces menacées d'extinction (Cites). Un classement qui signifie que si l'espèce n'est pas actuellement menacée, elle le deviendrait si aucune mesure n'était mise e... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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HANOI, 3 avr 2011 (AFP) - Des milliers de badauds ont applaudi dimanche la capture de la légendaire tortue du petit lac de Hanoï, symbole vivant de l'indépendance du Vietnam, qui a besoin de soins mais qui avait échappé le mois dernier à ses sauveteurs.> Cette fois, quelque 50 sauveteurs, utilisant trois filets de différentes tailles, ont finalement réussi à contrôler l'animal, et plusieurs d'entre eux, nageant à ses côtés, l'ont ensuite conduite dans une cage vers l'îlet où elle doit être examinée et soignée.

"C'est l'un des animaux les plus menacés dans le monde et on en sait très peu sur elle", a commenté Tim McCormack, du Asian Turtle Programme, groupe de protection et recherche basé à Hanoï.

Le reptile, qui pèserait plus de 200 kilos, aurait été blessé par les hameçons des pêcheurs et de petites tortues de Floride apparues dans le lac ces dernières années, selon la presse vietnamienne.

Selon McCormack, l'animal, qui a probablement plus de 100 ans, est l'une des quatre tortues "Rafetus Swinhoei" connues. Deux autres seraient en Chine et la dernière dans un autre lac de Hanoï.

Fantasme ou réalité, la résidente du lac Hoan Kiem symbolise surtout des siècles de lutte pour l'indépendance du Vietnam.

Selon une leçon d'histoire donnée à tous les écoliers du pays, le roi Le Loi (prononcer Lé Loï), qui s'était révolté contre les Chinois, avait utilisé une épée magique pour chasser les envahisseurs au 15e siècle, avant de fonder une dynastie à son nom.

Le roi était ensuite devenu empereur. Mais lors d'une promenade sur le lac, la tortue lui avait subtilisé son épée pour la garder jusqu'à ce que le pays en ait de nouveau besoin.

Dans un pays très superstitieux, chaque apparition de la tortue est considérée comme annonciatrice de bonnes nouvelles.

Mais la fréquence de ces récentes promenades à la surface ont suscité des inquiétudes sur son état de santé. Le calvaire de l'animal a même poussé les autorités de la ville à créer le "conseil pour le soin de la tortue" dirigé par un vétérinaire respecté, selon l'Agence vietnamienne d'information

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Blessée, la légendaire tortue de Hanoï a enfin pu être capturée par les sauveteurs


http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/04/1050440-Blessee-la-legendaire-tortue-de-Hanoi-a-enfin-pu-etre-capturee-par-les-sauveteurs.html

Les Vietnamiens l'appellent « arrière-grand-mère tortue » et l'adorent comme une divinité car elle symbolise des siècles de lutte pour l'indépendance du Vietnam. Chacune de ses apparitions est considérée comme annonciatrice de bonnes nouvelles… Cette vénération des vietnamiens pour la légendaire tortue du lac Hoan Kiem de Hanoï, probablement vieille de plus de 100 ans, explique l'immense inquiétude suscitée par l'état de santé du reptile, récemment blessé par les hameçons des pêcheurs et de petites tortues de Floride apparues dans le lac ces dernières années. Début mars, une première tentative pour capturer la tortue, qui pèserait plus de 200 kg, avait échoué, le reptile étant parvenu à sortir du filet où il avait été fait prisonnier. La seconde tentative aura été la bonne ! Hier, des milliers de badauds ont applaudi la capture de l'animal qui aura nécessité un important dispositif de sauvetage. Cinquante sauveteurs, utilisant trois filets de différentes tailles, ont dû unir leurs efforts pour parvenir à contrôler la tortue, et plusieurs d'entre eux, nageant à ses côtés, l'ont ensuite conduite dans une cage vers l'îlet où elle doit être examinée et soignée. À l'heure qu'il est, la résidente sacrée du lac Hoan Kiem est assurément choyée par ses sauveteurs. Tout est bien qui finit bien !

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En photos ou en films, les images présentées à Méditerranea sont toujours des merveilles pour les visiteurs.

http://www.nicematin.com/article/antibes/mediterranea-le-festival-elargit-son-horizon






La 2e édition, installée pour la première fois aux Espaces du Fort Carré prend de l'épaisseur... tout en conservant une belle marge de progression. Successeur du Festival mondial de l'Image sous-marine, Méditerranea accumule les premières. L'an dernier, c'était la première édition. Cette année, c'est la première aux Espaces du Fort Carré, faute de palais des congrès. Dans ces conditions, pas facile pour les organisateurs (Ville et Cousteau Society) de trouver leurs marques. La salle de projection était par exemple d'un vide abyssal hier matin à 10 h 30 pour la conférence sur « les sentinelles Cousteau ». Trop tôt. En revanche, l'après-midi, elle était quasiment pleine pour les projections de films. Meilleur horaire. De même, la mise en place des expositions photos sous le chapiteau est encore perfectible. Oppressante. Alors que celle sur l'histoire de la plongée accompagnée de quelques pièces d'archéologie présentée au fond de la salle respire bien mieux. « On essuie un peu les plâtres » reconnaît un membre de l'organisation.





Nature sublimée
Mais au final, la matière est là. Des images exceptionnelles comme celles de Laurent Ballesta du Coelacanthe (plus vieux poisson du monde) ou de l'anguille loup de deux mètres à la gueule effroyable. Mais aussi la présentation des premiers casques de plongée de la fin du XIXe siècle à côté des détendeurs derniers cris en passant par l'équipement moderne du plongeur de combat... Sans oublier les films réalisés dans les mers et océans du monde entier qui révèlent des trésors de la nature rarement observés. À couper le souffle ! Un comble pour le festival de la plongée.

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Le 22 mars dernier naissait le plus jeune bébé manchot Humbolt de New York. Il a été présenté au public vendredi dernier.



Vendredi dernier, un des deux derniers bébés manchots récemment dans un zoo de New York a été présenté au public. Le manchot de Humboldt faisant partie des espèces en voie de disparition, l'arrivée de ces deux nouveaux nés est un véritable évènement pour le zoo de Rosamond Gifford, situé à Syracuse dans l'État de New York. D'après le conservateur du zoo, Ted Fox, il n'existerait que 12 000 et 30 000 manchots vivant à l'état sauvage. On ne connait pas encore le sexe de ces manchots. Mais les deux oiseaux, originaires du Chili et du Pérou, devraient porter des noms espagnols afin de respecter leur origine. Ted Fox a également affirmé que les oiseaux en question seraient envoyés dans un autre zoo dans un an.Ces deux derniers manchots sont les 26e et 27e poussins issus de l'accouplement entre le couple manchot Frederico et Poquita, qui travaillent ainsi à sauvegarder leur espèce. Pour découvrir le manchot présenté au public, cliquez ci-dessous:



Donnez votre avis, découvrez les photos et toute l'actualité insolite sur Zigonet

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Le phoque égaré trouvé hier en Dordogne aurait actuellement trouvé refuge à proximité du futur pont de Prigonrieux (24). La semaine dernière, il a été vu du côté de Port-Sainte-Foy. photo dr

http://www.sudouest.fr/2011/04/06/un-phoque-egare-364079-1733.php


Tous les pêcheurs vous le diront : on trouve de tout dans la Dordogne, y compris ce qui ne devrait pas s'y trouver. Pour preuve, ce phoque gris, d'environ 80 kg pour 1,80 m de long, aperçu en début de semaine, sur les berges de la rivière. Le premier à avoir signalé son existence à la presse est un pêcheur bergeracois, domicile sur la rive gauche. À la retraite depuis quatre ans, Marc Broquaire ne sort jamais sans son appareil photo : lundi matin, alors qu'il longeait la rivière, le sexagénaire est tombé nez à nez avec un phoque, « gris et grand comme un homme » qu'il a aussitôt « mis en boîte ». Sans quoi, « les gens se seraient demandé si je n'étais pas devenu fou ! », explique Marc Broquaire. « De loin, j'ai cru à un morceau de bois échoué sur la berge, mais au fur et à mesure que je me suis approché, ça ne faisait plus l'ombre d'un doute. C'était bien un phoque. »
« Il a remonté la rivière »...

Un phoque ! En apprenant la nouvelle, les pêcheurs de la Gaule bergeracoise ont cru à un poisson d'avril - « Vous nous faites une blague, c'est ça ? » Il faut croire que non, puisque le très sérieux directeur d'Epidor (1), Guy Pustelnik, confesse « avoir eu vent de la présence d'un animal semblable à un phoque à Sainte-Foy-la-Grande la semaine dernière ». « Personnellement, je pencherais plutôt pour un coulobre, dont nous avons récemment réintroduit l'espèce dans le Dordogne, mais l'hypothèse d'un phoque ne me surprend pas. Il y a trois ou quatre ans, on a retrouvé un représentant de l'espèce dans la vallée de l'Isle. » Mais une photo prise la semaine dernière du côté de Port-Sainte-Foy (en Une du journal) confirme bien sa présence dans les environs.
Comment donc ce mammifère marin a-t-il pu arriver aux portes de Bergerac ? Là persiste le mystère. Passée la surprise - « Pardon, on a retrouvé quoi dans la Dordogne ? » -, Frédéric Dhermy, le directeur du complexe touristique des Eaux de Queyssac, veut bien avancer un début d'explication : « Pour moi, le phoque a remonté la rivière depuis l'estuaire de la Gironde. La raréfaction du poisson en mer a sans doute poussé ce mammifère à suivre les bancs d'aloses qui fraient dans la Dordogne. » Un scénario jugé plausible par Laurent Corbel, le directeur de l'aquarium du Périgord noir (2), qui, le premier, se souvient « avoir vu à la télévision une baleine de six mètres se mouvoir dans la Tamise ». « Vous savez, tant qu'un animal peut continuer à se nourrir, il n'a aucune raison d'arrêter sa fuite en avant », indique ce fin connaisseur des poissons d'eau douce.
... Ou s'est échappé d'un zoo ?
Un phoque vaillant ? Suffisamment vaillant pour parcourir 150 km à la nage ? Pour le coup, le pisciculteur et pêcheur professionnel Frédéric Delmarès est plutôt sceptique. « La présence du mammifère ne me surprend pas. Il y a quinze ans un phoque avait trouvé refuge sur un rocher de Creysse. En l'espèce, l'animal s'était échappé d'un zoo. Ça pourrait être le cas cette fois encore. »
Combien de temps encore le phoque passera-t-il dans les eaux de la Dordogne ? Lui seul est à même de le savoir. Pour l'observer de plus près, le mieux est encore de participer à la visite commentée des berges de Prigonrieux, dimanche après-midi. D'ici là, le naturaliste Yannick Lenglet aura sillonné le terrain.

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Les eaux des côtes du Honduras sont envahies par des populations de poisson-lion. Pour tenter de remédier au problème, les autorités essaient d'apprendre aux requins à se nourrir de cette espèce invasive. C'est au Marine Park de Roatan au Honduras que l'expérience est mise en place. Depuis quelques temps, les officiels du parc aidés de plongeurs locaux tentent de donner aux requins un goût pour les poissons-lions. Si l'initiative apparait assez surprenante, c'est en fait un projet tout à fait sérieux et même écologique. En effet, il y a une dizaine d'années les poissons-lions, originaires de l'océan Pacifique et Indien, ont été introduits accidentellement aux abords des côtes du Honduras par des amateurs d'aquarium. Depuis, l'espèce s'est abondamment reproduite et a littéralement envahi les eaux des Caraïbes et de l'Est des Etats-Unis. Venimeux, ces poissons n'ont en plus aucun prédateur naturel, représentant ainsi une menace pour l'équilibre de l'écosystème local. Ainsi, les spécialistes ont déjà pensé à plusieurs méthodes pour enrayer l'invasion, entre autres la chasse. "Comme partout dans les Caraïbes, le Marine Park de Roatan tente de trouver une solution à ce problème, et une des idées était d'essayer de mettre le poisson-lion au menu et informer les gens qu'ils peuvent le cuisiner et le manger ", a expliqué le photographe Antonio Busiello. Si la chasse s'avère efficace et rencontre un certain succès auprès des habitants, les autorités locales n'en sont pas restées là et ont donc mis en place l'initiative des requins. Observée et immortalisée par le photographe italien, l'expérience a néanmoins nécessité plusieurs étapes. Dans un premier temps, les plongeurs ont tué des poissons-lions et nourri les requins avec, afin de développer leur "goût". Puis, ils ont commencé à abandonner des poissons blessés pour que les squales les "goûtent" davantage et développent un intérêt à les chasser. Après quelques temps, ils se sont alors aperçus que les requins s'étaient rée... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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Après avoir pêché un bébé requin, cet homme s'est fait mordre en posant avec sa prise. Après avoir attrapé un bébé requin, ce pêcheur s'est fait mordre par sa prise ! Alors qu'il posait fièrement devant la caméra en tenant l'animal dans sa main, il a fini par oublier qu'un squale est avant tout un prédateur. Pourtant, son ami, qui filme la scène, lui rappelait sans cesse qu'il devait prendre ses précautions: "N'approche pas tes mains de sa bouche!". Et c'est dans un moment d'inattention que le requin en a profité pour attaquer le pêcheur. Au final, l'homme s'en est sorti avec une petite morsure à l'épaule. Cette attaque du requin hors de l'eau montre que le risque qu'a pris ce pêcheur en se mesurant à l'animal était bien réel. La surprenante prise du pêcheur a donc encore plus de valeur. Cette vidéo rappelle également qu'il est toujours un sérieux prédateur et que, tant qu'il lui reste un peu de vie, il est capable de se défendre. Même hors de l'eau, il peut représenter un danger pour l'homme.

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Si la chasse à la baleine fait depuis 28 ans l'objet d'un moratoire, elle est toujours pratiquée en Norvège, où elle vient d'être rouverte. Ce sont quelque 1.286 cétacés qui pourraient ainsi être capturés d'ici à la fin de la saison de pêche.


La chasse à la baleine a repris vendredi dernier en Norvège, rapporte le site Zegreenweb. Si le pays avait cessé de capturer des cétacés conformément au moratoire adopté en 1983 par la Commission baleinière internationale (CBI), il autorise à nouveau la chasse à la baleine depuis 1993. Au cours des quatre prochains mois, 1.286 cétacés pourront ainsi être tués dans les eaux norvégiennes. Le pays résiste à toutes les pressions internationales, contrairement au Japon qui en février dernier avait cessé prématurément sa chasse dans l'Antarctique face au harcèlement que faisait subir aux pêcheurs l'organisation Sea Sheperd (voir notre article). Pourtant, les Norvégiens sont de moins en moins nombreux à soutenir la chasse à la baleine, dont la chair a vu sa cote diminuer sensiblement ces dernières années. Victimes d'une chasse intensive, plusieurs espèces de baleines sont menacées depuis de nombreuses années. Mais les pays pêcheurs, le Japon, la Norvège et l'Islande, minimisent ces menaces et refusent de se plier au moratoire de la CBI. Celle-ci tente régulièrement de négocier, mais en vain.

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Publiée dans la revue Ecological Applications, une étude américano-britannique montre une progression constante du nombre de nids de tortues luth (tortues marines) sur les plages de Floride. Une augmentation liée aux mesures de protection, mais aussi à la modification de facteurs écologiques divers.







Parmi les 68 plages étudiées, les plus prometteuses ont affiché des hausses annuelles de plus de 16% depuis 1979, et les moins favorisées, de 3,1% : le dénombrement des nids de tortues luth en Floride rend optimistes les auteurs de cette étude, membres de l'Université de Bath (Royaume-Uni), de la Florida Fish and Wildlife Conservation Commission, et surtout du Duke Center for Marine Conservation (États-Unis). Son directeur, Larry B. Crowder, explique : "Cela suggère que les efforts de conservation et de valorisation, faits en vertu de la loi sur les espèces en voie de disparition, sont payants à l'échelle régionale. Mais la nidification est en hausse même là où la protection n'a pas été améliorée. Des changements dans les conditions océaniques, liés à la variabilité climatique, peuvent influer sur la chaîne alimentaire marine, et créer un environnement qui favorise les tortues en réduisant le nombre de leurs prédateurs et en accroissant l'abondance de leurs proies, en particulier les méduses". Abondance de nourriture et effondrement des populations de requins dans le nord-ouest de l'Atlantique au cours de la dernière décennie : des facteurs clés permettant probablement aux tortues luth femelles de nidifier plus fréquemment, selon Kelly Stewart, auteur principal de l'étude, qui a fait sa thèse de doctorat sur ce sujet. En revanche, les populations ont chuté sur les plages du Pacifique est, au Mexique et au Costa Rica. "La bonne nouvelle est que, bien que la plupart des tortues de mer continuent à disparaître, certaines populations sont en progression. Nous avons besoin de comprendre pourquoi elles augmentent ici autant que pourquoi elles baissent ailleurs, afin que nous ... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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BREST, 8 avr 2011 (AFP) - Une nouvelle grande chasse aux oeufs de raie sur tout le littoral français est lancée du 16 avril au 1er mai par une association brestoise, qui étudie les sélacéens pour mieux comprendre et protéger la cinquantaine d'espèces de raies qui vivent le long de nos côtes.> Elle invite les promeneurs à participer au recensement des capsules d'oeufs de raies échouées sur le littoral, ces drôles de poches rectangulaires, dotées de quatre cornes, ayant protégé un embryon jusqu'à l'éclosion.

CapOeRa est un programme de science participative lancé par l'APECS en 2008 à l'échelle nationale. Il permet de recenser et de rassembler des informations sur la présence et les aires de reproduction de certaines espèces de raies.

Durant 15 jours, parents et enfants pourront sillonner la laisse de mer, ce cordon d'algues sèches déposé en haut de plage, à la recherche de capsules d'oeufs de raies que l'on confond souvent avec le varech.

Depuis son lancement, CapOeRa a permis de recenser plus de 43.228 oeufs dénichés sur 573 sites répartis sur toutes les côtes françaises.

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@Choupi91 a écrit:
Le phoque égaré trouvé hier en Dordogne aurait actuellement trouvé refuge à proximité du futur pont de Prigonrieux (24). La semaine dernière, il a été vu du côté de Port-Sainte-Foy. photo dr

http://www.sudouest.fr/2011/04/06/un-phoque-egare-364079-1733.php


Tous les pêcheurs vous le diront : on trouve de tout dans la Dordogne, y compris ce qui ne devrait pas s'y trouver. Pour preuve, ce phoque gris, d'environ 80 kg pour 1,80 m de long, aperçu en début de semaine, sur les berges de la rivière. Le premier à avoir signalé son existence à la presse est un pêcheur bergeracois, domicile sur la rive gauche. À la retraite depuis quatre ans, Marc Broquaire ne sort jamais sans son appareil photo : lundi matin, alors qu'il longeait la rivière, le sexagénaire est tombé nez à nez avec un phoque, « gris et grand comme un homme » qu'il a aussitôt « mis en boîte ». Sans quoi, « les gens se seraient demandé si je n'étais pas devenu fou ! », explique Marc Broquaire. « De loin, j'ai cru à un morceau de bois échoué sur la berge, mais au fur et à mesure que je me suis approché, ça ne faisait plus l'ombre d'un doute. C'était bien un phoque. »
« Il a remonté la rivière »...

la suite :

PERIGUEUX, 11 avr 2011 (AFP) - Un phoque semble avoir élu domicile depuis une semaine sur le bord de la Dordogne, près de Bergerac (Dordogne), à près de 200 km de l'estuaire, a-t-on appris lundi de sources concordantes.> La raréfaction de la nourriture dans l'estuaire de la Gironde et l'augmentation de la population des phoques ont sûrement poussé l'animal à quitter sa tribu, selon Willy Dabin, du Centre de recherche sur les mammifères marins (CRMM) de La Rochelle, contacté par l'AFP.

Pour Frédéric Dhermy, directeur du centre piscicole des eaux de Queyssac, le phoque a sans doute suivi un banc d'aloses, des poissons de mer appréciés des phoques pour leur nourriture, qui allaient pondre dans une gravière de la Dordogne.

Ce phénomène insolite est tout à fait naturel selon M. Dabin: "la dégradation des eaux des rivières a rendu le phénomène rare, mais il était courant de voir des phoques et même des dauphins remonter certaines rivières à la recherche de nourriture". En 2006 par exemple, un autre phoque avait été observé dans l'Isle, à 30 km de la position du phoque actuel.

Le phoque va rester dans son milieu naturel. "Il n'y a pas de raison, s'il n'est pas en danger, d'intervenir", selon M. Dabin. Espèce protégée, le phoque n'est pas un animal dangereux, mais peut devenir agressif si l'on ne respecte pas un périmètre de sécurité de 20 à 30 mètres. "A moins de 2 mètres, il peut mordre très fort".




Un phoque ! En apprenant la nouvelle, les pêcheurs de la Gaule bergeracoise ont cru à un poisson d'avril - « Vous nous faites une blague, c'est ça ? » Il faut croire que non, puisque le très sérieux directeur d'Epidor (1), Guy Pustelnik, confesse « avoir eu vent de la présence d'un animal semblable à un phoque à Sainte-Foy-la-Grande la semaine dernière ». « Personnellement, je pencherais plutôt pour un coulobre, dont nous avons récemment réintroduit l'espèce dans le Dordogne, mais l'hypothèse d'un phoque ne me surprend pas. Il y a trois ou quatre ans, on a retrouvé un représentant de l'espèce dans la vallée de l'Isle. » Mais une photo prise la semaine dernière du côté de Port-Sainte-Foy (en Une du journal) confirme bien sa présence dans les environs.
Comment donc ce mammifère marin a-t-il pu arriver aux portes de Bergerac ? Là persiste le mystère. Passée la surprise - « Pardon, on a retrouvé quoi dans la Dordogne ? » -, Frédéric Dhermy, le directeur du complexe touristique des Eaux de Queyssac, veut bien avancer un début d'explication : « Pour moi, le phoque a remonté la rivière depuis l'estuaire de la Gironde. La raréfaction du poisson en mer a sans doute poussé ce mammifère à suivre les bancs d'aloses qui fraient dans la Dordogne. » Un scénario jugé plausible par Laurent Corbel, le directeur de l'aquarium du Périgord noir (2), qui, le premier, se souvient « avoir vu à la télévision une baleine de six mètres se mouvoir dans la Tamise ». « Vous savez, tant qu'un animal peut continuer à se nourrir, il n'a aucune raison d'arrêter sa fuite en avant », indique ce fin connaisseur des poissons d'eau douce.
... Ou s'est échappé d'un zoo ?
Un phoque vaillant ? Suffisamment vaillant pour parcourir 150 km à la nage ? Pour le coup, le pisciculteur et pêcheur professionnel Frédéric Delmarès est plutôt sceptique. « La présence du mammifère ne me surprend pas. Il y a quinze ans un phoque avait trouvé refuge sur un rocher de Creysse. En l'espèce, l'animal s'était échappé d'un zoo. Ça pourrait être le cas cette fois encore. »
Combien de temps encore le phoque passera-t-il dans les eaux de la Dordogne ? Lui seul est à même de le savoir. Pour l'observer de plus près, le mieux est encore de participer à la visite commentée des berges de Prigonrieux, dimanche après-midi. D'ici là, le naturaliste Yannick Lenglet aura sillonné le terrain.

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Source : Télé Animaux

PEKIN, 12 avr 2011 (AFP) - L'actrice Pamela Anderson, ex-vedette de la série télévisée "Alerte à Malibu", a invité mardi un ministre chinois à assister au "massacre" des phoques au Canada, en espérant convaincre Pékin de revenir sur l'ouverture de son marché aux produits dérivés de cette chasse.> "Si vous assistiez à ce massacre, je suis persuadée que vous changeriez d'avis sur l'importation en Chine de produits dérivés des phoques", a écrit Pamela Anderson, également connue pour son engagement pour la protection des animaux.

"Je vous en prie, ne laissez pas la Chine devenir une décharge pour la viande et l'huile de phoque que même les Canadiens ne veulent plus", a ajouté l'actrice.

La Chine a accepté en janvier d'ouvrir son marché aux produits dérivés de la chasse canadienne de phoques. Ottawa espère ainsi compenser les pertes subies par cette industrie depuis que l'UE a imposé en juillet 2009 un embargo unilatéral sur les produits dérivés de la chasse aux phoques.

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Des requins-pèlerins observés aux Glénan (29)

http://www.ouest-france.fr/actu/actuDet_-Des-requins-pelerins-observes-aux-Glenan-29-_40788-1760808_actu.Htm

Environnement lundi 11 avril 2011





  • Des requins-pélerins observés aux Glénan (29)

    Photo d'illustration : Apecs. Herbert.

    Depuis le 25 mars, des plaisanciers ont observé à cinq reprises des requins-pèlerins aux Glénan. L'association pour l'étude et la conservation des Sélaciens (Apecs), basée à Brest, a même réussi à poser une balise sur l'un d'entre eux, un gros mâle de plus de 7 mètres de long. Ces animaux sont parfaitement inoffensifs et ne mangent que du plancton. L'association demande à toute personne qui voit un requin-pèlerin de lui signaler sa présence le plus rapidement possible au 06 77 59 69 83.

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http://www.notre-planete.info/actualites/actu_2768_deces_poissons_lac_acide.php

Vous êtes vous déjà demandé pourquoi les poissons disparaissent des eaux acidifiées ? Des chercheurs en Suède ont mis au point une méthode pour révéler le moment et la raison de cette disparition. Les résultats de l'étude amélioreront les connaissances sur la restauration des lacs dans les régions acidifiées.
Des chercheurs de l'université de Göteborg déclarent que les restes microscopiques des larves de moucherons du genre Chaoborus pourraient apporter des informations sur les conditions de vie et le décès des poissons, ainsi que sur l'acidification des lacs en Suède. Pour ses travaux, l'équipe a analysé les sédiments lacustres.
"C'est un voyage dans le temps", explique Fredrik Palm, doctorant du département de zoologie de l'université de Göteborg. "Les poissons ne laissent quasiment pas de traces après leur mort, mais si nous étudions la présence d'organismes affectés par les poissons, nous pouvons trouver des indices. En examinant dans les sédiments des lacs les pièces mandibulaires des larves de Chaoborus, nous pouvons reconstituer l'histoire du lac jusqu'au début du XIXe siècle."
Le processus d'acidification du sol et de l'eau inquiète considérablement les spécialistes de l'environnement. De récentes études ont montré qu'une large proportion des lacs suédois subit l'impact de l'acidification. De plus en plus de poissons meurent, et la biodiversité souffre considérablement.
Selon les experts, il existe une corrélation très nette entre les décès des poissons et la présence de larves de Chaoborus dans les sédiments. L'équipe de Göteborg estime que les chercheurs peuvent utiliser les mandibules des larves, préservées dans les sédiments, pour détecter les décès de poissons et d'autres changements associés aux poissons dans les lacs très touchés par l'acidification.
Ce nouvel outil sera très intéressant pour les chercheurs, car c'est la première fois que des échantillons ont été recueillis, et l'on ne disposait jusque là d'aucune donnée historique sur les changements subis part les peuplements de poissons. L'équipe souligne également que les chercheurs pourront déterminer l'âge des prélèvements de sédiments et donc l'époque des changements.
"En analysant les mandibules de Chaoborus dans nos prélèvements de sédiments, nous pouvons déterminer comment les peuplements de poissons ont évolué", souligne M. Palm. "Nous pouvons en déduire si les poissons [ont] disparu, mais également les espèces qui ont été affectées. Par exemple, les gardons sont plus sensibles à l'acidification que les perches, et nous avons pu montrer si les lacs avaient ou non hébergé des cyprinidés. Parallèlement, on peut utiliser les restes de zooplancton sensible aux eaux acides pour dégager les tendances d'acidification progressive des lacs
Cette méthode informe sur l'évolution des peuplements de poissons lacustres au cours des derniers siècles. De même, elle apporte des informations sur la façon de restaurer la biologie d'un lac acidifié.
Selon les chercheurs, la perspective historique apportée par cette méthode pourrait se traduire par des analyses des variations naturelles des écosystèmes d'un lac.
M. Palm et ses collègues ont conduit leurs évaluations dans les comtés de Västra Götaland et Bohuslän en Suède. Ils ont accordé une attention particulière à la zone du lac Gårdssjön dans l'Ucklum, où se trouve depuis plusieurs décennies un centre de recherche sur l'acidification en Scandinavie.
Référence

Paleolimnological reconstructions of fish population changes in acidified lakes - Université de Göteborg


Auteur

©️ Communautés européennes, 1990-2011 / CORDIS, http://cordis.europa.eu/

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Les scientifiques ont constaté que des colonies entières de manchots de l'Atlantique sud perdaient leurs plumes. Un problème dont l'origine reste inconnue à ce jour.







Society (WCS) et de l'Université de Washington sont inquiets. Ils ont constaté que plusieurs colonies de manchots étaient victimes de la perte de leurs plumes. Un phénomène qui a touché en 2006 des spécimens d'Afrique du Sud, puis des manchots de Magellan qui vivent en Argentine. En un an, 59% des manchots du Cap auraient ainsi perdu leurs plumes. Au bout de deux ans, c'est 97% d'entre eux qui en étaient totalement dépourvus. Un problème inquiétant qui touchent également les petits. En effet, ceux-ci naissent et grandissent sans plumes et sont alors exposés au soleil, au froid et aux maladies. Les scientifiques craignent donc que ces conditions n'entraînent une mortalité importante au sein des colonies déjà menacées par la pollution et les changements climatiques. Si les spécialistes ont plusieurs hypothèses, l'origine de ce problème reste pour l'heure inconnue. Celle-ci pourrait être aussi bien virale que due à un dérèglement hormonal, un déséquilibre alimentaire ou une mutation génétique. "Les cas de pertes de plumes ne sont pas courants chez les oiseaux. Nous devons conduire de plus amples recherches pour déterminer les origines du problème et savoir s'il s'étend à toutes les espèces de manchots." a expliqué le Dr Dee Boersma de la WCS.

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Dans la région de Montbéliard dans le Doubs, les habitants sont confrontés à une mort massive de poissons atteints d'un mystérieux mal. Une épidémie qui avait déjà frappé les environs au printemps 2010 et en janvier dernier.



"C'est une catastrophe écologique" a déclaré Vincent Roy, président de l'association de pêche de la ville de Valantigney. Depuis plusieurs semaines, les habitants de la région du Doubs sont en effet confrontés à une mort massive et mystérieuse de poissons. Une hécatombe qui s'était déjà produite au printemps 2010 et en janvier dernier mais qui semble cette fois-ci être beaucoup plus importante. "Tous les jours, des pêcheurs, à Valentigney, à Mathay, à Audincourt, à Voujeaucourt, nous signalent des dizaines de poissons morts ou malades. Et le phénomène s'accentue de jour en jour" a indiqué à l'Est Républicain Vincent Roy.
Aujourd'hui, l'épidémie se serait même propagée à la région de Montbéliard. Car c'est bien une maladie qui semble être responsable de l'hécatombe. Connue sous le nom de saprolégniose, celle-ci est causée par des champignons qui parasitent les poissons. Les symptômes sont alors toujours les mêmes : des plaques blanches apparaissent sur la peau et provoquent rapidement la mort des poissons. Si l'épidémie touchait au départ principalement les salmonidés, celle-ci atteint désormais d'autres espèces de poissons blancs et carnassiers.
Impuissant face à l'épidémie, les pêcheurs de la région tentent de trouver une explication à une telle contamination. Ils ont ainsi émis plusieurs hypothèses. "Nous avons constaté que la surmortalité était apparue après le largage de sédiments depuis le barrage du Châtelot. On peut imaginer que ces sédiments, où s'accumulent tous les résidus, aient contaminé les poissons" a expliqué Christian Triboulet, président d'une association agréée de pêche dans la région. Si la chaleur et le manque d'eau pourrait être également responsables, les habitants ont remarqué que davantage de poissons mourraient aux ale... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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< WASHINGTON, 14 avr 2011 (AFP) - Toutes les baleines à bosse mâles dans l'océan finissent par chanter la même gamme de sons qui change chaque année et dont les nouvelles versions se propagent d'ouest en est, selon une étude australienne parue jeudi dans la revue américaine Current Biology.> "Nous avons observé un changement culturel sur une vaste échelle", poursuit-elle. "De nombreux chants se propagent ainsi de groupes en groupes au fil des ans, conduisant tous les mâles à changer de gamme pour chanter le dernier air", poursuit-elle.

"C'est la première fois qu'un échange culturel sur une aussi vaste région et taille de population est observé chez une espèce animale autre que les humains", selon elle.

Une fois que le nouveau chant émerge, tous les mâles semblent rapidement changer leur partition et le nouveau "tube" est largement repris pendant la saison d'accouplement pour totalement s'imposer à la fin, montre cette recherche.

La plupart du temps, le dernier chant en vogue contient certains éléments du tube de l'année précédente mélangé avec quelque chose de nouveau.

"Ce serait un peu comme si on mélangeait des parties d'un vieil air des Beatles à une chanson de U2", relève Ellen Garland ajoutant que "parfois ils commencent à chanter une mélodie complètement nouvelle".

Ces chercheurs n'ont pas avancé de raisons expliquant pourquoi le nouveau chant des baleines à bosse mâle se propage d'ouest en est.

Il n'est pas non plus établi si ces chants sont destinés à séduire les femelles ou à repousser les mâles rivaux, ajoutent-ils


js/gde/rap

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< NICE, 14 avr 2011 (AFP) - Une orque a mis au monde un bébé imbécileçu par insémination artificielle, technique utilisée pour la première fois avec succès en Europe, au Parc Marineland d'Antibes, a annoncé jeudi la direction du parc.> La maman, Wikie, se porte bien. Le père biologique, Ulysse, vit au parc Sea World de San Diego.

Les responsables du parc ont utilisé la technique d'insémination artificielle, qui a déjà été mise en oeuvre aux Etats-Unis, pour éviter les phénomènes de consanguinité, indique un communiqué de Marineland.

La petite femelle est la cinquième orque née à Marineland.


hec/mc/df

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source télé animaux

< WASHINGTON, 18 avr 2011 (AFP) - La quantité de mercure dans l'océan Pacifique augmente depuis 120 ans vraisemblablement en raison des activités humaines, selon une analyse de plumes d'Albatros à pattes noires, menacés par ce neurotoxique, affirme une étude de chercheurs américains publiée lundi.> Les auteurs de l'étude ont ainsi étudié l'évolution des concentrations de mercure en utilisant des plumes d'oiseaux vivants, mais aussi d'oiseaux naturalisés appartenant à des collections de musées d'histoire naturelle aux Etats-Unis parfois vieilles de 120 ans (1880 à 2002).

Leur constat montre que la situation dans le Pacifique "suscite de sérieuses inquiétudes environnementales, car cette région abrite plus d'espèces d'oiseaux marins menacés que les autres", indique Anh-Thu Vo, de l'Université de Californie à Berkeley, principal auteur de cette communication parue dans les Annales de l'Académie nationale américaine des sciences.

Les hauts niveaux de méthylmercure --forme la plus toxique du mercure-- mesurés sur des échantillons de plumes d'albatros "pourraient saper les efforts de préservation de ces espèces d'oiseaux en danger", ajoute le Pr Bank.

"Nous commençons à détecter des concentrations élevées de méthylmercure (...) dans tous les écosystèmes: marins, d'eau douce et terrestres", s'inquiète-t-il, et cela pourrait constituer "des facteurs importants dans le déclin des populations" d'espèces animales sensibles.

La consommation de poissons du Pacifique contenant de fortes concentrations de mercure peut être mauvaise pour la santé, souligne-t-il. L'exposition au mercure, rare dans la population, peut avoir de sérieuses conséquences sur le développement du système nerveux et cérébral des enfants.


js/eg/sj

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source télé animaux

< GENEVE, 19 avr 2011 (AFP) - Plus de quarante espèces de poissons en Méditerranée risquent de disparaître ces prochaines années en partie en raison de la surpêche, selon la première étude de l'Union mondiale pour la nature (UICN) pour la région publiée lundi.> "Parmi les 15 espèces les plus menacées (en danger critique), 14 sont des requins et des raies", poursuit le document.

De même, parmi les 13 espèces considérées "en danger", 9 sont des requins et des raies.

Et parmi les 15 espèces répertoriées comme "vulnérables", 8 sont des requins et 7 appartiennent à la famille des poissons osseux.

Dans son étude, l'UICN explique que "l'utilisation d'engins de pêche, comme les lignes de pêche, les filets maillants de fond ou le chalutage, et l'utilisation illégale de filets dérivants impliquent que des centaines d'animaux marins sans valeur commerciale sont capturés".

En conséquence, ces pratiques menacent "de nombreuses espèces de requins, raies et autres poissons, ainsi que d'autres animaux marins dont les dauphins, les baleines, les tortues et les oiseaux".

"La population du thon rouge (Thunnus thynnus) en Méditerranée est particulièrement préoccupante. Il y a eu une baisse d'environ 50% du potentiel de reproduction de cette espèce au cours des 40 dernières années", a déploré le coordonnateur du rapport, Ken Carpenter, cité dans un communiqué.

"Le manque de conformité avec les quotas actuels (de pêche, ndlr) combinée avec la sous-déclaration généralisée des captures peuvent avoir sapé les efforts de conservation de cette espèce en Méditerranée", a-t-il critiqué.


Très prisé pour les sushis, le thon rouge a été longtemps surpêché, selon les scientifiques. Sa pêche reste néanmoins très lucrative: un thon rouge d'environ 342 kilos a ainsi été vendu en janvier au prix record de près de 300.000 euros à Tokyo.

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source yahoo actualités



La suspension de la chasse à la baleine dans les eaux japonaises a été levée. Des bateaux de pêche sont partis ce matin de la côte nord du territoire nippon sérieusement endommagée il y a six semaines par l'immense tsunami. Le répit des baleines aura été de courte durée. Six semaines après le violent séisme et le tsunami qui ont frappé les côtes nord-est du Japon, la chasse reprend. Aujourd'hui deux navires ont quitté le port de Kushiro de l'île de Hokkaïdo, dans le nord de l'archipel. L'équipage est notamment constitué de cinq membres appartenant à l'unique société de pêche à la baleine du port d'Ayukawa, situé plus au sud. La société Ayukawa Whaling a en effet tout perdu lors de la catastrophe qui a emporté les bâtiments de stockage de la viande mais aussi tous les bateaux de pêche. Alors que Minoru Ito, le patron de la société a annoncé le prochain licenciement de ses 28 employés, le gouvernement a donc décidé d'aider à financer la reconstruction de la flotte baleinière du pays détruite en grande partie par le violent tsunami du 11 mars. Chaque année, les bateaux japonais capturent plusieurs centaines de baleines. Bien qu'elle interdisse la chasse commerciale depuis 1986, la Commission baleinière internationale tolère cette pratique au nom de la "recherche scientifique". Pourtant, la viande des cétacés est vendue en grande partie et à bas prix dans les commerces japonais mais les autorités soulignent l'importance de cette pratique dans la culture nippone. D'ici juin, la campagne de pêche côtière devrait ainsi se solder par la capture de 60 baleines.

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source : Télé Animaux

SYDNEY, 28 avr 2011 (AFP) - Le cadavre d'un cachalot échoué sur une plage de Sydney embarrassait jeudi les autorités australiennes, qui cherchent à enlever cette gigantesque carcasse, dont le sang se répand dans la mer et attire les requins.> "La marée ne va pas dans le bon sens, le poids de l'animal rend la situation très difficile et le vent du sud qui souffle empêchait la sortie d'un bateau" jusqu'à maintenant, a indiqué Chris Grudnoff, un des responsables des Parcs nationaux, au journal local Manly Daily.

Parmi les solutions envisagées figure le découpage du corps en morceaux, qui seraient ensuite jetés ailleurs.

La plage, au nord de Sydney, a été fermée au public car le sang qui coule dans la mer attire les requins, ont précisé les autorités.

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Publiées le 27 avril dans la revue scientifique en ligne PLoS ONE, les conclusions d'une expédition américaine de six semaines dans les eaux antarctiques en mai 2009 et 2010 décrivent une modification importante du comportement du krill - et des baleines qui s'en nourrissent - à cause de la fonte de la banquise. Une explosion de vie à court terme, mais une grave menace à long terme.



Lors de l'automne austral en mai 2009, puis en mai 2010, des chercheurs de la Duke University ont effectué à Wilhelmina Bay, dans l'Antarctique, le suivi d'un super-banc de krill (petits crustacés) et des baleines qui s'en gavaient : ils ont mesuré la biomasse du krill à environ 2 millions de tonnes, et observé 306 baleines à bosse - soit environ 5,1 baleines par kilomètres carrés, la densité la plus élevée jamais enregistrée dans ces parages.

"Une telle agrégation incroyablement dense de baleines et de krill n'a jamais été vue auparavant dans ce secteur à cette époque de l'année", souligne le biologiste marin Douglas Nowacek. Mais ils ont également constaté que les petits fragments de glace flottante couvraient moins de 10 % de la baie.

Autour de la péninsule occidentale de l'Antarctique, le krill, consommé par de nombreuses espèces d'oiseaux et de mammifères marins, et péché par l'homme pour nourrir les saumons d'élevage, migre habituellement, à l'automne austral, vers les baies et les fjords riches en phytoplancton, où il hiberne sous le couvert de glace protecteur. Il y a une forte corrélation entre la quantité de banquise formée et la quantité de krill qui survivra à l'hiver long et rigoureux de l'Antarctique.

"L'absence de glace de mer est une bonne nouvelle pour les baleines dans le court terme, leur fournissant des festins de krill, lequel migre verticalement vers la surface de la baie chaque nuit. Mais c'est une mauvaise nouvelle à long terme pour les deux espèces, et pour tout ce qui, dans l'océan Austral, dépend du krill", conclut Ari S. Friedlaender, également chercheur ... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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