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L'actualité des chiens

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Pays de Galles, Grande-Bretagne - Chaque nuit, un bichon frisé sauve la vie de sa propriétaire en posant sa patte sur sa poitrine. Mme Henry souffre en effet d'apnée du sommeil et son chien lui rappelle chaque soir de respirer.





Bernadetta Henry, 67 ans, souffre d'apnée du sommeil : son flux respiratoire se bloque plusieurs fois par nuit, dans son sommeil. Cependant Boris, son bichon frisé, veille tous les soirs à ses côtés. L'animal écoute sa respiration et pose sa patte sur sa poitrine afin de la réveiller lorsqu'elle cesse de respirer. Boris est un chien-guide pour sourds et malentendants, il a été entraîné pour alerter sa maîtresse, devenue sourde, lorsqu'il entend des sons importants comme le téléphone, la sonnette, ou l'alarme à incendie. "Il est tout pour moi. Sans lui, je serais morte [...] Je ne pourrais pas vivre sans lui et nous nous aimons tous les deux" déclare Bernadetta Henry.

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Encore une histoire mettant en cause la maltraitance envers des animaux ! Mercredi à Perpignan, en se rendant à l’avenue Julien-Panchot où on lui avait signalé qu’un chien était enfermé depuis plusieurs jours dans un camion, un agent bénévole du service enquête de la SPA a découvert l’horreur.

Dans la cour de ce mas, à l’entrée duquel était apposé un panneau "Elevage", une trentaine de chiens vaquaient sans soins, probablement sans nourriture car terriblement amaigris, couverts de vermine, n’ayant pour tout refuge que des abris de fortune. Mais ce n’était pas tout ! Car hier, en ouvrant par hasard une porte de la maison, les agents de la SPA ont découvert 15 chiens de plus (ce qui porte le total à 45), dans le même état de délabrement physique.

Les animaux vivaient-là, soit dehors dans des camions ouverts à tous vents, soit à l’intérieur dans une ancienne étable, au milieu de leurs excréments et des rats qui avaient investi les lieux.

Choqué, l’agent bénévole a prévenu la SPA qui, hier encore, tentait de placer les pauvres bêtes dans les divers refuges du département. Des animaux qui auront besoin de soins attentifs pour remédier à leur amaigrissement extrême, aux ongles interminables de ceux qui ne sont jamais sortis, aux croûtes et aux plaies sur la peau à vif causées par les parasites. La SPA a déposé plainte.

La propriétaire de « l’élevage » est un médecin perpignanais dont le nom est connu sur la place. Les services de police nous ont confirmé l’avoir entendue dès la découverte des chiens ; une procédure a été établie et transmise au procureur de la République.

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Bien que 2009 n'est pas encore achevé, l'Abiec (Association belge d'identification et d'enregistrement canins) a dévoilé que les vols de chiens avaient fortement augmenté cette année. Ainsi, les six races de chiens les plus volées ont toutes connue une hausse par rapport à 2009. Les animaux dérobés à leurs propriétaires sont souvent de petite taille puisque les trois races les plus volées sont le chihuahua, le jack-russel ainsi que le yorkshire. Mais le grand perdant reste le chihuahua dont les vols ont doublé en un an (46 en 2008 contre 92 cette année). Cet intérêt est en grande partie dû aux stars, dont rares sont celles ne se promenant pas avec l'un de ces chiens, porté comme un accessoire de mode. Un éleveur confie : « C'est une race qui a beaucoup de succès pour le moment. Et donc, les prix grimpent. Pour un chihuahua, les prix s'échelonnent désormais de 700 à 2 500 euros. »
Donnez votre avis, découvrez les photos et toute l'actualité insolite sur Zigonet

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/15/737460-Trois-chevres-tuees-par-une-meute-de-chiens.html

Dimanche, aux aurores d'une journée hivernale, certains habitants du quartier de Lardenne ont été réveillés par de violents aboiements. Et pour cause, une meute de sept chiens, des beaucerons, a fait irruption dans la propriété de Raymond Barrière. Les prédateurs ont flairé leurs proies : Doudou, Câlin et Vanille, les trois chèvres du propriétaire des lieux, dont il a fait l'acquisition pour le bonheur de ses petites-filles. Elles ne résisteront pas à l'assaut des bêtes affamées. L'intéressé raconte avec émotion : « Mon fils m'a prévenu qu'il y avait un carnage à la maison. J'ai retrouvé les trois chèvres mortes, Vanille éventrée. Elle était pleine. »
Mise en demeure


Raymond Barrière a déposé une main courante au commissariat du Mirail. Son souhait est maintenant de s'entretenir avec le propriétaire des beaucerons. « J'aimerais le rencontrer pour essayer de comprendre pourquoi cette meute est dans la rue, affamée. Il est irresponsable. Ces chiens peuvent s'attaquer aux enfants de la crèche. Les gens ont peur. »
Car ces chiens s'introduisent dans les propriétés à la recherche de viande fraîche que sont les animaux de toutes sortes. Deux chiens, « les moins méchants », ont finalement été récupérés par une société « de ramassage des animaux errants ». Un jeune homme est venu les retirer à la fourrière animale.
« Il a payé l'amende et repris ses chiens. Je l'ai mis en demeure de réparer sa clôture et d'appeler les voisins », avertit M. Ansart, le responsable de la fourrière. C'est la mère du maître qui gardait les toutous pendant l'absence de son fils. Elle aurait été débordée. « S'il y a encore des plaintes et que ces chiens errent dans la rue, nous les confisquerons définitivement », prévient M. Ansart.
Si le dénouement de cette histoire semble donc proche, le chagrin de Raymond Barrière est encore loin de s'estomper : « Je n'ai pas encore eu le courage d'annoncer la nouvelle à mes petites-filles », soupire-t-il.

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Melbourne, Australie - Cuddles, une petite chienne labrador de 2 ans, a été opérée après avoir ingéré des décorations de Noël. L'opération aura coûté plusieurs milliers de dollars australiens à ses propriétaires.



C'est un collier composé de petites boules de Noël qui est la cause du malheur de Cuddles. La petite chienne a dû prendre l'objet qui pendait autour du cou d'un renne en peluche pour de la nourriture, et n'a pas pu résister à cette vue alléchante. Distraite par la naissance de son bébé, Lorna Jeremiah, sa maîtresse, n'a pas réalisé tout de suite la cause de la disparition de l'objet. C'est en voyant l'animal à l'agonie qu'elle a soudain pris conscience de l'origine du mal. Malgré les fêtes et la naissance de leur bébé, les propriétaires de Cuddles n'ont pas hésité à débourser 4.300 euros pour sauver leur animal. Aujourd'hui, la chienne est en convalescence, avec une belle cicatrice sur le ventre. Le cas de Cuddles n'est cependant pas isolé : en effet, Noël est une période généralement assez pénible pour les animaux de compagnie. Ces derniers sont souvent victimes d'accidents causés par une imprudence (électrocutions, intoxications alimentaires voire empoisonnements involontaires).

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Jeudi 17 Décembre 2009 | Actualité | Société

Alors que Marie est en déplacement professionnel dans la froide campagne Aveyronnaise, elle ne s’attend pas à sauver un chien à 2 doigts de la mort. C’est pourtant ce qu’elle va faire.
Le 3 décembre dernier, Marie roule en pleine campagne entre Nauviale et Villecomtal. Quand elle croise une forme immobile sur le bas côté de la route, elle pense d’abord à un chien accidenté, une de ces pauvres bêtes qui a croisé la route d’un chauffard. Un chien de plus pour lequel il est trop tard.
Mais l’émotion l’emporte sur le sens commun et Marie fait demi-tour. Ce geste, que peu d’entre nous aurait fait sauvera un chien dont la vie ne tenait plus qu’à un fil.
Quand elle s’arrête, Marie voit un chien marcher « à la façon d’un kangourou », un chien squelettique, en pleine détresse, dans un état pitoyable. Ses yeux semblent l’implorer de faire quelque chose pour lui.
Oscar, un chien entre la vie et la mort


Ce chien, c’est un Leonberger, et ses 2 pattes avant sont comme brisées en leur milieu. Il monte seul dans sa voiture, profitant de la portière ouverte et Marie téléphone à la gendarmerie pour demander les coordonnées du vétérinaire le plus proche. Il se trouve à Marcillac-Vallon, Marie y file aussitôt.
D’après l’état du chien, le vétérinaire a été en mesure d’affirmer qu’il n’a pratiquement pas marché pour arriver jusque là. Marie ajoute « il n’aurait pas fait 100 mètres ». L’état très inquiétant de ses 2 pattes est dû à la malnutrition.
Alors comment a-t-il pu se retrouver en pleine campagne au bord de la route ? La réponse s’impose d’elle-même, il a été abandonné.
Le vétérinaire fait tout ce qu’il peut : il soigne le chien, le nourrit, lui donne des antalgiques, un traitement contre la gale du chien…
Mais le couperet tombe. A 5 ou 6 mois alors qu’il en fait bien plus, le Leonberger baptisé Oscar par l’équipe vétérinaire n’a ni puce, ni tatouage. Et si personne ne vient le récupérer avant 7 jours, il faudra l’euthanasier.
Facebook au secours d'Oscar


Marie ne veut pas l’entendre. Elle crée le groupe Facebook « Pour le sauver et lui trouver une famille » spécialement pour le replacement d’Oscar en famille d’accueil, et le succès ne se fait pas attendre.
Le groupe Facebook comptabilise aujourd’hui plus de 1500 membres. Les gens sont touchés par l’histoire d’Oscar, ils sont reconnaissants, admiratifs du geste de Marie, et de l’action d’une association, qui ont permis de le sauver. Mais avant tout, ils sont soucieux de l’état de santé d’Oscar.
Comment va Oscar ? Nous avons contacté Marie qui nous apprend qu’Oscar a été placé dans une association de protection des animaux à Montauban : L’Homme et son chien. Il est gardé par Célia, une membre de l’association, à son domicile.
Oscar se remet petit à petit de son état, toutefois on ne peut pas affirmer qu’il est hors de danger. Célia prend en charge l’intégralité des soins vétérinaires apportés à Oscar, c’est pourquoi Marie fait appel à la générosité de ceux qui veulent tout faire pour qu’Oscar s’en sorte.
Pour soutenir financièrement Oscar, vous pouvez contacter Marie par mail à cette adresse : marie.ortigues@wanadoo.fr ou Célia qui prend généreusement soin du Leonberger : celia.vallee@wanadoo.fr
Abandon d'Oscar : l'appel à témoins


Marie et l’association souhaitent également lancer un appel à témoins par l’intermédiaire de Wamiz : si Oscar a été abandonné en pleine campagne dans un tel état, le ou les responsables doivent être retrouvés et punis.
Si vous habitez aux alentours de Nauviale et Villecomtal dans l’Aveyron, regardez attentivement les photos d’Oscar. Si vous le reconnaissez, n’hésitez pas à nous contacter ([url=http://wamiz.com/contact.html]http://wamiz.com/contact.html[/url]) ou à contacter Marie (marie.ortigues@wanadoo.fr).





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Kappelen dans le Haut-Rhin, vendredi matin, il est environ 5h30, lorsqu'un habitant du village alerte les secours.



Une grange voisine à sa maison est en feu et l'incendie prend vite des proportions impressionnantes d'après les DNA.
Cette grange attenante à une ancienne ferme réhabilitée abrite une caravane où dort en compagnie de son chien un homme de 20 ans.
Il a été brutalement réveillé par l'animal qui l'a mordu et a compris de suite la raison de son attitude inhabituelle.
La porte de la caravane était déjà intouchable en raison de la chaleur.
Il a réussi à s'échapper de justesse avec son compagnon en cassant une vitre.

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Johannesburg, Afrique du Sud - Un chien adopté dans un refuge a visité, accompagné de sa nouvelle maîtresse, 29 pays en 6 mois. Pour témoigner de ses pérégrinations, il a été photographié devant les plus célèbres monuments à travers le monde entier.

En 6 mois, ce chien a visité 29 pays, commençant son voyage en Afrique du Sud et l'achevant au Brésil. Oscar a été adopté dans un chenil par Joanne Lefson, qui a décidé de parcourir le monde avec lui afin de sensibiliser le public sur la condition des chiens abandonnés. Le voyage, qui aura couté à Mme Lefson 250.000 livres sterling et a été financé par la vente de sa maison, a mené les deux compères à voyager à travers le monde. Mme Lefson a photographié le chien devant les plus célèbres monuments du monde, comme la tour Eiffel, la statue de la Liberté ou encore le Taj Mahal. Ce tour du monde, réalisé dans les pays qui n'obligeaient pas Oscar à être placé en quarantaine, a été une réelle aventure pour l'animal. "Les cinq minutes les plus éprouvantes ont été lorsqu'Oscar a décidé de se baigner dans une rivière infestée de crocodiles en Zambie" raconte Mme Lefson. Le voyage n'aura pas été vain puisqu'Oscar, en plus de devenir une célébrité et un représentant de la condition canine, a rencontré une nouvelle amie dans un refuge de Bucarest : elle rejoindra prochainement Oscar à Cape Town. Découvrir les images : http://www.zigonet.com/voyage/decouvrez-les-photos-de-voyage-d-039-oscar-le-chien-globe-trotter_art9537.html

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pitt bull de maroc part2




Algérie - Pitbulls : La nouvelle arme des gangs de quartiers


Pitbulls, rottweilers, bulldogs : les chiens dressés pour attaquer deviennent les nouvelles armes blanches des délinquants. Reportage avec ces nouveaux gangsters urbains dans les quartiers ouest d’Alger. « J’ai été agressé par un voyou avec un pitbull, il m’a subtilisé mon portable », s’énerve Yacine, un jeune étudiant à l’université de Bab Ezzouar, dans la banlieue est d’Alger. Son histoire a fait le tour de l’université.


« Ces jeunes délinquants utilisent des chiens pour nous intimider et nous agresser. On les connaît, ce sont des voyous d’El Jazeera », racontent ses camarades. Depuis peu, des jeunes prennent comme chiens de compagnie pitbulls, rottweilers, bouledogues. De grandes bêtes d’au moins 50 cm pouvant peser jusqu’à plus de 50 kg pour les plus gros, généralement destinés à la garde et souvent dressés pour attaquer. « Je ne vous mens pas, j’ai acheté mon pitbull pour me protéger », nous déclare un de ces jeunes. Se protéger de qui ? Ou contre quoi ? Un tour dans ce milieu douteux, où drogues, psychotropes, alcool et prostitution s’entremêlent, nous renseigne sur l’ampleur du phénomène. Première destination : El Jazeera, un bidonville construit dans les années 1990, sur les décombres d’un ancien chantier de l’OPGI à El Djorf, dans la localité de Bab Ezzouar. Ce quartier, déjà connu pour être un fief du terrorisme aux côtés de l’ancien bidonville la Foire, est aujourd’hui voué à devenir le futur quartier d’affaires d’Alger, situé pas loin de l’aéroport. Nous y avons rencontré Dadi, Youcef, Krimou et Mastapha. Tous maîtres de chiens, ils ont entre 22 et 30 ans. Renvoyés de l’école en septième année moyenne pour « comportement agressif », aujourd’hui, ils se retrouvent obligés de voler et d’agresser les gens. « Nous n’avons aucune source de revenu ; nos parents sont illettrés et surtout pauvres », confie Mastapha. Ce jeune de 28 ans, chef de bande, emprisonné cinq fois, nous confie spontanément comme pour se valoriser : « J’ai cinq jugements. » Pour agression à arme blanche et détention de drogue. Lui et sa bande « agissent en toute impunité », nous raconte un habitant d’un immeuble près d’El Jazeera. « Aujourd’hui, comme nous risquons la prison pour port d’arme blanche, nous utilisons à la place des chiens », tente d’expliquer Mastapha. La nuit venue, ces délinquants « commencent à agresser ceux qui rentrent tard de leur travail, près des arrêts de bus », nous raconte le gérant d’un café situé à quelques pas des arrêts. Mastapha, en chef de gang, est très attentif à ce qui se passe au sein de sa meute et dans les quartiers limitrophes. Krimou vient demander de l’aide, car son jeune frère vient d’être agressé non loin de là, à la cité Sorecal, un autre quartier chaud de Bab Ezzouar. « Ndirou un complot… » Complot, un terme qui revient souvent dans ce milieu. Il désigne la constitution d’un gang et le fait de livrer bataille à un autre gang. Armés de haches, de couteaux, de sabres et de… rottweilers, ils embarquent dans la camionnette de Zoubir qu’ils louent à 1000 DA, direction Sorecal. Arrivés sur les lieux, il n’y a pas de combat à la mesure des gangs, de petites escarmouches arbitrées par Mohamed, un délinquant notoire connu à Sorecal, ancien compagnon de cellule de Mastapha. Retour à El Jazeera, « C’est l’heure de faire le marché (el kadyane). » Comprendre : s’approvisionner en alcool, zetla (drogues) et zerga (psychotropes). Pour les chiens, les jeunes achètent des restes chez le boucher d’à côté. « Lorsque la pêche est bonne, je lui achète deux ou trois kilos de viande bien fraîche, explique Mastafa. Sinon il se contente des intestins… » Changement de destination, vers l’autre camp Sorecal. Nous rencontrons Mahmoud, la trentaine, ex-délinquant : « J’étais moi-même un agresseur il y a moins d’une année. Je n’avais pas le choix, je vivais dans la misère et j’étais très influencé par les délinquants et les taulards. Aujourd’hui, j’ai retrouvé le droit chemin. » Avec amertume, il nous raconte comment il agressait avec son pitbull. « Je regrette le jour où j’ai attaqué une jeune étudiante qui me plaisait énormément, à l’époque, à qui j’ai pris le sac, le portable et les bijoux. Ce jour-là, j’étais sous l’effet des psychotropes, et je me souviens quand même de sa frayeur, j’ai cru qu’elle allait mourir. » Nous avons tenté de retrouver la jeune fille en question. Aux dernières nouvelles, sa famille a changé de quartier. « Je me souviens très bien de cette affaire, mais la famille de la victime n’a pas porté plainte, je pense qu’elle avait peur des représailles, nous confie un policier. Vous savez, il nous est difficile de faire face à ce phénomène, car nous n’avons aucune protection juridique, on ne peut même pas utiliser notre arme en cas de danger. Et puis sous quel chef d’inculpation allons-nous les arrêter ? » Pourtant, il existe bien un texte : l’article 441 bis du code pénal qui prévoit l’emprisonnement, allant de 10 jours à 2 mois de prison ferme, et une amende de 100 à 1000 DA, pour tout individu laissant errer un animal malfaisant ou dangereux et l’incitant à attaquer autrui. A l’origine de cette délinquance : la misère, bien sûr. Mais pas seulement. Les fréquentations des jeunes y sont pour beaucoup. Nabil, un jeune homme de 22 ans, fils d’un couple de médecins, fait partie de la bande de Mohamed de Sorecal. « J’ai acheté un rottweiler pour 12 000 DA, je fais comme tout le monde. Dès mon jeune âge, je n’avais dans le quartier que des délinquants comme copains. J’étais impressionné par leur courage et leur détermination à affronter les autres délinquants, par peur de mépris, j’ai été obligé de les suivre. » Nabil va rejoindre son gang, car un complot se prépare. Cette fois-ci, entre la bande de Mohamed et celle de Salah, du quartier Pilem (PLM, Bourouba, banlieue d’Alger). La cause ? Un jeune homosexuel de 19 ans, le protégé de Salah, a été passé à tabac au niveau de l’autoroute. « Nous nous préparons à les accueillir, nous ne voulons pas de prostitués dans notre territoire ! », s’exclament les jeunes. Les chiens sont lâchés, cette fois, pour attiser la haine entre gangs. Mais d’autres fois, ils feront l’objet de combats interquartiers. La mise de départ : 10 000 DA. Et un titre à décrocher : celui du chikour, qui pourra s’afficher avec son animal sacré « chien le plus dangereux ».

Par Zouheir Aït Mouhoub
http://www.elwatan.com/Pitbulls-La-nouvelle-arme-des

SMAÏL GUERDA, DOCTEUR VÉTÉRINAIRE : Nous sommes face à un énorme danger public en Algérie

L’Expression: Pouvez-vous nous expliquer brièvement comment un chien peut devenir dangereux?

Dr Smail Guerda: En général un chien ne naît pas dangereux, il le devient. Surtout quant il est brutalisé par son maître ou par son entourage ou alors quant il est confronté à d’autres chiens agressifs, il devient forcément très dangereux. C’est la nature défensive des animaux. Et comme le dit si bien l’expression: «Il n’existe pas de mauvais chiens mais de mauvais maîtres.»

Qu’est-ce qui différencie un chien dangereux dit brutal tel que le pitbull d’un chien dit doux?

L’agressivité des chiens peut exister chez n’importe quelle race. D’une part, on peut avoir un pitbull doux avec les hommes, mais agressif avec les chiens et même avec d’autres animaux tels que les chats, les moutons...D’autre part, on peut avoir un caniche qui ne tolère que ses propriétaires, etc.
Il existe aussi des chiens tellement imprévisibles: sages en apparence, mais qui attaquent et mordent sans raison. La plupart des Algériens aiment avoir un chien agressif car pour eux celui qui ne l’est pas, ne sert à rien.

Quels sont les risques que peuvent représenter des molosses comme les pitbulls, les dobermans, les bouledogues ou les rottweilers pour l’homme?

Les chiens dangereux et agressifs sont un énorme danger pour les humains. Chez nous, et faute de lois rigoureuses, une anarchie totale règne. Chacun fait ce qui lui plaît. De ce fait, on voit des pitbulls, des rottweilers et autres...tenus rarement en laisse mais la plupart du temps libres escortant des jeunes irresponsables et sans aucune conaissance sur ces carnivores.

Que pensez-vous, justement, de ces personnes qui n’ont aucune connaissance dans le domaine ni initiation dans l’élevage et qui, malgré cela, élèvent des chiens de ce genre?

Malheureusement, il existe des bandes organisées dans le combat de chiens d’attaque comme les pitbulls et les rottweilers.
Ces bandes sont le plus souvent dirigées par des jeunes qui n’ont aucune culture sur le dressage, sur le mode de vie de cet animal, son comportement...

En France par exemple, il existe une loi qui oblige les propriétaires de ce type de chien, à tenir leurs bêtes en laisse et muselées pendant les déplacements. Plus que cela, le chien doit être tatoué et vacciné

Tandis que le pitbull doit être castré. Cela implique qu’il faut responsabiliser les propriétaires des chiens ayant des accidents. Je pense même qu’il faut les poursuivre en justice.

Selon vous, une école spécialisée dans la formation de maîtres-chiens ne serait-elle pas impérative?

Il existe quelques centres de dressage chez nous, mais les prix pratiqués par ces centres sont excessivement chers et ne sont pas à la portée de tous ceux qui désirent dresser un chien. Par contre, le dressage est obligatoire pour les chiens de gardiennage au niveau des entreprises et des institutions.

Quel est le nombre d’agressions que vous avez eu à constater? Et qu’avez-vous à en dire?


Au cours de cette année, j’ai pu constater jusqu’à 30 cas de morsures sur des humains au cabinet. Cependant, il y a également des cas de morsures entre chiens suite à des accrochages provoqués, dans la plupart des cas, par les propriétaires de ces bêtes, et cela, dans le but unique de se vanter d’avoir le chien le plus fort ou le plus agressif. C’est, tout simplement, inhumain, dangereux et déplorable.

Par l'Expression

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http://www.ladepeche.fr/article/2009/12/30/746194-Gimont-Rusty-rentre-apres-3-ans-d-absence.html

En cette période fortement propice aux contes, celui-ci nous a été raconté le lendemain de Noël. Il était une fois, dans la nuit du 26 octobre 2006, un chien de chasse nommé « Rusty », qui disparut mystérieusement de son domicile, à Gimont. Un départ pour le moins inquiétant, le clip d'attache de la chaîne du bel épagneul ayant été ôté. Marion et Jean-Lou, ses infortunés propriétaires, sont d'autant plus affectés que, six mois auparavant, la même mésaventure leur est arrivée avec le dénommé « Sulky », évaporé dans des conditions étrangement similaires. Comme maigre consolation, reste désormais, sous la grange, la seule et unique « Belle », vieille chienne de chasse au grand cœur. Marion a ses convictions, Jean-Lou les siennes mais, une nuit de début décembre 2009, Marion fait un rêve étrange qui l'émeut : « Rusty revient à la maison mais avec un autre chien », avouera-t-elle le matin même à son mari. Celui-ci, perplexe, n'y croit guère. Pourtant, huit jours avant l'arrivée du Père Noël, Jean-Lou rentre du travail et aperçoit, au bout de son allée, un chien qui, manifestement, cherche son chemin. Le rêve de son épouse lui saute aux yeux : plus de trois ans plus tard, Rusty est de retour. D'abord avec une certaine appréhension puis, petit à petit, il reprend ses repères et reconnaît son ancien domicile. « Belle » le reconnaît d'emblée ; avec « Tarzan », un nouveau venu, la glace se brise. L'heureux propriétaire appelle son épouse, comblée que son rêve se soit avéré prémonitoire. Quand à « Sulky », Marion avoue qu'elle est persuadée qu'il vit des jours paisibles dans une famille qui l'a adopté. Tout est bien qui finit bien pour ces commerçants gimontois bientôt retraités, ravis d'un si joli cadeau de Noël.

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Glasgow, Grande-Bretagne - Un chien a vu sa langue quadrupler de volume après avoir ingéré un coeur de cochon. Une partie de l'aorte s'était enroulée autour de la base de sa langue, faisant gonfler l'organe.



Penny, une chienne de 18 ans, a manqué de s'étouffer à cause d'un morceau de coeur de porc. C'est une petite récompense que la chienne à l'habitude de recevoir de la part de ses maîtres. Mais cette fois-ci, l'animal a vu sa langue gonfler jusqu'à atteindre quatre fois sa taille. Un morceau de l'aorte du cochon s'était enroulé autour de la langue du chien, coupant une partie de la circulation du sang : sa langue avait alors démesurément gonflé. La chienne a essayé d'ôter le corps étranger avec ses pattes, mais sans succès. La panique ayant gagné ses propriétaires, Penny a été amenée d'urgence à la clinique vétérinaire de la ville, où l'on a pu retirer la membrane qui lui ligaturait la langue. Penny est désormais saine et sauve, pour le plus grand bonheur de ses maîtres.

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CARTON ROUGE. Roka tué à coup de sabre : l'auteur relaxé par le
tribunal de Brest

Un carton rouge vient d'être attribué au tribunal de Brest. Vous avez tous, comme nous, été touchés par cette histoire. Vos dizaines de milliers de signatures en sont la preuve. Nous attendions le résultat du procès en espérant que l'auteur de cet acte soit punis à la hauteur de sa violence.

Malheureusement il n'en est rien puisque le prévenu a tout simplement été relaxé, sous prétexte qu'il était en état de légitime défense. De plus, le juge a estimé que l'absence de collier et de laisse ne permettait pas de se saisir du chien et que le prévenu qui a voulu protéger son animal s'est trouvé dans la nécessité de frapper Roka.

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http://www.ladepeche.fr/article/2010/01/06/749596-Ourde-31-heures-apres-sa-chute-Prisca-est-saine-et-sauve.html

La veille du Nouvel An, « Prisca », une petite chienne de chasse âgée de 10 ans, est tombée dans une faille rocheuse au mont Sacon, à 1.300 m d'altitude. Trente et une heures après sa chute, saine et sauve, elle retrouve Christophe, son maître.
Ce 31 décembre, 14 chasseurs de la société FCC à Bramevaque sont en battue aux sangliers sur les hauteurs de Ourde, accompagnés d'une dizaine de chiens. Vers midi, le fox-terrier disparaît. À ses aboiements répétés, les hommes réalisent que quelque chose d'anormal s'est produit.
Christophe et son ami Barthélemy l'appellent et la localisent rapidement. Illico, les autres chasseurs arrivent pour prêter main-forte. En vain !
« Il nous a fallu déclarer forfait à cause de la nuit et du manque de matériels », indique Michel, l'un d'eux. Très tôt le lendemain, une équipe de vaillants montagnards, solidaires jusqu'au bout, revient sur les lieux délimités la veille par des gilets fluo.
« Avec des barres à mine et des masses, tous ont assuré un travail colossal pendant des heures sous la neige pour agrandir l'entrée, de laquelle ils ont dégagé environ 4 m3 de cailloux », souligne Henri, encore tout ému de cette entraide générale pour sauver la vie d'un chien.
À peine rentré d'une course d'alpinisme, qu'un coup de téléphone vient chambouler la journée de ce passionné de spéléologie, alerté de la situation.
Sur place, l'inquiétude est grande, mais « Prisca » répond toujours aux appels.
« Grâce à leur efficacité, maintenant, je peux m'introduire dans le boyau pour localiser « Prisca » et la récupérer. Sa chute au fond d'un puits d'environ 15 m a été amortie par une vasque pleine d'eau.
Suspendu au-dessus de cette inquiétante masse d'eau, à bout de bras, j'ai pu saisir « Prisca » par le collier, et après quelques bisous, nous avons entamé une remontée fastidieuse. »
Vers 18 heures, « Prisca » est blottie contre Christophe. Tout le monde est ravi de la voir vivante après ces longues heures passées seule, sous terre.

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San Francisco, États-Unis - Victimes de leur surpopulation dans la ville de San Francisco, les chihuahuas peinent à se faire adopter en Californie. Au cours d'un événement organisé par la SPA américaine, quinze chihuahuas ont volé de San Francisco à New York dans le but de se faire adopter.




Souvent réduits à une race de chiens dont les people raffolent, les chihuahuas peuvent avoir des difficultés à trouver un maître en Californie. Pour aider ces animaux victimes de leur succès, l'"American Society for the Prevention of Cruelty to Animals" (équivalent américain de notre SPA), a organisé le voyage d'une quinzaine de chihuahuas pour qu'ils se fassent adopter.A grands coups de renforts médiatiques, le trajet de ces animaux a été relaté du début à la fin, pour le plus grand bonheur des quelque 47.000 personnes qui ont suivi l'opération grâce à leur ordinateur.Un vol impeccable pour ces chiens chanceux qui ont été chouchoutés par l'équipage lors du vol qui les emmenait de San Francisco à New York, où les chihuahuas sont rares mais pourtant très demandés.L'opération est un succès total, puisque tous les chihuahuas ont trouvé un maître quelques heures après leur arrivée à New York.

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Un chien, un doberman âgé d'un an et demi est mort électrocuté par une boîte d'alimentation "défaillante" du réseau électrique souterrain ERDF dans le XIXème arrondissement, annonce Le Parisien.



Comment l'explique ERDF Île-de-France?
"Ces boîtiers alimentent les candélabres d'éclairage public. Selon elle, ces boitiers seraient "suivis par une société privée." Contactée par le Post, celle-ci devrait répondre dans la journée.
Mais d'après la CGT ERDF interrogée par le quotidien, ces boîtiers "dépendent du réseau EDF. Ce qui s'est passé est très grave. (...) Ça peut tuer n'importe qui et pas seulement des chiens!"
Ce ne serait pas le premier incident de ce genre précise Le Parisien, relatant deux explosions de deux autres boîtiers ailleurs dans la ville l'année dernière dans la ville.
Qu'est devenue la boîte?
Elle a été supprimée selon Le Parisien.
Interrogé par le quotidien, le conseiller de Paris communiste du XVIIIème Ian Brossat s'inquiète: "Faut-il attendre un accident avec un enfant ? Ces boîtes datent des années 1950, elles sont obsolètes aujourd'hui, estime l'élu. ERDF doit tout mettre en oeuvre pour les supprimer."
La mairie de Paris a également été contactée par Le Post afin d'en savoir davantage sur les risques liés à ces boitiers.
Si vous aussi avez été témoins d'événements étranges autour des ces boitiers, n'hésitez pas à témoigner en commentaires.

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Géronimo a 74 ans et vit à Avignon.



Son caniche meurt, il reçoit une amende de 180€ le même jour...

Son chien Funny, un caniche croisé noir de 8 ans, a rejoint le paradis des toutous, le 24 décembre. Une bien triste histoire, plombée par une lettre envoyée par le Trésor Public, datée du 24 décembre également, lui demandant 180€, une majoration d'une amende de 69€ de mars 2009 relate La Provence.
La raison: il promenait son chien sans laisse en mars dernier. En passant devant le poste de la police municipale, il s'est vu verbaliser...
La mairie avait pourtant promis une amnistie. Géronimo est sous le (double) choc.
L'hôtel de ville assure à La Provence qu'il va lui accorder une "indulgence particulière et exceptionnelle. À charge pour l'intéressé de maintenir ses bonnes résolutions en tenant en laisse son fidèle compagnon."
Car depuis, Géronimo s'est vu offrir un autre caniche grâce à un élan de solidarité de son quartier...

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États-Unis - Des chercheurs de l'université de Washington ont découvert pourquoi la peau des Shar-Peï est si ridée. Cette particularité serait due au gène HAS2 et probablement issue d'une mutation.




Plus de 400 espèces de chiens sont recensées dans le monde. Leur apparition auprès des hommes serait le résultat de la domestication du loup il y a plus de 10.000 ans. Certaines espèces se détachent du lot comme le Shar-Peï, ce chien au physique si particulier dû à une peau extrêmement ridée durant sa jeunesse. Des scientifiques américains se sont penchés sur ce phénomène et sont parvenus à trouver une réponse tout à fait plausible.Ils ont pour cela examiné le génome de dix espèces de chiens de pur race : un examen qui leur a permis de localiser 150 gènes, lesquels détermineraient les différentes caractéristiques physiques de chaque race ainsi que leur tempérament.Pour le Shar-Peï, des différences ont été remarquées au niveau du gène HAS2. Or, ce gène fabrique une enzyme, l'acide hyaluronique, qui se relève très importante dans le processus de fabrication de la peau. Une mutation serait survenue chez ces chiens, leur faisant fabriquer un surplus de peau. Ces recherches pourront peut-être également servir à soigner des humains souffrant de graves problèmes de peau.

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Californie, États-Unis - La caméra de surveillance d'un bureau a pu filmer ces images étonnantes. Un chien pressent un tremblement de terre avant tout le monde, et se précipite pour avertir sa maîtresse du danger. Lire la suite l'article


La vidéo de surveillance de l'immeuble a déjà été vue plus de 700.000 fois sur YouTube. La chienne Sophie est allongée sur le sol lorsqu'elle détecte les premières vibrations d'un tremblement de terre. Cependant, au lieu de courir se mettre à l'abri, l'animal s'est précipité vers le bureau de sa propriétaire, comme pour l'alerter du danger. Interrogée sur la vidéo, Jessica Richelderfer, la maîtresse de Sophie, explique que la chienne a sans doute ressenti les vibrations avant tout le monde et qu'elle a alors foncé pour l'avertir. "Je pense qu'elle a su que quelque chose de mauvais était sur le point d'arriver" raconte-t-elle. Cela ne se voit pas sur les images, mais Mme Richelderfer explique que sa chienne l'a cherchée puis accompagnée à l'extérieur de l'immeuble. Sur YouTube, les commentaires se divisent entre ceux saluant la loyauté de Sophie, et d'autres s'interrogeant sur l'aptitude du chien à pressentir le tremblement de terre.Pour voir les images : http://www.zigonet.com/s%e9isme/decouvrez-un-chien-qui-detecte-un-tremblement-de-terre_art9888.html
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Minnesota, États-Unis - Un braque allemand est venu au secours d'une personne âgée. C'est lors d'une promenade que l'animal a mené son maître vers le lieu où se trouvait un homme inconscient.



Brett Grind promenait son chien, un braque allemand de 15 ans, lorsque ce dernier a refusé de suivre le chemin habituel. Il a commencé à tirer sur sa laisse, puis a littéralement traîné son maître vers la maison d'un voisin. Celui-ci, âgé de 94 ans, a été retrouvé par Brett allongé face contre terre dans son allée.M. Grind a appelé les secours et commencé un massage cardiaque. Le vieil homme a repris conscience et a été conduit à l'hôpital.
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BERLIN, 26 jan 2010 (AFP) - Une Allemande a obtenu mardi en justice de récupérer le cadavre congelé de son chien, qu'une entreprise de pompes funèbres spécialisée conservait en invoquant un impayé.

Le 30 octobre, la maîtresse de Benny, un terrier croisé de 13 ans, avait dû se résoudre à faire piquer son fidèle compagnon, malade, et avait ensuite confié sa dépouille à une entreprise de pompes funèbres animalières, afin de lui donner une sépulture décente, a expliqué à l'AFP le porte-parole du tribunal de Cologne (ouest de l'Allemagne), Jörg Baack.

Face au montant de la facture, la jeune femme de 30 ans avait demandé un délai pour rassembler la somme. Les parties étaient convenues que le cadavre serait conservé dans la chambre froide de l'entreprise, faisant en quelque sorte office de "garantie".

"A un moment, les choses ont mal tourné", a poursuivi le porte-parole

L'entreprise a-t-elle perdu patience ? Ou a-t-elle présenté un nouveau devis bien plus important que le premier, comme l'affirme la plaignante ? Toujours est-il que selon la maîtresse, les pompes funèbres ont menacé de brûler le corps du chien dans un centre d'équarissage quelconque.

Elle a alors introduit un référé pour récupérer les restes de son animal.

Mais au cours de l'audience, le juge a réussi à rapprocher les positions, la plaignante acceptant de verser 200 euros au titre des frais de congélation et de garde, pour couvrir les premiers préparatifs de l'inhumation, et récupérer son défunt, a poursuivi le porte-parole.

Selon ce dernier, la plaignante aurait finalement opté pour une incinération, moins onéreuse, et qui sera confiée au cimetière pour animaux voisin de Düsseldorf.

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Pologne - Un chien a été sauvé par une équipe de scientifiques alors qu'il dérivait, sur une plaque de glace, en pleine mer Baltique. L'animal aurait parcouru plus de 100 kilomètres.



Le chien se serait retrouvé piégé sur un morceau de glace qui s'est détaché alors qu'il traversait la Vistule, complètement gelée. Le chien aurait ensuite dérivé sur la mer Baltique, juché sur la glace, jusqu'à ce qu'il soit aperçu par les passagers d'un bateau. Les pompiers avaient tenté une première fois de porter secours au chien, à Grudziadz, une autre tentative avait elle aussi échoué quelques kilomètres plus loin, dans la ville de Kwidzyn.Le chien avait continué de dériver sur la Vistule et une fois arrivé en mer Baltique, on pensait qu'il avait péri. Il a finalement et heureusement été remarqué par une équipe de scientifiques en pleine mer, et a pu être hissé à bord du bateau qui les transportaient. L'animal a été pris en charge et enveloppé dans des couvertures. Il est en bonne santé. Pour voir les images du sauvetage : http://www.zigonet.com/sauvetage/decouvrez-le-sauvetage-d-039-un-chien-coince-sur-la-baltique-gelee_art10114.html

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@Choupi91 a écrit:
Pologne - Un chien a été sauvé par une équipe de scientifiques alors qu'il dérivait, sur une plaque de glace, en pleine mer Baltique. L'animal aurait parcouru plus de 100 kilomètres.



Le chien se serait retrouvé piégé sur un morceau de glace qui s'est détaché alors qu'il traversait la Vistule, complètement gelée. Le chien aurait ensuite dérivé sur la mer Baltique, juché sur la glace, jusqu'à ce qu'il soit aperçu par les passagers d'un bateau. Les pompiers avaient tenté une première fois de porter secours au chien, à Grudziadz, une autre tentative avait elle aussi échoué quelques kilomètres plus loin, dans la ville de Kwidzyn.Le chien avait continué de dériver sur la Vistule et une fois arrivé en mer Baltique, on pensait qu'il avait péri. Il a finalement et heureusement été remarqué par une équipe de scientifiques en pleine mer, et a pu être hissé à bord du bateau qui les transportaient. L'animal a été pris en charge et enveloppé dans des couvertures. Il est en bonne santé. Pour voir les images du sauvetage : ]


L'équipage d'un bateau transportant des océanographes a eu la surprise de découvrir un chien dérivant sur un bloc de glace dans la mer Baltique, à 25 kilomètres au large des côtes polonaises. Ils ont secouru l'animal, mais n'avaient pas encore retrouvé son propriétaire jeudi.



"Baltic", c'est le nom que lui ont donné ses sauveteurs, a été secouru lundi après avoir dérivé 120 kilomètres alors que la [url=http://fr.news.yahoo.com/fc/pologne.html]Pologne subit une vague de froid avec des températures plongeant à -20 degrés Celsius. Son sauvetage a été difficile, et à un moment donné, il a semblé que le chien s'était noyé, a témoigné Natalia Drgas, l'un des scientifiques présents à bord du "Baltica", un navire polonais.
"Cela a vraiment été une lutte difficile", a-t-elle raconté. "Il glissait dans l'eau et remontait péniblement sur la glace. A un moment donné, il a disparu sous l'eau, sous le navire, et nous avons pensé que c'était la fin, mais il est réapparu et est remonté sur le morceau de glace."
Une échelle a alors été descendue et un membre d'équipage a réussi à saisir le chien par la peau du cou et à le hisser à bord. Trop faible pour s'ébrouer, il a été séché et emmitouflé dans des couvertures. Une fois réchauffé, il a été massé, nourri et s'est ensuite remis sur ses pattes pour aller chercher de la compagnie, raconte Mme Drgas.
Le chien avait déjà été aperçu samedi dérivant sur la Vistule dans la ville de Grudziadz, à 100 kilomètres en amont de la baie de Gdansk. Des pompiers avaient tenté de lui porter secours mais n'avaient pas pu s'approcher de lui à cause de l'instabilité des morceaux de glace.
L'équipage du "Baltica", qui a accosté à Gdynia, recherche le propriétaire du chien. Quatre personnes affirmant que l'animal leur appartient se sont présentées, mais Baltic ne semblait pas les connaître, a précisé Mme Drgas. Deux autres maîtres potentiels devaient se rendre à Gdynia pour voir le chien.
Une fois arrivé au port, le bâtard au pelage noir et brun a été examiné par une vétérinaire, qui l'a trouvé en bonne santé malgré sa mésaventure et a estimé qu'il avait cinq ou six ans. Le chien, qui pèse 20 kilos, était visiblement apeuré, mais ne souffrait d'aucune engelure, a précisé Aleksandra Lawniczak. C'est un chien amical qui devait être bien traité par ses maîtres, a ajouté la vétérinaire.
Le capitaine du navire, Jerzy Wisachlo, a précisé que l'équipe d'océanographes est prête à adopter Baltic si son propriétaire n'est pas retrouvé. AP

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Kiel, Allemagne - Alors que la police de la ville avait écrasé un chien, elle a envoyé un courrier à la propriétaire du pauvre animal, lui demandant de régler la somme de 2557,31 euros au titre de réparation des dégâts causés au véhicule.



Le soir du 31 décembre, alors que beaucoup s'apprêtent à fêter le passage à la nouvelle année avec leurs proches, un berger australien répondant au nom de Robby, s'échappe du terrain de sa propriétaire, effrayé par le bruit des pétards et feux d'artifices enclenchés par les voisins. Aussitôt, Heidi Schwark, 65 ans, appelle les forces de l'ordre afin de signaler la fuite de son animal, ces dernières répondant alors avoir localisé un chien signalé comme errant sur l'autoroute. La propriétaire de l'animal explique : "Le lendemain du Nouvel an, j'avais reçu un appel de la police qui m'a informé que Robby avait été écrasé par un automobiliste". Mais quelques jours plus tard, Mme Schwark reçoit également une lettre des forces de l'ordre, lui indiquant que c'est bien elles qui ont écrasé l'animal mais qu'elle devait rembourser les réparations qui avaient dû être faites sur la voiture coupable.Ainsi, la police explique dans une lettre citée par Bild : "En raison de l'impossibilité d'attraper l'animal ou de l'abattre avec une arme à feu, nous avons dû écraser le chien pour mettre fin au danger qu'il provoquait". Et un porte-parole de la police d'expliquer à l'AFP que les policiers avaient essayé de capturer l'animal pendant une heure mais celui-ci "divaguait sur l'autoroute dans les deux sens de circulation. Face à ce genre de situation, un policier doit faire un choix entre la vie du chien et la vie des conducteurs".

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http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/04/769443-Brax-Maltraite-le-cou-entierement-entaille-le-chien-retrouve-un-foyer.html

À le voir vous renifler chaussures et pantalon, mettre ses pattes sur vos cuisses et aboyer quand on frappe à la porte, on prendrait plutôt Modeste, 3 ans, chien de race « Fauve de Bretagne » pour un pépère tranquille que pour un rescapé des pires sévices. D'autant que Modeste, qui chahute avec l'autre pensionnaire de la maison Câline, la chatte de 8 ans, ne vit chez sa nouvelle maîtresse, Nelly Cruchon, que depuis vendredi dernier…
Retour un mois en arrière. Le refuge de Brax voit arriver, le 12 janvier, un chien « Fauve de Bretagne », trouvé par une employée du refuge, au bord d'une route à Saint-Pierre-de-Gaubert : « D'habitude, on n'a pas le droit de ramasser les animaux qui divaguent », précise la présidente de l'association qui gère le refuge SPA de Brax, Christine Salane. « Mais là, ce n'est pas un cas de divagation, ce chien était en danger. » Grièvement blessé au cou, comme le révélera la consultation du vétérinaire, le chien était en fait resté toute une journée, au moins, au même endroit sans bouger. « L'employée l'avait vu le soir, en rentrant chez elle, puis à nouveau le lendemain. C'est là qu'elle m'a alertée. »
« un geste humain »


Flanqué d'un compagnon d'infortune, un croisé Griffon, les deux chiens sont emmenés au refuge et rebaptisés « Paris » et « Brest » par les amatrices de pâtisserie de la SPA. Brest est aussitôt montré à un vétérinaire : « Tout le tour du cou est entaillé, une blessure d'un centimètre de profondeur et qui commençait à s'infecter », décrit Christine Salane. « Et d'après la vétérinaire, il ne s'agit pas d'une corde, ou d'un collier sur lequel il aurait tiré pour se détacher : la blessure est uniforme et profonde. Il ne peut s'agir que d'un geste humain, comme si on avait tenté de l'étrangler avec du fil de fer, ou de le découper avec un couteau… » Pour les bénévoles de la SPA de Brax, le geste, barbare est d'autant plus incompréhensible que le petit chien est totalement socialisé : « On le voit, il a l'habitude de vivre chez quelqu'un, du contact humain. Il n'a pas peur de tout comme certains animaux maltraités qu'on nous amène parfois, il n'était pas affamé non plus… »
Propriétaire introuvable


Si elle s'est posée la question, Christine Salane n'a finalement pas porté plainte : « Il n'y a aucun moyen d'identifier le chien, ni collier, ni tatouage, ni puce électronique. Et autour de l'endroit où on l'a trouvé personne ne l'a reconnu… Impossible de retrouver le propriétaire… »
Nelly, elle, venait de perdre son golden retriever adoré. Handicapée, vivant seule, elle ne sortait plus de chez elle et déprimait sec. « Je me suis dit qu'il fallait que je reprenne un chien. Je suis allée à la SPA. Je cherchais un chien pas trop jeune, docile. Quand on m'a proposé un chien victime de maltraitance, je ne voulais pas trop, j'avais peur qu'il soit agressif. »
Finalement, vendredi, un « essai » d'une demi-heure est tenté. Brest, rebaptisé Modeste, adopte immédiatement sa nouvelle maîtresse et refuse tout net de rentrer au refuge. Nelly, elle, a retrouvé le sourire. Quant à Modeste, il a déjà trouvé une fiancée dans le quartier…
Témoins de maltraitance sur animaux, appeler le refuge SPA de Brax au 0553967797.

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C'est un sauvetage audacieux par hélicoptère qui a séduit les téléspectateurs dans tout le sud de la Californie. Le chien avait été emporté par la tempête, dans les eaux furieuses de la rivière inondée à Los Angeles.
Le chien se promenait dans plusieurs centimètres d’eau vers 11h30 près de Washington Boulevard, a déclaré Erik Scott, du département des incendies de Los Angeles. Les côtés de la fosse en béton sont raides et il a été incapable d’en sortir.
Un pont a été fermé pendant que des véhicules de pompiers, des ambulances et des hélicoptères - y compris les médias grouillaient sur les lieux. Les équipages avaient auparavant tenté de balancer un gilet de sauvetage d’un viaduc vers le chien, mais en vain, le chien commençait à être emporté par le courant loin des équipes avant de s’arrêter sur une autre section de la corniche inondée.
Le pompier Joe St. Georges a finalement pu porter secours au chien, qui dans la peur a mordu le pompier, fracturé son pouce et arraché un ongle.



Joe n'en veut pas au chien " Il a froid, il est trempé, il a peur, et voilà qu'un inconnu lui saute sur le dos, il a réagi comme tout chien l'aurait fait."
Spikey n'était pas tatoué ni pucé et s'était enfui, c'est un ami de sa maitresse qui l'a reconnu.
Après plusieurs jours de repos et de quarantaine Spikey se porte bien et a pu retrouver sa famille.



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Australie - Un jeune homme de 25 ans a été arrêté après avoir tenté d'embrasser un chien policier. Il est accusé d'agression sur un officier de police.




L'homme de 25 se trouvait dans le bar d'un hôtel en train de boire un verre lorsqu'un policier est entré en compagnie de Bodie, son chien. L'homme a alors caressé et essayé d'embrasser l'animal, refusant d'arrêter malgré la demande du policier. La situation s'est rapidement échauffée et le policier a expliqué avoir été forcé d'utiliser un spray au poivre afin de calmer l'homme devenu agressif. "Le chien policier est considéré comme un membre de la police, et les mesures de sécurité prises sont les mêmes que pour n'importe quel officier" a déclaré l'inspecteur en chef Wayne Murray. Le prévenu a été accusé d'agression sur un agent de police et refus d'obtempérer.

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je transmets :

La Montagne
Dernière minute
17:18 - vendredi 11 décembre 2009
Brive-la-Gaillarde - Océane sera finalement sauvée



Océane, cette chienne de 12 ans qui a été retirée mardi soir à ses propriétaires (voir notre édition de mercredi) et qui devait être euthanasiée, sera finalement sauvée.

Dans un premier temps, dans les heures qui ont suivi la prise en charge de l'animal par le service d'hygiène municipale (la fourrière) et par l'association Sauver et protéger les animaux (SPA), son état de faiblesse ne laissait guère penser à une autre issue que l'euthanasie.

Toutefois, le lendemain, après avoir été longuement auscultée par un vétérinaire, décision a été prise d'essayer de sauver cette chienne et de lui offrir, si cela est encore possible, une fin de vie digne.

Du côté de l'association Sauver et Protéger les animaux (SPA de Brive), nous apprenons que la parution de notre article relatant ce fait divers « a suscité beaucoup d'émotion de la part de la population ».

C'est la médecine qui vient aujourd'hui donner un espoir, d'abord à Océane, ensuite à tous ceux que son histoire a ému.

À la demande de l'association, le service d'hygiène municipal devrait lui laisser la charge d'océane. Océane qui devra suivre un traitement médical assez lourd et onéreux. Dès que son état sera stabilisé, et n'étant pas, objectivement, facilement adoptable, il est envisagé de la confier à une association spécialisée dans l'accompagnement des chiens en fin de vie.

lien : http://www.brive.maville.com/actu/actudet-Brive-la-Gaillarde-Oceane-sera-finalement-sauvee-1188467--BKN_actu.Htm

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http://www.midilibre.com/articles/2010/02/04/BEZIERS-L-39-abruti-fini-avait-abandonne-Bandit-le-braque-1098050.php5

Édition du jeudi 4 février 2010
DR

Beziers. Justice« L'abruti fini » avait abandonné Bandit, le braque



RAPPEL : Raymond Dura était jugé pour abandon volontaire d'animal. En juillet dernier, à Vias, Bandit, un braque de Weimar, avait survécu en mangeant le chien qui était mort, abandonné avec lui

Patiemment, à tâtons, la présidente du tribunal correctionnel de Béziers a cherché à cerner la personnalité du prévenu. Un exercice difficile tant il se montre prostré, concédant seulement quelques « je ne comprends pas, j'ai été dépassé, cette histoire me rend malade... » ou pleurant dans un grand mouchoir à carreau.
La réponse est venue franche, tranchante, directe d'où l'on ne l'attendait pas : de la bouche de l'avocat de la défense. Tout le long de sa plaidoirie. M e Guigues a osé le mot, ou plutôt les mots : « Frustre, sauvage, abruti fini... » La salle où étaient présents de nombreux militants du Comité de soutien de la cause animale (CSCA) esquisse un sourire dédaigneux et vengeur.
Comment en est-on arrivé là ? Le 15 juillet dernier, Bandit, un braque de Weimar,
est retrouvé, famélique, attaché à un piquet dans un terrain vague de Vias. A ses côtés, les reste d'un dogue allemand. Le CSCA déposera une plainte pour abandon volontaire d'animal domestique et privation de nourriture et d'abreuvement. Ce sont pour ces faits que Raymond Dura, 55 ans, manutentionnaire, demeurant à Bessan, comparaissait hier devant le tribunal de Béziers. La garde des animaux lui avait été confiée début juin. Par une connaissance, un certain Gonzales. Il avait récupéré ces deux chiens "haut de gamme" auprès d'une dame. Elle venait de se séparer et n'avait plus les moyens de les entretenir. Gonzales disparaît ensuite se faire opérer. Pourquoi ne vous en êtes-vous pas occupé, pourquoi n'avez-vous pas parlé du manque de nourriture, de la mort du dogue, pourquoi n'y êtes-vous pas allé avec votre garçon de 12 ans ou votre épouse ? La batterie de questions de la présidente reste sans réponse. Le prévenu, tête basse, pleure toujours.
Les associations de défense des animaux (Fondations Brigitte Bardot et 30 millions d'amis, SPA et CSCA) se sont constituées partie civile. Elles non plus ne comprennent pas cet homme pour qui un « animal n'est strictement rien ». Le procureur en cherche les raisons, avant son réquisitoire : 3 mois avec sursis. A nouveau l'avocat de la défense donnera une explication : « Raymond Dura cherche des amis. En acceptant la tâche que lui confiait Gonzales, il pensait s'en faire un. » Délibéré le 3 mars prochain.

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Citation:
C'est un acte sadique, une scène d'un autre âge à laquelle a assisté un promeneur qui baladait, dimanche matin, ses chiens dans un bois isolé entre Castelsarrasin et Saint-Nicolas-de-la-Grave.
L'homme, qui préfère, pour l'heure, conserver, pour des raisons évidentes, l'anonymat, témoigne sur «l'exécution sommaire» à laquelle il a assisté. «C'est en promenant mes chiens non loin du Tarn que j'ai été intrigué par le va-et-vient d'un véhicule auquel je ne portais pas d'attention particulière, si ce n'est qu'il ne circule pas beaucoup d'automobiles en plein bois.» Et de poursuivre: «Je l'ai vu alors sortir quelque chose de sa malle qu'il a traînée avec une certaine résistance jusqu'à un arbre (vraisemblablement le chien de chasse, avec la corde qu'il a déjà autour du cou). Peu après, j'ai entendu un coup de feu, ce qui m'a d'autant surpris que l'on est en pleine réserve de chasse, un endroit où les chasseurs n'ont justement pas le droit de tirer.» En quelques minutes, le promeneur se précipite sur les lieux pour voir de quoi il s'agit. Sur place, il a juste le temps de voir un véhicule qui s'éloigne promptement et le cadavre d'un chien de chasse froidement abattu d'un coup de fusil à l'arrière du crâne.
Indigné par cet acte de cruauté sans nom, il informe immédiatement l'association du refuge de Saint-Béart à deux pas de là qui lui conseille de déposer aussitôt plainte. Cette dernière est enregistrée au commissariat, accompagnée d'une série de clichés. Le chien a, depuis, été transporté à la clinique vétérinaire de Moissac où, à la demande du parquet, il a été autopsié hier. Dans le même temps, une douille de calibre 12 - celle d'un fusil de chasse - et de plomb 6 - servant habituellement aux chasseurs de faisans ou de perdreaux- a pu être identifiée sur le lieu du tir. Elle a été transmise aux services de la gendarmerie qui devraient la faire analyser dans leur laboratoire.

Également sur place, Michèle Fléta, l'un des coresponsables du refuge canin, se déclarait indignée par ce qu'elle n'hésitait pas à qualifier comme un «acte de barbarie. Il n'a laissé aucune chance à cet animal attaché à 60 centimètres de corde». Et de pointer du doigt une catégorie qu'elle connaît bien: «C'est la fin de la saison de la chasse, on n'a plus besoin du chien, et bien, on n'hésite pas à s'en débarrasser d'un coup de fusil.»
Une situation dont ce défenseur des animaux entend faire un exemple. «L'association de Saint-Béart, à laquelle se sont joints, d'ores et déjà, 30 Millions d'amis et la fondation Brigitte Bardot, a déposé plainte et se portera partie civile s'il devait y avoir un procès.»

*attention photo choquante*







Spoiler:

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Foix. Bull-terrier contre fox-terrier


Tribunal.Légrillou : antagonisme chasseurs-chercheurs de champignons… et « l'état de nécessité » en question.



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La difficulté de parfois cohabiter, surtout en saison, entre chasseurs et chercheurs de champignons a pris toute son ampleur en ce 20 septembre 2009, du côté de Légrillou, en la personne, si l'on peut dire, des chiens respectifs de M. R., le chasseur, et de M. V., le chercheur. En l'espèce, le fox-terrier de M. R., teigneux mais de petite taille, et le bull-terrier de M. V, vous savez, le chien de « papy Boyington » dans « Les Têtes brûlées » : blanc, poil ras et mâchoire impressionnante.
Toujours est-il que, se rencontrant sur le chemin attenant à la forêt, R. (qui était accompagné d'un collègue chasseur) et V. discutaient le coup en toute banalité lorsque la chienne fox de R. sautait brusquement de la voiture pour bondir sur le bull de V., lequel saisissait rudement son cousin lointain. V. essayait bien, en vain, de séparer les deux protagonistes (coups de pied et de poing), R. « pétant » à ce moment-là « les plombs », sortant l'opinel du casse-croûte de sa poche et lardant le bull de deux coups au flanc (deux plaies de 3 cm sur 3 cm de profondeur), bousculant V. au passage et clamant à propos du chien : « Je vais le crever ! » V. se relevait aussitôt, bousculait à son tour un peu rudement R., les noms d'oiseaux fusant, avant que V. ne récupère son bull pour l'amener dare-dare chez le vétérinaire. Selon V. : « La forêt est à tout le monde, mais ces gens-là, contre qui je n'ai rien (je ne suis pas belliqueux), sont armés… Moi, je n'avais que mon bâton et un panier et, à un moment, ce monsieur a fait mine d'aller chercher son fusil, qu'il a ôté de son étui ».
« Les faits n'autorisent en rien la violence »


Auparavant, R. aura confié à la barre : « Je voulais juste que son chien lâche prise. Le couteau est le seul recours qui m'est passé par la tête à ce moment-là. Mais je n'avais ni l'intention de blesser, encore moins de tuer ».
Mme Blanc requerra au nom du ministère public : « Entre chasseurs et chercheurs, on le sait, ça n'a jamais été le grand amour… La tournure des événements, ici, est plus grave et une part de responsabilité incombe à l'un et à l'autre. R. a infligé de cruelles blessures, totalement démesurées, au chien de V : 300 euros d'amende. V. a bousculé R., conduit à le faire par l'attitude de R. certes, mais cela n'autorise pas la violence : 150 euros d'amende ».
Avocat et partie civile, Me Laville plaidera en premier pour V. Extraits : « Mon client a bien tenté de retenir son chien, mais il s'est entendu dire à ce moment-là on va le crever… R. a donné deux coups de couteau de 3 cm dans la région du cœur, des gestes disproportionnés, et V. l'a poussé à ce moment-là pour éviter qu'il tue son chien. Et puis il y a cette carabine et le collègue de R. qui le dissuade de la sortir de son étui… Pour moi, l'état de nécessité de la part de R. n'existe pas ici. Et mon client n'a eu qu'une réaction défensive ».
Pour R., Me Salva plaidait à la suite : « V. a donné à ce dossier une dimension qui n'existe pas. N'oublions pas que mon client a été mis en garde à vue pour ces faits, alors qu'il demandait d'en rester à une simple médiation. Bull contre fox : le combat était inégal (les blessures du fox sont importantes). Mon client a juste voulu piquer le chien. Il est piqueur et s'il avait voulu le tuer, les blessures seraient d'un autre ordre[…] . On ne peut lui reprocher des actes de sévices et ici l'état de nécessité existe. V. est propriétaire de son chien et, en tant que tel, devait veiller à ce que celui-ci n'attaquât point l'autre. De plus, 10.000 euros de dommages et intérêts demandés par son avocat, c'est exorbitant ! » L'affaire a été mise en délibéré au 2 mars. A noter que les deux chiens, aux dernières nouvelles, se portent bien…

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Écosse, Grande-Bretagne - Joey n'est pas un chien comme les autres. En effet même si beaucoup de chiens n'aiment pas les chats, Joey lui, y est allergique. Le bâtard est aussi allergique à la viande et se nourrit exclusivement de pommes de terre et de porridge.



Joey, un croisé berger allemand et colley de 5 ans, souffre d'allergies peu communes chez les chiens. En effet ce dernier est allergique aux poils de chat, aux poils de chien, à l'herbe, aux marguerites, aux pissenlits, aux produits laitiers mais également à la viande. C'est après avoir emmené leur chien chez le vétérinaire pour découvrir ce qui causait la perte de son pelage, que les propriétaires de Joey ont découvert les allergies de leur compagnon. Le chien ne peut désormais se nourrir que de porridge et de pommes de terre, seuls aliments qui ne le rendent pas malade. Joey suit toutefois un traitement à base d'antibiotiques qui, combiné à une bonne alimentation, lui permet d'éviter les allergies.

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C'est le site Presse Ocean qui revèle cette sombre histoire en date de janvier.

"C'était il y a une semaine. « On avait reçu un appel anonyme dénonçant des maltraitances sur un chien », se souvient cette salariée du refuge. Corinne s'est présentée à l'adresse indiquée. « Mon chien ? Mais il va très bien mon chien ! », lui a répondu le jeune propriétaire bien mis. Elle a vite observé le contraire. Prostré, l'animal ne pesait que douze kilos. « Il fallait l'emmener au plus vite », se souvient-elle. « Elle était tellement mal en point qu'on n'était même pas sûr de la sauver... »"

Aujourd'hui, ce golden retriever semble aller mieux et heureusement ...
Le refuge où a été recueilli Doumia a un télephone (si vous souhaitez y faire un don ou apporter un soutien : 02 40 26 90 00.

Lien vers l'article complet

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Qui a bien pu tirer sur « Arthur », un magnifique épagneul breton de 4 ans ? Tous les jours, dans ce petit village d'Ignaux, « Arthur » fait sa petite promenade. Il reçoit une caresse ou un petit mot des voisins qui le côtoient régulièrement… un chien sans histoires. Mardi, un tireur, forcément anonyme, a pris pour cible l'épagneul, qui a reçu un plomb d'une carabine 4/5. C'est Eric, l'employé municipal, qui a récupéré « Arthur » et ramené à son maître. Transporté à Tarascon, l'animal a été soigné par le vétérinaire. La radio a confirmé la présence d'un plomb de 0,7 à 0,8 cm. Si le tireur est toujours anonyme, Bertrand Décamps, le propriétaire, a déposé une plainte à la gendarmerie d'Ax et il a tenu à nous préciser : « Si mon chien dérange, c'est surtout et avant tout à son propriétaire qu'il faut s'adresser ». A bon entendeur… salut.
http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/18/779630-Ignaux-Un-chien-flingue-comme-un-lapin.html

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Charlie est un labrador qui s'est perdu à Taos, une ville du Nouveau-Mexique, après y être passé avec son maître. Un couple, en vacances dans la ville, a décidé de prendre l'animal sous son aile en le voyant errer dans la rue. Retrouvé sans collier, le chien est alors totalement anonyme. Par le plus grand des hasards, il décide de le surnommer, lui aussi, Charlie.Très vite attachés au chien, qui n'a pas hésité à bondir dans leur voiture dès qu'ils l'ont ouverte, les deux bienfaiteurs l'emmènent chez le vétérinaire local afin de l'identifier, mais celui-ci n'a malheureusement pas de scanner à micro-puce. Habitants à la Nouvelle-Orléans, ils décident de faire le chemin du retour avec Charlie, troquant même leur billet d'avion pour une voiture de location, pour l'unique confort du chien.Arrivés dans leur ville, ils discutent avec leur vétérinaire des démarches nécessaires à l'adoption du chien, mais cette fois-ci, le vétérinaire a un scanner et identifie le chien comme appartenant à Stephan Soleas. Coup de chance, Stephan Soleas, âgé de 26 ans, est de passage dans la ville. Mieux encore, il ne se trouve qu'à quelques pâtés de maisons de la clinique vétérinaire.10 jours après leur séparation à Taos (M. Soleas aurait eu un coup de fil urgent le forçant à partir dans la précipitation), chien et maître sont à nouveau réunis, malgré la déception du couple de bons samaritains.
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Prince, un jeune pitbull de deux ans, a remporté un concours de talent canin au profit de l'Association américaine pour la prévention de la cruauté envers les animaux. Il été concurrencé par neuf autres animaux et a impressionné le jury en rattrapant au vol trois balles de baseball. L'animal a la particularité de n'avoir que trois pattes. Suite à un accident de voiture, un de ses membres lui a été amputé.
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"Giant George", un dogue allemand de Tucson dans l'Arizona, a fait son apparition dans le livre Guinness des records en devenant le chien le plus grand du monde avec 109 centimètres sous la toise.



"Giant George", 4 ans, pèse également 115 kg. Il détrône ainsi "Titan", un dogue allemand - espèce également appelé Grand danois - de San Diego, qui mesure deux centimètres de moins. AP

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Citation:
LA peau et les os. L'image est loin d'être abusive. La jeune chienne recueillie par l'association « Amis des bêtes du Soissonnais », en fin de semaine, était dans un tel état de faiblesse qu'elle n'avait plus la force de se tenir sur ses quatre pattes décharnées. Malgré tous les soins qui lui ont été prodigués, la perfusion, l'attention, les caresses, le pauvre animal a succombé. Mort de faim, mort de soif, mort dans l'indifférence totale de son maître qui semble avoir oublié son existence. On ne sait même pas à quel nom répondait ce berger allemand…
La jeune chienne a été découverte presque par hasard, à la faveur d'un dégât des eaux dans un immeuble, au 15, rue Léon-Blum. Pour vérifier d'où venait la fuite, un salarié de Logivam se fait ouvrir la porte de l'appartement du dessus.
Un autre locataire de l'immeuble détenait un double de clés, semble-t-il, pour venir nourrir la chienne, mais les gamelles de croquettes et d'eau sont restées désespérément vides.
Des jours, voire des semaines entièrement. En ouvrant la porte de l'appartement, la personne a trouvé l'animal « dans la saleté et tellement maigre. C'était l'horreur », confient Claudine Pouette et Danielle Poteau, présidente et vice-présidente de l'association.
« 12 kg » au lieu de 30 kg
L'été dernier, les deux bénévoles avaient déjà été alertées du peu de cas qu'il était fait de la jeune chienne : « C'est un voisin qui nous avait appelés. Elle avait été enfermée sur le balcon, en plein soleil, sans eau. » Comme son maître s'absente très souvent, un proche qui vit dans l'immeuble s'était alors engagé à prendre soin de l'animal…
Plusieurs mois plus tard, quand l'association se voit confier la chienne, elle ne fait pas plus de 15 kilogrammes. « 12 kg », estime Danielle Poteau. Un berger allemand en pleine forme pèse de 30 à 35 kg.
« On l'a emmenée tout de suite chez le vétérinaire », raconte Claudine Pouette. Au cabinet, qui ne souhaite pas voir son nom cité, « on en voit mais dans cet état-là, c'est la première fois. On en avait presque les larmes aux yeux ».
Les soins de premières urgences et le goutte-à-goutte destiné à la réhydrater n'auront pu compenser des semaines de cruauté, la chienne a cessé de souffrir quelques heures plus tard. Scandalisée, l'association a décidé de ne pas en rester là. Elle devait porter plainte, hier.

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Citation:
Des policiers d’Arizona aux USA considèrent qu’un Bouvier d'Australie a sauvé la fillette de 3 ans qui s’était perdue en montagne par une température de -30 degrés !

La petite Victoria Bensch se promenait avec sa famille en montagne alors qu’elle s’est subitement perdue au cours de la journée.
Dans cette région de l’Arizona les températures descendent en dessous de 0 pour atteindre les -30 degrés la nuit tombée, et c’est seulement 15 heures après s’être perdue que Victoria a été repérée par un hélicoptère de secours.

Comment une petite fille de 3 ans a-telle pu survivre tant d’heures par des températures aussi glaciales ? Tout contre elle se trouvait Blue, le Bouvier australien de la famille.
« Il la gardait alerte et lui offrait son réconfort a travers cette nuit très froide » affirme un porte parole du bureau du sheriff.

Le pilote nous apprend que la petite fille ne bougeait plus lorsqu’il l’a repérée, ce qui les a gravement inquiétés. Son chien s’est montré très protecteur quand ils se sont approchés, mais quand la petite fille a manifesté signe de vie et leur a sourit, Blue s’est montré très accueillant.
« Je pense que quand le chien a compris que nous étions là pour les sauver, il est devenu très excité » déclare le pilote. « Il courait partout tandis que le médecin s’occupait de Victoria, et quand nous étions prêt à partir il a sauté dans l’hélico. »
La petite fille a été soignée pour gelures, mais son état de santé est exceptionnellement bon malgré l’épreuve qu’elle a subie.

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Un chien a survécu le 14 février dernier à une chute de 90m d'une falaise à Seven Sisters dans le sud de l'Angleterre.



Selon Paul Legendre de la Royal National Lifeboat Institution (RNLI), société britannique de sauvetage en mer, Poppy, un springer spaniel, a chuté de la falaise alors qu'il poursuivait une mouette. Originaire de Grande-Bretagne, le springer spaniel est un chasseur, utilisé pour lever et rapporter le gibier.
Poppy est tombé droit dans la mer au pied de la falaise et par chance pour lui, il y avait assez d'eau pour amortir le choc. Le chien, en définitive, s'en sort avec des blessures légères. Les secours ont été alertés par les maîtres de Poppy, qui l'ont vu nager vers le rivage et l'ont entendu aboyer. AP

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États-Unis - Il semblerait qu'aux États-Unis, un antidépresseur pour animaux a été conçu, semblable au Prozac pour les humains. Ce traitement viendrait de passer les frontières britanniques et s'apprêterait à envahir l'Europe.

L'antidépresseur animal aurait pour nom Reconcile, d'après 7sur7, et a pour objectif de calmer les affections compulsives des chiens, telles le fait de baver, de courir en rond derrière sa queue ou de hurler à la mort de façon très régulière. Pour "traiter" ce type de comportement, l'antidépresseur serait alors la meilleure solution, d'autant plus que le Reconcile serait parfumé à la viande.

Avant sa mise sur le marché, des tests auraient été menés sur 660 chiens atteints de problèmes psychiques. Après huit semaines de traitement, la santé des animaux se serait améliorée ainsi que leur bien-être...

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Cologne, Allemagne - Alors que la police recherchait un homme et intervenait à son domicile pour l'arrêter, le chien du malfaiteur a indiqué aux forces de l'ordre où il se trouvait : il s'est placé en face d'un placard où se cachait l'homme, en remuant la queue.

Vendredi 19 février, quelques agents de police se sont présentés au logement d'un homme d'une cinquantaine d'années afin de l'arrêter. Ce n'est pas lui, mais une de ses connaissances qui a ouvert la porte, un chien dans les bras, faisant mine de ne pas savoir où l'homme se trouvait. Mais la police explique à l'AFP : "Quand il a posé le chien au sol, celui-ci s'est dirigé en remuant la queue vers un petit placard et s'est planté devant, plein d'espoir".Intrigués par le comportement de l'animal, les policiers ont alors ouvert le placard où ils ont trouvé leur suspect. La police n'a pas souhaité donner d'information quant aux faits reprochés à l'individu.

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Il y a quelques jours, un enfant de 5 ans a été gravement blessé au visage par le rottweiler de ses parents.

Dans le Jura, ce sont deux adolescentes qui ont été attaquées par des rottweillers, et ce, à deux semaines d'intervalle dans deux communes différentes (Pasquiet et Champagnole), rapporte Leprogres.fr.

A Pasquier.

Le 24 février, une adolescente de 13 ans se trouvait dans la rue avec une amie. Un rottweiller a surgi et a attaqué cette dernière.

L'autre mineure a pris peur et elle s'est mise à courir en criant. Le chien l'a alors poursuivie. Il l'a mordue sur le côté gauche puis au bras, la faisant tomber par terre, selon Le Progrès.

Le propriétaire du chien est intervenu pour le récupérer. Le maire a pris un arrêté pour euthanasier le rottweiller, ce qui a été fait. Une plainte a été déposée.

A Champagnole.

Courant février, une adolescente de 16 ans a été attaquée par un rottweiler qu'elle connaissait.

Alors qu'elle se trouvait chez son petit ami elle aurait voulu caresser l'animal. Celui-ci l'aurait alors attaquée, la mordant gravement au visage, rapporte le site du quotidien régional.

Hospitalisée à Besançon, la victime a subi une opération de chirurgie faciale. Aucune plainte n'a été déposée et l'animal n'a pas été euthanasié.


Voir les photos, les vidéos et réagissez à l'info sur LePost.fr

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Shropshire, Grande-Bretagne - Des chiots âgés d'à peine quelques semaines ont été adoptés par une poule. Elle les couve lorsque leur mère s'absente, sous l'oeil amusé de ses propriétaires.

La poule Mabel vit chez les Tate. Blessé à une patte lors d'un accident avec cheval, l'animal vit depuis à l'intérieur de leur maison. Il y a peu, Nettle, la chienne de la maison, a eu une portée de chiots.Au bout de quelques semaines, Mabel s'est improvisée mère de substitution des petits, à la grande surprise des Tate et de Nettle. "Mabel a observé le comportement de Nettle, et, dès qu'elle en a eu l'occasion, elle a sauté dans le panier où sont les chiots pour les couver. Elle leur tient chaud et se réchauffe elle aussi, pendant que Nettle est dehors" raconte M. Tate.Depuis, la chienne et la poule se partagent les petits.Découvrez les images :

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pitt bull de maroc part2
http://www.youtube.c...feature=related



Algérie - Pitbulls : La nouvelle arme des gangs de quartiers

http://www.elwatan.com/local/cache-vignettes/L200xH113/arton126527-88a01.jpg
Pitbulls, rottweilers, bulldogs : les chiens dressés pour attaquer deviennent les nouvelles armes blanches des délinquants. Reportage avec ces nouveaux gangsters urbains dans les quartiers ouest d’Alger. « J’ai été agressé par un voyou avec un pitbull, il m’a subtilisé mon portable », s’énerve Yacine, un jeune étudiant à l’université de Bab Ezzouar, dans la banlieue est d’Alger. Son histoire a fait le tour de l’université.


« Ces jeunes délinquants utilisent des chiens pour nous intimider et nous agresser. On les connaît, ce sont des voyous d’El Jazeera », racontent ses camarades. Depuis peu, des jeunes prennent comme chiens de compagnie pitbulls, rottweilers, bouledogues. De grandes bêtes d’au moins 50 cm pouvant peser jusqu’à plus de 50 kg pour les plus gros, généralement destinés à la garde et souvent dressés pour attaquer. « Je ne vous mens pas, j’ai acheté mon pitbull pour me protéger », nous déclare un de ces jeunes. Se protéger de qui ? Ou contre quoi ? Un tour dans ce milieu douteux, où drogues, psychotropes, alcool et prostitution s’entremêlent, nous renseigne sur l’ampleur du phénomène. Première destination : El Jazeera, un bidonville construit dans les années 1990, sur les décombres d’un ancien chantier de l’OPGI à El Djorf, dans la localité de Bab Ezzouar. Ce quartier, déjà connu pour être un fief du terrorisme aux côtés de l’ancien bidonville la Foire, est aujourd’hui voué à devenir le futur quartier d’affaires d’Alger, situé pas loin de l’aéroport. Nous y avons rencontré Dadi, Youcef, Krimou et Mastapha. Tous maîtres de chiens, ils ont entre 22 et 30 ans. Renvoyés de l’école en septième année moyenne pour « comportement agressif », aujourd’hui, ils se retrouvent obligés de voler et d’agresser les gens. « Nous n’avons aucune source de revenu ; nos parents sont illettrés et surtout pauvres », confie Mastapha. Ce jeune de 28 ans, chef de bande, emprisonné cinq fois, nous confie spontanément comme pour se valoriser : « J’ai cinq jugements. » Pour agression à arme blanche et détention de drogue. Lui et sa bande « agissent en toute impunité », nous raconte un habitant d’un immeuble près d’El Jazeera. « Aujourd’hui, comme nous risquons la prison pour port d’arme blanche, nous utilisons à la place des chiens », tente d’expliquer Mastapha. La nuit venue, ces délinquants « commencent à agresser ceux qui rentrent tard de leur travail, près des arrêts de bus », nous raconte le gérant d’un café situé à quelques pas des arrêts. Mastapha, en chef de gang, est très attentif à ce qui se passe au sein de sa meute et dans les quartiers limitrophes. Krimou vient demander de l’aide, car son jeune frère vient d’être agressé non loin de là, à la cité Sorecal, un autre quartier chaud de Bab Ezzouar. « Ndirou un complot… » Complot, un terme qui revient souvent dans ce milieu. Il désigne la constitution d’un gang et le fait de livrer bataille à un autre gang. Armés de haches, de couteaux, de sabres et de… rottweilers, ils embarquent dans la camionnette de Zoubir qu’ils louent à 1000 DA, direction Sorecal. Arrivés sur les lieux, il n’y a pas de combat à la mesure des gangs, de petites escarmouches arbitrées par Mohamed, un délinquant notoire connu à Sorecal, ancien compagnon de cellule de Mastapha. Retour à El Jazeera, « C’est l’heure de faire le marché (el kadyane). » Comprendre : s’approvisionner en alcool, zetla (drogues) et zerga (psychotropes). Pour les chiens, les jeunes achètent des restes chez le boucher d’à côté. « Lorsque la pêche est bonne, je lui achète deux ou trois kilos de viande bien fraîche, explique Mastafa. Sinon il se contente des intestins… » Changement de destination, vers l’autre camp Sorecal. Nous rencontrons Mahmoud, la trentaine, ex-délinquant : « J’étais moi-même un agresseur il y a moins d’une année. Je n’avais pas le choix, je vivais dans la misère et j’étais très influencé par les délinquants et les taulards. Aujourd’hui, j’ai retrouvé le droit chemin. » Avec amertume, il nous raconte comment il agressait avec son pitbull. « Je regrette le jour où j’ai attaqué une jeune étudiante qui me plaisait énormément, à l’époque, à qui j’ai pris le sac, le portable et les bijoux. Ce jour-là, j’étais sous l’effet des psychotropes, et je me souviens quand même de sa frayeur, j’ai cru qu’elle allait mourir. » Nous avons tenté de retrouver la jeune fille en question. Aux dernières nouvelles, sa famille a changé de quartier. « Je me souviens très bien de cette affaire, mais la famille de la victime n’a pas porté plainte, je pense qu’elle avait peur des représailles, nous confie un policier. Vous savez, il nous est difficile de faire face à ce phénomène, car nous n’avons aucune protection juridique, on ne peut même pas utiliser notre arme en cas de danger. Et puis sous quel chef d’inculpation allons-nous les arrêter ? » Pourtant, il existe bien un texte : l’article 441 bis du code pénal qui prévoit l’emprisonnement, allant de 10 jours à 2 mois de prison ferme, et une amende de 100 à 1000 DA, pour tout individu laissant errer un animal malfaisant ou dangereux et l’incitant à attaquer autrui. A l’origine de cette délinquance : la misère, bien sûr. Mais pas seulement. Les fréquentations des jeunes y sont pour beaucoup. Nabil, un jeune homme de 22 ans, fils d’un couple de médecins, fait partie de la bande de Mohamed de Sorecal. « J’ai acheté un rottweiler pour 12 000 DA, je fais comme tout le monde. Dès mon jeune âge, je n’avais dans le quartier que des délinquants comme copains. J’étais impressionné par leur courage et leur détermination à affronter les autres délinquants, par peur de mépris, j’ai été obligé de les suivre. » Nabil va rejoindre son gang, car un complot se prépare. Cette fois-ci, entre la bande de Mohamed et celle de Salah, du quartier Pilem (PLM, Bourouba, banlieue d’Alger). La cause ? Un jeune homosexuel de 19 ans, le protégé de Salah, a été passé à tabac au niveau de l’autoroute. « Nous nous préparons à les accueillir, nous ne voulons pas de prostitués dans notre territoire ! », s’exclament les jeunes. Les chiens sont lâchés, cette fois, pour attiser la haine entre gangs. Mais d’autres fois, ils feront l’objet de combats interquartiers. La mise de départ : 10 000 DA. Et un titre à décrocher : celui du chikour, qui pourra s’afficher avec son animal sacré « chien le plus dangereux ».

Par Zouheir Aït Mouhoub
http://www.elwatan.c...uvelle-arme-des

SMAÏL GUERDA, DOCTEUR VÉTÉRINAIRE : Nous sommes face à un énorme danger public en Algérie

L’Expression: Pouvez-vous nous expliquer brièvement comment un chien peut devenir dangereux?

Dr Smail Guerda: En général un chien ne naît pas dangereux, il le devient. Surtout quant il est brutalisé par son maître ou par son entourage ou alors quant il est confronté à d’autres chiens agressifs, il devient forcément très dangereux. C’est la nature défensive des animaux. Et comme le dit si bien l’expression: «Il n’existe pas de mauvais chiens mais de mauvais maîtres.»

Qu’est-ce qui différencie un chien dangereux dit brutal tel que le pitbull d’un chien dit doux?

L’agressivité des chiens peut exister chez n’importe quelle race. D’une part, on peut avoir un pitbull doux avec les hommes, mais agressif avec les chiens et même avec d’autres animaux tels que les chats, les moutons...D’autre part, on peut avoir un caniche qui ne tolère que ses propriétaires, etc.
Il existe aussi des chiens tellement imprévisibles: sages en apparence, mais qui attaquent et mordent sans raison. La plupart des Algériens aiment avoir un chien agressif car pour eux celui qui ne l’est pas, ne sert à rien.

Quels sont les risques que peuvent représenter des molosses comme les pitbulls, les dobermans, les bouledogues ou les rottweilers pour l’homme?

Les chiens dangereux et agressifs sont un énorme danger pour les humains. Chez nous, et faute de lois rigoureuses, une anarchie totale règne. Chacun fait ce qui lui plaît. De ce fait, on voit des pitbulls, des rottweilers et autres...tenus rarement en laisse mais la plupart du temps libres escortant des jeunes irresponsables et sans aucune conaissance sur ces carnivores.

Que pensez-vous, justement, de ces personnes qui n’ont aucune connaissance dans le domaine ni initiation dans l’élevage et qui, malgré cela, élèvent des chiens de ce genre?

Malheureusement, il existe des bandes organisées dans le combat de chiens d’attaque comme les pitbulls et les rottweilers.
Ces bandes sont le plus souvent dirigées par des jeunes qui n’ont aucune culture sur le dressage, sur le mode de vie de cet animal, son comportement...

En France par exemple, il existe une loi qui oblige les propriétaires de ce type de chien, à tenir leurs bêtes en laisse et muselées pendant les déplacements. Plus que cela, le chien doit être tatoué et vacciné

Tandis que le pitbull doit être castré. Cela implique qu’il faut responsabiliser les propriétaires des chiens ayant des accidents. Je pense même qu’il faut les poursuivre en justice.

Selon vous, une école spécialisée dans la formation de maîtres-chiens ne serait-elle pas impérative?

Il existe quelques centres de dressage chez nous, mais les prix pratiqués par ces centres sont excessivement chers et ne sont pas à la portée de tous ceux qui désirent dresser un chien. Par contre, le dressage est obligatoire pour les chiens de gardiennage au niveau des entreprises et des institutions.

Quel est le nombre d’agressions que vous avez eu à constater? Et qu’avez-vous à en dire?

Au cours de cette année, j’ai pu constater jusqu’à 30 cas de morsures sur des humains au cabinet. Cependant, il y a également des cas de morsures entre chiens suite à des accrochages provoqués, dans la plupart des cas, par les propriétaires de ces bêtes, et cela, dans le but unique de se vanter d’avoir le chien le plus fort ou le plus agressif. C’est, tout simplement, inhumain, dangereux et déplorable.

Par l'Expression

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FAIT-DIVERS - Cette quinquagénaire est dans le coma...
Une quinquagénaire résidant dans un village de la Drôme a été hospitalisée dans un état critique vendredi soir après s'être fait mordre par l'un de ses chiens, qui lui a arraché le bras.

Cette habitante de la Baume d'Hostun, âgée de 54 ans, a été découverte à son domicile par son compagnon, l'avant-bras droit arraché jusqu'au coude. Elle a juste la force de dire «c'est les chiens» avant de tomber dans le coma.

Etat très critique

Elle a été transportée au CHU de Grenoble dans un état jugé très critique, alors que le membre arraché n'a pu être retrouvé.

Les quatre chiens que possèdent le couple, un rottweiler, un croisé labrador-husky, un bâtard et un caniche, étaient tous maculés de sang. Placés en fourrière, ils devraient être euthanasiés. Les gendarmes supposent que c'est le rottweiler qui a arraché le bras de sa maîtresse, car c'est lui qui était le plus agressif à leur arrivée.
Avec agence


SOURCE: http://www.20minutes...-et-la-mort.php

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Rappel des faits :

/2010)

©️ D.R.
Son maître le battait à coups de pelle
MONS Un homme de 71 ans , rue de la Brisée à Saint-Denis (Mons) est soupçonné d’avoir laissé mourir son chien en lui sectionnant les pattes arrière à coups de pelle et en s’abstenant pendant plusieurs jours de lui apporter des soins, l’enfermant au contraire dans une remise sombre sur des sacs de jute où l’animal blessé et abandonné au froid glacial des derniers jours n’était plus nourri.
C’est un délégué de l’ASBL Animaux en Péril qui a découvert le chien agonisant lundi, dans un tel état de faiblesse qu’il n’avait même plus la force de gémir.
Animaux en Péril a pu constater la façon peu délicate du propriétaire de traiter son chien en l’empoignant par la peau du cou. L’animal, un shar-peï, s’appelait Rocco . Son maître, MG, a bien précisé au délégué d’Animaux en Péril que “non, il n’allait certainement pas dépenser un franc pour soigner un clebs’". Les faits sont dénoncés au parquet de Mons; l’ASBL se constituera partie civile. La police de Havré a rédigé un P-V à charge pour cruauté animale.
Contactée par nos soins, l’ASBL précise que le maître risque jusquà 6 mois et 5.000 € d’amende.
Deux vétérinaires ont examiné la dépouille. La Dr MF affirme dans son rapport que le chien est mort dans "des souffrances épouvantables […] Les photos qui accompagnent seront plus explicites car il n’y a pas de mots pour exprimer l’horreur qu’a subie l’animal”.
Son confrère JS, de Leeuw-Saint-Pierre, fait état de “tortures graves et violentes” . Quand Animaux en Péril a déposé Rocco chez elle, ME s’en est occupée en priorité avant les autres. Rien n’y a fait.
Euthanasier n’a pas été nécessaire : Rocco est mort sous ses yeux. Son maître avait dit à Animaux en Péril : “Et si vous le sauvez, surtout gardez-le. Moi je n’en veux plus.”
Un témoin l’avait vu il y a 10 jours porter des coups de pelle au chien. Les vétérinaires confirment que les deux pattes arrière ont été blessées “par un objet coupant lourd”. Le pied gauche, auquel “il manquait de la peau” , ne tenait plus à la patte que par les tendons. L’arrière droit montre “aux 4 doigts des fractures ouvertes également causées par un objet coupant lourd”. Une patte non soignée s’est nécrosée, gangrenée.
Selon les vétérinaires toujours, Rocco , un mâle de 3 ans et demi, était en outre “mal nourri depuis très longtemps” et “a subi de nombreuses violences au cours des dernières semaines avant sa mort” . Décrivant l’état général du shar-peï, les vétérinaires se disent choqués par “son extrême maigreur”.

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http://www.ladepeche.fr/article/2010/03/12/795455-Castelnaudary-Chien-abattu-par-les-policiers-incomprehension-de-la-proprietaire.html

Isabelle Sibra aimerait bien comprendre. Cette jeune femme est la propriétaire des deux chiens que les policiers ont abattus, avenue du docteur-Guilhem en fin d'après midi. C'est là qu'elle demeure. Elle s'est absentée en voiture un peu avant 16 heures. Est- ce le froid ? Son garage électrique reste ouvert, une bonne occasion pour ses deux bergers allemands qui en profitent pour se faire la belle. Praline, 2 ans, et Dilou, deux femelles, ne sont ni méchantes ni agressives. « Sauf peut-être si était rentré chez nous en notre absence, là peut-être », confie leur maîtresse.

Un malheureux chat a croisé la route des deux fugueuses qui lui ont fait un sort. L'antagonisme chien-chat, tout le monde connaît. Un riverain assistant à la scène et alerté le commissariat. Les policiers aussitôt sur les lieux ont réussi à repousser le duo canin dans une impasse, l'acculant dans l'enclos d'une maison inoccupée. La fourrière, venue en renfort, réussit à attraper la plus jeune. Dilou, en revanche… « C'était une chienne que nous avions récupérée à la SPA et qui était craintive. Qu'elle ait montré les dents, oui, c'est fort passible ». Mais de là à l'abattre… Voilà ce qu'Isabelle ne comprend pas. « Je n'en veux à personne mais que l'on n'ait pas trouvé d'autres solutions… ».

Un voisin qui habite à 50 mètres de chez nous a dit qu'il ne les connaissait pas et qu'il avait failli se faire mordre. J'espère qu'il va m'expliquer… », soupire-t-elle. Les sapeurs-pompiers ne se sont pas déplacés, ce n'est pas de leur ressort et ils m'ont expliqué qu'ils ne possèdent pas de fusil hypodermique. « Les seuls habilités à en avoir un, ce sont les vétérinaires et le seul de Castelnaudary qui en possède un était absent. On aurait toutefois pu attendre une demie heure de plus avant de les abattre, Dilou était tatouée, on pouvait nous retrouver facilement… Et de remarque : « Ce ne sont pas les chiens qui traînent en ville et qui montrent les babines, faut-il les tuer tous ? »

Du côté de la police, on explique qu'il y avait urgence, avec des chiens en furie, des occupants qui allaient rentrer chez eux et que surtout, le seul fusil hypodermique trouvé était en possession de la police municipale de Carcassonne. « La décision n'a pas été prise à la sauvette ».

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Samedi après-midi, un peu après 14 heures, un individu a abattu un labrador, dans une rue de Moussoulens, dans l’Aude.


Ce chien, âgé de 7 ans, n’avait jamais été mis en cause, jusqu’à présent.

Philippe Paolpi, son propriétaire, confie que son chien "Hugo" « était bien connu dans la commune. Il était l’ami des enfants qui le lui rendaient bien ».

lire la suite de l'article : http://fr.news.yahoo.com/63/20100315/tfr-un-labrador-abattu-par-balle-pourquo-019dcf9.html

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Glasgow, Écosse - Un labrador a dû subir une intervention chirurgicale après avoir avalé une balle. Cette dernière s'était logée près de son coeur.


M. Grant, 70 ans, a réalisé que Bracken, son labrador, avait un problème lorsque celui-ci a commencé à tousser de manière incessante. Il l'a alors emmené au vétérinaire qui a fait passer une radio à l'animal. C'est là que le médecin s'est aperçu qu'un objet non-identifié était logé près de son coeur. En effet, Bracken avait avalé une balle avec laquelle il jouait et qui se serait dégonflée, permettant son ingestion. De plus, l'animal souffrant d'une malformation congénitale se caractérisant par un trou situé dans le diaphragme, l'objet a pu se déplacer jusque son coeur. Après l'opération, le vétérinaire a découvert que la balle dégonflée mesurait 12 cm de long. Plusieurs autres opérations (qui auront coûté plus de 5500 euros à son propriétaire) ont alors dû être effectuées afin de réparer la malformation de l'animal. Aujourd'hui Bracken se porte mieux et M. Grant a promis de garder un oeil sur ce que son chien pourrait avaler.

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