L'actualité des chiens

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BREST, 14 déc 2010 (AFP) - Le propriétaire d'un pitbull qui avait grièvement blessé un garçonnet de 4 ans a été condamné mardi par le tribunal correctionnel de Brest à un mois avec sursis, 1.000 euros d'amende et 1.500 euros de dommages et intérêts à la mère de la victime.> Le petit Malik, qui rentrait de l'école avec sa mère et sa soeur, avait été attaqué le 13 septembre dans le hall de leur immeuble par un chien sans surveillance et décrit comme "fou", selon des témoins.

Le molosse, ni déclaré ni vacciné, et que son maître avait laissé s'échapper de son appartement, s'était saisi du genou gauche de l'enfant. Il a lâché prise après qu'un voisin a réussi à glisser un morceau de bois dans sa gueule.

L'avocat des parents du petit Malik, parties civiles, a évoqué "une attaque effroyable", "une morsure jusqu'à l'os" dont l'enfant n'est pas encore remis.

Un vétérinaire qui a étudié la dangerosité du chien a établi à 4/4 le niveau de risque de l'animal, euthanasié depuis, selon Me Bertrand Labat.

La défense a demandé la relaxe du propriétaire du pitbull estimant que le prévenu n'avait pas à "assumer de responsabilité pénale"

"C'est un chien de race indéterminée", "un bâtard" dont son maître ne pouvait établir la dangerosité, a plaidé Me Françoise Quéré.

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BERLIN, 15 déc 2010 (AFP) - Les Allemands divorcés n'ont pas le droit de rendre visite aux chiens qu'ils partageaient avec leur ancien conjoint, a jugé mercredi un tribunal allemand, rejetant ainsi la plainte d'une femme divorcée.> Mais la Cour d'appel de Hamm (ouest de l'Allemagne) a estimé que les droits qui s'appliquaient pour la garde d'un enfant n'étaient pas valables dans ce cas.

Le couple avait décidé au moment de son divorce que le mari garderait le chien, mais la femme voulait le voir deux fois par semaine pendant quelques heures


L'ex-mari avait fait valoir devant le tribunal que si les époux séparés avaient le droit de partager équitablement leurs biens, cela n'incluait pas la garde partagée d'un chien.

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En Grande-Bretagne, la chienne Saira, née hermaphrodite, est enfin devenue femelle après une opération chirurgicale.

Saira, de la race des Staffordshire bull terrier, est à présent une véritable chienne. Née hermaphrodite, elle a récemment subi une opération pour devenir une femelle à part entière. Ce cas a été découvert il y a quelques semaines à Manchester, en Grande-Bretagne. Cette anomalie est tellement rare qu'il n'existe pas de statistique pour savoir combien de chiens sont hermaphrodites. D'ailleurs, le chirurgien qui s'est occupé de Saira a reconnu qu'il s'agissait là du premier cas de chien hermaphrodite qu'il voyait en 30 ans de métier. Son propriétaire, John Conchie, ne s'était lui pas aperçu de la singularité de son animal lors de ses deux premières années. Il a toujours pensé que c'était une femelle. C'est lors d'une visite de routine chez le vétérinaire que la particularité du chien a été révélée. Le choix du sexe féminin pour son chien s'est donc fait assez facilement: "J'étais étonné d'entendre qu'elle était hermaphrodite. Mais il n'y avait aucun doute dans mon esprit que Saira était une femelle. Elle a toujours été intéressée par les mâles." explique t-il au Daily Mail.

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Baxter: un an dans le "couloir de la mort"




Image a - Patrick Martin/DR





http://www.lematin.ch/



Le chien qui s’en est pris à un enfant est "détenu" depuis un an. Les avocats sont nombreux autour de ce cas et le juge décidera en février.

Christian Humbert - le 17 décembre 2010, 15h21
LeMatin.ch

Si le pitbull Baxter est toujours «détenu» dans un refuge de Genève, en principe aux frais de sa propriétaire, il devrait en revanche symboliquement quitter «le couloir de la mort». Car l’avocat de la famille de l’enfant blessé au visage par ce chien que les experts qualifient de plus curieux qu’agressif ne veut pas qu’il soit anesthésié comme l’avait promptement réclamé la conseillère d’Etat Jacqueline de Quattro peu après l’incident. «Nous ne voulons pas à tout prix sa mort mais voulons que ce qui s’est passé ne se reproduise plus» précise Stéfan Disch. Sa cliente ne partage pas ce point de vue : « Je suis au contraire pour que ce chien soit tué. C’est à cause de cet animal que je suis une thérapie et que mon enfant se réveille encore 10 à 15 fois par nuit. Je sais que je ne peux rien faire contre l’avis des experts et des juristes. Qu’attendent-ils ? Que Baxter défigure un autre enfant. Un an après les faits, nous vivons toujours avec cette affaire en nous ».

DECISION REMISE A PLUS TARD

Autre question à débattre :la responsabilité pénale de la propriétaire qui a confié son chien à une personne non habilitée» s’interroge Me Disch. Réplique de Me Jacques Barillon, fervent défenseur de la propriétaire et de Baxter: «J’entends saisir le juge d’une demande de non-lieu pour ma cliente». Me Disch rappelle de son côté que ni la propriétaire ni la personne qui promenait le molosse avec trois autres canidés n’avaient suivi les cours ad hoc et n’étaient habilitées à détenir un chien tel que Baxter. Cette question administrative dépend de la préfecture. «Aucune sanction n’est encore intervenue» croit savoir l’avocate de la promeneuse, seule à être inculpée de lésions corporelles. C’est à la demande de cette dernière avocate nommée d’office que le juge d’instruction a dû repousser une décision qu’il aurait aimé prendre cette année. Car l’affaire Baxter a suffisamment coûté. Elle a mobilisé des ténors du barreau, des juristes de l’Etat, des juges administratifs, un préfet et bien entendu un juge d’instruction avant qu’un possible tribunal se détermine encore., Mais pour l’heure, le juge Jean-Marie Rüede ne pense pas nécessaire d’opérer de nouvelles investigations. Il dispose de suffisamment d’éléments, en particulier des rapports d’experts innocentant «l’accusé» Baxter que sa propriétaire peut visiter mais non emmener avec elle. Une ordonnance de condamnation pourrait être rendue par le magistrat mais l’un des avocats interrogés par le Matin n’exclut pas que ce cas débouche sur un procès public vu la passion qui a entouré ce dossier.

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http://www.lematin.ch/actu/suisse/molosses-peuple-ne-pourra-voter-echelon-federal-362619
Molosses: le peuple ne pourra pas voter à l'échelon fédéral

Le peuple ne votera pas sur la nécessité d’une loi fédérale sur les chiens dangereux. Le Conseil des Etats a enterré vendredi l’article constitutionnel servant de base à une telle législation par 30 voix contre 3 lors des votations finales.

le 17 décembre 2010, 08h47
LeMatin.ch & les agences

Ce verdict est la suite logique de la décision prise par le National durant la session de renoncer à une loi fédérale. Les deux Chambres n’ont en effet pas pu s’entendre sur la possibilité de laisser les cantons édicter des normes plus sévères que celles qui auraient été prévues au niveau national. Restait ouverte la question de l’article constitutionnel permettant à la Confédération de légiférer en la matière et qui avait déjà été adopté par les deux conseils. Lors des votations finales, les parlementaires avaient le choix entre enterrer aussi cet article ou le maintenir. Dans cette deuxième hypothèse, une votation populaire aurait dû être organisée. Cela n’a aucun sens de consulter le peuple et les cantons, s’il n’y a plus de projet de loi, a fait valoir Theo Maissen (PDC/GR) au nom de la commission préparatoire.

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Au printemps dernier Nelly, non voyante, vient faire ses courses dans un hypermarché de Brive la Gaillarde.

Utis, son labrador, chien d'aveugle, l'accompagne... Un vigile l'intercepte à l'entrée : interdiction au chien de pénétrer dans le magasin. Suite à cette interdiction, Nelly porte plainte pour "discrimination à l'égard des personnes handicapées".

Comment se défend le supermarché?

Selon lui, il y a ambiguité entre le Code de l'action sociale et celui de la réglementation de la concurrence et répression des fraudes. Le Code social impose de laisser un chien d'aveugle en tout lieu, le deuxième interdit tout ce qui pourrait nuire à la sécurité alimentaire (dont un animal dans les rayons). Il a été reconnu coupable, et condamné à une peine symbolique par le tribunal correctionnel de Brive. "C'est une question de dignité", précise l'avocate de Nelly. "Il est déjà difficile de vivre avec un handicap sans qu'on vienne leur ôter leur seul moyen de subsistance" explique-t-elle dans l'article du quotidien La Montagne. "Je voudrais que ça serve de leçon pour toutes les personnes handicapées" déclare Nelly.

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En Allemagne, une chienne a mis au monde une portée de 17 chiots. Cet événement a surtout complètement bouleversé le quotidien des propriétaires.

En Allemagne, une chienne de race Rhodesian Ridgeback a donné naissance, le 28 septembre dernier, à 17 chiots en une seule portée. La propriétaire Ramona Wegemann doit à présent faire face à ces nouveaux arrivants inattendus. S'occuper de tous ces chiots n'est pas de tout repos. Associated Press explique même qu'elle a dû arrêter de travailler pour s'occuper d'eux. Elle a donc mis entre parenthèses son travail de psychiatre indépendant pour animaux pour se consacrer à ses propres compagnons. Son mari également doit lui porter secours. Il prend des vacances aussi souvent que possible. La tâche la plus difficile selon elle, c'est de les nourrir. Bien que l'accouchement se soit bien passé, la mère ne peut pas encore les allaiter tous. Ils sont donc nourris au biberon en attendant. Le problème qui se pose, c'est qu'entre le moment où la mère Rhodesian Ridgeback a nourri le premier, et le moment où elle donne à boire au dernier, le premier commence à avoir faim. Les chiots étant d'une race africaine, le couple leur a tous donné des noms avec une résonance africaine. Cette portée est composée de huit femelles et neuf mâles. Le couple recherche activement des foyers chaleureux avec des enfants pour accueillir ces chiots.

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La Fondation sauve 150 chiens d'un élevage de la honte






Dans la commune de Peyrat-le-Château (87), la Fondation 30 Millions d’Amis – sur décision judiciaire – a saisi plus de 150 chiens, dont des chiots, détenus dans des conditions déplorables.

152 cockers d’un élevage de Haute-Vienne, malades et faméliques, ont été confiés à la Fondation 30 Millions d’Amis sur réquisition du parquet de Limoges (87) et décision préfectorale (17/12/10). Les animaux, âgés de 5 mois à 10 ans, étaient enfermés à l’intérieur de voitures et de caravanes. Une vingtaine de chiens était entassée dans un chalet de 12 m². Les conditions sanitaires étaient déplorables, non conformes à la réglementation qui encadre les élevages canins.


C’est une sinistre situation qu’ont découvert les autorités à leur arrivée. Les chiens, dont certains n’avaient aucun accès à l’eau ni à la nourriture, souffrent de maladies et d’infections aux oreilles et aux yeux. Beaucoup sont dans un état de maigreur extrême, une petite chienne a l’une des pattes sectionnée. Certains ont même les yeux crevés... Les mauvais traitements sont évidents.

La saisie des chiens s’est faite sous l’autorité des gendarmes d’Eymoutiers (87), de la DDPP (Direction Départementale de la Protection des Populations) de Haute-Vienne et en présence de Jean-François Legueulle, Délégué général de la Fondation 30 Millions d’Amis. L’intervention a duré près de 10 heures.

Les animaux ont été accueillis dans divers refuges de la Fondation Assistance aux Animaux, dans l’attente de la décision du TGI de Limoges qui doit prochainement statuer sur une confiscation définitive au profit de la Fondation 30 Millions d’Amis. Le cas échéant, les animaux seront proposés à l’adoption après un suivi vétérinaire : « Il faudra au moins un mois pour que les chiens se remettent, confirme Martine Attali, bénévole au refuge de Villevaudé (77), qui en a recueilli une quarantaine. Ils sont faibles et déshydratés, et nécessitent des soins d’urgence. »

Une plainte a été déposée par la Fondation 30 Millions d’Amis à l’encontre de l’éleveuse, pour mauvais traitement et abandon. Elle encourt pour ces faits une peine de deux ans d’emprisonnement et 30 000 euros d’amende (art 521-1 du Code pénal), ainsi qu’une interdiction – qui peut être définitive – de détenir des animaux.

Si vous souhaitez devenir famille d'accueil pour l'un de ces cockers, merci de bien vouloir contacter la Fondation Assistance aux Animaux au 0139491818.

Source : Fondation 30 Millions d'amis
22/12/2010

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Bilan 2010 : 730 chiens âgés adoptés !






L’Opération doyens a battu en 2010 un nouveau record. Plus de 700 chiens de plus de 10 ans ont été recueillis par des familles. La Fondation 30 Millions d’Amis se félicite de cet élan de générosité.

2010 a eu, comme vous l’a relaté 30millionsdamis.fr, son lot de belles histoires : Choko, Inouk, Moustique, Théo ou Ophélie, tous âgés d’au moins 10 ans, ont eu la chance, après des années passées dans les box d'un refuge, de trouver de nouveaux maîtres. Certains, abandonnés très jeunes, n’avaient jamais connu la chaleur d’un foyer. D’autres avaient été victimes de maltraitance. Aujourd’hui, tous passent des jours heureux.


En tout, 730 chiens ont été adoptés en 2010. Un chiffre en forte hausse par rapport à l'an passé : un peu moins de 600 doyens avaient quitté leur refuge en 2009.

Plus un animal devient âgé, moins il a de chances de séduire une nouvelle famille, eu égard notamment aux éventuels problèmes de santé qui entraînent des frais et découragent les adoptants. Pourtant, comme de nombreux témoignages l’attestent, ces chiens sont sages, éduqués et d’une infinie gentillesse.

La Fondation 30 Millions d’Amis soutient aujourd’hui 120 refuges dans le cadre de l’Opération doyens, lancée en 2005. Pour chaque adoption d’un chien de 10 ans et plus, elle s'engage à régler les frais vétérinaires - à hauteur de 600 euros - sur présentation de factures.

Source : 30 millions d'amis
28/12/2010

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LOS ANGELES, 29 déc 2010 (AFP) - La curiosité est un vilan défaut, a appris à ses dépens un jeune chien, secouru par les services vétérinaires californiens mercredi après avoir passé la tête à travers le trou d'un mur et s'être avéré incapable de la ressortir.> "Ma première réaction a été: +Mais comment en est-il arrivé là?+" a déclaré le sergent James Huffman, des services vétérinaires du comté de Riverside. "Et pourquoi y'avait-il un tel trou dans le mur?"

"C'était une situation très étrange. On ne sait pas trop s'il a poursuivi un autre animal, ou s'il a juste passé la tête par curiosité", a-t-il ajouté.

Après avoir vérifié que Rebel respirait correctement, M. Huffman et son collègue Hector Palafox se sont positionnés de chaque côté du mur, l'un s'occupant de la tête et l'autre du corps.

M. Palafox "a repoussé les oreilles du chien vers l'arrière pour ne pas le blesser pendant le sauvetage", précise un communiqué des services vétérinaires, ajoutant qu'il avait fallu 30 minutes pour libérer l'animal.

M. Huffman a assuré que Rebel les avait beaucoup aidés. "Il nous faisait savoir quand on poussait trop fort -- il a toujours été coopératif. Il savait qu'on venait pour le sauver", a-t-il dit.

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Pour la première fois, une publicité audio pour chiens a été diffusée. Mise au point pour une marque d'alimentation pour individus canins, elle utilise une fréquence uniquement audible par le meilleur ami de l'homme.

Naturia, une marque allemande d'alimentation pour chiens, a mis au point la première publicité radio pour chiens. La société a en effet décidé de diffuser ce spot à des endroits stratégiques pouvant être fréquentés par les chiens comme les centres commerciaux. La publicité est émise en sur fréquence à 15 Khz, afin qu'elle puisse être perçue uniquement par les chiens. En comparaison, cette fréquence est également celles des sifflets utilisés par les centres de formation animaliers. Pour sa publicité, Naturia utilise le slogan suivant : "Nous comprenons les chiens". Lorsque l'on observe les animaux à quatre pattes à l'écoute du spot, on peut remarquer que cela crée chez eux une certaine excitation. Diffusée près des rayons où sont vendus les aliments Naturia, la marque a constaté un bon de 28% des ventes après le début de cette campagne.

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Saisie de 154 chiots à Monteux (84) !




La SPA a été requise, vendredi dernier, pour prendre en charge 154 chiots chez un gros commerçant d’animaux du 84 (Monteux). L’établissement est connu depuis de nombreuses années. Il importait des chiens de Slovaquie.

Les 154 chiots saisis sont maintenant en lieu sûr dans l’attente de la décision définitive du placement qui permettra de les mettre à l’adoption.


Depuis plusieurs années, le service juridique et la Cellule anti-trafic de l’Association sont destinataires de plaintes et de témoignages concernant les chiens malades et souvent importés trop jeunes vendus dans cet établissement.

Après de longs mois d’enquêtes, la Cellule anti-trafic dépose plainte le 31 octobre 2008 auprès du Tribunal de Grande Instance de Carpentras.

Une information a ensuite été ouverte et le juge a désigné les douanes judiciaires de Marseille pour réaliser les investigations concernant plusieurs infractions dont :

• « Importation d’animaux vivants non conforme aux conditions sanitaires ou de protection »
  
• « Tromperie sur la qualité substantielle d’une marchandise »
  

La Cellule anti-trafic de la SPA tient à remercier les douanes judiciaires de Marseille et la brigade nationale d’enquêtes vétérinaires et phytosanitaires pour cet excellent travail !

Source : SPA
21/12/2010

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Cannes, dans les Alpes-Maritimes.



Valérie, 36 ans, a été expulsée de son logement en juin dernier... Elle dort dans sa voiture, en compagnie de son teckel, précise Nice matin.
Sa voiture est stationnée dans une rue. Elle ressemble un peu à une naufragée et a conservé peu d'objets dans son véhicule : une plante offerte et un livre.
Cette déchéance sociale arrive après un divorce et des loyers impayés. Elle s'est réfugiée un temps chez une amie, mais c'est terminé... Donc, depuis quinze jours, elle dort dans cette voiture que son beau-père lui a donnée, avec deux couvertures pour se réchauffer et le petit chien. Ses affaires sont dans une valise dans le coffre.
Bien que SDF, elle a quelques amies qui lui permettent de cuisiner et de se doucher de temps en temps. Mais, elle est à bout... "Heureusement que j'ai encore des amies, car pour moi, la priorité, c'est de rester propre et soignée" dit-elle.
Elle a encore quelques atouts qui pourraient peut-être lui permettre de s'en sortir : sa jeunesse, ses diplômes (BTS de vente et un BEP Administration et comptable). Elle perçoit 317 euros par mois, au titre du RSA. Le Chef de la police municipale du Cannet a tenté de l'aider récemment. Il lui avait trouvé un hébergement dans un hôtel meublé pour six jours renouvelables. Ensuite, le CCAS se portait caution pour qu'elle retrouve un appartement, mais elle a refusé parce que l'hôtel n'acceptait pas son chien...
Selon ce journal, "elle aurait aussi besoin d'un accompagnement médico-psychologique pour l'aider à se réinsérer, bien qu'elle s'en défende."
Alors, souhaitons à Valérie qu'elle puisse bientôt retrouver un toit et sortir de cette situation...

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< =(PHOTO ARCHIVES)=> Agée à l'époque d'un an, Mila avait été découverte mutilée sous une voiture, dans un faubourg de Belgrade.

Son histoire avait attiré l'attention sur les actes de cruauté encore fréquents à l'encontre des animaux en Serbie et dans les autres pays des Balkans.

Mila a été adoptée par une famille de Belgrade, choisie par un groupe de vétérinaires, de militants des droits des animaux et de représentants de la municipalité de la capitale serbe, a précisé la chaîne de télévision B92.

"Ce qui est arrivé à Mila est inacceptable et nous ferons tout notre possible pour lui assurer une vie confortable et paisible", a déclaré son nouveau maître, Dusan Carnic, cité par l'agence Beta.

La famille de M. Carnic a déjà adopté trois chiens errants et deux chats.

Les médias ont régulièrement évoqué les soins et le rétablissement de Mila qui, après quelques mois de traitement, a été en mesure d'évoluer péniblement sur ses moignons enveloppés de bandages. Des prothèses spéciales ont été imbécileçues pour qu'elle puisse se déplacer.

La personne responsable de ces actes de barbarie à l'encontre de Mila n'a toujours pas été retrouvée, selon Vladimir Terzin, un responsable municipal cité par B92.


Une unité spéciale de la police va être mise en place pour éviter la répétition de tels actes, a-t-il ajouté.

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< WASHINGTON, 8 jan 2011 (AFP) - Un border collie a été capable d'apprendre les noms de 1.022 objets, selon les chercheurs américains qui ont fait travailler ce chien et dont les résultats de l'étude paraissent dans la revue européenne Behavioural Processes.> Chaser a non seulement été capable de mémoriser les noms de ces 1.022 jouets, comme des balles, frisbees, animaux en peluche, mais aussi de les classer par fonction ou forme, ce que des enfants peuvent faire à environ trois ans, soulignent Alliston Reid et John Pilley, professeurs de psychologie au Wofford College en Caroline du Sud (sud-est), qui ont mené cette expérience.

Avec cette performance, Chaser a largement surpassé un autre border collie, Rico, qui avait appris environ 200 mots, selon des chercheurs de l'Institut Max Planck en Allemagne, dont des travaux sont parus en 2004 dans la revue américaine Science.

Un autre collie vivant en Australie et répondant au nom de Betsy, semble reconnaître plus de 340 mots, selon la BBC.

Ces chiens de berger anglais sont réputés pour leur intelligence, leur énergie et leur obéissance.

Les chercheurs attribuent les performances exceptionnelles de mémorisation de Chaser à l'intensité de son entraînement, qui n'a jamais recouru à la distribution de récompenses sous forme de nourriture.

Selon Alliston Reid, cette recherche est "importante car elle démontre que les chiens, comme les enfants, peuvent acquérir un vocabulaire abondant et comprendre que certains mots représentent des objets individuels et que d'autres correspondent à des catégories d'objets".

D'autres recherches sont nécessaires pour déterminer si les capacités impressionnantes de Chaser sont partagées par d'autres races canines.

Ces travaux devraient aussi encourager des recherches pour déterminer si les relations étroites entre les humains et les chiens au cours du temps auraient pu contribuer à développer la capacité de ces animaux à communiquer avec les hommes, et si cette influence est unique aux chiens.


ksh/js/cel

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@Choupi91 a écrit:

< WASHINGTON, 8 jan 2011 (AFP) - Un border collie a été capable d'apprendre les noms de 1.022 objets, selon les chercheurs américains qui ont fait travailler ce chien et dont les résultats de l'étude paraissent dans la revue européenne Behavioural Processes.> Chaser a non seulement été capable de mémoriser les noms de ces 1.022 jouets, comme des balles, frisbees, animaux en peluche, mais aussi de les classer par fonction ou forme, ce que des enfants peuvent faire à environ trois ans, soulignent Alliston Reid et John Pilley, professeurs de psychologie au Wofford College en Caroline du Sud (sud-est), qui ont mené cette expérience.

Avec cette performance, Chaser a largement surpassé un autre border collie, Rico, qui avait appris environ 200 mots, selon des chercheurs de l'Institut Max Planck en Allemagne, dont des travaux sont parus en 2004 dans la revue américaine Science.

Un autre collie vivant en Australie et répondant au nom de Betsy, semble reconnaître plus de 340 mots, selon la BBC.

Ces chiens de berger anglais sont réputés pour leur intelligence, leur énergie et leur obéissance.

Les chercheurs attribuent les performances exceptionnelles de mémorisation de Chaser à l'intensité de son entraînement, qui n'a jamais recouru à la distribution de récompenses sous forme de nourriture.

Selon Alliston Reid, cette recherche est "importante car elle démontre que les chiens, comme les enfants, peuvent acquérir un vocabulaire abondant et comprendre que certains mots représentent des objets individuels et que d'autres correspondent à des catégories d'objets".

D'autres recherches sont nécessaires pour déterminer si les capacités impressionnantes de Chaser sont partagées par d'autres races canines.

Ces travaux devraient aussi encourager des recherches pour déterminer si les relations étroites entre les humains et les chiens au cours du temps auraient pu contribuer à développer la capacité de ces animaux à communiquer avec les hommes, et si cette influence est unique aux chiens.


ksh/js/cel

< ATTENTION - Ajoute des précisions sur la manière dont les tests ont été conduits ///> Le chien, appelé Chaser, a subi un entraînement intensif à raison de plusieurs heures par jour pendant trois ans pour rapporter sur ordre vocal un objet spécifique tel qu'un poulet en caoutchouc se trouvant parmi une quinzaine d'autres jouets.

Chaser a non seulement été capable de mémoriser les noms de ces 1.022 jouets, comme des balles, frisbees, animaux en peluche, mais aussi de les classer par fonction ou forme, ce que des enfants peuvent faire à environ trois ans, soulignent Alliston Reid et John Pilley, professeurs de psychologie au Wofford College en Caroline du Sud (sud-est), qui ont mené cette expérience.

Ainsi, Chaser rapportait, selon ce qui lui était demandé, des balles de différentes tailles et couleurs, disposées au milieu d'autres objets tous différents.

Avec cette performance, Chaser a largement surpassé un autre border collie, Rico, qui avait appris environ 200 mots, selon des chercheurs de l'Institut Max Planck en Allemagne, dont des travaux sont parus en 2004 dans la revue américaine Science.

Un autre collie vivant en Australie et répondant au nom de Betsy, semble reconnaître plus de 340 mots, selon la BBC.

Ces chiens de berger anglais sont réputés pour leur intelligence, leur énergie et leur obéissance.

Les chercheurs attribuent les performances exceptionnelles de mémorisation de Chaser à l'intensité de son entraînement, qui n'a jamais recouru à la distribution de récompenses sous forme de nourriture.

Selon Alliston Reid, cette recherche est "importante car elle démontre que les chiens, comme les enfants, peuvent acquérir un vocabulaire abondant et comprendre que certains mots représentent des objets individuels et que d'autres correspondent à des catégories d'objets".

D'autres recherches sont nécessaires pour déterminer si les capacités impressionnantes de Chaser sont partagées par d'autres races canines.

Ces travaux devraient aussi encourager des recherches pour déterminer si les relations étroites entre les humains et les chiens au cours du temps auraient pu contribuer à développer la capacité de ces animaux à communiquer avec les hommes, et si cette influence est unique aux chiens.


ksh/js/cel

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< ZURICH (Suisse), 11 jan 2011 (AFP) - La municipalité du petit village suisse de Reconvilier (nord-ouest) a menacé d'abattre les chiens de propriétaires refusant de payer la taxe locale sur les animaux, selon un document officiel publié par le journal gratuit 20 Minutes.> Face à la polémique suscitée par cette directive, amplement rapportée par la presse helvétique, la commune a voulu minimiser mardi la portée de ce texte, expliquant avoir seulement voulu rappeler à l'ordre les maîtres récalcitrants.

"Nous ne voulons pas tuer les chiens, on veut juste récupérer les taxes", a assuré à l'AFP le maire adjoint Heinz Siegrist.

"Il y a plus de 300 chiens dans la commune" et certains propriétaires ne remplissent pas leurs obligations fiscales, a-t-il ajouté, précisant que la municipalité ne faisait qu'"appliquer la loi" cantonale qui exige que les propriétaires paient une taxe de 50 francs suisses (près de 40 euros) par animal.

M. Siegrist a souligné avoir reçu des lettres de menaces et d'insultes après la publication de cette directive.

Pour le président de la Protection suisse des animaux (PSA), Heinz Lienhard, "cette disposition (l'abattage des animaux, ndlr) n'est plus appliquée nulle part, parce qu'elle n'est tout simplement plus d'actualité".

Dans une lettre adressée à la municipalité de Reconvilier, M. Lienhard prévient qu'en cas d'application de cette directive, la PSA "n'hésiterait pas un instant à examiner le dépôt d'une plainte pénale contre les responsables.


ale/at/dro

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Jacques, le bouledogue bien aimé de Brad Pitt, a récemment attaqué Johnny Depp alors que ce dernier s'était dévoué pour jouer le baby-sitter canin afin de laisser son ami rendre visite à Angelina Jolie sur le tournage d'un film.



Johnny Depp réfléchira surement à deux fois la prochaine fois que Brad Pitt lui demandera de garder son chien. L'accident s'est déroulé alors que Brad Pitt rendait visite à Angelina Jolie sur le tournage du film The Tourist. En charge de la bête, Johnny Depp était semble-t-il un peu incommodé par l'odeur de l'animal ainsi qu'un peu effrayé. Prenant son courage à deux mains, il se s'est tout de même assis sur le lit afin d'enlever ses chaussures.

C'est ce moment là qu'a choisi Jacques, le bouledogue de Brad Pitt, pour sauter sur Johnny, le plaquer au sol, et le maintenir dans cette position avec un air menaçant. "C'est un gros chien ! J'ai hurlé à l'aide et heureusement quelqu'un est intervenu pour éloigner le chien", a expliqué Johnny Depp. Les deux acteurs, considérés comme faisant partie des hommes les plus sexy du monde, sont amis de longue date. Les couple Pitt-Jolie et Depp-Paradis se réuniraient d'ailleurs régulièrement pour diner ensemble.

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Le maire d'une bourgade suisse a décidé de ressortir de ses cartons une vieille loi datant de 1904 pour... abattre les chiens de propriétaires récalcitrant à payer une taxe.



Le maire du petit village suisse de Reconvilier est prêt à tout pour que les contribuables payent leur impôts. Alors qu'il réclame la somme de 50 francs suisses (environ 39 euros) à tous les propriétaires de chiens, il a menacé d'abattage les animaux "dont les taxes ne seraient pas payées aux frais de leur propriétaire". Si le procédé peut paraître choquant, la municipalité dit se conformer à une loi cantonale de 1904.

Malgré tout, la commune a dû bien vite se défendre après le relais dans la presse de cette nouvelle directive. "Nous ne voulons pas tuer les chiens, on veut juste récupérer les taxes. Il y a plus de 300 chiens dans la commune", a expliqué le maire-adjoint Heinz Siegrist. Le maire a lui précisé avoir reçu des lettres et des messages d'insulte suite à cette affaire.

Heinz Lienhard, président de la protection suisse des animaux, a lui réagi en expliquant que "cette disposition (l'abattage des animaux, ndlr) n'est plus appliquée nulle part, parce qu'elle n'est tout simplement plus d'actualité". Il a également menacé qu'il "n'hésiterait pas un instant à examiner le dépôt d'une plainte pénale contre les responsables" susceptibles d'abattre les chiens.

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< DRAGUIGNAN (VAR), 14 jan 2011 (AFP) - Un chien a mis en émoi les gendarmes du Groupement de gendarmerie du Var lorsque vendredi après-midi à Vidauban (Var), après avoir déchiqueté le téléphone de son maître, il a appelé le centre opérationnel en appuyant avec sa patte sur une touche programmée.> Il a détaché aussitôt une patrouille de la brigade la plus proche au domicile dont le numéro avait été identifié

Sur place les gendarmes ont trouvé porte close. Quelques instants après, l'arrivée du propriétaire allait les rassurer. Son chien, un boxer adulte, laissé seul au domicile, avait mangé en partie le téléphone.

Tous les appels d'alerte étant enregistrés, les gendarmes disposent sur bande audio des aboiements du chien joueur.


cd/elr/ct

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< LONDRES, 20 jan 2011 (AFP) - "Peggy", une chienne terrier haute comme trois pommes, est une petite boule de poils qui ferait craquer les coeurs les plus endurcis. Mais que l'on ne s'y trompe pas: "le monstre", comme titre la presse de jeudi, terrorise les facteurs qui ne fréquentent plus son territoire.> "Peggy" n'est pourtant ni un rottweiler ni un pitbull, mais une chienne terrier du Yorkshire haute d'une quinzaine de centimètres. Sa petite bouille, aux grands yeux attendrissants perdus au milieu d'une touffe de poils roux, inviterait plutôt à la caresse qu'à la terreur.

"Peggy a aboyé contre le facteur mais elle ne ferait de mal à personne

Elle est toute petite", assure sa propriétaire Kathleen Joyce, 49 ans, dans le journal local The Northampton Chronicle.

Tout le monde n'est pas d'accord. "C'est une vraie vicieuse. Je l'ai déjà vue s'en prendre au facteur", témoigne un voisin qui veut rester anonyme

Le postier en question a porté plainte à "plusieurs" reprises, selon Royal Mail. La dernière "attaque" serait intervenue le 7 décembre. Et depuis, le facteur ne sonne plus aux portes des résidences du cul-de-sac, forçant les habitants à se rendre eux-mêmes au centre de tri, situé à plus de vingt kilomètres.

"Une fois que nous aurons la certitude que le chien n'est plus là, les livraisons reprendront", a indiqué au Chronicle un porte-parole de Royal Mail, groupe postal britannique.

Les autorités locales de Northampton, propriétaires du logement de la famille Joyce, exigent également le départ de "Peggy". En cas de refus, les propriétaires "pourraient être expulsés", a menacé un porte-parole.


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Oubliez vos préjugés sur les pitbulls, généralement qualifiés d'agressifs, méchants, dangereux... Notre pitbull du jour est plutôt à classer dans la catégorie des gentils nounours. Il s'agit d'une maman pitbull, Samira, qui s'est prise d'affection pour un chaton abandonné, et qui l'a adopté. Oui, je sais, c'est trop mignon.



Ça se passe au Brésil, dans la ville d'Aracruz, raconte l'internaute qui a mis en ligne la vidéo. Au début, mini minou n'était pas très chaud pour rester avec cette imposante maman au drôle de museau, raconte le site brésilien Gazeta Online. Mais à force, il a fini par s'attacher à Samira.
La vidéo commence à gentiment circuler sur le Net. Mais la version que se refilent les internautes n'est pas l'originale. Il s'agit d'une copie mise en ligne dimanche par la Gazeta Online sur son compte YouTube, euaquinogol. Elle affiche à ce jour 4.800 vues.
En fouillant un peu, je suis remontée à une vidéo publiée mercredi dernier, intitulée "Mamae Samira e o gatinho" ("Maman Samira et le chaton", je suis désormais experte en brésilien grâce à mon ami Google Trad). J'y note 3 différences : une musique de fond, une introduction rapide présentant Samira et surtout, un copyright en légende qui peut laisser penser qu'il s'agit là de l'original.
Le vendredi, l'internaute (Idolindo) met en ligne une autre version, sans musique cette fois, et avec un titre plus parlant : "Maman pitbull et un chaton de la rue". Elle n'a été vue que 26 fois et restera probablement dans l'ombre de sa copie, reprise par la Gazeta Online et qui fait le bonheur des internautes.
Les pitbulls et les chats, une grande histoire d'amour
Pour votre culture personnelle (et pour les dîners mondains), sachez que les câlins entre matous et pitbulls ne sont pas si exceptionnels que ça. Sur YouTube, on trouve d'autres preuves irréfutables que les pitbulls peuvent eux aussi être tout amour, avec des chatons...
Mais aussi des vrais chats adultes :

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Les scientifiques pensent que les tumeurs ont une odeur distincte, et plusieurs études avaient déjà montré que les chiens peuvent utiliser leur odorat pour détecter des cancers de la peau, de la vessie, des poumons, des ovaires et du sein.

Dans la dernière étude en date sur le sujet, un labrador retriever a reconnu à l'odeur le cancer de l'intestin dans des échantillons d'haleine et de selles lors d'une étude au Japon. Les travaux, publiés dans la revue scientifique Gut, ont montré que le chien a réussi à identifier la maladie, même en phase précoce. Les chercheurs japonais de l'université de Kyushu ont utilisé Marine, un labrador noir femelle de huit ans. Ils lui ont présenté des séries de cinq échantillons, dont un provenait d'un patient souffrant d'un cancer et les quatre autres de personnes saines. Lors des tests avec les échantillons d'haleine, la chienne a détecté l'échantillon du patient cancéreux 33 fois sur 36 essais. Et l'animal a été encore plus efficace avec les échantillons de selle, choisissant celui du patient atteint de cancer 37 fois sur 38. Marine a même réussi à détecter des cancers de l'intestin en phase précoce, ce qui est particulièrement difficile.

Le Dr Hideto Sonoda, qui a dirigé les travaux, a déclaré:

«Il pourrait s'avérer difficile d'introduire des tests d'odorat canins dans les hôpitaux à cause du coût d'un dresseur et du temps nécessaire à l'entraînement du chien. L'odorat et la concentration varient d'un chien à l'autre, et chez un même chien d'un jour à l'autre.

L'odeur spécifique du cancer existe, mais sa composition chimique reste inconnue. Seuls les chiens connaissent la vraie réponse.»

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Breil-sur-Roya: des chiens errants dévorent leurs chats sous leurs yeux

Publié le mardi 25 janvier 2011 à 07H12

http://www.nicematin.com/article/faits-divers/breil-sur-roya-des-chiens-errants-devorent-leurs-chats-sous-leurs-yeux

Yvonne et Hermann Gribaudo, encore choqués, sur leur terrasse, là où les chiens ont attaqué sous leurs yeux et juste devant leur porte. R. L.

Breil-sur-Roya. Ils ont eu la peur de leur vie. Yvonne et Hermann Gribaudo passaient tranquillement à table quand deux chiens ont sauté par dessus les clôtures et ont attaqué leurs chats sur leur terrasse à quelques mètres devant eux.

« On aurait cru un film d'horreur, décrit Yvonne Gribaudo encore très choquée. Ils se sont jetés comme des fauves sur nos pauvres animaux. »

Son mari ajoute : « Le temps que je prenne une bûche et que je sorte sur la terrasse le carnage était fait : deux chats étaient déchiquetés. Seul un petit avait pu s'échapper dans un trou trop petit pour ces bêtes affamées. »

La veille, j'avais mes petits-enfants

Yvonne Gribaudo ne s'en remet pas. Elle a mis plusieurs jours à réussir à en parler. C'est que le propriétaire des chiens est désormais identifié et qu'elle a eu peur de ne pas être crue.

Et de continuer à raconter : « Quand mon mari est sorti, ils lui ont fait face, ils n'ont pas eu peur. La veille, j'avais mes petits enfants sur la terrasse. Vous imaginez ? Après ce que j'ai vu, tout me semble possible. C'est terrible ! »

Les Gribaudo sont de paisibles retraités toujours prêts à recueillir les chats abandonnés. Hermann raconte combien ils étaient affectueux : « Le gros venait avec moi au soleil sur le banc après le déjeuner. L'autre était un peu handicapé, il fallait s'en occuper davantage. Évidemment là, il ne pouvait pas s'en sortir. »

Dans le quartier Burdanche au-dessus de l'hôpital, tous leurs voisins sont émus par ce qui leur est arrivé. La gendarmerie a été saisie de l'affaire et le maire, Joseph Ghilardi, entend bien que les responsabilités soient établies et les chiens euthanasiés si nécessaire.

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Perpignan, dans les Pyrénées Orientales.

Le soir du 2 janvier, la scène s'était passée sur le quai Vauban et avait ému les badauds... Un SDF tire son labrador par la laisse puis lui donne des coups de pied jusqu'à le tuer, raconte L'Indépendant. Lundi, le prévenu a expliqué son acte au tribunal : "Il faisait un caprice, mon chien refusait d'avancer. J'ai tiré sur sa laisse et j'ai dû l'étrangler... Comme il ne bougeait plus, je lui ai filé des coups de pied pour le remettre sur pattes", toujours selon ce journal. Le SDF a 24 ans. Ce jour là, on lui a relevé 1,5 gr d'alcool dans le sang. Le procureur a demandé « 4 mois de prison ferme assortis d'une interdiction à vie de détenir un animal ». Le tribunal a décidé la même sanction. Le labrador avait 2 ans. Son « maître » est retourné en prison.

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VANCOUVER, 2 fév 2011 (AFP) - Le gouvernement de Colombie-Britannique (Ouest du Canada) a annoncé mercredi la constitution d'une commission spéciale chargée d'enquêter sur l'extermination d'une centaine de chiens husky qui avaient servi pendant les JO d'hiver de Vancouver à promener des touristes sur des traîneaux.> Après l'ouverture lundi d'une enquête par la police canadienne, le gouvernement provincial a formé une "task force" composée de membres de la Société pour la prévention de la cruauté contre les animaux (SPCA) et de l'Union des municipalités de Colombie-Britannique.

"Aucune créature ne devrait jamais souffrir comme cela a été rapporté, et nous voulons nous assurer qu'une chose pareille ne se reproduise jamais dans notre province", a ajouté M. Campbell.

Les chiens, devenus chômeurs après la fin des Jeux de février dernier, auraient été tués les uns après les autres pendant deux jours, par un ouvrier utilisant un fusil et un couteau. Selon des témoignages, certains chiens qui n'étaient que blessés seraient parvenus à sortir d'une fosse commune.

La raison du massacre, mené dans la station de ski de Whistler, serait purement économique, selon les médias locaux. Deux sociétés ayant vendu des promenades en traîneaux à chiens, Outdoor Adventures et Howling Dogs, n'avaient plus besoin d'eux, la demande ayant chuté après les Jeux.

La révélation de cette affaire a suscité un certain émoi au Canada. Des menaces "très sérieuses" ont même été proférées par courriel à l'endroit des entreprises impliquées, obligeant la police canadienne à ouvrir une seconde enquête, ont rapporté les médias locaux.

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Début janvier, lors d’une rixe, cet homme de 47 ans, avait incité son chien, un American Staffordshire, à mordre un de ses voisins.

Blessé à l’avant-bras, la victime avait bénéficié d’une ITT de huit jours. Un chien dangereux, classé en catégorie 2, qui aurait dû porter une muselière, précise TF1 News. Le maître du molosse avait déjà été condamné pour des violences et il lui était interdit de détenir un tel animal. Après l’attaque de son chien, il avait été placé en détention provisoire. Lundi, le tribunal correctionnel de Narbonne, dans l’Aude, l’a condamné à deux ans de prison ferme pour « violence volontaire avec arme en état de récidive légale ». Une condamnation assortie d’un mandat de dépôt.

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Un chien sourd a commencé à apprendre le langage des signes dans une maison d'arrêt du Missouri, et suit des cours de "perfectionnement" dans une école pour sourds-muets, a annoncé la directrice de la prison, Barbara Garrison.



Sparky, un teckel, répond aux ordres de s'asseoir, de se coucher et de s'arrêter grâce aux détenus, et il est en cours d'apprentissage auprès des jeunes sourds-muets de signes signifiant manger et dehors.

La formation dont le chiot bénéficie fait partie d'un programme du département correctionnel du Missouri visant à proposer aux détenus une activité utile tout en réhabilitant des animaux de compagnie souffrant de handicaps qui les privent d'une chance d'adoption.

Ce programme, qui vise à éviter leur euthanasie, a "été bien plus loin que nous le pensions, c'est merveilleux", a déclaré Tina Holland, coordinatrice des activités à la maison d'arrêt de Licking.

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«Baxter» sauve sa peau



Image DR



http://www.lematin.ch/actu/suisse/baxter-sauve-peau-385452



Se basant sur les rapports des comportementalistes, les juges ont souligné que «Baxter», s’il souffrait de lacunes d’éducation, était un chien ni agressif ni incorrigible. La justice a annulé hier la décision de faire piquer le pitbull qui avait attaqué un bébé en décembre 2009.


Sébastien Jost - le 16 février 2011, 22h36 - Le Matin



«Baxter» ne sera pas euthanasié. Rebondissement, hier, dans l’affaire du pitbull qui avait grièvement blessé à l’œil un bébé en décembre 2009 à Préverenges (VD). La Cour de droit administratif et public du Tribunal cantonal a annulé la décision de la conseillère d’Etat Jacqueline de Quattro.
Dans leur arrêt, les juges estiment que piquer l’animal est une mesure disproportionnée. Stable et équilibré, «Baxter» n’est pas un chien agressif. Et la mise à mort ne doit être «prononcée qu’en cas de récidive ou de problèmes graves». Reconnaissant qu’il existe des risques d’accident, la Cour les attribue, non au caractère de la bête, mais à «ses lacunes d’éducation». Des travers qui pourraient être redressés puisque le pitbull n’est pas considéré comme «incorrigible».
Maman dégoûtée
Les juges ont, en outre, maintenu l’interdiction faite à la propriétaire de «Baxter» de détenir des animaux potentiellement dangereux. Me Jacques Barillon, avocat de la maîtresse du chien, a indiqué que celle-ci, «très émue, s’est félicitée de cette décision». Et qu’elle examinera s’il y a lieu de recourir au Tribunal fédéral contre le maintien de l’interdiction qui lui a été faite de détenir un pitbull, un amstaff ou un rottweiler.
Lidie, la maman de Bleon, se dit dégoûtée par ce revirement. «On dit que ce chien est inoffensif, mais plus d’une année après les faits, nous n’avons toujours pas retrouvé de vie normale. Bleon porte encore les cicatrices de l’accident et il a un œil plus petit que l’autre. Il se réveille très souvent la nuit et refuse que des personnes autres que celles qu’il connaît très bien s’approchent de lui. A 2 ans, il joue très peu avec les autres enfants. Les gens ne se rendent pas compte de ce qu’on vit. Nous aimerions bien passer à autre chose.»
Et la mère de famille de se demander: «J’ai de la peine à comprendre. Faudra-t-il qu’une autre famille passe par là pour que les choses soient prises au sérieux?» Quant à Jacqueline de Quattro, qui avait ordonné l’euthanasie de «Baxter», elle affirme: «J’avais fait passer l’enfant avant le chien. Ceci pour des raisons de sécurité publique. Les blessures infligées à l’enfant étaient graves et les évaluations ont montré que le chien, s’il n’était pas considéré comme agressif, pouvait poser problème. Mais je peux vivre avec cette décision.»
La conseillère d’Etat en charge de la Sécurité se félicite «que l’irresponsabilité ait été sanctionnée». Le tribunal a en effet reproché à la jeune femme de n’avoir pas annoncé «Baxter» auprès des services compétents, alors qu’elle en avait l’obligation. La propriétaire ne dispose en outre pas des compétences et d’une expérience cynologique suffisantes pour s’occuper d’un tel chien, ont estimé les juges.
Amendes salées
«Le message est très clair, a réaffirmé Jacqueline de Quattro. Dans le canton de Vaud, les gens qui souhaitent détenir un chien d’une des trois races considérées comme dangereuses doivent respecter la loi et se plier aux conditions très strictes imposées pour la détention d’un tel animal.» Et l’élue de rappeler que des amendes pouvant aller jusqu’à 20 000 francs peuvent être infligées aux maîtres récalcitrants. «J’encourage vivement les propriétaires qui n’ont pas encore annoncé leur pitbull, leur amstaff ou leur rottweiler à le faire au plus vite.»
La Cour a enfin levé le séquestre de «Baxter», toujours détenu dans un lieu gardé secret. Il pourra donc être replacé mais à des conditions drastiques. Le futur détenteur devra être au bénéfice d’une bonne expérience cynologique et devra s’engager à suivre au minimum 100 heures de cours auprès d’un éducateur.

Plus d’un an de tracasseries

9 décembre 2009 Bleon, 11 mois, promené dans son berceau par sa maman, est blessé au visage par «Baxter» à Préverenges (VD). Le pitbull, qui était entre les mains d’une promeneuse, est rendu à sa propriétaire par la police. 18 décembre 2009 Au terme d’une évaluation du pitbull, le vétérinaire cantonal décide que «Baxter», alors sous séquestre, ne serait pas rendu à sa propriétaire et pourrait être replacé sous conditions strictes. 15 janvier 2010 La propriétaire du pitbull dépose un recours contre cette décision. 22 avril 2010 Autorité de recours, Jacqueline de Quattro, cheffe de la Sécurité, décide d’euthanasier «Baxter» pour des raisons de sécurité publique. 22 juin 2010 La presse apprend que les vétérinaires vaudois ont écrit à Jacqueline de Quattro pour lui dire qu’ils n’entendent pas piquer «Baxter» s’ils n’ont pas la preuve de sa dangerosité. 16 février 2011 Le Tribunal cantonal vaudois annule la décision d’euthanasie.

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Une fillette mordue à la gorge par un bull-terrier


http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/22/1019784-Une-fillette-mordue-a-la-gorge-par-un-bull-terrier.html

Un bull-terrier qui a faussé compagnie à son maître, dimanche après-midi, a mordu grièvement à la gorge, une fillette de 4 ans et demi dans un jardin d'enfants du quartier Negreneys, à Toulouse. C'est le père de la petite victime qui a maîtrisé l'animal. Scène de violence inhabituelle, dimanche après-midi, dans un jardin d'enfants du quartier Negreneys, à Toulouse, où une fillette de 4 ans et demi a été mordue à la gorge par un chien. Très vite prise en charge par les secours, la petite victime, blessée au cou, sous les yeux de son papa qui est intervenu, a été transportée à l'hôpital des enfants. Elle souffre de plusieurs morsures sous l'oreille gauche. Ses jours ne sont pas en danger. Les médecins ont évalué son incapacité totale de travail (ITT) à 21 jours. « On est passé très proche d'un drame », reconnaît un proche. Il était environ 17 heures, lorsqu'un bull-terrier, un chien non classé dangereux, fausse compagnie à son maître, une sexagénaire qui était sur le point de l'attacher dans la voiture, après une promenade, non loin de la rue de Belleville. Mais l'animal au long museau et âgé de 3 ans, saute par la fenêtre du véhicule et poursuit sa route en traînant sa laisse. Affolée, la propriétaire se lance à sa recherche. En vain.

À la SPA

Quelques minutes plus tard, le bull-terrier s'engouffre dans un square pour enfants, toujours dans le même quartier, et se rue sur une fillette en train de jouer. Le chien lui saute au cou, puis à la gorge. Le père de la victime s'interpose en mettant son bras en opposition pour qu'il lâche sa proie. Maîtrisé par le papa, également blessé à la main, le bull-terrier est attaché avec sa laisse à un grillage. Choquée, la fillette est très vite secourue. Sur place, les services de police entendent les premiers témoins. Et la propriétaire est retrouvée. L'enquête a été confiée aux policiers de la brigade des affaires générales. Dans un premier temps, le chien a été placé à la SPA en attendant la poursuite des investigations. Il n'a jamais manifesté de signes d'agressivité auparavant. Un chien en règle et non classé dans la catégorie des chiens dangereux. Sa propriétaire, également très choquée par son comportement imprévisible lui avait acheté une muselière adaptée.

Hier, la fillette, blessée par de nombreuses morsures, était toujours à l'hôpital.

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Un chien d'ordinaire "sociable et joueur"

Contrairement au Rottweiller, le bull-terrier n'est pas un chien référencé comme « dangereux » et classé en seconde catégorie. Cet animal, apprécié pour sa sociabilité et son côté joueur, se distingue des autres chiens par son museau très long. Juste avant de mordre à la gorge la fillette, le bull-terrier (un mâle non castré) revenait d'une promenade en compagnie de son maître. Il s'est échappé de la voiture alors que sa propriétaire était sur le point de l'attacher.

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Des chiens criblés de balles à Saint-Félix-de-Rieutort


http://www.ladepeche.fr/article/2011/02/24/1021166-Des-chiens-cribles-de-balles-a-Saint-Felix-de-Rieutort.html

« On devrait mettre un couvre-feu pour les chats ! » Le jeune Michael serait bien prêt à tout pour que cesse la persécution des animaux de son village. Mais pas si simple, surtout dans une petite commune comme Saint-Félix-de-Rieutort. « Nous ne sommes pas nombreux, et tout le monde se connaît : c'est sûr, quelqu'un doit savoir qui est responsable de cela », s'insurge le père du garçonnet, Michel Muscat. Difficile de dire depuis quand durent les faits. Plusieurs habitants du village ont vu leurs chiens et leurs chats disparaître. Certains ne sont jamais revenus, quand d'autres ont été retrouvés en piteux état : « criblés de balles de plomb », assure le père de famille.

Ses voisins, la famille Belinguier, ont eux aussi été victimes de ce qui, visiblement, ressemble bien à de la maltraitance : « L'un de mes chats a reçu une balle dans la patte, il a dû être amputé. Nous en avons retrouvé un autre la queue déchiquetée, à vif, jusqu'à l'os ».

Une pétition pour mesurer l'ampleur du phénomène

Face à de telles horreurs, Michel Muscat a pris les devants en lançant une pétition à l'attention du maire de Saint-Félix, Daniel Besnard. « C'est un problème récurrent, assure celui-ci. A savoir s'il est propre à notre village ou non, c'est autre chose. L'initiative de M. Muscat est tout à fait louable, elle permettra de mesurer l'intensité du phénomène. De mon côté, je suis en relation avec la SPA. » Difficile de faire plus, hormis mettre en garde la population : « J'ai signalé ce problème dans le journal municipal. Preuve aussi que le conseil municipal est préoccupé par cette affaire. » Quant à porter plainte, les propriétaires d'animaux le jugent souvent inutile, les gendarmes ne se déplaçant que rarement pour ce type de problème, et ne pouvant que jouer la carte de la dissuasion. Aujourd'hui les tristes et cruelles découvertes des Saint-Félixiens semblent s'espacer. Mais les craintes restent malgré tout accrues par le silence des habitants.

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Un palace pour chiens ouvre ses portes à Vincennes (94)
« Luxe, calme et volupté » : voilà trois mots qu’on connaît bien et qu’on a coutume d’associer aux humains. Plus pour longtemps : c’est officiel, le premier palace pour chiens vient d’ouvrir ses portes. Situé tout près du bois de Vincennes, l’établissement pour toutous gâtés peut accueillir toutes les races de chiens.

Seul impératif : l’animal ne doit pas être agressif.

Si l’idée n’est pas neuve (d’autres hôtels pour chiens existent déjà au Japon et aux Etats-Unis), c’est en revanche le premier à recevoir l’autorisation d’être installé à proximité du bois de Vincennes. Ses créateurs, Dévi et Stan Burin, ont longtemps mûri leur projet pour lui donner toutes ses chances de réussite.

L’idée est née après le constat de Stan, qui est comportementaliste animalier, qu’il n’existait pas encore sur Paris un service de gardiennage proposant le confort de la maison.

Un vrai paradis pour chiens

Chez Actuel Dogs, tout est fait pour le bien être des chiens : les animaux peuvent se balader sans contraintes dans les 200m² de l’hôtel, dorment dans des chambres décorées, regardent la télévision… Mais les services proposés par le palace parisien ne s’arrêtent pas là car les animaux ont également la possibilité de se promener dans les bois avec Stan ou s’amuser dans la salle de jeu. Très bientôt, ils pourront même profiter d’une piscine, de massages et de la balnéothérapie.

Bref, vous l’aurez compris, les locataires d’Actuel Dogs sont chouchoutés comme il se doit. Et les propriétaires dans tout ça ? Ils peuvent partir en toute confiance et si l’envie leur vient de prendre des nouvelles de leur animal, aucun problème ! En quelque clics, vous pouvez voir votre animal grâce aux webcams installés dans les chambres.

En ce qui concerne les prix, ça reste dans le domaine du raisonnable si on prend en compte la qualité du lieu. Jugez vous-même: les deux suites sont accessibles pour 55 euros et les chambres simples (au nombre de quatre) sont à 40 euros (jour + nuitée en semaine).

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Tenté par un footing avec votre chien ? Voilà une excellente idée, à condition toutefois de prendre un minimum de précautions. Certaines races en effet, se prêtent mieux que d'autres à cette activité. Le Dr Petra Rouch-Buck, ingénieur de recherche à l'Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT), nous dit lesquelles... et nous dispense quelques conseils utiles.

Un border colley oui, un bouledogue non. « De nombreux chiens de taille moyenne à grande sont adaptés pour cette activité », nous explique-t-elle. Elle cite notamment le border colley - tous les collies sont utilisés par les bergers écossais pour surveiller leurs troupeaux- mais aussi les setters - anglais, français, irlandais... - et naturellement l'épagneul. « D'une manière générale, les chiens de travail ou de chasse peuvent supporter une activité physique plus intense ». En revanche, certains de nos compagnons risquent de se retrouver rapidement en difficulté sur le plan respiratoire. C'est le cas des chiens dits brachycéphales, dont le museau est aplati ou écrasé. En raison de leur anatomie particulière, ils éprouvent rapidement des difficultés à ventiler. Pas de course donc, si vous partagez votre vie avec un bouledogue, un carlin ou un pékinois par exemple. Attendre la fin de la croissance. « Le maître doit veiller à ce que son chien ait achevé sa croissance avant de l'emmener courir », poursuit le Dr Rouch-Buck. « De cette façon, il diminuera le risque d'atteintes articulaires, au niveau notamment des cartilages ». Et donc d'apparition précoce d'arthrose. Dans tous les cas, interrogez votre vétérinaire. Il s'assurera que votre chien a bien terminé sa croissance et qu'il ne présente pas de contre-indications à la course. Allez-y progressivement. Comme vous d'ailleurs, votre animal ne pourra pas démarrer par une course d'une heure. Prévoyez une montée en régime progressive, tant au niveau de la fréquence des sorties que de leur durée. Et surtout dans les jours qui suivent, « surveillez-le.

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Vous aimez votre chien? Wired, qui a le sens de la formule et de «l'attaque», ajoute : «Vous le laissez dormir sur votre lit, n'est-ce pas ? Avouez... Une fois que vous aurez lu cet article, croyez-moi, vous y regarderez à deux fois...»

L'article de la chroniqueuse sciences du magazine américain explique en effet qu'au Etats-Unis en 2010, il y a eu deux étranges cas de peste bubonique aux Etats-Unis en 2010. Les deux seuls cas de peste dans le pays en 2010. C'est peu évidemment. Aujourd'hui, les cas de peste, environ 2.000 par an, se trouvent en Asie et en Afrique ; rien d'alarmant donc pour les Américains, même si l'OMS classe aujourd'hui la maladie dans la catégorie à surveiller. Revenons donc à nos deux Américains, l'un de 17 ans, l'autre de 42, partageant le même foyer de l'Oregon, dans le nord-ouest des Etats-Unis. En août, écrit Wired, ces deux personnes se plaignent de forte fièvre et de céphalées. Comme Dr House ne travaille pas dans l'hôpital où ils ont été envoyés, il faut attendre près de quatre semaines avant de connaître le responsable de cette maladie. Les premières analyses sanguines ont en effet rendu trois résultats différents. Le premier labo a trouvé qu'il s'agissait de la bactérie Acinetobacter lwoffii, le deuxième la Pseudomonas luteola, la troisième Yersinia pseudotuberculosis. Et le quatrième, qui a finalement vu juste 25 jours après l'arrivée des malades à l'hôpital, Yersinia pestis, le bacille responsable de la peste. Entretemps, les deux personnes ont été soignées, à l'aveugle. Quand le mot «Peste» a clignoté sur es écrans de contrôle des services de santé, on imagine rapidement la mise en état d'alerte générale: la peste est classé dans les risques de bio-terrorisme les plus élevé. La maladie est non seulement grave, souvent mortelle, mais très contagieuse et son image est associée à la panique (la grande peste du moyen-âge, l'épidémie de Marseille, etc ...).

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Les cockers définitivement confiés à la Fondation






Dans la commune de Peyrat-le-Château (87), la Fondation 30 Millions d’Amis – sur décision judiciaire – a saisi plus de 150 chiens, dont des chiots, détenus dans des conditions déplorables.

Le parquet du tribunal de grande instance de Limoges (87) a ordonné le placement judiciaire de l’ensemble des chiens sous la responsabilité de la Fondation 30 Millions d’Amis. Les chiens sont désormais proposés à l’adoption, et ce de façon définitive. Si vous souhaitez accueillir ces cockers, contactez le refuge Assistance aux Animaux au 01 39 49 18 1. Sachez néanmoins que si la plupart des maladies – aux oreilles et aux muqueuses – sont désormais soignées, quelques animaux, atteints de kérato-conjonctivites, nécessitent un traitement à vie. Par ailleurs, le manque de sociabilisation et de contact avec l’homme les a rendus assez craintifs. Mais selon le Dr Laurent Daffos, vétérinaire à Villemomble (93) qui a pu en observer près de la moitié, « ils sont foncièrement gentils et dénués d’agressivité. Ils s’adapteront très bien à leur nouvelle famille ». Merci pour eux !


Source : Fondation 30 millions d'amis
25/02/2011




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Pas moins de 224 chiens de petites races, les plus vulnérables, ont fini par être enlevés à leurs bourreaux alors qu'ils avaient déjà été condamnés pour mauvais traitement en 2005 et qu'une nouvelle plainte de la S.P.A. courrait contre eux depuis 2008.
De longues années de tergiversations entre les services qui auraient pu être épargnées à ces chiennes qui vivaient l'enfer jour aprés jour.Dans cette ancienne porcherie délabrée,les gendarmes de Chateauneuf en Thymerais ont découvert un lieu d'un autre temps, un élevage concentrationnaire, où les exploitants faisaient "du" chien comme ils auraient fait "de" la dinde.
Vivant dans la pénombre depuis des années, les chiens sont atteints de cataracte, les boxes sont si exigus que leurs griffes leur rentrent dans les coussinets. Pas de sorties, pas de manipulation ni d'affection, ils ont peur de l'homme. Certains ont sur le corps une couche inextricable de poils qui a favorisé l'installation d'une gale qui les démange tout le temps avec au beau milieu des nids de puces.
C'est finalement grace à l'aide du nouveau propriétare des locaux rachetés récemment que la S.P.A. a pu visiter complêtement les lieux.Les chiens ont été transportés dans un chenil d'Ille et Vilaine et seront proposés plus tard à l'adoption.

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Une Britannique a retrouvé une bague perdue quelques semaines auparavant dans le ventre de son chien à l'aide d'un détecteur de métaux.

Depuis quelques semaines, madame Wooley, habitant Thrumpton, près de Nottingham, soupçonnait son chien Barney d'avoir avalé une bague vieille de 100 ans qu'elle n'arrivait pas à retrouver. Elle a donc utilisé un détecteur de métaux pour s'en assurer. C'est finalement une radiographie passée chez le vétérinaire qui a confirmé ses doutes. Le chien, âgé de seulement six mois, a donc été opéré pour récupérer l'objet suffisamment gros pour le tuer. "Il était si jeune que l'anneau aurait pu le tuer en lui passant à travers les organes", a déclaré madame Woolley metro.co.uk. De retour chez lui, Barney s'est complètement remis de l'opération. "C'est un vieux truc d'utiliser un détecteur de métaux mais je ne pensais pas que ça marcherait (...) J'étais dévasté à l'idée de l'avoir perdu, puis j'ai pensé que mon chien l'avait peut-être mangé. En passant le détecteur sur le ventre du chien, il s'est mis à clignoter", a-t-elle expliqué.

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http://www.midilibre.com/articles/2011/02/28/A-LA-UNE-Un-chiot-retrouve-vivant-dans-un-conteneur-1552206.php5

Édition du lundi 28 février 2011

AlèsUn chiot retrouvé vivant dans les ordures


DR



C’est une découverte navrante et cruelle qu’a fait jeudi dernier une habitante de Saint-Christol-lès-Alès. Cette dame a retrouvé un chiot dans un conteneur à ordures, rue du Château.

Alors que cette dame passait devant, elle a entendu des gémissements. Inquiète, elle a soulevé le couvercle du conteneur et s’est rendu compte que ces gémissements provenaient d’un chiot encore vivant mais mal en point, qui avait été mis là comme un vulgaire déchet.

L’animal a été récupéré par des bénévoles de la Société protectrice des animaux (SPA). Vu son jeune âge (quelques semaines seulement), il a été placé en famille d’accueil.

La SPA demande à toutes les personnes susceptibles d’apporter des informations pour élucider cette affaire, de prendre contact au numéro de téléphone suivant : 04 66 72 93 20.

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C'est la semaine dernière que la fondation Assistance aux animaux a été avertie d'un acte de cruauté commis sur des chiens de race griffon à Saint-Paulet-de-Caisson. D'après les premières constatations, « ces animaux ont été fouettés et battus et n'avaient ni nourriture ni eau à leur disposition.

Très craintifs devant l'être humain, ils sont regroupés dans un petit enclos d'environ deux mètres par deux », explique-t-on du côté de la fondation.

À la suite de l'intervention des services départementaux de la protection des populations de Nîmes, la fondation Assistance aux animaux vient d'obtenir l'accord du procureur de la République afin de saisir ces animaux à leur propriétaire ce mercredi 2 mars en présence de la gendarmerie.

La fondation s'est déclarée « outrée et révoltée face aux conditions de vie de ces animaux rachitiques et affamés qui doivent subir des soins vétérinaires urgents ».

Les bénévoles seront présents à la gendarmerie ce mercredi en présence des services vétérinaires afin de se rendre au domicile de la personne mise en cause pour récupérer la quinzaine de chiens maltraités. Le propriétaire sera poursuivi devant le tribunal de grande instance de Nîmes pour acte de cruauté.

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Les animaux ont été confisqués à leur propriétaire.

Un mas perdu dans la campagne de Saint-Paulet-de-Caisson, hier matin, aux alentours de 10 h 30. Sur la petite route, une enfilade de voitures avec en tête de cortège un véhicule estampillé gendarmerie nationale. Suivent au pas des camionnettes à l’effigie de la fondation assistance aux animaux. L’objectif du jour ? Sauver une quinzaine de chiens de chasse vivant dans des conditions non acceptables. Les moteurs se coupent un à un, et c’est la mine concentrée que tous les occupants s’approchent du domicile du propriétaire de la meute. Le chemin boueux conduit tout droit sur des chenils où des chiens et des chiennes de chasse comptent les heures.
Certains, curieux, pointent immédiatement le bout de leur truffe, tremblotants, alors que d’autres carrément inquiets vont se terrer dans leur niche. Sur le sol bétonné, s’amassent déjections et autres déchets. Les chiens sont maigres et d’après les membres de la fondation, souffrent visiblement de déshydratation. Stéphane Lamart, inspecteur principal de la fondation, descendu de Paris pour diligenter l’opération, s’insurge : « Je les trouve rachitiques et affamés. C’est typique de la manière dont les chasseurs traitent leurs chiens. Ils les utilisent quand ça les arrange, puis les laissent pourrir dans une cage quand ils ne les abattent pas d’un coup de fusil ».

Les membres de l’association s’attellent déjà à sortir les chiens de leurs cages. Certains, partent en laisse. D’autres, trop faibles ou trop peureux pour assurer quelques pas, sont pris à bras. Une opération sauvetage qui s’égrène sous le regard des gendarmes de la brigade de Pont-Saint-Esprit mandatés par le parquet de Nîmes dans le cadre de cette saisie. C’est la SPA de Vallérargues qui a
alerté les militaires à la fin de l’année dernière, après qu’un anonyme leur a relaté les conditions de vie de la meute de chasse. Les gendarmes ont alors procédé aux investigations. C’était le 20 décembre dernier. Photos, audition du propriétaire et des témoins... Puis l’ordre, quelques semaines plus tard, donné par le procureur de la République de Nîmes de procéder à la saisie des animaux. Ce mercredi, les femmes et les hommes venus au secours des chiens n’en trouvent que dix. Trois auraient été éventrés lors d’une battue au sanglier. Deux manquent à l’appel sans explication vérifiée. Le propriétaire des animaux n’étant pas là, c’est son frère qui renseigne les forces de l’ordre.

Un peu plus loin sur le chemin de terre, un voisin est venu aux nouvelles et lance furieux : « Traiter ses animaux de la sorte c’est impardonnable. Quand on n’aime pas les bêtes, on ne peut pas aimer les hommes ».

Rumeurs...
Les forces de l’ordre, les membres de la fondation Assistance aux animaux et la représentante de la DSV s’attendaient, hier matin, à secourir quinze chiens. Ils n’en n’ont trouvé que dix. Selon les explications du frère du propriétaire, trois auraient été tués lors d’une partie de chasse ; les deux autres manquants auraient pu être prêtés à d’autres chasseurs, une pratique qui serait courante dans le milieu. En effet, contre une certaine somme d’argent, les meilleures bêtes seraient louées à d’autres.

Des mois pour remettre sur pied la meute
Les chiens ont été emmenés au refuge de l’organisme, à Bellegarde. En trois mois, ce sont quelque 500 chiens que la fondation
Assistance aux animaux a récupérés aux quatre coins de France. Sans compter tous les autres animaux (du chat, en passant par les nouveaux animaux de compagnie, à l’instar de serpents et autres araignées) qui sont placés dans les refuges français de l’association. Les dix canidés récupérés à Saint-Paulet-de-Caisson hier matin, ont été conduits à Bellegarde. « Actuellement nous y avons une centaine de chiens », commente un membre de la fondation.

Avant de rejoindre leurs homologues, la meute de Saint-Paulet devait subir des contrôles vétérinaires afin de déterminer avec précision leur état de santé. « À première vue, ils sont sous-alimentés, affamés, et probablement infestés de parasites. Nous allons également devoir procéder à des échographies sur les femelles afin de vérifier qu’elles ne sont pas en gestation. » Ensuite, les animaux vont être vaccinés et recevoir tous les soins qui leur sont nécessaires. « Puis ils vont être resociabilisés. C’est une étape qui prend du temps. Ces chiens-là sont gentils, mais peureux. Peut-être certains ont été battus. Il va falloir prendre du temps, mais en agissant avec respect et affection on peut arriver à des résultats surprenants », rajoute Stéphane Lamart, inspecteur principal de la fondation Assistance aux animaux, œuvrant au service juridique et enquêtes à Paris. Enfin, d’ici quelques mois, les chiens seront proposés à l’adoption aux particuliers et, quoi qu’il arrive, comme il est légion dans la fondation, aucun ne sera euthanasié. « C’est une pratique que nous nous interdisons. Si nous sauvons les animaux, c’est pour leur offrir une vie meilleure après notre intervention. »

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Chiens méchants. « Ma fille a failli mourir »


http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/06/1028749-Chiens-mechants-Ma-fille-a-failli-mourir.html

Depuis deux semaines, la famille Khatbi ne vit plus. Depuis que la petite Inès, 4 ans a été attaquée par un bull-terrier dans un square des Minimes : « Ma fille a failli mourir sous mes yeux, raconte entre deux sanglots, Laurent Khatbi, le papa. Si je n'avais pas fait d'arts martiaux, je n'aurai jamais pu maîtriser cet animal en furie ». Ce dimanche-là, Inès a été sauvée simplement parce qu'elle portait un pull à col roulé qui a protégé sa gorge des crocs du chien. L'animal âgé de trois ans, s'est alors attaqué à son oreille qu'il a arrachée. Inès, tente de sourire, un large bandage blanc sur la tête. Après avoir été hospitalisée trois jours à Purpan, elle a subi il y a quelques jours, une greffe de l'oreille : « Le chirurgien m'a dit : si vous saviez le nombre de personnes qui viennent après avoir été mordues par des chiens », souligne le papa. Depuis le drame, toutes les nuits, la fillette hurle, appelle ses parents. « Elle revoit le chien la mordre. C'est horrible. On n'a dû stopper nos activités pour rester avec elle ». Ce père de famille déplore aussi l'attitude des gens présents ce dimanche sur le lieu du drame : « Ils regardaient mais aucun d'entre eux n'a appelé le Samu ou est venu me porter secours. Une telle indifférence s'ajoute à ma peine ». Après avoir porté plainte, Laurent Khatbi espère que justice soit faite. « Je voudrais que ce chien soit mis hors d'état de nuire pour éviter qu'un tel accident ne se reproduise». Car selon un professionnel de la SPA, « un chien qui a mordu peut à nouveau mordre ». Selon Jean Lavayssière : « Ce n'est pas obligatoire mais en tous les cas, l'animal doit subir un examen de comportement. La décision d'euthanasie ne peut être décidée par la ville qu'après résultat ».

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3 questions


«sensibiliser les enfants»


Comment éduquer l'enfant à l'animal ?
La société canine, avec le soutien de la ville, a des équipes formées qui tournent dans les Clae et les écoles de Toulouse. Accompagnées de chiens dits visiteurs (des animaux éduqués pour ne pas réagir aux sollicitations extérieures), ces équipes apprennent aux enfants les bons gestes et attitudes à adopter pour éviter tous accidents.

Quelques conseils ?
Ne jamais fuir quand un chien tente de vous attraper mais « faire le poireau », rester sans bouger. Quand un chien vous attaque, « faire la pierre » pour éviter les surfaces accessibles. Il faut aussi apprendre à laisser un chien tranquille, pas le titiller quand il mange et éviter de le regarder dans les yeux quand on le connaît pas bien.

Il faut aussi éduquer les maîtres ?
Selon moi, tout nouveau propriétaire de chien devrait suivre des cours à l'école des chiots

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Un homme atteint de diabète s'est réveillé avec trois orteils en moins, et cela après que son chien les a mangés dans le but de l'aider en le débarrassant d'une "zone contaminée" de son corps.

Plusieurs études sur le sujet sont parvenues à montrer que l'animal et notamment le chien pouvait être capable de détecter des maladies, et cela en raison de leurs nombreux récepteurs olfactifs (220 millions pour le chien, 50 millions pour l'homme). C'est sans doute grâce, ou à cause, de cette capacité qu'un chien, de race Shiba, a dévoré les trois orteils de son maître durant la nuit, alors que ce dernier souffrait de diabète. L'homme ne s'est rendu compte de sa mutilation qu'au petit matin, n'ayant rien ressenti parce que son pied était engourdi à cause de la maladie. Si l'animal souhaitait bien faire en aidant son maitre à se débarrasser d'une "zone infectée", l'homme a tout de même décidé de se séparer de son compagnon tandis que le chenil qui s'en occupe aujourd'hui assurait du caractère affectueux du chien. Et 7sur7 de noter qu'il ne s'agit pas de la première histoire sur le sujet. Cet été, un Jack Russel avait également mangé l'orteil de son maître. Des analyses médicales avaient alors montré que l'homme souffrait d'une infection osseuse, repérée par l'animal.

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PRAGUE, 9 mars 2011 (AFP) - Un chien renifleur accompagnant la police tchèque lors d'une démonstration dans un lycée de Plzen (ouest) a détecté par hasard une cachette de marijuana, a rapporté mercredi le quotidien Dnes> Quito ne s'est pas trompé: le casier appartenant à une lycéenne de 19 ans abritait un sac en plastique rempli de marijuana.

En République tchèque, un des pays les plus cléments en Europe pour amateurs occasionnels de drogues, la possession d'une dose allant jusqu'à 15 grammes de marijuana destinée à l'usage personnel est un délit mineur passible d'une simple amende.

La lycéenne malchanceuse risque cependant non seulement une punition à l'école mais aussi une poursuite criminelle pour possession d'une quantité jugée importante de stupéfiants.

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Carcassonne. Qui s'est acharné sur Okaïdo ?

http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/10/1031787-Carcassonne-Qui-s-est-acharne-sur-Okaido.html

Une grosse boule de poils, un regard un peu triste, Okaïdo, un Chow-Chow de 13 ans, porte un énorme pansement autour du ventre. « Que s'est-il passé ? » ressasse Sandrine Revel. Depuis août dernier, l'animal s'est très vite adapté à son nouvel environnement et il est rapidement devenu la mascotte du quartier lorsque ses maîtres se sont installés à Villalbe ; « Un chien doux, affectueux qui ne ferait jamais le moindre mal », affirme sa maîtresse. « Vendredi dernier, il a fugué, ce n'était pas la première fois et puis la clôture n'était pas terminée. Il est parti une demie heure pas plus. Vers 11 h 30, avec mon père on a remarqué des traces de sang à l'entrée de la maison, Okaïdo était rentré. Aussitôt, on a commencé à l'ausculter et on s'est vite aperçus qu'il avait une plaie, un trou au niveau du thorax », raconte Sandrine Revel.

Un couteau ou un tournevis

« Le vétérinaire a fait un travail formidable plus de deux heures d'opération », souffle-t-elle en surveillant du coin de l'œil son animal encore traumatisé parce qu'il a vécu. Le diagnostic du vétérinaire est sévère. « Il a été transpercé par un couteau ou un tournevis… il a aussi plusieurs côtes cassées ainsi que le sternum. Le vétérinaire a été catégorique il n'a pas été percuté par une voiture », affirme la jeune femme. « Je ne sais pas ce qui a bien pu lui arriver. Ce dont je suis sûre c'est qu'il est tellement gentil qu'il n'a même pas dû montrer les crocs », confie encore Sandrine Revel. Okaïdo tourne un peu en rond dans le petit jardin où une clôture provisoire a été installée. « Il a changé. Il est plus craintif qu'auparavant », reprend-elle. Okaïdo comme s'il avait compris vient chercher une caresse auprès de sa maîtresse. Bientôt, Okaïdo aura de la compagnie, le père de Sandrine lui a promis d'acheter un Chow-Chow de dix semaines pour lui redonner un peu vitalité. Sandrine lance malgré tout un appel à toutes personnes qui auraient pu voir la scène de violence dont a été victime son chien.

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< PARIS, 11 mars 2011 (AFP) - La chienne Zig, aboie et mord, elle refuse la relation amoureuse de sa maîtresse, elle est sous "Reconcile", une version animale du "Prozac" : le documentaire "Chiens et chats sous Prozac" dépeint une société américaine folle de ses bêtes prête à toutes les dérives.> Les animaux de compagnie sont de plus en plus nombreux à souffrir de "névroses". Une manne pour l'industrie pharmaceutique qui propose des médicaments spécifiques afin de calmer leur comportement agressifs, l'angoisse de la séparation ou encore la diminution des capacités mentales liées à la vieillesse...

Nicholas Dodman, vétérinaire comportementaliste, est un précurseur des traitements psychiatriques animaliers. A chaque maladie, sa pilule. Dans sa clinique vétérinaire, il traite à renfort de cachets bleus, l'angoisse de la séparation et les troubles obsessionnels compulsifs.

Très calme mais le regard hagard, la chatte Priscila, adoptée par Emilie, suit un traitement contre le stress pour ne plus se lécher jusqu'au sang quand sa propriétaire s'absente. Elle compte parmi les nombreux clients à quatre pattes de ces praticiens "nouvelle génération".

Le docteur Kent Ackerman, renouvelle l'ordonnance d'anxiolytiques de Timi, un caniche jugé agressif qui aboie à longueur de journée.

De son côté, Hank Davis, psychologue "évolutionniste", estime que "l'anthropomorphisme a dépassé toutes les bornes en Amérique du Nord où le commerce des animaux s'élève à 43 milliards d'euros par an".

"L'homme remodèle les animaux familiers à son image et les bêtes deviennent des petits humains à fourrure habillés comme des enfants", dit-il. "Les chiens et les chats partagent la vie et les névroses des hommes", déplore-t-il.

Chaque année, aux Etats-Unis, quatre à cinq millions de chiens et chats sont éliminés dans les refuges et fourrières pour troubles du comportement.


it/jca/dar/cgd

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< PARIS, 11 mars 2011 (AFP) - Labrador, berger allemand, yorshire, caniche : la Poste va éditer des timbres à l'effigie des chiens de race, dans le cadre de sa série annuelle Nature, a annoncé vendredi le groupe dans un communiqué.> La Poste a choisi de timbrer le chien, un des animaux préférés des Français qui en ont neuf millions.

Selon 30 millions d'Amis, ces quatres races de chiens caracolent en tête dans le coeur des Français.

Parmi les grands chiens de compagnie mais aussi de travail, le labrador est réputé pour chercher la drogue et guider les aveugles, le berger allemand pour le sauvetage en montagne.

Le yorkshire est aujourd'hui le chien vedette des expositions canines après avoir été à l'origine un redoutable tueur de rats dans les étroites galeries poussiéreuses de mines de charbon du comté du Yorkshire, Quant au caniche, le préféré des français, il fait partie des races les plus anciennes.


it/ide/cgd

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Le kidnapping de chiens se répand


http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/13/1033590-Le-kidnapping-de-chiens-se-repand.html#xtor=EPR-1



Audrey et Fabrice savourent le plaisir d'être avec leurs deux chiennes. De braves toutous qui ont été enlevés le vendredi 18 février en fin de journée. Ils les ont retrouvés dix jours plus tard après les avoir cherchés dans toute la ville. Un jeune homme, en grande difficulté sociale, les aurait tout simplement décrochés alors qu'elles attendaient leur patron parti faire des courses au Casino du Pont des Demoiselles. Dix jours plus tard, il a tenté de monnayer les animaux. Des « bâtards » pour lesquels il exigeait 450€. Une pratique qui se répand de plus en plus dans la ville et la région. « Le samedi, on a reçu un texto nous demandant de rappeler un numéro. Mon compagnon l'a fait », raconte Audrey. Ils rappellent et tombent sur le jeune homme. « On l'avait déjà croisé dans le quartier. Une fois, il nous avait demandé une cigarette, une autre fois, il avait joué avec les chiens. Il ne les lâchait pas des yeux », raconte Audrey. Au téléphone, il assure « qu'un type avec une casquette blanche a enlevé les deux chiens », qu'il va tenter de les récupérer. Quelques minutes plus tard, l'affaire est conclue. Il a un chien, il faut lui rembourser 450€. Samedi vers 11 heures, il se rend au Casino avec Vénus. Il tombe sur Fabrice qui, accompagné d'un ami, ne croit pas un traître mot de ce que le jeune homme raconte. « Il avait changé de version, il racontait que c'était un gitan qui avait volé les chiens… Mon compagnon a compris », raconte Audrey. Le jeune homme encaisse des coups et est sommé de rendre la seconde chienne. « Il les avait mis chez lui, dans une pièce. C'était plein de merde et pisse. ça sentait mauvais », confie Fabrice. N'ayant pas prévenu les services de police et fait justice lui-même, il risque d'être poursuivis. Tout comme le kidnappeur qui devrait être convoqué au commissariat et devant le tribunal correctionnel. Une de ses voisines assure : « Il a déjà eu des soucis avec les animaux, il ne semble pas être très soigneux avec eux ». Ce genre de méthode se propage sûrement dans la ville de Toulouse. « Si les propriétaires ne nous alertent pas, c'est un bon moyen de se faire un peu d'argent sans grand risque. Il suffit de mettre la pression sur les maîtres », confie un policier. Ainsi, récemment dans le Grand Sud, le chien d'une retraitée a été rançonné. Elle a payé et retrouvé son toutou. Il a été volé à nouveau quelques jours plus tard. Fabrice Vironneau

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Jusqu'à plus de 1 000 € de rançon


Henri Barbe, président de l'Antac-Europe se bat depuis les années quatre-vingt-dix pour la protection des animaux de compagnie. « En deux ans, les kidnappings de chiens sont devenus monnaie courante. Il y en a régulièrement. C'est un moyen de se faire de l'argent assez facilement… C'est la nouvelle délinquance », estime-t-il. Un comportement délictuel accentué par l'habitude prise par les gens de promettre des récompenses. En quelques mois, Henri Barbe a été mis au courant de plusieurs faits commis sur l'ensemble de la région. « Là, la rançon était élevée. De mémoire, elle variait de 1000 à 1500€», se souvient-il. En juin dernier, Toto, un bouledogue avait été dérobé alors qu'il se trouvait chez lui dans une maison de Vieille-Toulouse. Trois jeunes l'avaient enfermé dans un garage du quartier de Bagatelle à Toulouse. Toto devait être échangé moyennant une rançon de 450€. Mais, sa propriétaire a d'abord alerté les services de police. Intervenant à ses côtés, les policiers de la brigade anticriminalité ont réussi à interpeller les trois jeunes auteurs présumés de l'enlèvement. « Je milite pour que ce soit comme en Italie : on ne remet jamais d'argent. Il y aura des incidents, peut être graves, mais au bout d'un moment ces méthodes cesseront », explique Henri Barbe. Un brin extrémiste ? Sans doute. Le président d'Antac-Europe rappelle toutefois : « Les gens promettent des récompenses sur les annonces, les affiches. Cela aiguise les appétits ». Sachant qu'il y a de l'argent à la clef, les malfaiteurs de tous poils s'en donnent à cœur joie. Ainsi, il n'y a pas si longtemps, une femme a payé sa rançon. Elle n'a toujours pas revu son animal.

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Le chien la mord à six reprises


http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/16/1035946-Le-chien-la-mord-a-six-reprises.html

Une jeune femme de 31 ans a été attaquée par un chien, dans la nuit de lundi à mardi, vers 1 h 15 du matin, avenue des Minimes à Toulouse. C'est au moment où elle a croisé l'animal, qui était tenu en laisse par son maître, que celui-ci lui a sauté dessus. Visiblement très fort, son propriétaire n'est pas parvenu à le retenir. Mordue à la tête, aux jambes et dans le dos, la jeune femme est malgré tout parvenue à prévenir les secours. évacuée sur le centre hospitalier Purpan, où on lui a posé pas moins de 20 points de suture. Quant au maître et son chien, ils se sont sauvés avant l'arrivée de la police. Selon la victime, le chien pourrait être croisé avec un rottweiller. Les policiers ont ouvert une enquête

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Un chien tué pour sa queue

http://www.lunion.presse.fr/article/region/un-chien-tue-pour-sa-queue


Publié le lundi 14 mars 2011 à 10H19





Trop dodue pour un renard, sans parler de la différence de pelage !








BELLEU (Aisne). Sa rareté ou sa vague ressemblance avec un renard ont coûté la vie à une chienne retrouvée la queue coupée sur le bord de la route.
DAÏKA, jeune chienne de race Shiba Inu de 2 ans et demi, est morte ! Est-ce sa vague ressemblance avec un renard qui lui a valu une fin précoce ? « Elle a disparu de la maison, on se demande comment, dit Daniel Kutarasinski, ma propriété est bien clôturée. » « Nous l'avons retrouvée grâce à un ami qui l'a vue morte sur le bord de la route, après avoir été alerté par les affiches que nous avions placardées un peu partout… » Interrogée, la DIR a confirmé que des agents l'avaient repérée sur la dite route. « Les personnels de ce service n'ont pris, ni la peine de la ramasser, ni de faire lire la puce pour nous avertir, regrettent les maîtres de Daïka. À quoi sert-il de faire pucer nos animaux ? »

Un gain de 7,80 euros

De plus la chienne a été retrouvée avec la queue coupée… Est-ce alors le fait d'un piégeur agréé ou d'un garde-chasse qui, à bon compte, aurait voulu empocher les 7, 80 euros, payés par le Fédération des chasseurs, sur présentation de chaque queue de renard prélevée ? Cela, bien entendu, sans être trop regardant et sans faire la différence entre un chien et un renard, écrasé sur le bas-côté d'une route. On peut espérer qu'il n'en est rien car les vrais passionnés de sport cynégétique ont, pour les chiens, complicité et respect et ils devraient savoir faire la différence entre un « nuisible » et un animal domestique. Pendant tout ce temps, les propriétaires de la chienne chien n'ont pas été prévenus malgré les nombreuses affiches placardées. Bien entendu M. et Mme Kutarasinski sont affectivement touchés et ils continuent à se poser beaucoup de questions, compte tenu de la rareté et de l'originalité de la race. Daïka a pu être volée et s'est peut-être enfuie ensuite, avant de trouver cette mort indigne. En tout état de cause, ses maîtres ne savent pas précisément ce qui a pu se passer, mais trouvent que les personnes ou les agents de services territoriaux qui ont vu le cadavre de la chienne sur le bord de la route auraient pu faire le nécessaire pour que les avertir. Certes, ce n'est qu'une chienne, mais elle tenait une place importante au sein d'une famille d'êtres humains.

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Capture d'écran Daily Mail




Il s'appelle Big Splash et il a 11 mois, ce beau toutou qui ressemble à une grosse peluche !

Il vient d'être vendu en Chine pour la somme de 10 millions de yuan, soit plus d'un million d'euros, ce qui en fait le toutou le plus cher du monde, rapporte le Daily Mail. Son nouveau propriétaire est un riche multi-millionnaire chinois de l'industrie charbonnière. Cher à l'achat ... mais aussi à nourrir, car le monsieur ne mange que de la viande de premier choix, boeuf ou poulet, mais aussi concombre de mer et ormeau...entre autres ! Ce mastiff rouge du Tibet est devenu, depuis peu, un symbole de statut social en Chine. Beaucoup plus classe pour montrer ses richesses en promenant son chien que d'exhiber des bijoux ou une grosse limousine ! En plus , il est considéré comme un animal sacré qui apporte santé et sécurité à son propriétaire. Les Tibétains pensent que ces chiens possèdent l'âme des moines qui n'ont pas pu être réincarnés en homme ... Mais, pour vous , l'animal le plus cher du monde... ce ne serait pas le vôtre ?

Source : Daily Mail