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L'actualité des chiens

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Chenils du Roumois : la Fondation pour une peine exemplaire






Après une condamnation en première instance, le propriétaire d’un élevage canin a notamment dû s’expliquer devant les magistrats de la cour d’appel de faits de maltraitance envers ses animaux. La Fondation 30 Millions d’Amis, partie civile, attend une peine à la mesure des faits reprochés. Décision le 17 mars 2011.

Des animaux élevés dans des conditions déplorables, des chiens entassés les uns sur les autres, des chiots morts peu de temps après leur adoption… C’est une vaste affaire de maltraitance qu’a étudiée la cour d’appel de Rouen (17/2/11). Le propriétaire des Chenils du Roumois, situés à Theillement dans l’Eure, y comparaissait pour mauvais traitements en application du code rural et diverses infractions au code de l’environnement. Condamné en première instance à six mois de prison avec sursis, 6 800 euros d'amende, 23 000 euros de dommages et intérêts et frais de procédure, l’interdiction d’exercer une activité d’élevage ou de vente d’animaux pour une durée de 5 ans a également été prononcée par le TGI de Bernay (27), ainsi que la confiscation des animaux.


Ce sont des particuliers qui ont acquis des chiots dans cet élevage, qui ont attiré l’attention des autorités. Les animaux s’étaient révélés, peu après leur adoption, atteints de maladies graves, certains mourant quelques jours à peine après leur arrivée dans leur nouvelle famille. Après différents avertissements et des demandes de mise en conformité, il semblerait qu’aucune mesure n’ait été véritablement prise pour améliorer les conditions de vie des animaux au sein de l’élevage.

C’est lors d’une énième visite de contrôle que de nombreux manquements relatifs aux équipements d’usage et aux conditions sanitaires sont mis en évidence par les autorités (21/11/08) : certains chiens sont enfermés dans des petites cages de transport ou des conteneurs en plastique, entassés les unes sur les autres, et dans lesquelles les animaux ne pouvaient se tenir debout la tête droite... D’autres canidés, rassemblés par groupe de 7, se partagent des box de 5m². De nombreux animaux vivent en permanence dans la pénombre, et la ventilation est insuffisante. Les inspecteurs trouvent également des chiens malades, vivant dans leurs excréments. 153 chiens seront en tout dénombrés, alors que le propriétaire ne dispose que d’une autorisation valable pour… 49 animaux ! Un témoignage évoquerait même les conditions dans lesquelles des chiots auraient été incinérés, alors que certains n’étaient pas encore morts.

Proposés à la vente en « parfaite santé » sans qu’aucune anomalie n’ait été signalée par le vétérinaire en charge de leurs certificats, de nombreux chiots auraient gardé de graves séquelles - troubles de comportements, chiens craintifs - tandis que beaucoup auraient succombé à la maladie. En tout, ce sont 130 acheteurs, le plus souvent profondément traumatisés par la perte de leur animal, qui portent plainte auprès de la gendarmerie de Bourgtheroulde (17). Et malgré un classement sans suite de l’ensemble des plaintes (!), l’enquête se poursuit. Sur avis du CODERST*, la préfecture de l’Eure ordonne la fermeture de l’élevage (26/12/09), tandis que les associations de protection animale, parmi lesquelles la Fondation 30 Millions d’Amis, se constituent partie civile. Après six procédures judiciaires, cinq mises en demeure et deux fermetures provisoires, une première condamnation est enfin prononcée, au soulagement des particuliers et des associations.

La Fondation 30 Millions d’Amis, qui avait salué la justesse de la décision du TGI de Bernay, espère une condamnation confirmée en appel, à la hauteur de la gravité des faits dont les premières victimes sont, une fois de plus, des animaux sans défense. Le jugement a été mis en délibéré au 17 mars 2011.

Source : Fondation 30 millions d'amis
20/03/2011

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Un dogue danois femelle de 4 ans a accouché à Varsovie d'une portée de 17 chiots.

Pour sa première portée, Hania a fait très fort. En effet, ce dogue danois femelle de quatre ans a donné naissance à 17 chiots ! L'accouchement a eu lieu lundi dernier dans une clinique vétérinaire de Varsovie, en Pologne. Au total, ce sont huit chiots mâles et les neuf chiots femelles qui sont venus au monde. Pour préserver la santé de Hania, son éleveur, Gabriela Kubalska, avait décidé d'un accouchement par césarienne. Le but était de ne perdre aucun des nouveaux-nés. L'opération a donc été un véritable succès. Très fatiguée, la chienne est aujourd'hui dorlotée par sa maîtresse, et offre son ventre à toute sa progéniture. A noter que pour l'aider dans cette tache, qui devrait durer deux mois, un autre dogue danois femelle a été appelé à la rescousse.

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Dimanche, à Thivencelle, dans le Nord, ce sont des voisins qui ont alerté la police après avoir découvert ce couple en train d’achever leur chien, un bâtard croisé berger allemand, âgé de 12 ans.


Les maîtres de ce chien avaient décidé de le tuer en raison de son état de santé, rapporte L’Observateur du Valenciennois. L’animal était blessé au niveau de l’arrière train. Le couple a frappé à plusieurs reprises l’animal avec une bêche et un bâton. A l’arrivée des policiers, le chien se trouvait dans un état critique. Les fonctionnaires ont confié le chien à la SPA. L’animal a été opéré par un vétérinaire, indique L’Observateur du Valenciennois. Il a survécu à ses blessures. Le couple est convoqué prochainement devant le tribunal correctionnel de Valenciennes pour "cruauté envers les animaux". De son côté, la SPA a porté plainte contre le couple.

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TOULOUSE, 22 mars 2011 (AFP) - Les quelque 50.000 chiens de Toulouse pourront se fier dès l'automne à leur flair pour repérer les endroits où faire leurs besoins, grâce à l'épandage d'effluves leur donnant envie d'uriner dans des lieux dédiés, a annoncé mardi la mairie.> L'enjeu est de taille puisque la ville, selon lui, ramasse 5 tonnes de déjections canines par jour sur les trottoirs.

Mis au point par une entreprise de Toulouse, Carbone Agronutrition, en collaboration avec le Laboratoire de Chimie Agro-Industrielle (INP-ENSIACET) et l'Ecole Nationale Vétérinaire d'Alfort, le produit combinera deux groupes olfactifs: des odeurs alimentaires et des senteurs à base d'urine et d'excréments. Des effluves qui toutefois ne devraient pas incommoder les humains.

Actuellement, Toulouse dispose de quelque 60 cani-sites et caniparcs, de distributeurs pour 450.000 pelles et 50.000 poches, fait des campagnes de sensibilisation, verbalise les contrevenants... un dispositif qui coûte à la ville plus de 70.000 euros.

"Nous avions la remontée régulière de propriétaires de chiens qui se plaignaient que les espaces réservés n'attiraient pas vraiment nos amis les bêtes", explique-t-il. Désormais, "c'est le chien qui amènera son maître à l'endroit idéal", se félicite-t-il.

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Saint-Sulpice. Une nuit agitée dans la commune


http://www.ladepeche.fr/article/2011/03/23/1041463-Saint-Sulpice-Une-nuit-agitee-dans-la-commune.html

Geneviève N'Guyen, avec ses enfants, habite une maison individuelle située impasse Bel Solelh. Le quartier est habituellement des plus tranquilles. Cependant, à 2h30 du matin, dans la nuit de lundi à mardi, elle est réveillée par les aboiements inhabituels de Tran, cane corso, le chien de la famille. Etonnée et surprise, elle se lève, va à la fenêtre et observe longuement les environs : «J'ai guetté un moment parce que j'ai constaté que le portail était entr'ouvert. Je n'ai remarqué aucun mouvement, aucun bruit, alors je suis allée me recoucher. Pourtant je n'étais pas tranquille.». Soudain, à 3h du matin, elle entend un énorme fracas, le chien se remet à aboyer furieusement. « J'avais un peu peur, j'ai regardé à nouveau par la fenêtre et j'ai vu le scooter de Jean, mon fils, couché au milieu de la cour. J'ai appelé la gendarmerie et sur leur conseil, je ne suis pas sortie.». Les gendarmes de Graulhet sont arrivés quelques instants après, ils ont patrouillé dans les environs de la maison et n'ont rien remarqué. Après avoir pris ma déposition, ils sont repartis pour sillonner les rues de Saint-Sulpice à la recherche de mouvements suspects. Ils n'ont rien constaté. Geneviève N'Guyen ne ferme pas la porte de son garage à clef, ce qui a facilité la tentative de vol du scooter. Etant donné l'objectif des voleurs, sans doute ceux-ci sont-ils des jeunes gens. Quoi qu'il en soit, Tran a fait du bon travail, car ils ont pris peur et détalés sans réaliser leur forfait. Il y a deux ou trois ans, une maison de l'impasse avait déjà reçu la visite de cambrioleurs aux mêmes heures. Là aussi, les propriétaires étaient présents et endormis. Là aussi, ils étaient passés par le garage. Toujours dans la nuit de lundi à mardi, dans le quartier de l'impasse Bel Solelh et du chemin de Tapie, des voitures garées devant des maisons ont été visitées, forcées, ouvertes pour s'emparer de ce qu'elles contenaient. P.B

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Au piano, ces deux chiens n'ont pas leur pareil et forment un magnifique duo musical.

Ces deux chiens sont de vrais musiciens. Formant un extraordinaire duo, ils sont en effet capables de jouer du piano. La partie de chacun est strictement distribuée, et ils connaissent parfaitement leur partition, sachant à quel moment intervenir. Il est vrai que le chien marron fait la plus grande partie du travail, mais le chien blanc n'est pas en reste. Il conserve une grande prestance au moment de faire résonner la note de musique. Et si ces deux chiens ne sont pas prêts de détrôner Mozart, on peut cependant saluer leur sérieux et leur niveau d'implication. Ensemble, ils jouent un morceau au piano à quatre pattes, et à aucun moment ces deux toutous ne se laissent perturber par leur environnement. A la fin de leur numéro, ils restent même parfaitement immobiles, tels des professionnels attendant des applaudissements.


Découvrez les chiens musiciens en vidéo sur Zigonet.

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Stanley, un chien intrépide, a fini par se cogner en voulant sauter par dessus un lit. L'animal avait tout simplement oublié qu'il devait passer par-dessus...


En voulant faire le beau, ce chien nommé Stanley s'est lamentablement cogné contre un lit ! Dans la description de sa vidéo gag, son maitre nous apprend que cette scène a eu lieu au moment où il voulait donner un bain à son animal. Pas très enthousiaste, ce chien s'est alors mis à faire des aller-retour dans la maison en sautant par-dessus un lit. Jusque là rien de bien grave, sauf que lors d'une ultime tentative, il a simplement oublié qu'il fallait sauter, et s'est donc retrouvé la tête contre le lit ! L'animal a l'air de s'en être très bien tiré, tandis que sa maîtresse n'arrive pas à retenir son rire. Ce petit accident aura eu pour effet de calmer le chien. En effet, par la suite il choisit de s'asseoir tranquillement plutôt que de retenter cette douloureuse expérience.

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Sauzé-Vaussais, dans les Deux Sèvres.

Nous sommes au domicile de la grand mère, dimanche dernier, après 20 heures. La mamie s'apprête à sortir son chien pour le promener... Elle ne veut pas, mais l'enfant se risque à attacher la laisse au cou de l'animal, lorsque le molosse bondit, se jette sur l'enfant et le mord au visage, raconte La Nouvelle République. Le chien est un american staffordshire. La grand mère essaie bien de le rattraper, mais trop tard, il a déjà planté ses crocs dans la joue de son petit fils qui est sérieusement blessé ! Les sapeurs pompiers sont intervenus pour diriger l'enfant vers l'hôpital de Niort, où il a ensuite été transféré vers celui de Poitiers. Bien que ses jours ne soient pas en danger, il devra faire l'objet d'une opération de chirurgie réparatrice. Une enquête de la gendarmerie est en cours. Le chien a 11 ans. Il est stérilisé. Il serait en règle. Sa propriétaire a bien le permis de détention obligatoire. Mais cette dernière a demandé "qu'il soit euthanasié". Des poursuites judiciaires contre la grand mère pourrait être engagées toutefois "pour blessures involontaires" et "imprudences", si tel était le cas.

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Les garde-côtes japonais ont annoncé samedi avoir sauvé un chien en mer 21 jours après le tsunami. L'animal a été aperçu par hélicoptère sur le toit d'une maison, avant d'être secouru par voie maritime.


C'est une des histoires qui réconfortent un peu le peuple japonais, mis à mal par le séisme et le tsunami du 11 mars dernier, ainsi que la catastrophe nucléaire de Fukushima qui en découle aujourd'hui. Samedi, les garde-côtes nippons ont annoncé avoir secouru un chien en mer 21 jours après le passage de la vague dévastatrice sur le nord-est du pays. L'animal, apparemment en bonne santé, a été repéré vendredi par l'équipage d'un hélicoptère, sur le toit flottant d'une maison. Effrayé par le bruit de l'appareil, le chien a commencé à sauter de débris en débris. Conséquence, c'est par bateau qu'il a été secouru et ramené sur la terre ferme. "Il est très doux et a l'air en forme. Il mange des biscuits et des saucisses", a déclaré le responsable des garde-côtes à la presse du pays. En revanche, si le chien porte un collier, "il n'y a aucune autre indication permettant d'identifier son propriétaire". Aussi, les sauveteurs ne sont pas en mesure de savoir si le chien a passé 21 jours en mer, où s'il a dérivé sur ce toit en d'autres circonstances.

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Quand on aime les animaux on ne compte pas! Et cet homme a probablement arrêté de compter depuis bien longtemps, puisqu'il possède aujourd'hui à domicile plus d'une centaine de chiens.


Li Zongwen, un ancien chef cuisinier de 59 ans habitant la province de Wuhan, en Chine, fait depuis peu l'intérêt des médias. Et pour cause, cet homme soucieux du bien-être des animaux, et qui avait commencé à recueillir les chiens errants de son quartier dès 2009, possède aujourd'hui à son domicile une véritable meute composée de 140 chiens ! Pour nourrir toute sa petite troupe, Li Zongwen doit alors faire appel à la générosité d'autres personnes, également sensibles à sa cause, et qui lui versent ainsi régulièrement des dons en nourriture ou en argent, explique le DailyMail. Il faut dire que l'élevage de chien de Mr Zongwen a un coût, puisque cela lui revient en moyenne à 5 000 yuans, soit 539 euros par mois. Et malgré le bruit et la montagne de travail que cela donne à cet amoureux des chiens, Li Zongwen ne se plaint pas et dit aimer la compagnie de ses animaux avec lesquels il partage même ses repas, comme il le ferait avec une grande famille. La preuve qu'en amour, quand on aime on ne compte décidément pas!

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Ce chien a trouvé une astuce pour ouvrir le frigo. Une nuit, il s'est emparé d'une part de pizza, mais ne se doutait pas que son maître avait installé une caméra pour le prendre en flagrant délit.

Ce chien, très débrouillard, n'hésite pas à se rendre dans la cuisine pour calmer une petite faim. En pleine nuit, l'animal a réussi à ouvrir le frigo pour se servir en toute tranquillité une part de pizza. Le plus étonnant dans tout cela, c'est qu'une fois qu'il a réussi à ouvrir l'appareil, il sait exactement ce qu'il veut. Sans perdre de temps, il se dirige donc vers la boite qui contient la pizza. Il ouvre rapidement celle-ci et s'enfuit avec une part. De plus, l'animal chapardeur ne prend même pas la peine de refermer la porte du réfrigérateur, il la laisse entrouverte. Grâce à son ingéniosité, l'animal n'a donc plus besoin d'attendre le réveil ou le retour de son maître pour se nourrir. D'ailleurs, il est fort probable que son propriétaire cherchait à découvrir pourquoi ses aliments disparaissaient du frigidaire. C'est sans doute pour cette raison qu'il a mis en place cette caméra juste en face du réfrigérateur. Découvrez le chien-voleur en cliquant ci-dessous:

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France - Des chercheurs français ont étudié plusieurs fossiles de chiens vieux de plus de 11.000 ans et découverts dans l'Hexagone. Publiée dans le Journal of Archaeological Science, l'étude montre que l'élevage de ces animaux dans notre pays - pour la chasse, mais aussi pour leur chair et leur fourrure - remonte à très longtemps.


Examinant les fossiles de ce qu'ils pensaient être des dholes, des canidés sauvages ne vivant plus aujourd'hui qu'en Asie, des chercheurs du Muséum national d'histoire naturelle de Paris (MNHN) et de l'Université de Lyon I, se sont aperçus qu'il s'agissait en fait de chiens domestiques. Approximativement de la taille d'un caniche ou d'un cocker, les animaux ont été mis au jour dans le sud-ouest et dans le nord de la France faisant remonter bien plus tôt que ce que l'on pensait leur élevage dans ce pays. En effet, la datation au radiocarbone indique un âge compris entre 11.500 à 15.000 ans. "Certains des restes que nous avons étudiés présentent des marques de découpe qui indiquent que les animaux ont été mangés et que leur fourrure a pu être utilisée", explique Maud Pionnier-Capitan, du MNHN. "Des recherches génétiques récentes sur les chiens et les loups suggèrent plusieurs centres de domestication du chien : le Moyen-Orient, l'Europe et la Chine. L'Europe a probablement été très tôt un foyer de domestication du loup", précise pour sa part Mietje Germonpré, paléontologue à l'Institut royal des sciences naturelles de Belgique. En 2008, elle avait découvert dans une grotte du pays, le chien le plus ancien du monde, datant de quelque 32 000 ans.

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Citation:
Elle s’appelle Chipie. Cette chienne de race yorkshire a été capturée la semaine dernière aux abords de la RN 86 par une patrouille de la police municipale. L’animal est emmené chez un vétérinaire. On découvre que la chienne, qui est équipée d’une puce a été volée il y a sept ans, à Vierzon (Cher). La propriétaire du yorkshire y vit toujours.

Elle s’appelle Sandra Exposto. Contactée par la police municipale de Pont-Saint-Esprit, cette mère de famille - quatre enfants - n’avait plus eu de nouvelle de son animal depuis 2004. « Lorsque je l’ai achetée, elle s’appelait Toscane. Je l’ai rebaptisée Princesse. Quand on me l’avait volée, j’avais mis des affiches partout, ainsi que des promesses de récompenses ». En vain !

Une péripétie de la vie de Chipie que Joël Dordonnat semblait ne pas connaître. Jeudi, quand ce Spiripontain téléphone au poste de police pour signaler la disparition de son yorkshire, il paraît tomber des nues. L’homme qui dit découvrir que sa chienne était pucée, - il ne l’a jamais emmenée chez le vétérinaire -, apprend par la même occasion que le yorshire femelle a un propriétaire légal.

Explications. En 2004, Joël Dordonnat, chauffeur routier, vit à Vignoux-sur-Barangeon, dans l’arrondissement de Vierzon. « Des amis à ma femme m’ont offert ce yorkshire femelle qu’ils avaient récupéré chez des gens un peu marginaux ». Le routier deviendra donc, à son insu, le maître d’un animal volé. « Pour moi, c’était une chienne abandonnée ». Joël Dordonnat la baptise Chipie « parce qu’elle est un peu caractérielle comme tout chien de race terrier ». Mais il ne l’imaginait pas fuguer. « J’étais au travail, la chienne à la maison. Mon fils bricolait dehors ». Le portail était ouvert. Et Chipie s’est échappée.

« Elle divaguait sur la voie publique, raconte un agent de police, elle aurait pu causer un accident ». De retour à la maison, la chienne attend désormais de savoir si elle peut continuer à vivre à avec son propriétaire routier à Pont-Saint-Esprit. Ou si elle doit retourner à Vierzon auprès de sa maîtresse légale. Cette dernière explique : « J’avais fais le deuil, mais je ne l’ai pas oubliée. J’ai d’ailleurs gardé sa corbeille, sa gamelle et son carnet de santé ». Sandra Exposto voudrait récupérer sa Princesse. Joël Drdonnat souhaite garder la chienne qu’il a rebaptisée Chipie.

Depuis jeudi, les deux parties sont en négociation. Et le routier Spiripontain ne désespère pas de garder ce yorkshire décidément très convoité.


http://www.midilibre.com/articles/2011/04/04/A-LA-UNE-Une-chienne-volee-il-y-a-7-ans-a-Vierzon-est-retrouvee-a-Pont-Saint-Esprit-1581639.php5

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Drôle d'émotion, la nuit dernière, pour un Annécien qui rentrait chez lui après un dîner entre collègues. En arrivant à son domicile, peu avant 1h du matin, il a entendu des gémissements provenant des containers à ordure, déposés le long de la copropriété. Craignant ce qu'il pouvait découvrir, il a soulevé délicatement le couvercle et découvert, tout au fond de la poubelle, contre des sacs d'ordures, un petit bichon blanc. L'homme a aussitôt enlevé les sacs et incliné le bac pour faire glisser doucement l'animal, qui est sorti de là tremblotant de froid et de peur. La police s'est rendue sur les lieux et a emmené l'animal, en piteux état dans un centre vétérinaire.


Mal nourri, maltraité et presque mort...

Le pire est à venir. Et ce sont les vétérinaires qui ont recueilli le chien qui ont fait le triste constat. Dénutrit, en hypothermie sévère (34°C au lieu de 38,5°C), le chien était en très mauvais état général. Pas brossé, le poil sale, l'oeil fermé par une mauvaise infection, des ongles de plusieurs centimètres aux pattes, recourbés à force de ne pas être coupés... L'animal a sans doute vécu un véritable calvaire de plusieurs semaines à plusieurs mois au moins?... Tout ça pour finir, jeté dans une poubelle, promis au broyeur du camion benne qui passe tous les matins entre 8h et 9h. Sa survie est toujours jugée incertaine, les vétérinaires ignorent si les soinjs parviendront à lui faire retrouver une santé normale. Il est pour l'heure toujours sous perfusion, apathique, n'ayant ni la force de se redresser et même pas d'aboyer, même si sa température est stabilisée...





par Stéphane BOUCHET le 01/04/2011 à 11:59

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Avant de commencer à manger, ce chien très croyant doit attendre que sa maîtresse dise la Grâce.

Avant chaque repas, ce chien doit attendre que sa maîtresse dise l"Amen" pour commencer à manger ! En effet, la propriétaire de celui-ci lui a appris qu'il devait remercier Dieu avant de commencer son repas. Quand elle lui apporte sa nourriture, le chien affamé sait donc qu'il doit se mettre en position pour prier. C'est donc assis et les pattes avant jointes qu'il écoute sa maîtresse dire la Grâce. Bien sûr, celle-ci adapte la prière à l'animal, en s'adressant à Dieu en son nom. Elle commence donc par remercier le Tout-Puissant pour la nourriture que son chien a devant lui et pense aux autres qui n'en ont pas. Le quadrupède, très habitué à ce rituel, n'attend alors que le traditionnel "Amen" pour enfin attaquer son repas.

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LIMOGES, 7 avr 2011 (AFP) - Un chien qui attaquait depuis plusieurs jours des troupeaux ovins près d'Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) et mobilisait les forces de gendarmerie a été abattu jeudi, a indiqué la préfecture de la Haute-Vienne, mais le dispositif de surveillance est maintenu pour retrouver un second chien.> Cependant, "deux chiens ont été identifiés visuellement et techniquement, l'affaire n'est pas totalement réglée", et, en conséquence, "un dispositif de surveillance est maintenu", a-t-on ajouté par ailleurs.

Des gendarmes, appuyés par les services de l'Office national de la chasse et de la faune sauvage (ONCFS) et de louvetiers de la Direction départementale des territoires (DDT) étaient à l'affût depuis lundi pour traquer des chiens errants responsables de la mort de 34 moutons en une semaine autour d'Oradour-sur-Glane.

Les responsables pensent que ces chiens avaient déjà sévi sur la même zone en septembre et octobre derniers quand 90 moutons avaient été égorgés.

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Pour célébrer les noces de sa chienne, une Anglaise un peu excentrique vient de dépenser une somme inconsidérée!



Louise Harris est folle de sa chienne. Preuve de cet amour, elle vient de dépenser la somme de 20 000 livres sterling, soit 23 000 euros pour simplement la marier ! Possédant une petite chienne du nom de Lola, Louise Harris avait en effet entrepris de lui trouver un partenaire afin que celle-ci puisse s'épanouir dans les liens du mariage. Pour la noce, la Britannique n'a pas lésiné sur les moyens, avec manoir loué 2 500 euros pour l'occasion, des gardes du corps pour les chiens, et pas moins de 13 000 euros de fleurs. Une cérémonie digne de celle de Kate Middleton et du Prince William ! Un tarif élevé surtout lorsque l'on connaît le nom de l'heureux élu qui n'est autre que Mugly, le chien élu le plus laid de Grande Bretagne. Une union étrange et insolite qu'on l'on souhaite cependant heureuse pour les deux partenaires canins!

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http://www.journal-du-chien.com/actua.php?id_actua=3447&from=0

Canada - Des chiots sauvés par dizaines de la misère

Isabelle Audet
La Presse

Dans certaines communautés isolées du Nord-du-Québec, la surpopulation canine atteint un niveau préoccupant. Des centaines de chiens errants meurent de froid, de faim, ou encore ils sont euthanasiés. Une femme de la région de Montréal en a eu assez : elle sauve ces chiens par dizaines.

Un soir d'hiver, des employés de l'aéroport Trudeau sortent cinq cages d'un avion d'Air Inuit.
À l'intérieur, des chiots couinent. Nés dans le nord du Québec, ils n'ont connu jusqu'ici qu'une vie d'errance, de malnutrition et de violence.

Ils s'apprêtent à connaître quelque chose de nouveau: une famille.

PHOTO : Une cinquantaine de chiens du Nord québécois ont été adoptés par des familles du sud du Québec grâce à l'organisme Chiots nordiques.

PHOTO: DAVID BOILY, LA PRESSE

Cathy Samson et André Roy présentent les animaux à leurs propriétaires, qui attendent dans une petite pièce. Les chiots sortent timidement, et chacun est accueilli par des «aaaaah» attendris.

Le couple est à la tête de Chiots nordiques, une initiative privée pour trouver des familles à ces laissés pour compte du Nord.

Cathy, une ergothérapeute qui travaille à l'occasion à Kawawachikamach, près de Shefferville, compte sur un réseau de bénévoles. Ses contacts dans le Nord repèrent les chiots abandonnés, et s'assurent de leur transport jusqu'à Montréal. Dans la métropole, d'autres collaborateurs de Chiots nordiques se chargent de les confier à des familles dignes de confiance.

«Je ressentais beaucoup d'impuissance à voir des chiens qui avaient de multiples problématiques: ils avaient faim, froid, ils étaient laissés à eux-mêmes, souvent malades... je ne pouvais pas rester comme ça», raconte Cathy.

Elle a d'abord ramené un chien pour elle, puis son initiative a pris de l'ampleur. En quelques mois seulement, avec l'aide d'une poignée d'amis, elle a contribué à sauver une cinquantaine de chiens.

Les sauver de quoi, exactement? «Les bébés meurent souvent. Ils vivent cachés sous les balcons des maisons. Et puis, une fois par année au moins, les municipalités avisent la population de garder les chiens domestiques à l'intérieur. Ceux qui restent à l'extérieur, qui n'appartiennent à personne, sont tués», raconte-t-elle.

Le problème de surpopulation

«La semaine dernière, il y avait une meute d'une dizaine de chiens qui se promenait dans la ville. Les policiers ont été obligés de les ramasser, malheureusement», raconte Diane Fortier, citoyenne de Shefferville.

Elle explique qu'une fois par année, les autorités «font le ménage», et partent avec des dizaines de chiens errants. «On ne les revoit plus», dit-elle.

Les municipalités du Nord québécois sont parfois contraintes d'euthanasier les chiens errants. Sans vétérinaire pour pratiquer des injections létales, c'est l'arme à feu qui devient alors l'ultime solution.

«On ne peut pas blâmer les communautés, tempère Alanna Devine, porte-parole de la SPCA, à Montréal. Il y a un problème de surpopulation. Oui, une euthanasie par injection, par un vétérinaire, serait une meilleure solution, mais la vraie solution, c'est la stérilisation des chiens en région isolée. Une stérilisation massive pour qu'ils ne se reproduisent plus. Et pour y arriver, il faudrait organiser une campagne avec plusieurs vétérinaires.»

Pas de vétérinaire

Or, il n'y a pas de vétérinaire dans le Nord-du-Québec. «Pour faire stériliser mes deux chiennes, je les ai amenées à Sept-Îles. C'est un voyage de 12 heures en train... aller seulement», raconte Diane Fortier.

«Il y a certainement de la place pour un investissement dans ces régions, pour qu'un ou des vétérinaires s'y installent de façon permanente, croit Cécile Aenishaenslin, vétérinaire fondatrice du Groupe international vétérinaire, et responsable d'un projet au Nunavik. Le problème n'est pas le même dans toutes les communautés, et il faut considérer les questions culturelles, mais oui, il y a des endroits où ça va moins bien.»

Sans stérilisation, et n'appartenant à personne, des dizaines de chiens errants gravitent autour de certaines communautés isolées, et continuent de se reproduire.

«Mon projet est à très petite échelle, mais au moins, on offre de meilleures conditions de vie à quelques chiens en les amenant dans le Sud», croit Cathy Samson.

Chiots nordiques a permis à une cinquantaine de chiens de trouver un foyer, jusqu'à maintenant. D'autres groupes aussi, comme les Centres d'animaux de compagnie du Québec, contribuent à trouver un foyer aux chiens errants.

Des chiens métissés, énergiques, qui ont survécu grâce à un tempérament obstiné. «Ce sont des chiens de tête, constate André Latendresse, propriétaire de deux chiots nordiques. Mais je n'ai jamais eu de chiens aussi intelligents.»
Source : http://www.cyberpresse.ca/actu(...)

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source : Télé Animaux

< LIMOGES, 11 avr 2011 (AFP) - Un chien supposé errant qui attaquait depuis plusieurs jours des troupeaux ovins autour d'Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne), et qui a été abattu jeudi, appartenait à une habitante de la commune par ailleurs conseillère municipale, a-t-on appris lundi de sources concordantes.> "Elle est dépitée et assume totalement sa responsabilité", a dit à l'AFP le maire d'Oradour-sur-Glane, Raymond Frugier, racontant que le chien domestiqué "avait franchi son enclos pour suivre une chienne en chaleur" probablement responsable selon lui des mêmes attaques survenues au mois d'octobre dernier contre des troupeaux de moutons.

Parallèlement, même si aucune attaque n'a été recensée depuis les événements, le dispositif piloté par la préfecture de la Haute-Vienne avec le concours de l'office national des forêts, la Direction départementale des territoires (DDT) et les gendarmes du département, reste d'actualité.

"Nous restons sur le pied de guerre", a-t-on dit à la préfecture. Les patrouilles pédestres et affûts se poursuivent afin de neutraliser le second chien tueur, la femelle incriminée qui, selon les spécialistes, pourrait être à la recherche d'un nouveau compagnon de route avant de repasser à l'action.


cor-lab/od/DS

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Colomiers. Un chien martyrisé retrouvé vivant dans un bassin de décantation

http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/13/1058158-Colomiers-Un-chien-martyrise-retrouve-vivant-dans-un-bassin-de-decantation.html



C'est un riverain, alerté par les aboiements de l'animal qui a prévenus les pompiers. Arrivés devant le n° 39 du boulevard Victor-Hugo, à 16 h 30, jeudi 7 avril, ceux-ci n'ont pu que confirmer les craintes du voisinage : un chien encore vivant était prisonnier au fond d'un bassin de décantation en ciment. Au fond du puisard profond de 4 mètres, les pompiers firent une autre découverte. Le chien de berger au pelage noir ponctué d'une tache blanche sur la poitrine avait une oreille sectionnée et sa cuisse gauche fracturée avait les chairs en charpie. Transporté chez le vétérinaire par les agents de la SAGPA, la société chargée du service de la fourrière municipale, le chien a été immédiatement euthanasié. « Il n'avait pas d'autres blessures sur le corps et la coupure de son oreille était cicatrisée. Mais c'est la première fois que l'on m'amenait un chien dans un tel état », précisait hier le vétérinaire. Pour Anne Sanchez, la directrice de l'antenne toulousaine de la SPA, qui va déposer plainte auprès du commissariat de Colomiers, le chien pourrait avoir été victime de sévices. L'état de son arrière-train à vif et atrocement meurtri pourrait également être la conséquence d'un accident de la circulation. Mais quelle que soit l'origine de la blessure rien ne permet d'expliquer comment l'animal s'est retrouvé prisonnier au fond d'un bac de décantation gorgé de boue et d'eau usée. La SPA demande à toute personne susceptible d'apporter des informations sur les circonstances des blessures infligées à ce chien d'appeler le : 05 61 47 60 00 ou le 05 61 47 62 60.

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http://www.nicematin.com/article/faits-divers/menton-des-chiens-maltraites-dans-le-jardin-de-leurs-maitres



Leur maîtresse n'en revient toujours pas. Dans sa propriété, derrière grille et grillage, ses chiens ont été battus. Le soir, au retour de leur travail, les propriétaires ont, en effet, retrouvé leurs chiens groggy : Brisca, bearded collie de 5 ans, avait le museau en sang. Figaro, un shi-tsu de quelques mois seulement, semblait abasourdi.

Des soins ont été apportés rapidement et tout paraissait rentrer dans l'ordre.

Pourtant, au petit matin, Brisca semblait ne plus contrôler son équilibre, son côté gauche paraissait peser trop lourd, elle vacillait et sa tête toujours penchée ne rassurait pas ses maîtres.

Selon le vétérinaire qui l'a examinée en urgence, Brisca présentait un traumatisme crânien entraînant des séquelles neurologiques.

Les propriétaires des deux chiens ont donc contacté la SPA et déposé une plainte à la gendarmerie de Tende.

« Nous n'avons pas de voisin immédiat, alors a-t-on voulu nous cambrioler ? Est-ce un acte de malveillance pure ? », s'interroge la maîtresse des deux chiens. Elle poursuit : « C'est un acte monstrueux ! S'en prendre à des animaux, s'en prendre à des petits chiens qui ne font que profiter de leur propre jardin ! »

Les patrons de Brisca et Figaro se doutent bien que les malfrats risquent de rester impunis mais ils souhaitent que chaque propriétaire de chien soit vigilant.

« Nos chiens sont nos compagnons. Même dans nos propriétés, ils ne sont pas à l'abri d'actes barbares ou d'actes de malveillance. »

Les conseils qui lui ont été donnés, malgré son beau jardin, malgré le calme alentour : laisser les animaux enfermés à l'intérieur de la maison et ne pas oublier de fermer les volets.

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http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/14/1058821-Saint-Michel-de-Lanes-L-eleveuse-congelait-des-chiens-et-chiots-morts.html

Arlette Fiole comparaissait hier pour la dixième fois devant le tribunal correctionnel. Et une nouvelle fois pour ses activités d'éleveuse de chiens... C'est suite à une dénonciation, de la part de l'une de ses filles, indignée, qu'Arlette Fiole a reçu la visite en juin dernier des gendarmes de la brigade de Salles-sur-l'Hers. Ces derniers n'ont pas fait le déplacement pour rien. Dans le congélateur du domicile de la prévenue à Saint-Michel, ils ont découvert au moins trois cadavres de chiens ainsi que diverses autres choses «difficilement identifiables» dans la mesure surtout où l'appareil n'était plus alimenté en électricité depuis pas mal de temps. Dans son garage, deux bouledogues étaient enfermés et plongés dans le noir. Pour leur bien-être et «pour qu'il ne sentent pas trop seuls», l'éleveuse avait toutefois pris le soin de brancher un poste de radio... Enfin, sur un terrain transformé en chenil, cohabitaient 31 animaux, pataugeant dans leurs déjections et évoluant dans une évidente promiscuité. Le fait est, par ailleurs, que deux précédentes décisions de justice interdisaient à Arlette Fiole l'exploitation de ce chenil et de faire commerce d'animaux et même si une partie de son activité commerciale était officiellement exercée par son compagnon, c'est bien elle qui était poursuivie. Absente à l'audience d'hier mais représentée par son avocat, elle devait répondre à 8 chefs de prévention dans ce dossier, notamment de «sévices graves ou actes de cruauté envers un animal».
Il n'en fallait pas plus pour que la fondation Bardot soit partie civile dans cette affaire. L'avocat de BB, Me Sarda a dénoncé non seulement les pratiques commerciales de l'éleveuse mais surtout aussi les conditions dans lesquelles elle exerce son activité, dans un chenil où « les bêtes ne sont pas protégées des intempéries », et où elles sont « mal alimentées ». « Il faut résolument l'empêcher d'élever quoi que ce soit », a demandé l'avocat. De son côté, la procureure de la République a requis à l'encontre d'Arlette Fiole une peine de six mois de prison et la publicité de la décision de justice. La fondation Bardot a demandé 2000 € au titre du préjudice moral.
(1) La décision concernant cette affaire devait être rendue hier soir à l'issue de l'audience correctionnelle. Celle-ci n'était pas terminée à 22 heures. Rendez-vous, donc, dans notre édition de demain.



Plus un dossier ariégeois


L'éleveuse de Saint-Michel était également renvoyée hier devant le tribunal pour un dossier de pratique commerciale trompeuse présumée et de «tromperie présumée sur la marchandise». En fait, elle commercialisait des chiots sans porter les mentions légales et obligatoires. Une victime ariégoise a saisi la justice en 2008. Ce dossier, plus léger, n'a pas fait l'objet de réquisitions particulières de la part du parquet.

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source : télé animaux

PEKIN, 18 avr 2011 (AFP) - Plusieurs centaines de chiens destinés à être mangés dans des restaurants, dont certains avaient été enlevés à leurs propriétaires, ont été sauvés grâce à la mobilisation de quelque 200 défenseurs des animaux, a rapporté lundi la presse chinoise.> Les chiens avaient été chargés à bord du camion dans la province du Henan (centre) et devaient être livrés à des restaurants de celle du Jilin (nord-est), a rapporté le China Daily.

Ce journal a indiqué que 430 chiens avaient été sauvés, mais le Global Times, autre quotidien de langue anglaise, estimait leur nombre à 520.

Finalement, ce sont quelque 200 défenseurs des animaux qui se sont retrouvés autour du camion, à l'est de Pékin.

Après des discussions qui ont duré 15 heures et provoqué des embouteillages, les chiens ont été rachetés samedi par une association pour 115.000 yuans (12.600 euros), a indiqué le Global Times.

De nombreux chiens portaient des tatouages ou des colliers et avaient donc été enlevés à leur propriétaire et la compagnie de transport faisait apparemment des livraisons hebdomadaires dans le Jilin, ont indiqué des défenseurs des animaux cités par le China Daily.

La prise de conscience en Chine de la nécessité de protéger les animaux se heurte encore à une tradition culturelle ancestrale qui pousse de nombreux Chinois, notamment du Sud, à consommer du chien et du chat.

La presse a déjà fait état ces dernières années d'opérations d'interceptions de chiens ou de chats destinés à être cuisinés.


dma-pt/seb/mc

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source : télé animaux

< BERGERAC (Dordogne), 18 avr 2011 (AFP) - Sept chiens, échappés de la maison où ils vivaient, ont semé pendant deux heures la confusion dans un quartier de Bergerac (Dordogne) dimanche, mordant cinq passants, avant d'être capturés et pour l'un d'eux abattu, a-t-on appris lundi de source judiciaire.> Les services vétérinaires vont également tenter de déterminer si ces chiens, croisés pour la plupart, peuvent être considérés comme des chiens d'attaque, de garde ou de défense, dont la possession est interdite aux personnes déjà condamnées à une peine ferme ou avec sursis, comme c'est le cas des deux hommes. "A priori", ils n'appartiennent pas à de telles races, selon Mme Lallé.

La meute s'est précipitée hors d'une maison vers 09H30 dimanche, attaquant et mordant un passant âgé de 74 ans, puis un automobiliste de 52 ans qui s'était arrêté pour lui porter secours, a indiqué à l'AFP Mme Lallé, confirmant une information du journal Sud Ouest.

Les deux hommes ont subi une ITT de dix jours. Les chiens ont aussi mordu, moins gravement, un prêtre qui tentait de s'interposer, puis encore deux autres personnes.

Les policiers ont utilisé des gaz lacrymogènes pour les neutraliser. Un policier, qui avait déjà vidé sa bombe, a tiré sur un des animaux qui l'avait attaqué, a précisé Mme Lallé, et le chien blessé a ensuite été euthanasié.

Les six autres ont été confiés à la SPA en attendant que la justice décide de leur sort.

Un seul des propriétaires, rentré à l'aube de boîte de nuit, se trouvait sur les lieux au moment de la fuite des animaux. Il n'a pas été en mesure de dire comment ils s'étaient échappés.


od/chv/df

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source télé animaux

< BERGERAC (Dordogne), 18 avr 2011 (AFP) - Sept chiens, échappés de la maison où ils vivaient, ont semé pendant deux heures la confusion dans un quartier de Bergerac (Dordogne) dimanche, mordant cinq passants, avant d'être capturés et pour l'un d'eux abattu, a-t-on appris lundi de source judiciaire.> Les services vétérinaires vont également tenter de déterminer si ces chiens, croisés pour la plupart, peuvent être considérés comme des chiens d'attaque, de garde ou de défense, dont la possession est interdite aux personnes déjà condamnées à une peine ferme ou avec sursis, comme c'est le cas des deux hommes. "A priori", ils n'appartiennent pas à de telles races, selon Mme Lallé.

La meute s'est précipitée hors d'une maison vers 09H30 dimanche, attaquant et mordant un passant âgé de 74 ans, puis un automobiliste de 52 ans qui s'était arrêté pour lui porter secours, a indiqué à l'AFP Mme Lallé, confirmant une information du journal Sud Ouest.

Les deux hommes ont subi une ITT de dix jours. Les chiens ont aussi mordu, moins gravement, un prêtre qui tentait de s'interposer, puis encore deux autres personnes.

Les policiers ont utilisé des gaz lacrymogènes pour les neutraliser. Un policier, qui avait déjà vidé sa bombe, a tiré sur un des animaux qui l'avait attaqué, a précisé Mme Lallé, et le chien blessé a ensuite été euthanasié.

Les six autres ont été confiés à la SPA en attendant que la justice décide de leur sort.

Un seul des propriétaires, rentré à l'aube de boîte de nuit, se trouvait sur les lieux au moment de la fuite des animaux. Il n'a pas été en mesure de dire comment ils s'étaient échappés.


od/chv/df

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source télé animaux

< LIMOGES, 20 avr 2011 (AFP) - Une chienne de type Labrador, suspectée d'être au centre des attaques perpétrées depuis quelques semaines contre des troupeaux d'ovins dans la région d'Oradour-sur-Glane (Haute-Vienne) a été abattue mercredi matin, a indiqué la préfecture.> "Cette chienne noire de type Labrador correspond en tous points à l'animal identifié comme se trouvant au centre des attaques de bétail des dernières semaines", selon la même source.

Après un "premier contact" établi mardi soir grâce à un témoignage, une battue a été organisée mercredi matin durant laquelle "un tir définitif a permis de la neutraliser", a précisé Michel Laborie, le sous-préfet de Rochechouart qui coordonnait l'opération.

"On va lever le dispositif", piloté par la préfecture avec l'office national des forêts, la Direction départementale des territoires et les gendarmes, "non sans continuer à être vigilant quelques temps", a-t-il ajouté.

Le 8 avril, un chien qui avait participé aux attaques qui ont causé la mort d'une quarantaine de moutons ces dernières semaines et qui appartenait à une conseillère municipale de la commune avait été abattu.

La chienne Labrador abattue mercredi est également suspectée d'avoir été la meneuse des attaques survenues en septembre 2010 sur le même territoire et qui avaient conduit à la mort d'une centaine d'ovins.


cor-dsa/lab/pyj

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La nuit du samedi à dimanche 17 avril. Il est minuit, lorsqu'un camping-car brûle rue du Couvent... Mais il est à côté de l'ancienne perception et rapidement le feu se propage dans les logements de cette bâtisse qui abritent deux familles, précise Midi Libre.

Heureusement, la chienne d'un locataire est restée dans le jardin... Soudain, elle parvient à ouvrir la porte d'entrée et elle prévient ses maîtres qui dorment à l'étage ! La maman réveille ses enfants de 7 ans et 10 ans et demi et décide de traverser les flammes du rez-de-chaussée, toujours selon ce journal.

Elle est en robe de chambre. Elle court jusqu'au café du village pour donner l'alerte... Deux jeunes, qui s'y trouvent, viennent alors en aide aux occupants du deuxième logement, une mère et ses deux garçons de 8 et 10 ans et demi, qui, paniqués, s'étaient réfugiés dans une chambre... Ils ont pu être secourus par la fenêtre. Les jeunes ont utilisé des barrières de rues adossées au grillage, en guise d'échelle !

Aucune victime n'est à déplorer, mais les habitations sont bien endommagées et les locataires ont dû être relogés.

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Attaqués par des chiens féroces à Montlegun


http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/25/1067306-Attaques-par-des-chiens-feroces-a-Montlegun.html
Deux personnes ont été victimes de morsures de chiens jeudi dernier dans un lotissement du hameau de Montlegun. Ces chiens ont aussi fait des dégâts dans un poulailler. Les victimes blessées sont rentrées chez elles. L'attaque, au sens propre du terme, peut être qualifiée de sauvage. Jeudi, en fin d'après-midi, dans un lotissement du hameau de Montlegun, deux hommes ont été victimes d'une féroce attaque par deux chiens. L'un et l'autre ont été hospitalisés. Les canidés, courent toujours. Tout comme leur maître. Et sont, peut-être, recherchés. Les faits se sont donc déroulés jeudi. Un électricien travaillait sur un chantier rue de l'Orme lorsqu'il a été attaqué par deux chiens. Le malheureux homme a eu un mollet en partie arraché par les crocs de l'un des animaux. Les sapeurs pompiers ont été prévenus et lui ont porté secours. Tandis que cette première victime était prise en charge, une autre personne était victime de l'assaut des canidés féroces, chemin de Monfrein cette fois. Il s'agit d'un homme âgé de 75 ans environ, que les chiens ont d'abord fait tomber avant de s'acharner sur lui. Le malheureux retraité a été mordu au bras, aux fesses et à la cuisse. Un second équipage des pompiers s'est donc rendu sur place et, au final, les deux victimes ont été hospitalisées à Carcassonne. Après avoir bénéficié de soins, elles ont été transférées vers un hôpital toulousain afin d'y subir une vaccination antirabique. Les deux molosses, en effet, n'ont pas été retrouvés, pas plus que leur propriétaire n'a été identifié. Pourtant, cela fait déjà quelque temps que le duo de chien sévit dans les parages. Il a notamment passablement décimé un petit élevage de poulets et de canards et sa présence a été plusieurs fois signalée. Selon nos sources, les deux victimes sérieusement blessées ont déposé plainte au commissariat de police. Aucune description précise de ces chiens n'a pu être portée à notre connaissance. Mais selon toute vraisemblance, il ne s'agirait pas de chien de la première catégorie. Le procureur de la République, en effet, n'avait pas été avisé hier ni des faits, ni des plaintes. Une enquête serait toutefois bel et bien en cours à la police et la brigade cynophile de la police municipale a fait plusieurs patrouilles dans le secteur ces derniers jours. Sans résultat.

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Iran : les chiens « impurs » bientôt bannis du pays ?



Il ne fait pas bon être un chien en Iran.
Nous vous en parlions en novembre dernier, le chien est très mal vu des autorités iraniennes.
En terme religieux, il est mis au même plan que le porc et est donc impur.
La population ne l’entend pas de cette oreille, à tel point que le chien est devenu signe de protestation en Iran.
Mais cette fois-ci, les députés ont établi un projet de loi qui vise purement et simplement à bannir le meilleur ami de l’homme du pays !

Une loi anti-chien


Comment en est-on arrivés là ? En réalité, une circulaire visant à interdire la possession de chiens dans les lieux publics ainsi que dans les voitures avait déjà vu le jour il y a peu.
Peu respectée (une circulaire n’a pas le même poids qu’une loi), les propriétaires de chiens ne s’exposaient pas à un grand risque en l’enfreignant.
Aujourd’hui, le nouveau projet de loi change la donne. Il est dit dans celui-ci que « transporter tout animal dangereux, nuisible à la santé, ou impur tel que le chien dans les lieux et transports publics est interdit ». Les contrevenants s’exposent à une amende allant de 69 à 346€
Mais ce n’est pas tout ! En plus de l’amende, la personne à l’obligation de se séparer de son animal. Si elle refuse, ce sont les autorités sanitaires qui se chargeront de la pauvre bête.
Si cette loi est votée, c’est également à son domicile qu’il sera interdit de posséder un chien. Autant dire qu'ils seront purement rayés du territoire iranien.
Le chien, symbole « impur »


Pourquoi une telle loi ? Les députés impliqués dans sa création veulent à tout prix limiter le nombre de gens qui «possèdent des chiens et les promènent dans les lieux publics, ce qui est devenu un problème de société et constitue une imitation aveugle de la culture occidentale vulgaire.»
Le fond du problème n’est donc pas seulement le supposé manque de pureté du chien mais bien son assimilation à un certain mode vie occidental.
En octobre dernier, une influente personnalité religieuse en Iran réclamait même « l’arrestation de tout chien à longues, moyennes ou courtes pattes en compagnie de son propriétaire. »
Si cette loi passe, ce ne sera pas seulement synonyme d’hécatombe pour les chiens de ce pays mais aussi une grave atteinte (supplémentaire) à la liberté individuelle du peuple iranien.
Au pays des ayatollahs, les chats sont décidément rois...

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Chine : 500 chiens sauvés de l’abattoir par un militant

Quand il a vu ce camion contenant plusieurs centaines de chiens agglutinés dans un camion sur l’autoroute, un automobiliste militant de la cause animale n’a pas pu rester de marbre.
En voyant dans quelles conditions voyagaient les animaux, il savait quelle était leur destination : ces chiens allaient être livrés à des restaurants pour leur viande.
N’écoutant que son courage et l’amour qu’il porte aux animaux, l’automobiliste a forcé le camion à stopper sa course sur l’autoroute.
Aussitôt, le militant alerte son réseau de la situation à travers un réseau social web et appelle au soutien.
200 défenseurs des animaux à la rescousse


L’appel de l’automobiliste militant a été entendu, et ce sont 200 défenseurs de la cause animale qui se sont déplacés pour empêcher le camion de circuler à nouveau.
Les négociations ont été longues et houleuses, provoquant des embouteillages sur l’autoroute, mais après 15 heures de discussions, un compromis a été trouvé.
Une association de protection des animaux a racheté les chiens (qui étaient plus de 500) pour une valeur de 12 600 euros environ.
Des chiens volés à leur propriétaire


Après inspection des animaux, les militants se sont aperçus que beaucoup de ces chiens portaient des colliers ou étaient tatoués. Cela signifie qu'ils étaient des animaux de compagnie et non des chiens errants.
Le camion se rendait dans une ville du nord-est de la Chine pour livrer les animaux à des restaurants. La compagnie opérait même des livraisons hebdomadaires.
La Chine actuelle se heurte actuellement à une tradition ancestrale de consommation de la viande de chien.
Une nouvelle classe moyenne de plus en plus imposante perçoit le chien et le chat comme des animaux de compagnie et n’envisagerait pas d’en consommer

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Les chiens sont capables de s'amuser avec les tigres. L'association Rexano nous en donne la preuve avec ces deux chiens et ce tigre qui ont été élevés ensemble et qui ont développé une grande complicité.


Un tigre s'est révélé être le meilleur ami des chiens. En effet, le propriétaire d'un tigre l'a élevé avec ses autres animaux. Ce tigre et ces chiens sont donc devenus très complices au fil des années. A présent, ils peuvent s'amuser ensemble sans éprouver aucune peur de l'autre. Et alors que les chiens ne supportent d'habitude pas les chats, ils ont développé un lien très fort avec ce gros félin.

De bon matin, ces chiens et ce tigre jouent ensemble. Ils se taquinent et se mordillent. Mais cela reste toujours au stade du jeu. Le tigre fait preuve d'une grande douceur, au point qu'on pourrait le confondre avec un chien. Cette vidéo a récemment été publiée par l'association américaine Rexano dans le but de responsabiliser les propriétaires d'animaux exotiques. Cette association lutte pour que les propriétaires s'occupent de manière adaptée de leurs animaux exotiques.


Pour découvrir la vidéo, cliquez ci-dessous:

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Torturé, Frisko a survécu et vient d'être adopté



Un berger suisse de 10 ans a survécu aux blessures infligées par son maître et malgré de graves séquelles, vient néanmoins de trouver une famille. Une nouvelle qui réjouit la Fondation 30 Millions d’Amis, qui s’est constituée partie civile dans le procès qui devrait très prochainement juger son maître.

Battu à coups de bêche et de bâtons à pique, avec une violence inouïe. Telles sont les conclusions d’une enquête menée par des policiers de Condé-sur-l’Escaut (59) après la découverte dans une propriété de Thivencelle (19/3/11) d’un croisé berger suisse, ensanglanté et prostré. L’examen vétérinaire révèlera de nombreuses plaies à vif et une quasi paralysie de l’arrière-train, témoignant d’un véritable acharnement qui ne laisse aucun doute sur les intentions du maître d’achever l’animal. L’intervention des forces de l’ordre, prévenus par des voisins alertés par les hurlements du chien, aura sans doute permis à Frisko d’échapper à la mort.


C’est à la SPA de Val-de-Marly (59) que l’animal est pris en charge. En l’espace de quatre semaines - et contre toute attente - celui-ci se remet peu à peu de ses blessures, malgré son âge avancé. Rapidement, il est proposé à l’adoption : « Nous devions trouver un maître qui accepte un chien âgé, souffrant d’arthrose et d’incontinence », indique Jeanne-Marie Binot, directrice du refuge. Une seconde chance pour Frisko, décrit par le personnel du refuge comme « tranquille, indépendant, sans aucune agressivité ni méfiance envers l’homme ».

Grâce à la presse locale, le calvaire de l’animal est médiatisé. Pascale, une mère de famille particulièrement choquée par les faits relatés, prend la décision d’accueillir Frisko. « C’est un chien très affectueux, qui s’entend bien avec tout le monde, y compris avec les tout-petits, précise-t-elle. Frisko fait désormais partie de la famille. » Une famille composée de Pascale, son mari et de leurs cinq enfants. Sans oublier les 8 chiens et les 2 chats de la maison !

Frisko garde toutefois des séquelles des coups qui lui ont été portés : « Il ne peut rester longtemps debout, et le vétérinaire a bien précisé son train-arrière restera paralysé », regrette sa nouvelle maîtresse, qui espère que les auteurs de cet acte cruel seront punis au regard de la gravité des faits.

Le procès devrait se dérouler devant le TGI de Valenciennes à une date qui n’a pas encore été fixée. Le maître de Frisko et l’un de ses amis - tous deux soupçonnés d’être les auteurs des violences infligées à l’animal - risquent, selon l’article 521-1 du code pénal, jusqu’à deux ans de prison et 30 000 euros d’amende, ainsi qu’une peine complémentaire leur interdisant de détenir un animal. La Fondation 30 Millions d’Amis s’est constituée partie civile aux côté de la SPA de Val-de-Marly afin d’appuyer la plainte de cette association.

Source : Fondation 30 Millions d'amis
26/04/2011

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Un chien est totalement terrifié par un caneton qui le poursuit à travers un salon. Ils redonnent vie au combat entre David et Goliath dans une version animalière.



Voir un chien complètement effrayé à chaque fois qu'un petit caneton l'approche est un spectacle peu commun. La peur incontrôlée de l'animal est plutôt drôle à observer quoiqu'un peu incompréhensible. En effet, le chien est dix fois plus grand que l'oiseau et ne devrait donc rien avoir à en craindre...

Malgré sa supériorité physique sur l'oiseau, le pauvre chien prend la fuite à chaque fois que le caneton fait un pas vers lui. Le résultat est assez amusant, car l'oiseau, qui cancane gaiement, veut absolument s'approcher de son compagnon à quatre pattes.

On pourrait penser que c'est plutôt le petit canard intrépide qui devrait craindre pour ses plumes jaunes... Mais il n'en est rien. C'est en faisant preuve d'un grand courage (ou d'une grande inconscience) que le caneton poursuit au milieu du salon le chien de la famille, qui aboie pour se défendre de ces assauts répétés.
http://www.zigonet.com/chien/ce-caneton-fait-fuir-ce-chien_art22113.html

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Les chiennes seraient plus intelligentes que leurs congénères mâles, c'est ce que révèle une étude parut cette semaine dans livescience !



Voici de retour l'éternelle question de l'intelligence selon le sexe. Si nous savons reconnaître unanimement que pour l'espèce Humaine, il n'y a pas photo et que l'homme est largement plus intelligent que la femme, qu'en est-il pour nos plus proches compagnons à quatre pattes ?

Il semblerait selon Corsin Muller, chercheur à l'Université de Vienne que les cerveaux des mâles et des femelles ne soient pas les mêmes.

Pour arriver à ces conclusions (honteusement sexistes), les chercheurs ont observé et étudié la réaction d'une cinquante de chiens ordinaires, 25 mâles et 25 femelles, toutes races confondues selon quatre scénario mettant en scène l'apparition et la disparition de balles.

Les chercheurs ont tenté de mesurer la capacité des animaux à comprendre que quelque chose d'impossible s'était réalisé en faisant disparaître une balle de couleur bleu puis en faisant réapparaitre une même balle de couleur bleu soit plus grosse soit plus petite.

Ils se sont apperçus que les femelles regardaient trois fois plus longtemps la balle quand la taille de celle-ci avait changé, alors que les mâles étaient plus rares à remarquer la modification opérée par les chercheurs.
Corsin Muller estime cependant que la spécialisation des sexes peut être la cause de ces résultats. En effet, les mâles davantage spécialisés dans la chasse aurait une meilleure capacité à se diriger dans un territoire inconnu tandis que la femelle devant s'occuper de son nid et de sa portée aurait un meilleur raisonnement spatial.


Et Muller toujours de relativiser, en expliquant que chez les humains, si vous trouvez des dizaines de domaines ou l'homme est meilleur que la femme, il y a également des dizaines de domaines ou la femme est meilleure que l'homme.

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