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pacemaker91

Actions contre la fourrure

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Sur la place de la Puerta del Sol, à Madrid (Espagne), des militants de l'organisation AnimaNaturalis ont protesté contre l'industrie de la fourrure.
Pour ce faire, ils ont simulé un massacre. avec des corps nus aspergés de liquide rouge sang, allongés sur le bitume tandis que d'autres militants étaient entassés, toujours nus, dans une cage grillagée.
Selon un communiqué de AnimalNaturalis, « l'objectif des participants est de faire prendre conscience que le port de peaux animales n'a rien d'élégant, mais qu'il est très cruel et égoïste ».
Tout en ajoutant:
« De nos jours, nous pouvons nous couvrir avec d'autres types de matériaux ».
Sans oublier que les « animaux élevés pour devenir des manteaux passent toute leur vie dans des petites cages sales ».
(source vidéo: europapress)

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Source: Canadian press


Citation:
TWILLINGATE, T.-N.-L. — Pour la première fois en 38 ans, Hardy Troake, âgé de 53 ans, a décidé au printemps dernier de rester à terre plutôt que d'affronter les glaces du nord de l'Atlantique pour chasser le phoque, dont la peau est désormais vendue 14 $ pièce.

Les prix de la fourrure de ce mammifère marin ont dramatiquement chuté depuis leur sommet de 2006, alors que la peau de l'animal était vendue 106 $ l'unité. La crise économique est en partie responsable de la baisse de la demande pour la fourrure, mais l'annonce de l'embargo européen sur les produits du phoque, alimenté par les groupes de défense des animaux, a asséné le coup fatal à cette industrie.

La ville de Twillingate, sur la côte nord-est de Terre-Neuve, était une capitale de renommée internationale pour la chasse au phoque du Groenland. Très touchée par l'accumulation de ces mauvaises nouvelles, seulement trois bateaux ont quitté ses rives cette année. Le printemps précédent, on en comptait 25, et les années où les prix étaient à leurs sommets, des centaines de bateaux partaient au large chasser l'animal.

Atterrée par une dette grandissante et une population en déclin, Twillingate s'est auto-proclamée, pour diversifier son industrie, la "capitale de l'iceberg en Amérique du Nord". Mais le tourisme sur cette île au paysage saisissant n'est que saisonnier. De plus, Twillingate est située à six heures de route de Saint-Jean, au nord.

"Ca a été dévastateur", déplore M. Troake, en sciant du bois derrière sa maison de deux étages. Il a grandi à deux pas de sa résidence actuelle, qui a une vue imprenable sur la mer. Son frère, Gary, également pêcheur, habitait la maison voisine avant de perdre la vie dans un accident de pêche en 2000.

Dans cette communauté tricotée serrée, beaucoup d'habitants ne comprennent pas que l'Europe s'oppose, pour des raisons éthiques, à une tradition qui nourrit, depuis des générations, les populations des régions les plus pauvres du Canada. D'autant plus, disent-ils, que c'est dans le Vieux Continent qu'est née la tradition des corridas.

"Nous dépendions de la chasse au phoque au printemps pour amasser suffisamment d'argent afin de préparer les autres pêches, comme celle du crabe, du homard, des poissons de fond, des crevettes", explique Hardy Troake.

"Cette année, nous n'avons pas eu cette chance, alors nous avons dû recommencer à zéro. Et avec la situation économique, les autres prix étaient aussi à la baisse. Cela a affecté toute notre communauté."

Twillingate compte quelque 2400 habitants mais sa population est en déclin. Au cours des 25 dernières années, elle a chuté de moitié, les jeunes, faute d'opportunité, quittant pour se trouver du travail ailleurs.

Le maire Gordon Noseworthy craint que l'embargo sur les produits du phoque - qui devrait entrer en vigueur au mois d'août - aggravera les choses.

"L'emploi a chuté. Les revenus de l'administration portuaire sont à la baisse. Tout est en baisse. Des idiots clamaient que l'on ne pouvait pas tuer des bébés phoques. Mais on n'en tue plus depuis 20 ans", s'est exclamé le maire, ajoutant que cette campagne européenne contre la chasse au phoque avait déjà coûté une fortune aux petits villages isolés de Terre-Neuve.

Une vidéo présentée sur Internet par le groupe écologiste PETA, établi en Virginie, demande l'aide des téléspectateurs pour que cesse le "massacre des phoques". On y voit un blanchon qui semble se lamenter, alors que le Canada a interdit depuis 1987 la chasse aux bébés phoques à des fins commerciales.

Le vice-président aux campagnes de PETA, Dan Mathews, minimise l'importance économique de cette activité commerciale, qu'il qualifie "d'abattage cruel".

"Elle ne contribue que dans un faible pourcentage à l'économie locale et tout ce qu'elle fait, c'est donner au Canada une mauvaise image", a ajouté M. Mathews.

Selon lui, avec les chiffres de cette année, le gouvernement canadien a l'air ridicule en essayant de sauver cette industrie en déclin.

Le ministère des Pêches et des Océans indiquait en mai qu'il y avait seulement 306 expéditions de chasse au phoque en partance de Terre-Neuve-et-Labrador, comparativement à 977 l'année précédente.

Des images sanglantes de la chasse ont contribué à faire adopter l'embargo européen. Le Canada conteste d'ailleurs cette mesure devant l'Organisation mondiale du commerce.

En entrevue à La Presse Canadienne, le premier ministre de la province, Danny Williams, a affirmé qu'Ottawa fait ce qu'il peut. "Je sais que le premier ministre (du Canada) a parlé à de hauts dirigeants", a-t-il ajouté.

De son côté, M. Williams a demandé aux chasseurs de phoque de l'Atlantique d'utiliser des fusils, plutôt qu'un hakapik, cet outil traditionnellement utilisé pour tuer rapidement l'animal d'un coup sur le crâne. Ainsi, selon le premier ministre Williams, l'utilisation de cette arme ne devrait plus, d'ici peu, être un argument brandi contre cette "chasse sanglante".

D'autant plus que l'on aurait déjà observé des problèmes liés à la surpopulation de phoques, comme une baisse marquée de certains stocks de poissons. Le gouvernement envisage-t-il la possibilité d'un abattage sélectif? A cette question, la ministre fédérale des Pêches et des Océans, Gail Shea, a simplement répondu qu'elle était au courant du problème.

Par ailleurs, elle espère qu'un marché pour la viande de phoque pourra être développé. Le phoque sera ajouté au menu du restaurant du Parlement à Ottawa et les députés ont récemment eu droit à une dégustation de "loup marin" pour leur faire connaître cette viande encore peu offerte.

D'autres parties de l'animal pourraient servir à des fins médicales. Mme Shea a évoqué de nouvelles recherches prometteuses sur l'utilisation possible de valves cardiaques de phoques sur des patients humains. "Nous espérons qu'en même temps, nous pourrons diminuer la population de phoques", a-t-elle ajouté.

Un projet pilote a eu lieu au printemps et la ministre espère qu'il sera reconduit l'an prochain.

Les pêcheurs comme Hardy Troake, eux, se disent prêts à participer à toute initiative qui leur permettrait de reprendre leur activité.



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Bonjour,

À l'occasion des défilés de mode à Paris, Fourrure Torture se joint à Animal Defenders International pour dévoiler une nouvelle investigation menée en Finlande, principal pays producteur de fourrure de renards dans le monde.

L'investigation menée par ADI est visible sur http://www.fourrure-torture.com/finlande.html et sur http://www.furstop.com

Outre l'emprisonnement dans de minuscules cages grillagées, l'enquête montre des animaux avec des plaies ouvertes et infectées, des signes évidents d'infections non soignées, des yeux infectés ou manquants, des queues mutilées, des pattes difformes et endommagées, des gingivites aiguës rendant l’abreuvement et l’alimentation difficile; des renardeaux avec des pattes coincées dans les mailles du sol grillagé de leur cage; des cadavres en partie dévorés; des cages et équipements délabrés et dangereux; des négligences du personnel et des souffrances animales généralisées; des abreuvoirs vides, sales et cassés.

Lorsque l'Association Finlandaise d'Éleveurs d'Animaux à Fourrure déclare : « Tous les animaux à fourrure de Finlande sont élevés dans des conditions respectueuses de leur bien-être », qu'en pensez-vous ?

Vous pouvez aider les animaux en faisant connaître cette enquête autour de vous :
- partager la vidéo et l'enquête sur les réseaux sociaux (facebook, twitter, myspace, skyblog...),
- invitez vos connaissances à se rendre sur http://www.fourrure-torture.com pour visionner l'enquête,
- profitez des défilés parisiens pour réagir aux articles de presse en citant cette enquête en exemple,
- écrivez à l'ambassade de Finlande dans votre pays, vous trouverez les coordonnées sur http://www.fourrure-torture.com/finlande.html

Merci pour votre soutien dans la lutte contre la fourrure !

L'équipe Fourrure Torture
http://www.fourrure-torture.com

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Bonjour,

À l'occasion des défilés de mode à Paris, Fourrure Torture se joint à Animal Defenders International pour dévoiler une nouvelle investigation menée en Finlande, principal pays producteur de fourrure de renards dans le monde.

L'investigation menée par ADI est visible sur http://www.fourrure-torture.com/finlande.html et sur http://www.furstop.com

Outre l'emprisonnement dans de minuscules cages grillagées, l'enquête montre des animaux avec des plaies ouvertes et infectées, des signes évidents d'infections non soignées, des yeux infectés ou manquants, des queues mutilées, des pattes difformes et endommagées, des gingivites aiguës rendant l’abreuvement et l’alimentation difficile; des renardeaux avec des pattes coincées dans les mailles du sol grillagé de leur cage; des cadavres en partie dévorés; des cages et équipements délabrés et dangereux; des négligences du personnel et des souffrances animales généralisées; des abreuvoirs vides, sales et cassés.

Lorsque l'Association Finlandaise d'Éleveurs d'Animaux à Fourrure déclare : « Tous les animaux à fourrure de Finlande sont élevés dans des conditions respectueuses de leur bien-être », qu'en pensez-vous ?

Vous pouvez aider les animaux en faisant connaître cette enquête autour de vous :
- partager la vidéo et l'enquête sur les réseaux sociaux (facebook, twitter, myspace, skyblog...),
- invitez vos connaissances à se rendre sur http://www.fourrure-torture.com pour visionner l'enquête,
- profitez des défilés parisiens pour réagir aux articles de presse en citant cette enquête en exemple,
- écrivez à l'ambassade de Finlande dans votre pays, vous trouverez les coordonnées sur http://www.fourrure-torture.com/finlande.html

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L'équipe Fourrure Torture
http://www.fourrure-torture.com

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http://www.fondationbrigittebardot.fr/site/actu.php?id=40253

La plainte de la Fourrure Française à l'encontre de la Fondation Brigitte Bardot, rejetée par le jury de deontologie publicitaire.

23 mars 2010


Le Jury de Déontologie Publicitaire a rejeté la plainte déposée par l’association interprofessionnelle « La Fourrure française » contre la Fondation Brigitte Bardot. Le 8 janvier dernier, l’association avait choisi de saisir cette autorité pour dénoncer le caractère soi-disant
« déloyal » et « trompeur » de la dernière campagne anti-fourrure de la Fondation, « Porter de la fourrure, c’est porter la mort ». Cette décision conforte la Fondation dans le bien-fondé de son combat visant à informer le public que porter de la fourrure entraîne le massacre de millions d’animaux.



L’ensemble des motifs invoqués par « La Fourrure française » rejeté !

Pour justifier cette tentative de censure, l’association chargée de défendre les intérêts des fourreurs français avait choisi d’invoquer différents motifs :

Le caractère déloyal à l’encontre du produit et de la filière professionnelle
L’agressivité du slogan et du visuel
L’identification difficile de l’émetteur


Interrogée dans le cadre de la procédure de conseil avant diffusion par un afficheur, l’ARPP (Autorité de Régulation Professionnelle de la Publicité) avait donné son conseil favorable et sans réserve.

A son tour, le Jury de Déontologie Publicitaire admet que « dans ce contexte et émanant de cette fondation, l’image et le slogan qui peuvent sans difficulté être mis à distance, ne sauraient être considérés comme dénigrant le produit en soi ou la filière dont ne sont mis en cause ni le comportement des acteurs, ni le respect de principes déontologiques ou de réglementations en vigueur. »

Un échec de plus pour La Fourrure française !

L’association n’en est pas à son premier échec. En décembre 2008 elle avait déjà tenté de faire censurer une autre campagne de la Fondation Brigitte Bardot, en invoquant les mêmes motifs. Il apparaît évident que la Fourrure Française, utilise cette plainte comme un prétexte lui permettant de véhiculer de faux messages de responsabilité, comme notamment le caractère « propre et écologique » de la filière.

Une campagne d’opinion, non marchande et d’utilité publique

La Fondation Brigitte Bardot a pour vocation d’alerter le public sur les atteintes portées aux animaux. Cette campagne, qui fait certes le choix d’un visuel fort et d’une accroche puissante rappelle à tous que pour obtenir un seul manteau de fourrure, plusieurs dizaines d’animaux doivent être tués. La violence de l’image est quant à elle un moyen d’illustrer les conditions horribles dans lesquelles les animaux sont élevés puis abattus.

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