pacemaker91 0 Posté(e) le 14 décembre 2009 Laurence Grine n'a pas hésité un seul instant avant d'acheter, hier matin, au salon des chiots, un bouledogue anglais de 4 mois.« C'est pour mon mari, dit-elle. Il adore cet animal et je suis contente de le lui offrir pour Noël ». Souriante, mais un peu émue, c'est donc avec Elina, une femelle de 4 mois (et 10 kg), affalée sur son épaule, que cette habitante d'Odos a quitté le hall de l'Arbizon du Parc des expositions. Jusqu'à ce soir, 250 chiots et divers animaux y sont présentés. Bien entendu, ils sont tous plus craquants les uns que les autres. Mais ce ne sont pas des jouets. « L'achat coup de cœur, on l'évite rappelle Jérôme Guillot, l'organisateur de cette manifestation. Les éleveurs aiment leurs bêtes. Ils font en sorte qu'elles aillent dans des familles qui vont bien les accueillir ».Ils ne sont pas moins de 15 au rendez-vous de cette deuxième édition, où près de 40 races sont représentées. Au mois de janvier ce salon avait déjà été plébiscité. « Un noyau dur d'éleveurs nous suit » explique Jérôme Guillot.A quelques jours de Noël, toutes les conditions semblent réunies pour réitérer ce succès. D'autant qu'on peut prendre le temps de mûrir son choix avant de repartir avec un compagnon à quatre pattes.« Ce qui marche le mieux, ce sont les animaux de compagnie » constate Dominique Ferland, venu des Deux-Sèvres et qui présente épagneuls bretons, setters et même pointers. « Le shi zu fait partie des plus recherchés : 25 cm au garrot, particulièrement gentil… » Au moment de la vente cet éleveur donne toujours les consignes d'usage : « On leur dit de penser au rappel de vaccin, de les vermifuger régulièrement et surtout, de ne pas changer la nourriture. Sinon, c'est la diarrhée garantie. »Ces animaux risquent-ils d'être un jour abandonnés ? « En général, quand ils mettent ce budget, ça n'arrive pas. Ce n'est pas le chien qu'on va récupérer chez le voisin et qui finit à la SPA… »« En bagage à main »Au Salon du chiot, on peut donc faire connaissance avec des chiens des Pyrénées et des teckels. Mais également rencontrer des sharpei (800 €) ou des chows-chows, qui sont aussi originaires de Chine et toujours très recherchés.Selon David Hechas, venu de Montauban, « cet animal est assez exclusif et attaché à sa famille. »À poils durs ou à poils longs, les chi hua hua font un peu figure de stars au Parc des expositions. Compter entre 1.100 et 1.400 € pour ces chiots miniatures. « Ca fait craquer. C'est super cool », glisse Adeline Rachelli, en indiquant que « les dames qui voyagent peuvent les prendre en bagages à main. »Si tous les visiteurs ne repartent pas avec un animal, « ce salon est une façon agréable de passer une partie de la journée », constate son organisateur. Quant à la crise, qui a fait baisser les prix, elle permet de caresser, d'une certaine manière, le rêve d'avoir un animal de compagnie.Ouverture de 9 h 30 à 19 heures. Prix d'entrée : 6 € pour les adultes, 4 € pour les enfants, gratuit pour les moins de 6 ans. OAS_AD("Middle1") Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 décembre 2009 Hier matin un homme de 39 ans, a été interpellé à Saint-Gamier. Ce ressortissant bulgare, demeurant dans un foyer stéphanois, a été surpris dans une posture incongrue dans un près de la commune. En fin de matinée le propriétaire de deux ânes a remarqué les agissements suspects d'un homme ayant garé son fourgon près du parc des bêtes. Ce dernier ne parlait pas français, mais à fait comprendre qu'il était à la recherche d'une ficelle pour fermer la portière de son véhicule. L'homme n'a pas quitté les lieux, et a dissimulé sa fourgonnette à l'abri des regards. Toujours vêtu de sa combinaison de ski, il s'est glissé sous les barbelés, puis a attiré les deux bêtes avec du pain. L'individu a ensuite jeté son dévolu sur l'ânesse, qu'il a comblée de caresses avant de la pénétrer. Le propriétaire, choqué par la scène, a mis en fuite l'individu, puis a alerté les gendarmes qui ont interpellé le zoophile à Chazelles-sur-Lyon. Placé en garde à vue, l'homme a été relâché le soir même, et l'affaire est classée sans suites. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 décembre 2009 Battue à mort, traînée jusqu'à la route et sans doute dégustée par une bande de vauriens. Laure ne peut s'empêcher de pleurer en racontant comment des individus sans scrupule ont massacré sa brebis, samedi entre 15 et 16 heures à Fismes. Aujourd'hui, elle lance à un appel à toute personne qui aurait pu apercevoir les tueurs depuis la route entre Fismes et Perles, pas très loin de l'intersection avec la route qui mène à Laon.« Il devait être environ 15 h 30 quand j'ai entendu, depuis chez moi, bêler mes deux moutons de Shetland. Ils se trouvent habituellement dans un petit parc où personne ne peut les voir. Pour savoir qu'ils sont là, il faut bien connaître le coin. » En entendant ces bêlements, Laure a décidé d'aller voir ce qu'il se passait. « Je suis arrivée au milieu d'un carnage. Il y avait du sang partout. Mon bélier était sauf mais la brebis avait disparu. Elle a été tuée à coups de bâton. » À terre, dans la neige, Laure distingue tout de suite plusieurs traces de pas d'adultes. « Ils devaient être trois ou quatre. »Ensuite, elle suit les traces de sang de son pauvre animal : « Ils l'ont traînée en traversant un champ en jachère qui longe la route. C'est à ce moment-là que des automobilistes qui passaient ont pu les voir ».Laure n'est pas agricultrice. Ces deux moutons, d'une race quasiment introuvable en France, sont pour elle des animaux de compagnie : « Je ne comprends pas pourquoi ils ont fait ça. Il n'y a quasi rien à manger sur ces bêtes. Et une telle sauvagerie… » En colère, triste à l'idée de la souffrance qu'a endurée l'animal, Laure est allée porter plainte : « Retrouver les auteurs ne sera pas facile car mon mouton est déjà sans doute dans leur estomac ou dans un congélateur, mais il faut bien essayer ».Pour arriver à son petit parc, les voleurs sont passés par un petit bois, ils ont aussi dû traverser un camp sédentarisé de gens du voyage, Laure espère que parmi eux, quelqu'un aura vu quelque chose et contactera la gendarmerie de Fismes au 03.26.48.09.03. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 décembre 2009 Coup de fusil malheureux ou bêtise, la belle histoire entre une jument comtoise et une petite femelle sanglier s'est terminée jeudi, du côté de Résignel sur la commune de Neuville-sur-Ain, de façon tragique. Et ils sont plusieurs habitants à pester contre ce coup de fusil qui a mis fin à une bien belle histoire d'amour… sauvage ! En mai 2007, une jument comtoise prend soin d'une jeune femelle sanglier, vraisemblablement orpheline, et l'allaite. Le propriétaire de la comtoise, Bernard Monnet, est le premier à apercevoir cette belle scène d'amour, qui était restée secrète au regard des humains au début du printemps. Puis, matin et soir, la femelle sanglier, baptisée « Lussie » par les habitants, a pris ses habitudes, et le manège était tout simplement beau : Lussie arrivait vers sa mère jument tout en grognant et venait profiter de la couche à côté de cette belle comtoise, qui léchait comme une bonne mère cette bête sauvage adoptée. C'était un peu l'attraction au village et Lussie était quelque part préservée. Elle venait encore dernièrement le soir voir sa mère jument en se faisant discrète. Ce n'était plus la petite bête d'il y a un peu plus de deux ans. Lussie avait profité et venait toujours, reconnaissante, vers la belle comtoise. Lussie est tombée jeudi après-midi, et Bernard Monnet ne décolère pas de cette fin tragique. « Etant chasseur moi-même, j'avais pris soin de prévenir qu'il fallait préserver cette belle laie et je suis vraiment en colère contre ce coup de fusil… idiot. » C'est fini, la jument comtoise ne reverra plus Lussie qui, à la tombée de la nuit, venait la rejoindre, dans une liaison où l'instinct sauvage et de survie donnait une belle leçon d'amour. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 décembre 2009 http://news.fr.msn.com/m6-actualite/insolite/photo.aspx?cp-documentid=149869976&page=3 A Stockholm, les lapins pullulent dans les parcs de la ville, la plupart du temps abandonnés. C'est ainsi que les "chasseurs municipaux" ont abattu l'année dernière prés de 6000 lapins, qui par la suite ont servi de combustible dans une usine du centre du pays. A quand un slogan "chauffez bio, chauffez lapereau" ? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 6 janvier 2010 La chasse au loup a repris en Suède, samedi 2 janvier, après avoir été interdite depuis 1966, ce qui a provoqué des réactions très vives dans un pays où la population de loups est l'une des plus faibles d'Europe. Plus de 12 000 personnes s'étaient inscrites pour participer à cette chasse autorisée dans cinq régions du centre du pays pour un quota de vingt-sept loups. Mercredi 6 janvier au matin, vingt-six loups avaient déjà été abattus. Lire la suite l'articleLes autorités suédoises évaluent aujourd'hui la population de loups à environ 250 individus, raison pour laquelle cette chasse a été autorisée, le Parlement suédois ayant décidé que la population ne doit pas excéder 210 individus. Cette décision est une façon de répondre aux pressions locales émanant tant des agriculteurs, qui se plaignent de perdre des bêtes, que des chasseurs, qui ne peuvent plus sortir avec leurs chiens, de peur que ces derniers ne se fassent attaquer.Les médias rapportent régulièrement des cas de chasse clandestine et décrivent parfois des situations où une véritable haine du loup s'exprime localement. Certains chasseurs sont déçus du quota, qu'ils estiment trop faible, arguant que le nombre réel de loups est supérieur à celui présenté par les autorités.'Véritable provocation'Pour les opposants à cette chasse, qui ont lancé des pétitions et rappellent qu'une chasse au loup d'une telle ampleur n'a plus été pratiquée depuis les années 1920, cette décision est une 'véritable provocation', selon les termes employés par l'Association de défense des prédateurs, qui taxe cette politique de 'populiste'.Le loup était menacé d'extinction lorsque sa chasse fut interdite, dans les années 1960. Il ne restait plus qu'un ou deux individus au début des années 1980, lorsque trois loups finlandais furent introduits en Suède. Les spécialistes estiment que la plupart des loups présents sur le territoire suédois sont issus de cette filiation.Récemment, des chercheurs ont annoncé, après analyse génétique, que deux loups mâles originaires de la région russo-finlandaise étaient les pères d'une quinzaine de louveteaux nés ces deux dernières années, ce qui est considéré comme un point très positif pour la revitalisation de la race suédo-norvégienne, affaiblie par la consanguinité.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 janvier 2010 Géorgie, États-Unis - Parce qu'il avait eu de mauvaises notes à l'école, une mère de famille a obligé son fils à tuer son hamster avec un marteau. Elle est actuellement en détention, en attente d'être jugée. Le jeune garçon, âgé de 12 ans, avait expliqué à l'un de ses professeurs qu'il avait dû tuer son petit animal de compagnie sous la pression de sa mère. En effet, elle voulait le punir d'avoir eu une mauvaise note à l'école. L'enfant a donc dû donner la mort à son hamster avec un marteau.Alertée par le professeur du garçon, la police a procédé a l'interpellation de la mère. Elle est actuellement en détention et attend d'être jugée pour cruauté envers un animal, cruauté envers un enfant et voies de fait. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 janvier 2010 http://www.ladepeche.fr/article/2010/01/26/762800-Attachee-a-un-tronc-sur-les-bords-du-Lot.html Très amaigrie, sursautant au moindre bruit, Mimi, une jeune chienne se remet doucement de son sort. Un méchant sort en l'occurrence. Elle doit la vie à une jeune femme, Laure.« Je sortais de chez le vétérinaire au moulin de Coty. Plus loin, au moulin Saint-James, avec mon ami, nous avons découvert par hasard une forme sur les bords du Lot, pas loin du barrage ».Ils s'approchent, découvrent une chienne. « Elle était attachée très court à un tronc d'arbre, le corps à moitié dans l'eau » détaille Laure.Après l'avoir libéré de ses liens, ils alertent la police. La chienne est transportée au refuge. « Nous avons accueilli un animal affaibli, très maigre, avec une blessure antérieure à une patte » explique Noëlle Brun, présidente du refuge.Le vétérinaire indiquait qu'elle avait dû séjourner cinq à six jours à moitié dans l'eau. « Elle doit avoir quatre ans ».Mimi a été prise en charge par une famille d'accueil, pour se remettre d'aplomb. « Elle est propre, obéissante, douce, elle s'entend bien avec les chiens et les chats » confie Laure. Aujourd'hui, Mimi attend une famille d'adoption, sinon elle retournera au refuge (la SPA). Toutes les personnes intéressées pour la choyer peuvent contacter le 05 65 22 66 32. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites