pacemaker91 0 Posté(e) le 29 janvier 2010 La pollinisation des plantes cultivées comme celle des plantes sauvages se fait à 80% grâce aux insectes butineurs. De nombreuses fleurs les attireront. En voici quelques unes, avec la couleur de leurs fleurs : l'ancolie vulgaire (bleu), la bourrache (bleu ou blanc), la centaurée bleuet (multicolore), la giroflée (variée), la vipérine (bleu), l'eschscholzia (pavot de Californie, jaune à orange), la marguerite (blanche), le lin (bleu), le lotier corniculé (jaune), la lunaire (blanc), l'impatiens (variée), la mauve sylvestre (rose), la nigelle (bleu), le coquelicot (rouge), la phacélie (bleu). Vous trouverez des sachets de graines de fleur en mélange qui formeront des parterres bénéfiques.N'oublions pas toute la famille des labiées et ses aromates : thym, lavande, romarin, origan, marjolaine, sarriette, sauges, etc. Elles sont utiles de façons multiples, avec leurs vertus médicinales et leurs capacités culinaires. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 février 2010 Côté terroir, Valenciennes avait déjà le vin du Vignoble ou encore la fameuse langue Lucullus. Elle aura désormais sa gelée royale des Dentellières. Valenciennes: bientôt des ruches en plein coeur du centre-ville Une grande première dans l'arrondissement: des ruches vont être disposées en plein centre ville, sur les toits des immeubles, des entreprises, des administrations ou dans les jardins publics. La décision a été annoncée mardi 2 février, lors d'une conférence d'information sur les abeilles en milieu urbain, à l'hôtel de ville, et organisée par la municipalité.Objectif de cette petite révolution: maintenir tout un écosystème. Les abeilles sont responsables de 80% de la pollinisation des plantes, "la mouche à miel" est essentielle à notre environnement. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 février 2010 Certains insectes sont des migrateurs infatigables. On ne présente plus le papillon monarque américain ni le criquet pèlerin, dont les pérégrinations dans le Sahel sont redoutées. Mais le ciel de France métropolitaine, qui voit passer des millions d'oiseaux migrateurs, est aussi traversé chaque année par des milliards d'insectes volants, plus discrets, des papillons pour l'essentiel. Ces lépidoptères, partis des rives méditerranéennes ou du Maghreb, sont-ils les simples jouets des vents dominants ? Sont-ils maîtres de leur destin migratoire ? C'est pour mieux répondre à ces questions qu'une équipe britannique a mis sur pied une expérience originale. Comme ils l'expliquent dans la revue Science du 5 février, des entomologistes et des météorologues dirigés par Jane Hill (université de York) se sont intéressés aux stratégies de vol de quatre groupes de lépidoptères migrateurs, dont trois nocturnes. Entre 2000 et 2007, des radars entomologiques déployés au Royaume-Uni et capables de détecter les insectes entre 150 et 1 200 mètres d'altitude leur ont permis de saisir au vol 569 événements de migration impliquant plus de 100 000 individus.Au printemps, ces papillons, tous groupes confondus, se déplaçaient vers le nord - ce qui est conforme avec leur route de prédilection, qui les conduit vers l'Europe du Nord. Mais aussi en ligne avec les vents dominants. A l'automne, leur trajectoire était orientée vers le sud, alors que, cette fois, les vents soufflaient d'ouest...Les lépidoptères mettent donc bien en oeuvre une stratégie de vol qui leur permet de profiter des vents d'altitude, et ils savent prendre et tenir un cap pour corriger d'éventuelles dérives. Ce qui aboutit à des vitesses de déplacement impressionnantes : certains pouvaient atteindre 54 km/h en croisière et 90 km/h en pointe, soit entre 400 et 700 km en une nuit.Pour valider leurs évaluations, les chercheurs britanniques ont fait tourner des modèles numériques à partir de données météorologiques réelles. L'un considérait les papillons comme de simples particules, tandis que l'autre calquait le comportement de vol de papillons virtuels sur celui d'Autographa gamma, qui se cale sur l'altitude des vents les plus rapides. Résultat : la distance parcourue était de 40 % plus grande pour le papillon nocturne virtuel, et le cap meilleur que pour les particules.... lire la suite de l'article sur Le Monde.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 février 2010 L'autorisation d'un nouveau pesticide inquiète les apiculteurs français. Tandis qu'un frelon tueur arrive en région parisienne. Ils ne sont pas contents, les producteurs de miel, et ils entendent bien le faire savoir... Lors d'une conférence de rentrée, qui s'est tenue le 17 février à l'Assemblée Nationale, l'Unaf (Union nationale de l'apiculture française) a énuméré quelques-uns uns des -nombreux- motifs d'inquiétude des professionnels. Ainsi, en 2009, la production française n'a toujours pas retrouvé, loin de là, les résultats records des années 1980-1995 (32 000 tonnes en moyenne) et stagne désespérément aux alentours de 20 000 tonnes.En cause, la forte concurrence étrangère, des pays de l'Est et de la Chine notamment, des conditions climatiques délicates et un prix d'achat (3 euros) par les négociants jugé trop bas. Mais il y a aussi, et peut-être surtout, des mortalités hivernales élevées, des anormalités sur la fécondité des reines et la qualité des mâles. Autant de phénomène relativement récents et mal expliqués. Faut-il y voir une conséquence de l'utilisation, à grande échelle, de pesticides par les agriculteurs? Les producteurs de miel en sont persuadés.Et ce n'est pas l'homologation, accordée au Proteus pour la première fois au printemps 2010 qui va les rassurer. "Hautement toxique pour les abeilles", selon Henri Clément, président de l'Unaf, il contient deux produits différents très puissants (la thiaclopride et la deltamethrine) et sera utilisé aussi bien pour les pommes de terre, les céréales que le colza, une plante dont la récolte de miel conditionne la survie des exploitations apicoles dans de nombreuses régions. En outre, le Proteus induit "un risque de pollution des eaux", explique Henri Clément qui fait remarquer que ce produit est en cours d'évaluation en Europe et qu'il a d'ores et déjà été interdit en Italie. Vérité au-delà des Alpes, erreur en deçà? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 février 2010 http://www.ladepeche.fr/article/2010/02/25/784418-Allieres-Ce-mal-mysterieux-qui-aneantit-les-abeilles.htmlCe matin-là, Christophe Martin, de la miellerie d'Allières, téléphone, effondré. « Venez donc constater les dégâts, 80 % de mes ruches sont mortes pendant l'hiver. » Christophe est apiculteur depuis vingt-six ans.Sur place, avec Thierry, son stagiaire de la FPPA d'Auterive, il présente les trente ruches dont ils brûlent les cadres. « Les causes de cette mortalité incontrôlable nous échappent. Nos ruches sont lourdes, chargées de miel, de nourriture pour l'hiver. Par contre, leur essaim s'est considérablement réduit. En hiver, un minimum de 15 000 abeilles est nécessaire par ruche pour assurer une température de 25 degrés. En dessous de ce nombre, elles meurent. Sur chaque cadre, on voit une grappe d'abeilles mortes. Depuis plusieurs années, on assiste à la mort des essaims d'abeilles et on en cherche toujours les raisons. »Christophe Martin est particulièrement amer et soucieux : « Je me demande si le métier d'apiculteur n'est pas en train de disparaître. La mort de l'abeille est une remise en question professionnelle. Mon chiffre d'affaires avait déjà chuté de 50 % l'an dernier », soupire-t-il.Du côté de Baulou, chez l'apiculteur Olivier Roche, les ruches n'ont pas encore été ouvertes. Elles le seront tout prochainement, avec un pincement au cœur. L'exploitation, en effet, a été durement touché lors des deux précédentes campagnes. Plus de la moitié des ruches a été détruite, deux années de suite. L'hiver dernier, notamment, la mortalité a été très importante. Et pour ces exploitants, le coupable est tout désigné : « ce sont les insecticides balancés dans la montagne ». Vers Serres-sur-Arget, Bertrand Théry, membre de la commission apiculture de la Confédération paysanne, n'a pas constaté autant de dégâts que les années précédentes sur ses ruches. « Mais j'ai quand même des pertes anormales, commente-t-il. Beaucoup de reines sont mortes et les ruches sont souvent bourdonneuses. Et enfin des colonies qui sont devenues trop faibles ». Et de commenter : « Pour moi, c'est clair, les abeilles sont rendues plus fragiles par la pression insecticide trop forte ».Reste que ce point de vue n'a pas été confirmé par les analyses effectuées par les services vétérinaires. Et que les enjeux financiers sont importants, à la hauteur de la perte subie par les apiculteurs, souvent contraints de racheter, chaque année, de nouveaux essaims. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 1 avril 2010 France - Le 30 mars, près de 400 élus dont 186 parlementaires ont signé une charte par laquelle ils s'engagent à renoncer à l'usage de pesticides toxiques dans leurs collectivités. Ils espèrent ainsi contribuer à la réduction de l'inquiétante mortalité des abeilles. "Le taux de mortalité des abeilles est passé de 5 à 20, 30, voire 45%" a rappelé Henri Clément, président de l'Union nationale de l'apiculture française (Unaf). C'est pour tenter d'enrayer ce phénomène que 400 élus ont signé une charte de soutien aux abeilles et aux apiculteurs."Après avoir survécu à tous les changements climatiques, les abeilles sont menacées en raison de mutations profondes de l'environnement dues notamment à des pratiques agricoles inadaptées et particulièrement à l'emploi abusif de produits phytosanitaires", soulignent ces députés et sénateurs rejoints par quelque 200 élus d'Île-de-France.Le Comité de soutien des élus à l'abeille et aux apiculteurs, créé à l'initiative de l'Union nationale de l'apiculture française, d'Agir pour l'environnement, de la Ligue pour la protection des oiseaux, du Mouvement pour les droits et le respect des générations futures et de Natureparif, s'est ainsi engagé à ne plus utiliser de produits phytosanitaires toxiques pour les abeilles dans les espaces verts des collectivités. Les élus promettent également de ne pas favoriser la mise en culture de plantes OGM mais de soutenir une agriculture respectueuse de l'environnement.La charte symboliquement signée mardi à l'Assemblée nationale rappelle que "plus de 80% de notre environnement végétal est fécondé par les abeilles" tandis que "près de 40% de notre alimentation (fruits, légumes, oléagineux...) dépend exclusivement de l'action fécondatrice des abeilles". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 juin 2010 Paris, France - Une colonie de plusieurs milliers d'abeilles a envahi une galerie d'art contemporain situé rue Saint-Honoré à Paris.Le propriétaire de la galerie n'en revient toujours pas et explique à l'AFP : "De mon bureau, j'ai vu des éléments tomber du ciel. Je me suis rapproché et j'ai vu un gigantesque nuage d'abeilles qui s'agglutinaient sur mes vitrines [...] C'était très impressionnant, j'ai pensé tout de suite aux oiseaux d'Hitchcock." Un phénomène impressionnant mais pas rare pour autant pour l'apiculteur en charge de recueillir les abeilles. Il explique ainsi dès lors qu'une colonie d'abeille grandit jusqu'à se sentir à l'étroit dans leur essaim, la moitié s'en va en quête d'un nouvel habitat avant d'aller rechercher le reste de l'essaim. Pour l'apiculteur Simon-Pierre Delorme : "Les essaims se mettent un peu n'importe où. Il suffit que les premières s'installent quelque part et les autres suivent [...] Dans cette situation, elles n'ont ni maison, ni enfants, ni larves à défendre, elles ne sont donc pas agressives". Au total dans cette galerie d'art parisienne, ce sont 20.000 abeilles qui ont été récupérées. Et l'apiculteur d'ajouter auprès de l'Agence France Presse : "Je vais les installer dans une ruche bien confortable". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 28 juin 2010 PARIS, 25 juin 2010 (AFP) - Une espèce de fourmis guyanaises utilise un effet "Velcro" pour s'agripper fermement aux feuilles de l'arbre Cecropia, emblématique de la Guyane, et pouvoir ainsi capturer de très grosses proies, selon une étude publiée vendredi.> Un groupe d'ouvrières peut ainsi capturer de très grosses proies, la plus grosse rencontrée étant un criquet de 18,61 g soit 13.350 fois le poids d'une ouvrière, indique le Centre national français de la recherche scientifique (CNRS) dans un communiqué.L'équipe d'Alain Dejean du laboratoire Ecologie des forêts de Guyane (ECOFOG, CNRS/Université Antilles-Guyane/INRA), dont les résultats sont publiés dans la revue Plos One, s'est intéressée aux interactions entre le Cecropia obtusa et l'espèce de fourmis Azteca andreae.Le Cecropia, aussi appelé bois canon, a développé une relation symbiotique avec les fourmis arboricoles du genre Azteca. L'arbre fournit le logement (au niveau des tiges creuses) ainsi qu'une partie de la nourriture à ces petites fourmis qui, en retour, protègent l'arbre des envahisseurs.Les ouvrières se postent côte à côte sous la bordure des feuilles de l'arbre et attendent dans cette position d'éventuelles proies. La face inférieure des feuilles présente de longs poils, sur lesquels s'accrochent les griffes des ouvrières, selon le principe d'une fermeture Velcro. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 juillet 2010 Lincolnshire, Grande Bretagne - un essaim de plus de 30 000 abeilles a assombri le ciel et terrifié les occupants d'une maison. Phil Sanderson, 34 ans, et sa compagne Serena Reed, 34 ans, ont avoué avoir été terrifiés lorsqu'ils ont entendu le bourdonnement de l'essaim."Au départ je ne savais pas ce que c'était, cela ressemblait à un blizzard noir qui entourait la maison et on avait l'impression d'être encerclé par des gens soufflant dans des vuvuzelas", a raconté M. Sanderson au Telegraph. Lorsqu'ils se sont finalement aperçus qu'il s'agissait d'un énorme essaim d'abeilles, le couple s'est empressé de fermer toutes les fenêtres afin d'éviter que les insectes ne pénètrent dans la maison.M. Sanderson qui est parvenu à photographier l'essaim avant qu'il ne s'envole au loin, ne peut toujours pas croire avoir assisté à un tel rassemblement d'abeilles. "La dernière chose à laquelle vous vous attendez est d'être encerclé par un essaim de 30.000 abeilles", a-t-il ajouté. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 19 août 2010 Suisse - Un homme est tombé nez à nez avec une mygale alors qu'il se rendait sur son lieu de travail. N'ayant pas peur de l'animal, il l'a mis dans un verre afin de la rapporter chez lui. C'est alors qu'il se rendait au travail, qu'un homme de 32 ans a croisé le chemin d'une mygale. Peu effrayé, l'homme s'est alors penché vers le sol pour attraper l'araignée venimeuse avant de la ramener chez lui. Belga a indiqué que la mygale mesurait 2.5 centimètres et serait de type hexathelidae, soit la mygale la plus dangereuse qui soit.7sur7 a précisé que les morsures des mygales peuvent être mortelles et que cette araignée en particulier était actuellement en cours d'identification. Elle devrait par la suite être confiée à un zoo. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 19 août 2010 États-Unis - Un homme appartenant à la police a été contraint de rester dans son véhicule durant plusieurs heures après que des abeilles se soient échappées d'un camion et aient encerclé la voiture. La porte-parole du shérif du comté de Wake, a expliqué à l'AFP que l'agent de police s'était rendu sur les lieux d'un accident de la circulation, souhaitant aider un véhicule arrêté sur le bord d'une autoroute. Le véhicule en question était un camion transportant une soixantaine de ruches pleins d'abeilles. Alors qu'elles auraient dû rester à l'intérieur de leur habitacle, les abeilles se sont dirigées vers l'extérieur du camion, volant autour du policier.Le porte-parole a déclaré : "Elles étaient déboussolées, sans leur reine. Elles se sont agglutinées sur la voiture de police probablement parce que c'est la plus grosse chose qu'elles ont trouvée dans les environs". L'Agence France Presse a affirmé que le nombre d'abeilles trouvé sur la voiture est estimé de 30 à 50.000. Pendant ce temps-là, le policier n'a pas pu quitter son véhicule. Les écoles ont été fermées et les abeilles ont pu regagner leur ruche grâce à une tactique de diversion consistant à pulvériser sur elles un liquide sucré afin qu'elles s'agglutinent. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 septembre 2010 http://www.nicematin.com/article/cote-dazur/il-y-a-urgence-pour-les-abeillesMaladies, pesticides… Les abeilles qui, en plus de produire le miel, assurent l’essentiel de la pollinisation des fruits et légumes, sont menacées Il ne fait pas bon être une abeille par les temps qui courent. Car ces insectes sont attaqués de toutes parts. En premier lieu par des causes naturelles : infections virales ou bactériennes, mais surtout par un prédateur de la famille des acariens, le varroa, qui les vampirise en suçant leur hémolymphe (sang) jusqu’à l’épuisement et la mort. Elles sont aussi - et peut-être surtout - victimes de l’emploi massif des pesticides, du traitement des cultures et des profonds changements environnementaux induits par l’activité humaine. Pour toutes ces raisons, depuis quelques années, les ruches « s’effondrent » comme disent les apiculteurs.Si rien n’est entrepris, ce sombre tableau ne sera pas sans conséquences pour notre nourriture : 80 % de la pollinisation des plantes maraîchères et des arbres fruitiers est assurée par le travail des ouvrières ailées qui transportent les pollens lorsqu’elles passent de fleur en fleur pour butiner !Premières initiativesL’alerte est si sérieuse que des initiatives sont déjà prises un peu partout dans le monde pour sauver le “ soldat Maya ”.Dans les Alpes-Maritimes, le conseil général a autorisé des apiculteurs professionnels à loger des ruches dans des zones naturelles lui appartenant. Des colonies sont ainsi installées sur les collines au bas de Gilette et dans d’autres parcs départementaux.La collectivité a aussi entrepris de faire installer des plantes mellifères (ciste, sauge, thym, romarin, lavande) sur les espaces publics, comme les aires de repos le long des routes.En France, l’agriculture devient plus “ raisonnable ” avec des traitements moins dosés. L’utilisation de produits accusés par les apiculteurs de détruire les abeilles en s’attaquant à leur système nerveux a été fortement réglementée.En Grande-Bretagne, des semis de luzerne, trèfle et bourrache sont effectués en bordure des champs pour qu’elles trouvent à se nourrir sans s’épuiser dans de longs voyages.Avec des premiers résultats encourageants.Ces quelques mesures, et d’autres de simple bon sens, comme une limitation des traitements dans les jardins et même les balcons des particuliers, doivent permettre d’améliorer la situation.Pour que le matin, on puisse encore déguster de bonnes tartines au miel ! Article vu 21 foisJean-Michel Chevalier (jmchevalier@nicematin.fr) Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 20 septembre 2010 Madagascar - Une équipe de scientifiques de l'université de Puerto Rico a découvert des toiles d'araignée pouvant atteindre plusieurs mètres de large, dans le parc national d'Andasibe-Mantadia. Pour voir les photos : http://www.maxisciences.com/araign%e9e/les-plus-grandes-toiles-d-039-araignee-du-monde-photographiees-a-madagascar-en-images_art9265.html "Les rangers du parc connaissaient ces toiles d'araignée, et je pense qu'ils les montraient aux touristes depuis longtemps" explique le zoologue Ingi Agnarsson. L'espèce tissant ces gigantesques toiles, baptisée Caerostris darwini, était pourtant inconnue de la communauté scientifique jusqu'à ce que l'homme et ses collègues de l'université de Puerto Rico ne la décrivent officiellement. D'autres espèces grégaires, comme les araignées sociales tropicales, bâtissent elles-aussi d'immenses toiles communes mais les chercheurs ont découvert à Madagascar des structures de soie possédant des lignes d'ancrage (fils stabilisant la structure centrale de la toile d'araignée) de 25 mètres de long, faisant de C. darwini l'araignée solitaire tissant les plus grandes toiles du monde. Plusieurs douzaines d'insectes peuvent se retrouver pris au piège de ces gigantesques pièges, bâtis par les femelles et les jeunes mâles, dont le corps ne dépasse pourtant pas les deux centimètres. Les mâles adultes ne tissent plus, et se concentrent entièrement à la reproduction et la quête de partenaires sexuels. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 septembre 2010 http://www.ladepeche.fr/article/2010/09/21/910926-Escalquens-Un-impressionnant-nid-de-guepes.htmlEscalquens. Un impressionnant nid de guêpesBien refermé sur lui-même et construit patiemment, mais prudence, à l'intérieur, ça grouille. /Photo DDM, JM. Un impressionnant nid de guêpes a élu domicile dans un chêne près du cimetière d'Escalquens.A vue de nez, il doit bien mesurer quatre -vingt centimètres de diamètre. Il est suffisamment haut pour être hors d'atteinte mais le va-et-vient incessant des petites bestioles n'est pas rassurant.Les services de la Mairie prévenus, vont faire le nécessaire pour évacuer le danger. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 octobre 2010 Depuis 2006, le syndrome du CCD (Colony Collapse Disorder) décime les abeilles domestiques. Malgré de nombreuses recherches, cette disparition restait inexpliquée... jusqu'à aujourd'hui. D'après le New York Times, le mystère est en passe d'être résolu. Une nouvelle étude, fruit d'un partenariat entre des scientifiques militaires et des entomologistes, a identifié un, voire deux, nouveaux suspects. Le phénomène pourrait s'expliquer par l'association d'un virus et d'un champignon. On ne sait pas encore pourquoi cette combinaison est fatale pour les abeilles. Mais les preuves sont solides: le virus et le champignon en question prolifèrent dans un climat froid et humide, et agissent dans l'intestin des insectes.Cette découverte a été possible grace à un outil militaire que les scientifiques ne possèdent pas: une banque de données de l'armée américaine répertoriant toutes les caractéristiques génétiques d'une énorme quantité de virus, bactéries et champignons, explique Popular Science.«C'est le même procédé que Google, on rentre un mot et on trouve ensuite tous les sites où ce dernier est employé», explique Michael DuBow, professeur à l'université Paris-Sud cité par Le Figaro, qui analyse la démarche des chercheurs. L'équipe, pilotée par Jeremy Bromenschek, un chercheur qui a longtemps travaillé avec l'armée américaine pour apprendre aux abeilles à détecter les explosifs, a d'abord recensé les protéines présentes à l'intérieur des corps des abeilles mortes de CCD à l'aide d'un spectromètre de masse. Ensuite, elle a recherché à quels micro-organismes ces éléments appartiennent, en utilisant la fameuse banque de données. À partir de là, poursuit Le Figaro, les chercheurs se sont intéressés à tous les parasites pathogènes des abeilles, en éliminant tous ceux qui ne se retrouvaient pas dans tous les échantillons. Au bout du compte, ils ont trouvé deux suspects: un virus appartenant à la famille des Iridoviridae et un champignon microscopique unicellulaire Nosema ceranae. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 octobre 2010 États-Unis - 20 à 40% des abeilles ont disparu outre-Atlantique et les scientifiques américains ne connaissaient pas l'origine de cette disparition. Une étude vient de révéler qu'un champignon et un virus seraient à l'origine de l'effondrement des colonies d'abeilles. Depuis plusieurs années maintenant, les chercheurs américains cherchent les raisons de la disparition des abeilles, particulièrement dans le sud du pays. Une étude publiée le 6 octobre dernier a identifié les coupables, qui se trouvent être un virus et un champignon.Cette nouvelle étude, dirigée par l'université du Montana, se distingue des précédentes par les méthodes utilisées par les chercheurs. Les militaires américains ont en effet mis à leur disposition une base de données contenant les données génétiques de plusieurs milliers d'organismes qui ont permis d'identifier le virus et le champignon coupables.Le virus, de la famille des Iridoviridae et le champignon Nosema cerenae ont été inocculés à des abeilles vivantes. 100% des abeilles contaminées sont mortes. "C'est un peu comme l'oeuf et la poule, indique le Docteur Bromenshenk, on ne sait pas lequel des deux arrive le premier, et nous ne savons pas non plus si l'un affaiblit les abeilles avant que l'autre ne les achève ou si c'est leur association qui leur est fatale."Cependant, le virus et le champignon ne sont certainement pas les seules causes de cette disparition. "D'une part, cette pathologie n'est à l'origine que d'un tiers des mortalités constatées chez les abeilles américaines. D'autre part, on ne sait pas pourquoi les abeilles ont attrapé ces deux parasites. C'est peut-être un pesticide qui a déclenché une baisse d'immunité...", a déclaré Yves Le Conte, de l'Inra (Institut national de la recherche agronomique).D'un point de vue écologique, la disparition des abeilles met en péril la pollinisation naturelle de plusieurs milliers d'espèces végétales dont 30% représentent des aliments pour l'Homme. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 22 octobre 2010 LONDRES, 22 oct 2010 (AFP) - Des milliers de "bébés araignées" doivent être relâchés dans la nature en Angleterre cette semaine pour revigorer une espèce menacée, selon Natural England, un organisme qui conseille le gouvernement sur la biodiversité.> L'espèce est rarissime -deux habitats seulement en Angleterre et un au Pays de Galles.Il s'agit d'une araignée de belle taille (18 à 23 mm pour le corps d'une femelle) qui se distingue de ses congénères par une bande colorée crème, jaune ou blanche sur l'abdomen.Les bébés araignées ont été élevés dans des éprouvettes de laboratoires, séparés les uns des autres pour éviter qu'ils ne se battent, et nourris à la main avec des insectes.Selon le Dr Smith, élever les bébés araignées s'est révélé "épuisant". "Je me retrouvais dans ma cuisine jusqu'à 2 heures du matin, 7 jours sur 7, en train de nourrir des bébés araignées affamés", témoigne-t-elle.L'espèce est classée "en danger" au Royaume Uni, et Natural England espère que l'opération de réintroduction va lui donner une deuxième chance. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 octobre 2010 Malgré leur minuscule cerveau, les abeilles résolvent tous les jours des problèmes mathématiques complexes qu'un ordinateur peut prendre plusieurs jours à résoudre. Des scientifiques de l'université de Royal Holloway à Londres ont découvert que les insectes apprennent à parcourir le chemin le plus court entre toutes les fleurs qu'ils trouvent de manière aléatoire pour butiner, rapporte le Guardian, résolvant ainsi le problème du voyageur de commerce. Ce problème, un des plus étudiés dans le domaine de l'optimisation combinatoire, a été formulé pour la première fois en 1859, et se résume avec l'énoncé suivant:«Un voyageur de commerce doit visiter une et une seule fois un nombre fini de villes et revenir à son point d'origine. Trouvez l'ordre de visite des villes qui minimise la distance totale parcourue par le voyageur.»A première vue facile, le problème devient extrêmement compliqué dès qu'on augmente le nombre de villes, le nombre de chemins possibles passant par 69 villes s'élevant à un nombre d'une longueur de 100 chiffres. (Vous pouvez tester vos qualités de voyageur de commerce avec cette application).Les ordinateurs arrivent à résoudre le problème en comparant la longueur de tous les chemins possibles et en déterminant le plus court, mais on doit se contenter de solutions approchées quand il s'agit d'un grand nombre de points, et cela peut prendre des jours à un ordinateur. Les abeilles arrivent quant à elles à résoudre le problème avec un cerveau de la taille d'une graine de gazon.Le Dr. Nigel Raine, du département de sciences biologiques de Royal Holloway, explique:«Les abeilles butineuses résolvent le problème du voyageur de commerce tous les jours. Elles découvrent des fleurs dans de multiples endroits et, parce qu'elles utilisent beaucoup d'énergie pour voler, elles trouvent le chemin qui les fait voler le moins.» Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 novembre 2010 Une équipe de scientifiques a quitté la France aujourd'hui pour le parc national de Dzanga-Ndoki en Centrafrique. Dans le cadre d'une expédition naturaliste baptisée "Sangha", ils espèrent découvrir de nouvelles espèces d'insectes. Une dizaine de chercheurs du muséum de Toulouse sont sur le point de rejoindre la forêt tropicale du bassin du Congo pour étudier la biodiversité d'une région de lacs mal connue. Ils ont pour objectif de découvrir de nouveaux insectes et d'étudier certaines espèces telles que le célèbre papillon géant Papilio antimachus. "Nous n'avons aucune donnée entomologique" sur cette zone, souligne Philippe Annoyer, le coordinateur général de la mission Sangha mise en place par l'association Insectes du Monde.Botanistes, arachnologues et autres entomologistes participant à cette expédition naturaliste ont pour ambition de "faire un inventaire le plus riche possible de la biodiversité dans la deuxième plus grande forêt tropicale du monde après l'Amazonie". Il y a deux ans, Philippe Annoyer participait déjà à une telle expédition, près de la rivière Sangha dans la même région d'Afrique centrale. Quelque 120.000 insectes avaient été rapportés, dont treize nouvelles espèces : dix de fourmis, une de papillon diurne, une de bousier et une de mante.Les scientifiques seront accompagnés de chercheurs de l'université de Bangui, mais aussi de pygmées connaissant bien la région et sa faune, et d'une soixantaine de personnes qui devront convoyer sur place une tonne et demie de matériel. Ils prospecteront tout particulièrement la ramure des arbres situés au bord des lacs, afin de déterminer quels insectes vivent sur les mousses, lichens, orchidées ou encore fougères qui poussent sur les branches. Les scientifiques travailleront alors dans des arbres s'élevant de quarante à soixante mètres de haut, perchés sur une plateforme en toile imbécileçue par l'association "Tout là-haut", et permettant de pénétrer à l'intérieur de l'enchevêtrement de branches Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 novembre 2010 Franche-Comté, France - Face à l'inquiétante mortalité qui menace les abeilles, un plan d'action a été mis en place en Franche-Comté. Des centaines d'hectares ont ainsi été semés de plantes utiles à la nutrition des insectes. Au cours des trois dernières années, à l'initiative de la Fédération régionale des Chasseurs, ce sont plus de 700 hectares qui ont été convertis en zones d'intercultures en Franche-Comté, une région pilote. Pendant six mois, les parcelles agricoles sont ainsi transformées en champs de sarrasin, d'avoine, de vesce, ou de phacélie, des plantes dont le pollen est très nutritif pour les abeilles.Alors que depuis une vingtaine d'années, le taux de surmortalité des butineuses a atteint 30%, "la qualité du bol alimentaire des abeilles est un facteur-clé de leur survie. Lorsque l'on nourrit mieux les abeilles, leurs défenses immunitaires sont meilleures, leur production de miel augmente et le service de pollinisation est assuré", explique Pierre Testu, du Réseau biodiversité pour les abeilles.Les intercultures apportent le pollen et le nectar nécessaires à la survie des abeilles lorsqu'elles n'ont plus de fleurs à butiner. La Franche-Comté est la première région française à mettre en place de tels aménagements à grande échelle pour lutter contre la surmortalité de ces insectes. Un projet labellisé "2010 année internationale de la biodiversité" par le ministère de l'Écologie, qui aura nécessité un investissement total de quelque 180.000 euros. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 15 novembre 2010 MELBOURNE, 15 nov 2010 (AFP) - Un Australien va passer trois semaines au milieu de centaines d'araignées dont certaines très dangereuses, dans une vitrine de sa boutique de Melbourne, pour collecter de l'argent destiné à une oeuvre de charité pour les enfants, a-t-il indiqué lundi.> Pour espérer collecter 50.000 dollars US, le "spiderman" australien devra aussi cohabiter avec l'araignée hunstman, qui ressemble à la tarentule et peut atteindre 20 à 30 cm d'envergure."Je suis un peu fou de faire ça. Les araignées redback sont mortelles mais il n'y pas eu de cas mortel depuis longtemps car un antivenin a été développé il y a des dizaines d'années. Mais je sais que je ne vais pas être mordu", a-t-il déclaré à l'AFP."J'ai déjà été mordu par des serpents, j'ai été piqué par des raies ou d'autres poissons dangereux, mais jamais par des araignées", a ajouté le "spiderman" australien.Selon lui, les arachnides préféreront s'attaquer aux cafards et criquets vivants qui leur seront fournis comme nourriture.M. Le Souef comptait débuter son aventure avec 400 insectes mais certaines araignées voraces ont dévoré plusieurs de leurs congénères. De nouveaux spécimen seront ajoutés pour les remplacer.L'homme qui a déjà tenté et réussi pareil pari il y a 30 ans, va passer ses trois semaines dans le vivarium à écrire et tailler des opales, ce qui constitue son gagne-pain. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 18 novembre 2010 PARIS, 18 nov 2010 (AFP) - Les punaises de lit sont-elles en train d'envahir Paris, comme c'est le cas à New York où les "bedbugs" ont créé une psychose ? les professionnels se veulent rassurants mais ils reconnaissent leur difficulté à évaluer la présence de ces insectes parasites.> Une société parisienne de désinsectisation, qui préfère rester anonyme, déclare "constater une augmentation des interventions pour éradiquer les punaises, de plus en plus présentes dans les appartements depuis trois ans", mais elle agit aussi "à titre préventif".La société note aussi que les appels sont plus nombreux depuis l'apparition d'articles de presse. Un appartement infesté doit subir deux ou trois traitements pour éliminer ces nuisibles.Pour sa part, le docteur Fabien Squinazi, du Service municipal d'actions de salubrité et d'hygiène (Smash), se veut rassurant. Il dit "avoir réalisé plus de 600 interventions depuis le début de l'année", soit "guère plus que l'an passé"Toutefois il rappelle qu'"il y a beaucoup d'entreprises privées qui interviennent dans ce domaine".Un avis partagé par la mairie de Paris, qui souligne qu'il n'existe pas d'observatoire municipal sur ces insectes, et donc pas de données statistiques. Elle précise "que les interventions du Smash pour les punaises ne représentent que 5% de l'activité" de ce service. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 décembre 2010 < =(PHOTO ARCHIVES)=> Sven Koppler, 36 ans, a été arrêté jeudi à son arrivée à Los Angeles où il devait rencontrer un associé, après une filature de neuf mois baptisée "Operation Spiderman", selon le bureau du procureur de la ville.L'enquête avait démarré en mars, après la découverte par les agents américains des douanes de 300 mygales vivantes au cours d'une fouille de routine dans un colis.Les agents de l'Agence américaine des pêches et de la faune ont ensuite intercepté un second colis contenant près de 350 mygales vivantes et 22 tarentules mexicaines à genoux rouges.Les enquêteurs ont alors patiemment tissé leur toile pour piéger Koppler, en lui passant commande d'araignées supplémentaires. Celui-ci leur a envoyé un paquet contenant 70 mygales vivantes.L'homme, originaire de Wachtberg, dans l'ouest de l'Allemagne, aurait gagné quelque 300.000 dollars grâce à la vente de ces animaux à des arachnophiles d'une dizaine de pays.Selon les documents de l'accusation, plusieurs envois contenaient des araignées protégées par la Convention internationale sur le commerce des espèces sauvages menacées (CITES).S'il est reconnu coupable, il risque 20 ans de prison et une amende de 250.000 dollars.Dans des courriels échangés avec un agent américain agissant sous couverture, il aurait expliqué qu'"envoyer des mygales dans des paquets petits et légers est le meilleur moyen d'échapper aux douanes à travers le monde".mt/cel/sf Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 9 décembre 2010 < NAIROBI, 8 déc 2010 (AFP) - Un groupe de scientifiques a retrouvé pour la première fois au Kenya depuis 1948 des spécimens de la "mouche poilue", selon un communiqué diffusé mercredi par l'équipe de chercheurs qui décrit cette mouche comme "la plus rare et la plus étrange au monde".> "La redécouverte de ces insectes, qui n'avaient été rencontrés auparavant qu'en deux occasions, en 1933 et en 1948, a suscité l'engouement dans les muséums d'histoire naturelle à travers le monde", commente le communiqué publié par le Centre international sur l'écologie et la physiologie des insectes (Icipe), installé au Kenya.La mouche est décrite comme "étrange, en raison de sa taille relativement grande, de ses yeux atrophiés, de ses ailes qui ne fonctionnent pas et par le fait que les mâles peuvent étirer leurs pattes couvertes de poils jaunes sur plus d'un centimètre", selon le communiqué qui estime que l'insecte ressemble plus à une araignée qu'à une mouche."La Mormotomyia ne pouvant voler, la probabilité est forte que l'espèce soit réduite à cet habitat très limité", a ajouté M. Copeland dans le communiqué."Si c'est le cas, ce serait merveilleux que les Ukazi Hill soient déclarées héritage national et fassent l'objet de mesures de conservation", a-t-il souhaité.jmm/oto/fal/hba/pb Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 10 décembre 2010 Le ministère de l'Agriculture a annoncé le renouvellement pour un an de l'autorisation de l'insecticide Cruiser en France. Une décision inacceptable pour les apiculteurs et les défenseurs de l'environnement, qui dénoncent l'impact de ce produit sur la surmortalité des abeilles. Cette autorisation a été décidée suite à l'avis favorable rendu le 15 octobre dernier par l'Agence nationale de sécurité sanitaire (Anses). Celle-ci juge l'utilisation du Cruiser sur le maïs sans risque pour l'environnement, souligne dans un communiqué le ministère de l'Agriculture. Fabriqué par le groupe suisse Syngenta, ce pesticide a pourtant un réel impact sur la santé des abeilles dont la surmortalité est extrêmement inquiétante, assurent apiculteurs et défenseurs de l'environnement.Le ministère de l'Agriculture a mis en place un plan de surveillance concernant ce produit. Un plan qui a révélé des "cas avérés d'intoxication des abeilles au thiametoxam, la substance active du Cruiser", souligne en effet l'Union nationale de l'apiculture française (UNAF), déplorant de constater que l'Anses "comme d'habitude, a réfuté ce lien de causalité et invoque des causes multifactorielles". Depuis des années, les professionnels se battent pour le retrait du marché des néocotinoïdes, utilisés en enrobage des semences ou en pulvérisation. En Italie, ces produits phytopharmaceutiques sont interdits depuis trois ans, rappelle l'UNAF, soulignant que "dans tous les pays du monde où se pratique l'agriculture intensive avec l'utilisation de ces insecticides, les apiculteurs déplorent des mortalités massives de leurs colonies d'abeilles". Face à cette situation, les députés européens ont demandé à la Commission de soutenir la recherche indépendante sur la mortalité des abeilles, tout en veillant à assurer une totale transparence quant aux informations concernant l'impact des cultures OGM et des pesticides sur les abeilles. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 décembre 2010 Un nid de frelons d'un mètre de diamètre a été découvert dimanche au jardin compans-cafarelli. C'est un coureur du dimanche qui a remarqué cet étrange fruit accroché à la cime d'un peuplier au dessus d'une aire de jeux pour enfants. Frédéric Dejean est infirmier. Comme souvent, le week-end, il aime aller courir dans le parc : « c'était dimanche matin, en courant dans le parc, je regardais les arbres et tout en haut de l'un d'eux, à environ 20 mètres au-dessus de l'aire pour enfants, j'ai vu le nid » confie-t-il. D'une taille d'environ un mètre de diamètre, il était probablement accroché là depuis le printemps dernier. Un cycle de vie immuable Ces frelons asiatiques (vespa velutina nigrithorax) - comme tous leurs congénères - vivent en effet au rythme des saisons. Philippe Annoyer, entomologiste au Muséum explique : « au printemps, la reine fonde sa colonie. Elle pond des œufs qui font des ouvrières fin février. Début juin, elles deviennent adultes. Vers la fin de l'été ces ouvrières deviennent sexuées : une fois la reproduction accomplie, seules les reines subsistent. Elles s'enterrent alors pour l'hiver et fondent une nouvelle colonie au printemps. Les autres insectes dépérissent dès l'arrivée du froid - un nid abandonné n'est généralement pas recolonisé ». Il ajoute « ces insectes ne cherchent pas à s'attaquer à l'Homme. À 20 m au-dessus du sol, il ne représentait pas de danger direct pour les enfants ». Quand à savoir pourquoi ces insectes s'installent-ils en ville, Philippe Annoyer nous répond simplement que « la ville offre beaucoup plus de chaleur que la campagne ». Contactée sur le sujet, la mairie conseille, en cas de découverte, d'appeler immédiatement l'office de la tranquillité au 3108, qui se chargera de programmer l'enlèvement. R.P.-B. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 29 décembre 2010 Très sensibles à certaines toxines végétales, les abeilles sont capables d'identifier le nectar qui les rend malades grâce à leur odeur, et ainsi l'éviter. C'est ce que révèle une étude récemment publiée dans la revue Current Biology Journal. Des scientifiques britanniques ont démontré pour la première fois comment la sérotonine, une substance neurochimique, guide les abeilles en leur permettant de détecter les fleurs riches en toxines. Leur étude révèle en effet que les abeilles ayant été malades après avoir consommé un nectar, sont ensuite capables de reconnaître et éviter les fleurs toxiques grâce à leur odeur. Cette découverte est loin d'être anodine. Directrice du Honeybee Lab, le Dr Geraldine Wright souligne que si les chercheurs parviennent à comprendre la façon dont les abeilles détectent ces toxines, ils pourraient identifier les fleurs qui n'en contiennent pas, et ainsi protéger les abeilles dont la surmortalité est particulièrement inquiétante depuis plusieurs années. Mais pour l'instant, Geraldine Wright se dit inquiète à l'idée que la capacité des abeilles à reconnaître le nectar qui les a rendu malades ne leur soit plus réellement utile. "Le problème est que les abeilles pourraient être obligées de se nourrir de nectar toxique car elles n'ont pas d'autre choix, par exemple lorsqu'on les introduit dans un grand verger pour sa pollinisation", explique-t-elle. Et d'ajouter : "A une époque où les populations d'abeilles sont vulnérables et sous pression, ces recherches sont indispensables à leur survie. Il n'est pas logique que les plantes empoisonnent les pollinisateurs dont elles ont besoin pour survivre. Les toxines sont peut-être présentes pour protéger les plantes des fourmis, nous n'en savons rien. Mais ce que nous savons, c'est qu'un certain nombre d'espèces végétales au Royaume-Uni produisent des toxines et que par manque de choix, les abeilles sont forcées de s'en nourrir". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 janvier 2011 Très sensibles à certaines toxines végétales, les abeilles sont capables d'identifier le nectar qui les rend malades grâce à leur odeur, et ainsi l'éviter. C'est ce que révèle une étude récemment publiée dans la revue Current Biology Journal. Des scientifiques britanniques ont démontré pour la première fois comment la sérotonine, une substance neurochimique, guide les abeilles en leur permettant de détecter les fleurs riches en toxines. Leur étude révèle en effet que les abeilles ayant été malades après avoir consommé un nectar, sont ensuite capables de reconnaître et éviter les fleurs toxiques grâce à leur odeur. Cette découverte est loin d'être anodine. Directrice du Honeybee Lab, le Dr Geraldine Wright souligne que si les chercheurs parviennent à comprendre la façon dont les abeilles détectent ces toxines, ils pourraient identifier les fleurs qui n'en contiennent pas, et ainsi protéger les abeilles dont la surmortalité est particulièrement inquiétante depuis plusieurs années. Mais pour l'instant, Geraldine Wright se dit inquiète à l'idée que la capacité des abeilles à reconnaître le nectar qui les a rendu malades ne leur soit plus réellement utile. "Le problème est que les abeilles pourraient être obligées de se nourrir de nectar toxique car elles n'ont pas d'autre choix, par exemple lorsqu'on les introduit dans un grand verger pour sa pollinisation", explique-t-elle. Et d'ajouter : "A une époque où les populations d'abeilles sont vulnérables et sous pression, ces recherches sont indispensables à leur survie. Il n'est pas logique que les plantes empoisonnent les pollinisateurs dont elles ont besoin pour survivre. Les toxines sont peut-être présentes pour protéger les plantes des fourmis, nous n'en savons rien. Mais ce que nous savons, c'est qu'un certain nombre d'espèces végétales au Royaume-Uni produisent des toxines et que par manque de choix, les abeilles sont forcées de s'en nourrir". Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 4 janvier 2011 Les populations de quatre grandes espèces de bourdons, d'importants pollinisateurs de fruits et de tomates notamment, ont diminué de plus de 90 % ces vingt dernières années aux Etats-Unis. Des diminutions importantes du nombre de ces insectes ont également été observées en Europe et ailleurs dans le monde ces dernières décennies, selon une étude publiée lundi 3 janvier dans les Annales de l'Académie nationale américaine des sciences (PNAS), après trois ans de recherche.INFESTATION PAR UN PATHOGÈNEUn degré élevé d'infestation par un pathogène microscopique appelé Nosema bombi et une faible diversité génétique paraissent être deux des causes de cette dépopulation spectaculaire aux Etats-Unis. Leurs petites cousines, les abeilles domestiques, connaissent aussi depuis 2006 un phénomène de dépopulation appelé 'Colony Collapse Disorder' ou CCD qui vide soudainement les ruches sans que les causes en aient été encore déterminées avec certitude.POLLINISATEURS DE TOMATES SOUS SERRELes bourdons pèsent moins lourd aux Etats-Unis que les abeilles domestiques, qui pollinisent plus de 90 variétés de fruits et légumes (pommes, avocats, myrtilles...), des productions estimées à 15 milliards de dollars par an au total et comptent pour un tiers de la production alimentaire. Mais ils jouent néanmoins un rôle important en Amérique du Nord pour certaines récoltes surtout de baies comme les myrtilles. En Europe, comme en France et en Allemagne, les bourdons sont élevés pour polliniser tomates et autres légumes cultivés dans des serres, des récoltes qui pèsent des milliards de dollars par an sur le Vieux Continent, beaucoup plus qu'en Amérique du Nord. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 17 janvier 2011 Des chercheurs britanniques et israéliens affirment qu'une espèce de frelon, le frelon oriental (Vespa orientalis), est capable de transformer l'énergie solaire en électricité grâce aux couches extérieures de son abdomen dont le fonctionnement est semblable à celui de cellules photovoltaïques naturelles. Une découverte dont les scientifiques pourraient s'inspirer afin de développer des cellules solaires organiques plus performantes. Les chercheurs ont fait cette découverte après avoir observé que le frelon oriental était bien plus actif pendant l'après-midi, lorsque l'intensité solaire est la plus intense. Une caractéristique qui le différencie des guêpes, des abeilles, et des autres espèces de frelons, plus actifs le matin qu'aux autres moments de la journée. L'équipe menée par le Dr Marian Plotkin, de l'Université de Tel-Aviv, a donc cherché à en savoir plus, et c'est en observant la carapace du frelon au microscope électronique que les scientifiques ont découvert la structure particulière du matériau formant la cuticule brune de l'insecte. Celle-ci est composée de sillons profonds de 160 nanomètres, tandis que la bande jaune située sur l'abdomen du frelon est constituée d'une série de reliefs de forme ovale, d'une hauteur de 50 nanomètres. Chacune de ces protubérances présente une petite dépression de la taille d'une tête d'épingle. D'après les chercheurs, cette structure permet de capter la lumière solaire. Le matériau brun antireflet séparerait en effet la lumière du soleil pour la retourner en plusieurs faisceaux divergents. Des faisceaux qui entrent en contact avec la cuticule jaune, où ils rencontrent une autre structure formée de plusieurs couches en forme de feuille. C'est cette structure complexe qui piègerait la lumière solaire à l'intérieur de la cuticule dont la couleur jaune est issue du pigment de la xanthopterine, un composé qui permet de convertir la lumière en énergie électrique. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 janvier 2011 Courant 2011, la Commission européenne prévoit de mettre en place un programme de surveillance de la mortalité des abeilles. En effet, les butineuses meurent de façon importante et toujours inexpliquée à l'heure actuelle. La Commission européenne vient de décider au cours d'une réunion des ministres de l'Agriculture à Bruxelles qu'un programme de surveillance de la mortalité des abeilles allait être instauré. Dès 2011, un laboratoire de référence devrait être mis en place de façon à tenter de comprendre pourquoi ces insectes meurent. D'un autre côté, l'AFP rapporte que l'Union européenne pourrait inclure dans la loi qui doit paraître en 2012 concernant la santé animale, une clause traitant du problème. Pour l'heure, bien qu'il n'y ait aucune certitude, les pistes les plus sérieuses pouvant expliquer le déclin des abeilles sont l'empoisonnement par les pesticides et les cultures OGM. Estimée à 200.000 tonnes par an par la Commission européenne, la production européenne de miel concerne 700.000 apiculteurs. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 12 février 2011 < MONTREAL, 11 fév 2011 (AFP) - Vingt mille abeilles qui vivaient depuis deux ans, sans souci de santé, dans la galerie de la biodiversité au Musée Royal de l'Ontario (MRO), sont toutes mortes en deux jours la semaine dernière sans qu'on sache pourquoi, a-t-on appris vendredi auprès de MRO à Toronto.> Un expert doit visiter le musée la semaine prochaine pour étudier différentes hypothèses, un problème de ventilation ou une maladie, peut-être un champignon.En tout cas, elles ne peuvent être mortes de faim, le personnel leur ayant fourni régulièrement de l'eau sucrée, comme chaque hiver.La mortalité des abeilles est en progression dans le monde entier et pourrait avoir de graves conséquences sur la production alimentaire puisque la plupart des plantes, cultivées ou non, sont pollinisées par les abeilles.via/sab/cel Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 21 février 2011 Après un effondrement incroyable l'an passé, la migration des papillons monarques vers le Mexique a repris cette année. Les papillons monarques, ces insectes aux ailes noires et oranges qui migrent traditionnellement depuis le Canada et les Etats-Unis vers le Mexique durant la période hivernale, sont de retour cette année. L'an dernier, une baisse de 75% du nombre de ces animaux avait été enregistrée au Mexique durant l'hiver. Le directeur du WWF-Mexique, Omar Vidal, précise néanmoins que le niveau atteint cette année est encore bien en-dessous de la normale, les papillons occupant 9,9 acres de forêt en cet hiver 2010-2011, plus que les 4,7 constatés l'an passé mais encore bien moins que les 20 acres de 2008-2009. Le réchauffement climatique continue de faire des siennes... Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 25 février 2011 Carcassonne. Menacée par un nid de frelons asiatiqueshttp://www.ladepeche.fr/article/2011/02/25/1021822-Carcassonne-Menacee-par-un-nid-de-frelons-asiatiques.html«On a contacté les pompiers, ils sont venus mais ils nous ont dit qu'ils ne pouvaient pas l'enlever. On a ensuite contacté les services d'hygiène de la mairie, ils nous ont dit qu'ils ne savaient pas quoi faire. Les apiculteurs nous ont présenté un devis entre 150 € et 680 €, mais vous comprenez, on ne peut pas se le permettre… En désespoir de cause, on a contacté le conseil général il y a 15 jours, et on attend toujours… ». Hélène Merme ne sait plus vers qui se tourner pour se débarrasser du gros nid de frelons asiatiques perché à une dizaine de mètres sur une branche de son acacia. « Les gens l'aperçoivent au loin quand ils montent la rue Buffon et nous avertissent gentiment, mais s'ils savaient que nous avions repéré ce nid il y a maintenant 4 mois », soupire Hélène. C'est en effet avec la tombée des feuilles au mois d'octobre, que Madame Merme a découvert cette grosse balle beige d'une cinquantaine de centimètres de diamètre avec au sol quelques frelons asiatiques gisants.Pas de danger immédiatDepuis 2005, c'est la même histoire… ces frelons, qui seraient arrivés en France clandestinement à bord d'un paquebot transportant des poteries chinoises, sèment la terreur chaque été. Bien acclimatés, ils envahissent essentiellement le grand Sud-Ouest. Leur piqûre est autant dangereuse que celle d'un frelon européen mais ce sont les abeilles -espèce déjà menacée-qui sont les victimes privilégiées de ces prédateurs. Si les pompiers ne peuvent pas l'enlever, c'est pour une question d'accessibilité. « Ce nid est en bout de branche et nous n'avons pas le matériel adéquat, nous pourrions bien sûr couper la branche si ce nid représentait un réel danger », explique le sergent-chef Berjaud1. Pas de danger car en effet le nid est vide. Actuellement, les frelons se terrent et au printemps tout est à refaire… les frelons n'occupant jamais un nid qu'ils ont abandonné. Le problème de ces terribles nuisibles doit donc être reporté, mais gageons qu'il faudra sérieusement l'étudier car à Carcassonne, d'autres nids ont été observés, notamment dans la rue des Amidonniers et le quartier des Capucins. En attendant, la pie apprivoisée de Madame Merme peut continuer à s'y poser sans danger jusqu'à ce qu'une rafale de vent emporte ce nid béant. 1 A savoir : les pompiers facturent 55 € tout enlèvement le service de destruction de nuisibles. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 février 2011 L'association Insectes du monde vient de rendre public le compte-rendu de sa mission "Sangha". L'organisme Insectes du Monde a organisé fin 2010 une mission de scientifiques centrafricains et français afin d'étudier la population d'insectes dans la région des 7 lacs autour de la rivière Sangha. Cette zone, qui a un biotope très diversifié, est un endroit remarquable pour étudier la biodiversité. Au cours de leur étude, les scientifiques ont pu dénombrer 180 espèces différentes de papillons ainsi que 61 sortes de libellules et 50 variétés de mantes sur un périmètre de 10 kilomètres autour de la réserve naturelle Dzanga-Noki. Une prochaine mission est prévue l'an prochain afin de confirmer les résultats de l'expédition 2010, et trouver les espèces rares qui n'ont pas pu être observées cette fois-ci mais dont des indices ont été découverts sur place. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 mars 2011 Une récente étude allemande s'est penchée sur la structure des fibres de soie fabriquées par les araignées afin de tenter d'expliquer leurs remarquables caractéristiques mécaniques. Utilisées pour tisser des toiles ou se suspendre, les fibres de soie produites par les araignées fascinent depuis longtemps les chercheurs. Très solides et très élastiques, elles sont aussi extrêmement légères et bien moins denses que du coton ou du nylon. Pour expliquer de telles performances, de nombreuses études scientifiques se sont intéressées à leur fabrication et leur composition. Mais les fibres restaient encore assez mystérieuses, du moins jusqu'ici. En effet, une étude publiée ce mois-ci dans la revue Biophysical Journal, révèle de nouveaux éléments sur l'architecture et la structure moléculaire de la soie des araignées. On savait déjà que les fibres étaient constituées de deux types de composants : un mou et amorphe et un second, solide et cristallin. Pour mieux comprendre leurs propriétés mécaniques, les chercheurs de l'Institute for Theoretical Studies de Heidelberg en Allemagne, ont donc mis au point des simulations informatiques de la structure des fibres et de leurs deux composants. Ils ont alors découvert que les segments mous et amorphes étaient responsables de l'élasticité de la soie et que ceux-ci aidaient à répartir la tension sur les fibres. De même, il semblerait que la solidité dépende de la quantité de composant cristallin. Ainsi, les chercheurs ont pu tester les capacités mécaniques de différentes architectures : "Nous avons déterminé qu'un arrangement en disques des sous-unités amorphe et cristalline était plus performant qu'un arrangement en parallèle ou au hasard, suggérant un nouveau modèle structurel pour la soie", a expliqué le Dr Frauke Gräter, principal auteur de l'étude. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 mars 2011 Issue d'un croisement, échappée d'un laboratoire, cette abeille est une tueuse dont l'agressivité et la résistance sont sans égales chez les insectes africains. Nous marchons dans la brousse quand un sourd vrombissement vient agacer nos oreilles. D'abord surpris, nous cherchons à repérer l'origine de ce son. Un nuage sombre se déplaçant dans notre direction attire notre regard et, horrifiés, nous comprenons que nous sommes sur la route empruntée par un gigantesque essaim d'abeilles tueuses africaines. La conduite à tenir dans un cas aussi grave est très simple. Se coucher au sol et ne surtout plus bouger dans l'espoir que les insectes poursuivront leur déplacement sans nous repérer. C'est ce que nous faisons immédiatement, cherchant à nous cacher dans la végétation. L'inquiétude et la peur sont palpables au fur et à mesure que le nuage mortel se rapproche. Surtout ne pas parler, surtout ne pas bouger ! Je me félicite de ne pas porter de parfum ce matin. Doucement le bruit des abeilles s'atténue et elles disparaissent à l'horizon s'acheminant vers une destination inconnue. Apis Mellifera Scutella est une abeille africaine née d'un croisement en laboratoire entre l'abeille européenne et une sous lignée africaine. Elle est appelée "abeille tueuse" du fait de son extrême agréssivité. Dans les années 60, un laboratoire brésilien décide de croiser des reines africaines avec des abeilles européennes. Comme dans un mauvais polar, des reines métisses parviennent à s'échapper et se répandent dans la nature. Très résistantes aux maladies et aux conditions climatiques, les abeilles métisses colonisent rapidement les ruches sauvages d'abeilles plus pacifiques. L'abeille africaine n'a pas un venin plus dangereux que celui de ses consoeurs Européennes, mais énervée par un son ou une odeur, elle passe immédiatement à l'attaque Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 mars 2011 Des scientifiques ont identifié quatre nouvelles espèces de moisissure qui contrôlent le cerveau des fourmis et qui les transforme en zombies qui accomplissent les ordres du parasite avant de mourir. Chacune des quatre nouvelles espèces, qui ont été découvertes sur deux sites différents dans la forêt tropicale brésilienne, contrôle une espèce différente de fourmi charpentière, rapporte le Christian Science Monitor. Les résultats des travaux des chercheurs, qui travaillent sur le sujet depuis plusieurs années, ont été publiés sur le site Plos one mercredi 2 mars. La famille de champignons qui transforme les fourmis en «zombies», l'Ophiocordyceps unilateralis, n'est pas nouvelle, et a été identifiée pour la première fois en 1865. Ce que confirme David Hughes, l'un des chercheurs: «Nous savions donc dès le début qu'il y avait une grande variété d'espèces à l'intérieur de cela. Je pense qu'elles vont se compter par centaines.» Mais la nouvelle étude dévoile la diversité d'espèces qui sont capables de prendre le contrôle des fourmis afin de se reproduire. De quoi s'agit-il exactement? Le site Live Science expliquait en 2009 le fonctionnement de l'Ophiocordyceps unilateralis sur des fourmis de la forêt thaïlandaise. Ces fourmis font leur nid tout en haut des arbres de la forêt, tandis que le champignon préfère se loger sous les feuilles des plantes qui poussent sur le sol de la forêt, côté nord-ouest, où la température, l'humidité et la lumière sont idéales pour son développement. Le champignon a donc trouvé une solution simple: après avoir infecté la fourmi, il la force à descendre de son arbre jusqu'au tapis forestier et à s'y fixer sous une feuille avec ses mandibules. David Hughes, entomologiste à l'université d'Harvard, explique: «Le champignon manipule de manière précise les fourmis infectées pour les faire mourir à l'endroit où le parasite veut être, en leur faisant faire un long voyage dans les dernières heures de leur existence.» Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 mars 2011 Des araignées obligent Mazda à rappeler 65.000 voitures #nuevo ul {margin : 15px; }#nuevo ul li {margin : 5px 0 2px 15px; list-style : square!important; } #nuevo-image{margin-right:10px;}http://www.lefigaro.fr/societes/2011/03/04/04015-20110304ARTFIG00598-des-araigneesobligent-mazda-a-rappeler-65000-voitures.phpA cause d'araignées velues qui viennent s'immiscer dans certaines voitures, le constructeur automobile japonais Mazda doit lancer une campagne de rappel sur des véhicules aux États-Unis, au Canada et au Mexique.Après les puces électroniques, c'est au tour d'araignées velues de s'immiscer dans certaines voitures. Ces prédateurs invertébrés ont contraint le constructeur automobile japonais Mazda à lancer une campagne de rappel portant sur 65.000 voitures aux États-Unis, au Canada et au Mexique.Les Mazda 6, qui ne sont pourtant pas des spiders - nom parfois donné aux cabriolets - mais des berlines de luxe, sont exclusivement touchées.Les petites bêtes installent leurs nids dans les tuyaux servant à capter les vapeurs d'essence, au point d'en altérer le fonctionnement et de provoquer parfois des fuites de carburant avec des risques toujours redoutés d'incendie. La vingtaine de cas apparus depuis 2009 a imposé des retours chez les garagistes qui ont dû changer les réservoirs ou poser des filtres antiaraignées. Ce motif de rappel a beau être plus exotique et moins alarmant qu'un défaut de freins, de direction ou d'accélérateur, la firme d'Hiroshima ne comprend toujours pas la cause de ces nidifications aussi mystérieuses qu'inopportunes.Une hypothèse ? Récemment, Mazda a utilisé l'image de Spider-Man, «l'Homme-Araignée», pour une campagne de promotion Charles Gautier. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 23 mars 2011 CHICAGO, 22 mars 2011 (AFP) - Une entomologiste américaine de renom, May Berenbaum, a remporté cette année le prestigieux prix Tyler pour l'Environnement grâce à ses travaux sur la chute de la population d'abeilles, a-t-on appris mardi de sources officielles.> Mme Berenbaum est à la tête du département d'entomologie de l'Université d'Illinois à Urbana-Champaign (nord des Etats-Unis).En s'appuyant sur des analyses génétiques et des expérimentations, elle a notamment contribué à expliquer la résistance aux pesticides en montrant par quels mécanismes les plantes se transforment pour créer des défenses naturelles, comme des toxines chimiques, et comment les insectes évoluent à leur tour pour surmonter ces défenses.Ses recherches ont aussi été largement consacrées à la compréhension du déclin des populations d'abeilles en Amérique du Nord et dans le monde, appelé syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles."Quelqu'un doit défendre ces petites bêtes", a déclaré Mme Berenbaum dans un communiqué. "Ce monde, cette planète ne fonctionneraient pas sans les insectes. Nos vies seraient lamentables sans eux, et les gens ne s'en rendent pas compte".Créé en 1973, le prix Tyler, doté de 200.000 dollars, est l'un des plus importants dans les domaines des sciences de l'environnement, de la santé liée à l'environnement et de l'énergie. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 5 avril 2011 La nature ne subit pas toujours de manière passive les agressions de l'homme sur l'environnement. Un éminent scientifique spécialisé dans l'étude des abeilles vient de montrer que certaines abeilles essayent de protéger leur ruche contre les effets néfastes des pesticides, rapporte The Guardian. Le phénomène avait été rapporté pour la première fois dans une revue scientifique spécialisée en 2009. Mais depuis, il a été observé à maintes reprises par plusieurs scientifiques et experts: des abeilles «enterrent» des alvéoles pleines de pollen contaminé pour les rendre hors-service et ainsi protéger le reste de la ruche. Les scientifiques ont trouvé que le pollen contenu dans ces alvéoles «ensevelies» contenaient des niveaux de pesticide bien plus élevés ainsi que d'autres composés chimiques potentiellement dangereux que dans le pollen des autres alvéoles.Jeff Pettis, entomologiste du département de l'Agriculture américain, a récemment expliqué devant des parlementaires britanniques l'importance de la découverte:«C'est une découverte inédite, et très frappante. Elle implique que les abeilles reconnaissent les pesticides et l'isolent. Elles comprennent que quelque chose ne va pas avec le pollen et l'isolent. En temps normal, les abeilles n'enferment pas du pollen.»Mais les bonnes nouvelles s'arrêtent là pour le moment: les efforts de la dernière chance des abeilles ne semblent pas porter leurs fruits. Pettis remarque en effet que le comportement d'enterrement du pollen se retrouve dans de nombreuses ruches qui finissent pas mourir:«La présence d'enterrement est le plus gros facteur de perte d'une colonie. C'est un mécanisme de défense qui a échoué.»Les abeilles enterrent également des alvéoles qui contiennent des substances utilisées par les apiculteurs pour lutter contre des insectes comme le varroa, qui sont un autre facteur de diminution de la population des abeilles, comme l'explique Pettis:«Nous les apiculteurs devons nous regarder dans un miroir et nous interr... Lire la suite sur Slate.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 avril 2011 Pyrénées-Orientales. Le voleur d'abeilles attrapéhttp://www.ladepeche.fr/article/2011/04/07/1053486-Pyrenees-Orientales-Le-voleur-d-abeilles-attrape.htmlDepuis une semaine, les apiculteurs victimes des vols de ruches à répétition ont repris espoir. L'auteur des faits a été identifié. En garde à vue, il a fini par passer aux aveux. Encore faut-il retrouver les éléments de ruches dérobés et surtout les essaims qui ont été divisés et parfois revendus. « Pour nous c'est un véritable catastrophe. On nous a amputé d'un tiers de notre capacité de production alors que la saison florale s'annonçait exceptionnelle après une année difficile où notre cheptel avait été touché par la mortalité » explique Michel Bliguet, apiculteur à Clara, au pied du Canigou (Pyrénées-Orientales). Fin janvier, il constate que cinquante-et-une ruches positionnées à Case-de-Pênes près d'Estagel pour la floraison du romarin ont disparu. Il n'est pas la seule victime. En plusieurs nuits, les ruches et leurs abeilles se sont volatilisées dans tout le Grand Sud, de Nîmes (Gard) à Elne (Pyrénées-Orientales). Des plaintes sont déposées. Les gendarmes de Rivesaltes s'emparent de l'affaire. Mais ils n'ont aucune piste, jusqu'au jour, où un apiculteur un peu observateur reconnaît les ruches de Michel Bliguet dans un verger de Rivesaltes. Elles y sont placées pour une opération de pollinisation des arbres fruitiers. L'exploitant de ces ruches est alors dans le collimateur. C'est un homme de 52 ans, installé en Cerdagne comme apiculteur et comme négociant en essaims. Lors de sa garde à vue, il s'embrouille, explique qu'il a acheté ces ruches en Espagne, payées en liquide à des gens qu'il ne connaissait pas. « Sur son exploitation on a retrouvé les restes de ruches démantelées avec le numéro du producteur encore gravé » explique Michel Barcelo, président des apiculteurs du Roussillon. Finalement, le voleur finira par détailler le processus. Reconnaissance sur le terrain des ruches en moto puis ensuite récupération de nuit à l'aide d'un fourgon de location. Ensuite ? les ruches son dispatchées grâce aux contrats de pollinisation qui permet de valoriser l'opération (37 € en moyenne le contrat par ruche) en supplément de la récolte de miel et de la revente du cheptel. « Le préjudice global est estimé à plus de 100 000 €. Des producteurs sont aujourd'hui dans de très grandes difficultés » estime Stéphane Liberi le président régional qui promet une mobilisation pour le procès qui aura lieu à Perpignan en juin prochain. Enquêteurs et apiculteurs cherchent à déterminer le périmètre de ce système de vol. Car l'organisateur, mis en examen et placé sous contrôle judiciaire, utilisait un système très sophistiqué de géolocalisation des ruches. Dans une certaine logique opérationnelle, puisque lui-même commercialisait ce procédé. Pour éviter le vol des ruches.L'enquête des apiculteursAvant de lancer les gendarmes sur une piste sérieuse, les apiculteurs du Roussillon ont mené une véritable enquête interne dans le milieu apicole. Lorsque les ruches ont massivement disparu, le syndicat a créé une commission vol. Les membres de ce groupe de travail ont tout de suite eu l'intime conviction qu'il s'agissait d'un producteur capable de trouver les débouchés et surtout de manipuler et de prendre en charge les ruches. Ils ont étudié de très près les sites où avaient été réalisés ces vols, à peu près à la même période. Ils y ont vu une logique confortée par une observation, avant de confier ces premiers éléments aux enquêteurs qui ont finalisé le dossier judiciaire. A peine la moitié des ruches a pu être retrouvée. Hier, Georges et Nathalie Pou, producteurs à Theza (Pyrénées-Orientales) sont allés récupérer leurs abeilles dans l'Ariège en compagnie des gendarmes. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 avril 2011 Après avoir dévasté les forêts de l'ouest du Canada, le dendroctone du pin ponderosa, un insecte ravageur, commence à s'attaquer aux pins gris de l'Alberta. Une récente étude indique qu'il pourrait ensuite se déplacer vers l'est, et même jusqu'aux rives de l'Atlantique. Des biologistes et généticiens de l'université de l'Alberta ont mené une étude sur ce minuscule insecte, à peine plus gros qu'un grain de riz, après qu'il a été repéré à 200 kilomètres environ au nord d'Edmonton, rapporte Cyberpresse.ca. Le fait que le dendroctone du pin ponderosa s'attaque désormais aux pin gris d'Alberta est d'autant plus inquiétant que cet arbre "est l'espèce dominante dans la forêt boréale canadienne", souligne Janice Cooke, une scientifique ayant participé à cette étude. Après avoir ravagé quelque 700 millions de mètres cubes de forêt en Colombie Britannique, l'insecte pourrait se propager à l'Ontario et au Québec, puis jusqu'à l'Atlantique, alertent les chercheurs. Mais la rapidité de cette progression vers l'est dépendra de l'ampleur des changements climatiques, note Janice Cooke. Le dendroctone a commencé par s'attaquer à des espèces hybrides, croisement entre des pins ponderosa et des pins gris, explique une spécialiste en écologie moléculaire, Catherine Cullingham. Différencier les différentes espèces de pins a demandé un travail de taille. "C'était difficile mais notre équipe a utilisé des marqueurs moléculaires pour démontrer finalement que la dernière espèce de pin attaquée était le pin gris", explique la chercheuse. Cette découverte est de grande importance, car "elle va permettre aux gestionnaires des forêts et aux politiques de prendre des décisions vitales dans la bataille continue contre la dévastation des forêts par cet insecte" souligne Janice Cooke. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 avril 2011 source télé animaux LIMA, 26 avr 2011 (AFP) - Des paléontologues péruviens ont annoncé mardi avoir découvert récemment dans le nord amazonien du Pérou une centaine d'insectes datant de 20 millions d'années, en excellent état de conservation et fossilisés dans de l'ambre.> L'ambre est une huile résine fossilisée, relativement translucide, qui permet une conservation et une observation de grande qualité des organismes prisonniers.Dans le cas des fossiles découverts début avril dans la province d'Amazonie (nord), "les détails les plus minimes des insectes sont visibles", et dans un cas "on peut identifier des restes de poils d'un mammifère rongeur", souligne le Musée."L'importance de la découverte est de pouvoir déterminer, à partir des espèces prises dans l'ambre, les insectes qui vivaient en Amazonie pendant la période néogène", il y a entre 23 et 2 millions d'années, a indiqué à l'AFP le paléontologue Klaus Honninger, directeur du musée.Elle confirmerait en l'occurrence qu'il n'y a guère eu de changements en Amazonie, où le climat humide était déjà humide et la faune variée.Le prélèvement d'ADN à partir d'insectes fossilisés prisonniers d'ambre pour recréer des dinosaures vivants constituait la clé de voûte du scénario du film Jurassic Park en 1993. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 mai 2011 source : yahoo actualités Les professeurs de biologie demandent souvent quel est animal qui tue le plus de gens. Leurs pauvres élèves se ridiculisent en s'écriant «l'ours gris!», «le tigre!», «le cobra !» ou même «l'hippopotame!». La bonne réponse, bien sûr, c'est le moustique femelle -pas de fourrure, pas de crocs, rien qu'une aiguille hypodermique ailée. Sa longueur dépasse à peine cinq millimètres, elle a six pattes, et c'est le vecteur de maladies le plus efficace de tout le règne animal. C'est grâce à son odorat qu'elle nous repère, attirée par l'acide lactique et d'autres ingrédients de notre transpiration. Elle sent aussi le dioxyde de carbone que nous expirons et arrive jusqu'à notre visage en remontant le sillage de notre respiration. Plus on sue et plus on halète en la chassant, plus on l'intéresse. La plupart ne boivent pas de sang. Son apparence n'est pas répugnante. Au contraire, sa petite taille, ses lignes pures, la longueur de ses pattes et sa fragilité lui donnent une certaine élégance. On serait même prêt à lui donner un millilitre de sang, malgré la démangeaison qui accompagne sa piqûre, si on ne s'inquiétait pas de ce qu'elle peut transmettre. Parmi les nombreux agents pathogènes qu'un moustique peut véhiculer, le pire est le paludisme, qui tue chaque année plus d'un million de personnes, dont les deux tiers se trouvent en Afrique sub-saharienne, pour la plupart des enfants de moins de 5 ans. Tenter de donner une meilleure réputation à une telle créature n'a pas de sens. Personne n'aime les moustiques, ni les amis de ces insectes. Pourtant, il est injuste de dire indistinctement du mal des 2.600 espèces de moustiques déjà décrites. Parce qu'il n'y en a qu'environ 80, soit 3%, qui boivent du sang humain. Sur les 2.520 variétés de moustiques relativement irréprochables, il y en a même une qu'on aimerait voir en expansion: celle des Toxorhynchites, qui mangent d'autres moustiques. A l'état de larves, les Toxorhynchites dévorent leurs cousins, puis s'en prennent à leurs frères... Lire la suite sur Slate.fr Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 2 mai 2011 Les abeilles sèment la panique en villehttp://www.lematin.ch/actu/suisse/abeilles-sement-panique-ville-405487Image TdgLes pompiers sont formés pour récupérer les abeilles en vadrouille.Une colonie en exil a fait escale samedi en gare Cornavin, à Genève: impressionnant mais pas étonnant en cette période de l’année.Laurent Grabet - le 01 mai 2011, 21h03 - Le MatinSamedi après-midi, un essaim a semé la panique en gare Cornavin, à Genève, en prenant ses quartiers sur un vélo. Mais aucun humain n’a été piqué. Protégés par leur «vareuse», trois pompiers genevois, rompus à ce genre d’exercice, ont remis les abeilles au pas en 1 h 30. «La méthode employée quasi quotidiennement à cette époque de l’année est assez rustique, explique le capitaine Schumacher. Elle consiste à faire tomber le plus gros paquet possible d’abeilles dans une ruchette, en espérant que la reine soit à l’intérieur, car ensuite ses ouvrières suivent.» Les insectes sont ensuite placés en quarantaine, histoire de les débarrasser d’éventuelles bactéries néfastes à la flore, puis remis dans une ruche.Miel citadin plus floralDe mi-avril à mi-juin, le nectar coule à flots et les colonies très volumineuses essaiment. Tout commence par la naissance d’une nouvelle reine, obligeant l’ancienne à s’exiler avec une partie de ses troupes. Des éclaireuses dénichent une nouvelle demeure puis toutes s’y rendent. Sauf qu’elles font parfois halte en chemin, comme ce fut le cas samedi à Genève ou une semaine auparavant à Fribourg. Les abeilles aiment la ville. Une récente étude française, menée en partie à Genève, a montré qu’elles y produisent un miel plus floral, en plus grande quantité et que loin des pesticides et autres engrais, elles s’y portent mieux. Des ruches sont d’ailleurs toujours installées sur les toits du Théâtre Saint-Gervais, de la Migros de la Praille ou du dépôt de la voirie de Carouge. D’autres villes romandes pratiquent de même. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites