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Contre les expériences sur les animaux

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http://www.one-voice.fr/fr/article/dans-l-enfer-d-un-laboratoire




DANS L’ENFER D’UN LABORATOIRE


En enquêtant pendant plusieurs mois dans un laboratoire sous-traitant pour de grandes firmes des industries cosmétique, pharmaceutique et chimique, One Voice a mis au jour la souffrance subie par les animaux lors des expériences et leurs déplorables conditions d’existence.




On ne compte plus les campagnes de mobilisation, d’information et d’investigation menées chaque année par One Voice pour mener à bien sa mission en faveur de l’abolition de l’expérimentation animale.

Des expériences cruelles et non pertinentes

Les expériences auxquelles sont soumis les animaux provoquent des souffrances intolérables, entrainant le plus souvent la mort. Dans les laboratoires, les animaux ne sont pas même respectés dans leurs besoins vitaux et comportementaux. Et après des dizaines d’années de pratique de l’expérimentation animale, tant pour les médicaments que pour les produits de beauté, pesticides ou autres, il est maintenant prouvé que nombre de résultats des tests ne sont pas pertinents pour l’homme. Cancers, allergies, réactions à certains médicaments ne font que s’accroître.

D’autres méthodes pour une société moderne

Une autre voie est pourtant possible. Les méthodes substitutives, dont One Voice demande le développement et l’application, sont plus fiables, plus éthiques et moins onéreuses. Elles permettent en plus d’épargner la vie de millions d’animaux.
Tournées dans des conditions difficiles, en toute discrétion, les images rapportées de ce laboratoire interpellent : une société moderne peut-elle continuer en toute conscience à maltraiter ainsi ses animaux ?




Voir les clips réalisés lors de l'enquête :

L'enfermement. Voir la vidéo

Un silence assourdissant.voir la vidéo

Petits rongeurs dénudés. voir la vidéo

La fièvre des lapins. voir la vidéo

Tests en série. voir la vidéo

Un lapin très malade. voir la vidéo



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Le martyr des plus petits





Dans ce laboratoire britannique, le personnel fait volontairement souffrir des souris lors des tests d’un traitement « esthétique » à base de toxine botulique.

En octobre 2009, une enquête en caméra cachée a été conduite par l’Union britannique pour l’abolition de la vivisection (BUAV) – association proche de One Voice – dans le laboratoire anglais Wickham. On y teste sur des milliers de souris un traitement anti rides à base de toxine botulique : le Dysport ND. L’enquête a révélé que le personnel mutilait les souris avec des stylos à bille et les laissait agoniser dans d’intenses souffrances. Les laborantins utilisent un stylo pour tuer les souris en leur brisant la colonne vertébrale. Ils s’en servent ensuite pour remplir les dossiers d’autopsie des animaux. Le laboratoire a ainsi sacrifié 41 088 souris entre janvier et juin 2009. Le film de la BUAV montre aussi le personnel du laboratoire en train de saboter les injections d’autres médicaments effectuées sur des lapins, de les injurier et de les maltraiter pendant les manipulations…


Bon nombre des expériences effectuées sur des lapins, bien qu’agréées par le gouvernement britannique, ne sont pas requises par les standards internationaux des laboratoires pharmaceutiques. Le Home Office lui-même reconnaît que ces expériences sur des lapins peuvent être remplacées par une nouvelle technique utilisant des cellules sanguines humaines. Le film de la BUAV, qui couvre une période de 8 mois, a conduit le gouvernement britannique à ouvrir une enquête. Le Home Office a déclaré qu’il prend ces témoignages au sérieux et qu’il n’autorise l’expérimentation animale que lorsqu’elle est justifiée. Il a rappelé qu’il exigeait le respect des normes relatives aux expériences sur les animaux et qu’il allait vérifier si ce laboratoire les respectait.

Le vétérinaire chargé de contrôler le bien-être des animaux utilisés par le laboratoire Wickham en est l’un des fondateurs et un important actionnaire. Il nie que cela puisse constituer un conflit d’intérêt. Le film de la BUAV montre que ses inspections hebdomadaires durent seulement 15 minutes, parfois beaucoup moins, ce qu’il juge toutefois suffisant pour vérifier si les animaux sont bien traités et ne souffrent pas. « Ces animaux sont mieux soignés que les animaux de compagnie et d’élevage », affirme-t-il. Dans la méthode utilisée pour tester le traitement (la dose léthale 50 ou DL50), la toxine qui est injectée aux souris les paralyse progressivement et provoque une détresse respiratoire qui les tue au bout de plusieurs heures d’une longue et douloureuse agonie. Des méthodes alternatives à la DL50 existent pourtant et sont utilisées par des laboratoires britanniques. L’Institut national pour la normalisation et le contrôle biologiques a en effet mis au point il y a dix ans un test in vitro pour la toxine botulique. Mais l’Union Européenne exige que chaque lot de produit utilisé en cosmétologie soit testé sur les animaux...

Les révélations de la BUAV ont choqué les dermatologues qui utilisent déjà ce médicament, dont le docteur Nick Lowe, qui a conduit des recherches sur la toxine botulique. Il s’étonne que le test de la DL50 soit encore utilisé et est « consterné » d’apprendre que des animaux souffrent dans de telles expériences. Il se demande si les autres médicaments qu’il prescrit à ses patients sont évalués de façon éthique et souligne que ses propres produits pour la peau ne sont pas testés sur des animaux : opposé à ce type de tests, il exige les normes éthiques les plus strictes. Ipsen Biopharm, fabricant du Dysport ND, prend aussi au sérieux le témoignage de la BUAV. Il dit accorder de l’importance au bien-être animal et avoir choisi de travailler avec le laboratoire Wickham parce qu’il était agréé par le Home Office. Ipsen Biopharm affirme ne vouloir recourir qu’à des pratiques approuvées pour ce type de test et souhaite remplacer le test de la DL50 dès que des méthodes alternatives seront approuvées par les autorités internationales de régulation.

One Voice agit depuis 2007 sur ce terrain et compte bien obtenir des résultats. Plusieurs alternatives ont en effet été développées à l’échelle internationale. Après l’interdiction du test d’irritation cutanée sur les lapins et du test de Draize, ensemble, nous pouvons obtenir l’interdiction de la méthode DL50 !

Pour que les laboratoires n’aient plus recours au test de la DL50 sur les souris et utilisent des méthodes alternatives pour tester leurs produits, comme par exemple le test SNAP 25, vous pouvez commander, signer et diffuser autour vous notre nouvelle carte pétition : « J’écoute ma conscience pour la petite souris « de laboratoire ». ». Vous pouvez aussi vous joindre au cercle de silence en faveur des plus petits, qui sera organisé à Lyon le samedi 20 mars 2009, ou soutenir notre campagne en nous faisant un don.

Source : OneVoice
2010-02-13 23:23:00

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BRUXELLES, 11 mai 2010 (AFP) - Le projet de loi européen visant à réduire le nombre d'animaux utilisés à des fins scientifiques, a franchi une nouvelle étape mardi après son approbation par les représentants des 27 Etats de l'Union.> Le texte prévoit notamment que "les expérimentations animales soient remplacées, dans toute la mesure du possible, par une méthode de substitution scientifiquement satisfaisante". Il demande également que "la douleur et la souffrance infligées aux animaux soient réduites au minimum".

Le projet souligne que l'utilisation d'animaux ne peut être réalisée que pour les expériences ayant pour but de faire avancer la recherche sur l'homme, les animaux et les maladies (cancers, scléroses multiples, maladie d'Alzheimer et de Parkinson). Depuis 2009, l'Union Européenne a interdit les tests sur animaux de produits cosmétiques, excepté pour les tests de toxicité de longue durée qui seront bannis en 2013.

Si la loi est votée, les expériences sur des grands singes tels que les chimpanzés, les gorilles et les orangs-outans seront interdites. Il y aura une "restriction stricte" pour l'utilisation de primates.

Le projet ne satisfait pas entièrement les associations de défense des animaux qui plaident pour une interdiction pure et simple de l'expérimentation animale.

Mais certains responsables européens craignent la délocalisation de la recherche si l'interdiction est trop stricte. Aussi, les législateurs ont prévu une "clause de sauvegarde" qui permettra de déroger aux règles de la future loi. Les Etats pourront faire appel à cette clause seulement pour des raisons exceptionnelles et scientifiquement justifiables et en avertissant la Commission européenne au préalable. Le texte permet aussi aux Etats qui souhaitent des règles plus drastiques en matière de bien-être animal d'aller de l'avant.

Près de 12 millions d'animaux sont utilisés chaque année à des fins expérimentales dans l'UE. Selon des experts, l'état actuel des connaissances scientifiques ne permet pas la suppression totale de l'expérimentation animale.

Les législateurs européens ont cependant affirmé que l'interdiction de l'expérimentation animale devait demeurer "l'objectif ultime".

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