pacemaker91 0 Posté(e) le 7 avril 2011 Albi. Morte seule avec son chien, depuis 50 jourshttp://www.ladepeche.fr/article/2011/04/07/1053212-Albi-Morte-seule-avec-son-chien-depuis-50-jours.htmlSon décès remonterait au 14 février mais le corps de Brigitte, 56 ans, n'a été retrouvé que lundi soir, dans son appartement de Veyrières. Son boxer s'était laissé mourir à ses pieds. Un drame de l'isolement qui suscite beaucoup d'incompréhension.Elle était « gentille, serviable, discrète », témoigne l'une de ses sœurs. Tellement discrète que personne, parmi sa famille et dans son immeuble, n'avait remarqué sa disparition. Brigitte, 56 ans, n'avait pas disparu. Elle était simplement morte, seule, dans son appartement, sans doute depuis la mi-février… mais on n'a découvert son corps qu'un mois et demi plus tard, au 4e étage de cet immeuble HLM du quartier de Veyrières, à Albi. L'autopsie, qui sera pratiquée aujourd'hui à Toulouse, en dira plus sur les causes de ce décès qui n'a rien de suspect, selon la police. Brigitte a peut-être eu un problème de santé : de fait, cette employée d'un service d'aide à la personne était en arrêt maladie.C'est une jeune fille familière de l'immeuble qui a donné l'alerte, lundi en fin d'après-midi, parlant d'une « odeur de mort » emplissant le couloir.Son chien l'a suivie dans la mortC'est une vision d'horreur qui attendait les sapeurs-pompiers et la police. Le corps de la quinquagénaire, en voie de décomposition, gisait au milieu de son appartement et, sur elle, la dépouille de son chien. Ce croisé boxer auquel Brigitte était très attachée et qu'elle sortait promener chaque matin, lui sera resté fidèle jusqu'au bout.« On voit que l'animal a essayé de tirer le corps de sa maîtresse. Puis il s'est laissé mourir, sans doute de faim », avance une source policière. Mais avant, le chien a essayé plusieurs fois de donner l'alerte. Un voisin de pallier l'aurait entendu aboyer pour la dernière fois, en fin de semaine dernière, 4 jours avant la découverte du drame. D'autres habitants de l'immeuble du 13 ter, avenue Frédéric-Mistral, choqués et incrédules, disent aussi avoir souvent entendu « un chien hurler à la mort », mais, ajoute une jeune mère de famille, « il y a cinq chiens dans cet immeuble qui aboient tous, à un moment ou un autre mais la nuit, il n'y avait pas de bruit ».L'éphéméride s'est arrêtée au 14 févrierLes enquêteurs de la brigade de sûreté urbaine situent le décès autour du 14 février : c'est à cette date que l'éphéméride s'est arrêtée, dans la cuisine de la victime. Et, dans la boîte aux lettres qui n'avait pas encore débordé, les courriers les plus anciens sont oblitérés au 14 février.« Un lundi où il faisait gris », se souvient une locataire du rez-de-chaussée. Un lundi de Saint-Valentin, une fête que personne n'est venu souhaiter à Brigitte. Divorcée, elle vivait seule, loin de ses enfants. Ses deux sœurs prenaient de ses nouvelles. L'une d'elles, qui habite le quartier voisin de Rayssac, ne l'avait pas vue depuis quelques semaines « mais de chez elle, elle pouvait voir la lumière allumée dans son appartement ; alors, elle ne s'est pas inquiétée » de ce silence. « Elle se débrouillait toute seule, elle faisait sa petite vie », confie son autre sœur, « choquée de la non-réaction du voisinage ». Elle venait voir Brigitte une fois par semaine. Mais depuis le 14 février ? « Je sonnais à l'interphone mais elle ne répondait pas. Alors je repartais. Mais j'ai commencé à m'inquiéter. J'ai fait le tour du quartier la semaine dernière. Plusieurs personnes m'ont rassurée : Si, si, on l'a vue il n'y a pas longtemps ». Tout dépend de la perception qu'on a du temps qui passe…(1) C'est à la demande de ses sœurs que nous ne mentionnons pas l'identité de la victime.Céline, une voisine: «Je suis choquée»« La dernière fois que je l'ai vue, c'était le 4 février. Je suis montée lui dire que j'étais rentrée de la maternité et elle a pu voir ma petite dernière », raconte Céline Gascon. Cette jeune femme, qui occupe avec son mari et leurs six enfants un appartement du rez-de-chaussée, semble être la seule personne qui connaissait un peu Brigitte, dans cet immeuble. « Un jour, j'avais trouvé un sac de pommes sur le rebord de la fenêtre. Je n'en avais commandé à personne. Plus tard dans la journée, cette dame est passée me voir. Elle était allée à la Pommeraie et avait pensé à moi et à mes enfants. Je l'ai remerciée. » Céline ne connaissait pas la vie de Brigitte. « Elle parlait peu, et surtout pas de choses privées mais elle était d'une générosité spontanée. Tous les matins, elle sortait son chien entre 8 heures et 9 heures. Je la rencontrais sur le chemin de l'école. C'était devenu un rituel. C'était si agréable de discuter avec elle. » Céline ne peut accepter ce qui s'est passé. « Lundi, je n'en ai pas dormi de la nuit. Comment c'est possible en 2011 que quelqu'un puisse passer inaperçu et qu'on le laisse mort, comme ça, si longtemps, dans son logement ? » Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 7 avril 2011 Ne cherchons plus où va se loger la débilité humaine ! Le jeu vidéo FarmVille, produit par la société de jeux vidéo Zynga, a fait un coup de pub assez décalé : pour la sortie de la version FarmVille English Countryside, des fermiers ont été mobilisés pour faire prendre l'air de la ville de Londres et New York à... des moutons. Les Londoniens et les New-Yorkais ont eu la surprise, la semaine dernière, de croiser dans la rue des moutons en laisse promenés par des fermiers. Cet évènement décalé a été orchestré par la société de production de jeux vidéo Zynga. À l’occasion de la sortie de la nouvelle version de FarmVille, English Countryside, le jeu de ferme virtuelle, la société a décidé de marquer le coup de manière amusante. C’est ainsi que les fermiers se sont promenés en ville, pendant plusieurs heures, avec des moutons en laisse un peu dépaysés. Les passants de la ville de New York ont suivi ce défilé à travers Times Square, Park Avenue et Wall Street l’air tantôt perplexe, tantôt amusé. À titre d’information, 200 millions de personnes à travers le monde ont déjà joué à FarmVille sur Facebook, et le réseau de fermes virtuelles en comporte 15 fois plus qu’il n’en existe de vraies dans les États-Unis ! Une vidéo a été tournée à Manhattan pour immortaliser la promenade des moutons. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 8 avril 2011 Lau-Balagnas. Il brûle vif un chat en cagehttp://www.ladepeche.fr/article/2011/04/08/1054046-Lau-Balagnas-Il-brule-vif-un-chat-en-cage.html Les faits remontent à 2006. Deux jeunes stagiaires ont brûlé vif un chat piégé dans une cage. Ils avaient filmé la scène avant de la diffuser sur internet. Le plus âgé a été condamné à Nîmes. C'est un acte de cruauté sans nom contre un animal que les magistrats de Nîmes viennent de condamner. Un jeune homme de 22 ans a écopé de 6 mois de prison dont 5 avec sursis pour avoir brûlé vif un chat enfermé dans une cage. Avec son camarade, il avait filmé la scène avant de la diffuser sur internet ! Les faits sont anciens. En juin 2006, en stage à Lau-Balagnas, en juin 2006, le jeune homme et un camarade mineur au moment des faits ne savent visiblement pas comment tuer le temps. Passablement éméchés, les deux jeunes hommes ne vont rien trouver de mieux que d'asperger d'essence un chat piégé dans une cage. Ils mettent le feu. Avec leur téléphone portable, ils filment une vidéo de la scène. Avec de la suite dans les idées, ils vont jusqu'à diffuser leur film sur internet. C'est Patrick Sacco, président de Respectons une société de protection des animaux, qui a mené l'enquête : « J'ai sillonné les routes pendant deux à trois semaines. Je suis même allé sur le site. Le lycéen a été identifié par le proviseur du lycée professionnel où il était scolarisé » explique Patrick Sacco, président de Respectons, au téléphone. Et c'est à Nîmes, dans le Gard où résidait l'accusé, qu'il a déposé plainte. « L'enquête judiciaire et les expertises ont duré quatre ans » précise Patrick Sacco. à la barre du tribunal de Nîmes, le jeune Gardois, âgé aujourd'hui de 22 ans, avait reconnu la gravité de ses actes tout en rappelant qu'ils étaient îvres.Lettre d'Alain DelonLa mobilisation des sociétés de protection des animaux (SPA, SNDA, 30 millions d'amis, ***) avait été très forte aux côtés de Respectons. Alain Delon avait même apporté son soutien en écrivant une lettre lue par l'avocat de Respectons à la barre. Le jeune homme a été condamné à six mois de prison dont 5 mois avec sursis, à 3 000 € de dommages et intérêts aux six associations partie civile et 1 800 € pour le remboursement de frais de justice. Patrick Sacco constate que « c'est la première fois qu'il voit une condamnation à de la prison ferme pour de tels actes. » Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 14 avril 2011 trouvé sur Yahoo actualités - décidément on n'arrête pas le progrès dans la cruauté ! FAIT DIVERS - Cette Américaine de 20 ans a été inculpée pour «cruauté envers un animal»... Histoire glauque en provenance d'Oklahoma: une jeune femme a noyé le chat familial, l'a éventré et en partie disséqué, apparemment pour terminer le costume qu'elle comptait porter à un concert de Lady Gaga.Un proche l'a trouvée dans sa chambre, dans le noir, vêtue d'un imperméable, des trainées de sang de l'animal sur son visage en guise de maquillage.La jeune fille de 20 ans souffrait de dépression mais n'avait pas présenté de troubles mentaux jusqu'à présent, selon les médias. Visiblement perturbée, elle a menacé un infirmier avec un morceau de verre à son arrivée à l'hôpital.L'épisode devrait relancer la polémique autour du bikini en viande crue porté par Gaga en couverture de Vogue Japon fin 2010, très critiqué à l'époque par les associations de défense des animaux. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 26 avril 2011 http://www.ladepeche.fr/article/2011/04/26/1068055-Il-abandonne-ses-moutons-et-les-laisse-mourir.htmlIl abandonne ses moutons et les laisse mourirAbel n'est pas venu au tribunal. Et pour cause : personne ne sait où il est exactement. L'homme, qui se décrit comme un « écrivain-berger », a passé toutes les bornes en matière d'élevage : ses 17 brebis et sa chèvre n'avaient aucune identification, première infraction. Deuxième infraction : aucune prophylaxie n'avait été pratiquée : « ça ne sert qu'à graisser les vétérinaires ! », a déclaré Abel aux gendarmes. Troisième infraction : abandon de cadavres sans transport chez un équarrisseur : « ça sert à rien puisque les vautours s'en chargent très bien et nettoient la nature mieux que personne ». Mais il y a bien plus grave. Alors qu'il s'était installé sur un terrain qui ne lui appartenant pas, à Ferrières, avec caravane et animaux, le pseudo-berger a disparu comme il était venu, mais en laissant ses animaux derrière lui, en plein mois de novembre. Affamées, les pauvres bêtes ont tenté de passer sous les ronces, où elles pouvaient trouver une herbe maigre sous la neige. Mais comme elles n'étaient pas tondues, elles se sont empêtrées dedans : certaines en sont mortes. Beaucoup d'autres sont mortes de faim, avant d'être récupérées par une association de protection animale. Les habitants du village, dont le maire, avaient eux aussi tenté de secourir les animaux. « Je ne sais pas si c'est un poète, mais ce n'est certainement pas un berger, s'emporte la présidente Gadoullet. Tout ce qu'il a trouvé à dire, c'est qu'il voulait faire un pacage extensif pour la diversité des papillons dans des Pyrénées ! Il aurait mieux fait de s'occuper de ses malheureuses bêtes plutôt que des papillons… » Du côté de la procureure Myriam Dasté, l'indignation n'est pas moindre : « Je demande 3 mois de prison avec sursis, 1.500 € d'amende pour les infractions et l'interdiction définitive de détenir des animaux ». Le tribunal va suivre intégralement. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 27 avril 2011 Combats de chiens : l’application qui fait scandale aux USAUne application pour smartphone, lancée tout récemment, est à l’origine d’un scandale aux Etats-Unis.Son principe ? Exploiter les combats de chiens dans un déchaînement de violence pour amateurs avertis.Intitulée Dog Wars, elle compte bien surfer sur la vague des jeux violents qui ont le vent en poupe sur Internet, attirant des millions de joueurs.Un jeu cruel et violentSi la plupart des applications sont inoffensives (comme les applications de Wamiz), certaines sont en revanche franchement douteuses.C’est le cas de Dog Wars. Dans ce jeu l’utilisateur doit nourrir, entraîner puis faire combattre son chien de combat virtuel. D’autres joueurs font de même et tous peuvent s’affronter en ligne, via Internet.Téléchargée plus de 80.000 fois depuis sa sortie (le 2 avril 2011), l’application est un franc succès.Mais elle ne manque pas de relancer le débat sur la violence présente dans les jeux-vidéos.Le réalisme du jeu n’épargne en effet aucun détail et certains s’inquiètent de l’influence qu’elle pourrait avoir sur le jeune public.Deux camps qui s’affrontentLes créateurs de Dog Wars présentent leur réalisation comme un jeu de rôle à l’instar de ceux où deux humains doivent s’affronter jusqu’à la mort.Mais les critiques ne l’entendent pas de cette oreille. D’après elles, le jeu perpétue la cruauté envers les animaux et apprend aux gens comment préparer les chiens pour le combat.Pourtant, un avertissement est donné sur le site de la société éditrice du jeu. Celui-ci dit :« Nous ne tolérons pas la violence envers les animaux ou les humains et sommes confiants concernant la capacité de l’être humain à distinguer un jeu de ses conséquences dans la vie réelle ».Cela n’a pas suffit à calmer ses détracteurs qui ont posté des douzaines de messages réclamant le bannissement du jeu des plateformes de téléchargement. Ce à quoi ont répondu ses créateurs :« Allez donc catapulter des oiseaux virtuels pour tuer des cochons », en référence au très populaire jeu Angry Birds dont c’est le concept.Et vous, que pensez-vous de ce genre de jeu ? Simple distraction ou incitation à la violence ? Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 28 avril 2011 Faire souffrir les animaux sauvages est... légal ! Renards, cerfs et autres sangliers ne sont pas protégés contre les actes de cruauté, contrairement aux animaux domestiques. Un récent sondage* montre pourtant qu’une majorité de Français est favorable à une évolution de la loi en la matière. La Fondation 30 Millions d’Amis dénonce le peu d’empressement manifesté par la classe politique française dans ce domaine.Alors que l’article 521-1 de notre code pénal précise qu’« un acte de cruauté envers un animal domestique, ou apprivoisé, ou tenu en captivité, est puni de deux ans d'emprisonnement et de 30 000 euros d'amende », le texte ne mentionne à aucun moment les animaux sauvages en liberté. La Convention Vie et Nature pour une écologie radicale (CVN) a rendu public les résultats d’un sondage* qui révèle que 87 % des personnes interrogées souhaitent que la loi française protège l’ensemble des animaux et non quelques catégories seulement. Un constat sans appel qui témoigne de la sensibilité de la population vis-à-vis des actes de cruauté dont sont victimes les animaux, domestiques ou non. Pour Gérard Charollois, président de la CVN, cet article du code pénal est incomplet : « Le code rural a reconnu à l’animal de compagnie le statut d’être sensible, mais il n’est pas allé jusqu’au bout du processus. Ainsi, il estime qu’un renard est moins sensible qu’un chien à la douleur. C’est absurde ! » s’indigne-t-il. La violence dont est victime la faune sauvage n’a en effet rien d’anecdotique. Dans le collimateur des associations de protection animale, certaines méthodes cynégétiques sont particulièrement décriées, à l’instar du déterrage du blaireau ou de la chasse à cour : « Les animaux sont acculés, blessés, achevés. Pourrait-on admettre que de tels actes soient commis envers nos animaux de compagnie ? » s’interroge Gérard Charollois. Dans le code de l’environnement, les animaux sauvages sont répartis en trois catégories distinctes : les espèces protégées, les espèces dites de gibier (que l’on peut chasser) et les espèces qui peuvent être considérées comme nuisibles (que l’on peut donc détruire). « Mais ces textes considèrent l’animal sauvage dans le cadre de l’espèce, et non en tant qu’individu », explique le président de la CVN. Ils encadrent des mesures de protection ou au contraire des mesures de régulation des populations, mais ne définissent pas les cas où l’animal souffre à titre individuel. » Cette absence de législation pose un autre problème : « Il s’agit d’un vide juridique, explique Maître Eva Souplet, avocate de la Fondation 30 Millions d’Amis. Les auteurs de mauvais traitements ou d’actes de cruauté commis à l’encontre des animaux de la faune sauvage non tenue en captivité - en dehors du cadre légal (chasse...) - ne sont pas punissables en tant que tels car il n’existe aucune sanction à leur égard. » En outre, certaines espèces, à l’instar du surmulot, n’entrent dans aucune des catégories déterminées par le code de l’environnement : « Ces espèces peuvent être détruites, par tous les moyens possibles », précise Gérard Charollois. Pourtant, malgré une opinion publique qui apparaît chaque jour plus soucieuse du bien-être animal, les décisions politiques ne suivent pas : « Nous sommes face à des lobbies extrêmement bien structurés qui exercent une grande influence sur nos décideurs, regrette le militant écologiste. Ce qui explique notamment que la chasse à cour soit toujours autorisée en France alors qu’elle est interdite en Angleterre depuis 2005. » La France est régulièrement montrée du doigt pour des manquements au bien-être animal. Corridas, abattage sans étourdissement, animaux considérés - selon l’article 528 du code civil - comme des « biens meubles »... Les exemples sont nombreux. « Dans les pays occidentaux, la France fait figure de lanterne rouge, confirme le président de la CVN. Il faudra des décennies pour que les autorités prennent conscience de cette véritable barbarie. » La protection de la faune sauvage est l’un des combats menés par la Fondation 30 Millions d’Amis. Elle soutient financièrement de très nombreuses associations de protection de la faune sauvage, en France et à l’étranger. Source : Fondation 30 Millions d'amis26/04/2011 Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 28 avril 2011 Azille. Quand le Minervois s'enflamme pour la Feriahttp://www.ladepeche.fr/article/2011/04/28/1069400-Azille-Quand-le-Minervois-s-enflamme-pour-la-Feria.htmlDu bon vin, des toros, de la muisique et de la bonne humeur... Depuis neuf ans, chaque week-end du 1er mai, Azille, commune située au cœur du Minervois, aux confins de l'Aude, s'enflamme pour sa feria !Cette grande fête, où se mêlent les accents du Sud-Ouest de Camargue, les traditions espagnoles et les coûtumes languedociennes, attire la bagatelle de 30 000 festejaires, venus de tout le grand sud.Cette année, les festivités débutent vendredi soir par ,un concert des Héraultais du Goulamas'k et la «furia du Sud» du désormais célèbre Deejay Fanou. Elles connaîtront leurs points d'orgue samedi et dimanche avec une multitude de spectacles et d'animation.Au chapitre des toros, la Band'Azillanne, association organisatrice, propose une course camarguaise et un spectacle camarguais à 16 heures samedi. Dimanche, les arènes accueilleront un spectacle d'initiation à la corrida espagnole, avec une becerrada sans picadors et sans mise à mort, avec des élèves des écoles taurines de Nîmes et Arles. Par ailleurs, samedi et dimanche, des abrivados (lâchers de toros) auront lieu dans les rues de la commune durant tout le week-end ainsi qu'en cadeau bonus dimanche à 15 heures un lâcher de juments et de poulains.Côté concerts, la Band'Azillanne a convoqué le grand Michel Etcheverry et Ricoune , ses grands animateurs habituels. Le chanteur basque participera d'ailleurs activement à la messe sévillane et camarguaise de samedi matin, mise en musique, à 10 h 30, par les bandas.En soirée, toujours samedi, vous retrouverez le excités de Flagrants Délires avant un Symphonic Deejay Show. Chaud ? Le climat le sera à Azille et dans le Minervois ! Et si, en plus, la météo est de la partie, cette feria 2011 sera l'une des plus grosses... en attendant la dixième, en 2012, qui s'annonce déjà comme historique. Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites
pacemaker91 0 Posté(e) le 3 mai 2011 source télé animaux < PARIS, 3 mai 2011 (AFP) - 8.000 animaux abandonnés, surtout des chats, pensionnaires de 56 refuges en France, espèrent trouver un nouveau maître ce week-end à l'occasion des Journées portes ouvertes de la SPA pour vivre ailleurs que derrière des barreaux.> "Aujourd'hui nous constatons une augmentation du nombre d'abandons de chats mais nous avons aussi encore beaucoup de chiens, dont des vieux, qui attendent qu'on leur donne une seconde chance", poursuit-t-elle. "Nos pensionnaires les plus âgés méritent, comme les autres, de trouver une famille aimante pour finir leur vie", insiste-t-elle.Afin d'éviter que les abandons se répètent, tous les animaux des refuges sont suivis par un comportementaliste animalier qui note leurs traits de caractère sur une fiche de renseignements."Nous donnons de nombreuses informations aux candidats à l'adoption : si l'animal va accepter les enfants, si c'est un mâle dominant ou bien s'il peut rester seul dans la maison", donne en exemple Mme Fernandez. "La SPA est pour une adoption responsable !""Aux abandons, de plus en plus fréquents, s'ajoute l'horreur des trafics d'animaux : maltraitances et traumatismes divers, la SPA doit faire face aux conséquences malheureuses de ces commerces illégaux et accueillir un nombre toujours plus important d'animaux", s'inquiète la SPA dans un communiqué.Les candidats à l'adoption doivent se munir d'un justificatif de domicile et d'une pièce d'identité: il leur en coûtera 125 euros pour un chien et 80 pour un chat, correspondant aux frais de tatouage, de vaccination et de stérilisation.En mai 2010, 798 animaux ont été adoptés, 535 chiens et 263 chats.it/jfg/jmg Partager ce message Lien à poster Partager sur d’autres sites