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pacemaker91

Contre la souffrance animale

Messages recommandés

http://www.viande.info/elevage-viande-animaux

La viande, un concentré de souffrance


Par an, en moyenne, un Français mange 92,5 kg de viande[1] et 35,5 kg de produits marins[2]. Les victimes directes de cette gargantuesque consommation sont les animaux mangés. Ce sont en effet eux qui sont élevés, transportés, abattus ou pêchés pour être transformés en viande. En France, cela concerne 1,1 milliards d’animaux[3] et 2 250 000 tonnes de poissons, coquillages et crustacés[4].

L’élevage intensif généralisé

Il est impossible de produire une telle quantité de viande sans entasser les animaux, les adapter de force par des mutilations à des conditions de vie qui limitent drastiquement leurs comportements. Étendre les ailes, se dresser, fouiner, ronger, explorer, élever ses petits, se déplacer, prendre l’air... la liste des comportements entravés est longue dans la plupart des élevages. Les sélections génétiques se sont faites au détriment des animaux et poussent les organismes au maximum[5].
En France, plus de 80% des animaux sont élevés en bâtiments fermés, parqués en cage ou sur des caillebotis sans accès à l’extérieur. Les poissons d’élevage sont maintenus à des densités inouïes.

82% des 700 millions de poulets de chair sont élevés sans accès à l’extérieur[6]
81% des 47 millions de poules pondeuses sont élevées en batterie de cages[7]
99% des 40 millions de lapins sont élevés en batterie de cages[8]
90% des 25 millions de cochons sont élevés sur caillebotis en bâtiments[9]

Agir pour les animaux
On reconnaît désormais que les animaux vertébrés, les céphalopodes et divers crustacés éprouvent des sensations et émotions et possèdent des capacités cognitives.
Il est illusoire d’espérer améliorer le sort d’un si grand nombre d’animaux, nécessairement confinés dans des espaces restreints, et « traités » par un nombre réduit de travailleurs. Diminuer significativement sa consommation de produits animaux est indispensable, tout en se détournant des produits issus de l’élevage intensif.
Le moyen le plus efficace de limiter la souffrance et la mort infligée aux animaux reste évidemment de cesser d’en consommer.


--------------------------------------------------------------------------------
1. GraphAgri France, Alimentation : prix, revenus, dépenses et consommation des ménages, 2009, p. 79.
2.FranceAgrimer, Les chiffres clés de la filière pêche et aquaculture en France, édition 2009 et Ofimer, Produits aquatiques, consommation.
3. Agreste, Conjoncture agricole, Animaux de boucherie et Aviculture.
4. Cf. note 2.
5. « Une poule sauvage pond à peu près 60 oeufs par an alors que les hybrides dans les années quatre-vingt-dix peuvent en produire plus de 300 » in Article 2 de la Recommandation concernant les poules domestiques (gallus gallus) adoptée par le Comité permanent le 28 novembre 1995.
— Les truies produisent 27 petits par an contre 16 en 1970 : Ifip, GTTT Évolution des résultats moyens nationaux de 1970 à 2008.
— Les poulets standard sont abattus à 42 jours contre 80 pour les poulets labellisés : Beaumont, Le Bihan-Duval, Juin, Magdelaine, (ITAVI, INRA), Productivité et qualité du poulet de chair, 2004.
6. ITAVI, Volailles de chair, Production, France
7. ITAVI, Oeufs de consommation, Production, France
8. Annick Azard (ITAVI Service Economie), La production cunicole française - Caractérisation des systèmes de production et perspectives d’évolution, juin 2006.
9. INAPORC, Leporc.com

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Le vote en faveur de l'interdiction des corridas en Catalogne agite le débat sur les pages de LEXPRESS.fr.

http://www.lexpress.fr/actualite/societe/interdire-la-corrida-une-victoire-pour-la-bien-pensance_909623.html

REUTERS

Les députés du parlement régional de Catalogne (nord-est de l'Espagne) ont approuvé ce mercredi 28 juillet l'interdiction des corridas.

Le vote des parlementaires catalans pour interdire la corrida dans leur région, ce mercredi 28 juillet, a relancé le débat sur la tauromachie. Quels que soient les arguments avancés, ils ne sont jamais tiède et chacun a une opinion. Sur les pages de LEXPRESS.fr, les internautes défendent leur position.

"J'ai vu une corrida étant enfant, et j'en garde un souvenir atroce: celui de taureaux affolés, bardés de banderilles et de coups de lances, au milieu d'une foule dont l'excitation et la cruauté m'ont dégoûté de l'espèce humaine." raconte Drax65 . "Ceux qui gueulent pour cette boucherie ne seraient ils pas aussi gueulards s'il s'agissait de combats de gladiateurs? Il suffirait de leur proposer un ticket d'entrée dans une arène où s'étriperaient des humains, et ils se battraient becs et ongles pour le pérenniser..." se désole Thierry Montford , approuvé par Gentedame : "Toute tradition est-elle bonne? Au nom d'une tradition soit disant culturelle, certains admettent la cruauté. La corrida en fait partie." Quant à Justyna , elle se réjouit: "Enfin un pas vers un monde meilleur pour les animaux!"

"Souffrez que de beaux messieurs ou de beaux jeunes hommes à la taille fine et au courage indomptable passent des heures à apprendre à toréer ou des années à apprendre à leurs chevaux à combattre ce don du ciel qui est nôtre, le toro de combat!" s'exclame Montluc . Aficionada rappelle: "Vous croyez que le respect que vous portez au boeuf dont vous dégustez la côte, qui a eu une vie misérable en abattoir et ne connaît pas la lumière... est comparable au respect qu'un torero porte à son adversaire de l'arène qui a vécu 4 ans en pleine liberté, choyé comme un petit prince, dont l'élevage est, en plus de conserver une biodiversité exceptionnelle, un maillon indispensable à la survie d'écosystèmes fragiles?" Flo se désole du vote du parlement Catalan: "Une victoire de plus pour la bien-pensance et toutes ses hygiénistes et non-violents. Dans quelques dizaines d'années, il restera toujours les tableaux de Picasso pour apprécier les corridas."


G. gobet/afp
Quelques uns sont tout de même plus réservés sur la question, commeCleono , surprise par l'ampleur du débat: "Je suis ni pour ni contre... je m'en fiche un peu. Par contre j'aimerais autant d'ardeur et de virulence dans les commentaire concernant les enfants torturés, ou les femmes excisées..." "Je ne connais pas la corrida et je ne suis jamais allée dans une arène. Cependant, je n'empêcherais jamais ceux qui aiment d'y aller. Je suis très mal à l'aise avec ces interdictions." regrette Clarisse69 . Stayats rappelle que l'interdiction de la corrida en Catalogne est aussi un vote "politisé": "L'interdiction de la corrida en Catalogne est aussi une façon de rappeler à Madrid que les Catalans à défaut d'être indépendants sont autonomes et disposent de leur vie comme ils l'entendent."

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http://www.one-voice.fr/fr/article/preuve-du-mal-etre-des-animaux-dans-les-cirques-les-mouvements-stereotypes

Dans les cirques, il n’est pas rare d’observer chez les animaux captifs des mouvements stéréotypés.
Les mouvements stéréotypés sont la preuve irréfutable de la détresse des animaux captifs. Dans les cirques, où ils sont enfermés dans des cages dénudées, sans aucune tentative d’enrichissement, ils n’ont d’autre refuge, d’autre mode d’expression que ces mouvements sans cesse répétés, avec la régularité d’un métronome. Considérés chez l’humain comme un symptôme majeur de l’autisme, ces mouvements prouvent que les animaux souffrent énormément. Ils ont passé un stade, atteint une limite et, en quelque sorte, trouvé une issue dans la folie… Fauves, ours, éléphants sont des animaux sensibles et intelligents. Leur enfermement est une torture.

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http://www.one-voice.fr/fr/article/des-animaleries-etrangeres-au-coeur-du-reseau-de-trafiquants

Des animaleries étrangères au cœur du réseau de trafiquants
Certaines animaleries, avec pignon sur rue, sont au cœur du trafic de chiots et de chatons. Situées en Belgique ou en Espagne, elles sont une étape dans le blanchiment des papiers avec l’exportation vers la France.
Une animalerie de ce type, située en Belgique, a été l’objet d’une enquête de One Voice. Elle accueille les animaux en provenance des pays de l’Est pour approvisionner les pseudo-élevages et les animaleries françaises. Elle possède plusieurs boutiques, réputées pour leur choix très varié… Mais pas pour la santé des animaux vendus ! Plusieurs litiges avec des particuliers à qui elle a vendu des animaux malades sont régulièrement rapportés… Qu’importe, ici on vend du « chiot en gros » et à la façon dont les animaux sont manipulés, on comprend bien qu’ils ne sont pour eux que des objets de profit. Quant aux papiers officiels, les procédures administratives ne sont évidemment suivies que de manière sciemment très approximative…

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http://www.one-voice.fr/fr/article/experiences-sur-les-primates-une-parente-dangereuse-pour-l-homme

Expériences sur les primates : une parenté dangereuse pour l’homme
Les singes partagent avec l’espèce humaine 90 % de leur ADN, une parenté qui en fait une matière première de choix pour les laboratoires. Importés la plupart du temps, ces êtres sensibles succombent souvent à des conditions de transport dramatiques.
One Voice oeuvre pour l’interdiction des tests sur les primates et dénonce leur importation, d’autant plus qu’ils représentent un risque sanitaire patent pour l’espèce humaine. La révision de la directive européenne de 86 offre de nouvelles raisons d’espérer.

Le saviez-vous ? Un petit singe privé de sa maman peut compenser le manque en s’attachant à des leurres comme un « doudou ». Un grand singe a la capacité mentale d’un enfant de 3 ans. Peut-on imaginer l’enfermer à vie dans une cage grillagée, le priver de tout contact avec ceux de son espèce, lui injecter des produits actifs aux conséquences parfois irréversibles, des anesthésies à répétition ? C’est ce que vivent les primates dans les centres d’élevage ou laboratoires. Les cousins de l’homme sont en effet très prisés pour les expérimentations. Ils subissent d’ailleurs les expériences les plus longues. Dans un laboratoire parisien, certains macaques étaient détenus depuis 23 ans. Les conditions de leur détention provoquent souffrances physiques, stress se manifestant par l’arrachage systématique des poils, geste devenu leur seule distraction ; des violences entre animaux, l’un devenant le souffre-douleur de l’autre, etc.

Combattre l’élevage
Qu’il soit capturé dans son milieu naturel ou né en captivité dans des centres d’élevage, l’animal présente les mêmes troubles psychiques ou physiques. Un singe demeure un singe avec ses propres aptitudes et aspirations. One Voice a pu le démontrer lors de la libération légale d’animaux de laboratoires. L’association s’oppose donc à l’installation de centres d’élevage sur le territoire français, comme ce fut le cas pour le centre d’Holtzheim après deux ans et demi de combat.

Conditions de transports dramatiques
Les primates, la plupart du temps importés, subissent des conditions de transport dramatiques condamnant à une mort certaine nombre d’entre eux. La loi exige en effet que les caisses en bois ne soient pas ouvertes pendant le transport des animaux. Comment alors les abreuver et les nourrir ? Grâce aux actions menées, à l’échelle européenne, contre les transporteurs de primates, certaines compagnies aériennes ont cessé ce type de transport. Air France est aujourd’hui la première pour le transport des primates. One Voice mène une vaste campagne d’information et diffuse une pétition pour qu’à l’instar de nombreuses autres compagnies, Air France refuse de participer à ce commerce indigne.



Dangereux pour l’homme
Même s’il présente un lien de parenté incontestable avec l’homme, le singe n’en demeure pas moins différent dans ses réactions aux virus et autres maladies. L’importation de primates capturés dans leur milieu naturel -comme c’est le cas en France où l’on expérimente le plus sur les primates parmi les 27 pays de l’Union Européenne- fait courir le risque d’importer des pathologies mortelles pour l’homme. L’exemple d’un macaque pour l’école vétérinaire de Nantes, en provenance de Chine, porteur du virus de l’Herpès B en est une triste illustration. Ni les trois dépistages sérologiques, ni même la quarantaine imposée à tout animal arrivant en France, n’ont permis de déceler le virus : chez un singe, la séroconversion pour ce virus peut dépasser 25 mois ! Le bien-fondé des recherches avec les primates comme modèles pour le sida, les hépatites, le paludisme, la maladie de parkinson… serait d’ailleurs contesté sur le plan médical.

Un espoir très sérieux
Dans le cadre de la révision de la directive européenne de 1986, quatre députés européens, dont, fait marquant, une Française, ont déposé une déclaration écrite demandant l’arrêt complet des tests effectués sur les primates, au profit de méthodes alternatives dont l’efficacité est déjà reconnue. Cette déclaration, de loin la plus radicale qui ait été proposée sur l’expérimentation animale, correspond au combat de One Voice. L’association a saisi cette opportunité unique de faire évoluer la Loi et a demandé aux eurodéputés français de soutenir et de signer cette déclaration. Le 5 septembre 2007, les eurodéputés ont adopté ladite déclaration, écrite sous le n° 40, à une large majorité. Cette mobilisation est la première d’une telle force en faveur des primates et constitue un espoir très sérieux en matière de lutte contre l’expérimentation animale.

« Même les chimpanzés, génétiquement très proches des humains et partageant avec l’homme 98,7% de son matériel génétique sont de médiocres modèles pour l’étude du SIDA et des autres maladies humaines en raison de leur immunité naturelle au VIH et d’un système immunitaire d’une spécificité différente du nôtre. »
(cf. J. G. Hacia – TRENDS IN GENETICS, vol 17, N° 11, pages 637-645)

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http://www.one-voice.fr/fr/article/experiences-sur-les-primates-une-parente-dangereuse-pour-l-homme

L’île Maurice, l’enfer des primates

L'Ile Maurice est une référence en matière d’élevage « scientifique » de singes. Le pays demeure un gros exportateur de primates destinés aux expérimentations biomédicales. Les captures et l’exportation de macaques représentent un commerce lucratif pour tous les maillons de la chaîne de ce trafic légalisé. Chaque année, le National Park obtiendrait plus de 300.000 euros grâce à l’exportation de primates. Plus de 14 000 singes seraient prisonniers des centres de transit sur l’ensemble de l’île. 7 000 d’entre eux sont exportés chaque année. Plusieurs milliers de braconniers travailleraient déjà en toute illégalité jusqu’en Afrique et à Madagascar pour fournir les fermes d’élevage. La population naturelle de macaques de l’île Maurice comporte environ 60 000 individus : à long terme, qu’en sera-t-il si d’autres centres d’élevages s’établissent pour satisfaire la demande boulimique de l’Occident ?

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http://www.one-voice.fr/fr/article/les-baleines-sacrifiees-au-nom-d-une-pseudoscience

Les baleines sacrifiées au nom d’une pseudoscience

One Voice dénonce la chasse des baleines. La cruauté de cette pratique n’a d’égal que son absence d’intérêt scientifique réel. Elle met en péril le fragile équilibre écologique des océans en provoquant la disparition d’un maillon important du réseau trophique, au seul nom du profit économique à court terme...


Non-respect du moratoire de 1986
La Commission baleinière internationale (CBI) a été créée en 1946 afin de gérer le développement de la chasse industrielle de baleines. Elle a émis en 1986 un moratoire visant à l’interdire en raison du risque imminent de disparition de ces animaux, les plus gros de la planète. À l’époque, trois pays s’opposaient à ce texte – la Russie, la Norvège et l’Islande. Mais le Japon en a immédiatement exploité une faille en pratiquant la seule chasse autorisée : celle à but scientifique. Aujourd’hui, la Norvège et l’Islande utilisent également ce prétexte.

Chasse scientifique controversée
Chaque année, le Japon autorise donc sa flotte de baleiniers à traquer ces grands cétacés en Antarctique et dans le Pacifique Nord sous couvert d’un programme scientifique nommé d’abord JARPA puis JARPA II. Ironie du sort, ces programmes ont pour but de mener des recherches sur le rôle écologique des baleines dans leur écosystème, leurs habitudes alimentaires et leurs mœurs reproductives… autant de raisons pour tuer plusieurs milliers de baleines qui seront « traitées » à bord des navires-usines et iront approvisionner en viande les rayons des supermarchés et des restaurants.

Des résultats non validés par la communauté scientifique internationale
Depuis la création de ce programme, le Japon n’a jamais publié les résultats de ses recherches. Au vu de la faiblesse de ses arguments, ceux-ci ne sont pas validés par la communauté scientifique internationale. À l’heure où des techniques dites non invasives permettent d’effectuer un grand nombre de tests par seul prélèvement sanguin, il est difficile de défendre cette thèse. En effet, une simple biopsie permet plusieurs analyses dont celle de l’’ADN. Elle permet de répondre à de nombreuses questions sur l’alimentation, la génétique des populations et la reproduction, sans condamner l’animal. Un paradoxe flagrant pour un pays à l’avant-garde des nouvelles technologies.

Baleines non coupables…
Le Japon met aussi en avant l’importance de contrôler le nombre de baleines afin de préserver les stocks de poissons dans l’océan. Cet argument est tout aussi infondé car la plupart des baleines chassées sont à fanon (mysticètes) et ne se nourrissent donc que d’animaux microscopiques comme le krill. La surpêche et la pollution demeurent les seules explications à la diminution des populations de poissons…

Des milliers de victimes
Au nom de la science, plus de 2 000 baleines sont tuées chaque année. De 1987 à 2005, 6 800 baleines de Minke (Balaenoptera bonaerensis) ont été tuées sous ce prétexte et ont été commercialisées. Les rorquals communs (Balaenoptera physalus), boréals (Balaenoptera borealis) sont aussi chassés par centaines tous les ans selon des quotas fixés par les pays chasseurs, sans concertation avec les institutions scientifiques. La baleine à bosse (Megaptera novaeanglia) profite depuis 2007 d’un répit, le Japon ayant voté une interdiction de chasse pour cette espèce.



Une cruauté dénoncée
Grâce au travail d’associations comme Greenpeace, des images de chasse à la baleine ont pu faire le tour du monde pour dénoncer la cruauté de l’acte. Des vidéos tournées durant ces campagnes montrent que plus de 80 % des baleines ne sont pas tuées instantanément après avoir été harponnées. Encore vivantes lors du treuillage sur les navires, elles endurent des souffrances abominables qui, une fois à bord, peuvent se prolonger encore pendant plus d’une demi-heure.

Pratique qui n’a plus de raison d’être
Selon Greenpeace, le tourisme baleinier rapporte plus de 10 milliards de dollars à l’Islande chaque année ; soit plus que ne pourra jamais rapporter la chasse. Si cette dernière profitait autrefois aux industries automobile (graisse) et alimentaire, à la parfumerie (ambre) et à la mode (os), la filière semble aujourd’hui avoir perdu de son succès. Les stocks de viande s’écoulent difficilement, notamment grâce à un changement significatif des mentalités. One Voice s’élève donc contre cette pratique qui n’a aucune raison d’être.

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Elevage de porcs en Espagne : une enquête aux résultats édifiants





L’association espagnole « Igualdad Animal » vient de rendre publiques les résultats de deux ans d’enquête au sein de la quatrième industrie mondiale porcine qui fournit 50% du marché français. One Voice relaie son action et demande aux consommateurs d’écouter leur conscience et de ne plus manger de viande de porc.

Près de 60 activistes de l’association se sont introduits dans 172 élevages du pays afin de photographier et filmer les conditions d’élevage des porcs. La majorité des élevages ont été choisis au hasard sauf ceux qui ont bénéficié de prix gouvernementaux pour leur exemplarité.

Au terme de ces deux années, ce sont plus de 2600 photos et un film de cinquante minutes qui relatent la vie des cochons de la naissance à la mort. Le bilan est le même pour tous les élevages : maltraitances, cruautés et non-respect pour ces êtres sentients. Ce travail est, pour l’association, le lancement d’une campagne sans précédent pour informer et sensibiliser les consommateurs.

L’enquête révèle l’horreur sous toutes ses formes. Comme dans tous les élevages intensifs, les animaux sont détenus dans des stalles exiguës, où ils peuvent à peine se coucher et encore moins se retourner. Rangés comme de simples objets, ils n’ont pas d’autre distraction que de mordre les barreaux ou de se cogner la tête d’un côté à l’autre du box de manière incessante ; comportements stéréotypés révélateurs d’un profond niveau de stress.

Les porcs sont maintenus sur un sol fait de grilles en métal ou en plastique sur lequel ils se coincent les pattes, piétinent et se couchent dans leurs excréments. Les femelles mettent bas dans les mêmes conditions. Les jeunes meurent pour la plupart écrasés sous leur mère qui ne peut se déplacer ou agonisent dans les excréments.

Le personnel de ces industries n’a aucune considération pour les animaux et pour le fait qu’ils souffrent. Toutes les manipulations sont permises : coups de pieds ou doigts dans les yeux pour diriger l’animal et le faire obéir…La queue des porcelets est coupée à vif ; seule solution utilisée par les élevages pour éviter que les porcs ne se la mangent entre eux.

Qu’ils soient adultes ou nouveau-nés, les animaux faibles, blessés ou malades n’ont aucune valeur économique et sont alors laissés à l’agonie dans des souffrances atroces au beau milieu des animaux vivants, ou bien ils sont entassés encore vivants dans les conteneurs de cadavres.

Ces images chocs rappellent hélas les conditions d’élevage des cochons en France. One Voice soutient cette campagne et rappelle au public qu’il a le pouvoir de faire disparaître ce type de pratique en changeant de mode de consommation et ainsi en ne finançant plus l’exploitation de ces animaux.

Source : OneVoice

2010-07-05 19:19:00

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Abattage rituel : la non-réponse du Président






Après des mois de silence, l'Elysée a enfin donné suite à la lettre cosignée par une dizaine d'associations de protection animale, dont la Fondation 30 Millions d'Amis, dénonçant la généralisation de l'abattage rituel. Un courrier tardif et insatisfaisant.

Onze associations de protection animale ont interpellé le président de la République dans une lettre ouverte publiée dans Le Monde et Le Figaro (10/06/10), sur la souffrance endurée par les animaux lors des abattages rituels – c’est-à-dire avec mise à mort de l’animal sans étourdissement préalable – s’inquiétant de la généralisation de cette pratique qui doit rester une exception, comme le précise l’article R 214-70 du Code rural.

Une réponse leur a enfin été apportée par l’intermédiaire de Claude Guéant, Secrétaire général de l’Elysée, et ce après un second courrier envoyé par ces associations. Dans une lettre datée du 5 octobre 2010, le proche collaborateur de Nicolas Sarkozy revient sur les différentes législations en vigueur qui assurent, selon lui, « la bientraitance en abattoir » et ne fait aucune mention de la principale demande des associations : l’étiquetage obligatoire sur les viandes halal ou casher.

En effet, la viande issue de l’abattage rituel ne se limite plus à ces seuls marchés mais se retrouve fréquemment dans le circuit classique de consommation, sans aucune information pour le consommateur. Un manque d’information dénoncé par les organisations de défense des animaux.

La Fondation 30 Millions d’Amis rappelle que sans étourdissement, l’animal est égorgé sans être préalablement insensibilisé. Il meurt alors dans une lente agonie, qui peut atteindre près d’un quart d’heure chez les bovins. L’Islande, la Norvège, la Suède ou encore la Suisse ont d’ores et déjà interdit cette méthode sur leur territoire. Pour mémoire, 72% des Français* sont opposés à la dérogation permettant d’abattre les animaux sans étourdissement préalable.

Déçues par la réponse élyséenne et conformément à ce qu’elles avaient indiqué le cas échéant, les organisations de protection animale vont mener elles-mêmes, et ce dès novembre 2010, une grande campagne de sensibilisation visant à informer les consommateurs sur la réalité de la viande qu’ils achètent et l’abattage rituel en France.

Source : Fondation 30 Millions d'amis

13/10/2010

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Cruauté envers les animaux : un éleveur condamné

Un éleveur du canton d’Amance en Haute-Saône vient d’être condamné, par le tribunal correctionnel de Vesoul, à deux mois de prison avec sursis, à une peine d’amende de plusieurs milliers d’euros, et à une interdiction de détenir des animaux de rente, pour avoir commis des actes de cruauté et de mauvais traitements envers ses animaux.

http://www.lepays.fr/fr/article/4039947/Cruaute-envers-les-animaux-un-eleveur-condamne.html

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08/10/10 08:51

Balkans
Les actes de barbarie envers les animaux, une réalité très présente

BELGRADE - Les images d'une adolescente de Bosnie jetant des chiots dans une rivière en crue ont fait récemment le tour de la terre sur internet, s'ajoutant à d'autres actes de barbarie contre les animaux rapportés dans les Balkans, où la sensibilité des gens sur le sujet reste à faire. Quelques semaines auparavant, la presse s'était faite l'écho de deux chiens errants qui avaient été poignardés, avec leurs queues coupées, dans une autre localité de Bosnie.


"Une attitude primitive traditionnelle" de cruauté envers les animaux est encore la règle en Bosnie et dans les autres pays des Balkans, constate Velimir Ivanisevic, de l'association SOS Protection animale de Sarajevo. "Nous devons apprendre aux jeunes générations à se comporter convenablement, tandis qu'avec les plus âgés (...), nous ne pouvons agir qu'avec des amendes", a ajouté M. Ivanisevic.


La Bosnie s'est dotée en 2009 d'une loi sur la protection des animaux, prévoyant des amendes allant de 15 à 5.000 euros et même des peines de prison pouvant aller jusqu'à six mois. "La plupart des pays des Balkans ont adopté des lois de protection des animaux mais elle sont largement restées lettres mortes", selon une militante serbe de la cause des animaux, Dragana Lucic.
http://www.portalangop.co.ao/motix/fr_fr/noticias/internacional/2010/9/40/Les-actes-barbarie-envers-les-animaux-une-realite-tres-presente,ecc5607d-317d-45b7-a87e-5b01e81ec2ab.html

"Il est nécessaire de sensibiliser les gens sur le fait que des actes de violence à l'encontre des animaux, qu'ils soient errants ou domestiques, n'est pas acceptable dans une société moderne", ajoute-t-elle. L'histoire de Mila, une chienne d'un an retrouvée il y a quelques mois sous un véhicule dans un faubroug de Belgrade avec l'extrémité des pattes tranchées, a suscité une émotion considérable en Serbie.


Le maire de Belgrade, Dragan Djilas, a pris en charge immédiatement les soins de Mila. La jeune chienne récupère aujourd'hui lentement, tentant de se déplacer sur ses moignons toujours enveloppés de bandages.

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