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pacemaker91

Pour le pauvre chien tiré derrière une voiture

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Dimanche, vers 19 heures, le conducteur qui avait traîné son chien attaché à sa voiture, a été interpellé à Origny-Sainte-Benoite, dans l’Aisne, sur les lieux même où il avait infligé ses mauvais traitements à son dalmatien de trois ans.

Ce jeune homme de 22 ans a été placé en garde à vue.

Samedi après-midi, dans les rues d’Origny-Sainte-Benoite, des témoins, horrifiés, avaient découvert cet homme au volant d'une Volvo blanche, traînant son chien, attaché à la boule d’attelage du véhicule.

Un animal agonisant, le ventre ouvert, ensanglanté.

Au cours de sa garde à vue, le jeune tortionnaire a reconnu les faits, sans pour autant donner d’explications cohérentes, révèle L'Union.

Selon plusieurs témoignages, son chien posait des problèmes de voisinage.

Des résidents du quartier où le jeune homme habite ont ainsi déclaré que "lorsqu'il était au travail, son chien ne cessait de hurler. Si on marchait à l'extérieur comme à l'intérieur de la résidence, c'était des aboiements garantis. Nous avons fait circuler une pétition. Plusieurs personnes ont signé et nous sommes allés la porter en mairie de Guise. En plus des problèmes avec son animal, il n'hésitait pas à nous insulter".

Toujours selon L'Union, une amie aurait donné le chien au jeune homme pour tromper sa solitude il y a quinze jours. D'après le magistrat de la ville, l'individu serait destabilisé suite à une rupture amoureuse.

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L’homme qui, samedi, a tué son chien en l’attachant à sa voiture et en le traînant dans le centre-ville d’Origny-Sainte-Benoite, dans l’Aisne, a été condamné, mardi, en comparution immédiate, à six mois de prison ferme par le tribunal correctionnel de Saint-Quentin.


Dimanche le propriétaire du chien avait été interpellé après avoir été identifié grâce à la plaque d’immatriculation et à son téléphone portable qu’il avait laissé tomber devant les témoins de la scène.

Le chien du prévenu aurait vécu le martyr en raison de ses aboiements incessants.

Des aboiements qui avaient valu une convocation en mairie du propriétaire du chien, un employé municipal d'une vingtaine d'années.

L’association de protection des animaux "One Voice", partie civile au procès, a regretté que le prévenu n’ait pas eu une interdiction de détenir un animal, indique TF1.fr.

La présidente de l’association a rappelé que « la législation prévoit cette interdiction en cas d’actes de cruauté ».

Une présidente qui a ajouté:

« Or dans cette affaire, ils sont parfaitement reconnus et l’animal est mort ».

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