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Champa est libre !
Juillet 2010. L’éléphante Champa a enfin été confiée à One Voice et à WSOS. Après des années de souffrance et de travail forcé, elle va pouvoir se reposer...








De la patience
Nous vous présentions il y a quelques semaines l’histoire bouleversante de Champa, éléphante esclave en Inde, obligée de travailler malgré ses blessures. Grâce à un immense élan de générosité, les fonds suffisants ont été rapidement collectés pour pouvoir procéder à sa libération. Après un long travail de paperasserie administrative et de demande d’autorisations auprès des autorités de la faune sauvage, la garde de Champa a été officiellement confiée à One Voice et à WSOS !

5 jours de route vers la tranquilité
En attendant que le sanctuaire qui devra l’accueillir soit finalisé, Champa a été mise à l’abri, loin de l’agitation des routes et des enfants turbulents. Elle réside pour l’instant sur un grand terrain arboré, loué à cet effet. Pour y parvenir, il lui a fallu marcher durant 5 nuits pour éviter autant que possible la chaleur, mais aussi la pollution, le bruit et la poussière générés par le trafic important sur les routes indiennes. Champa n’est jamais montée dans un camion, ils la terrorisent ! L’y contraindre aurait donc constitué un stress trop grand pour elle, compte tenu de son âge.

En bonne compagnie
Elle était accompagnée d’un vétérinaire, de son assistant et de 2 mahouts (ou cornacs). Le premier, Munna a été engagé pour le projet. Il est sensible à la cause des éléphants et n’utilise pas d’ankus. Le second est celui qui s’occupait d’elle auparavant, qu’elle connait et apprécie, et à qui cette reconversion a été offerte. Comme pour les kalandars, elle seule garantit qu’il ne reprendra pas un nouvel éléphant.

Un examen complet
Il était plus que temps de sauver Champa. Examinées par 3 vétérinaires, ses pattes étaient si usées par la marche forcée en pleine journée sur le bitume brûlant qu’elles saignaient continuellement ! Une analyse de sang a montré un système immunitaire affaibli, une anémie et une déficience en calcium. Un test pour la tuberculose a été réalisé qui s’est heureusement révélé négatif. Elle souffre en revanche de sénilité précoce, conséquence directe d’avoir été constamment obligée de travailler, et d’avoir travaillé trop dur… L’examen vétérinaire a également révélé de nombreux problèmes de peau. Heureusement, Champa est extrêmement patiente et accepte les soins sans problèmes, avec – presque – soulagement.

Des problèmes de pieds bientôt réglés
Ses pieds sont lavés deux fois par jour. Elle a aussi droit à un bain de pieds médicamenteux quotidien qui dure 30 minutes et qu’elle apprécie particulièrement… Le vétérinaire l’a beaucoup soulagée en lui coupant et en lui limant les ongles. Mais les soins des pieds restent pour l‘instant difficile car le sol est boueux. Heureusement, une étable est en cours de construction. Elle aura un sol en pierre naturelle qui permettra le drainage de l’eau et donc maintiendra ses pieds au propre et au sec…

Une nouvelle vie qui commence
Champa peut maintenant manger à sa faim, plusieurs dizaines de kilogrammes de nourriture chaque jour dont une grande quantité de fruits frais qu’elle apprécie. Elle se repose autant qu’elle veut, fait de longues promenades à travers champs et prend de nombreux bains de boue. Elle a vite montré qu’elle était heureuse sur son nouveau domaine. Elle est calme et adore parler, souffler et émettre toutes sortes de sons. Elle couine et proteste lorsqu’elle veut que son mahout la caresse mais qu’il est occupé ! Sa relation avec lui est privilégiée. Elle ne montrera autant d’amour à personne d’autre… Bien-sûr, cela suscite quelques jalousies de la voir toujours l’enlacer tendrement de sa trompe, mais quel bonheur de la voir comblée ! Champa peut enfin apprécier la douceur de vivre. Sa qualité de vie est sans comparaison avec ce qu’elle était avant. Ses blessures sont soignées et elle peut manger à sa faim… Désormais, elle va vivre en paix, sans plus jamais connaître la souffrance.

lire la suite : http://www.one-voice.fr/fr/article/champa-est-libre

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http://www.one-voice.fr/fr/article/le-blaireau-ne-sera-plus-extermine-en-cote-d-or

Le préfet de Côte d’Or vient d’ordonner la fin du massacre des blaireaux dans son département. Une victoire obtenue grâce à l’action conjointe de 70 associations.


En mars 2010, le préfet avait décrété la chasse ouverte aux blaireaux, responsables selon lui de la tuberculose bovine. En quelques mois, c’est à un véritable massacre que se sont livrés les chasseurs, piégeurs, déterreurs et autres lieutenants de louveterie en abattant plus de 2 000 blaireaux. Grâce à la mobilisation de 70 associations de défense des animaux, dont One Voice, aux côtés de l’ASPAS et du RAC, à l’initiative de l’action, l’extermination programmée n’aura pas lieu. Le 7 juillet 2010, le préfet a en effet mis fin à la campagne anti blaireaux.


Le blaireau non-coupable
S’appuyant sur une importante étude publiée dans la revue de référence « Nature » et la position du Conseil de l’Europe, les associations démontraient dans leur lettre ouverte au Préfet que le blaireau n’était pas la cause de l’épizootie. Les analyses réalisées dans le département ont confirmé les arguments développés. Sur les 507 blaireaux tués à proximité des élevages infectés en Côte d’Or, seuls 14 étaient porteurs de la maladie, soit 2,8 %. Quant aux blaireaux vivants loin des élevages, aucun cas de maladie n’a été relevé. « Les blaireaux ne représentent donc absolument aucun danger pour les bovins, et vouloir les tuer pour lutter contre la bactérie serait inutile et aberrant. » comme l’ont souligné les associations.


Un animal à protéger
La tuberculose bovine est certes un problème qu’il faut enrayer. Mais son foyer est à chercher ailleurs que chez ces animaux sauvages à la population déjà durement touchée par la mortalité, due à la chasse ou au réseau routier, et au faible taux de reproduction. Le blaireau est d’ailleurs dans la plupart des autres pays d’Europe une espèce protégée inscrite à l’annexe III de la Convention de Berne.


S’unir pour gagner
Même si nous ne pouvons que déplorer les centaines de morts, One Voice se réjouit de l’efficacité de cette action conjointe pour sauver les blaireaux en Côte d’Or. C’est également un formidable encouragement à l’union pour la défense et la protection d’autres animaux.

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La note du clarificateur royal est une catastrophe pour le bien-être animal






L’organisation de défense des animaux GAIA considère comme inacceptable le point relatif au bien-être animal dans la note de clarification émise par le clarificateur royal Bart De Wever. En effet, celui-ci propose de transférer cette compétence fédérale aux Régions, sous celle de l’agriculture.

GAIA demande à tous les partis politiques de refuser cette proposition (note de clarification, p. 30, chapitre sur les transferts de compétences). « C’est non seulement une mauvaise idée de faire du bien-être animal une compétence régionale, mais il est encore pire de placer à nouveau cette matière sous la tutelle de l’agriculture ; il s’agirait d’un retour certain dans cette situation de moyen âge politique, antérieure à 1999, lorsque le bien-être animal se voyait systématiquement écrasé sous le poids des intérêts économiques (agricoles) », s’indigne le président de GAIA, Michel Vandenbosch. « Cela est inacceptable pour quiconque défend le bien-être animal. » GAIA demande avec insistance à Bart De Wever de revoir ce point.

GAIA remarque qu’en tant qu’informateur, Bart De Wever a reçu le secteur agricole (mais aucun représentant du mouvement pour la protection des animaux), et se demande si derrière la proposition du clarificateur ne se cache pas une manœuvre visant à faire repasser toutes les questions relatives au bien-être animal sous la tutelle et le pouvoir du secteur agricole. Selon Michel Vandenbosch, « Cette proposition est une catastrophe pour le bien-être animal. »

Depuis 1999, le bien-être animal est une compétence du ministre fédéral pour la santé publique. Elle avait ainsi échappé à la mainmise oppressante des intérêts agricoles et économiques. C’était justement grâce au fait que la politique de bien-être animal n’était plus une compétence du ministre de l’agriculture et que le ministre de la santé publique n’est pas lié au secteur agricole que des avancées ont pu êtres faites dans de nombreux dossiers.

GAIA a dressé une liste de 10 raisons pour lesquelles le bien-être animal doit rester une compétence fédérale, soustraite des compétences agricoles. L’organisation communiquera aujourd’hui cette note à tous les partis politiques. GAIA plaide pour un ministre fédéral du bien-être animal qui, parallèlement à toutes ses compétences, prend explicitement en charge les questions qui y sont relatives. Avant les élections du 13 juin, presque tous les partis politiques avaient réagi positivement à cette question de GAIA, y compris la N-VA.

Source : GAIA

21/10/2010

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GAIA et la Coalition européenne pour mettre fin à l'expérimentation animale ont manifesté devant le siège belge d'un fabricant de Botox






Une cinquantaine de militants de GAIA et de la Coalition européenne pour mettre fin à l'expérimentation animale (ECEAE) se sont rassemblés aujourd'hui devant le siège belge de la société Allergan à Hoeilaart, l'un des plus importants fabricants de Botox dans le monde, pour dénoncer les expériences douloureuses pratiquées sur des animaux au cours de sa fabrication.

C'est autour de ce slogan que 50 militants, tenant des photos prises en caméra cachée dans un laboratoire fabricant la toxine botulique[1], se sont alignés devant le siège d'Allergan à Hoeilaart. "Le secret de l'elixir de jouvence tant prisé réside dans un concentré de souffrances animales méconnues du grand public" explique Michel Vandenbosch, président de GAIA.

Le "produit miracle" contre les rides est obtenu au prix du sacrifice et de l'agonie de plus de 300,000 souris chaque année dans les laboratoires des fabricants. Images d'enquête à l'appui, les manifestants ont dénoncé les souffrances sévères infligées à des centaines d'animaux pour chaque lot de Botox produit. L'injection d'une infime quantité de toxine botulique[2] dans l'abdomen des souris entraîne une paralysie progressive et généralisée, lente agonie, et mort par suffocation. La méthode employée est le redoutable LD50, un test qui détermine la quantité d'un produit nécessaire à tuer 50% des animaux soumis à l'expérience.

GAIA, représentant en Belgique de la Coalition européenne pour mettre fin à l'expérimentation animale (ECEAE) réclame l'usage de tests alternatifs sans recours à l'animal vivant. Mais la compétitivité entre fabricants fait obstacle à leur mise en oeuvre. Les associations ont remis une lettre de doléances à un responsable d'Allergan.

Initialement réservé au traitement de certains maux comme les torticolis, la dystonie cervicale, le strabisme ou la migraine, le produit fait de plus en plus l'objet d'un usage détourné à des fins esthétiques (paralysie des muscles faciaux pour estomper les rides). Un usage cosmétique croissant qui implique la multiplication du nombre d'animaux sacrifiés.

Source : GAIA

02/11/2010

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Invité
Dommage que l'information ne soit pas plus présente dans tous les médias en ce qui concerne l'expérimentation animale, cela pourrait sensibiliser davantage de monde au problème et notamment toutes ces dames vieillissantes en mal de jeunesse. Je ne comprendrai jamais les règlementations : la notice d'un produit, cosmétique ou autre, devrait non seulement comporter la liste des ingrédients, mais également la façon dont ils sont testés avant leur mise en pratique. Après tout, on prétend informer le consommateur en introduisant un maximum de précisions dans les notices d'utilisation, alors pourquoi pas ça ? Ensuite, libre à chacun de décider s'il souhaite malgré tout utiliser le produit en question. Mais je pense qu'un bon pourcentage de personnes seraient franchement dégoûtées et arrêteraient d'acheter ce type de produit. Mais encore une fois, à qui ça profite ?

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Delhaize fait un grand pas en avant pour le bien-être des lapins






Depuis peu, les magasins Delhaize proposent, à côté de la viande de lapins de batterie, également du « Lapin d’élevage alternatif », qui a été élevé dans des parcs et non plus dans des cages. Il s’agit d’une importante amélioration en matière de bien-être animal.

Dans les cages de batterie, entre 4 et 8 animaux sont entassés les uns sur les autres, si bien que chaque lapin dispose d’une superficie encore inférieure à celle d’une page A4, et il n’existe pas la moindre forme d’enrichissement. Dans les parcs de 4,75 m2, qui contiennent jusqu’à 20 animaux, les lapins ont davantage d’espace à leur disposition. Ils ont également accès à du matériel d’enrichissement, à des abris, à des plateaux en hauteur et à du foin. Suite à l’invitation de Delhaize, le président de GAIA, Michel Vandenbosch, et sa directrice, Ann De Greef, ont pu visiter une entreprise néerlandaise qui, pour Delhaize, a renoncé à l’utilisation de cages et emploie désormais des parcs. « Bien que cette solution soit loin d’être idéale, il s’agit néanmoins d’un important pas en avant en ce qui concerne le bien-être des lapins », explique Ann De Greef.


En avril 2009, GAIA a révélé les conditions de vie déplorables des lapins de chair dans les cages de batterie en Belgique. Depuis le début de sa campagne, GAIA est en concertation avec différentes chaînes de supermarchés afin d’inciter celles-ci a n’acheter que de la viande de lapins qui n’ont pas été élevés dans des cages de batterie. Delhaize est la première enseigne à proposer de la viande de lapins en parcs. Néanmoins, d’autres chaînes se montrent prêtes à franchir le cap, mais les producteurs sont encore récalcitrants et il en résulte une offre insuffisante pour que le marché puisse s’adapter totalement. GAIA déplore cette situation et appelle les éleveurs de lapins à s’adapter le plus vite possible à un système de parcs davantage respectueux des animaux.

Voici une vidéo éloquente, filmée dans des élevages et abattoirs de lapins belges en 2008 et 2009 :


Source : GAIA
12/11/2010

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Les éleveurs canins de Sint-Lievens-Houtem condamnés pour maltraitance animale






Le 3 décembre dernier, la Cour d’Appel de Gand a condamné les deux éleveurs de chiens de Sint-Lievens-Houtem, qui s’étaient rendus coupables de maltraitance animale grave, à une interdiction de posséder plus d’un chien. Ils n’ont ainsi plus le droit d’en exercer l’élevage.

Isidoor Vijverman et son épouse, qui élevaient pas moins de 225 chiens, ont également été condamnés chacun à une amende effective de 1375 euros et à une amende avec sursis du même montant. La peine leur empêchant de posséder plus d’un chien est d’application pour une période de trois ans. La Cour d’Appel a également prévu une astreinte de 250 euros par non-respect de cette interdiction. GAIA et la Vlaamse Vereniging voor Dierenbescherming (Société Flamande de Protection des Animaux), qui s’étaient portés partie civile, ont reçu chacun un euro symbolique de dédommagement moral.


L’affaire avait été mise au jour en 2008 grâce au témoignage d’un ancien collaborateur de l’élevage canin. Michel Vandenbosch, président de GAIA, se dit satisfait du jugement : « Ces éleveurs professionnels n’ont plus le droit de faire du commerce de chiens et ils ont été condamnés pour leurs sévices. Pour nous, c’est le principal. La ministre du Bien-être animal Laurette Onkelinx avait déjà retiré l’agrément des éleveurs canins, suite au rapport de son service d’inspection faisant état d’une série d’infractions à la loi.

Source : GAIA
20/12/2010

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Cinq cents manifestants contre le commerce de singes pour laboratoires à Tilburg






Des centaines d’opposants belges et néerlandais à l’expérimentation animale ont manifesté samedi dernier au cœur de Tilburg contre les pratiques de l’entreprise Hartelust, qui importe des singes de Chine pour les revendre à des laboratoires belges et étrangers. La manifestation, tantôt solennelle, tantôt tonitruante, a sillonné les rues commerçantes animées de Tilburg, et était organisée par la Coalition Anti Vivisection (CAV) et Een Dier Een Vriend (EDEV), en collaboration avec GAIA.

Le chargé de campagne de la CAV, Robert Molenaar, s’est adressé aux manifestants : « Les animaux destinés aux expériences ne bénéficient de presque aucune protection légale. Les politiques locaux et nationaux laissent une totale liberté de mouvement aux commerçants de singes comme Hartelust. Devons-nous désormais tourner le dos à la classe politique ou au contraire redoubler d’efforts afin que ce soutien populaire aux droits des animaux engendre une législation concrète ? Mon choix va à la deuxième option, l’abandon n’est pas permis. Nous devons continuer de solliciter les politiques. » « Il est grand temps que les scientifiques s’adaptent aux méthodes actuelles et respectueuses des animaux. », a ajouté le président de la CAV, Danny Flies. Michel Vandenbosch, le président de GAIA, a également prononcé un discours de circonstance : « Aujourd’hui, nous sommes tous réunis avec un seul et grand cœur pour ceux que nous défendons : les singes qui sont exploités, ici, à Tilburg. Et grâce à la force de notre cœur, nous allons atteindre notre objectif : la fin du commerce de singes pour l’expérimentation, la fin des tests sur les singes. » Geoffrey Dekkers, de EDEV, a spécifiquement remercié les militants belges qui, du fond du cœur, sont venus soutenir le combat aux Pays-Bas.


Source : GAIA
20/12/2010

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GAIA demande aux fêtards d'être prudents afin d'éviter stress ou souffrances aux animaux






Pour petits et grands, les feux d'artifices sont un moment de magie et d'émotions partagées, mais ces détonations soudaines et violentes provoquent la panique chez les animaux. Ces réactions peuvent parfois être minimisées moyennant quelques précautions.

Certaines déflagrations de feux d'artifice atteignent 160 décibels, soit 20 décibels au-dessus du seuil de douleur. Pour comparaison, un avion à réaction qui décolle produit 125 décibels à une distance de 100 mètres.


Les feux d'artifices présentent donc un danger de lésions auditives pour l'humain. Mais de nombreux animaux ont une ouïe beaucoup plus fine et sensible que l'oreille humaine. C'est le cas de beaucoup d'animaux présents dans nos maisons : chats, chiens, lapins, etc. Leur stress est souvent manifeste. La faune sauvage est aussi parfois victime de ces explosions brutales : animaux désorientés ou petits animaux cachés dans les installations...

Stressés et déroutés, les animaux s'enfuient parfois loin des éclairs et du bruit. Ainsi, chaque année, des animaux de compagnie se perdent ou se blessent.

En tant que particulier, mieux vaut renoncer à allumer des feux d'artifice. Si un feu d'artifice a lieu près de chez vous, tenez compte des conseils suivants:

- Gardez tous les animaux de compagnie à l'intérieur dès la tombée du jour. Gardez toutes les portes et fenêtres bien fermées. Laissez la lumière et la radio ou la télévision allumées afin que le bruit et les éclairs soient un peu atténués. Si votre chien est très sensible au bruit, un vétérinaire pourrait lui prescrire un léger calmant.

- Gardez les chevaux, ânes, poneys ou bovins dans l'étable autant de temps que possible.

- Veillez à ce qu'aucun feu d'artifice ne soit allumé à proximité d'un animal. Vérifiez qu'il n'y a pas d'animaux dans les prairies avoisinantes : les plus grands animaux tels que les chevaux et les vaches ont, eux aussi, peur des feux d'artifice.

- Les pièces d'artifice devraient être mises en place le plus tard possible, et avant leur allumage, veillez à ce que des animaux ne s'y soient pas cachés.

- Avertissez à temps vos voisins et les agriculteurs du voisinage, afin de leur permettre de prendre les dispositions nécessaires.

GAIA remercie les noceurs pour leur attention et souhaite à tous de joyeuses fêtes de fin d'année.

Source : GAIA
30/12/2010

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Une vidéo accuse la ville de Bruxelles de maltraitance animale


http://www.gaia.be/fra/control.php?&topgroupname=&groupname=cp235




GAIA dénonce une boucherie sur pigeons vivants
En caméra cachée, l'organisation de défense des animaux GAIA a filmé des opérations chirurgicales douloureuses pratiquées pour le compte de la ville de Bruxelles sur pigeons conscients et mal anesthésiés. L'association rend public le film difficilement soutenable de son enquête, révélé hier par RTL-TVI dans Images à l'appui. Voir la video d'enquête de GAIA : https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=y3gQOuqpwpQ . Elle demande à la Ville d'abandonner d'urgence cette pratique, et d'installer des pigeonniers contraceptifs pour réguler la population de pigeons dans le respect des oiseaux.
Stérilisations à la chaîne sur des oiseaux mal anesthésiés
Pour intervenir contre la reproduction des pigeons urbains, la ville de Bruxelles recourt à une méthode choquante : la stérilisation chirurgicale sur animaux pas ou mal anesthésiés. La vidéo publiée aujourd'hui par GAIA montre des oiseaux opérés à la chaîne, incontestablement conscients et réagissant vivement tandis qu'ils subissent à vif une ablation des testicules ou des ovaires.

Ces opérations sont menées en France (région parisienne) pour le compte de la Ville de Bruxelles, par la SACPA, une société spécialisée dans la capture des animaux considérés nuisibles.
"Inacceptable" pour les scientifiques spécialistes des oiseaux
GAIA a soumis ses images à plusieurs vétérinaires spécialistes des oiseaux. Pour le Professeur Dr An Martel, chef de clinique spécialiste des oiseaux et animaux exotiques à l'Université de Gand, "cette anesthésie inadéquate est inacceptable". Pour cette experte, ces "conditions d'hygiène insuffisantes favorisent la contraction d'infections durant l'opération." Certaines infections engendrent des souffrances chroniques précédant la mort des oiseaux. Également interrogés par GAIA, les responsables de l'Université vétérinaire d'Utrecht (Pays-Bas) et du groupe de travail néerlandais sur les oiseaux et les animaux exotiques (NOIVBD) ont respectivement qualifié d'"inacceptables" et de "maltraitance animale" les pratiques commanditées par la Ville de Bruxelles.
Illégitime en Belgique, Bruxelles paie aux pigeons un voyage à l'étranger...
Parce qu'elle engendre des souffrances sévères, la pratique du "chaponnage" des oiseaux est interdite en Belgique depuis 2001[1] . La ville de Bruxelles a passé un contrat avec une société française pour procéder à des opérations illégales en Belgique. Chaque année, 4000 pigeons sont ainsi capturés, transportés jusqu'en région parisienne et opérés avant d'être réexpédiés à Bruxelles, pour un montant annuel de plusieurs dizaines de milliers d'euros.
Mutisme des autorités
Malgré les efforts pour rencontrer l'échevinat de la propreté en charge du dossier, et des invitations lancées depuis plus de deux ans à mettre en place d'autres méthodes plus respectueuses du bien-être animal, GAIA a toujours trouvé porte close et aucune discussion n'a pu être entamée avec les autorités communales. En novembre dernier, la Ville a clôturé un appel d'offre visant à poursuivre pour les 5 prochaines années ses opérations de stérilisation des pigeons, et d'autres opérations d'euthanasies de masse [2].
GAIA demande la mise en place de pigeonniers contraceptifs
GAIA réclame l'installation de pigeonniers contraceptifs urbains, comme mis en place avec succès dans plusieurs villes des Pays-Bas[3] et dans d'autres pays d'Europe. Pour Ann De Greef, directrice de GAIA, "stabilisée autour d'un pigeonnier, la colonie s'y reproduit et y pond ses oeufs qui n'ont plus qu'à être retirés et substitués par des leurres. Le contrôle des naissances remplace les abattages massifs et les stérilisations, dans le respect des oiseaux... et des amis des oiseaux."

[1] Arrêté Royal relatif aux interventions autorisées sur les vertébrés pour l'exploitation utilitaire de l'animal ou pour limiter la reproduction de l'espèce, 17/05/2001 (M.B 04/07/2001)
[2] " Bruxelles: la guerre aux pigeons est déclarée" Sudpresse du 01/11/2010 : http://www.lacapitale.be/regions/bruxelles/2010-11-01/bruxelles-la-guerre-aux-pigeons-est-declaree-820990.shtml
[3] Almere, Rotterdam, Amsterdam, Zutphen...

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Une vidéo accuse la ville de Bruxelles de maltraitance animale






En caméra cachée, l'organisation de défense des animaux GAIA a filmé des opérations chirurgicales douloureuses pratiquées pour le compte de la ville de Bruxelles sur pigeons conscients et mal anesthésiés. L'association rend public le film difficilement soutenable de son enquête, révélé hier par RTL-TVI dans Images à l'appui. Elle demande à la Ville d'abandonner d'urgence cette pratique, et d'installer des pigeonniers contraceptifs pour réguler la population de pigeons dans le respect des oiseaux.

Pour intervenir contre la reproduction des pigeons urbains, la ville de Bruxelles recourt à une méthode choquante : la stérilisation chirurgicale sur animaux pas ou mal anesthésiés. La vidéo publiée aujourd'hui par GAIA montre des oiseaux opérés à la chaîne, incontestablement conscients et réagissant vivement tandis qu'ils subissent à vif une ablation des testicules ou des ovaires.


Ces opérations sont menées en France (région parisienne) pour le compte de la Ville de Bruxelles, par la SACPA, une société spécialisée dans la capture des animaux considérés nuisibles.

GAIA a soumis ses images à plusieurs vétérinaires spécialistes des oiseaux. Pour le Professeur Dr An Martel, chef de clinique spécialiste des oiseaux et animaux exotiques à l'Université de Gand, "cette anesthésie inadéquate est inacceptable". Pour cette experte, ces "conditions d'hygiène insuffisantes favorisent la contraction d'infections durant l'opération." Certaines infections engendrent des souffrances chroniques précédant la mort des oiseaux. Également interrogés par GAIA, les responsables de l'Université vétérinaire d'Utrecht (Pays-Bas) et du groupe de travail néerlandais sur les oiseaux et les animaux exotiques (NOIVBD) ont respectivement qualifié d'"inacceptables" et de "maltraitance animale" les pratiques commanditées par la Ville de Bruxelles.

Parce qu'elle engendre des souffrances sévères, la pratique du "chaponnage" des oiseaux est interdite en Belgique depuis 2001[1] . La ville de Bruxelles a passé un contrat avec une société française pour procéder à des opérations illégales en Belgique. Chaque année, 4000 pigeons sont ainsi capturés, transportés jusqu'en région parisienne et opérés avant d'être réexpédiés à Bruxelles, pour un montant annuel de plusieurs dizaines de milliers d'euros.

Malgré les efforts pour rencontrer l'échevinat de la propreté en charge du dossier, et des invitations lancées depuis plus de deux ans à mettre en place d'autres méthodes plus respectueuses du bien-être animal, GAIA a toujours trouvé porte close et aucune discussion n'a pu être entamée avec les autorités communales. En novembre dernier, la Ville a clôturé un appel d'offre visant à poursuivre pour les 5 prochaines années ses opérations de stérilisation des pigeons, et d'autres opérations d'euthanasies de masse [2].

GAIA réclame l'installation de pigeonniers contraceptifs urbains, comme mis en place avec succès dans plusieurs villes des Pays-Bas[3] et dans d'autres pays d'Europe. Pour Ann De Greef, directrice de GAIA, "stabilisée autour d'un pigeonnier, la colonie s'y reproduit et y pond ses oeufs qui n'ont plus qu'à être retirés et substitués par des leurres. Le contrôle des naissances remplace les abattages massifs et les stérilisations, dans le respect des oiseaux... et des amis des oiseaux."

Source : GAIA
07/02/2011

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