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pacemaker91

L'actualité sur l'environnement

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< =(PHOTO ARCHIVES)=> "Les animaux et les poissons ont été complètement anéantis ou déplacés de la région, et six mois plus tard, les bords des rivières Marcal et Torna sont toujours rouges", a précisé WWF dans un communiqué.

Dix personnes sont mortes le 4 octobre, lorsque un réservoir fissuré de l'usine de bauxite-aluminium d'Ajka, à 160 km à l'ouest de Budapest, s'est rompu déversant plus d'un million de mètres cubes (selon les derniers chiffres) de boue rouge toxique sur les villages alentours, Kolontar étant le plus touché. Il s'agit du plus grave accident chimique dans l'histoire du pays.

La boue toxique, très alcaline, a dévasté les eaux des alentours, et a même atteint le Danube.

Depuis, les travaux sont toujours en cours pour draguer les fonds des rivières de la sédimentation toxique de la zone affectée, selon le maire de Devecser, un autre des villages les plus touchés.

L'état d'urgence reste toujours en vigueur dans la région, pour faciliter l'accès aux chantiers des machines de reconstruction car les travaux d'assainissement et de reconstruction se poursuivent toujours.


bal/spm/mg/lb

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Lors de la réunion annuelle de l'Union européenne pour les géosciences (EGU), des experts américains ont présenté les résultats donnés par leur modèle prédictif, prévoyant une disparition totale des glaces durant les étés arctiques à partir de 2016. Une date contestée, mais qui inquiète quand même. Le Dr Maslowski et ses collègues du Naval Postgraduate School de Monterey (Californie), qui avaient annoncé, en 2007, une probable fonte totale des glaces estivales de l'Arctique pour 2013, ont révisé leur copie : travaillant avec un nouveau modèle informatique, ils annoncent la date de... 2016. À plus ou moins 3 ans près. Le nouveau modèle est imbécileçu pour reproduire les interactions du monde réel entre l'océan Arctique, l'atmosphère, la glace et les rivières apportant de l'eau douce dans la mer. "Maintenant, nous essayons d'être plus systématiques, et nous avons développé un modèle climatique régional de l'Arctique qui est très similaire aux modèles climatiques mondiaux utilisés par les experts du Groupe intergouvernemental d'experts sur l'évolution du climat (GIEC) pour leurs évaluations", dit le Dr Maslowski. "Mais 2019, c'est seulement dans 8 ans, et il y a d'autres modélisations donnant plutôt 2040/2050, et je pencherais toujours pour cela. Je serais extrêmement surpris si cela se produisait en 2013 ; je ne serais pas totalement surpris si c'était 2019", commente pour sa part le Dr Walt Meier, du Centre national américain de données sur la neige et la glace, à Boulder (Colorado). Ces questions intéressent les gouvernements russe et canadien, qui envisagent les possibilités d'exploitation minière dans cette région, ainsi que l'armée américaine, inquiète de la perte, chaque été, d'une barrière naturelle au nord du pays. "Je ne veux pas être alarmiste, et ne cherche pas à dire 'nous savons l'avenir car nous avons une boule de cristal'. Mais nous essayons de faire réaliser aux décideurs (...) qu'il y a une chance pour que la banquise d'été ait disparu d'ici la fin de la ... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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L'organisation écologiste Greenpeace a projeté sur des centrales nucléaires espagnoles des images et des messages antinucléaires. Elle revendique purement et simplement la fermeture des réacteurs, un mois après l'accident nucléaire japonais de Fukushima.



De nombreuses structures analogues à la centrale de Fukushima sont encore en service à travers le monde. C'est notamment le cas des centrales de Garona et de Cofrentes, respectivement au nord et à l'est de la péninsule ibérique. Pour protester contre leur maintien, l'organisation écologique Greenpeace s'est prêtée récemment à une manifestation des plus spectaculaires. Des images et messages ont été projetés sur les murs des centrales revendiquant l'arrêt de la production d'énergie nucléaire.
Les habitants de la région de Garona et Cofrentes ont ainsi pu lire en grandes lettres lumineuses les inscriptions suivantes : "Plus jamais Fukushima" ou encore "Danger nucléaire". Le symbole nucléaire transformé en tête de mort accompagnait ces messages chocs. Selon des propos recueillis par l'AFP, Greenpeace désire "attirer l'attention sur le fonctionnement dangereux" des centrales espagnoles. L'organisation a fait également savoir que la moyenne d'âge des centrales de 29 ans pouvait engendrer des risques dont la prévention n'était plus assurée correctement.
La centrale de Garona créée en 1971 présenterait notamment d'"importants problèmes de corrosion sur plusieurs composants du coeur de la centrale". Greenpeace pointe également du doigt "l'incapacité à garantir la réfrigération du noyau d'uranium en cas de perte de l'approvisionnement électrique", un problème strictement identique à celui rencontré à Fukushima.
Si en 2008 José Luis Rodriguez Zapatero avait promis de progressivement fermer les centrales espagnoles, le pays a depuis fait marche arrière et la durée de vie de plusieurs installations a été prolongée. Bien que l'Espagne soit un des pays les plus engagés dans les énergies renouvelables (elles fournissent 4... lire la suite de l'article sur Maxisciences

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La nourriture consommée par les scientifiques qui travaillent en Antarctique a, de façon inattendue, fait apparaître dans l'Antarctique des espèces habituellement étrangères à cette région du globe. Le fragile équilibre de l'habitat, des animaux et des plantes locales s'en trouvent gravement menacé.



Une nouvelle étude révèle que les fruits et légumes frais envoyés dans les bases scientifiques de l'Antarctique pour nourrir les 4.000 chercheurs qui y travaillent ont amené des espèces étrangères d'insectes, d'araignées, de mollusques, de vers et de graines sur le continent, posant un grave problème pour l'écosystème local. Diverses études ont également montré que les touristes eux aussi transportaient d'importantes quantités de graines et de pollen en provenance de leur pays sur leurs chaussures et leurs vêtements.

Les membres du Traité Antarctique sont en train de dresser de nouvelles règles pour éviter que de nouvelles espèces ne soient introduites sur le continent et sur les îles voisines. En effet, les recherches des scientifiques britanniques chargés de surveiller l'Antarctique ont permis de retrouver des traces de plusieurs organismes végétaux et animaux connus pour entraîner des maladies. Ils craignent que ces espèces étrangères ne parviennent à s'implanter sérieusement dans la région et entraînent de graves dégâts.

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source : télé animaux

TOKYO, 28 avr 2011 (AFP) - Le Rainbow Warrior s'est vu refuser l'autorisation de s'approcher des côtes proches de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima (nord-est) pour y effectuer des mesures sur la qualité de l'eau, a affirmé jeudi l'organisation écologiste Greenpeace.> L'organisation précise que Tokyo a "seulement approuvé un programme beaucoup plus limité, plus au large".

Le vaisseau amiral de l'ONG internationale est arrivé au large de Tokyo jeudi, en route vers Fukushima, situé à quelque 250 km au nord-est de la capitale.

Il a l'intention de s'arrêter brièvement à Tokyo pour effectuer des réparations avant de repartir vers le nord pour examiner la faune et la flore marine et les impacts possibles de la contamination radioactive sur la chaîne alimentaire et la santé.

"Le gouvernement doit rapidement revenir sur sa décision et donner l'autorisation de faire des tests plus près de la côte pour que nous puissions entamer cette recherche indépendante cruciale", a souligné Junichi Sato, directeur exécutif de Greenpeace Japon.

Début avril, quelque 520 tonnes d'eau très contaminée se sont écoulées dans la mer via une brèche, colmatée depuis, dans une fosse technique de la centrale Fukushima Daiichi (N°1), située au bord de l'océan Pacifique.

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source : yahoo actualités

Le Fonds mondial pour la nature (WWF) a publié une étude selon laquelle 230 millions d'hectares de forêts sont menacés de disparition d'ici 2050. Si cette prévision s'avère exacte, les conséquences climatiques seraient désastreuses et les répercussions sur la biodiversité et le développement économique dramatiques. WWF a demandé à la communauté internationale de faire en sorte de mettre fin à la déforestation et à la dégradation des milieux forestiers au niveau planétaire. En effet, selon un rapport publié hier par l'organisation, 230 millions d'hectares de forêts seraient menacés d'ici 2050. "Les forêts offrent des moyens de subsistance à l'Homme et aux espèces naturelles, mais aussi des ressources à de nombreuses entreprises. C'est pourquoi la rapide déforestation menace aussi l'économie, c'est pourquoi l'arrêt de la déforestation ne doit pas être seulement l'objectif de la sphère politique", explique Philipp Göltenborth, le responsable allemand de la forêt chez WWF. L'organisation demande également à ce que les ressources forestières fassent l'objet d'une utilisation durable. WWF souligne que "des alternatives profitables apparaissent dès que les responsables économiques et politiques coopèrent". C'est le cas d'un projet qui a vu le jour à Bornéo, en Indonésie, et qui concernait 220.000 hectares de forêts.

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source télé animaux

TOKYO, 3 mai 2011 (AFP) - Le Rainbow Warrior, vaisseau amiral de Greenpeace, a entamé mardi des mesures sur la qualité de l'eau au large de la centrale nucléaire endommagée de Fukushima, dans le nord-est du Japon, a annoncé l'organisation écologiste.> Greenpeace rappelle, dans un communiqué, que le gouvernement japonais ne lui a pas accordé l'autorisation de mener à bien une surveillance indépendante à l'intérieur des 12 miles (20 km) des eaux territoriales. L'organisation affirme avoir sollicité le Premier ministre Naoto Kan pour qu'il reconsidère sa décision.

"Les gens réclament haut et fort une étude indépendante sur le niveau de contamination et un avis clair et objectif concernant les risques potentiels sur la santé", a expliqué Ike Teuling, expert de Greenpeace en radiations, qui se trouve à bord du navire.

"C'est ce que nous sommes venus faire", a-t-il ajouté.

Début avril, quelque 520 tonnes d'eau très contaminée se sont écoulées dans la mer via une brèche, colmatée depuis, dans une fosse technique de la centrale Fukushima Daiichi (N°1), située au bord de l'océan Pacifique, à environ 250 km au nord-est de Tokyo.

A peu près au même moment, l'opérateur de la centrale, Tepco, a rejeté en mer des milliers de tonnes d'eau faiblement radioactive qui s'étaient accumulées dans les installations accidentées de Fukushima Daiichi.

Il s'agit d'une des dernières expéditions du Rainbow Warrior II avant le lancement du Rainbow Warrior III. Le premier navire portant ce nom avait été dynamité et coulé, il y a près de 26 ans, dans le port d'Auckland, en Nouvelle-Zélande, par des agents secrets français.

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